Le Maroc a célébré cette semaine la fête du trône, marque en cette année 2024 par les 25 ans de règne du roi Mohammed VI. L'occasion de tirer le bilan économique de l'action royale.

L'économie iranienne traverse actuellement une période de grande turbulence, marquée par des sanctions internationales sévères, une inflation galopante et une dévaluation marquée de la monnaie nationale. Les revenus pétroliers, autrefois la principale source de revenus du pays, ont chuté de manière drastique, accentuant les difficultés économiques. À cela s'ajoutent des problèmes internes de corruption et de mauvaise gestion, aggravant une situation déjà précaire.

Les transferts de fonds des Marocains résidant à l'étranger (MRE) ont atteint près de 115,15 milliards de dirhams (MMDH) à la fin de décembre 2023, contre 110,72 MMDH l'année précédente, selon l'Office des Changes. Ces transferts enregistrent ainsi une augmentation de 4% par rapport à décembre 2022, précise l'Office dans ses indicateurs mensuels des échanges extérieurs de décembre 2023.

Alors que de nombreux bacheliers célèbrent la fin de leurs études secondaires, une nouvelle étape cruciale s'ouvre devant eux : choisir la voie de l'enseignement supérieur. Cette décision, souvent perçue comme un tournant majeur dans la vie académique et professionnelle des jeunes, est marquée par des enjeux économiques de taille qui méritent une attention particulière. Le premier défi est le coût des études supérieures. Selon les pays et les institutions, les frais de scolarité peuvent varier considérablement, influençant ainsi le choix de la filière et de l'établissement.

A l'aube du second tour de l'élection législative en France, il s'avère que le Rassemblement national (RN) et le Nouveau Front populaire (NFP) sont politiquement opposés, mais leurs propositions économiques présentent des similarités. Les deux partis prônent une économie française repliée sur elle-même, stimulée par la dépense publique et un bouclage budgétaire illusoire, reflétant leurs obsessions respectives.

Les prix du pétrole ont évolué autour de 100 dollars le baril la semaine dernière, après avoir connu une certaine volatilité au cours des mois précédents. D'un côté, les inquiétudes liées à un ralentissement économique mondial pèsent sur les prix. De l'autre côté, la demande soutenue de la part des pays asiatiques, notamment la Chine et l'Inde, soutient les prix. Ces pays en développement connaissent une forte croissance économique et leur consommation d'énergie augmente rapidement.

C'est une bonne nouvelle./ Les exportations marocaines vers l'Espagne ont augmenté de 4% au cours du premier trimestre de cette année 2024. Quant aux Émirats, ils sont les principaux investisseurs arabe au Maroc. Le pays émirati occupe la deuxième place mondiale en termes d'investissements dans le royaume marocain.

L'inflation a atteint 69,8% sur un an en Turquie, d'après des données officielles publiées ce vendredi. Depuis plusieurs mois, le président turc s'efforce sans succès de maîtriser cette inflation galopante. Ce manque de résultats a conduit son parti à subir une lourde défaite lors des dernières élections municipales.

L'inflation a atteint un nouveau sommet de 40 ans à 8,6% en mai aux Etats-Unis, alimentant les pressions sur la Fed pour qu'elle resserre davantage sa politique monétaire. La Fed a déjà prévu deux hausses de taux d'intérêt d'un demi-point de pourcentage pour les réunions de juin et juillet.

Du 21 au 26 mai 2024, Béni Mellal au Maroc a accueilli la deuxième édition du SITAG, l'événement visait à mettre en lumière les innovations dans le secteur agricole, y compris les avancées dans l'agriculture biologique. Le SITAG a été une vitrine pour les nouvelles technologies et les méthodes durables appliquées à l'agriculture au Maroc.

Le programme de reconstruction suite au séisme d'Al Haouz progresse conformément aux prévisions. Les priorités sont de reconstruire les maisons dans des zones à faible risque sismique, de concevoir des plans adaptés et d'impliquer les familles dans les efforts de reconstruction. À ce jour, 59.438 ménages ont été recensés comme bénéficiaires d'aides financières et 4.233 logements ont fait l'objet d'interventions.

La guerre menée par la Russie en Ukraine a déstabilisé les chaînes d’approvisionnement et mis à rude épreuve les systèmes alimentaires en Afrique et au Moyen-Orient, soulignant leur vulnérabilité et la nécessité d’accroître leur résilience.

Le FMI vient de publier son rapport annuel sur le Maroc. Le document salue les différents progrès budgétaires et économiques. Selon ce rapport, l'économie marocaine a une fois de plus fait preuve de résilience aux chocs négatifs en 2023. L'activité économique s'est accélérée. L'inflation a ralenti, et le déficit du compte courant s'est réduit malgré les vents contraires liés à la pénurie d'eau, le tremblement de terre de Septembre 2023 et une croissance plus faible dans la zone euro.

Le gouvernement espagnol a confirmé son objectif de ramener le déficit public à 3% du PIB en 2024. Cette réduction est rendue possible par la croissance économique et par la maîtrise des dépenses publiques. L'économie espagnole a enregistré une croissance de 0,7% au premier trimestre 2024, soit le double de la moyenne de la zone euro. Cette performance est attribuée à la forte demande intérieure et à la résilience du secteur touristique.

L'indice des prix à la consommation a enregistré en mars une hausse de 0,9% par rapport au même mois de l'année 2023. Le détail des augmentations montre des variations. Les poissons et fruits de mer ont vu la plus forte hausse avec 11,6%, suivis par les fruits à 3,1%, les légumes à 2,5%, et les viandes à 1,7%. Les pressions inflationnistes ont commencé à diminuer progressivement sur deux trimestres consécutifs à la fin de 2023.

Conflits régionaux, tensions sur les chaînes d’approvisionnement, chamboulements technologiques ou enjeux climatiques : les sources d’incertitudes pour les entreprises se sont multipliées ces derniers mois. C’est ce que révèle le sondage annuel réalisé par le cabinet de conseil KPMG auprès de 1 300 dirigeants d’entreprises internationales, sur leurs opinions et analyses économiques.

Le Maroc, comme de nombreux pays du monde, se trouve à la croisée des chemins d'une transformation digitale majeure. L'intelligence artificielle (IA) et les autres technologies numériques sont en train de révolutionner tous les secteurs d'activité, et il est essentiel que le pays dispose d'une main-d'œuvre qualifiée pour saisir les opportunités offertes par cette révolution.

Conflits régionaux, tensions sur les chaînes d’approvisionnement, chamboulements technologiques ou enjeux climatiques : les sources d’incertitudes pour les entreprises se sont multipliées ces derniers mois. C’est ce que révèle le sondage annuel réalisé par le cabinet de conseil KPMG auprès de 1 300 dirigeants d’entreprises internationales, sur leurs opinions et analyses économiques.

Alors que les investisseurs placent des milliards dans les outils d’IA générative, le monde de l'économie commence à se poser des questions. Les progrès rapides de la technologie ont attiré l’attention des investisseurs en capital-risque, qui ont injecté des milliards de dollars dans le secteur.

Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) appelle à intensifier les peines relatives à l'exploitation des personnes vulnérables à des fins de mendicité et à renforcer l'efficacité des programmes de protection sociale au Maroc. Il s'agit d'établir une politique économique qui protège notamment les enfants, les femmes, les personnes âgées et les personnes handicapées.

Le ministre français de l’économie et des finances, Bruno Le Maire a annoncé qu’en plus des 10 milliards d’euros d’économies la France va engager un plan de rétablissement des finances publiques. L’un des problèmes majeurs est la charge du modèle de solidarité sociale français qui ne réussit plus à s’autofinancer.

Le Maroc a été officiellement désigné comme pays hôte pour le lancement du rapport mondial GEM 2023/2024. Cette désignation affirmé le positionnement du Maroc sur le continent africain et confirme ses efforts pour la promotion dé l’entrepreneuriat.

Le taux de chômage dans la région arabe devrait atteindre 9,8% en 2024, un taux plus élevé que les niveaux enregistrés avant la pandémie de Covid-19, indique un rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT). Le PIB de la région augmentera cependant de 3,5% en 2024, avec une croissance plus rapide dans les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG).

Les attaques menées par les rebelles yéménites Houthi contre des navires marchands se dirigeant vers le canal de Suez via la mer Rouge ont contraint les compagnies maritimes à emprunter une autre route beaucoup plus longue et plus coûteuse passant par l'Afrique australe, ce qui a entraîné des retards dans les livraisons.

Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch a présidé ce mercredi 7 février la première réunion de la Commission nationale pour le développement numérique, à Rabat. Au cours de cette réunion, ont été présentées les orientations générales du développement numérique dénommées Maroc digital 2030.

La FNSEA et les Jeunes Agriculteurs ont appelé à la suspension des blocages après les annonces du premier ministre français Gabriel Attal. La Confédération paysanne souhaite toutefois poursuivre le mouvement. La colère gronde dans le monde agricole. En Europe, les agriculteurs mènent toujours des actions de blocages

Le stress hydrique que subit actuellement le Maroc exige une gestion très rationnelle des ressources en eau, a affirmé le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas. La moyenne des précipitations annuelles au niveau national a atteint, entre le 1er septembre 2023 et le 18 janvier 2024, 32,2 millimètres, soit une baisse de 51,4 millimètres comparé à la moyenne de la même période l’année dernière.

L'armée ukrainienne fait face à une "pénurie de munitions", a alerté le ministre de la Défense, jugeant qu'il s'agissait d'un problème "réel et pressant" pour contrer les forces russes. Pourquoi l'armée ukrainienne qui reçoit tant de soutien financier occidentaux manque toujours de munitions ?

Au premier trimestre 2024, la croissance économique marocaine devrait s’établir à +2,4%, portée essentiellement par la dynamique des industries extractives et chimiques et le renforcement des services non-marchands. La politique monétaire sera un élément clef pour juguler l'inflation dans le royaume.

Alors que la croissance économique mondiale devrait ralentir, passant d'un taux estimé à 2,7% en 2023 à 2,4% en 2024, beaucoup d'incertitudes demeurent en raison de la multiplication des conflits, la hausse du coût des matières premières et l'absence d'autorité des grandes institutions internationales.

La guerre à Gaza coûte cher à Israël. Dans le meilleur des cas, les dépenses devraient atteindre l'équivalent de 50 milliards de dollars, soit 10 % du PIB. Après avoir analysé le coût économique de la guerre pour l'enclave palestinienne, Denis Charbit à Tel-Aviv fait le point sur le coût du conflit pour l'Etat isralien.

Suspendu à la position des Etats-Unis, le Conseil de sécurité de l'ONU tente de parler d'une seule voix, lors d'un vote plusieurs fois reporté sur une résolution destinée à accroître l'aide à la bande de Gaza. Officiellement, il n'est pas question de négociations et pourtant le nom du leader palestinien Marwan Baghouti est pronomé dans l'hypothèse d'une solution de sortei de crise. Avec toute la prudence qui s'impose; pourquoi ce nom apparaît maintenant ?

Alors que nous sommes en décembre, l'heure du bilan à sonné pour les acteurs de l'économie et de la finance. L'année 2023 a connu son lot de difficultés et de réussites, au Maroc comme partout ailleurs.

Alors que le Sénat américain rejette un budget demandé par Biden pour soutenir l'Ukraine et Israël se pose des engagements financiers engagés par la Maison Blanche pour soutenir sa politique étrangère.

L'actualité au Maroc, ce sont les nouveaux billets qui vont faire progressivement leur apparition dans la vie du royaume, l'annonce du début des travaux du gazoduc Nigéria-Maroc ainsi que le lancement ce samedi de la plateforme permettant aux personnes éligibles de bénéficier des aides sociales directes dès la fin du mois de décembre.

Les prix du pétrole ont fortement chuté cette semaine après que le cartel pétrolier Opep + ait annoncé qu'il reporterait sa réunion prévue à la semaine prochaine, ce que les traders ont interprété comme un signe que le groupe a du mal à s'entendre sur de nouvelles réductions de l'offre

La quatrième édition du Choiseul Africa Business Forum s'est tenue les 16 et 17 novembre 2023 à Casablanca. Placé sous le Haut patronage de SM le Roi, ce forum organisé en partenariat avec la région de Casablanca-Settat et la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a accueilli plus de 800 décideurs et hauts dirigeants économiques et institutionnels parmi les plus influents d’Afrique.

Economia

Un nouveau rapport de l'ONU dresse un tableau sombre de l'effondrement de l'économie palestinienne après un mois de guerre et le siège quasi total de Gaza par Israël. Le produit intérieur brut a diminué de 4 % en Cisjordanie et à Gaza au cours du premier mois de la guerre, plongeant plus de 400 000 personnes dans la pauvreté.

Le numéro 1 mondial de l'automobile Toyota a revu à la hausse ses prévisions annuelles grâce à la faiblesse du yen. Il prévoit un bénéfice opérationnel en hausse de 65,1%. Comment expliquer de tels chiffres alors que le prix des voitures neuves n'a jamais été aussi élevé ?

Le gouvernement est déterminé à renforcer, en 2024, la dynamique enregistrée par l'économie nationale en 2023, selon la note d'orientation du projet de loi de finances (PLF) au titre de l'exercice 2024. Cette semaine a été dominée par le programme d’aide sociale directe vise à protéger la famille des risques de précarité économique et sociale.

Alors que l'hiver s'approche au Maroc et plus particulièrement dans la région de l'al-Haouz, se pose la question du redémarrage économique de ces contrées qui vivaient du tourisme et qui doivent aujourd'hui se reconstruire pour renouer avec la normalité d'antan.

La séance plénière des Assemblées annuelles du groupe de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI) s'est ouverte en fin de semaine à Marrakech avec une semaine de réunions, de présentations et de débats. A cette occasion, dans un message adressé aux participants de ces assemblées le roi du Maroc a assuré qu'"aujourd’hui, la fragmentation géoéconomique et la montée du souverainisme, animées en partie par la volonté de rééquilibrage des rapports de force économiques et politiques au niveau mondial, compromettent les avancées notables que le multilatéralisme avait permis de réaliser au cours des dernières décennies". --

Après le drame qui frappé le Maroc, ce terrible tremblement de terre qui a touché l'ensemble de la région de Marrakech, et l'émotion de la catastrophe passée, faisons le point sur l'industrie touristique marocaine ; ses défis et ses ambitions.

La gestion des risques naturelle n'est pas seulement une notion qui engage la sécurité des citoyens, c'est aussi une nécessité pour les entreprises et les décideurs qui contribuent au développement de la richesse nationale. Le Maghreb vient d'en faire la douloureuse expérience.

Alors que l'inflation baisse en Europe, la BCE, la Banque Centrale Européenne a décidé de relever ses taux directeurs de 0.25 à 0.50%. L'économiste Michel Ruimy explique quelle est cette obscure mécanique des taux directeurs qui permet de contenir les phénomènes inflationnistes.

Alors que le Maroc panse toujours ses blessures après le terrible séisme qui a endeuillé la région de Marrakech, se pose la question la question de la reprise de la vie économique, avec des questions très concrètes comme, par exemple, les constructions de bâtiments aux normes antisismiques.

Comme chaque année, le gouvernement marocain, les parlementaires et les acteurs de la société civile entament leur rentrée pour cette nouvelle année 2023/2024 ; une année qui sera "sociale" avec de nombreuses attentes de la population notamment sur la question de la couverture santé.

Le moral des ménages continue sa tendance baissière au premier trimestre de 2023 pour atteindre son niveau le plus bas depuis le début de l'enquête en 2008. Comment expliquer cette baisse et que penser de ce type d'estimation ?

Les inquiétudes sont vives dans les filières agro-alimentaires du Maghreb après la décision du président Vladimir Poutine de se retirer de l'accord sur les livraisons de céréales. Il est à craindre une volatilité sur les prix.

C'est une question ancienne qui trouve une nouvelle résonance en période de crise économique. Quelle est la place du nationalisme dans le monde interconnecté qui est le nôtre ? La mondialisation a-t-elle tout emporté avec elle ? En est-il autrement ?

Alors que les émeutes ont baissé d'intensité dans les quartiers défavorisés français, la question du coût des dégradations se pose en des termes aigus. Des bilans prévisionnels font état de 1 milliard d'euros. Qui va payer ?

Pour accompagner la recherche au Maroc, un fonds de soutien à la recherche scientifique, doté de 600 MDH, dont la moitié proviendra du secteur privé, a été annoncé. L'occasion de faire le point sur la recherche marocaine dans le secteur économique.

Une trentaine de pays sont candidats à une intégration au BRICs, l'alliance de 5 puissances dites émergentes (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud). Parmi les candidatures arabes, deux pays aux économies contrastées : l'Arabie Saoudite et l'Algérie.

Alors que les températures sont à la hausse au Maroc, le service européen Copernicus révèle que les températures moyennes mondiales relevées début juin ont été les plus chaudes jamais enregistrées pour cette période. Or le changement climatique induit également des conséquences économiques.

Au Maroc s’est tenu le « Forum Horizons Maroc », organisé par l’association AMGE-Caravane. Lors de cet événement, près de 1700 professionnels, jeunes diplômés et étudiants ont rencontré plus de 60 entreprises et startups et échangent avec des personnalités du monde de la finance, des affaires et de l’entrepreneuriat. Avec une dominante cette année, axée sur la fluidité des travailleurs marocains dans le monde.

Après la victoire de Recep Tayip Erdoğan face Kemal Kiliçdaroglu au second tour de l'élection présidentielle en Turquie, le maître de Carthage se retrouve face à une situation qu'il connaît bien : la crise économique. Si l’inflation annuelle a réduit la voilure, après un pic à plus de 80 % l’an dernier, elle plafonne toujours à 44 %, notamment à cause de la dépendance de la Turquie au gaz et au pétrole dont les cours ont explosé en 2022.

Un rapport du Bureau international d’études et de consultation (PwC) estime que l’économie marocaine fait face à de nouveaux défis en cette année 2023. Des opportunités pourraient dynamiser sa croissance économique.

Alors que les Etats-Unis peinent à boucler le budget de l'Etat d'aucun s'interroge sur la valeur du dollar et l'opportunité d'en faire une monnaie de référence mondiale. Les BRICS veulent quitter le billet vert. Est-ce un serpent de mer ou un projet réaliste ?

Alors que l'année scolaire s'achève au Maroc, nombre de bacheliers commencent à préparer leur orientation universitaire. Les filières économiques rencontrent un franc succès au Maroc. Plus de 1000 formations sont proposées dans le royaume. Comment s'y retrouver ?

La maîtrise des risques fait partie intégrante de la vie de toutes les entreprises. Pandémie, guerre, risques industriels, etc.. La question se pose pour tous les dirigeants : comment prendre des risques mesurés pour faire grandir sa société dans un contexte pétri d'incertitudes Comment gérer le facteur R ? Le facteur risque.

Rien n'y fait, ni le vote de la loi sur la retraite par les parlementaires français, ni les décisions du Conseil constitutionnel, le dossier demeure hautement sensible. Les manifestations se poursuivent et la classe politique s'écharpe sur ce dossier économique irrésolu.

2003 – 2023. Suite à l’Initiative Royale pour le Développement de l’Oriental lancé par Mohammed 6, le roi du Maroc, la région de l’Oriental a connu de nombreux changements économiques et sociaux qui ont contribué à sa remise à son niveau et son intégration nationale.

Alors que la planète économie marche à grands pas vers les énergies propres et le développement durable, la question du financement se pose en termes aigus. De l'argent, oui, mais pour quoi faire ? Parfois les financiers s'interrogent.

Depuis la création d'internet, rarement le monde de l'entreprise n'aura été si visé par des demandes de rançons. Des hackers prennent le contrôle des serveurs ou copient des documents confidentiels pour ensuite réclamer de fortes sommes d'argent. Cette forme de criminalité économique ne cesse de progresser.

Les mois passent et les accords se multiplient entre Rabat et Tel-Aviv, notamment dans le secteur économique. L'objectif, à terme, est de créer des synergies entre les deux pays signataires des accords d'Abraham.

Alors que les mastodontes de l'assurance au Maroc publient leurs chiffres pour l'année 2022, focus sur un secteur d'activité en pleine mutation au Maroc. Les nouveaux véhicules : trottinettes, quad. Les prix. Les enjeux.

Alors qu’en janvier, l’inflation a atteint 8,9% au Maroc, incluses d’importantes poussées inflationnistes sur les produitsalimentaires, se pose la question de la fête du ramadan. Le Maroc doit-il craindre une valse des étiquettes à l'occasion du mois sacré ?

Plus d'un an après le déclenchement de la guerre en Ukraine, Economia s'intéresse à la refonte des routes de l'énergie, tant du gaz que du pétrole. Les Etats ont été contraints de revoir leurs politiques énergétiques dans un contexte hautement inflationniste.

Il est bien difficile de s’y retrouver dans l’avalanche de chiffres qui nous parviennent sur les prévisions de croissance de l’économie mondiale. Certains sont alarmistes, d’autres pas. Une certitude, le Fonds monétaire international (FMI) a légèrement relevé ses prévisions de croissance pour l’économie mondiale cette année à 2,9 pc avant de remonter à 3,1% en 2024.

Que se passe-t-il ? Le marché aurait-il perdu la tête ?En 2022, 9,05 millions de véhicules ont été vendus, soit une baisse de 6% par rapport à 2021. En Europe, les ventes de voitures d'occasion font une hausse vertigineuse.

Malgré la guerre en Ukraine qui promet d'être longue et destructrice, le FMI prévoit une croissance économique de la Russie en 2023 malgré les sanctions occidentales. L’économie russze pourrait repartir avec une progression de 0,3%.

Alors que la Banque mondiale prévoit un ralentissement de l'activité économique à l'échelle mondiale, le Maroc espère une accélération de la croissance à 3,5% en 2023 et 3,7% en 2024, notamment sous l'effet de la reprise du secteur agricole.

Le Maroc et l'Espagne et le Maroc organisent la douzième réunion de haut niveau les 1er et 2 février à Rabat. Ce forum tend à promouvoir de nouveaux partenariats économiques entre les entreprises marocaines et espagnoles, et à accélérer la cadence de l’investissement et du co-investissement dans les secteurs prioritaires. Le Roi Felipe VI d’Espagne estime que cette réunion permettra d'approfondir '’les vastes relations bilatérales’’.

Alors que le Maghreb renoue avec la pluie et la neige sur les montagnes qui alimentera les fleuves au printemps se pose la question de la saison agricole au Maroc. Les enjeux alimentaires et économiques sont considérables.

lors que s'est ouvert en France le débat sur le régime des retraites, le monde s'interroge sur le vieillissement de la population des cinq continents, partagé entre la solidarité humaine et les cruelles lois de l'arithmétique...

Malgré un contexte international détérioré, le professeur d'université Jean Marie Heydt estime que le Royaume du Maroc dispose de solides atouts pour aborder l'année 2023 sous de bons auspices.

Economia fait le bilan des douze mois écoulés dans un royaume du Maroc qui, au début de l'année 2022, commençait à se relever de la crise sanitaire du Covid-19. Puis est survenue la guerre en Ukraine avec son cortège d'impacts négatifs : tensions sur les livraisons de céréales, modification des routes de l'énergie, inflation galopante, etc.

Alors que s'achève la folle épopée des lions de l'Atlas à la Coupe du monde de football au Qatar, Economia s'interroge sur l'économie du sport au Maroc et offre une prospective sur l'avant et l'après Mondial.

En cette fin d'année 2022, tous les indicateurs des grandes agences de notation et les organismes internationaux convergent pour estimer que le monde est entré dans une "économie de guerre" annonciatrice de récessions à venir.

Sport et économie sont à l'honneur avec la première phase de la coupe du monde de football au Qatar. L'économie marocaine va bénéficier de la prestation de son équipe nationale.

Sous sanctions, l'économie russe est entrée en récession mais le repli reste modéré. Le produit intérieur brut a reculé de 4 % sur un an au troisième trimestre. La chute est moins forte que les prévisions anticipés après le lancement de la guerre en Ukraine.

C’est devant les parlementaires marocains que Aziz Akhannouch, le chef du gouvernement, a défendu le projet de Loi de finances 2023, un texte central pour l’économie du royaume et qui concerne l'ensemble des citoyens.

C'est l'un des effets inattendus du conflit en Ukraine, un surcroit de vivacité des pirates informatiques qui augmentent le risque industriel de nos entreprises déjà sous le risque de la récessions. Le Maghreb comme le reste du monde n'est pas à l'abri de la menace.

Après des mois et des mois de guerre en Ukraine, les prix à la consommation ne cessent d'augmenter dans le monde. Les consommateurs marocains n'échappent pas à cette tendance haussière qui affecte le pouvoir d'achat.

Les ministres chargés de l’égalité des genres des 42 pays de l’Union pour la Méditerranée (UpM) ont signé cette semaine à Madrid une déclaration ministérielle visant à accélérer le renforcement du rôle des femmes dans la région euro-méditerranéenne. Les ministres ont convenu de renforcer le cadre juridique, faciliter l’accès des femmes aux postes de direction dans la vie publique et la prise de décision, accroître leur participation dans la sphère économique.

C'est un chantier prioritaire, au Maroc comme nombre de pays de l'espace euro-méditerranéen : la lutte pour l'accès à l'eau potable, à la fois sa disponibilité et sa qualité. Le roi Mohamed 6 en a fait l'un des thèmes de son discours d'ouverture de la session parlementaire d'automne.

A l'approche de l'hiver et en raison de la guerre en Ukraine, tous les grands pays de la zone euro-méditerranéenne appellent leurs entreprises et les citoyens à faire des économies d'énergie. Consommer moins. Vivre mieux. La démarche semble logique, mais est-ce réellement possible d'entrer dans l'ère des économies ?

La crise ukrainienne a rappelé combien l'activité économique liée aux céréales, spécialement au blé, est essentielle aux pays de l'espace euro-méditerranéen. Face à l'inflation et les incertitudes quant aux livraisons, les pays repensent leurs stratégies céréalières.

Au Maroc, la généralisation de la protection sociale constitue un projet d'État qui nécessite une mobilisation globale, affirme le gouvernement. La population formule de grandes attentes envers ce système de solidarité qui devra rendre égaux tous les citoyens face à l'accès aux soins.

Après la sidération du début de la guerre en Ukraine, nombre d’économistes ont prédit une refonte des grandes routes commerciales, notamment alimentaires et énergétiques. Après six mois d’un conflit qui s’apprête à durer, le président appelle 300.000 hommes à partir sur le front, se pose la question de la solidité des voies commerciales qui relient le Maghreb au monde. Leur fiabilité. Leur résistance aux soubresauts géopolitique.

Dans le cadre de la célébration du dixième anniversaire de l’usine Renault à Tanger, le groupe automobile a annoncé la production dès 2023, d’un modèle de véhicule électrique baptisé « Mobilize Duo ». Dans les trois ans à venir, le Maroc entend mobiliser ses efforts et ses ressources pour améliorer sa production en matière de voitures électriques, selon le ministre marocain de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour.

La crise russo-ukrainienne n’aura aucun impact sur l’approvisionnement du Maroc en certains produits dont le Royaume pourrait avoir besoin dans le cadre de ses échanges commerciaux avec ces deux pays, explique le ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas.