Saviez vous qu’en 2023 :  Seulement 3% des femmes sont médiatisées dans la sphère business  30 des entrepreneurs sont des femmes  2,5% de femmes sont à la tête d’une entreprise du CAC 40 Ces chiffres, Delphine a décidé de les balayer, en aidant les femmes à oser entreprendre. Comment faire sauter nos croyances limitantes encore trop présentes ? Comment imposer ses valeurs et sa vision ? Pourquoi c’est si difficile pour nous les femmes de déplaire, de sortir du cadre ?  Toutes ces questions, Delphine nous y répond. Elle nous prouve qu’être une femme et avoir de l’ambition n’est pas du tout incompatible, bien au contraire !  J’espère que cet épisode vous inspirera. Je vous souhaite une très bonne écoute.   - Pour retrouver Delphine sur instagram : https://www.instagram.com/powherfulclub/  - Écouter son podcast Powherful Club : https://smartlink.ausha.co/powh

Marine avait sa carrière professionnelle toute tracée devant elle : après son bac elle se lance dans une prépa, puis entre dans une grande école de commerce et développe sa carrière dans le marketing pendant une dizaine d’années. Un parcours jusqu’ici plutôt classique. Jusqu’à ce qu’elle fasse la rencontre de sa vie : le stand-up. Une expérience qui va littéralement bousculer sa vie, aussi bien personnellement que professionnellement.  Parce que on peut dire, depuis trois ans, Marine mène sans relâche une double vie, voire triple ! Responsable marketing dans une entreprise de cosmétiques le jour, et humoriste le soir et le week-end. Le tout en étant maman de deux petites filles.  Dans cet épisode Marine nous raconte comment elle s’est lancée sur scène, comment elle a fait sa place dans le milieu du stand up et de l’humour jusqu’à y dédier sa carrière et les sacrifices qu’elle a du faire pour en arriver là. Ce qui m’a marqué

Danseuse au conservatoire pendant plus de 10 ans, Anouk  se blesse avant de passer le concours d’entrée à l’Opéra. En guise d’échappatoire, elle se réfugie dans la salle de sport pour bouger son corps et apaiser son mental.  Très sensible au bien-être et à l’équilibre, Anouk comprend rapidement que le mouvement doit faire parti intégrante de son quotidien pour qu’elle se sente bien dans sa peau et dans son corps. Elle aime le répéter : le mouvement, c’est la vie.  À tel point qu’elle y dédie sa vie : transmettre sa passion devient une évidence pour elle. Elle se forme en tant que coach et développe quelques années plus tard méthode de bien-être unique : Body by Anouk.   En parallèle de sa reconversion, Anouk observe et s’interroge sur la relation entre le type de sport pratiqué et le cycle hormonal. Petit à petit elle r

À 30 ans, Marie Pascale décide de mettre en pause son activité de consultante en finance pour faire un tour du monde pendant 14 mois avec son mari. Un voyage qui fut un véritable révélation pour elle. Elle découvre que dans de nombreuses cultures, la grossesse est une parenthèse joyeuse pendant laquelle la femme enceinte est entourée, accompagnée. Transmission, rituels, massages… La future maman est préparée émotionnellement aussi bien que physiquement à donner la vie. À son retour, elle tombe enceinte. Elle vit alors a grossesse au rythme des rendez-vous médicaux, et de discours bien souvent anxiogènes et culpabilisants. Lancer sa propre marque pour prendre soin de femmes lui est alors apparu comme une évidence ! Elle imagine Omum : une marque qui réenchante la maternité et nous donne l’occasion de cultiver un lien joyeux et plein de tendresse grâce à des soins clean, engagés et efficaces. Une histoire qui a évolué naturel

L’infertilité est un tabou. Pourtant en France, un couple sur quatre a des difficultés à concevoir un enfant, des chiffres qui ne cessent de progresser. Pour les aider à traverser cette épreuve, la thérapeute Déborah Schouhmann-Antonio les écoute et les conseille depuis de nombreuses années. Car ces problématiques là elle les connait bien. Elle qui a subi durant 4 années de sa vie un long parcours de PMA. Un jour, Déborah décide de faire le deuil d'avoir un enfant et se consacre à l'accompagnement des couples infertiles. Deux mois après, elle tombe enceinte naturellement. Son remède miracle ? Le lâcher prise. Mais alors que vivent ces couples ? Comment fait-on lorsque le désir de grossesse tourne à l'obsession ? Dans cet épisode, Déborah libère la parole autour de l’infertilité que ne devrait pas se vivre dans la honte, le silence et la culpabilité. Je laisse <a href="https://www.doctolib.fr/psychologue/neuilly-sur-seine/deborah-schouh

À 25 ans, Emma pose ses valises à Paris. Le stress fait partie de son quotidien. Ses règles sont de plus en plus douloureuses et sa digestion se dégrade, sans qu’elle ne comprenne vraiment pourquoi. Elle a ses "astuces" pour faire face au tumulte de cette nouvelle vie pro à cent à l'heure : double expresso au réveil pour faire face à la fatigue, ration quotidienne de gâteaux à la pause pour adoucir les pics de stress, soirées tardives pour se vider la tête.. Quand soudain son corps la lâche. Après 5 années d’errance médicale, de traversée du désert, Emma découvre qu’elle souffre d'endométriose, d'adénomyose, d'acné et du syndrome de l'intestin irritable.  Epuisée de se sentir ballotée de traitement en traitement, elle déploie les dernières forces qu'il lui reste pour chercher d'autres moyens de prendre soin d’elle. Elle découvre alors la naturopathie qui lui changera littéralement la vie. Elle réalise qu’il est possible de surmonter des troubl

8 femmes sur 10 en France seraient concernées par la charge mentale domestique. Penser à prendre rendez-vous chez le médecin pour les enfants, faire les cours, chercher les idées cadeaux pour la belle-famille… Vous savez, cette liste mentale permanente de tâches à accomplir. Un terme qui est définit récemment dans le Larousse comme étant : « un poids psychologique que fait peser (plus particulièrement sur les femmes) la gestion des tâches domestiques et éducatives, engendrant une fatigue physique et, surtout, psychique. » À la naissance de leur deuxième enfant, Sophie et son mari ont fait un choix : elle continuerait à travailler et il deviendrait père au foyer. Ils trouvaient cette décision logique et confortable, la société leur a répondu qu’elle était radicale. De l’envie d’enfant à l’organisation de la vie domestique, en passant par la grossesse, l’accouchement et la dépression du post-partum, Sophie nous raconte les différents sujets auxquels sont

Est-ce que vous aussi ça vous est déjà arrivé de ne pas savoir vers qui vous tourner pour poser toutes vos questions intimes sans tabou ? Ni ou aller pour trouver le produit adapté à votre problématique ? Syndrome prémenstruel, contraception, protections menstruelles, questions liées à la maternité, à l’allaitement, au post-partum… tellement de sujets intimes qui restent encore incompris, même par les principales concernées !  Pendant le confinement, Marine s’informe, écoute, se renseigne… Et réalise le nombre de tabous qui entourent encore l’intimité féminine. Ancienne directrice marketing dans la tech, elle décide alors de fonder Gapianne avec trois autres associées et amies. Une plateforme dédiée au bien-être intime des femmes.  L’ambition ? Déconstruire les tabous et les clichés sur le quotidien des femmes, d'affirmer leurs envies et de leur donner les clés pour être maîtresses de leur bien-être et non plus subir ou être passives devant les

Saviez-vous que le fait d’oublier était nécessaire pour préserver notre santé mentale ? Souvent associé à un bug de notre esprit, l’oubli possède en vérité des vertus nécessaires à la vie humaine.  L’« amnésie dissociative » ou l’incapacité de se souvenir en totalité ou en partie d’un événement traumatisant. Un mécanisme de défense qui peut semer le chaos chez une victime, dont les souvenirs resurgiraient.  C’est ce que Bérénice nous raconte aujourd’hui. En grandissant elle souffre de gros troubles du comportements alimentaires et fait de nombreux malaises sans vraiment en comprendre la cause. Au point que certains diront chez elle qu’elle est hystérique.  C’est lorsqu’elle décide à 23 ans de prendre sa santé mentale en main et de consulter un professionnel que tous les souvenirs remontent à la surface. Elle comprend alors enfin la cause de son mal-être et doit désormais apprendre à se reconstruire. Un long chemin,  <br

Du sans gluten au paléo, en passant par le véganisme, les programmes fitness en vogue mais aussi l’hypnose et le jeûne : Mathilde a tout essayé… sans jamais perdre un gramme ! Durant quatorze ans, sa vie se résume à une longue liste de calories ingérées, de séances de sport interminables, de semi marathon à 4 heures du matin, et de résolutions drastiques pour atteindre son objectif ultime : la taille 34. Dans cet épisode, Mathilde vous raconte son histoire, sans tabou ni filtre, mais surtout son plan d’action pour guérir de l’obsession alimentaire.  Comment reprendre confiance en soi et en son corps après 15 ans d’obsession ? Comment se débarrasser (et pour de bon) des mauvaises habitudes ? Autrice du livre "Confidences d’une ex-accro des régimes », Mathilde retrace son expérience douloureuse et malsaine avec la nourriture. Après 15 ans de maladie, Mathilde est parvenue à faire taire les démons. Un épisode qui pourrait bien vous aide

Si je vous dit ménorragie, qu’est ce que ça vous évoque ? Pour la majorité des personnes, pas grand chose. et pourtant ce syndrome touche 20 à 30% des femmes en âge de procréer en France. Tout au long de leur vie, les femmes peuvent être exposées à la survenue de règles abondantes, en particulier les femmes présentant une maladie hémorragique héréditaire. Véritable enjeu de santé publique, les règles abondantes peuvent être la conséquence de pathologies multiples. Un enjeu public certes, mais dont on n’entend pas beaucoup parler, et qu’on diagnostique peu.  Alice souffre de ménorragie depuis ses 13 ans : des règles très abondantes qui handicapent son quotidien. Fatigue extrême, anémie, cycle irrégulier, gêne, honte, douleur… Alice cherche par tous les moyens une solution miracle, autre que la pilule, qui sou

Myrina a toujours su au fond d’elle que sa petite fille serait exceptionnelle. Après une grossesse compliquée et stressante, elle découvre les joies et mais aussi les difficultés de la maternité. Petit à petit, elle commence à remarquer des particularités chez sa petite fille : préfère être portée que marcher, ne regarde pas directement dans les yeux, répète les questions qu’on lui pose… Une multitudes de petits détails qui questionnent Myrina et son conjoint. Face à ces différences, Myrina culpabilise.  Les sujets abordés avec Myrina dans cet épisode :  - Comment mieux accompagner les parents dans ce chemin de la neuroatypie ?  - Comment traverser cet épreuve en tant que couple ?  - Comment ne pas culpabiliser en tant que mère ?  - Et enfin, comment prendre soin de sa santé mentale dans tout ce parcours ? À travers cet épisode, Myrina souhaite surtout lancer un message d’espoir aux parents d’enfants aux talents

C’est à seulement 9 ans que Raphaella s’enferme dans la spirale infernale de l’anorexie, et développe des troubles du comportement alimentaire. une maladie mentale malheureusement encore trop présente chez les jeunes filles. Puis en grandissant, elle souffre de troubles digestifs sans parvenir à comprendre la cause. Maux de ventre et épuisement commencent à la préoccuper sur sa santé.  Raphaella consulte, se renseigne, et comprend petit à petit que ses maux viendraient tout simplement… du sucre. Sucre raffinés, rapides, lents… vous savez ce petit ingrédient qui vient s’ajouter discrètement dans notre alimentation sans même que l’on s’en aperçoive.  Une prise de conscience qui a permis à Raphaella de lancer sa propre marque de produits sans sucre, ou plutôt au sirop de Yacon, pour accompagner les hommes et les femmes vers une alimentation plus saine, sans frustration.  Acceptation de son corps, troubles du comportem

Sabrina tombe enfin enceinte de sa fille à 38 ans, après plusieurs fausses couches. Pas question pour elle de faire n’importe quoi. Elle cherche le meilleur pour se supplémenter. Adepte de produits sains depuis des années, elle refuse de prendre les compléments alimentaires qu’on lui avait prescrit, alertée par leur composition, et le manque de transparence des marques présentes sur le marché.  C’est en interrogeant ses amies, toutes devenues mamans avant elles, que Sabrina réalise une chose : elle est la seule de son entourage à s’inquiéter de ce qu’elle allait ingérer pendant… Plus d’un an. Elle se rend alors compte en étudiant méticuleusement les étiquettes qu’aucune marque ne propose de vitamines prénatales saines, à la composition claire, et en laquelle elle peux avoir confiance pour accompagner la période la plus importante de sa vie.  Sa curiosité la pousse à chercher de meilleures solutions, mais combien de femmes, par

Camille souffre d'endométriose depuis son adolescence. Il y a 7 ans, les spécialistes posent enfin le diagnostic, après une longue errance thérapeutique… Une maladie de plus en plus connue (et c’est tant mieux) pas forcément comprise du grand public. Et qui pourtant concerne 4 millions de femmes en France et 198 millions dans le monde. Et encore, ces chiffres parlent des femmes diagnostiquées. Vivre avec l’endométriose, qu’est ce que ça représente réellement au quotidien ? Régime alimentaire stricte, arrêt de l’alcool, multiples rendez-vous médicaux… Camille nous raconte comment sa maladie s’immisce dans tous les pans de sa vie, de manière invisible aux yeux des autres.  C’est lorsqu’elle devient maman d’une petite fille que Camille décide de se consacrer pleinement à la santé des femmes, ce sujet qui la touche depuis tant d’années. Elle se jette à l’eau et sans brassard, dans le monde de la micro nutrition, des compléments alimentaires et de la

Luli est Italo Argentine. Venue tout droit de Buenos Aires, elle s’installe à seulement 25 ans à Paris sans se douter qu’elle y ferait sa vie.  11 années plus tard, elle partage désormais sa vie avec son mari français et élève leurs deux petites filles, toutes deux nées à Paris. Loin de sa famille, Luli nous raconte comment elle a vécu ses premières années dans la maternité. Sans tabou, elle nous parle de ce sentiment d’isolement qui la bouleverse. Un sentiment qui s’avère d’autant plus fort lorsque que l’on se retrouve plongée dans une culture différente de la sienne.  C’est devant l’école de sa fille que Luli fait la rencontre de Sunda, une franco-népalaise, qui elle aussi ressent cet étrange sentiment d’isolement malgré le soutien de son mari. Ensemble, elles décident de fonder la marque Ama, pour aider les jeunes parents à retrouver leur équilibre dans la parentalité.   Dans cet épisode, Luli nous partage ses p

Lysiane souffre de la maladie d’Hashimoto. Une maladie chronique de la thyroïde, dite auto immune, aussi invisible qu’envahissante. Les femmes sont environ 10 fois plus souvent concernées que les hommes. Dans la plupart des cas, elle survient entre 30 et 50 ans.  Seulement pour Lysiane, les symptômes sont apparus très jeune, sans qu’elle puisse poser un diagnostic dessus. Hyperfatigue et sensibilité : dès l’adolescence Lysiane ne comprend pas pourquoi elle ne peut pas avoir le même rythme de vie que les gens de son âge.  Dans cet épisode, elle nous raconte comment elle a découvert sa maladie auto immune, comment celle-ci impact son quotidien et surtout les moyens qu’elle a trouvé aujourd’hui pour limiter les symptômes.  Je laisse Lysiane vous raconter son histoire et je vous souhaite une très bonne écoute.   Références de l'épisode :  <a href="https://podcasts.apple.com/fr/podcast/ep22-anouk-s

Peut-on être trop fertile ? La réponse est oui. Aujourd’hui, de nombreuses femmes vivent avec une hyperfertilité, un sujet encore trop tabou. Ces femmes se retrouvent à vivre des grossesses surprises, des fausses couches, elle poids de la contraception sur leurs épaules, le tout dans l’isolement et la culpabilité.  Parce que ce n’est pas toujours évident de parler d’hyperfertilité alors qu’autour de nous, beaucoup de couples font face à de longs parcours de PMA. Pourtant c’est une réalité pour des femmes qui tombent enceinte malgré une contraception rigoureuse.   C’est le cas Emmanuelle qui témoignage aujourd’hui. Dans cet épisode, elle nous raconte comment elle est passée en quelques années de la peur d’être infertile à l’angoisse de retomber enceinte après de multiples grossesses et avortement. Comment vivre ces grossesses surprise à répétition ? Quelle contraception adopter pour gérer son désir d’enfant comme on le souhaite ? Comment vivre se

Saviez-vous que le risque de suicide est 70 fois plus élevé dans l’année qui suit l’accouchement qu’à tout autre moment de la vie d’une femme ? Quelques mois après la naissance de sa fille, la santé mentale de Marion s’est détériorée. Solitude, douleurs physiques, souffrance émotionnelles… Elle se rend compte, malheureusement trop tard, qu’elle a été mal préparée pour affronter les épreuves qui nous tombent dessus dès la sortie de la maternité. Personne ne lui avait parlé de ce qui l’attendait après la naissance de son bébé.  Elle décide de chercher du soutien auprès d’une psychologue. Son verdict est sans appel : Marion souffre de dépression post-partum, comme malheureusement 2 femmes sur 5. La dépression est souvent invisible aux yeux des autres. Grâce à elle, Marion apprend l’importance d’un soutien adapté au post-partum, primordial pour le bien-être émotionnel des jeunes mamans. Quelques mois plus tard, après avoir retrouvé tout

Jugés paresseux, émotifs, en mauvaise santé… Dans l’entreprise comme dans la société, les stéréotypes dont sont victimes les personnes obèses sont nombreux. Au travail, à la boulangerie, ou encore à la banque : les discriminations s’invitent dans le quotidien de ces personnes sans même que l’on s’en aperçoive.  Il y a quelques années, Lisa n’a pas pu acheter la maison de ses rêves à cause de son surpoids et de son diabète. Son assurance refuse de l’assurer sous prétexte qu’elle pourrait mourir avant le remboursement de son prêt.  Remarques déplacées, surprime d’assurance à payer, grossophobie ordinaire… Dans cet épisode Lisa nous raconte ce qu’elle subit au quotidien à cause de son surpoids. Un épisode pour briser un peu plus les tabous et les clichés qui persistent. Je laisse Lisa vous raconter son histoire et je vous souhaite une très bonne écoute.   <p

Est-ce que vous aussi ça vous est déjà arrivé de rester bouche bée suite à une remarque déplacée dans la rue ? On appelle ce phénomène le phénomène de sidération, qui nous laisse sans voix. Car lorsque l'on est attaquée, c'est le choc qui nous fait souvent perdre tous nos moyens. Mais aussi car le sexisme est depuis longtemps banalisé dans notre société et que certaines réflexions pourraient sembler banales ou drôles, alors que c’est tout le contraire.  Sexisme, harcèlement de rue… pas besoin de vous donner de chiffres, c’est bien simple, on l’a toutes déjà vécu une fois dans notre vie. À tel point que même en 2022, 80% des femmes déclarent se sentir en insécurité lorsqu’elles sont seules dans la rue. Et pour être honnête avec vous, moi la première.  Épuisée par la situation, Axelle décide d’agir, et se lance dans l’entreprenariat en créant sa propre maison d’édition : L’Éclap. Une maison qui créé et édite des jeux de société pour un avenir plus

Du sans gluten au paléo, en passant par le véganisme, les programmes fitness en vogue mais aussi l’hypnose et le jeûne : Mathilde a tout essayé… sans jamais perdre un gramme ! Durant quatorze ans, sa vie se résume à une longue liste de calories ingérées, de séances de sport interminables, de semi marathon à 4 heures du matin, et de résolutions drastiques pour atteindre son objectif ultime : la taille 34. Dans cet épisode, Mathilde vous raconte son histoire, sans tabou ni filtre, mais surtout son plan d’action pour guérir de l’obsession alimentaire.  Comment reprendre confiance en soi et en son corps après 15 ans d’obsession ? Comment se débarrasser (et pour de bon) des mauvaises habitudes ? Autrice du livre "Confidences d’une ex-accro des régimes », Mathilde retrace son expérience douloureuse et malsaine avec la nourriture. Après 15 ans de maladie, Mathilde est parvenue à faire taire les démons. Un épisode qui pourrait bien vous aid

Si je vous dit ménorragie, qu’est ce que ça vous évoque ? Pour la majorité des personnes, pas grand chose. et pourtant ce syndrome touche 20 à 30% des femmes en âge de procréer en France. Tout au long de leur vie, les femmes peuvent être exposées à la survenue de règles abondantes, en particulier les femmes présentant une maladie hémorragique héréditaire. Véritable enjeu de santé publique, les règles abondantes peuvent être la conséquence de pathologies multiples. Un enjeu public certes, mais dont on n’entend pas beaucoup parler, et qu’on diagnostique peu.  Alice souffre de ménorragie depuis ses 13 ans : des règles très abondantes qui handicapent son quotidien. Fatigue extrême, anémie, cycle irrégulier, gêne, honte, douleur… Alice cherche par tous les moyens une solution miracle, autre que la pilule, qui so

Comme beaucoup d’autres jeunes filles et Juliette a grandi avec l’idée que sa valeur résidait uniquement dans son apparence. Elle cherche par tous les moyens à se conformer, et surtout à être toujours plus mince. Et bien sûr cela passait par “faire attention” à son alimentation et donc se restreindre. Au début, c’est plutôt innocent : elle se prive, limite certaines aliments, en bannir d’autres, c’est normalisé : on a juste l’impression de faire ce qu’il faut. Pour soi, pour sa “santé”. Une règle en appelle une autre, et Juliette se retrouve avec une alimentation de plus en plus troublée. Qui est loin d’être simple et intuitive.  Juliette le dit elle même : sa vie était réduite à ce qu’elle mangeait ou plutôt à ce qu’elle ne mangeait pas.  Jusqu’à ce qu’elle ait enfin le déclic. Elle décide de dire stop à ces régimes à répétition, et se renseigne sur le comportement alimentaire et plus particulièrement l’alimentation intuitive

C’est à seulement 9 ans que Raphaella s’enferme dans la spirale infernale de l’anorexie, et développe des troubles du comportement alimentaire. une maladie mentale malheureusement encore trop présente chez les jeunes filles. Puis en grandissant, elle souffre de troubles digestifs sans parvenir à comprendre la cause. Maux de ventre et épuisement commencent à la préoccuper sur sa santé.  Raphaella consulte, se renseigne, et comprend petit à petit que ses maux viendraient tout simplement… du sucre. Sucre raffinés, rapides, lents… vous savez ce petit ingrédient qui vient s’ajouter discrètement dans notre alimentation sans même que l’on s’en aperçoive.  Une prise de conscience qui a permis à Raphaella de lancer sa propre marque de produits sans sucre, ou plutôt au sirop de Yacon, pour accompagner les hommes et les femmes vers une alimentation plus saine, sans frustration.  Acceptation de son corps, troubles du comporte

Si je vous dit « charge mentale », à quoi pensez-vous en premier ?  Vaisselle, linge, enfant, organisation, rendez-vous médicaux… Moi il y a beaucoup de sujets qui me viennent à l’esprit ! Mais il y en existe un, plus discret et silencieux que les autres. Auquel on ne pense pas automatiquement : la contraception. Encore trop une affaire de femmes. D’un côté, ça se comprend : ce sont les femmes qui tombent enceintes en cas de grossesse non désirées, ce sont elles qui mènent cette grossesse à terme ou l’interrompent. Mais est-ce vraiment une raison pour s’en dédouaner ? À ce que je sache, c’est un sujet important qui implique pourtant deux personnes ! Pour vous donner un ordre d’idée, en France, 72 % des femmes sont concernées par la contraception.  Pilule, multiples grossesse non désirée, apprentissage de la symptothermie, congélation des ovocytes… Aujourd’hui, Margaux a accepter de nous raconter son histoire avec la contraception. Ses aventures

Myrina a toujours su au fond d’elle que sa petite fille serait exceptionnelle. Après une grossesse compliquée et stressante, elle découvre les joies et mais aussi les difficultés de la maternité. Petit à petit, elle commence à remarquer des particularités chez sa petite fille : préfère être portée que marcher, ne regarde pas directement dans les yeux, répète les questions qu’on lui pose… Une multitudes de petits détails qui questionnent Myrina et son conjoint. Face à ces différences, Myrina culpabilise.  Les sujets abordés avec Myrina dans cet épisode :  - Comment mieux accompagner les parents dans ce chemin de la neuroatypie ?  - Comment traverser cet épreuve en tant que couple ?  - Comment ne pas culpabiliser en tant que mère ?  - Et enfin, comment prendre soin de sa santé mentale dans tout ce parcours ? À travers cet épisode, Myrina souhaite surtout lancer un message d’espoir aux parents d’enfants aux talents

Si l'évolution des femmes dans le monde de l'entreprise tend, dans l'ensemble, vers le mieux, il reste encore de nombreuses ombres au tableau. Parmi elles : l'épuisement professionnel, qui touche davantage les femmes que les hommes - et c'est encore plus flagrant chez celles qui ont des responsabilités. C’est ce qui est arrivé à Angélique il y a deux ans. Elle qui se décrit comme une personne ambitieuse et carriériste. Une ambition qui l’a emmenée loin dès le début de sa carrière, voire peut être un peu trop loin.  Attirée par un poste aux multiples casquettes, elle se lance corps et âmes dans une nouvelle expérience professionnelle. Surcharge de travail, journée à rallonge, pression… Angélique n’arrive pas à dire non, à dire stop. Alors c’est son corps qui décide du jour au lendemain de s’arrêter. Une expérience transformatrice qui pousse Angélique à quitter son travail, se reconvertir, et surtout aider à son tour les femmes victime

Dans ce podcast, je reçois régulièrement des demandes sur le syndrome pré-menstruel. Appelé plus communément SPM, mais que personne ne saurait véritablement expliquer et qu’aucun examen ne permet d’identifier aujourd’hui. Et pourtant, 80% des femmes menstruées ont déjà souffert de ce syndrome. Un syndrome tellement vaste et tabou qu’il ne permet pas d’être clairement identifié par les femmes ou jeunes filles. On comprend d’autant plus ce tabou si l’on considère que 40% des femmes pensent qu’il est normal de souffrir avant et pendant la période des règles. Mais est-ce vraiment le cas ? Après un burn out professionnel à 27 ans, Manon décide de s’écouter et de se reconnecter à son corps. C’est alors qu’elle réalise que depuis des années elle souffre de crises qui s’expriment uniquement une semaine avant l’arrivée de ses règles. Changement drastique d’humeur, troubles du sommeil, tristesse, irritabilité… Des crises qui lui donnent envie de sortir de son corps. </

Le témoignage que vous allez entendre aujourd’hui m’a beaucoup touchée. Il commence par une grossesse inattendue, qui arrive dans la vie de Sarah en plein confinement, et surtout à un moment de sa vie qui n’était pas le bon pour elle. Jusque là vous me direz une histoire plutôt commune, sans grande incidence pour Sarah, qui prend aussitôt la décision d’avorter, mais non sans peine.  Mais l’histoire de cette grossesse c’est aussi et surtout l’histoire d’une jeune femme, qui comme beaucoup, ne s’est pas sentie écoutée et prise en charge à la hauteur de sa douleur, qui était bien réelle. Une douleur qui aurait bien pu lui couter la vie. Et qui lui a couté une trompe.  Dans cet épisode, Sarah nous raconte le moment de sa vie ou elle s’est véritablement sentie hystérique : grossesse extra utérine, crampes abominables au ventre, douleurs étranges lorsqu’elle s’allonge, à l’épaule par exemple, et internes en médecines un peu laxistes...

D’après l’étude menée par des chercheurs au sein de Facebook, Instagram aggrave « les complexes d’apparence d’une jeune fille sur trois ». Plusieurs troubles sont constatés : augmentation de l’anxiété, dépression, troubles du comportement alimentaire ou encore pensées suicidaires.  A contre courant de tous ces comptes montrant une vie parfaites et des corps photoshopés, Iris elle en a décidé autrement. Je suis super heureuse de la recevoir aujourd’hui parce que je la suis depuis quelque temps maintenant et je dois avouer que c’est un compte qui me fais vraiment du bien. Dessus, on y retrouve des photos de son corps, sous tous les angles, sans exception, des boulets, des poils, des culottes menstruelles et j’en passe. Le tout accompagné de messages bienveillants et d’acceptation de son corps qui font du bien au moral.  Dans cet épisode, Iris nous raconte comment lui est venue l’envie de transmettre les bienfaits du self love. Une démarche hyper c

On dit souvent que la rupture amoureuse se vit comme un deuil. pendant les premières semaines, voire premiers mois, elle nous semble insurmontable, nous donne la sensation qu'on ne s'en sortira jamais si bien qu’on se sent parfois incapable de reprendre le cours de notre vie. Après 7 ans de relation, Stella se retrouve anéantie lorsque son copain lui annonce qu’il la quitte. Son monde s’écoule littéralement. À ce moment là, un seul objectif en tête : le récupérer. Jusqu’à ce qu’elle fasse la rencontre d’une accompagnatrice de vie. Une bonne fée arrivée par hasard sur son chemin pour lui expliquer que avant d’être bien avant quelqu’un, il fallait qu’elle apprenne à s’aimer.  Dans cet épisode, Stella nous raconte comment l’épisode le plus douloureux de sa vie l’a transformée pour faire d’elle une femme forte qui a plus que jamais confiance en elle.  Dans cet épisode on aborde plusieurs questions :  - Comment se remettre d'une r

On dit souvent que l’amour rend aveugle. Une phrase d’autant plus vraie lorsqu’on se retrouve embarquée dans une relation amoureuse toxique dans laquelle l’autre ne nous respecte pas. Parce que pour se libérer d’une relation amoureuse toxique, encore faut-il prendre conscience que celle-ci est destructrice. La violence amoureuse peut prendre de multiples visages, ce qui explique pourquoi elle est si difficile à cerner.  Isolement, moqueries, chantage, manipulation, moqueries… Lorraine a vécu 2 ans dans une relation malsaine qui l’a conduite à l’hôpital. Tremblements, perte de poids drastique, vomissements… son copain exerce sur elle une pression psychologique telle, qu’elle sent son corps la lâcher. C’est seulement lorsqu’elle elle a pu se libérer de cette emprise, qu’elle réalise alors qu’elle subissait des violences conjugales et que les séquelles psychologiques sont profondes. Les sujets abordés avec Lorraine ?  Comment

Avez-vous déjà entendu parlé d’hypersensibilité ? Telle une éponge, depuis la petite enfance Lucille absorbe les émotions de ceux qui l’entoure. Plus sensibles au sommeil, à la lumière… Elle se sent différente des autres.  À 27 ans, elle décide d’écouter sa petite voix et devenir naturopathe. C’est alors qu’elle se rend compte qu’elle est hypersensible. L’hypersensibilité n’est ni un trouble, ni une maladie. Il s’agit d’un tempérament. Parfois complexe à appréhender dans son quotidien. L’hypersensibilité émotionnelle, toucherait une personne sur cinq, soit 20% de la population mondiale.  Un terme qui reste encore trop associé aux femmes, et à une notion de fragilité, de vulnérabilité, voire de faiblesse. Ce trait de caractère fait de ces êtres à forte sensibilité de véritables éponges à émotions, réceptives au monde qui les entoure. Une différence qui peut être un atout comme un inconvénient dans certaines circonstances.  Dans cet épisode

Si elles pouvaient revenir en arrière, certaines mères feraient le choix de ne pas avoir d’enfant. Malgré l’amour qu’elles portent, la maternité n’a, pour elles, rien d’épanouissant, leur charge mentale est écrasante et leur liberté leur semble perdue à jamais. Marine est devenue maman à 24 ans. Elle est entrée dans la maternité sans se poser trop de questions. La maternité sonnait comme une évidence pour elle. Dès les débuts de sa grossesse Marine réalise que tout n’est pas aussi beau et magique qu’on lui avait dit.  Aujourd’hui, sa petite fille a 10 ans et Marine prend du recul sur ces 10 dernières années passées à être mère. Entre amour indescriptible, joie et regret, elle nous parle de l’ambivalence de la maternité. Toujours avec beaucoup de dérision !  Vous l’aurez compris, aujourd’hui on lève le voile sur ce douloureux tabou du regret maternel. Une vérité qui ne fait pas d’elle une mauvaise mère mais une femme qui assume ce qu’

Aujourd’hui j’accueille Lisa, la fondatrice de Pow’her Studio, un écosystème dédié aux femmes, pour les aider à prendre le pouvoir de leur vie et s’émanciper.  Une démarche positive, inclusive qui vise à créer une communauté de soutien pour les femmes, quel que soit leur projet et leurs envies !  Dans cet épisode Lisa nous parle d’entreprenariat. Elle qui a seulement 22 ans, n’a pas peur de l’échec et se lance sans filet dans cette grande aventure.  Comment oser se lancer alors qu’on n’a pas forcément le réseau qui va avec ? Comment se sentir légitime une bonne fois pour toute ? Comment surmonter la peur de l’échec ? Toutes ces questions, Lisa y répond sans tabou ! Parce que pour elle, essayer ne veut pas forcément dire réussir. C’est aussi prendre des risques et parfois même se planter. Mais finalement ce qui compte, c’est de se lancer.  Un épisode qui je l’espère vous donnera les clés pour à v

Plus de 𝟐𝟎𝟎 𝟎𝟎𝟎 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐚𝐧 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 ont une 𝐜𝐢𝐜𝐚𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐯𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 dû à 5 types de chirurgies majeures (césarienne, chirurgie pour une endométriose, une PMA, un cancer, une chirurgie gynécologique ou hormonale). Et bien d’autres encore.  Ces cicatrices, pourtant invisibles dans l’espace public, handicapent au quotidien, pour les gestes élémentaires comme 𝐬'𝐡𝐚𝐛𝐢𝐥𝐥𝐞𝐫, 𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞𝐫, 𝐬'𝐚𝐬𝐬𝐨𝐢𝐫 𝐞𝐭 𝐦𝐞̂𝐦𝐞 𝐝𝐨𝐫𝐦𝐢𝐫. Et ce pendant, parfois, des mois, voire pour certaines plus d'une année. Une fois sorties du parcours de soins élémentaires, ces femmes se retrouvent souvent 𝐬𝐞𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 leur 𝐜𝐢𝐜𝐚𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐞𝐭 il leur 𝙚𝙨𝙩 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙞𝙘𝙞𝙡𝙚 𝙫𝙤𝙞𝙧𝙚 𝙞𝙢𝙥𝙤𝙨𝙨𝙞𝙗𝙡𝙚 𝙙𝙚 𝙫𝙞𝙫𝙧𝙚 leur 𝙦𝙪𝙤𝙩𝙞𝙙𝙞𝙚𝙣 sans gêne. 𝙄𝙡 𝙮 𝙖 𝙩𝙧𝙤𝙞𝙨 𝙖𝙣𝙨, 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚 150 000 𝙛𝙚𝙢𝙢𝙚𝙨 𝙥𝙖𝙧 𝙖𝙣 𝙚𝙣 𝙁𝙧𝙖𝙣𝙘𝙚, Audrey 𝙚𝙪 𝙪𝙣𝙚 𝙘𝙚́𝙨𝙖𝙧𝙞𝙚𝙣𝙣𝙚. Et comme 6

Tiffanie à 29 ans, un copain, des amis, une vie stable et bien installée à Nantes. Il ne manque plus qu’un joli bébé pour cocher toutes les cases. Mais seulement voilà, Tiffanie fait partie de ses 4,3% de femmes en France qui ne veut pas d’enfant. Un choix encore mal compris et souvent jugé par la société, qui en fait un tabou.   Tu n’as pas peur de le regretter ? Tu ne penses pas que c’est égoïste ? Et tes parents, ils ne sont pas tristes de ne pas avoir de petits enfants ? Tu n’as pas peur de te retrouver seule quand tu seras vieille ? Tu auras surement le déclic plus tard, ça viendra… Autant de remarques auxquelles les femmes, qui dès qu’elles ont passé la trentaine, sont confrontées quotidiennement.      Dans cet épisode, Tiffanie nous raconte l’évolution de son rapport à la maternité : son désir d’enfant lorsqu’elle était jeune, sans réellement se poser de questions, sa volonté de tout lire, tout savoir sur la grossesse quand elle a appris q

D’après la sage femme Anna Roy le premier mois post-partum est encore plus dur que l’accouchement, 80 % des femmes sont effondrées.  Difficulté à marcher, sensation de pesanteur, descente d’organes, angoisses… voilà ce qui a rythmé les 8 premières semaines du post-partum de Lisa qui n’ont pas été de tout repos. Assommée pas la fatigue et la péridurale, lors de son accouchement, Lisa n’a pas tout de suite compris ce qu’il s’était passé durant la sortie de son bébé et les conséquences que ça allait avoir sur sa convalescence. Elle s’est alors demandée pourquoi les femmes ne parlaient quasiment pas de ce qu'il se passe dans leur corps après leur accouchement ? C’est après cette première expérience que Lisa décide de lancer son blog, pour un postpartum plus doux, pour faire en sorte que d’autres mamans traversent plus sereinement les hauts et les bas de leur post-partum. Je laisse Lisa vous raconter son histoire.  L

Le 15 octobre c’était la journée mondiale de sensibilisation au deuil périnatal. Le deuil périnatal, c’est le fait de perdre un enfant soit in utero, lors de l’accouchement ou quelques jours après sa venue au monde. Un deuil singulier et surtout invisible, parce que l’être aimé n’a pas eu le temps de vivre aux yeux des autres.  En 2017, enceinte de sa première fille, Sophie doit prendre la lourde décision de faire recours à une Interruption Médicale Grossesse après qu’on lui ait annoncé à la deuxième échographie que sa petite Augustine était atteinte d’une maladie cardiaque très grave. À ce moment là, elle ne connaissait personne qui avait vécu cela et s’est sentie très isolée. Bien entourée par ses proches, certes, mais très seule, du fait de ne pouvoir en parler librement avec quelqu’un qui me comprendrait entièrement.  C’est après cette épreuve que Sophie décide de créer son podcast « Au revoir » dans lequel elle invite des paren

Le témoignage que vous allez entendre aujourd’hui m’a beaucoup touchée. Il commence par une grossesse inattendue, qui arrive dans la vie de Sarah en plein confinement, et surtout à un moment de sa vie qui n’était pas le bon pour elle. Jusque là vous me direz une histoire plutôt commune, sans grande incidence pour Sarah, qui prend aussitôt la décision d’avorter, mais non sans peine.  Mais l’histoire de cette grossesse c’est aussi et surtout l’histoire d’une jeune femme, qui comme beaucoup, ne s’est pas sentie écoutée et prise en charge à la hauteur de sa douleur, qui était bien réelle. Une douleur qui aurait bien pu lui couter la vie. Et qui lui a couté une trompe.  Dans cet épisode, Sarah nous raconte le moment de sa vie ou elle s’est véritablement sentie hystérique : grossesse extra utérine, crampes abominables au ventre, douleurs étranges lorsqu’elle s’allonge, à l’épaule par exemple, et internes en médecines un peu laxistes...

Une étude menée par l’INSEE, explique pourquoi la charge mentale que les femmes subissent encore majoritairement aujourd’hui ne leur permet pas de concilier équitablement vie professionnelle et familiale et nuit à leur bien-être. En effet, on constate en moyenne que les femmes consacrent trois heures trente par jour aux tâches domestiques, contre deux heures pour les hommes. Un écart qui peine à se réduire. Mais alors comment donner une place plus importante à son travail lorsque l’on est une femme, tout en rééquilibrant la charge à la maison ? C’est la question que m’a posée Julie il y a quelques semaines quand elle m’a contactée pour me raconter sa nouvelle vie d’entrepreneur et de maman.  Croyances limitantes, répartition des tâches à la maison, culpabilisation, mais aussi organisation et équilibre de vie… On aborde tous ces sujets avec Julie. Un sujet qui me tient beaucoup à coeur parce qu’il y a beaucoup de femmes qui rêveraient mais qui n’

La grossesse extra utérine ne représente que 2% des grossesses. Elle survient lorsque l'embryon se développe dans un endroit du corps autre que l’utérus, souvent dans une des trompes de Fallope . Il arrive dans de très rares cas qu’on ne parvienne même pas à retrouver ou s’est niché l’embryon dans le corps.  C’est ce qui est arrivé à Espérance, qui nous raconte dans cet épisode son déni de grossesse à seulement 24 ans, alors qu’elle finissait ses études et entrait dans la vie active. En plus de tomber enceinte de manière non désirée, Espérance doit affronter des procédures médicales douloureuses pour mettre fin à cette grossesse, qui n’aurait de toutes manières jamais pu aboutir.  Je laisse Espérance vous raconter son histoire et vous souhaite une très bonne écoute.  

D’après l’étude menée par des chercheurs au sein de Facebook, Instagram aggrave « les complexes d’apparence d’une jeune fille sur trois ». Plusieurs troubles sont constatés : augmentation de l’anxiété, dépression, troubles du comportement alimentaire ou encore pensées suicidaires.  A contre courant de tous ces comptes montrant une vie parfaites et des corps photoshopés, Iris elle en a décidé autrement. Je suis super heureuse de la recevoir aujourd’hui parce que je la suis depuis quelque temps maintenant et je dois avouer que c’est un compte qui me fais vraiment du bien. Dessus, on y retrouve des photos de son corps, sous tous les angles, sans exception, des boulets, des poils, des culottes menstruelles et j’en passe. Le tout accompagné de messages bienveillants et d’acceptation de son corps qui font du bien au moral.  Dans cet épisode, Iris nous raconte comment lui est venue l’envie de transmettre les bienfaits du self love. Une démarche hyper c

Toute son adolescence, Emma a souffert de jambes lourdes et gonflées mais sans comprendre pourquoi. Pire encore, elle s'est retrouvée confrontée à un mur médical. Des spécialistes, elle en a vus : mais à chaque fois, cette même réponse: "Vous n'avez rien ».  Sans savoir qu’une véritable pathologie se cachait derrière ses maux : le lipœdème. C’est grâce à une vidéo Tik Tok qu’elle découvre qu’elle est atteinte de lipoedème. Une maladie qui toucherait en moyenne 1 femme sur 10, définit par l’accumulation d’amas de graisse douloureux, surtout au niveau des chevilles, ses hanches, ses cuisses et les genoux. Entraînant des douleurs dites chroniques, qui peuvent augmenter avec le temps. Une maladie douloureuse aussi bien physiquement que psychologiquement dont beaucoup souffrent sans même le savoir.  Je laisse Emma vous raconter son histoire et vous souhaite une très bonne écoute !   La recommandation d'Emma :  - Livre de Cél

En 2018, Céline découvre qu’elle est, comme sa mère et sa grand mère, prédisposée aux cancers d’origine génétique et porteuse du BRCA1 qui l’expose plus qu’une autre à un cancer des ovaires ou des seins.  En 2022, à seulement 29 ans, elle décide de faire congeler ses ovocytes pour mettre toutes les chances de son côté afin d’avoir un enfant qui ne sera pas porteur de ce gêne. Une procédure dont on parle peu, encore très mal connue, mais qui concerne beaucoup de femmes aujourd’hui et qui représente une grande avancée ! Procédure, prix, douleur, investissement personnel, espoir… Je laisse Céline nous raconter son histoire.  

L'acné adulte, passé 25 ans, toucherait 20 % des femmes et 5 % des hommes. Des chiffres tout de même importants, et un mal-être dont on parle peu. Alors pour quelles raisons peut-on voir des boutons (re)faire leur apparition alors qu'on a quitté l'adolescence ? Plusieurs facteurs à cela : le stress, une contraception mal adaptée, une alimentation déséquilibrée ou encore un mauvais choix dans ses cosmétiques… Pour Marina, l’acné a fait son apparition à 25 ans, lorsqu’elle décide d’arrêter la pilule. Multiple rendez-vous chez le médecin, crèmes miracles, compléments alimentaires, dépenses sans compter… L’acné est un complexe qui envahit le quotidien de Marina. Alors qu’elle décide de se tourner vers des solutions plus naturelles, elle découvre la micro nutrition et surtout un vieux livre de recette de sa grand mère dans lequel on y raconte les pouvoirs insoupçonnés du vinaigre de cidre sur la

En 2020, 102 femmes ont été tuées par leur partenaire ou ex-partenaire. Parmi elles, on estime que 35 % étaient victimes de violences conjugales.       Des histoires souvent invisibles après lesquelles ces femmes doivent se reconstruire malgré une violence inouïe. Anaïs fait partie de ses 230 000 femmes victimes de violences conjugales. Pendant 10 ans, elle vit en silence, sous l’emprise d’un homme qui la bat : pression psychologique, violences physiques, allers-retours aux urgences… Anaïs est emprisonnée dans cette relation toxique, sans aucun moyen de s’en échapper.   En partie certainement car le principe même de l’emprise est que la victime est incapable de prendre la mesure de la violence qu’elle vit. Mais comment identifier cette violence, quand on est soi-même aveuglée et délaissée par un système judiciaire défaillant ? Comment oser dire stop, et s’échapper des coups ? Et surtout, comment se relever et se reconstruire après 10 ans de violences

Le sujet est encore tabou et très peu documenté. Pourtant, on estime que les mineurs sont les premières victimes des violences sexuelles. On compte 20 000 mineurs victimes de violences sexuelles en France en 2020, dont 78% sont des filles. Le sujet questionne autant qu'il révolte d'autant qu'il pourrait être largement sous-estimé. En effet, il semblerait que la réalité soit difficile à évaluer car toutes les victimes ne sont pas en mesure d'en parler et de porter plainte. Il existe de nombreuses raisons à cela : les victimes n'osent pas en parler, elles sont psychotraumatisés, elles étaient trop petites, pensaient que ce n'était pas si grave ou encore parce qu'elles ont fait l'objet de menaces de la part de leur agresseur...    Dans cet épisode, Victoria nous raconte son enfance : comment elle vit de ses 6 à 14 ans sous l’emprise de son agresseur, qui était pourtant un ami de ses parents, comment elle réussit à prendre conscience de l’ampleur de la situation

Camille fait partie de ces 10 % de françaises touchées par l’endométriose. Une maladie encore trop méconnue, marquée par le manque de formation des médecins et un diagnostic qui intervient souvent trop tardivement, alors que cette pathologie s'est déjà installée et que les symptômes se sont aggravés.     Si aujourd’hui elle peut mettre des mots sur ces maux, ce n’a pas toujours été le cas. Pendant des années, Camille ignore tout de la maladie à commencer par son nom, et ce malgré ses dizaines de visites chez différents spécialistes. Au début, elle se contentent d'antidouleurs, s’empêche de sortir par peur de faire une crise, se prive de vacances entre copines, et s'efforce difficilement de vivre normalement, mais petit à petit les douleurs deviennent de plus en plus aigües, la détresse grandit et la solitude se fait sentir.   Dans ce nouvel épisode, Camille nous parle des 5 années d'errance médicale auxquelles elle fait face avant que le corps médical puisse enf

Marie a 29 ans, maman d’une petite fille de 4 mois, elle enseigne le Yoga à Paris. Une pratique qui n’est pas venue par hasard dans sa vie, et qui est arrivé à un moment où elle en avait plus que besoin. En effet, en 2017 Marie vit une relation toxique sans pouvoir trouver d’issue. Elle perd à ce moment-là vie toute estime de soi, et se réfugie dans le yoga.   C’est une fois qu’elle trouve la force de sortir de cette relation qu’elle décide d’écouter sa petite voix et de changer complètement de vie. A 27 ans, elle quitte son travail, et pars se former au Mexique pour devenir professeure de yoga.   Depuis, elle aide les femmes qui ont perdu l’estime d’elles-mêmes suite à une relation difficile, à avoir un nouveau regard sur elles.  Dans ce nouvel épisode, Marie nous raconte son histoire : comment elle s’est retrouvée dans une relation toxique et violente, le cheminement pour réussir à s’en sortir, oser dire stop et enfin l’après : comment

Depuis 1975 en France, grâce à notre chère Simone Veil, les femmes ont le droit d’avoir recours à l’interruption volontaire de grossesse (ou l’IVG). Ce droit fondamental qui nous permet d’avoir le choix, et de renoncer à des grossesses non désirées. Aujourd’hui, 220 000 avortements sont pratiqués chaque année en France, soit près de 30% des femmes qui avortent au moins une fois dans leur vie et quel que soit le moment de leur vie.  Il y a quelques mois, Faustine est tombée enceinte, alors que ce n’était pas le bon moment pour elle. Et comme ces 220 000 femmes, elle a dû prendre une décision douloureuse pour elle et son couple : celle d’interrompre volontairement sa grossesse.   Dans cet épisode, elle prend son courage à deux mains et nous raconte son parcours pour avorter : ses inquiétudes, ses doutes, l’impact psychologique de l’avortement, le suivi médical parfois inexistant et surtout, l’après : comment se remet-on d’une telle expérience

De tous temps, les femmes ménopausées font l’objet de théories au mieux farfelues, au pire dangereuses. Pourquoi cette phase de la vie des femmes est-elle considérée comme une maladie ? Aux origines de la condamnation : l’invention d’une pathologie de la ménopause par des médecins biologistes du siècle des Lumières et qui se voit renommé l’âge critique. Aujourd’hui on va dédier cet épisode à la ménopause, l’un des derniers grands tabous de notre société. Cette étape pourtant normale de la vie des femmes qui reste cantonnée à une approche médicale et qui ne sort surtout pas des cercles intimes de discussion des femmes concernées. On décide d’ignorer ce que vivent les femmes à ce moment de leur vie : quatre femmes sur dix déclarent que la ménopause a eu un impact négatif sur leur quotidien et seule une femme pré-ménopausée ou ménopausée sur deux en a parlé à son conjoint. Encore aujourd’hui, la ménopause, ne se raconte pas, elle se vit dans le

Comment vivre normalement quand on est tendu vers un objectif sur lequel on n’a aucun contrôle ? Comment survivre au fameux « et l’enfant c’est pour quand ? » Comment cesser de suspendre son bonheur à ce « quand on aura un bébé » ? Pourquoi les autres y arrivent-ils si facilement et pas nous ?      Toutes ces questions, Marion y a été confrontée. Car quand on désire un enfant plus que tout et que la grossesse se fait attendre… c’est une souffrance intime terrible, en plus d’être une blessure invisible pour le reste du monde.  Alors pour adoucir son parcours, elle décide d’écrire un récit initiatique appelé Les âmes fécondes, une invitation à refaire pétiller la vie, à un moment où l’on a le sentiment qu’elle nous lâche. C’est un livre pour mieux vivre cette situation au quotidien, dans tous les pans où elle vient nous chahuter. Du sujet de la pression sociale à celui de notre relation au bonheur, en passant par l’impatience qui nous transform

On parle de l’adolescence comme une période très particulière, entre la puberté, les premières sorties, les premiers amours… Si pour certains c’est un période synonyme de découvertes et d’épanouissement pour d’autres, c’est u peu plus compliqué. C’est notamment le cas des jeunes filles qui doivent vivre leur adolescence accompagnée par l’endométriose.  Aujourd’hui, je suis ravie d’accueillir Luna, qui m’a contactée sur Instagram pour me partager avec vous son histoire d’endométriose, une maladie très douloureuse et handicapante, qui impacte sa vie sociale mais aussi sa scolarité. Une maladie qui s’est déclenchée dès ses premières règles à 11 ans, qui a été diagnostiquée à 14 ans, et prise en charge à seulement 15 ans et 3 mois, comme le veux la loi.   En Angleterre, la maladie de l’endométriose est abordée et enseignée dans les écoles depuis l’année 2020. Mais, qu’en est-il de la France, et de ses programmes d’éducation menstruelle ? Dans cet ép

On dit souvent que le ventre est notre deuxième cerveau. Et en effet, nos intestins régulent tout : notre digestion, notre système immunitaire, notre peau, notre moral, notre poids… Et il souvent mis à rude épreuve surtout chez nous les femmes en fonction de notre cycle, de notre moral, de notre mode de vie…  Avoir un ventre en bonne santé, c’est essentiel pour se sentir bien, dans sa peau et dans sa tête !   En 2018, Anouk est atteinte d’une maladie auto-immune de la thyroïde, le tout couronné par de l’endométriose. Après une longue période d’errance médical, elle se tourne vers la médecine naturelle et découvre le fabuleux monde des probiotiques. Elle prend alors conscience du rôle majeur du ventre dans le bon fonctionnement du corps et réalise que de nombreuses personnes sont concernées par des maux de ventre sans savoir comment les soigner. Manque d’information, acteurs peu scrupuleux sur le marché, produits inefficaces… Autant de facteurs qui laissent les per

Après une vie à 100 à l’heure à Dubaï, menée tambour battant entre une carrière dans le marketing au sein d’un groupe de luxe et ses 3 enfants, Frédérica démarre son mitan de vie, comme elle l’appelle si bien, avec beaucoup de doutes mais surtout une certitude : celle que derrière le trop plein se trouve finalement beaucoup de vide.  Neuroscience, méditation, yoga, réflexologie, coaching : pendant des années, Frederica teste, se documente, rencontre, questionne, adopte. C’est en réalisant le pouvoir transformateur d’une meilleure écoute de son corps, sa tête et son cœur avec les bons outils, qu’elle décide de se lancer dans un projet consacré à la santé au féminin. Avec une envie simple : vous évitez de perdre du temps, en doutes, en quêtes, en négation et en fausses routes. Pour pouvoir rajouter encore plus d’années, d'énergie, et d’envies à vos vies.   Frederica s’y engage : sa Midlife sera sous le signe du sens ou ne sera pas. Elle résonnera

Claire a tout pour elle et tout lui réussi dans la vie : pétillante, entrepreneure à succès dans la mode éthique, grande sportive, adoratrice des voyages, et par-dessous tout maman d’un petit Roman de 6 ans. Du moins c’est le portrait que je me faisais d’elle avant de discuter de son parcours de mère. Parce que si Claire a l’habitude des interviews, c’est bien la première fois qu’elle accepte de partager son histoire intime de cette façon.  En effet, pour elle comme pour 23 millions de femmes, le chemin de la maternité, est à la fois synonyme de bonheur au quotidien, mais est aussi d'épreuves. Maman solo à 30 ans, fausse couche à répétition, grossesse extra utérine, ablation de la trompe… Dans cet épisode, Claire lève le voile sur ces moments douloureux que vivent aujourd’hui près d’1 femme sur 4, en silence. Mais encore plus qu’une douleur, c’est un combat à mener vis-à-vis de la société qui en fait un tabou. Elle prend son courage à deux mains

Aujourd’hui j’ai le plaisir d’accueillir Claire, créatrice de contenus sur Instagram et créatrice du podcast SlowHer Stories, à travers lequel elle part à la rencontre de femmes passionnées et engagées.      Cette fois Claire passe de l’autre côté du micro pour nous raconter son histoire inspirante.       Entrepreneure depuis un an et passionnée par le bien-être, Claire a a cœur de transmettre un mode de vie conscient et des conseils bien-être. Elle-même très concernée par l’anxiété et les problématiques féminines, Claire nous partage ses expériences personnelles et comment elle a appris à surmonter ces obstacles. Avec l'intention profonde et sincère de transmettre aux femmes l'envie de croire en elles et en leur projet, les convaincre qu'elles sont toutes légitimes.      Ce que j’ai aimé chez Claire, c’est sa curiosité, sa volonté de toute connaitre afin de prendre soin des autres et de les aider à mieux-être et mieux-faire.    <

1 sur 10, c’est la proportion de femmes atteintes d’endométriose. Une maladie qui touche Alice comme des milliers d’autres femmes. Alice qui elle aussi a connu l’errance médicale, l’incompréhension mais aussi les douleurs à n’en plus finir.      Aujourd’hui, elle a accepté de nous raconter son histoire, sa maladie, et surtout comment elle est parvenue à en faire sa force à seulement 22 ans. Le yoga est entré dans sa vie il y a 4 ans, et lui a appris à renouer des liens avec son corps, des liens d'amour comme elle le dit si bien. Parce qu’avec une maladie comme l'endométriose, être sereine et apaisée n'est pas évident, elle accompagne désormais les femmes atteintes de cette maladie d’épanouir grâce au yoga, à la méditation et au développement personnel. Dans cet épisode, elle nous livre une mine de conseils pour vivre l’endométriose plus sereine. Un parcours qui je l’espère vous inspirera, vous rassurera et vous donnera envie d’explorer d’autres horizons.  <b

Sarah est anorexique depuis quatre ans. Depuis le divorce de ses parents, les troubles alimentaires et le sport à outrance ont envahi son quotidien jusqu'au point de la mettre en danger. C’est lorsqu’elle atteint les 35 kilos qu’elle accepte d’être hospitalisée à ses 25 ans.  Dans cet épisode, Sarah nous raconte son hospitalisation, qui va durer quatre mois. Quatre mois pendant lesquels elle réussit à prendre du poids grâce à une sonde gastrique qui la nourrit. Mais aussi quatre mois pendant lesquels elle se retrouve enfermée, seule face à son assiette et sa maladie.   Sarah aborde ici l’évolution de sa relation avec la nourriture, avec le sport et avec son corps. Elle nous confie comment elle apprend aujourd'hui à conjuguer avec cette maladie qui laisse des traces.  C’est un sujet qui vous avait beaucoup plus dans le premier épisode d’Hystériques, j’espère que ce nouveau témoignage vous apportera également beaucoup d’aide et de soutien !  

Alors que les hommes avaient le monopole de la décision de divorcer il y a encore quelques décennies, désormais les femmes sont à l'origine de 75 % des demandes de divorce. Malgré la souffrance, la pression économique, elles n’hésitent plus à défaire leur vie pour mieux la refaire, à se séparer pour se réparer. Mais parfois, tout ne se passe pas comme on l’espérait.      Aujourd’hui pour en parler je suis super heureuse d’accueillir Sofia, jeune autrice du livre « De l’alliance au bracelet électronique ». Dans cet épisode Sofia nous raconte comment elle a pris la décision de partir, de divorcer et ce malgré son deuxième enfant qui arrivait. Une décision qui n’est jamais simple à prendre, d’autant plus lorsque l’on se retrouve délaissée par un système judiciaire défaillant.      Je laisse Sofia vous raconter son histoire et je vous souhaite une très bonne écoute !  Pour retrouver Sofia sur Instagram : @sofia_belabbas  Acheter son

Le sujet est encore tabou et très peu documenté. Pourtant, on estime que les mineurs sont les premières victimes des violences sexuelles. On compte 20 000 mineurs victimes de violences sexuelles en France en 2020, dont 78% sont des filles. Le sujet questionne autant qu'il révolte d'autant qu'il pourrait être largement sous-estimé. En effet, il semblerait que la réalité soit difficile à évaluer car toutes les victimes ne sont pas en mesure d'en parler et de porter plainte. Il existe de nombreuses raisons à cela : les victimes n'osent pas en parler, elles sont psychotraumatisés, elles étaient trop petites, pensaient que ce n'était pas si grave ou encore parce qu'elles ont fait l'objet de menaces de la part de leur agresseur...    Dans cet épisode, Victoria nous raconte son enfance : comment elle vit de ses 6 à 14 ans sous l’emprise de son agresseur, qui était pourtant un ami de ses parents, comment elle réussit à prendre conscience de l’ampleur de la situation

 « Le jour de l’accouchement, ce n’est pas seulement l’enfant qui va naître. C’est la mère aussi. C’est extrêmement bouleversant, c’est l’expérience la plus intense à vivre dans une vie. Et pour cela les femmes doivent être informées, accompagnées, soignées et chéries »   Cette période si sensible appelée également postpartum, trop longtemps oubliée, dénigrée, délaissée, et qui pourtant concerne pratiquement la moitié de l’humanité et ce depuis la nuit des temps.  Alors aujourd’hui pour aborder ce sujet, je suis super heureuse d’accueillir Ève. Jeune réalisatrice du premier documentaire sur l’après. Une série imaginée alors qu’elle était enceinte de 7 mois et qu’elle n'y connaissait rien à la maternité, pour déconstruire l’utopie construite autour de la maternité.      Elle s’engage dans cette expérience à 25 ans, comme on pourrait sauter en parachute, sans parachute. Après son accouchement et en vivant le tabou et l'isolement qu'o

Dans cet épisode, j’ai le plaisir de recevoir Bettina : une jeune femme de 30 ans, mariée, sans enfant et qui n'en veux pas. C'est très certainement cette décision, a priori controversée, qui l'a entraîné vers le militantisme. Lorsqu’elle s’est mariée, elle raconte qu’on a commencé à me demander combien d'enfants elle et son mari allaient avoir. Pas s’ils comptaient en avoir, mais quand.     En mai 2019, elle publie son premier essai intitulé Childfree - je ne veux pas d'enfant, dans lequel elle aborde toutes les raisons pour lesquelles elle refuse d'être mère tout en déconstruisant les nombreuses réactions virulentes.      Elle a créé en parallèle le compte Instagram du même nom, qui recueille témoignages, avis, réflexions et pensées en tous genre concernant les diktats que nous subissons à cause d'une société encore bien trop sexiste.    Ensemble nous allons parler du désir ou non de maternité mais également de tous les combats qu

Si Capucine n’a que 21 ans, son histoire est déjà marquée par de douloureux épisodes. En effet, de ses 15 à 18 ans, elle fréquente un garçon du même âge. Malgré leur jeunesse, la relation est toxique : lui, violent, abuse physiquement, sexuellement et mentalement de l’adolescente. Elle admet aujourd’hui qu’elle était complètement sous son emprise et qu’elle a compris, à travers sa terrible expérience, à quel point il était difficile pour les victimes d’en parler.  C’est donc en 2020 qu’elle décide de lancer son propre média engagé sur Instagram sous le nom de Ovaire the Rainbow.   Elle exprime ici un problème qu’on ne mentionne jamais : les violences conjugales à l’adolescence. Car si au premier abord on peut penser que ce genre de situation n’existe que dans les relations adultes, la réalité est tout autre. C’est un phénomène plus que répandu aujourd’hui, mais dont on entend très peu parler. La plupart des victimes garde le silence, se

Très peu le connaissent, très peu en parlent et comprennent sa signification, et pourtant le syndrome des ovaires polykystiques (ou plus communément appelé le SOPK) est aujourd'hui la première cause d'infertilité dans le monde. On estime qu’en France, une femme sur deux concernée n’est pas diagnostiquée. Un chiffre vraiment choquant. Car au-delà de impact direct sur le quotidien des femmes touchées à travers des symptômes diverses, le SOPK a aussi un impact sur la santé sur le long terme qui ne doivent pas être ignoré.     C’est pour quoi il est primordial aujourd’hui de libérer la parole sur le sujet et d’informer.      Aujourd’hui pour en parler j’ai le plaisir d’accueillir Eva, qui a créé avec sa sœur un compte Instagram dédié au bien-être des femmes touchées par le SOPK. Toutes les deux touchées par ce syndrôme, elles ont passé de nombreuses heures à se documenter sur le sujet, tester de nombreux compléments alimentaires, de méthodes contraceptives et

Un jour un patient m’a dit « c’est bientôt le week-end, vous allez pouvoir nettoyer votre maison », un autre m’a déjà demandé si je pouvais venir le masser en maillot de bain chez lui le week-end prochain, ou encore un jour je me suis vue refusée un poste sous prétexte qu’il y avait déjà trop de minettes dans l’équipe.      Voilà le genre de témoignage que l’on peut lire sur le compte Instagram de Clémence dans lequel elle regroupe tous les messages qu’elle reçoit de jeunes femmes travaillant dans le milieu de la santé et qui tout comme elle, ont découvert avec malheur à quel point les propos et violences sexistes étaient omniprésents.   Dans cet épisode, elle nous parle de ses débuts de carrière en tant que jeune kiné, ses premiers stages, son premier CDI à l’hôpital mais aussi les remarques sexistes et déplacées auxquelles elle a été rapidement confrontée, comme une femme sur deux en France. Clémence se retrouve partagée entre la peur de ne pas

Tiffanie à 29 ans, un copain, des amis, une vie stable et bien installée à Nantes. Il ne manque plus qu’un joli bébé pour cocher toutes les cases. Mais seulement voilà, Tiffanie fait partie de ses 4,3% de femmes en France qui ne veut pas d’enfant. Un choix encore mal compris et souvent jugé par la société, qui en fait un tabou.   Tu n’as pas peur de le regretter ? Tu ne penses pas que c’est égoïste ? Et tes parents, ils ne sont pas tristes de ne pas avoir de petits enfants ? Tu n’as pas peur de te retrouver seule quand tu seras vieille ? Tu auras surement le déclic plus tard, ça viendra… Autant de remarques auxquelles les femmes, qui dès qu’elles ont passé la trentaine, sont confrontées quotidiennement.      Dans cet épisode, Tiffanie nous raconte l’évolution de son rapport à la maternité : son désir d’enfant lorsqu’elle était jeune, sans réellement se poser de questions, sa volonté de tout lire, tout savoir sur la grossesse quand elle a appris q

Marie a 29 ans, maman d’une petite fille de 4 mois, elle enseigne le Yoga à Paris. Une pratique qui n’est pas venue par hasard dans sa vie, et qui est arrivé à un moment où elle en avait plus que besoin. En effet, en 2017 Marie vit une relation toxique sans pouvoir trouver d’issue. Elle perd à ce moment-là vie toute estime de soi, et se réfugie dans le yoga.   C’est une fois qu’elle trouve la force de sortir de cette relation qu’elle décide d’écouter sa petite voix et de changer complètement de vie. A 27 ans, elle quitte son travail, et pars se former au Mexique pour devenir professeure de yoga.   Depuis, elle aide les femmes qui ont perdu l’estime d’elles-mêmes suite à une relation difficile, à avoir un nouveau regard sur elles.  Dans ce nouvel épisode, Marie nous raconte son histoire : comment elle s’est retrouvée dans une relation toxique et violente, le cheminement pour réussir à s’en sortir, oser dire stop et enfin l’aprè

On estime que 30 à 40% des femmes atteintes d’endométriose rencontrent des problèmes de fertilité dans leur vie. Quand on sait qu’on met en moyenne 7 ans à la diagnostiquer, on imagine la souffrance autant physique que psychologique que doivent endurer les malades.      Marie fait partie de ses 40% de femmes qui a découvert sa maladie alors qu’elle avait décidée de fonder sa famille. A 26 ans, après des années d’essais sans résultats, de douleurs, d’examens, et d’errances médicales on lui diagnostique enfin une endométriose. Elle comprend alors que le chemin vers la maternité ne sera pas une évidence pour elle : Procréation Médicalement Assistée, Fécondation In Vitro, opération… Aujourd’hui Marie doit faire face à des choix qui lui permettront, sans véritable certitude, de tomber enceinte.   Vous l’aurez compris. Aujourd’hui on va à nouveau parler d’endométriose. Cette maladie, silencieuse, invisible derrière laquelle se cache souvent des douleurs profondes et u

En 2020, 102 femmes ont été tuées par leur partenaire ou ex-partenaire. Parmi elles, on estime que 35 % étaient victimes de violences conjugales.       Des histoires souvent invisibles après lesquelles ces femmes doivent se reconstruire malgré une violence inouïe. Anaïs fait partie de ses 230 000 femmes victimes de violences conjugales. Pendant 10 ans, elle vit en silence, sous l’emprise d’un homme qui la bat : pression psychologique, violences physiques, allers-retours aux urgences… Anaïs est emprisonnée dans cette relation toxique, sans aucun moyen de s’en échapper.   En partie certainement car le principe même de l’emprise est que la victime est incapable de prendre la mesure de la violence qu’elle vit. Mais comment identifier cette violence, quand on est soi-même aveuglée et délaissée par un système judiciaire défaillant ? Comment oser dire stop, et s’échapper des coups ? Et surtout, comment se relever et se reconstruire après 10 ans de violences

Depuis 1975 en France, grâce à notre chère Simone Veil, les femmes ont le droit d’avoir recours à l’interruption volontaire de grossesse (ou l’IVG). Ce droit fondamental qui nous permet d’avoir le choix, et de renoncer à des grossesses non désirées. Aujourd’hui, 220 000 avortements sont pratiqués chaque année en France, soit près de 30% des femmes qui avortent au moins une fois dans leur vie et quel que soit le moment de leur vie.  Il y a quelques mois, Faustine est tombée enceinte, alors que ce n’était pas le bon moment pour elle. Et comme ces 220 000 femmes, elle a dû prendre une décision douloureuse pour elle et son couple : celle d’interrompre volontairement sa grossesse.   Dans cet épisode, elle prend son courage à deux mains et nous raconte son parcours pour avorter : ses inquiétudes, ses doutes, l’impact psychologique de l’avortement, le suivi médical parfois inexistant et surtout, l’après : comment se remet-on d’une telle expérience

Claire a tout pour elle et tout lui réussi dans la vie : pétillante, entrepreneure à succès dans la mode éthique, grande sportive, adoratrice des voyages, et par-dessous tout maman d’un petit Roman de 6 ans. Du moins c’est le portrait que je me faisais d’elle avant de discuter de son parcours de mère. Parce que si Claire a l’habitude des interviews, c’est bien la première fois qu’elle accepte de partager son histoire intime de cette façon.  En effet, pour elle comme pour 23 millions de femmes, le chemin de la maternité, est à la fois synonyme de bonheur au quotidien, mais est aussi d'épreuves. Maman solo à 30 ans, fausse couche à répétition, grossesse extra utérine, ablation de la trompe… Dans cet épisode, Claire lève le voile sur ces moments douloureux que vivent aujourd’hui près d’1 femme sur 4, en silence. Mais encore plus qu’une douleur, c’est un combat à mener vis-à-vis de la société qui en fait un tabou. Elle prend son courage à deux mains

Cet épisode s’inscrit dans un une nouvelle série d’interviews, dans laquelle je pars à la rencontre de femmes inspirantes, engagées et déterminées à faire bouger les lignes. Avec ce nouveau format, je souhaite mettre un coup de projecteur sur des démarches qui me tiennent à cœur, et je laisse la parole aux actrices de la société d’aujourd’hui.   On commence avec Angèle, réalisatrice de 28 jours, un documentaire qui vise à libérer le tabou autour des menstruations et rédactrice en chef de Period, une communauté positive, féministe et inclusive sur Instagram. Deux initiatives qui ont pour objectif commun de lever le voile sur les tabous féminins.    Dans cet épisode on aborde et on déconstruit beaucoup de sujets avec Angèle : le féminisme aujourd’hui, la place des femmes dans la société, la sororité, la libération de la parole, les avancées mais également les freins auxquels elle est confrontée dans son quotidien.  J’espère que

Camille fait partie de ces 10 % de françaises touchées par l’endométriose. Une maladie encore trop méconnue, marquée par le manque de formation des médecins et un diagnostic qui intervient souvent trop tardivement, alors que cette pathologie s'est déjà installée et que les symptômes se sont aggravés.     Si aujourd’hui elle peut mettre des mots sur ces maux, ce n’a pas toujours été le cas. Pendant des années, Camille ignore tout de la maladie à commencer par son nom, et ce malgré ses dizaines de visites chez différents spécialistes. Au début, elle se contentent d'antidouleurs, s’empêche de sortir par peur de faire une crise, se prive de vacances entre copines, et s'efforce difficilement de vivre normalement, mais petit à petit les douleurs deviennent de plus en plus aigües, la détresse grandit et la solitude se fait sentir.   Dans ce nouvel épisode, Camille nous parle des 5 années d'errance médicale auxquelles elle fait face avant que le corps médical puisse enf

Pour Sophie, la chemin de la maternité n’a pas été un long fleuve tranquille : Procréation Médicalement Assisitée, dépression post partum, fausse couche…      Dans cet épisode, elle nous raconte son parcours de mère, loin d’être évident : son désir de maternité déchiré par des protocoles médicaux traumatisants, le manque d’accompagnement et de soutien psychologique, sa lente reconstruction et réconciliation avec son corps, et enfin ses précieux conseils pour toutes les femmes qui souffrent de dépression postpartum      Aujourd’hui, Sophie publie des livres qui s’inspirent de son vécu pour apporter aux femmes l’aide et le soutien qui lui ont manqués lors de sa propre expérience. Des livres traduits et vendus à travers le monde, qui libèrent un peu plus ces tabous liés à la maternité et qui déculpabilisent toutes les femmes qui en souffrent.    Pour retrouver les livres de Sophie : https://linktr.ee/SophieAdriansen  Si

Comme beaucoup de jeunes filles, Raphaëlle a toujours eu un rapport particulier à son corps, dont elle ne supporte pas les courbes. Pendant son adolescence, elle vit obsédée par les calories qu’elle avale. Jusqu’à ce que sa balance n’affiche plus que 36 kilos.     L’histoire de Raphaëlle m’a beaucoup touchée. Dans cet épisode, elle nous raconte comment elle est tombée sévèrement dans l’anorexie et la boulimie, des maladies encore trop taboues aujourd’hui qui concernent pourtant 9 fois sur 10 des jeunes filles, âgées entre 14 et 20 ans. Un parcours qui résonne comme un appel à mieux comprendre, prévenir et accompagner ces troubles alimentaires.      Si cette histoire vous touche autant qu’elle m’a marquée, n’hésitez pas à partager l’épisode autour de vous et mettre 5 étoiles au podcast Hystériques pour me soutenir.   🎙Si vous souhaitez me partager votre histoire : @hystériques.podcast Musique : Icelandic Soulish <

Bonjour et bienvenue dans Hystériques, le podcast qui permet aux femmes de dire tout haut ce qu'elles vivent tout bas. Je m’appelle Clarisse, je suis professeure de yoga et j’ai créé ce podcast bienveillant qui autorise chacune à s’exprimer pleinement, pour une parole plus libre et déculpabilisée. Parce qu’elle a longtemps été considérée comme une névrose féminine, l’hystérie représente aujourd’hui le symbole de la mauvaise prise en charge des troubles féminins par la société. Endométriose, fausse couche, ménopause, surcharge mentale… Dans chaque épisode, vous découvrirez l’histoire inspirante de femmes qui confient comment elles ont réussi à surmonter et à apprivoiser ce qui semblait faire d’elles des hystériques ! Autant de témoignages pour déconstruire les tabous féminins et décomplexer toutes celles qui nous écoutent. Retrouvez-moi sur Instagram : @hystériques.podcast