Amelle se prête au jeu et donne les reines de Dinguerie Room à Yacine Belhousse le temps d’un épisode très spécial.Naître et grandir au coeur de Paris dans l’atmosphère très faubourg d’une rue Saint-Denis où les gens se respectaient et savaient vivre ensemble. Le souvenir des portiers qui guettent et qui protègent, de Madame Rose dont on admire déjà toute petite l’élégance sans connaître le métier qu’elle exerce mais qui va marquer de son empreinte une envie de donner à travers son Art le respect que les ces femmes prostituées méritent. Une maman au grand coeur qui porte le voile et inculque la politesse, la tolérance et le non jugement de l’autre. Venir d’une famille pauvre mais surtout riche d’amour et dans laquelle le peu d’opportunités forge une détermination sans faille, parce qu’on n’a rien à perdre. Les codes appris très tôt qui permettent de bâtir des ponts entre différents mondes. L’humour comme une clé et la scène comme une prise de pouvoir. Les amis, les figures

Amelle reçoit celui qui fait sauter les verrous. La légende vivante. Papy.Le rôle crucial de la considération et l’importance de la singularité. Avoir beau être une légende vivante, se sentir avant tout un accompagnateur artistique chanceux de vivre des aventures humaines. Les rencontres qui marquent, le métier de metteur en scène, l’improvisation théâtrale mais aussi littéraire. L’importance de tester parce que le vrai metteur en scène c’est le public. Être un enthousiaste qui communique son enthousiasme à des gens qui doutent. Une future Papynière à Trappes ou encore le jumelage de la ville de Trappes avec la Comédie Française. L’amour des clowns et des burlesques américains parce que le comique de situation c’est fabuleux. L’importance de maitriser sa respiration au bon endroit et d’être dans le présent avec l’autre, dans l’accident possible. Cette chance de faire du spectacle vivant. La

Amelle reçoit celui qui tient la promesse qu’il s’est faite d’être debout sur scène et de kiffer la vie. Wahid Bouzidi.Passer du théâtre mélodramatique au stand up et y retrouver une famille avec laquelle on vit les meilleurs moments de sa vie, on passe des messages collectivement et on se créé des souvenirs impérissables sur (et hors) scène. Une générosité qu’on apprend à 44 ans à mesurer avec des « non ». L’importance de donner de la force aux autres, au moins pour la première. Un troisième AVC qui change tout avec des parloirs blancs qu’on pardonne mais dont on oubliera jamais la solitude, et cette promesse faite que si on arrive à contredire les médecins en remarchant on kiffera la vie en sortant de l’hôpital. L’amour inconditionnel pour une femme exceptionnelle qu’on veut plus que tout rendre fière. Une renaissance qui fait évoluer ses priorités à base de sport, de semaines ry

Amelle reçoit celui pour qui chacune de ses blagues est un accident, trouvée sur le moment. Louis Dubourg.Une passion pour le stand up née bien avant de monter sur scène. L’impossibilité d’écrire sur commande. Faire ou pas faire une heure telle est la question. Cette horrible première fois sur scène mais après laquelle on décide d’en faire son métier. Le rôle du MC qui permet d’apprendre que le plus important c’est ce qu’on diffuse au public. L’envie d’être anonyme sur scène. Des cheveux qui prennent feu dans la salle. Le podcast Un café au Lot 7. L’enfance, la famille, les sacrifices qu’il faut faire les premières années, l’ego, les dingueries. S’être coupé des réseaux sociaux, ChatGPT ou encore vivre des déclics qui font avancer. On parle de Bill Burr, Patrice O'Neal, Norm MacDonald, Louis CK, David Letterman, Fary, Yacine Belhousse, Pierre Thevenoux, Adrien Arnoux, Paul Dechavanne, Nathan

Amelle reçoit celui pour qui tout le monde est capable de tout comprendre, si on situe la vanne. Haroun.La hantise de l’excès de parole et le besoin de rester en retrait pour se concentrer sur ce qu’on a envie de dire et la façon de clarifier son propos. Le partage de culture gratuite, la responsabilité qu’ont les humoristes de leurs blagues et la façon dont les gens en rient. La sur-bienveillance derrière laquelle se cache souvent du mépris. Avoir à coeur de parler de sujets sociétaux avec des références populaires. Aimer par-dessus tout l’écriture. L’acmée et comment se renouveler et faire mieux que le spectacle précédent. L’importance de s’intéresser aux générations qui suivent. La folie et la démesure des années 80. Les classiques de comédie avec des dialogues qui font la différence. Dans le désordre on parle de Jean-Pierre Bacri, Agnès Jaoui, Yacine Belhousse, Alex Vizorek, Rédouane Bou

Amelle reçoit celle pour qui il est important de ne pas oublier que si l’on s’amuse, les gens s’amusent. Virginie Hocq. Ces imprévus sur scène où le corps nous rappelle qu’on est juste humain. L’importance de la valorisation et de ne pas casser dans l’oeuf le désir de créativité. Se souvenir de tous les gens qui nous ont porté à un moment. Avoir depuis le premier jour conscience qu’on est toujours le plus petit de quelqu’un. Le théâtre, cette fondation acquise à l’Académie et au Conservatoire. Être remplie de doutes mais choisir la liberté. L’emploi du temps de maman dans lequel on a parfois l’impression d’être au cirque et de faire tourner des assiettes sur des baguettes. L’importance d’être curieux et d’avoir plusieurs cordes à son arc. Le besoin d’incarner les choses. L’empathie, la reconnaissance, l’amour des spectateurs qu’on aimerait pouvoir serrer dans ses bras. Les moments de grâce sur scène… On parle de Denise Gray, Vincent Taloche, Victor Scheffer, Blanche Gardin, Gad Elmaleh

Amelle reçoit Mustapha El Atrassi. Les adieux sur scène à la scène. La stigmatisation de l’Islam. Le prix et les fruits d’une indépendance totale. L’amour inconditionnel pour la grande Khadija El Azzouzi. Être sur scène comme dans la vie. Le public et l’impact de sketchs dans la vie des gens. Jacques Brel. Chris Rock. Il était une fois dans le Bronx… Et partir la tête pleine de souvenirs après avoir vécu des moments extraordinaires sur scène. Bienvenue dans une dinguerie plus qu'exceptionnelle. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Amelle reçoit celui qui aime dans le stand up son instantanéité. Pierre Thevenoux. La première fois qu’on réalise qu’on peut gagner de l’argent en faisant ce qu’on aime et que ça a de la valeur. Les clubs où une palette fait office d’estrade, les chichas où en plein milieu de son passage le DJ peut envoyer un son gyrophare. Les bides jazzy ou cette sensation d’avoir craquer le code quand les blagues marchent. Aimer par-dessus tout écrire et aller tester. La salle de sport qui permet de se sentir en forme parce que dans le métier c’est tous les soirs samedi. L’importance de savoir se dire « c’est bien » sans tomber dans la catégorie des non lucides, et de garder une vie sociale en dehors du métier. Le ski qu’on commence à 33 ans en mode flocon. Le côté positif du stand up où on peut faire tout tout seul et à son rythme mais aussi son versant loup solitaire. Les chroniques à la radio, les dingueries heureuses et moins heureuses sur scène. La famille, les potes et la journée parfaite qui

Amelle reçoit celle qui aime voir la transformation que l’art peut provoquer chez les gens. Tahnee. Rêver secrètement de faire du stand up et tout en devenant une ingénieure se lancer pour vivre de sa passion. L’importance de parler sur scène de choses qui touchent et dont entend pas assez parler. La sous-représentation des femmes dans le stand up qu’on combat en créant un plateau safe, féministe et solidaire dans lequel la communauté LGBQI+ a la place qu’elle mérite. Les rencontres précieuses qui donnent la confiance et la force, l’importance de la transmission. La famille, les racines, le métissage d'un papa guadeloupéen et d'une mère ch'ti qu’on vit et qu’on éclaire. La Guadeloupe, la Normandie mais aussi la Touraine. Le besoin d’être en mouvement pour stimuler sa créativité, l’attente interminable derrière le rideau avant la rencontre avec le public et la musique qu’on aime entendre quand les gens s'installent dans la salle... Mais aussi et surtout le bonheur des moments où l’on pr

Amelle reçoit celui qui depuis toujours ne laisse rien au hasard. Merwane Benlazar. Des ateliers extra-scolaires dans le préfabriqué du collège où les cours d'impro théâtrale, parties de Loups-garous de thiercelieux et de RISK font naître une vocation et construisent un mental. L’importance des déclics qui font à chaque fois franchir une étape. La première scène à 16 ans, se sentir aujourd’hui validé par des pairs qu’on admirait quand on était petit. Le rôle du MC aussi formateur qu’impitoyable. La mécanique du C’est comme ou ce précieux troisième oeil qui pousse à supprimer ce qu'il faut. La sagesse et le recul que la religion inssufle. Le bide, ce bizutage qui dure dans le métier pendant des années. Avoir été ce pion au collège qui tout va tant que les élèves font travailler leur cerveau. Le super pouvoir de se déplacer dans les airs. Les moments de grâce, sur scène ou sur son canapé après avoir regardé un spécial qui réveille tous les sentiments qu’on a en soi. Mais aussi la famille

Amelle reçoit celui qui fuit au maximum la gravité et le sérieux. R. Jonathan Lambert. Débuter à 19 ans dans une émission de télé à l’ancienne comme on l’aime, puis n’avoir qu’une envie : celle de rejoindre de grands débiles qui s’éclatent dans l’immeuble d’en face. Le tournant des premiers sketchs écrits de manière professionnelle et le souvenir impérissable de la première scène comme d’un dépucelage heureux. La perte d’un père qui fuyait comme la peste la gravité et le premier degré, et l’ajout de ce petit R comme d’un clin d’oeil qui lui est envoyé. Être un caméléon qui aime surprendre, utiliser un langage châtier puis sortir de nulle part un truc bien trash mais au bon moment. Le moteur de se remettre en question en permanence et cette validation qu'on cherche encore. Être animé par l’envie de faire du bien et par la curiosité. Les dingueries heureuses et celles moins heureuses sur scène. L’amour de la musique, dans laquelle en mode rouflaquettes et cheveux longs on se voyait à 17

Amelle reçoit celui qui a su prendre le chemin de la liberté. Waly Dia. Avoir été très vite plongé dans la marmite en mode stage d’entreprise filmé. Les écueils des débuts où les codes enferment et font plus de mal qu’autre chose. Le déclic qui libère et conduit aujourd’hui à être aligné avec soi-soi-même et de tout assumer, même les erreurs. La promesse de dire tout le temps, très fort et en rigolant ce que beaucoup n’aiment pas entendre. Devenir père et ne plus parler de carrière mais d’héritage. Le trac le mois d’avant, les plateaux, Avignon, Twitter. L’importance de lire et de s’instruire pour se forger un avis. Qu’on le veuille ou non, être un exemple et faire le choix d’en être un bon. Combattre le système tout devant en faire partie et y survivre. Les belles dingueries qu'on savoure et celles moins cool qu'on gère. Avoir la conscience de son corps sur scène grace à la danse. Les rencontres, les parents, la transmission et cette scène où l’on est libre… On parle du Jamel Comedy C

Amelle reçoit celui qui déclenche tout en élégance rires de cerveau et rires de ventre. Alex Vizorek. Aimer les alexandrins et avoir commencé l’humour au cours Florent, 90 euros les mieux investis de sa vie pour participer à un stage et y rencontrer sa mère de théâtre, l’importance de l’exigence et de l‘élégance au travail ou encore encourager les parents à emmener leurs enfants aux spectacles car il s’y passe épidermiquement parlant quelque chose. Le point commun entre humoristes et pilotes d’avion, faire du stand up même quand on porte une chemise, un micro casque et des chaussures de ville, utiliser tous les sens sur scène, excepté l’odorat qu’on n’a pas. Avoir pris du père la fibre artistique et de la mère la rigueur, la sensation d’avoir un rdv amoureux avec le public et pour lequel on se prépare. Ce plaisir d’apprendre qui permet de déboucher les canaux intellectuels, pouvoir formuler qu’on est quelqu’un d’heureux. Aimer les théâtres, les loges, le velour mais aussi aller en come

Amelle reçoit celui pour qui qu’importe l’endroit pourvu qu’il y ait un micro et un public. Reda Saoui. Ce premier contact avec l’humour à 9 ans grâce à une VHS qu’on n’oublie pas. Le Montréal doux et crémeux, le Paris vif où l’on se retrouve si bien humoristiquement parlant et où la connexion avec le public est immédiate. Ce plaisir d’écouter les bribes de phrases des gens qu’on croise en marchant dans la rue. Aimer être entouré de gens passionnés. Le métier, si dur et si beau à la fois. La famille et l’importance de ne pas tout sacrifier pour passer du temps avec ceux qu’on aime et voir les choses autrement. La vibe qu’il faut puiser dans la vérité du moment. La méditation, l’écriture, la validation, les rituels, les souvenirs… Mais aussi le Festival Juste pour rire, le Barbès Comedy Club, le Paname, l’Olympia, la Taverne de l’Olympia, l’Européen, La Scala, le Madame Sarfati, le Fridge, le Montreux Comedy Festival, la Place des Art et sa salle Wilfrid-Pelletier. On parle de Bun Hay M

Amelle reçoit celui qui aime mettre de la poésie dans le quotidien. Élie Semoun. Laisser libre cours à la part d’enfant qui est en soi, devenir à 11 ans orphelin d’une mère professeure de Français et savoir depuis faire rire avec le tragique. Une rencontre qui se transforme en coup de foudre amical. Les souvenirs sur scène, gravés à jamais. La création de personnages devenus des classiques. Le stand up, qui s’est complexifié et profondifié. Les tics verbaux qui agacent. L’importance d’être chic sur scène par respect pour le public. L'art des humoristes de savoir porter un regard sur la société et sur l’être humain. La ringardise comme une forme de paresse. La poésie, l’écriture, l’opéra, la musique, l'amour… Mais aussi Ducobu, l’Âge de glace, les Inconnus, Coluche, Dieudonné, Mehdi El Glaoui, Elie Kakou, Dany Boon, Pascal Légitimus, Jean-Marie Bigard, Gad Elmaleh, Hakim Jemili, Romane Frayssinet, Alain Chabat, Gérard Ouri, Florence Foresti, Guy Bedos, Raymond Devos, Alex Métayer, Fary,

Amelle reçoit celui pour qui arrêter de faire du stand up serait un crime. Urbain. L’amour inconditionnel du stand up, le déclic, la culture US, les premières scènes, le bide qui transcende la barrière de la langue. Le poids de la tradition française qui déprime alors que Molière était un punk à son époque. Être dans une période de sa vie où on met un peu d’eau dans son vin et où l'on comprend que les trucs qu’on déteste marchent. Des impros sur scène qui peuvent être vues par des millions de gens. Une histoire de nude sur Insta. La chance dans ce métier de pouvoir devenir toujours meilleur. Les séquelles du confinement. Le metaverse... Mais aussi Kyan Khojandi, Smaïn, Robert Lamoureux, Haroune, Pierre Desproges, Coluche, Alban Ivanov, Dieudonné, Ahmed Sylla, Louis CK, Chris Rock, Eddie Murphy, Jamel Debbouze, Sebastian Marx, Blanche Gardin, Adrien Arnoux, Laurent Moreau, Antoinette, Molière, Booba, Renaud, Brassens, Romane Frayssinet, Kader Aoun, Aude Galliou, Pierre Thévenoux, Louane

Amelle reçoit celui qui conçoit sa vie comme les chapitres d’un même livre. Tareek. La magie de la première fois sur scène après qu’un pote se soit improvisé producteur. Arrêter net pour poursuivre ses études de médecine et puis fonder une famille. La radio en parallèle des études qui amène à renouer avec la scène des années plus tard après avoir trop vu les autres faire ce qu’on aime. Les rencontres qui marquent, qui durent et qui changent la vie. L’importance dans le stand up d’être sincère et de ne pas s’inventer une vie. Ce moment charnière où la perte de l’être le plus cher rend tout le reste surmontable. L’importance des livres qui ouvrent l’esprit et aident en impro à avoir plus de mots et de références avec lesquels jouer. Les anecdotes joyeuses et moins joyeuses sur scène. La mise en scène, cet objectif depuis le début. L’amour inconditionnel pour sa petite fille débordante de créativité et qui connaît les plateaux par coeur. On parle de Booder, Kader Aoun, Samia Oroseman, Phi

Amelle reçoit celle qui dit tout haut ce que beaucoup n’osent pas se dire tout bas. Tania Dutel. L’importance de se mettre des dead lines dans les dead lines, la bonne tournure pour une vanne qui peut arriver direct mais aussi prendre des mois. Le plaisir de trouver un sujet et de se lancer dans les recherches pour le maîtriser. La sensation aussi vertigineuse qu’incroyable de jouer pour la première devant un public qui vous écoute. Aimer plus que tout la scène, le contact avec les gens et se voire faire ce métier toute sa vie. La manie de tourner en rond avant de monter sur scène, jamais sans son carnet. Parler de choses qui touchent à l’intime et qui peuvent mettre mal à l’aise. Une caméra cachée qui n’en est pas une, la gestion des bides, du rythme effréné des plateaux… Mais aussi Jason Brokerss, Yacine Belhousse, Shirley Souagnon, Fanny Ruet, Sophie-Marie Larrouy, Vérino, Kyan Khojandi, Franc Dubosc, Mustapha El Atrassi, Wahid Bouzidi, le Grand Rex, l’Européen, le One More, Pleyel,

Amelle reçoit celui pour qui le rire est une note, un accord. Smaïn. Avoir été bouleversé à 9 ans en voyant au cinéma un adulte faisant l’enfant, Jerry Lewis. Perdre trop tôt ses êtres chers mais s’interdir depuis toujours de se plaindre. Le pouvoir de validation de la télévision, qui change la vie. L’importance des rencontres, de l’histoire et du contexte. La conviction qu’être un artiste n’est pas un statut mais une urgence. La vis comica et le précieux muche muche. Le plaisir de partager et de réunir, la sensation extraordinaire de s’échapper sur scène. Les dingueries heureuse et celles moins heureuses. La passion grimaces ou ce besoin absolu de l’étonnement… Mais aussi Michèle Morgan, Isabelle Adjani, François Mitterrand, Blanche Gardin, Les Inconnus, Alexandre Arcady, Gad Elmaleh, Coluche, les clowns Les Bario, le chansonnier Pierre-Jean Vaillard, Booder, Alban Ivanov… et ce fabuleux West Side Story ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Pour le plaisir, retour sur quelques-uns des moments forts partagés avec des passionnés qui nous ont régalé cette saison. Aujourd’hui, extrait de la Dinguerie Room de Kyan Khojandi.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Pour le plaisir, retour sur quelques-uns des moments forts partagés avec des passionnés qui nous ont régalé cette saison. Aujourd’hui, extrait de la Dinguerie Room de Laura Domenge.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Pour le plaisir, retour sur quelques-uns des moments forts partagés avec des passionnés qui nous ont régalé cette saison. Aujourd’hui, extrait de la Dinguerie Room de Jason Brokerss.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Pour le plaisir, retour sur quelques-uns des moments forts partagés avec des passionnés qui nous ont régalé cette saison. Aujourd’hui, extrait de la Dinguerie Room de Djamil le Shlag.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Pour le plaisir, retour sur quelques-uns des moments forts partagés avec des passionnés qui nous ont régalé cette saison. Aujourd’hui, extrait de la Dinguerie Room de Shirley Souagnon. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Pour le plaisir, retour sur quelques-uns des moments forts partagés avec des passionnés qui nous ont régalé cette saison. Aujourd’hui, extrait de la Dinguerie Room de Jamel Debbouze.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Pour le plaisir, retour sur quelques-uns des moments forts partagés avec des passionnés qui nous ont régalé cette saison.  Aujourd’hui, extrait de la Dinguerie Room d’Alban Ivanov.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Pour le plaisir, retour sur quelques-uns des moments forts partagés avec des passionnés qui nous ont régalé cette saison. Aujourd’hui, extrait de la Dinguerie Room d’Inès Reg. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Pour le plaisir, retour sur quelques-uns des moments forts partagés avec des passionnés qui nous ont régalé cette saison. Aujourd’hui, extrait de la Dinguerie Room de Gad Elmaleh. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Pour le plaisir, retour sur quelques-uns des moments forts partagés avec des passionnés qui nous ont régalé cette saison. Aujourd’hui, extrait de la toute première Dinguerie Room, celle de Yacine Belhousse.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Amelle reçoit un amoureux des mots qui marche à l’adrénaline et au défi. Certe Mathurin. Être un passionné à la fibre entrepreneuriale qui arrive à concrétiser les projets les plus fous avec un objectif en tête : créer pour soi et pour les autres des souvenirs. Le stand up déjà présent dans un restaurant monté à 24 ans à la grinta avec les potes de toujours, les premiers pas sur scène et le déclic de ne jamais la quitter. Le souvenir des boulots cumulés pour vivre sa passion. Les rituels, la double casquette humoriste-producteur, l’envie farouche d’emmener avec le One More Joke le stand up dans des endroits où on n’a pas l’habitude de le voir. La famille, les points dans la vie qui finissent par se relier, la fierté et le profond respect pour une maman qui sait que son fil fait pas graine à tintin. L’amour pour un métier qui permet d’apprendre, de rencontrer et de voyager. Le besoin viscéral de se sentir utile et de faire des choses pour les autres. Les racines haïtiennes, les échecs q

Amelle reçoit celui qui dès les enfants couchés prend son scooter, sa cape de Batman et va faire rire les gens. John Sulo. Avoir compris très tôt qu’on est responsable de son bonheur, vivre pour se créer des souvenirs, vouloir depuis toujours un travail dans lequel la liberté de temps et de choix sont de mise et se sentir aujourd’hui vivant en écrivant des blagues tout en passant du temps avec ses enfants. Découvrir son père à 30 ans en voyageant avec lui, avoir reçu dans son émission une des plus grandes stars africaines et créé avec elle un échange inter-générationnel avec son gars sur, le daron. Une date qui se transforme en voyage pères-filles de pur kiffe, monter sur scène et se prendre tel Gandalf une vague de rires, avoir le sens de l’observation des autres sur scène et comprendre la musique, le tempo. Organiser des plateaux et jouer via les pôles jeunesses dans des villes qui ont autant besoin de musique que de rigoler. Le souvenir d’une première avec la salle quasi remplie de

Amelle reçoit celui dont la soif d’être dans l’action est insatiable. Hakim Jemili. La première expérience de scène qui a demandé de se mettre des patates pour dépasser la peur, le « super, sublime, excellent » parti d’un délire qu’on finit par relier à ce qu’on est. Être depuis petit un électron libre, avoir besoin de s’occuper l’esprit et de travailler non stop pour se sentir vivant et évoluer le mieux possible dans le métier. Le gang du Woop providentiel avec lequel tout démarre et que les plus beaux souvenirs sont créés. Avoir sans se forcer des atomes crochus avec à peu près tout le monde, des amis d’enfance toujours présents et de vrais frères dans le métier. La passion fripes, le Filet O fish, le vrai et l’unique Kebab. L’importance des défauts chez les humains qu’on aime le plus, ou celle dans le métier de commencer par être marrant devant un public. Le bonheur d’être aussi bien entouré, d'être papa, la responsabilité d’avoir une tribune sur les réseaux sociaux, faire passer de

Amelle reçoit celui qui fonctionne à l’instinct et pour qui l’humour a un pouvoir salvateur. Maxime Gasteuil. Le souvenir enfant assis sur le tapis du salon à regarder des spectacles en boucle avant de visualiser dans son sommeil une foule qui éclate de rire, ou celui des bulletins scolaires qui attestent qu’on est plus intéressé par l’effet produit sur ses camarades que par le cours. L'arrivée à Paris, une audition avec le synopsis d’un épisode de Josephine Ange Gardien, l'écriture seul puis avec le co-auteur de toujours qui range la chambre. Un passage à Avignon où le fond de scène est un portail de garage, être assis sur un trottoir à Paris devant 10 personnes ou dans un ancien pipe show devant des CE éméchés. Ce chemin parcouru avec des moments de souffrance qui apprennent l’importance de croire beaucoup en soi et de savourer pleinement aujourd’hui de jouer dans de beaux théâtres et de remplir des Zéniths. L’idole de toujours, le daron. L’importance de l’entourage solide, le bonheu

Amelle reçoit celui pour qui sacraliser certains instants est important. Baptiste Lecaplain. Être un hétéro-curieux et revoir Top Gun en se disant qu'à moto sans casque Tom Cruise aurait dû se prendre tellement de moucherons, l'une des meilleures périodes durant laquelle on jouait 5 fois/semaine son spectacle et le lundi jour off on s’éclatait en direct sur Comedy+. Jouer aujourd’hui son 3ème spectacle tout en ouvrant The Joke, un comedy club dans une rue semi-piétonne avec plein de copains qui viennent. Le rodage, ce moment où l’on est très à poil et qu’on met son ego de côté en se disant qu’on sera peut-être pas celui qui va le plus cartonner mais qu’on va avancer. Aimer écrire dans des carnets (Conquérant puis Moleskine). La douce dinguerie de voir son père content dans les loges de l’Olympia ou celle de réaliser que quand ses parents sont dans la salle il n’y a eu aucun mauvais soir. Adorer se poser dans la loge avant le spectacle après les 2 heures incontournables de sport et ritu

Amelle reçoit celui pour qui l’humour, celui qu'il aime, est toujours fait de bonnes intentions. Louis Chappey.  Les premiers pas dans le stand-up, l’image de l’humour français ces 10 dernières années, le plateau qui va bien au-delà du moment où l’on joue ou l’importance de kiffer tous ensemble tout en parlant de ce qui se passe autour de nous. On parle aussi de la culture du travail et de la performance qui peut amener à se sentir No Life, ou celle d'aimer les challenges comme celui de jouer lors d'une même soirée devant 3 publics si différents et kiffer les faire rire à chaque fois. Le souvenir d’un petit cauchemar né d'un lapsus sur scène, celui plus joyeux d’une montée d’adrénaline qui fait ne plus voire le public... Tenir le rôle de MC qui doit parfois s’imposer, la conviction qu'on n'est pas obligé de prendre un ton dramatique quand on adresse des choses dramatiques et d'utiliser une énergie comique. La vérité derrière un flow qui fait parler, la Metaverse, préfèrer le « Putain,

Amelle reçoit celle pour qui le stand up c'est de la philosophie moderne. Rosa Bursztein. Ce frisson que l’on ressent sur scène où l’on a l’impression d’être sa meilleure personne, une rencontre fortuite sur fond de cookies qui inspire et perdure, l’importance de la validation, le stand up qui parfois joue des tours mais qui rajoute du sens à la vie. Une éducation qui ne prédestinait (surtout pas) à être humoriste, cette quête de sincérité qui peut aussi amener à dévoiler devant une salle entière toutes les choses que l’on cache normalement au début d’une relation, être un Mensch (qui n’est apparemment pas à le cas de tout le monde)… Le succès (mérité) du podcast « Les mecs que je veux ken » qui grandit et prend aussi la forme d’un livre, d’un plateau et qui sait peut être d’une série (on croise les doigts) ! L’amour, le trac, ce rituel le jour de spectacle de se préparer mieux que pour une date, les dimanches toujours un peu glauques en mode post-partum. Des virées new-yorkaises qui f

Amelle reçoit celui qui espère pouvoir faire du stand up jusqu’à ce qu’il en crève. Dédo. Les premières auditions à 19 ans, il y a bientôt 25 ans ; Le Café de Flore où l’histoire d’une troupe devenue iconique a commencé, dans laquelle comme par miracle chacun a naturellement trouvé sa place et a appris le game à l’ancienne ; Ce micro qui a un sens et qui n’est pas là par hasard ; Être marrant tout en ayant du fond parce que faire rire c’est la base mais en faisant réfléchir c’est encore mieux. Le souvenir d’un soir où tout cartonne et qu’un un déclic se produit sur scène, ou celui d’une première partie cauchemardesque au Creuzot mais sans jamais lâcher l’affaire. Aimer confronter directement l’idée avec le public, le meilleur crash test ; Les points communs entre stand uppers comme de se poser des questions que personne ne se pose, de se mettre tellement à nu sur scène que dans la vie la pudeur est vitale. Concevoir le stand up comme une quête spirituelle qui mène à être son vrai soi s

Amelle reçoit celui pour qui continuellement apprendre rend vivant. Nick Mukoko. Une bromance née il y a 11 ans à Montréal ; Une sciatique qui plonge en dépression mais qui permet, aussi, de découvrir que le rire est thérapeutique ; Une première scène qui explose de 6 minutes les compteurs avec succès… Avoir grandi au sein d’une église évangéliste qui ouvre au hip hop et à tellement plus ; Être depuis toujours une tête brulée en mode si j’ai peur d’aller là-bas je vais y aller. Cette envie de bien faire qui peut empêcher le lâcher-prise ; L’importance d’avoir un point de vue et une attitude. L’école du mime, la danse, les claquettes, le saxo, le goût des challenges ; L’importance d’avoir des figures inspirantes ; Le naturel des stand-uppers américains et anglais de remplir l’espace sur scène. Le cinéma. L’expérience du coeur brisé. La croyance en les énergies et en la spiritualité. Les dingueries heureuses et celles un peu moins qui font partie du jeu. Le souvenir impérissable de ses 3

Amelle reçoit celui pour qui le rire est la clé de (presque) tout ce qu’il fait. Thomas VDB. Raconter l’histoire d’un post qui fait la part belle à un flan ; Le Sacred Harp, découvert grâce à l’algorithme Youtube ; Le théâtre de rue, avec lequel on fait ses armes en étant le Monsieur Loyal et en apprennant à rire de soi même sans s’accabler ; Les tous premiers pas sur la scène du Moloko avec un paquet de feuilles dans la poche. L’aisance et la fraîcheur des premières fois ; Une remontée de pavé de saumon en plein set qui se termine en trombe dans les loges ; Aimer quand il se passe quelque chose dans la salle, surtout avec le public parce que c’est avec lui que les vrais accidents arrivent ; Aimer aussi certaines architectures de salles plus que d’autres ou ces moments de grâce qu’on vit dès que l'on monte sur scène ou que l'on entend les rires du public ; La particularité du bide filmé, qui donne envie de se suicider pendant plusieurs mois ; Le pas trac ou ce genre de rituel qui peut

Amelle reçoit celui qui chérit le dandysme et cultive divinement son personnage de loser magnifique. Samuel Bambi.  Aimer le Music-hall, aimer être stylé et avoir l’intelligence de penser que quand quelque chose de mal arrive c’est quelque part pour le bien. Un déclic sur Clique avec des personnages qui ont marqué, comme un Sarko-Henrico face à François Hollande ou un Brice-Hortefeuj face à Rachida Dati. Des origines tunisio-algériennes précieuses qui décuplent ce sens inné de l’humour. La révélation stand up et l’apothéose au Marrakech du rire avec Younes, le processus créatif ou avoir besoin d’être seul quand on rode et qu’on veut pouvoir bider tranquille. Faire la première partie d’Alban Ivanov à l’Olympia. Être piqué à la danse à 5 ans avec Grease qu’on regardera 500 fois, le Moon Walk qu’on maitrise comme personne, l'entrée chorégraphiée à sa Bat Mitsvah, savoir à 17 ans que ce que l’on veut c’est être une star… Le tout comme toujours mêlant si bien premier et second degrés. Les D

Amelle reçoit celui pour qui le but premier d’un humoriste est de faire rire sans gêner ni faire de la peine. Noom Diawara. La face cachée du stand up ou comment se prendre la tête pour un mot, une phrase, une virgule et que ça paraisse naturel, ou encore comment écrire dix pages et n’en garder qu’une. Se lancer sur scène après avoir écrit pour les autres et vu les gens rire. Une virée hollywoodienne entre potes humoristes qui se termine à l’improviste sur la scène du mythique Comedy Store. Le trac avec le cœur qui sort de la poitrine 1 minute avant de monter sur scène puis comme par magie tout s’évapore une fois que les pieds foulent le plancher. Les perturbateurs qui déroutent en plein spectacle, peuvent tout briser à l’intérieur mais qu’on dépasse avec les cartouches qu’on a en tête. L’épopée d’Amour sur place ou à emporter sur grand écran et sur les planches, le souvenir de 5 coupures d’électricité d’affilée que le stand up aide à gérer. Des textes écrits au Starbuck qu’on joue apr

Amelle reçoit celle dont le stand-up éclaire et touche le non-dit, Shirley Souagnon. Transformer la cale d’un bateau en Jardin Sauvage ou créer en famille le Barbès Comedy Club avec les mêmes ondes bienveillantes, écrire, roder sans filet, partir en tournées, vivre des dingueries, monter un campus, réaliser un docu à l’iPhone, participer à des séries qui vont donner des vocations à plein de jeunes… Être en accord avec soi même et s’écouter en décidant de faire une pause pour se retrouver et vivre des choses. L’importance de l’angle avec lequel on va traiter un sujet, le souvenir d’un plateau qui finit en effeuillage ou celui plus douloureux vécu de plein fouet, la liberté de ne plus accepter le politiquement correct… L’éducation, la mixité culturelle, le basket, un disque dur qui fait défiler sa vie amoureuse défiler, la symbolique du pont, le 18ème, le permis de conduire… On parle aussi dans le désordre de Thomas Charpentier, Wafik Kourdoughli, Irène Moati, Jean-Michel Joyeau, Yacine

Amelle reçoit celui qui ne peut pas concevoir une journée sans rire, Alban Ivanov. Partir du postulat que les fous attirent les fous et qu’il faille savoir créer une bulle dans laquelle on ne se prend pas pour ce qu’on n’est pas. Le plaisir des interactions avec le public, qui permettent à chaque fois de découvrir quelqu’un. Les Marrakech du rire qui ont changé la donne, fait se sentir Maximus dans Gladiator et surtout avoir la sensation d’être validé par le public. Être passé de boxeur de rue à boxeur de ring en mettant la forme pour que les gens écoutent. Savoir mettre son énergie où elle doit être, s’ouvrir plus aux autres et sourire. Le théâtre d’improvisation, si précieux et qui ouvre l’esprit. L’Olympia ou la carotte secrète du beau-père. Le rire pour survivre au monde qui nous entoure. L’amour du rap, dans le casque jusqu’au dernier moment avant de monter sur scène. L'importance du groupe, qui donne la force de représenter seul sur scène toute une équipe qu'on aime et qu'on veut

Amelle reçoit celle pour qui la scène a ce pouvoir magique à nulle autre pareille. Camille Lavabre. Les shots d’adrénaline que procure la scène et ce monde parallèle qu’elle peut parfois ouvrir en permettant de se dédoubler - faisant par exemple disparaitre une intoxication alimentaire carabinée le temps du spectacle. Avoir été Miss Météo Canal + et su saisir l’opportunité de faire chaque soir des sketchs en direct, puis revenir dans le game du stand up, de ses plateaux et du trac qui va avec et qui stimule. L’alignement des planètes en 1998, et ce mois en Guadeloupe à travailler aux côtés de collègues qui deviendront une famille… Ce bonheur de vivre la première de son spectacle post confinement, l’importance de ne pas s’arrêter de jouer en comedy club pour entretenir le muscle et l’endurance, parce que le stand up c’est un art mais aussi du sport. Être en mesure de pleinement assumer le fait d’être une (très jolie) femme humoriste et de répondre désormais comme il se doit à des remarq

Amelle reçoit celui qui fait de la bienveillance une réalité et prône l’importance de donner à l’autre SON moment. Kyan Khojandi. Le temps des sushis dans les loges du Jamel Comedy Club, y avoir fait la première partie de Stevie Wonder et déjà là à l'époque Navo au fond de la salle avec l’envie de trouver les meilleures formules de blagues. L’amour du stand up, de sa méritocratie, de la totale liberté qu’il offre en pouvant tout écrire avec l’imaginaire des gens et de l’énergie folle que procure un public heureux après la soirée. Le pouvoir de la validation, rester fragile mais ne plus avoir les symptômes de la peur, la conviction que plus on est détendu plus on détend les gens - et réciproquement, le « Et si? » qui élargit le champs des possibles. La nouveauté qui ne devient plus une nouveauté quand on s’y frotte, l’importance de respirer sur scène et d’avoir un rictus intérieur… Les souvenirs d’enfance, les souvenirs d’adulte, les bienfaits de la campagne, l’amour de la scène, la réu

Amelle reçoit celle qui se sert du rire pour faire réfléchir et qui y parvient si bien. Laura Domenge Le théâtre en mode pro dès l'âge de 10 ans avec les Sales Gosses, le besoin viscéral de liberté et l’amour de la singularité. Sciences Po (ou pas) et surtout la scène où l’on se réalise. Les premiers pas dans le stand up avec la sensation que le coeur va lâcher alors que les autres semblent si détente (ou pas). Les envies de caner qu’on devrait s’avouer une bonne fois pour toute pour lâcher la pression. Le souvenir impérissable du premier spectacle avec le rire des gens qu’on ne connait pas, la dinguerie de faire l’Olympia en début de carrière. Le plaisir que procurent les challenges fixés et dépassés, les surprises que réservent les tournées comme de dormir chez l’habitant dans une cabine d’esthétique avec un pot de cire sur la table de nuit (comble quand on a l'obsession des poils) le tout après avoir joué sur une scène en carrelage de cuisine des années 70. Le processus d’écriture (

Amelle reçoit celui pour qui le stand up est avant tout du partage et le faire ensemble une réalité. Jason Brokerss. Les tout premiers pas au Paname et la rencontre d’une vie avec Fary, la gymnastique cérébrale que le stand up impose et cette conviction que pour devenir très fort il faut profondément avoir envie de vouloir mieux et toujours plus. Cette habitude sur les plateaux de rester au fond de la salle et regarder le passage des autres, ou celle d’esquiver les after-shows pour filer chez soi à moto et retrouver son home sweet home. Les souvenirs aussi fous qu’impérissables de faire partie des premières parties de Fary à Bercy devant 15 000 personnes ou de partager tout pareil pour la dernière de la saison à l’Apollo devant 90 personnes. Le respect qui doit aller dans les deux sens entre l’artiste et le public et la règle de faire rire sans vulgarité parce que les gros mots sont des béquilles beaucoup trop faciles. Avoir eu une enfance heureuse avec bcp d’amour, une petite fille ad

Amelle reçoit celui pour qui peu importe la scène seul le rire des gens compte. Djamil Le Shlag. Une enfance heureuse à Vichy au sein d’une famille nombreuse au sein de laquelle la culture de la vanne est omniprésente, la double identité avec le Maroc à la maison et Marianne dehors, l’arrivée sur Paris où tout est extraordinaire, le challenge déclencheur lancé par les potes (après avoir vu au théâtre Francis Huster en pas Robert De Niro dans pas Il était une fois dans le Bronx)… Le tout premier passage de 10 minutes triomphantes (sans préparation ni cloche de Françoise) auquel s’ensuit un bide incroyable devant les amis et la nièce qu’on a spécialement fait venir, le respect du cinéma forgé par des frères cinéphiles qui font découvrir à 6 ans Vol au dessus d’un nid de coucou, l’âge d’or des années 90 où Cheb Khaled passait en boîte de nuit et les gens s’aimaient bien… Les chichas si formatrices avec dans le public les gens les plus marrants de France, les chroniques radio (debout à l’é

Amelle reçoit celui qui a depuis toujours le rire et la scène dans le sang. Le Boss, Jamel Debbouze. Les souvenirs impérissables d’innombrables moments passés à 15 où seul comptait le fait d’être ensemble et de rire. Le Jamel Comedy Club et une 1ère promotion indélébile avec laquelle on découvre tout. Déceler chez certains l’envie farouche, le bon propos et la bonne distance qui créent l'évidence ; les geysers de talents ; le rapport au succès ; les tournées ; le total lâcher prise et sans vexation des soirées Va te faire en***** ; la série Inside Jamel Comedy Club… Mais aussi l’amour ad vitam aeternam de la scène, le processus d’écriture avec les heures passées au tel avec un trio hors pair, les post-it, les cahiers et encore plus de temps à essayer, essayer et essayer. Le premier rôle de la surprise dans le rire et les concours de circonstances qui rendent le plus service dans le métier. Se faire plaisir aujourd’hui en testant dans des lieux où personne ne vous attend. L’importance d

Amelle reçoit celui pour qui l’art de faire rire est aussi instinctif que sacré et surtout pas mathématique, AZ. Mettre le pied à l’étrier au Sonart avec les cours d’Alex Nguyen, la première scène au Café de l’Arc, la musique et le rap en fil rouge à écrire des textes mais pour le plaisir uniquement. L’aversion quasi épidermique pour les mathématiciens de l’humour, l’importance des études pour bien s’exprimer et ne pas être à la ramasse quand débat. Le sans demi-mesure des chichas, les techniques d’écriture, l’importance d’avoir du fond. L'exercice bien à part de donner son avis en live chaque semaine à la télé devant des millions de téléspectateurs chez Laurent Ruquier. Convaincre par la scène et découvrir après une première partie que le temps d’un entracte on affiche complet pour 3 dates. Six minutes interminables sur la scène du White Dream qui illustrent la profonde amitié avec Alban Ivanov le sauveur. L’amour pour Marseille, son OM et son public qui rigole pour de vrai. Ne jamais

Amelle reçoit celui qui a fait de la tortue son animal totem, le roi de la vanne lente au flegme légendaire, Djimo. Des premiers pas au Café Oscar en mode mytho aux années de travail qui s’ensuivent pour trouver la bonne formule ; le processus d’écriture ; l’amour de cette scène qui fait battre le coeur fort ; le trac ; les rituels d’avant spectacle ; le super pouvoir du public de savoir en quelques secondes si l’on est sincère ou pas. Chercher la lumière mais aussi aimer se réfugier dans l’ombre d’une chicha, parfums menthe et Hawaii en tête. La famille, l'amour, la danse, la pure bromance avec Ahmed Sparrow et des siestes à deux Smart pour tenir le rythme des plateaux. Tourner avec Jean-Claude Van Damme et s'en faire un pote (sortie du film Le dernier mercenaire le 30 juillet sur Netflix). Mais aussi Le Paname, Kris Rock, Montreux, Dubai, une demande en mariage à orchestrer en plein spectacle (ou pas)… Bienvenue dans une Dinguerie Room délicieusement chill out.  Learn more about your

Amelle reçoit celui qui, avec brio et profonde gentillesse, aime autant raconter sa vie qu’écouter celles des autres. Monsieur Seb Mellia. La conviction que tous les gens ont quelque chose d’intéressant à partager, savoir faire la différence entre un micro SM58 et un SM7B, parce qu’en matière de podcast on ne rivalise pas avec Seb Mellia et les incontournables qu’il a son actif (1 heure avant la rupture ; 4 Comiques dans le vent mais à conter sens ; Le podcast dont tu es le héros et le petit dernier En Détente - pas encore sorti au moment de notre enregistrement). Le théâtre Le République, le Jamel Comedy Club promo 2007, la puissance des rires qui galvanisent et cette envie de rendre aux gens l’amour qu’ils donnent. Les avis qui comptent plus que d'autres, la règle de ne jamais prendre le melon, encore moins après les épreuves (un peu trauma) des castings pub et ciné. L’amour et un FaceTime surprise à La Réunion, les faux beaux livres, les vrais piments, un dédoublement de personnalit

Amelle reçoit celui qui prône depuis tjrs le vivre ensemble et qui se bat contre le mot star, l'artiste au très grand coeur Booder. Le souvenir du salon familiale et de la douce odeur des préparatifs émanant de la cuisine avant l'arrivée des invités, le destin déjoué par l'amour de parents héroïques, l'écriture et se faire violence devant une feuille blanche en gardant en tête de devoir intéresser les gens. Les nuits de doutes, les « pas de vacances ». Le succès du premier one-man-show avec un certain Fabrice Éboué et Thomas Ngijol en premières parties. Sur les épaules du géant Mouss Diouf. L’exercice du théâtre avec La grande évasion et les partenaires de toujours Wahid Bouzidi et Paul Séré ; « … à la française ! » avec Edouard Baer qui donne le goût du texte. Les dingueries qui arrivent pendant des spectacles vivant qui vivent. Le 10ème arrondissements de Paris et le quartier de la Grange-aux-Belles. Le Paname, les copains... Être papa et la transmission d'une éducation fondée sur la

Amelle reçoit celle qui adorerait être un chat et qui dit tout haut ce qu'on n’ose parfois pas se dire tout bas : Madame Morgane Cadignan. Les premiers pas sur la scène du Jardin Sauvage, la gymnastique d'écriture d'une quotidienne à TRÈS grande écoute, la Petite Loge, la dinguerie du premier "complet" avec des inconnus dans la salle. Avignon et une blague sur scène qui se transforme en entracte, le sang martiniquais mais le coeur guadeloupéen, des vélléités pour le cinéma et le théâtre calmées par des castings lunaires, la réalité d’avoir un appartement trop jeune, la sororité dans le stand-up, l’importance des potes... Mais aussi une safe place en mode hamac et des films romantiques qui mériteraient plus d’honnêteté… Si Morgane n’aime pas pour de faux ses invités, nous on l’aime pour de vrai. Bienvenue dans une Dinguerie Room remplie de soleil.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Amelle reçoit celui qui avec dérision s’auto-proclame misérophile et qui ose avec brio faire des pas de côté : Monsieur Fabrice Eboué. Une adolescence à Nogent-sur-Marne bercée par la culture West Coast, la rigueur de l’écriture forgée au rap avec Splifton ou ce plaisir aujourd'hui encore de partir rider entre potes en refaisant le monde. La passion pour les personnages hauts en couleur des documentaires - ceux de Keufs dans la ville en tête - ou la puissance des regards caméras qui, avant Ricky Gervais, Michel Muller ou Inside Jamel Comedy Club, ont commencé avec le « Et Toc ! » de Jean Lefebvre. Les souvenirs d’une bagarre de clowns qui finit au poste ; d’un pèlerinage 1er (ou 2nd) degrés à LA avec Aelpéacha, Thomas Ngijol et Noom Diawara ; de 15 min d’impro après une blague sur les huîtres ; d’une scène surréaliste dans le parking Gare Du Nord ou d’une commande de scrambled eggs qui part en gonflage de narines. On parle des débuts, du Café Théâtre et son « Un rire toutes les 30 seco

Amelle reçoit celui qui a pour règle de mettre son coeur dans tout ce qu’il fait, le prince du sketch up : Monsieur Ahmed Sylla. Une rencontre prémonitoire à 14 ans avec des étoiles plein les yeux devant le bus du Jamel Comedy Club, Django, les conseils impérissables de Fabrice Eboué et de Stéphane Célérier, l’alignement des planètes en 2017 qui commence au Marrakech du Rire, la famille, les souvenirs de dingueries en plein spectacle, d’une chicha en tenues de soirées ou d’une jambe frétillante lors d’une visite improvisée au Fridge qui finit sur scène avec des Frizzy Pazzy dans les yeux. Le zouc, les dessous du banger Discrétion (Ouh ouh ouh), le jeu vidéo en mode double PC, le cinéma, Marion Cotillard, l'amour du métier et le respect du public… le tout entrecoupé d'éclats de rire. Bienvenue dans une Dinguerie Room remplie d’ondes (délicieusement) positives. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Amelle reçoit celle qui a écumé les scènes ouvertes et dont la vie entière est devenue une Dinguerie : Madame Inès Reg. La reconnaissance éternelle pour les escapades culturelles mère-filles ; Les années lycée et leurs soirées "récompenses" au Jamel Comedy Club ; L’amour viscéral de la scène (même si ça peut finir avec un chapeau de 60 centimes) ; Le soutient indéfectible de la famille ; Les amis de toujours ; Les rituels dans la loge ; Les 7min au Marrakech du Rire qui ont tout changé où un coup de micro qui finit avec de la colle dentaire... Mais aussi le Casino de Paris ; THE partner in crime Kevin Debonne, leur règle des "5mn sans représailles" et leur passage ensemble derrière la caméra ; La jolie rencontre avec Aketo et Tunisiano aka SNIPER ; Sans oublier l'une des choses les plus importantes, l’Amour avec un grand A pour ses fololos... Bienvenue dans une Dinguerie Room aussi solaire qu'enivrante ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Amelle reçoit celui qui est autant amoureux de la scène de surface que souterraine et qui puise sa force en restant ouvert et à l’écoute : Monsieur Ahmed Sparrow. L’histoire qui se cache derrière le nom de scène Sparrow (et bien plus encore), le lien entre Demolition Man et les chichas, un braquage en plein show un soir de Noël, un moment de grâce au Festival de Montreux et LA règle de toujours faire le job et être là quoi qu’il arrive… Même dans un plan galère dans le 16ème! Les mangas, les barres de rire avec Djimo au Paname Comedy Club, Booder, Roman Frayssinet, Gad Elmaleh, Thomas Ngijol et le besoin viscéral de rencontrer, d’écouter et d’observer pour écrire... Mais aussi les avantages de faire partie d’une belle fratrie de 12 enfants qui permet (entre autres) d'écouter autant Dalida, Aznavour que le Ministère A.M.E.R. et qu’on retrouve dans des traversées musicales à bord d’une Smart au grand coeur… Avec Ahmed, la Dinguerie Room est aussi pudique qu’inspirante (et Khamsa, 5 dans

Amelle reçoit celui pour qui le stand up est un Art et qui prend autant de plaisir à jouer dans les Comedy Clubs que de remplir des Zéniths : Monsieur Gad Elmaleh. La marocanité, la complexité identitaire ou comment apprendre à connaître les autres fait grandir, un certain Martin Luther qui aurait pété un câble au 15ème siècle, la série Crashing avec Pete Holmes, le mythique Comedy Cellar de New York avec une audition de 5 minutes devant Estee Adoram, un Bump de 40 minutes de Chris Rock ou sa légende de la table du fond. Mais aussi une première partie de l'ami Jerry Seinfeld à Las Vegas, le respect de tous les jeunes, Judd Apatow, Sarah Silverman, Depardieu, Monaco, l’appli de rencontres Raya, avoir bientôt 50 ans et un rêve très personnel… Avec Gad, la Dinguerie est bienveillante, élégante et very impressionnante. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Amelle reçoit l’artiste « Haricot vert tout », l’humoriste préféré des humoristes, le camarade du Jamel Comedy Club, MONSIEUR Yacine Belhousse. L’amour de la blague, le Poudlard du stand up et son Dumbledor Jamel Debbouze, le philosophe Patson, le stand up alternatif, la camaraderie, Jerry Seinfeld, le Chapelle’s Show, la dinguerie de faire la 1ère partie d'Eddie Izzard à l’Olympia ou des 15min en anglais sur la plus grande scène du Edinburgh Festival Fringe, les souvenirs d’un bid monumental, d’une omelette au Monte-Carlo Bay ou d’un parpaing jeté sur scène avec Daniel Guichard dans le public… Entre Amelle et Yacine ça papote sévère et c'est délicieux. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

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