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Belle Trace

French, Winter sports, 1 season, 121 episodes, 4 days, 2 hours, 22 minutes
About
Le podcast «Belle Trace» est animé par Flo Masnada, ancienne championne de ski alpin. Choisir, décider, laisser sa trace, c’est ce qui l’a guidée pendant des années. A travers ce podcast, «Flo» donne la parole aux grands champions qu’elle a eu la chance de côtoyer pendant des années pour qu’ils nous transmettent leurs messages, leurs valeurs, leurs belles traces tout simplement.
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Olivier Girault : « Avec les Costauds puis les Experts, la vie ensemble était aussi importante hors du terrain que dessus »

Très heureuse de vous proposer au micro de #Belletrace, un champion au parcours très atypique et aux réflexions qui ne laissent pas non plus indifférents.Olivier Girault nous parle avec passion des Jeux Olympiques de Paris en regrettant les discours négatifs avant cet évènement qu’il décrit comme une rencontre universelle autour du sport et de la fraternité.Nous avons échangé à propos de la place du sport en France … et de son rôle de directeur de L’UNSS. Et même s’il n’aime pas parler de lui, je n’ai rien lâché et… j’ai réussi à le faire parler de sa carrière et c’est passionnant !!Après avoir découvert le Handball assez tard, il a gravi les échelons à une vitesse folle pour rejoindre l’équipe des « Costauds » puis devenir le capitaine des « Experts » lors du premier sacre Olympique en 2008. Il nous parle d’ailleurs de cette anecdote (et de bien d’autres) où ils imposent au CIO et Comité d’organisation Chinois, le grand Jérôme Fernandez (alors blessé) sur le podium avec toute l’équipe.Alors envie d’en savoir un peu plus ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/26/202451 minutes, 15 seconds
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Jean-Luc Crétier : "Je me rends compte 1 h avant le départ de la descente des JO que je n'ai pas ma combinaison de course"

Dans cet épisode, Jean- Luc Crétier, dit Kbou, nous fait revivre avec émotion cette journée unique du vendredi 13 février 1998 où il devient champion Olympique de descente en ski alpin, Il nous révèle cette anecdote folle qui aurait pu complètement le déstabiliser, quand il se rend compte qu'il a oublié sa combinaison de course et également son choix stratégique de ralentir avant un passage clé qui sera fatal à Herman Maier.Auparavant on retrace ses débuts en compétition sous les conseils de sa cousine Daniele Debernard double médaillée Olympique. Kbou nous parle de l'importance de ce groupe top gun avec Franck piccard, Luc Alphand et Denis Rey ainsi que son travail avec un préparateur mental 3 mois avant son titre olympique.Puis on a parlé de sa fin de carrière douloureuse, de sa reconversion et sa passion intacte pour le ski.Des émotions, de la passion, des anecdotes à foison dans ce nouvel épisode de #belletrace Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/12/20241 hour, 16 minutes, 8 seconds
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Raphaël Jacquelin : « Tiger Woods avec son regard, te faisait vraiment comprendre qu’il était là pour t’écraser, comme Ballesteros. »

Au micro de #belletrace j’ai eu le bonheur d’accueillir un esthète du golf.Surnommé « le métronome » par ses pairs il a gagné de nombreux tournois européens dont un qui s’est terminé au bout de 2h 15 de playoff.Raphaël Jacquelin nous partage ses grands moments, ses rencontres, sa méthode de travail et ses projets actuels.Raph nous partage ses moments de complicité lors des coupes du monde en double avec son complice Greg Havret et une annecdote sympa au départ du 18 de Shenzen. On parle de ses débuts en coaching et du sénior tour, de ses routines.Bref encore un top épisode avec un sportif complet et passionné ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/30/20241 hour, 4 minutes, 13 seconds
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Philippe Bozon :« La NHL c’est un autre monde, une autre intensité, un vrai combat avec beaucoup d’intimidations physiques et verbales. »

Philippe Bozon a été le premier joueur français de Hockey sur glace en NHL.Sport peu médiatisé en France à son grand regret, il nous partage son parcours, sa découverte d’un sport bien différent de l’autre côté de l’atlantique où il a subi beaucoup d’intimidations physiques et verbales mais qui ne l’empêcheront pas d’atteindre son rêve.Une carrière pro de 24 ans poursuivie en Europe avant de basculer vers le coaching aujourd’hui en équipe de France. On a parlé de la gestion de ses émotions, du mental (80% de la performance selon Philippe) de sa manière de coacher en équipe de France aujourd’hui la nouvelle génération de joueurs, notamment ses 2 enfants et notamment de ce moment de vie incroyable lors de la méningite de Tim « le miraculé » au Canada il y a 10 ans.Un épisode vraiment très intéressant à découvrir ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/16/20241 hour, 4 minutes, 22 seconds
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Fabrice Santoro : "Danser Saga Africa sur le terrain avec l’équipe de France de Coupe Davis ce sont des émotions folles."

Aujourd’hui au micro de Belle trace je reçois le magicien de la petite balle jaune dixit l’immense Pete Sampras. Fabrice Santoro avec sa malice et son intelligence de jeu a battu la plupart des meilleurs joueurs mondiaux et en jouant à 2 mains des 2 cotés. Il nous parle de ses émotions lors de ce match décisif de la Coupe Davis à 18 ans et de la confiance accordée par son capitaine Yannick Noah, avec qui il dansera « Saga Africa » sur le cours lors de la victoire de la France en 1991.Impressionné par Agassi et Fédérer, aujourd’hui il commente toujours le tennis et adore relever des défis qu’il n’est pas sûr de réussir car il aime l’adrénaline de l’incertitude.Bref un épisode riche et passionnant ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/2/202454 minutes, 4 seconds
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Katarina WITT: "A cette époque (de la guerre froide), j'avais peur de rentrer à la maison avec une défaite."

Je vous propose un épisode de #belletrace « hors piste », court (20mn) mais exceptionnel avec une légende du patinage artistique. C’est une icône du sport mondial, une femme qui a révolutionnée son sport et la société. Madame Katarina WiitC’est donc un honneur de l’avoir reçu au micro de Belle trace tant elle se fait rare dans les médias. Merci @sportelawardsC’est un podcast en anglais donc pas possible de le sous-titrer… mais voici en français les grandes lignes et messages de Katarina. (si vous souhaitez la transcription complète MP)Sinon bonne écoute en anglais« je ne fais pas juste du patinage sur glace..., cela demande beaucoup de compétences difficiles avec une superbe chorégraphie et la plupart du temps, vous ressentez ce que vous faites, vous savez, vous ressentez la musique, le public. Mais pour moi c’était plus : j'aime être devant un public, ce sont tellement de bons moments. Quand tu es dans un spectacle aussi, tu sais et il fait noir, tu as une place et avant que la musique ne commence tout est silencieux et vous pouvez juste entendre une aiguille tomber, vous savez, puis vous êtes capable de transformer tout sur cet anneau de glace et vous les amenez dans votre performance, vous terminez et vous obtenez ces applaudissements, vous savez et c'est tellement gratifiant »« vous savez que vous entrez dans ce tunnel de concentration, vous bloquez tout ce qui vous entoure, donc vous n'avez aucune sorte de distraction et vous vous concentrez vraiment. Vous donnez à vos muscles le moment de mémoire musculaire, vous savez alors pourquoi vous vous êtes entraînée pendant tant d'années et si dur donc en gros ton corps sait quoi faire sans le dire. Tu sais que c'est automatique tu sais que tu dois juste le faire.Je pense que l'une de mes plus grandes forces était que je pouvais être plus performant et sous la plus grande pression lorsque le prix était le plus élevé et je savais que je n'avais aucun moyen de le faire, c'est à ce moment-là que j'ai le mieux concouru, »Sur le bord de la patinoire, Je baillais ! les autres devait dire : oh mon dieu, elle s'en fiche de la compétition. C’est étrange, elle est tellement détendue. Mais c'était un mélange d'être vraiment nerveuse et d'essayer d'avoir plus d'oxygène a rendu mon corps ok je bâille tu sais juste avoir plus d'oxygène c'était mon mode de préparation. Sur la pression du résultat, je lui ai demandé comment elle avait généré cette pression médiatique des journalistes ce qui ne l’a pas du tout gêné à la différence de la pression des instances de son pays l’Allemagne de l’est:« à cause de la guerre froide, vous savez, nos propres pays ont également beaucoup utilisé le sport pour dire que nous avons de très bons athlètes, ce qui signifie que le socialisme est meilleur que ce que vous avez, c'était donc ça donc la véritable pression sur nos épaules. sauf que je veux dire tu ne vas pas à la compétition en pensant :ok je dois gagner mais c’est ce qui m'a fait peur de rentrer à la maison avec un échec. Car les officiels du pays me disaient : »tu sais ton pays paie pour vos sports et vous devez ensuite rembourser en gagnant… » Heureusement, je n'ai pas eu beaucoup de ces moments parce que la plupart du temps, j'ai gagné mais honnêtement, j'aurais eu peur de rentrer à la maison avec une défaite, » Sur son entraineure : J'avais besoin d'un entraîneur fort comme mon Jutta l’était et je la respecte pour ça, mais la façon dont elle m'a traitée et à quel point elle était dure avec moi, c'était parfois blessant et je pense que c'est pourquoi je ne pourrais jamais faire ça à quelqu'un d'autre, tu sais, même si maintenant, bien sûr, il y a d'autres éthiques dans la façon dont tu enseigner à quelqu'un je veux dire il y a 35 ans c'était une époque différente  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/18/202419 minutes, 5 seconds
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Vincent Defrasne :"« On me parle de ce sprint aux Jeux Olympiques 2006 avec Bjorndalen au moins une fois par jour »

Alors que démarrent les championnats du monde de Biathlon à Nove mesto, c’est le champion olympique de Turin @Vincent defrasne qui est venu nous partager au micro de #belletrace, sa passion pour ce sport devenu si populaire.Vincent nous fait revivre cette journée folle où il coiffe l’immense Bjordalen au sprint, mais aussi ses émotions partagées avec le staff de l’équipe de France. Il rend également hommage à l’immense @Raphael Poirée avec qui il a gagné une médaille olympique en relais.On a parlé aussi reconversion avec son rôle de consultant TV et de la création de sa marque de vêtements Outdoor AYAQ où il s’investit totalement car c’est exactement sa manière de fonctionner, pas de demi-mesure.Encore une sacrée Belle trace à découvrir !! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/6/202444 minutes, 48 seconds
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Jessica Houara d’Hommeaux « Le turban c’est un cheminement personnel qui correspond à mes convictions »

C’est avec un grand plaisir que j’ai reçu pour la première fois une footballeuse au micro de Belletrace, Jessica Houara-d’Hommeaux.Un épisode très enrichissant où elle nous partage les grands moments de sa carrière en équipe de France et en club mais également ses choix de vie avec le port du turban et son regard sur la place des femmes musulmanes. Elle nous parle de sa peur d’avoir un enfant pendant sa carrière et son admiration pour Amel MAJRI qu’elle a suivi pour son documentaire Baby-Foot.Bonne écoute Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/27/202445 minutes, 53 seconds
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Stéphane Diagana: « L’hiver, je déneigeais mon couloir pour continuer à m’entrainer »

C’est un sage, un champion tellement inspirant que je vous propose d’écouter dans ce nouvel épisode de Belletrace.Dés le début Stéphane nous parle du sport comme un équilibre de vie, un régulateur d’humeur qui est un enjeu de santé publique.On replongera dans son enfance et de ses débuts dans l’athlétisme dont la motivation a toujours été la passion de la course et surtout la recherche de sa propre excellence et non un combat contre ses adversaires. Lui qui a été accompagné pendant 16 ans par Fernand Urtebise son coach qui avait pour objectif de faire grandir ses athlètes.Stéphane Diagana déclare d’ailleurs qu’il adorerait être coach ! A bon entendeur...Nous avons bien sûr parlé de ce fléau du dopage, ainsi que de ce titre de champion du monde en 2003 en relais et de ses doutes sur sa participation.Dans cet épisode vous découvrez également ses autres passions…Bref une superbe belle trace inspirante.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/13/202448 minutes, 26 seconds
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Johan Clarey

Dans cet épisode je vous propose d’écouter un passionné de son sport, le ski alpin, qui l’a amené sur les plus beaux podiums.Yohann Clarey, vice champion olympique de descente en 2022 et médaillé mondial, nous parle de sa relation particulière avec les 2 pistes de descentes les plus impressionnantes et difficiles du circuits coupe du monde: Bormio et Kitzbuhel.Yo nous parle des moments particuliers dans cette cabane de départ qu’il a appris à aimer et à dominer sa peur. Nous avons parlé de ses forces et faiblesses, de l’esprit unique de cette confrérie des skieurs de vitesse. Ces liens qui leur ont permis de surmonter ensemble le décès de David poisson.Enfin il nous parle de sa carrière où il a notamment explosé sur le tard aux yeux du grand public, et surtout cette auto analyse qui l'a fait grandir et progresser en tant qu'homme.Bref un épisode riche et passionnantBonne écoute. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/2/202449 minutes, 23 seconds
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Alain Blondel : "Je suis responsable de l’organisation des épreuves d’athlétisme aux Jeux de Paris 2024"

Alain Blondel est l’invité de Flo Masnada cette semaine dans Belle Trace. L’ancien champion d’Europe de décathlon occupe aujourd’hui le poste stratégique de Sports Manager pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Dans le podcast, il revient sur son parcours d’athlète, d’entraîneur, de manager et désormais son rôle dans l’organisation des Jeux de Paris 2024. Alain Blondel occupe un rôle clé pour Paris 2024, celui de Sports Manager. A ce titre, l’ancien décathlonien est responsable de l’organisation des épreuves d’athlétisme et de para-athlétisme. Il nous explique en quoi consiste son rôle (34:55) que ce soit au stade mais aussi en dehors avec les épreuves de marathon et de marche.Co-organisateur des championnats d’Europe à Zurich en 2014, il se sert de cette expérience pour mettre en place le grand barnum de l’été prochain. "C’est quelque chose d’exceptionnel et en plus je l’organise chez moi", affirme-t-il même s’il reconnait que c’est quelque chose de très exigeant. "Ça va plus vite que je le ne pensais, poursuit-il. C’est une énorme machine à laver, une lessiveuse dans laquelle tu te fais broyer assez souvent, assez régulièrement."  Au cœur de cette machine, Alain Blondel connait sa mission par cœur. Son calendrier est clair dans sa tête et il doit être prêt pour le début des épreuves d’athlétisme. "Le 1er août c’est la marche avant le décathlon le jour suivant", récite-t-il. "Comment faire en sorte que ça fonctionne ? C’est ça mon objectif." Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Christophe Pinna : "L’art martial c’est ce qui m’a évité la rue"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Yoann Huget : "Tous les joueurs se voyaient Champions du monde !"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/19/202350 minutes, 51 seconds
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Enak Gavaggio : "Pour être champion en ski, soit tu es extrêmement intelligent, soit tu es un peu naïf et bête"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Enak Gavaggio, ancien skieur acrobatique et personnage à part dans le ski français.Le sport et le risque, voilà deux ingrédients qui font saliver Enak Gavaggio, lui qui s'est "un peu tout cassé" (2:20) à forcer de chuter à ski, en VTT ou en parapente. "J'ai horreur de rester dans mon canapé, j'ai besoin de bouger", raconte le Savoyard de 47 ans, qui s'adonne aujourd'hui au hockey sur glace depuis cinq ans.Rentrer dans un moule, ça n'a jamais été pour lui. C'est ce qui l'a poussé vers le free ride et le ski cross, et l'a ainsi éloigné du ski alpin : "on n'avait pas le droit d'avoir les cheveux colorés ou longs, d'écouter la musique dans le bus. J'aurais préféré être Américain." (12:04) Enak Gavaggio a eu un coup de cœur pour une discipline faite de "confrontation directe" (17:43), comme s'il montait "sur un ring de boxe", mais a aussi embrassé l'aspect stratégique. "Je faisais exprès de doubler dans les endroits où on pensait que c'était impossible", partage le médaillé de bronze aux championnats du monde 2007 de ski cross. (21:47)Enak Gavaggio explique aussi comment est né son personnage de "dark lord", lui qui, auprès des autres skieurs, se faisait passer pour "un branleur (29:40) mais pense avoir beaucoup plus travaillé que les autres, dans l'ombre. A la fois relax et concerné, libre et déterminé, toujours dans la remise en question.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Christophe Pinna : "L’art martial c’est ce qui m’a évité la rue"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Yoann Huget : "Tous les joueurs se voyaient Champions du monde !"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/6/202355 minutes, 37 seconds
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Adil Rami : "Ma devise ? On les aura les méchants !"

Pour une fois, la bouteille à la mer a été trouvée ! Quand Flo Masnada a contacté Adil Rami pour participer au podcast, c'était sans grand espoir d'avoir une réponse. Et pourtant, le champion du monde 2018 a bien accepté de prendre part à ce nouvel épisode de Belle Trace. A 37 ans, le défenseur est sans club après son aventure à l'ESTAC. A l'occasion du Sportel à Monaco, Flo Masnada est revenu avec lui sur sa carrière atypique, lui qui n'a pas connu un parcours classique. Sans être passé par un centre de formation, Adil Rami a réussi à devenir footballeur professionnel à Lille où il a remporté le championnat de France en 2011. Une ascension jusqu'au graal, le mondial 2018 avec l'Equipe de France qui a fait entrer le natif de Bastia dans la légende des Bleus. Très suivi sur les réseaux sociaux, il évoque sa relation avec la notoriété, et revient sur les moments difficiles de sa carrière. Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo Masnada Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/21/202328 minutes, 57 seconds
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Yoann Huget : "Tous les joueurs se voyaient Champions du monde !"

Quelques jours après la fin de la Coupe du Monde de Rugby en France, Flo Masnada reçoit Yohann Huget dans le podcast Belle Trace. Une chose est sûre, c'est que l'ancien rugbyman n'aurait jamais pu être un skieur ! A l'écouter, sa rééducation du côté de la Savoie ne reste pas dans ses moments favoris !Retraité depuis la fin de la saison 2021, Yoann Huget a été consultant pour la dernière Coupe du Monde. Impossible de ne pas revenir sur l'échec des Bleus en quart de finale face à l'Afrique du Sud. D'autant plus que tous les joueurs lui avaient dit, ils se voyaient Champions du monde !Avec Flo Masnada, l'ancien joueur joueur revient sur sa carrière, ses débuts au Stade Toulousain, le club de sa vie. Plus qu'un club, une famille comme il l'explique malgré un palmarès inégalé dans l'Hexagone. Une carrière aussi marquée marquée par des échecs comme sa non-participation au Mondial en 2011, sa grosse blessure quatre ans plus tard avant de faire partie de l'équipe qui s'est lourdement inclinée contre les All Blacks en 2019.Mais la carrière de Yoann Huget a aussi été marquée de trophées, comme celui gagné en 2010 avec le Stade Toulousain. Flo Masnada vous permet aussi de découvrir son après-carrière, lui qui est passé par le CDES à Limoges pour se former.Sans oublier les rencontres qui l'ont marqué !Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo Masnada Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/7/202359 minutes, 21 seconds
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Sébastien Amiez : "Ma vie a été belle, riche d'enseignements"

Flo Masnada reçoit Sébastien Amiez dans Belle Trace. Mis très jeune dans le bain du ski alpin de haut niveau, le natif de Moûtiers découvre les JO pour la première fois en tant qu'ouvreur à Albertville. Selon lui, alors en pleine ascension fulgurante, ce premier contact avec les Jeux Olympiques a marqué toute une génération de skieurs français. "Bastoune" connaît rapidement le succès avec un petit globe de cristal remporté sur le slalom en 1996 puis connaît ensuite une carrière en dents de scie avec des douleurs récurrentes.Le slalomeur revient longuement, évidemment, sur Salt Lake City, où il remporte la médaille d'argent derrière Jean-Pierre Vidal, après une seconde manche "de rêve". Il plaisante même : "j'ai même été champion olympique un moment".Désormais, il est consultant pour la télévision, tout en gardant une grosse proximité avec le ski de haut niveau puisque son fils dispute la Coupe d'Europe depuis 2 saisons. Pour le vice-champion olympique et vice-champion du monde, la transmission aux jeunes est une valeur fondamentale et il regrette de ne pas être plus sollicité à ce sujet.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Maxime Ducher Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/24/20231 hour, 2 minutes, 12 seconds
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Christophe Pinna : "L’art martial c’est ce qui m’a évité la rue"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Christophe Pinna, 6 fois champion d’Europe et quadruple champion du monde de karaté. Mais avant de se mettre au karaté, Christophe Pinna a commencé les arts martiaux en découvrant le taekwondo. Au départ, le Niçois atterrit dans un dojo par la volonté de ses parents qui souhaitaient le voir canaliser son énergie et apprendre la rigueur et la discipline. “Le taekwondo, c’est un sport éducatif avec des valeurs martiales” (3:40) explique-t-il. Pour Christophe Pinna, cela a à la fois été une “punition” autant qu'une belle chance”, car finalement : “L’art martial c’est ce qui m’a évité la rue.” (6:45), confie-t-il.Alors qu’il fête ses 17 ans, Christophe Pinna voit sa mère, touchée par de multiples cancers, décliner peu à peu. Il décide alors de se réfugier dans le sport. A la mort de celle qu’il a tant aimée, Christophe Pinna s’enferme dans son garage plusieurs heures par jour et s’entraîne, frappe dans un sac jusqu’à en saigner des poings. Il prend alors le sport comme un exutoire. “La seule manière de me faire passer à travers (cette épreuve) c’était de me faire souffrir” (9:40), dévoile-t-il.Puis arrive son service militaire et une période difficile d’un point de vue financier. Christophe Pinna doit manger à l’Armée du Salut et dormir dans un gymnase où il s’entraîne désormais au karaté. “J’ai toujours voulu m’entraîner seul” (26:15), ajoute le champion, ce qui lui a valu une relation tumultueuse avec sa fédération. Malgré tout, Christophe Pinna performe au plus haut niveau en s’imposant une discipline de fer. “Celui qui ne se lève pas à 4h du matin qui n’est pas énervé ne peut pas être aussi fort que celui qui est énervé” (35:22), assure-t-il.20 ans après avoir pris sa retraite, le Niçois décide de revenir à la compétition à 52 ans en repartant par le bas, le championnat départemental. Son âge lui cause de vives douleurs mais “je n’avais pas le choix, répète-t-il. Quand on a un rêve on est obligé d’aller au bout” (37:30). Sauf que le Covid est passé par là… Après sa deuxième retraite sportive, Christophe Pinna part un temps en Grèce, avant de travailler au Ministère des Sports puis de devenir entraîneur aux Etats-Unis.Mais au-delà de sa carrière sportive, le quadruple champion du monde a été révélé aux yeux du grand public en devenant coach sportif pour l’émission Star Academy (49:30). Enfin, Christophe Pinna revient sur ses passions : le ski, la course à pied ou encore le jet-ski…Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Maxime Ducher Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/9/20231 hour, 7 minutes, 21 seconds
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Thomas Castaignède : "La vie de sportif est une vie cruelle"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Thomas Castaignède, ancien international français de rugby, double vainqueur du tournoi des Cinq Nations, vainqueur du tournoi des Six Nations et quadruple champion de France avec le Stade Toulousain.Pourtant titré à de multiples reprises dans sa discipline, Thomas Castaignède commence ce podcast par une réflexion toute personnelle qu'il a eu au cours de carrière : "Ça doit être incroyable de se dire qu'on est vraiment le meilleur du monde, contrairement aux sports collectifs où l'on peut se cacher derrière les autres." (2:05) Une réflexion qui va mener la discussion vers ses débuts dans le rugby et comment il a arrêté pendant deux ans d'y jouer pour pratiquer l'athlétisme à cause d'un sacré caractère. Thomas raconte ensuite son passage au Castres Olympique et sa rencontre avec Pierre Fabre, un homme qui a changé sa vie selon ses propres mots. Un homme qui lui a permis de traverser sa vie de sportif, une "vie cruelle" comme il le dit, de la meilleure manière possible. (9:03) Il compare son expérience avec la génération actuelle et s'inquiète de la santé mentale des joueurs une fois leur carrière terminée.Le natif de Mont-de-Marsan évoque ses plus beaux souvenirs et notamment son premier jour dans le vestiaire du Stade Toulousain, alors occupé par une grande partie du XV de France de l'époque... Mais aussi d'autres plus douloureux à l'image de sa blessure au tendon d'Achille (21:30)Joueur du Stade Toulousain entre 1994 et 1997, Thomas Castaignède, qui s'est investi dans le club par la suite, a eu la chance de voir les débuts d'Antoine Dupont, qu'il n'a "jamais vu être mauvais". Il raconte ensuite les autres champions qu'il a pu rencontre tout au long de sa carrière de Jonny Wilkinson à Tim Horan en passant par Jonah Lomu ou Serge Blanco. (30:08)Enfin, il évoque en un mot l'évolution du rugby qui selon lui, est passé d'un sport collectif à un sport beaucoup plus individualisé, notamment dans sa préparation. Une évolution qu'il n'apprécie guère. (45:34)Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/19/202354 minutes, 45 seconds
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Marc Maury : "Le saut de Fosbury a révolutionné ma vie"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Marc Maury, ancien décathlonien, consultant athlétisme et présentateur d'événements sportifs.Marc Maury raconte comment il est devenu décathlonien (03:50). Après le football, il remporte des cross country en Algérie. "Je devais faire de l'activité, j'étais un peu hyperactif, sinon à la maison c'était l'enfer." Après être devenu champion d'Algérie cadet puis junior, Marc Maury explique comment sa curiosité sur une piste d'athlétisme l'a emmené au décathlon.Après cette première aventure dans l'athlétisme (15:30), Marc est affecté à Paris comme professeur. Après trois ans d'enseignement, l'envie de découvrir autre chose est plus forte. Il commence sa carrière d'animateur puis de mannequin. "J'ai gagné en une journée comme mannequin, un an de salaire de professeur", déclare-t-il.Recruté par Charles Biétry à Canal plus, Marc se souvient de l'évolution de la télévision dans le sport (28:40). Le speaker des grandes compétitions explique comment il prépare les interviews d'après match. Il partage une anecdote où, avant la course, il savait que Asafa Powell avait perdu juste en voyant son expression.Pour finir, Marc Maury partage ses souvenirs (45:20) avec les différents grands champions comme Bolt, Federer, Nadal et bien d'autres.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Jean-François Lamour : "Je descends du podium et Jacques Chirac me met la main sur l'épaule"Stéphane Caristan : " Je me suis demandé si sans artifice ce serait compliqué de réussir"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/12/20231 hour, 2 minutes, 25 seconds
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Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Serge Betsen, ancien international français de rugby, triple vainqueur du tournoi des Six Nations et triple champion de France avec le Biarritz olympique.Serge nous raconte son départ du Cameroun pour la France à seulement 9 ans mais aussi son enfance sur place, là où sa première rencontre avec le sport a tout simplement été l'heure de marche qu'il avait à faire pour aller à l'école. (1:40) Arrivé dans l'hexagone, l'ancien champion de rugby évoque la découverte de son sport, lui qui n'avait jamais vu un ballon ovale auparavant et n'en connaissait pas les règles. Il avoue même avoir encore du mal avec elles aujourd'hui (3:50). Elevé seul par sa mère avec ses six frères et sœurs, Serge Betsen explique comment il s'est créé un environnement de sécurité dans son club de Clichy. Il compare le le rugby à la pub "United Colors of Benetton" : des gens de tous les horizons qui se rassemblent autour de ce fameux ballon ovale qui l'a tant marqué (11:00)Vient ensuite le moment de se souvenir de ses plus grandes émotions en carrière, de sa première sélection en équipe de France à sa victoire en Coupe du monde universitaire en 1996 en passant par son adaptation au pays basque et sa volonté d'intégrer l'équipe première. (18:00) Serge raconte notamment l'anecdote d'un discours de Bernard Laporte à la mi-temps d'une rencontre du XV de France qui a inspiré une publicité pour une célèbre marque de pâtes (23:40)."Je n'avais pas les outils pour jouer en équipe de France". C'est avec ces mots que Serge Betsen décrit ses premiers pas sous le maillot bleu, marqués par un écart de trois ans entre sa première et sa deuxième sélection. Des premiers pas où son image de joueur fautif a été mis à rude épreuve, en témoigne ce carton jaune reçu lors du Crunch face à l'Angleterre lors de sa troisième sélection. (28:01)Avec émotion, notre invité évoquera la Serge Betsen Academy, association qui a permis grâce à la création de plusieurs centres d'accueil au Cameroun et au Mali d'aider plus de 8300 enfants ces 20 dernières années (38:15)Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Jean-François Lamour : "Je descends du podium et Jacques Chirac me met la main sur l'épaule"Stéphane Caristan : " Je me suis demandé si sans artifice ce serait compliqué de réussir"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/30/202357 minutes, 51 seconds
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Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Dorian Coninx, champion d'Europe de triathlon en 2021, triple champion du monde en relais mixte en 2018, 2018 et 2020 et médaillé de bronze aux derniers Jeux Olympiques. Dorian commence cet "entretien" par le commencement et raconte comment il a décidé du jour au lendemain de passer de la natation au triathlon après une séance qui ne se passait pas très bien (1:45). Il explique la spécificité de sa discipline avec cet adage tout trouvé : "on ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut la perdre". Son passé de nageur est à cet égard un avantage pour bien démarrer ses triathlons même si Dorian est habitué à faire la différence à la course à pied (7:30). De la préparation mentale qu'il a commencé depuis 2016 à la récupération et à la nutrition en passant par la notion de groupe qu'il cultive à travers ses entraînements, Dorian s'épanche sur les coulisses de son sport : le fameux travail de l'ombre (13:13)Avec Flo Masnada, Dorian Coninx revient sur sa médaille de bronze en relais mixte au Jeux Olympiques de Tokyo, mélange de joie et de frustration compte tenu des résultats de l'équipe de France précédant la course (25:53). À partir des champions du triathlon qui l'ont marqué, Dorian avoue ce qui le motive à pratiquer ce sport dans lequel l'athlète va puiser jusqu'à ses dernières forces, quitte à défaillir en pleine course, de quoi "passer pour des fous" (33:23).Des efforts qui ne sont forcément pas toujours récompensés. Alors comment gérer l'échec ? Notre invité nous raconte sa méthode et la pire des choses selon lui lorsque nous y sommes confrontés : "le pire dans l'échec, c'est quand on ne comprend pas pourquoi" (37:44) Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Jean-François Lamour : "Je descends du podium et Jacques Chirac me met la main sur l'épaule"Stéphane Caristan : " Je me suis demandé si sans artifice ce serait compliqué de réussir"Florian Rousseau : "Il y avait de la défiance dans le regard, quelque chose d'animal"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/15/202346 minutes, 34 seconds
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Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Florian Jouanny, double champion d'Europe, double champion du monde et champion olympique de cyclisme handisport, en handbike. Passionné de ski et plus particulièrement de freeride dans sa jeunesse, Florian évoque sa chute dans un snowpark à la suite de laquelle il se casse les cervicales et se retrouve tétraplégique. Et comment de cette blessure, il s'est orienté vers le handbike à la quête des sensations de vitesse que le ski lui procurait (01:38).Avec Flo Masnada, il décrypte l'importance du matériel dans sa discipline qui n'est ni plus ni moins qu'un véritable sport mécanique avec des restrictions à respecter mais aussi des libertés laissées pour permettre à chacun d'apporter sa patte sur le vélo afin d'améliorer les performances (07:04).Florian Jouanny revient sur son sacre olympique à Tokyo et comment il a surpris les principaux favoris grâce à une stratégie "ça passe ou ça casse" (10:52). Désormais auréolé d'un nouveau statut, son regard est désormais tourné vers Paris 2024 où, comme il nous l'explique, les places seront chères tant le niveau du paracyclisme français masculin est dense. Le ski n'étant jamais très loin dans Belle Trace, Florian Jouanny et Flo Masnada discute des parallèles avec le handbike notamment dans les trajectoires en descente mais aussi du ski fauteuil dans lequel notre invité n'a malheureusement jamais retrouvé les mêmes sensations qu'autrefois (18:34).Premier tétraplégique européen à terminer un Ironman en 2017, Florian raconte comment il a dû apprendre à nager, lui qui avant son accident de ski était selon ses dires "déjà un piètre nageur" (23:08).Il sera également question de dopage dans le handisport, de plus en plus présent à mesure que la discipline gagne en lumière et la contrainte que peut constituer le système de contrôle des athlètes (27:45).Petit point technique pour finir afin de mieux comprendre comment fonctionne le handbike et comment Florian utilise la force de ses bras pour piloter son vélo, mais aussi sa tête pour passer les vitesses... (36:17)Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Jean-François Lamour : "Je descends du podium et Jacques Chirac me met la main sur l'épaule"Stéphane Caristan : " Je me suis demandé si sans artifice ce serait compliqué de réussir"Florian Rousseau : "Il y avait de la défiance dans le regard, quelque chose d'animal"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/1/202341 minutes, 18 seconds
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Brice Guyart : "Petit, j'étais dans le rôle de Zorro et Astrid dans celui de sergent Garcia !" [REDIFFUSION]

Brice "Zorro" Guyart est l'invité de Belle Trace cette semaine aux côtés de Flo Masnada. Il commence par détailler les différents types d'arme, lui qui pratique le fleuret, une arme qui était au départ une arme d'apprentissage (07:00). Et explique pourquoi il a choisi le fleuret. Brice Guyart revient ensuite sur le rôle du maître d'armes (13:15). Double champion olympique, il se penche également sur les JO (16:10), sa préparation pour Sydney 2000 avec la médaille d'or par équipes alors qu'il n'était pas pressenti pour tirer. Il raconte aussi une anecdote lorsqu'à 13-13 dans une opposition, son coach lui glisse une petite filouterie (20:45). Puis il revient sur la finale des Jeux Olympiques d'Athènes en 2004 face à l'Italien Salvatore Sanzo (23:00). Une victoire à l'issue d'une journée qu'il détaille du matin au soir. Une fois la dernière touche réussie en finale, il ressent une émotion différente par rapport à 2000 (32:00) : il est champion olympique de fleuret individuel. Dans la dernière partie, il est question des champions qui l'ont inspiré : Michael Jordan et Tiger Woods (36:15). Il évoque également sa sœur qui a remporté une médaille olympique à Tokyo en 2021 : "J'étais fier et touché", dit-il. (39:35) Bonne écoute. Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/27/202352 minutes, 44 seconds
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Jean-François Lamour : "Je descends du podium et Jacques Chirac me met la main sur l'épaule"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Jean-François Lamour, double champion olympique au sabre et ancien ministre des Sports sous Jacques Chirac.Oui, on peut décrocher l'or aux JO en n'étant "pas d'une grande famille de sportifs". Plus jeune, c'est la turbulence à l'école qui a poussé Jean-François Lamour vers l'escrime. Ou plutôt vers le sabre, lui qui était "nul au fleuret et à l'épée" (04:51).Avec Flo Masnada, le double champion olympique en individuel (1984, 1988) retrace sa carrière, son sport et ses subtilités au plus haut niveau : "si au sabre tu n'as pas analysé le jeu du jour de ton adversaire dans les 20 premières secondes, la distance, le mouvement de son bras, et si tu ne t'es pas adapté à son jeu, tu es au vestiaire." (08:50)Passionné par le côté "intellectuel", la "stratégie" de l'escrime, Jean-François Lamour a empilé les médailles (5 aux Jeux, 3 mondiales dont l'or en 1987). Ça avait pourtant mal commencé lorsqu'il était arrivé aux JO de Moscou, en 1980, "sans entraîneur ni sparring-partner" (21:43). "Le sabre français est, à cette époque-là, en très mauvaise posture", se souvient Lamour. La venue d'un entraîneur hongrois à la "personnalité forte, qu'il ne fallait pas emmerder" (26:38) a eu un effet de bascule.C'est dans la foulée des Jeux de 1984 que Lamour a rencontré Jacques Chirac, entamant sans le savoir sa transition vers la politique (32:19). "Je descends du podium et je vois ce grand type qui me met la main sur l'épaule, relate Lamour. Il a des mots simples, qui me touchent."Conseiller sport à l'Élysée de 1995 à 2002, ministre des Sports ensuite jusqu'en 2007 : Lamour a œuvré, notamment pour l'INSEP. Le monde politique lui a laissé des bons souvenirs. Mais pas que. "C'est très chronophage, parfois un peu perturbant au niveau familial", reconnaît-il (38:53). Si "avoir l'oreille du président" l'a bien aidé, l'escrimeur note une "grande différence avec le sport : c'est que tu n'as pas de règle. Tous les coups tordus peuvent être faits et tu peux les faire." (41:30)Content d'avoir depuis "rebasculé dans la vraie vie" (42:27), Lamour, 67 ans, se projette sur les JO de Paris qui attendent les athlètes tricolores en 2024. Son conseil ? "Éliminer, mentalement parlant, toutes les aspérités, sinon tu vas te retrouver submergé par le stress." (46:38) Même s'il doit bien admettre que la conscience de cet "événement à part" peut aider à se sublimer. "C'est un subtil équilibre", résume-t-il.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Florian Rousseau : "Il y avait de la défiance dans le regard, quelque chose d'animal"Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre"Damien Traille : "Je suis sorti en pleurant de mon tout premier match de rugby, mais j'y suis retourné"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/4/202358 minutes, 7 seconds
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Stéphane Caristan : " Je me suis demandé si sans artifice ce serait compliqué de réussir"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Stéphane Caristan, ancien champion d'Europe du 110 m haies et champion du monde en salle sur 60 m haies.Le petit dernier de la famille, il raconte ses débuts difficiles dans l'athlétisme à l'âge de 10 ans. Avec un coach assez dur, il s'accroche pour continuer à grandir. Stéphane Caristan dévoile son amour pour le sport. Ce touche à tout se dirige naturellement vers les haies. (2:00)Après une fin assez brusque avec son coach, le natif de Créteil décide de s'entraîner seul pendant six ans. Il développe comment il a réussi à travailler seul avec Harald Schmid, ancien détenteur du record d'Europe du 400 mètres haies, comme conseiller et l'aide de son futur beau frère. (12:00)La question du dopage arrive dans sa carrière. Il fait partie des rares à dénoncer cette triche dans les années 90's. Avec son entourage, l'ancien directeur des équipes de France d'athlétisme se demande ce qu'est le dopage après une tournée aux Etat-Unis.(14:40) Le passage de coureur à entraîneur s'est fait de la plus simple des façons. Stéphane Caristan était déjà dans ce rôle là pour aider les autres athlètes. Il raconte sa reconversion où il est aussi présent pour l'athlétisme mais aussi pour accompagner Jean Marc Mormeck. L'ancien coureur de haies est un entraîneur qui fait très attention au physique de ses athlètes. (26:50)Autre carrière, Stéphane Caristan est devenu consultant télé. Il explique son envie de vulgariser la compétition de haut niveau. L'ancien coach souhaitait expliquer les raisons d'une victoire ou d'une défaite d'un athlète pour que le téléspectateur comprenne mieux. (35:00)Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Camille Serme : "Plus jeune, je me donnais des coups de raquette mais tout a changé avec la préparation mentale"Julien Benneteau : "Quand on arrête, ce qu'il nous reste, ce sont les émotions qu'on a vécues"Jean-Paul Loth : "Il n'y a peut-être pas quelqu'un qui a le parcours que j'ai"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/13/202352 minutes, 57 seconds
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Florian Rousseau : "Il y avait de la défiance dans le regard, quelque chose d'animal"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Florian Rousseau, ancien champion de cyclisme sur piste, triple champion olympique et quintuple champion du monde individuel. À l’arrêt de sa carrière, il explique avoir dû faire face à une phase de dépression malgré une reconversion immédiate en tant qu’entraîneur national au sein de la fédération de cyclisme. Une période de deux ans au cours de laquelle, il avoue avoir “touché le fond” à plusieurs reprises. (8:34) Florian Rousseau évoque ensuite ses débuts dans le cyclisme et comment il a été amené à se tourner vers la piste et ses virages à 45 degrés sur laquelle il s’est vite senti “comme un poisson dans l’eau”. (17:53) Le natif d’Orléans évoque les rituels inhérents à chaque sportif de haut niveau en revenant sur l'expérience de sa deuxième olympiade où il a commencé à mieux appréhender la confrontation directe avec ses adversaires avant les courses. Là, dans la chambre d’appel où selon la compétition commençait déjà par “une défiance dans le regard, quelque chose de très animal” (30:06) Florian Rousseau raconte ses aventures à travers le Japon, terre de keirin par excellence, la culture qu'il a découverte, les coureurs japonais qu'il a rencontrés, certains avec qui ça s'est bien passé et d'autres avec qui parfois non. Il raconte son anecdote d'une piste de keirin au pied du Mont Fuji, une expérience qu'il souhaite vivre. (38:40) Les Jeux à Paris se rapprochant de plus en plus, celui qui est directeur du programme olympique à la Fédération française de cyclisme évoque cette énorme échéance qui arrive. Qui plus est dans une discipline qui est la troisième comptant le plus d'épreuves différentes sur les JO derrière l'athlétisme et la natation, avec autant de spécificités différentes (vélos différents, terrains différents...) (41:56)Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Camille Serme : "Plus jeune, je me donnais des coups de raquette mais tout a changé avec la préparation mentale"Julien Benneteau : "Quand on arrête, ce qu'il nous reste, ce sont les émotions qu'on a vécues"Jean-Paul Loth : "Il n'y a peut-être pas quelqu'un qui a le parcours que j'ai"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/6/202355 minutes, 12 seconds
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Olivier Magne : “Tant que tu n’as pas joué les Blacks, tu n’es pas un joueur de rugby”

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Olivier Magne, ancien champion de rugby, vainqueur de 3 Grands Chelems avec le XV de France et finaliste de la Coupe du monde. Natif d’Aurillac, Olivier Magne raconte ses premiers amours pour le ski (01:48) et comment il a failli délaisser les terrains de rugby pour les pistes blanches. Des pistes qui lui ont apporté une exigence quotidienne en termes d'entraînement à une époque où le rugby n’était pas encore professionnel et qui l’ont façonné mentalement aux grands rendez-vous de sa future carrière.Olivier et Florence discutent ouvertement sur la profession de préparateur mental dans le sport de haut niveau, sur son image, sur son utilité ou encore sur ses dérives. (10:30) L’ancien international français raconte comment il a été accueilli chez les Bleus dans une équipe composée d’anciens qui ne voyaient pas forcément d’un bon œil l’arrivée de jeunes prêts à chiper leur place (17:15). Dans Belle Trace, il est aussi question de Haka et de Jonah Lomu, on vous laisse savourer (25:33). Olivier Magne évoque ensuite sa reconversion et notamment comment en tant que qu’entraîneur des espoirs, il a accompagné la génération actuelle du rugby français, parmi les favori du prochain Mondial dans l’Hexagone (29:48) avant de parler de son rôle de consultant. Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Camille Serme : "Plus jeune, je me donnais des coups de raquette mais tout a changé avec la préparation mentale"Julien Benneteau : "Quand on arrête, ce qu'il nous reste, ce sont les émotions qu'on a vécues"Jean-Paul Loth : "Il n'y a peut-être pas quelqu'un qui a le parcours que j'ai"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/24/202349 minutes, 56 seconds
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Camille Serme : "Plus jeune, je me donnais des coups de raquette mais tout a changé avec la préparation mentale"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Camille Serme, ancienne championne de squash, multiple championne de France et d’Europe et victorieuse du British Open et de l’US Open. “La panthère”, c’est son surnom, découvre le squash dès l’âge de 7 ans, un peu par hasard comme beaucoup de champions et va vite progresser au point d’aller se frotter aux garçons, faute de partenaires filles de son niveau. (01:49)La native de Créteil évoque l’aspect psychologique et la subjectivité inhérents au squash, à l’image du fameux replacement au T, source de tensions entre des joueurs qui selon les profils réussissent à jouer avec les règles aux yeux des arbitres. Camille Serme évoque notamment le vol de sa carrière lors des Masters (08:55).Camille Serme a beaucoup travaillé la gestion de ses émotions avec trois préparateurs mentaux au cours de sa carrière, elle qui se “donnait des coups de raquette dès 16 ans”. Un aspect indispensable de la préparation d’un sportif de haut niveau qu’elle regrette de ne pas avoir abordé plus tôt. (10:38)Elle évoque sa rivalité avec Nouran Gohar dit “Terminator” contre qui elle a mis “deux semaines à se remettre” d’un match (19:12) au championnat du monde. Mais aussi sa relation de 7 à 33 ans avec Philippe Signoret, son entraîneur de toujours (24:26). Camille nous rencontre sa frustration de ne pas voir le squash aux JO en 2024, elle qui a milité pour son sport et de comment elle a travaillé pour développer sa discipline avec la création du tournoi de Paris (29:15) Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Pierre Vaultier : "Deux mois avant les JO, je suis dans mon canapé à déprimer, le genou en vrac"Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre"Ladji Doucouré : "Dans la chambre d’appel, c’était du trash talking à fond, limite défiance physique"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/10/202347 minutes, 51 seconds
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Julien Benneteau : "Quand on arrête, ce qu'il nous reste, ce sont les émotions qu'on a vécues"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Julien Benneteau, ancien champion de tennis et capitaine de l'équipe de France de Fed Cup.Il touche un peu à tout, et il a toujours été comme ça. Petit, Julien Benneteau a arpenté les pistes de ski et les terrains de football. Mais son vrai amour, celui qu'il a découvert à 3-4 ans, c'est le tennis. Ce fils d'un fan de Jimmy Connors retrace son parcours junior et ce qui l'a séduit dans la petite balle jaune : "Cette combinaison de s'adapter au jeu de l'adversaire et d'imposer son jeu. C'est à la fois un duel et un jeu d'échecs. C'est aussi un combat physique." (3:40)Le Rhônalpin évoque, tout au long du podcast, la spécificité du tennis comme sport individuel ("C'est nous qui devons gérer cette victoire, cette défaite, les émotions qui vont avec et qui nous déterminent tout au long d'une carrière.") et le rôle de l'entraîneur : "A la fin, on est seul sur le terrain à prendre la décision. Les bons entraîneurs, ce sont ceux qui amènent à préparer leur joueur à être capable d'être d'autonome dans ces moments-là." (15:35)Le tennis, il n'a plus de secret pour Benneteau, 41 ans et titré à 12 reprises en double, mais jamais en simple. "Oui c'est un regret. Mais quand on arrête, ce qu'il nous reste, ce sont les émotions qu'on a vécues" (21:35), partage le retraité des courts depuis 2018.Dans sa longue carrière, Benneteau a croisé "les trois monstres", Rafael Nadal, Novak Djokovic et Roger Federer. Il parle de ses souvenirs forts de la finale de Wimbledon en 2019, remportée en 5 sets par le Serbe face au Suisse. Le fan qu'il est de Pete Sampras, mais aussi de Tiger Woods ou Michael Jordan, est aujourd'hui un fier capitaine de l'équipe de France de Fed Cup, trophée qu'il a soulevé en 2019. Une émotion "exceptionnelle". (38:20)L'avenir, Benneteau en parle librement. Il ne le voit pas avec le costume d'entraîneur à plein temps. "Je ne veux pas repartir longtemps et loin de ma famille. Et puis je ne serais pas bon là-dedans" (45:02), reconnaît le vainqueur de Roland-Garros 2014 en double avec Édouard Roger-Vasselin.Enfin, le médaillé de bronze aux Jeux olympiques de Londres 2012 (avec Richard Gasquet) a l'eau à la bouche en pensant à Paris 2024. "J'aimerais qu'il y ait un avant et un après" (50:15), souhaite Benneteau, désireux que l'accès au sport et sa place à l'école fleurissent dans la foulée de l'événement.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Pierre Vaultier : "Deux mois avant les JO, je suis dans mon canapé à déprimer, le genou en vrac"Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre"Ladji Doucouré : "Dans la chambre d’appel, c’était du trash talking à fond, limite défiance physique"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/26/202356 minutes, 30 seconds
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Jean-Paul Loth : "Il n'y a peut-être pas quelqu'un qui a le parcours que j'ai"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Jean-Paul Loth, légendaire entraîneur du tennis français.Issu d'une famille modeste, Jean-Paul Loth, 83 ans aujourd'hui, raconte sa découverte du tennis, un sport où il a été un joueur honnête tout au plus. "Ma carrière a été ponctuée par des moments où j'ai senti que je ne pourrais pas être le meilleur." (2:08)Également attiré par le football, Jean-Paul Loth a bifurqué vers le tennis par la force du "son de la balle et l'élégance de ce jeu". (4:02) L'Alsacien y a laissé sa plus belle trace comme entraîneur ("Je suis fondamentalement un pédagogue, un enseignant." 12:00). Capitaine de l'équipe de France de Coupe Davis de 1980 à 1987, il a rencontré Yannick Noah quand ce dernier était encore un enfant.Jean-Paul Loth passe en revue ses plus beaux moments à travers la Coupe Davis, qui l'ont amené à croiser les meilleurs joueurs du monde. "Il n'y a peut-être pas quelqu'un qui a le parcours que j'ai" (16:50), estime celui qui a été ramasseur de balles, joueur, arbitre, responsable de la formation ou encore Directeur technique national à la Fédération française de tennis.Consultant de légende, notamment pour Eurosport, Loth a découvert les plateaux de télévision "à cause du tennis féminin" (26:40), dont il ne supportait pas le traitement et les commentaires de matches, trop négatifs à son goût. Le natif de Strasbourg partage ses plus grandes émotions à travers le tennis, parmi lesquelles la victoire des Bleus à la Coupe Davis 1996, en Suède où il a établi "le record du monde du temps de commentateur" (30:15) en passant près de 11h d'affilée derrière le micro !Malgré les années, sa passion pour le tennis demeure intacte. À ses yeux, la différence entre les champions et les grands champions, ce n'est pas le mental. C'est qu'"ils ont tous des techniques impeccables" (36:00). "On oublie de trop qu'il faut bosser beaucoup, quand on est jeune, pour mettre un certain nombre de choses en place."Au détour d'un débat sur le portrait-robot du joueur de tennis ultime et du GOAT, Jean-Paul Loth en place une sur la réforme de la Coupe Davis. "Comment a-t-on pu être nul au point de casser la plus belle épreuve du jeu de tennis ?", s'interroge-t-il. (53:30)Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Ophélie David : "Si demain je peux participer aux JO, même en me reprenant un rateau, je signe quand même"Jean-Pierre Vidal : "Revenir après m'être fait les deux genoux et devenir champion olympique, peu l'ont fait"Michaël Guigou : "J'aimais connaître les failles des gardiens"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/11/202357 minutes, 19 seconds
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Ophélie David : "Si demain je peux participer aux JO, même en me reprenant un rateau, je signe quand même"

Après le snowboarder Pierre Vaultier, nouvelle lumière sur le sport blanc cette semaine dans Belle Trace : Flo Masnada accueille Ophélie David, la skieuse acrobatique française, championne du monde de skicross en 2007, vice-championne du monde en 2015 et vainqueure de la Coupe du monde à sept reprises entre 2004 et 2010.Née dans le nord de la France, rien ne prédestinait vraiment cette fille de basketteur professionnel, son modèle, à devenir une championne de ski. De ski alpin d'abord, puis de ski acrobatique par la suite, après un déménagement à l'Alpe d'Huez qui a facilité les choses, puis après un séjour aux Etats-Unis où elle s'est jetée à corps perdu dans le ski cross dans un souci de défier un adversaire... au lieu de faire des chronos contre elle-même comme sur une piste alpine. Et ce qui est le plus fort est qu'elle a fait après avoir donné naissance à sa fille Lilou. Ce qui lui a donné une force inestimable pour se surpasser.Ophélie David a pris sa retraite depuis 2018, après une blessure ligamentaire au genou, mais elle n'a pas tourné le dos au sport pour autant. Elle est consultante pour Eurosport. Férue de surf et de cyclisme, elle a pratiqué le VTT en compétition et a fait de la route en faisant le tour de la France à vélo en suivant ses frontières terrestres et maritimes pendant plus d'un mois ! Et maintenant, elle s'attaque à la course à pied avec le projet de faire le marathon de Paris le 2 avril et surtout de faire la "Diagonale des Fous" sur l'île de la Réunion au mois d'octobre... Bienvenue dans Belle Trace et bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/27/202350 minutes, 42 seconds
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Pierre Vaultier : "Deux mois avant les JO, je suis dans mon canapé à déprimer, le genou en vrac"

Grand bol d'air frais cette semaine dans Belle Trace : Flo Masnada accueille Pierre Vaultier, le snowboarder français double champion olympique de snowboardcross en 2014 et 2018 et champion du monde entre les deux, en 2017. Des titres remportés dans la douleur, notamment en raison d'un genou gravement touché, qui le poussera à prendre sa retraite sportive.Sa gestion du "chaos" suite à son genou cassé en 2014 avant les Jeux Olympiques de Sotchi, sa résilience pour revenir au plus haut niveau, son amour des challenges ou l'amour de l'impossible, ses moments suspendus, la gain de son second titre olympique à Pyeongchang : l'histoire de Pierre Vaultier est faite de rebondissements.Pour lui, le sport, c'est esthétisme et élégance : son parcours réalisé en partenariat avec Red Bull l'illustre assez bien.Très alerte sur la question environnementale, le Français a réussi à monter avec Florent Astier une association Tree2Forest dédié à la reforestation et vous partage ainsi sa passion de la nature et de la montagne, bien entendu.Bienvenue dans Belle Trace et bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/14/20231 hour, 1 minute, 3 seconds
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David Smétanine : "On n'est jamais à vie le meilleur"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit David Smétanine, champion paralympique de natation à Pékin en 2008. Il nous raconte comment il en est venu au sport de haut niveau avec l'influence énorme qu'ont pu avoir les Jeux Olympiques et tous les champions qui y ont été consacrés dans les yeux d'un enfant. David évoque son parcours de vie, son accident de voiture et la vie qui s'arrête, les repères qui ne sont plus les mêmes pour le jeune nageur qu'il est alors - après s'être essayé au judo et au hockey sur glace. Et la vie qui doit reprendre avec ce nouvel handicap et tout à réapprendre, y compris le sport jusqu'au haut niveau. Il évoque l'importance et l'influence que peuvent avoir le sport et les champions paralympiques dans la société, notamment au travers des Jeux Paralympiques de Paris en 2024. Une échéance très importante pour David Smétanine qui rêve d'y finir sa carrière avec un titre à domicile. Comment ? Il nous le détaille. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Damien Traille : "Je suis sorti en pleurant de mon tout premier match de rugby, mais j'y suis retourné"Thierry Rey : "Le sport nous façonne"Jean-Pierre Vidal : "Revenir après m'être fait les deux genoux et devenir champion olympique, peu l'ont fait"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/28/202350 minutes, 25 seconds
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Marielle et Christine Goitschel : "Il a fallu avoir une force de caractère phénoménale pour résister à tout le monde"

Cette semaine, Flo Masnada reçoit les soeurs Goitschel, Christine et Marielle, les grandes gueules du ski alpin. A elles deux, les deux phénomènes compilent trois titres olympiques (deux pour Marielle et un pour Christine) et huit titres de championnes du monde (sept pour Marielle et un pour Christine), étant les terreurs des spatules dans les années 60.Dans ce podcast, les soeurs Goitschel évoquent leur début sur des skis dès leurs 16 ans (5:00). Elles se sont notamment faites connaître aux championnats du monde de Chamonix en 1962 où la cadette Marielle devient championne du monde du combiné à 16 ans et demi (record de précocité).Elles se sont battues pour être reconnues et mises en valeur au milieu d'un monde d'hommes, aussi bien d'un point de vue salaires et préparations physiques (16:20). Des caractères bien trempées nécessaires pour s'imposer aussi au niveau sportif, au point d'être valorisées aussi par le Président de la République d'alors, le Général de Gaulle, via la Légion d'honneur. Et lutter contre les préjugés (25:30). Et vous verrez que les Goitschel très au fait de l'actu des sports blancs grâce à Eurosport. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Jean-Pierre Vidal : "Revenir après m'être fait les deux genoux et devenir champion olympique, peu l'ont fait" Luc Alphand : "J'ai connu une époque où quand on faisait 15e, 20e en descente, c'était top"Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre" Nathalie Péchalat : "Dans le sport de haut niveau, tu es toujours en course contre-la-montre" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/15/20231 hour, 1 minute, 44 seconds
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Damien Traille : "Je suis sorti en pleurant de mon tout premier match de rugby, mais j'y suis retourné"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Damien Traille, ancien rugbyman professionnel, qui a connu deux clubs emblématiques dans sa carrière de joueur : Pau, sa ville natale, et Biarritz, avec lequel il gagnera deux Boucliers de Brennus.Damien est tombé dans le rugby dès sa jeune enfance, sa famille étant passionnée par ce sport, il n'a pas connu des débuts faciles (01:45). Il vous explique pourquoi il a quitté la Section Paloise pour Biarritz, au moment de voir sa carrière professionnelle prendre de l'épaisseur avec le XV de France, avec lequel il gagnera deux Grands Chelems et disputera une finale de Coupe du monde en 2011.Qui dit rugby, dit aussi amitié : Damien tissera des liens forts avec un joueur en particulier : Imanol Harinordoquy, qu'il a connu à Pau et suivi à Biarritz (25:01). Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Fabien Pelous : "Et le lundi, je voyais des gens mourir devant moi"Philippe Sella : "Jean-Pierre Rives, je voulais être lui au point que je me suis teint les cheveux en blond"Abdelatif Benazzi : "Mon premier haka ? J'ai regardé dans mon pantalon pour voir ce qu'il y avait"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/1/202353 minutes, 48 seconds
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Thierry Rey : "Le sport nous façonne"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Thierry Rey, champion d’Europe, champion du monde et champion olympique de judo. Le judoka français qui a inspiré tant de jeunes ensuite et qui fut l’un des premiers consultants TV.Florance Masnada évoque dans un premier temps, les débuts de Thierry Rey. Comment a-t-il commencé le judo et pourquoi ? (01:50) Légèrement turbulent durant son enfance, le Français a commencé la discipline sur les conseils de son médecin pour le canaliser.Au début, il n’aime pas particulièrement le judo, mais Thierry Rey finit par y prendre goût au point qu’à13 ans, il avait un petit carnet avec des photos de ses idoles et il partait à la chasse aux autographes (07:10). Des idoles qu’il retrouvera en équipe de France quelques années plus tard.Le champion français revient ensuite sur ses premières compétitions et ses premiers sacres, mais surtout sur son rapport et son attachement avec le stade Pierre-de-Coubertin (08:25)Le judoka partage son état d’esprit avant chaque combat (12:45) et comment garder les pieds sur terre. Il fallait surtout un mental d’acier pour aborder un match. Il raconte aussi cette délivrance après une victoire et la satisfaction de réussir ses objectifs.Thierry Rey revient sur son titre olympique à Moscou en 1980 (17:40). Un titre qui ne pouvait pas lui échapper, 6 mois après son titre de champion du monde. Le Français décrit aussi la condition physique qu’il fallait avoir et surtout le poids qu’il devait maintenir.Après sa carrière de judoka, le Français ne voulait pas être entraineur, il avait envie d’autre chose, « de voir la vie » (24:00). Il a fait des kimonos, pris des cours de comédie, il a été chargé de missions pour les JO. Après avoir fait un peu de théâtre et des films, il a commencé les commentaires de matches pour Canal+, un des premiers consultants sportifs avant d’être journaliste et de commenter diverses disciplines. Sans oublier un passage en politique.Aujourd’hui, Thierry Rey travaille au comité d’organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024 (35:00), conseillé spécial, il s’occupe des territoires, comment on partage ses jeux avec les départements et les Français.Il a aussi accompagné des athlètes au fil des années pour surtout leur montrer l’aspect psychologique du sport (40:00). Rien n’est fait et tout est encore possible, notamment pour les sportifs qui visent Paris 2024.Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre" Nathalie Péchalat : "Dans le sport de haut niveau, tu es toujours en course contre-la-montre" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/24/202350 minutes, 28 seconds
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[REDIFFUSION] Jérôme Fernandez : "Le premier titre en 2001 avec les anciens a été magique"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit le champion de handball Jérôme Fernandez. Issu d’une famille de handballeurs, le Français a tout de suite goûté à ce sport là et il a commencé très jeune dès l’âge de 5 ans et demi. (03:07) Il revient sur son parcours chez les jeunes avant de devenir professionnel. 1,99m et 106 kg. Un gabarit hors norme mais une croissance tardive pour Jérôme Fernandez, qui est passé de 1,78m à 1,97m à la fin de l’adolescence. Et c’est à ce moment-là qu’il s’est spécialisé au poste d’arrière. (06:00) "J’ai cette particularité d’avoir eu des blessures plus "grave" en dehors des terrains que sur les terrains". (10:10) Fernandez évoque sa brulure le matin de son départ pour les championnats d’Europe en Croatie, passé par des greffes et des soins lourds, cet épisode est resté un traumatisme qui l’a aidé à se construire. Novembre 1997, première sélection en equipe de France avec ses idoles d’enfance. "Je ne savais même pas ou m’asseoir à la table des joueurs". (15:00) Avant de devenir quelques années plus tard capitaine de cette équipe. Le Français raconte tous ces moments de vie au sein du groupe.Jérôme Fernandez décortique les plus beaux moments de sa carrière en bleu et les titres les plus marquants. "Le premier titre olympique à Pékin c’est ce qui nous a fait basculer d’une grande équipe de sport co à la reconnaissance internationale" (30:08) Après sa carrière de joueur, c’est tout naturellement qu’il se tourne vers une carrière d’entraineur. Il parle de ses débuts et surtout de l’arrivée de Florent Manaudou, qui est passé de la natation au handball. "C’est compliqué de changer de sport et de performer de la même manière". (33:30) Il revient sur l’intégration du nageur au sein du groupe pro. Une parenthèse bénéfique pour Florent Manaudou pour la suite de sa carrière. Paris 2024 : "C’est une chance de pouvoir vivre les jeux à la maison" (41:30) Les deux équipes de France vont arriver avec le titre de champion olympique à défendre à domicile. Jérôme Fernandez a déjà hâte d’y être. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Valérie Nicolas : "Les gardiennes n'avaient pas bonne réputation dans notre génération"Muriel Hurtis : "La piste me permettait de m'exprimer, d'extérioriser" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/17/202349 minutes, 10 seconds
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Jean-Pierre Vidal : "Revenir après m'être fait les deux genoux et devenir champion olympique, peu l'ont fait"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Jean-Pierre Vidal, champion olympique de slalom en 2002. Facile pour elle de rencontrer "JP", car les deux sont consultants sur Eurosport. C'est donc tout naturellement que les deux champions se sont croisés entre deux commentaires. L'ex-skieur se penche d'emblée sur sa formidable épopée des Jeux Olympiques 2002 alors qu'il s'était blessé peu de temps auparavant et qu'il n'était même plus dans le groupe "Coupe du monde". "Cette blessure m'a énormément servi sur le plan mental", explique-t-il alors qu'il venait de se blesser aux deux genoux. Comment a-t-il réussi à surmonter cela ? (04:46) Une bonne dose de mental d'abord ainsi qu'un soutien familial et des collectivités. Concernant l'importance du soutien mental, il conseille aux plus jeunes de s'en servir pour réussir à performer ainsi qu'échanger avec les anciens skieurs (07:52). "JP" a aussi été un des précurseurs dans la quête de nouvelles techniques d'entraînement comme la pratique du Qi gong et du yoga pour acquérir davantage de souplesse (15:00). "Il faut prendre des options parallèles", conseille-t-il aux plus jeunes. Il prend aussi l'exemple de Bode Miller qui a su sortir du chemin pour exister et se construire un palmarès XXL.  Place à son titre olympique ensuite et cette journée mémorable aux JO de Salt Lake City en 2002 (18:43). Meilleur temps de la première manche, JP se présente au départ de la seconde en sachant que Bode Miller, son grand rival, vient de sortir de la piste. Comment a-t-il géré cela ? Ses réponses. La suite de sa carrière ? Il a d'abord connu une certaine décompression la saison suivante avant de gagner à Kitzbühel en 2006. (27:00) "Mes deux rêves de gosse, c'était de gagner Kitzbühel et les Jeux Olympiques", avoue-t-il avant de raconter sa mésaventure aux JO de Turin en 2006, deux jours avant l'épreuve de slalom. "Je me casse le bras et je ne peux pas défendre mon titre", explique-t-il. Pas de deuxième médaille pour le skieur de la Toussuire qui avait choisi de mettre un terme à sa carrière à la suite de ces JO.  Il bascule ensuite très vite dans l'après-carrière "en s'y mettant à 100%". D'abord dans la construction immobilière (30:24) et en tant que consultant sur Eurosport. Que fait-il à côté ? (33:35) Du surf déjà au point d'avoir songé à en faire une deuxième carrière, du kite-surf et du ski en poudreuse.   Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre" Nathalie Péchalat : "Dans le sport de haut niveau, tu es toujours en course contre-la-montre" Luc Alphand : "J'ai connu une époque où quand on faisait 15e, 20e en descente, c'était top" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/11/202347 minutes, 54 seconds
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Laurent Jalabert : "J'ai l'impression que le vélo est devenu moins humain"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit un immense champion du sport français en la personne de Laurent Jalabert, ex-numéro un mondial de cyclisme, vainqueur du Tour d'Espagne 1995 et champion du monde du contre-la-montre (1997).L'ex-coureur entame sa discussion avec Flo Masnada par son enfance à Mazamet, dans le Tarn, où il a commencé le vélo, sport pour lequel il a "accroché de suite" (4:40) : "J'étais le seul du club à ne jamais avoir manqué d'entraînement". Passé professionnel à 20 ans, Laurent Jalabert explique que la pratique de sa discipline l'a fait sortir de sa timidité naturelle :"Le vélo c'est un moyen de m'exprimer sans avoir à ouvrir la bouche".Ayant comme idole Bernard Hinault à ses débuts (8:45), il s'en inspirera pour devenir l'un des meilleurs coureurs tricolores de sa génération.Pourtant, tout a failli s'arrêter très vite pour Laurent Jalabert. Lors du Tour de France 1994, le Français, chute lourdement à Armentières et remet en question la suite de sa carrière (17:12) : "Je me suis posé la question de si j'avais encore envie de faire ce métier. (...) Je me suis rendu compte que j'avais un peu peur. (...) Mais en me rendant compte que j'étais capable, je me suis mis des ambitions plus élevées".Jalabert revient également sur sa sortie de scène, lorsqu'il a annoncé, à la surprise de son directeur d'équipe de l'époque, sa retraite sportive (27:30). Après cela, il deviendra consultant, notamment pour France Télévisions, et adore désormais son nouveau rôle.Il convient néanmoins que le cyclisme a grandement changé depuis son époque : "Je pense que je suis un peu largué entre le vélo que j'ai connu et le vélo d'aujourd'hui. (...) J'ai l'impression que le vélo est devenu moins humain".Enfin, Laurent Jalabert décrypte la relation des cyclistes avec les Jeux Olympiques, moins importante que dans d'autres sports. (37:54) Jusqu'en 1996, les coureurs n'avaient pas accès aux JO. Ainsi : "Nos repères c'est pas forcément la médaille olympique, ça ne marque pas pareil qu'un titre de champion du monde ou qu'un maillot jaune"."Jaja" conclut par l'explication de son surnom ainsi que son amour inconditionnel du sport, lui qui est désormais triathlète "pour le plaisir". (43:00) Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre" Nathalie Péchalat : "Dans le sport de haut niveau, tu es toujours en course contre-la-montre" Luc Alphand : "J'ai connu une époque où quand on faisait 15e, 20e en descente, c'était top" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/28/202249 minutes, 22 seconds
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Pascal Gentil : "J’étais le meilleur, les gens m’en parlent encore aujourd’hui"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit un immense champion du sport français en la personne de Pascal Gentil, double médaillé de bronze aux Jeux Olympiques et trois fois vainqueur de coupe du monde de Taekwondo. Pascal Gentil nous parle de ses débuts dans la discipline, le Français a commencé le Taekwondo très tard, à l’âge de 18 seulement. (2 :25) "Tout de suite on m’a dit que ce n’était pas possible d’être champion en commençant aussi tard". Le champion a voulu leur prouver le contraire, à force de travail, lui qui n’était même pas souple à ses débuts. Il revient ensuite sur les Jeux Olympiques de Sydney en 2000 (07 :58), et sur la déception de ne pas avoir décrocher l’or, "j’ai été très triste". Mais recevoir à l’Elysée des mains du Président Jacques Chirac, le titre de chevalier de l’ordre du mérite, a été une grande fierté. Le champion français raconte son échec de ne pas atteindre la finale des JO et de ne pas décrocher la médaille d’or sur décision arbitrale. (17 :35). "J’étais le meilleur, les gens m’en parlent encore aujourd’hui (…) il y avait quelque chose de pas normal, même le public le voyait, les gens sifflaient"  "C’est une dimension psychologique le combat " (28 :10) Pascal Gentil dévoile ses rituels d’avant combat et son état d’esprit, son approche d’un match pour montrer qu’il était le meilleur. Ils racontent ses meilleurs souvenirs de sa carrière. Le Français a tout fait pour mettre en lumière le Taekwondo (36 :16). Au-delà des compétitions, il souhaitait qu’on parle de la discipline, à travers les sponsors, les médias… Ils continuent de faire un grand travail sur ce sujet pour les athlètes d’aujourd’hui et aussi pour Paris 2024.Pascal Gentil évoque également la vie d’après, ses différentes missions au sein de grands groupes, et ce qu’il a accompli depuis la fin de sa carrière sportive. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre" Nathalie Péchalat : "Dans le sport de haut niveau, tu es toujours en course contre-la-montre" Luc Alphand : "J'ai connu une époque où quand on faisait 15e, 20e en descente, c'était top" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/20/202256 minutes, 52 seconds
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Michaël Guigou : "J'aimais connaître les failles des gardiens"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit un immense champion du sport français en la personne de Mickaël Guigou, dix fois champion de France de handball, trois fois champion d'Europe, quatre fois champion du monde et trois fois champion olympique. La légende montpelliéraine revient sur l'époque des experts (2:48), une bande de "copains" avec lesquels il a simplement tout raflé mais aussi sur l'enfant qu'il était avec l'influence des Barjots et des Bronzés et les rêves qu'il a accomplis, notamment son premier titre international avec la finale de la Ligue des champions remportée par le club de l’Hérault en 2003. Dans un deuxième temps, il sera question de penalty (16:00) et du travail de préparation que cela nécessite. Comment aborder ce duel si particulier en fonction du gardien, de sa manière de jouer ou encore de son caractère sur le terrain. Un duel avant tout mental… Le natif du Vaucluse nous raconte le joueur le plus spectaculaire avec lequel il a eu l’occasion de jouer (21:58) : “Jackson Richardson a inventé des tas de choses dans le handball, il faisait tomber le gardien avec des feintes, il faisait des choses incroyables”. Mickaël Guigou revient sur son rôle de capitaine en club et en Bleus et sur la différence entre les deux rôles : "Quand j'avais un message à faire passer, je prenais le temps de le faire" (26:40) et  Du haut de ses 307 sélections en équipe de France, il pouvait pas trop s’éloigner du ballon qui colle. C’est pourquoi, il entraîne le centre de formation et la réserve de Nîmes et nous parle de la notion de transmission et du plaisir que cela lui apporte. (36:50) Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre" Nathalie Péchalat : "Dans le sport de haut niveau, tu es toujours en course contre-la-montre" Luc Alphand : "J'ai connu une époque où quand on faisait 15e, 20e en descente, c'était top" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/13/202249 minutes, 43 seconds
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Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit un duo en or : Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron, champions olympiques en titre, quintuples champions du monde et d'Europe de danse sur glace.Les deux patineurs racontent leurs débuts sur la glace (4:04) et ce qui les a séduits dans cette discipline : "La sensation de vitesse" pour Gabriella, "un nouveau terrain de jeu" pour son acolyte.  La dimension mentale est très importante dans cette discipline (19:05). Les deux athlètes reviennent longuement sur leurs rituels et leurs habitudes avant de rentrer sur la glace : "les imprévus ne sont pas très bien accueillis".Depuis février 2022, ils ont enfin le graal olympique autour du cou. Presque un an après, Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron se plongent dans leurs souvenirs de cette journée si particulière à Pékin (38:02). "Il y avait quelque chose de super simple".Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Luc Alphand : "J'ai connu une époque où quand on faisait 15e, 20e en descente, c'était top"Ladji Doucouré : "Dans la chambre d’appel, c’était du trash talking à fond, limite défiance physique"Jean-Michel Larqué : "Quand on allait jouer à Bordeaux ou Lille, le stade était vert"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/6/202253 minutes, 46 seconds
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Nathalie Péchalat : "Dans le sport de haut niveau, tu es toujours en course contre-la-montre"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit Nathalie Péchalat, double championne d'Europe , double médaillée aux championnats du mondes et multiple championne de France de patinage artistique. L'ancienne championne de danse sur glace a pris la tête de la Fédération française des sports de glace de 2020 à 2022 (pendant 2 ans et 3 mois) dans un contexte de scandale de violence sexuelles et de crise sanitaire. Elle nous raconte ce moment si particulier. (6:41) Nathalie Péchalat raconte la difficulté toute particulière de trouver un partenaire de danse sur glace dans un sport majoritairement féminin... Et comment elle a réussi à trouver en la personne de Fabian Bourzat, le bon partenaire qui l'a accompagné pendant 14 ans. (14:25)Elle revient sur la notion du doute qui accompagne tous les sportifs de haut niveau et comment elle "l'humanise", comment elle a tissé une relation pour mieux vivre avec, pour mieux le maîtriser et appréhender différemment sa carrière. (23:42)La native de Rouen explique comment le patinage artistique à travers les différentes inspirations venues du monde entier, le jugement humain qui prédomine dans la discipline et qui devient de plus en plus objectif a radicalement changé ces dernières. Un changement que l'oeil du profane ne verra pas, symptomatique du côté inaccessible de son sport qui se regarde comme un art. (35:57) Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Luc Alphand : "J'ai connu une époque où quand on faisait 15e, 20e en descente, c'était top"Ladji Doucouré : "Dans la chambre d’appel, c’était du trash talking à fond, limite défiance physique"Jean-Michel Larqué : "Quand on allait jouer à Bordeaux ou Lille, le stade était vert"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/29/202247 minutes, 49 seconds
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Luc Alphand : "J'ai connu une époque où quand on faisait 15e, 20e en descente, c'était top"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit Luc Alphand, vainqueur de la Coupe du monde de ski alpin en 1997 et du Rallye-Dakar en 2006. Il revient en première partie d'émission sur sa quête du succès en ski : comment passer de champion du monde juniors à champion du monde seniors ? Et à la réflexion qui vient quand le but est finalement atteint : "Qu'est-ce qu'on est con de ne pas l'avoir fait avant" (03:25)Vainqueur de la Coupe du monde de ski alpin en 1997, il raconte pourquoi ce succès l'a incité à mettre fin à sa carrière de skieur. Une décision qu'il n'a jamais regrettée (10:46)Le natif de Briançon évoque ses inspirations de jeunesse et les plus grands champions qu'il a côtoyés ou pas avec une petite anecdote sur Bode Miller autour d'une bière (19:16)Longtemps fan de vitesse et de mécanique, Luc Alphand raconte sa conversion de skieur à pilote et comment il a été amené après une décision prise sur "un coin de table" à s'embarquer sur le Rallye-Dakar : une première aventure pleine d'anecdotes et d'histoires farfelues (27:23) Notre champion de la semaine décrypte comment il a dû repartir à zéro pour performer dans cette nouvelle discipline (36:26)Ce touche-à-tout finit par s'étendre sur la dernière discipline qu'il a pratiqué au plus haut niveau : la voile ! (39:40)Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Ladji Doucouré : "Dans la chambre d’appel, c’était du trash talking à fond, limite défiance physique"Jean-Michel Larqué : "Quand on allait jouer à Bordeaux ou Lille, le stade était vert"Pierre Durand : "A Séoul, Jappeloup était mon alter ego et moi, j'étais le sien"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/22/202254 minutes, 9 seconds
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Ladji Doucouré : "Dans la chambre d’appel, c’était du trash talking à fond, limite défiance physique"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit Ladji Doucouré, médaillé en or du 110 m haies et du relais 4x100 m au championnat du monde d’Helsinki en 2005. Athlète hors pair, l’athlétisme ne lui était pas prédestiné. Ladji a d’abord souhaité être footballeur professionnel mais c’est une blessure au tibias lors des championnats de France scolaire de 1997 qui l’a dégoûté du foot. (03:54) "Le football n’a pas voulu de moi."Alors poussé par ses professeurs, Ladji s’est lancé dans l’athlétisme. Une grande découverte pour lui. Un milieu dans lequel il a pu voir une grande diversité. Passé par le décathlon, c’est dans les haies qu’il se distingue dans le début des années 2000. (12:25) "Sur l’épreuve du 110m haies, je suis dans les deux, trois meilleurs français à ce moment-là. Du coup le DTN m’a dit de ne faire que cela jusqu’au championnat du monde."Ladji revient également sur son expérience de ses championnats du monde 2005. Médaillé en or sur le 110 m haies, il se confie surtout sur le succès en finale du relais 4x100 m dont sa présence n’était pas prévue, tout comme son rôle durant la course. (20:17) "On me rentre sur sur un poste que je n’ai jamais fait : le départ." (20:09)Pour lui, l’une des clés de ce succès résidait dans la gestion du stress. (24:13) "Tout le monde a peur mais c’est la personne qui va le moins le montrer qui va le mieux s’en sortir. Et là, c’était totalement ça."Devenu coach depuis sa retraite sportive, Ladji évoque sa relation avec Sasha Zhoya, annoncé comme un futur prodige du 110 m haies. Ce nouveau rôle lui met la pression mais le pousse à exceller. (33:03) "Je considère que je ne sais pas tout et qu’il faut que je travaille pour toujours lui proposer des choses qui le feront évoluer."Enfin, Ladji témoigne de son amour pour le sport. En créant l’association Golden Blocks en 2016, il a promu le sport dans les banlieues en dénichant de nouveaux jeunes qui n’ont pas la chance d’avoir accès directement aux clubs. C’est une mission qu’il s’est mise en tête. (44:39) "Tu renvoies au sport, ce que le sport t’as apporté."Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/16/202252 minutes, 56 seconds
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Jean-Michel Larqué : "Quand on allait jouer à Bordeaux ou Lille, le stade était vert"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit l'emblématique footballeur de l'AS Saint-Étienne, Jean-Michel Larqué.Avec plus de 400 matches sous le maillot vert, Jean-Michel Larqué a marqué son époque, même s'il n'a pas joué, selon lui, dans la meilleure équipe stéphanoise sur le papier. (4:51) "Je pense qu'à Saint-Étienne, il y a eu des équipes qui, techniquement, étaient meilleures que la nôtre."Ce n'est pas ce qui a empêché ces Verts, finaliste de la C1 en 1976, de susciter un engouement inédit dans le football français. (12:20) "Quand on jouait le mercredi soir à 20h30, chose totalement impossible maintenant, un supporter de Paris, Marseille, Bordeaux ou Lille devenait supporter des Verts."(17:12) Cette fameuse finale, perdue face au Bayern Munich (0-1), Jean-Michel Larqué pense que Saint-Étienne "aurait pu la gagner. Il aurait fallu qu'on fasse un très bon match. On a fait un bon match. Je pense que ça aurait changé ma vie."L'ex-milieu de terrain et international français livre aussi, sans concessions, son regard sur l'évolution du foot hors des terrains, "un repère de requins et de voyous". (25:00)Devenu l'une des voix du ballon rond dans l'Hexagone, il raconte aussi comment sa reconversion dans les médias s'est profilée, lui qui ne se voyait "pas du tout" devenir journaliste. (29:00)(43:00) Enfin, Jean-Michel Larqué se souvient avec tendresse de ses premières années football : "J'ai deux idoles, Rachid Mekhloufi et Salif Keïta."Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Christophe Lemaitre : "Je tiens à faire les meilleurs Jeux possibles à Paris"Camille Lacourt : "Ma plus grande déception ? Disputer les JO de 2012 à Londres et non à Paris"Christine Arron : "Ma première grossesse m’a reboostée alors que tout le monde me disait que j’allais gâcher ma carrière"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/2/202254 minutes, 31 seconds
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Pierre Durand : "A Séoul, Jappeloup était mon alter ego et moi, j'étais le sien"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit Pierre Durand, inoubliable médaillé olympique aux Jeux Olympiques de Séoul en 1988 avec sa fidèle monture Jappeloup de Luze : en or au concours individuel de saut d'obstacles et en bronze au concours par équipe.Pierre Durand n'a jamais cessé de s'intéresser à sa passion de l'équitation, dans laquelle il est tombé quand il était petit. Il vous explique son nouvel environnement autour du cheval, l'association qui aide les femmes atteintes du cancer du sein à travers les vertus de l'équidé, et bien sûr son amour pour le cheval, alors qu'il vient d'un milieu sportif davantage porté vers le football, qui l'a poussé avec son père à monter une école d'équitation (02:42).Mais la majeure partie de ce podcast est concentré sur son titre olympique gagné à Séoul avec Jappeloup de Luze. C'est cette complicité incroyable avec cet animal atypique, plus petit que la norme, pendant 10 ans qu'il vous raconte avec une passion toujours intacte (16:28), tout comme le film surprise, Jappeloup, réalisé par Christian Duguay, et écrit et joué par Guillaume Canet, qui a été tiré de leur histoire commune (26:30).Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Camille Lacourt : "Ma plus grande déception ? Disputer les JO de 2012 à Londres et non à Paris"Sébastien Flute : "Les premières médailles sont importantes, ceux qui viennent après s'en nourrissent"Jérôme Fernandez : "Le premier titre en 2001 avec les anciens a été magique"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/1/202251 minutes, 24 seconds
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Christophe Lemaitre : "Je tiens à faire les meilleurs Jeux possibles à Paris"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit Christophe Lemaitre, médaillé olympique du 200 mètres aux Jeux Olympiques de Rio de Janeiro en 2016. Il nous raconte comment il s'est mis à ce sport à l'âge plutôt tardif de 15 ans (1:30).Comment ne pas ensuite se rendre au Brésil, théâtre de sa médaille de bronze et d'un podium olympique partagé avec la star jamaïcaine, Usain Bolt, avec laquelle il nous raconte une soirée en boîte de nuit (15:53)Premier homme blanc à courir sous les 10 secondes, Christophe Lemaitre revient sur comment il a vécu la réception de ce moment dans les médias et même comment il a été contacté par Ku Klux Klan aux États-Unis (27:20). Le natif d'Annecy évoque avec nous les jeux vidéo et le saxophone, deux plaisirs de la vie (32:50) mais surtout son objectif principal qui est sans surprise d'être prêt pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 alors même qu'il a enchaîné les blessures dernièrement (38:35)Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Camille Lacourt : "Ma plus grande déception ? Disputer les JO de 2012 à Londres et non à Paris"Sébastien Flute : "Les premières médailles sont importantes, ceux qui viennent après s'en nourrissent"Jérôme Fernandez : "Le premier titre en 2001 avec les anciens a été magique"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/25/202252 minutes, 47 seconds
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Camille Lacourt : "Ma plus grande déception ? Disputer les JO de 2012 à Londres et non à Paris"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit le quintuple champion du monde de natation : Camille Lacourt.La nageur, désormais passionné de golf, a arrêté la natation, mais n'a pas perdu sa passion pour ce sport qu'il suit toujours de près (04:40).Il relate ses débuts en natation à Narbonne, où il est né, et comment sa grande taille lui a permis de se concentrer sur ce sport, et le dos en particulier. Sa gestion du stress et sa relation avec l'emblématique coach Philippe Lucas (17:00). Et les grands moments de sa carrière (20:17).S'il n'a jamais été médaillé olympique, son plus grand regret reste de ne pas avoir pu disputer les Jeux olympiques à Paris (35:00).Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Sébastien Flute : "Les premières médailles sont importantes, ceux qui viennent après s'en nourrissent"Jérôme Fernandez : "Le premier titre en 2001 avec les anciens a été magique"Guillaume Gille : "On est tous des descendants des Barjots"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/18/202245 minutes, 58 seconds
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Sébastien Flute : "Les premières médailles sont importantes, ceux qui viennent après s'en nourrissent"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit le champion de tir à l'arc Sébastien Flute.Initié au tir à l'arc dès l'âge de 11 ans, le Brestois de naissance a vite connu les sommets dans sa carrière, avec une médaille d'or aux Jeux Olympiques de Barcelone en 1992, à 20 ans. (02:23) Si les souvenirs deviennent flous, les sensations demeurent."Je ne dis pas que le dernier soir avant la finale, j'ai bien dormi, parce que ce n'est pas vrai. Ce serait mentir." (08:07) Sébastien Flute se rappelle de la gestion psychologique des Jeux Olympiques et de la pression que l'événement génère.Il revient aussi sur la préparation optimale avant une compétition ou de tirer une flèche, l'importance de la respiration et du relâchement au bon moment. (18:39)"J'ai toujours considéré qu'il n'y avait aucune automaticité dans le fait d'avoir été un bon athlète de haut niveau et d'être un bon entraîneur." (23:00) Reconverti en 2015, l'archer a coaché Jean-Charles Valladont, vice-champion olympique en 2016."Dans mes premières années de tir à l'arc, j'étais plus passionné de sport auto." (39:00) Sébastien Flute, amateur de Formule 1, n'a pas oublié sa rencontre improbable avec Alain Prost, qui s'est dit "impressionné" par sa médaille d'or décrochée à Barcelone.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Christine Arron : "Ma première grossesse m’a reboostée alors que tout le monde me disait que j’allais gâcher ma carrière"Valérie Nicolas : "Les gardiennes n'avaient pas bonne réputation dans notre génération"Jérôme Fernandez : "Le premier titre en 2001 avec les anciens a été magique"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/11/202251 minutes, 32 seconds
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Jérôme Fernandez : "Le premier titre en 2001 avec les anciens a été magique"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit le champion de handball Jérôme Fernandez. Issu d’une famille de handballeurs, le Français a tout de suite goûté à ce sport là et il a commencé très jeune dès l’âge de 5 ans et demi. (3 :07) Il revient sur son parcours chez les jeunes avant de devenir professionnel. 1,99m et 106 kg. Un gabarit hors norme mais une croissance tardive pour Jérôme Fernandez, qui est passé de 1,78m à 1,97m à la fin de l’adolescence. Et c’est à ce moment-là qu’il s’est spécialisé au poste d’arrière. (6 :00) "J’ai cette particularité d’avoir eu des blessures plus "grave" en dehors des terrains que sur les terrains". (10 :10) Fernandez évoque sa brulure le matin de son départ pour les championnats d’Europe en Croatie, passé par des greffes et des soins lourds, cet épisode est resté un traumatisme qui l’a aidé à se construire. Novembre 1997, première sélection en equipe de France avec ses idoles d’enfance. "Je ne savais même pas ou m’asseoir à la table des joueurs". (15 :00) Avant de devenir quelques années plus tard capitaine de cette équipe. Le Français raconte tous ces moments de vie au sein du groupe.Jérôme Fernandez décortique les plus beaux moments de sa carrière en bleu et les titres les plus marquants. "Le premier titre olympique à Pékin c’est ce qui nous a fait basculer d’une grande équipe de sport co à la reconnaissance internationale" (30 :08) Après sa carrière de joueur, c’est tout naturellement qu’il se tourne vers une carrière d’entraineur. Il parle de ses débuts et surtout de l’arrivée de Florent Manaudou, qui est passé de la natation au handball. "C’est compliqué de changer de sport et de performer de la même manière". (33 :30) Il revient sur l’intégration du nageur au sein du groupe pro. Une parenthèse bénéfique pour Florent Manaudou pour la suite de sa carrière. Paris 2024 : "C’est une chance de pouvoir vivre les jeux à la maison" (41 :30) Les deux équipes de France vont arriver avec le titre de champion olympique à défendre à domicile. Jérôme Fernandez a déjà hâte d’y être. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Valérie Nicolas : "Les gardiennes n'avaient pasbonne réputation dans notre génération"Muriel Hurtis : "La piste me permettait dem'exprimer, d'extérioriser" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/4/202249 minutes, 10 seconds
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Christine Arron : "Ma première grossesse m’a reboostée alors que tout le monde me disait que j’allais gâcher ma carrière"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit la championne d'athlétisme Christine Arron.La sprinteuse guadeloupéenne nous raconte ses débuts en athlétisme, après un test de sprint à l’école où "je les ai tous battus" (3:38)Vite repérée, elle doit quitter son île pour poursuivre sa formation. Une adaptation à la vie en métropole difficile : "j’ai pris 5 ans à m’habituer à tout ça" (6:48) Elle raconte aussi son combat pour se consacrer au sprint : "Après deux années sur le 400 m horrible, j’ai dû me battre pour revenir au sprint" (11:15) Christine Arron évoque aussi avec Flo ses plus grands souvenirs, et notamment le relais 4x100 aux mondiaux de Paris en 2003, avec une dernière ligne droite mythique... "J’avais des ailes !" (22:30) Des succès sportifs qu'elle a menés de front avec sa vie de maman, après la naissance de son fils en 2002. (34:18) Elle est alors l'une des premières sportives de haut niveau à concilier maternité et carrière sportive. "Ma première grossesse m’a reboostée physiquement et mentalement alors que tout le monde me disait que j’allais gâcher ma carrière" (35:20)Une parole inspirante, qui vous donnera le sourire !Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Valérie Nicolas : "Les gardiennes n'avaient pas bonne réputation dans notre génération"Muriel Hurtis : "La piste me permettait de m'exprimer, d'extérioriser"[REDIFFUSION] Justine Henin : "Très peu de gens ont cru en mon rêve"Franck Cammas : Être navigateur, c’est être un mélange entre pilote de F1 et alpiniste"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/27/202249 minutes, 55 seconds
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Jérémie Azou : "Le titre de Rio a un goût d'inachevé"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit le rameur Jérémie Azou.Champion olympique en deux de couple poids légers à Rio de Janeiro en 2016, le natif d'Avignon revient sur sa fin de carrière et les raisons qui l'ont poussé à arrêter la compétition à seulement 27 ans, bien qu'invaincu pendant plus de 30 courses d'affilée (3:22) Il met notamment en avant la difficulté de la gestion du poids en aviron (7:10).Ancien nageur, il nous explique comment à la suite d'une blessure, il s'est orienté vers l'aviron, une discipline qu'il ne connaissait même pas... (21:40) mais aussi comment il a dû se préparer très vite à son après-carrière dans un sport où la double casquette est indispensable (28:30)Jérémie Azou évoque de lui-même son sacre olympique au Brésil qui contrairement à ce qu'on pourrait penser n'est pas son meilleur souvenir en tant qu'athlète (33:05). Il reproche notamment la gestion humaine de l'événement. Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Valérie Nicolas : "Les gardiennes n'avaient pas bonne réputation dans notre génération"Muriel Hurtis : "La piste me permettait de m'exprimer, d'extérioriser"[REDIFFUSION] Justine Henin : "Très peu de gens ont cru en mon rêve"Franck Cammas : Être navigateur, c’est être un mélange entre pilote de F1 et alpiniste"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/20/202255 minutes, 52 seconds
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Valérie Nicolas : "Les gardiennes n'avaient pas bonne réputation dans notre génération"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit la handballeuse Valérie Nicolas.L'ex gardienne de 47 ans raconte l'importance de son poste dans son sport et les spécificités de son rôle qu'elle a découvert par hasard dans sa jeunesse, alors qu'elle occupait une place de joueuse de champ en ligue de Bretagne. Un poste qu'elle a mis du temps à apprécier. (5:54)Elle se remémore la finale des Mondiaux de 2003 face à la Hongrie pendant laquelle "elle ne touche pas un ballon pendant 40 minutes". Une rencontre à côté de laquelle elle passe mais qui reste un de ses plus grands souvenirs de joueuse. (22:34)Après une première partie de carrière en France, la Bretonne raconte son passage au Danemark où elle a remporté la Ligue des champions avec Viborg et a ramené une maîtrise de la langue danoise (27:40) avant de finir par revenir sur sa reconversion profesionnelle au travers de la ville de Nice et dans les médias ! Il sera aussi questions de Paris 2024 et même de sandball !Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Muriel Hurtis : "La piste me permettait de m'exprimer, d'extérioriser"[REDIFFUSION] Justine Henin : "Très peu de gens ont cru en mon rêve"Franck Cammas : Être navigateur, c’est être un mélange entre pilote de F1 et alpiniste"Patricia Meunier-Lebouc : "Quand Tiger Woods est arrivé, le golfeur a été enfin reconnu comme un athlète"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/13/202252 minutes, 14 seconds
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Muriel Hurtis : "La piste me permettait de m'exprimer, d'extérioriser"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit l'athlète Muriel Hurtis.L'ex sprinteuse de 43 ans raconte notamment l'avant course lors de la finale du 4x100 m lors des Championnats du monde 2003 dans la chambre d'appel. Alignée avec Patricia Girard-Léno, Sylviane Félix et Christine Arron, elle explique que le jeu d'intimidation des Américaines juste avant d'entrer en piste et comment elles ont collectivement su se concentrer pour remporter la médaille d'or. (3:02)Un titre obtenu alors que la Française ne se predestinait pas du tout à une carrière dans le sport et elle s'est même mise très tard à l'athlétisme, qu'elle découvre grâce à un professeur de sport qui a su déceler chez elle des aptitudes pour la course. (12:05)La Bondynoise retrace son parcours aux JO, entre Sydney où elle avoue avoir mal géré et s'être dispersée : "Je voulais tout faire", et Athènes où elle apprend sa grossesse en arrivant sur place (19:25) à une époque où la gestion entre sport et maternité était beaucoup moins évidente que maintenant.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/6/202249 minutes, 48 seconds
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[REDIFFUSION] Richard Dacoury : "Le beau geste est quelque chose qui me nourrissait"

Durant l'été, nous rediffusons des épisodes du podcast "Belle Trace". Cette semaine, l'ancien basketteurs Richard Dacoury est l’invité de Flo Masnada.Joueur du CSP Limoges pendant 18 ans, le basketteur français revient sur sa quête de l'esthétisme et du beau jeu (05:59) qu'il juge indissociable du sport : "C'est ça qui t'embarque". Cette quête l'a animé dès sa découverte du sport et durant toute sa carrière professionnelle. Interrogé sur son parcours, le nonuple champion de France raconte sa love story avec Limoges, club avec lequel il remporte l'Euroligue en 1993 (13:30) où il avait un statut particulier dans le vestiaire : "J'étais un peu le garant des valeurs du club". Retour aussi sur sa carrière en bleu et notamment sur un douloureux souvenir lors du tournoi olympique de 1984 à Los Angeles, où il est privé du match face aux Etats-Unis pour une raison surréaliste (32:15). Désormais consultant, il livre son regard sur la génération actuelle du basket français (36:45) : "Le basket à la française a la cote !" Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents" Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas" Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/30/202248 minutes, 53 seconds
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[REDIFFUSION] Justine Henin : "Très peu de gens ont cru en mon rêve"

En cette semaine pré-US Open, nous vous proposons de redécouvrir dans le podcast Belle Trace l'entretien entre Flo Masnada et Justine Henin, double vainqueur à Flushing Meadows, là même où elle a remporté son tout dernier tournoi majeur en 2007.La tenniswoman belge est une figure emblématique des années 2000 avec sept titres du Grand Chelem, dont quatre à Roland-Garros, et une place de numéro un mondiale qu'elle détiendra pendant 117 semaines entre 2003 et 2008.Au micro de Flo Masnada, Justine se confie sans détour sur sa passion du tennis, les personnes qui ont cru en elles et celles qui l'ont aidée à poursuivre son rêve de devenir championne de tennis. Parmi eux, ses frères et surtout Carlos Rodriguez, son coach de toujours qu'elle a eu à ses côtés dès ses 14 ans.Sa relation particulière avec le sport lui a permis de faire une grande carrière et de côtoyer des gens exceptionnels à travers des rencontres qu'elle vous raconte. Notamment sa relation avec Kim Clijsters, autre joueuse de tennis belge au sommet au même moment qu'elle, avec qui elle a entretenu une grande rivalité mais aussi une grande amitié.Son parcours de vie parfois chahutée et l'importance de la transmission l'ont guidée tout au long de sa carrière. Aujourd'hui au sein d'une académie de tennis à Limelette en Belgique et au micro d'Eurosport en tant que consultante.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Jeannie Longo : "Quand je me lance dans quelque chose, ce n'est pas pour être médiocre"Sarah Ourahmoune : "On me disait : ‘Tu vas avoir un corps de bonhomme’ mais ça m’était égal"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/23/202251 minutes, 31 seconds
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[REDIFFUSION] Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"

Durant l'été, nous rediffusons des épisodes du podcast "Belle Trace". Cette semaine, le champion olympique du 110 mètres haies en 1976, Guy Drut est l’invité de Flo Masnada dans Belle Trace. Tout au long de cet échange, il évoque ses débuts (04:50), d'abord en football avant de basculer vers l'athlétisme très rapidement.Mais Guy Drut, c'est avant tout ce titre décroché en 1976 à Montréal sur 110 mètres haies, "un aboutissement", comme il aime le rappeler (07:03) alors qu'il avait raté sa demi-finale à l'issue de laquelle il s'est vu perdant. Mais les paroles de Jean-Claude Killy qu'il s'est remémoré l'ont reboosté pour aller chercher ce titre.Dans Belle Trace, Guy Drut évoque aussi ses tics lors de la préparation de ses courses (10:15) et la sensation qu'il a ressenti lors de sa victoire. (19:14)Il évoque également Ladji Doucouré et porte son regard sur l'athlétisme actuel (22:45) avant de bifurquer vers sa deuxième carrière, davantage politique celle-là.(25:38)Pour conclure, il se projette sur la sortie de son prochain livre "Champions Inoubliables", début novembre (29:15).C'est tout cela que le hurdleur raconte cette semaine dans le podcast "Belle Trace", sur Eurosport. Bonne écoute Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : [REDIFFUSION] Guillaume Gille : "On est tous des descendants des Barjots" [REDIFFUSION] Henri Leconte : "Si je n’avais pas été tennisman de haut niveau, j’aurais été acteur mais ce n’est pas fini" [REDIFFUSION] Brahim Asloum : "Être petit, c’est ce qui m’a le plus perturbé dans ma vie. La boxe m’a permis de m’épanouir"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/16/202241 minutes, 49 seconds
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[REDIFFUSION] Guillaume Gille : "On est tous des descendants des Barjots"

Durant l'été, nous rediffusons des épisodes du podcast "Belle Trace". Cette semaine, le sélectionneur de l'équipe de France de handball Guillaume Gille est l’invité de Flo Masnada.Il évoque d’abord ses meilleurs souvenirs (01:30) qu'il relie à l'enfance et cette passion pour le jeu. "J'ai trouvé dans le handball un résumé de tout ce que j'aimais", explique-t-il.Puis il évoque les premières épopée, notamment celle "des Barjots de 1992" (07:00) qui leur ont fait prendre conscience que c'était possible. Puis vient le titre mondial en 1995 : "Ça a été le début d'une France en capacité de gagner"Il explique ensuite comment il a débuté sa carrière (13:26) et ses premières capes en équipe de France en 1996 face à la Yougoslavie, à seulement 20 ans. (20:30)Enfin, désormais sélectionneur de l'équipe de France, il explique qu'il a toujours eu cette envie au fond de lui. "Je ne sais pas si c'était une évidence de devenir coach mais j'ai toujours été intéressé par le fonctionnement de l'équipe". (29:50)Puis il nous livre son rapport avec les Jeux Olympiques. "Il n'y a rien qui atteint les JO en termes d'enjeu". (35:11) Enfin il se projette sur Paris 2024 et a hâte de jouer devant 28 000 personnes au Stade Pierre Mauroy (47:30). Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/9/202251 minutes, 35 seconds
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[REDIFFUSION] Henri Leconte : "Si je n’avais pas été tennisman de haut niveau, j’aurais été acteur mais ce n’est pas fini"

Cet été, nous vous proposons de réécouter les meilleurs épisodes de Belle Trace. Cette semaine, Henri Leconte est l'invité de Flo Masnada. A ses côtés, l'ancien joueur de tennis revient sur des moments forts de sa carrière et en particulier la finale de la Coupe Davis 1991 qu'il a remporté avec la France. Un entretien passionnant.Bonne écoute Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Abdelatif Benazzi : "Mon premier haka ? J'ai regardé dans mon pantalon pour voir ce qu'il y avait" Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/3/202251 minutes, 9 seconds
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[REDIFFUSION] Brahim Asloum : "Être petit, c’est ce qui m’a le plus perturbé dans ma vie. La boxe m’a permis de m’épanouir"

Cet été, nous vous proposons de réécouter les meilleurs épisodes de Belle Trace. Cette semaine, l'ancien boxeur Brahim Asloum, champion olympique de boxe à Sydney en 2000, est l’invité de Flo Masnada. Tout au long de cet échange, il évoque ses débuts à Bourgoin-Jallieu, son titre de champion de France UNSS et son départ pour l’INSEP où il reste quatre ans. (01:33)  Dans Belle Trace, Brahim Asloum évoque aussi la recherche du beau geste dans le noble art (05:45) : "Mon plaisir, c’est d’attendre la bonne ouverture", jubile-t-il. Il est évidemment question de son titre olympique à Sydney en 2000 (08:54). Il revient sur son périple qui a duré une quinzaine de jours. Issu d’une famille de boucher, il raconte une anecdote sur sa jeunesse et une histoire de petit bout de papier qui a déclenché le respect de sa famille (18:23). Brahim Asloum évoque aussi les rencontres qui ont compté dans sa carrière (21:28). Il détaille enfin en longueur sa carrière chez les professionnels (33:30)  C'est tout cela que le boxeur raconte cette semaine dans le podcast "Belle Trace", sur Eurosport. Bonne écoute Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Abdelatif Benazzi : "Mon premier haka ? J'ai regardé dans mon pantalon pour voir ce qu'il y avait" Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/27/202250 minutes, 22 seconds
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[REDIFFUSION] Michaël Jérémiasz : "J'étais entre un Rafael Nadal et un Benoît Paire, j'avais besoin de bosser dur et aussi de brûler la vie"

Cet été, nous vous proposons de réécouter les meilleurs épisodes de Belle Trace. Cette semaine, l'ancien joueur de tennis fauteuil Michaël Jérémiasz est l’invité de Flo Masnada. Il évoque débord son documentaire qu'il est en train de tourner en tant que producteur. L'angle : "Comment le sport a changé la vie des personnes handicapées dans le monde depuis 150 ans". Puis il évoque son podcast (05:00) créé avec So good sur la sexualité des personnes handicapées. Il se penche ensuite sur son association "Comme les Autres" (06:05) qui propose un accompagnement social dynamisé par le sport et les sensations fortes aux personnes devenues handicapées moteur après un accident. Son accident, il en est évidemment question (11:37). Michaël Jérémiasz revient dessus et explique qu'il a mis longtemps avant de revenir sur les lieux de son accident à Avoriaz. Avant de bifurquer sur le tennis fauteuil (14:10), un sport qu'il a pratiqué à très haut niveau. Il raconte son parcours de sportif de haut niveau qui l'a mené aux Jeux Olympiques. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur" Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/19/202243 minutes, 40 seconds
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Franck Cammas : Être navigateur, c’est être un mélange entre pilote de F1 et alpiniste"

Cette semaine, Flo Masnada prend le large. Pourquoi ? Elle est persuadée que, chez les sportifs, il y a un lien étroit entre les skieurs et les skippers. Sans doute parce que la montagne et la mer, parfois, aiment se côtoyer. Derrière ce podcast, une immense admiration pour les marins se cache à peine et c'est avec un plaisir infini que Flo reçoit ainsi Franck Cammas dans son podcast Belle Trace.Ce navigateur français n'est pas d'origine bretonne, mais il n'en est pas moins l'un des meilleurs skippers que la France compte parmi son équipage. Ce n'est pas pour rien qu'il a été surnommé le "Petit Mozart de la Voile".Transat Jacques-Vabre, Route du Rhum, Volvo Ocean Race, Solitaire du Figaro, Cammas a quasiment remporté toutes les courses les plus prestigieuses... à quelques exceptions près, qu'il vous explique à travers ce podcast-fleuve, où vous adorerez laisser couler les minutes...Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/6/202254 minutes, 48 seconds
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Patricia Meunier-Lebouc : "Quand Tiger Woods est arrivé, le golfeur a été enfin reconnu comme un athlète"

Patricia Meunier-Lebouc a marqué son temps en remportant un tournoi majeur de golf sur le circuit pro féminin, le Kraft Nabisco, en 2003. C'est au sommet de son art qu'elle a fait connaissance avec Flo Masnada, à qui elle a d'ailleurs demandé de devenir capitaine de l'équipe de France de golf début des années 2000. Rien de plus naturel pour elles que de se retrouver autour du podcast Belle Trace.A la retraite depuis 2008, cette Dijonnaise vit aux Etats-Unis depuis plus de 20 ans mais ne perd pas une miette de l'actu d'un sport qui lui a tout apporté. Comment a-t-elle géré sa carrière avec sa vie de famille ? Comment gérer les grands événements qui ont jalonné sa vie d'athlète ? Patricia Meunier-Lebouc vous explique tout cela avec une passion intacte.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Jeannie Longo : "Quand je me lance dans quelque chose, ce n'est pas pour être médiocre"Sarah Ourahmoune : "On me disait : ‘Tu vas avoir un corps de bonhomme’ mais ça m’était égal"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo Masnada Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/28/20221 hour, 15 seconds
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Pelous : "Et le lundi, je voyais des gens mourir devant moi"

C'est un monument du rugby. Fabien Pelous, 118 sélections avec le XV de France, est l'invité de Florence Masnada cette semaine dans le podcast Belle Trace. L'ancien deuxième-ligne y raconte notamment comment, dans sa jeunesse, son quotidien d'étudiant dans le domaine médical a contribué à ce qu'il garde les pieds sur terre (18:17).Pelous était titulaire lors du fameux France - Nouvelle-Zélande de 1999, remporté par les Bleus en demi-finale de la Coupe du monde. Il détaille en quoi ce match est mémorable, emblématique. (2:35)Ce jour-là, Fabien Pelous n'était pas capitaine, mais il a souvent porté le brassard. "Je n'ai jamais voulu être capitaine et pourtant j'ai été capitaine de toutes les équipes dans lesquelles j'ai joué", note-t-il. (9:32)Pelous (48 ans) évoque également l'équipe de France actuelle et la façon dont il a assisté/participé à l'éclosion d'une génération qui replace le XV du Coq sur le devant de la scène (35:53). L'ex-avant de Toulouse met deux joueurs en exergue, lorsqu'on lui demande qui l'a marqué durant sa carrière (45:05) : Philippe Carbonneau - "le plus doué de sa génération" - et Yannick Jauzion - "qui était aussi technique que physique" - méritent plus de considération selon lui.Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/21/202255 minutes, 9 seconds
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Karim Laghouag : "Je suis parti de l'espace et je suis revenu médaillé, incroyable"

Karim Laghouag, champion olympique de concours complet à Rio en 2016 et en bronze à Tokyo,  est l'invité de Flo Masnada cette semaine dans Belle Trace.Il est bien sûr question de souvenirs olympiques pour débuter avec l'or obtenu au Brésil en 2016 qui a permis à la France de débloquer son compteur médaille. (1:30)Puis les deux évoquent Pékin 2021. D'abord remplaçant, Karim a finalement terminé capitaine d'équipe. Un parcours fantastique qu'il nous raconte en détail (05:00).Il explique les approches qui existent entre les différentes disciplines de l'équitation (08:24).Quel lien entretient-il avec ses chevaux ? Il explique le cheminement depuis les premiers entraînements jusqu'à l'obtention de la médaille olympique (13:40).En plus de l'entraînement, Karim fait appel à un préparateur mental (22:45), un moyen de se mettre dans les meilleures dispositions avant un concours.Il explique aussi que son cheval est très sensible et tactile (27:00) et comment il communique avec lui. Comment parvient-il à se préparer lui-même entre son métier d'instructeur et de cavalier professionnel (29:00) ? Il explique avoir modifié son approche pour être plus en rapport avec les efforts demandés en compétition. Par ailleurs, Karim Laghouag s'inspire d'autres sports et sportifs pour s'accomplir. (33:30)(43:30) Enfin, quel est son futur ? Actuellement, il prépare les Championnats du Monde à Rome en septembre prochain puis les Championnats d'Europe au Haras du Pin en 2023 et les Jeux Olympiques à Paris en 2024. Les JO qui seront à suivre en direct et en intégralité sur Eurosport.Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/14/202259 minutes, 49 seconds
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Florent Pietrus : "J’ai joué pour ma mère pendant toute ma carrière"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Florent Pietrus, 230 sélections en équipe de France de basket, notamment champion d'Europe en 2013.Pietrus commence par raconter ce fameux sacre continental, marqué par un discours de Tony Parker face à l'Espagne en demi-finale (3:12). Il explique à quel point tout est parti, selon lui, d'un camouflet tout aussi mémorable, en 2005.L'ancien intérieur de Pau-Orthez ou encore de la SIG raconte comment le décès de sa mère, alors qu'il avait 10 ans, a été le moteur de sa carrière (20:33) : "Tous mes matches ont été pour elle". "Je continue de penser à ma mère et de lui dédicacer mes matches", ajoute celui qui évolue maintenant en amateur.Pietrus (41 ans) n'a jamais joué en NBA. Il ne manifeste aucun regret à ce sujet (30:44) : "Je peux me regarder dans une glace et me dire que je me suis réveillé chaque matin avec la même ambition, la même envie de progresser." Il a participé aux JO et en garde de grands souvenirs.Flo Pietrus considère que la maxime "l'important c'est de participer", "c'est pour les livres" et qu'il faut, surtout, chercher à gagner : "La vie, ce n'est pas l'école des fans." Il dévoile les conseils qu'il donne à son fils, évoque aussi son goût pour la musique, le voyage ou encore... le shopping. Bonne écoute.Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/7/202249 minutes, 53 seconds
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Brice Guyart : "Petit, j'étais dans le rôle de Zorro et Astrid dans celui de sergent Garcia !"

Brice "Zorro" Guyart est l'invité de Belle Trace cette semaine aux côtés de Flo Masnada. Il commence par détailler les différents types d'arme, lui qui pratique le fleuret, une arme qui était au départ une arme d'apprentissage (07:00). Et explique pourquoi il a choisi le fleuret. Brice Guyart revient ensuite sur le rôle du maître d'armes (13:15).Double champion olympique, il se penche également sur les JO (16:10), sa préparation pour Sydney 2000 avec la médaille d'or par équipes alors qu'il n'était pas pressenti pour tirer.Il raconte aussi une anecdote lorsqu'à 13-13 dans une opposition, son coach lui glisse une petite filouterie (20:45). Puis il revient sur la finale des Jeux Olympiques d'Athènes en 2004 face à l'Italien Salvatore Sanzo (23:00). Une victoire à l'issue d'une journée qu'il détaille du matin au soir.Une fois la dernière touche réussie en finale, il ressent une émotion différente par rapport à 2000 (32:00) : il est champion olympique de fleuret individuel.Dans la dernière partie, il est question des champions qui l'ont inspiré : Michael Jordan et Tiger Woods (36:15).Il évoque également sa sœur qui a remporté une médaille olympique à Tokyo en 2021 : "J'étais fier et touché", dit-il. (39:35)Bonne écoute.Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/31/202252 minutes, 44 seconds
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Jean-Christophe Péraud : "J’aime faire différemment, c’est comme ça qu’on ouvre de nouveaux horizons"

Cette semaine, Flo Masnada reçoit dans "Belle Trace" un homme qui est monté sur le podium du Tour de France : Jean-Christophe Péraud, 2e de la Grande Boucle en 2014.JC Péraud a d'abord brillé en VTT, discipline dans laquelle il a été vice-champion olympique en 2008. D'où un début de podcast axé sur la polyvalence (0:53).L'ancien coureur de AG2R La Mondiale raconte sa découverte des méthodes du cyclisme sur route et de sa notion collective (6:21)."Je ne vivais que pour cet objectif", dit-il au sujet des JO de Pékin 2008 (16:21), comparant son implication de tous les instants à celle, moins obsessionnelle, qui a caractérisé sa préparation pour le Tour. Dans la dernière partie de cet opus, Péraud parle de son après-carrière et de ses projets actuels (38:06). Bonne écoute.Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/24/202243 minutes, 44 seconds
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Jean-François Clervoy : "L'expérience de vie d'un astronaute, c'est de voir la planète depuis l'espace"

Le spationaute Jean-François Clervoy est l'invité de Flo Masnada cette semaine dans Belle Trace. Pour débuter, les deux évoquent des souvenirs d'enfance et les ricochets qu'il a étudié de manière presque scientifique.Il est question de tennis ensuite, sujet de sa thèse obtenue à Polytechnique et qui lui a permis de décrocher deux places pour la finale de Roland-Garros 1981.Il est question de transmission également entre John Young et lui ainsi qu'entre lui et Thomas Pesquet.(14:41) Comment est-il devenu astronaute ? Grâce à son père et son instituteur de CM2 ! Découvrez cette séquence fabuleuse.(17:10) Comment sont sélectionnés les spationautes ? Et comment sont-ils formés ensuite ? Jeff nous détaille le processus.Le jour du départ est ensuite évoqué. (25:10) Comment cela se passe-t-il ? "Je suis excité parce que je sais que c'est pour de bon", affirme-t-il. Il est question de la vision de la planète terre ensuite, vue depuis l'espace. "L'expérience de vie d'un astronaute, c'est de voir la planète depuis l'espace."Jeff Clervoy évoque aussi comment le corps bouge dans l'apesanteur (32:00).Enfin, dans la séquence conseils (41:20), il évoque la croyance en ses rêves. "Quoi que tu fasses, donne le meilleur de toi-même", affirme-t-il.Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents" Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas" Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/17/202251 minutes, 21 seconds
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Thu Kamkasomphou : "Je suis une chercheuse d'or, j'espère ramener de Paris une médaille qui brille comme le soleil"

Cette semaine, Flo Masnada reçoit Thu Kamkasomphou dans le podcast Belle Trace.(01:23) Née au Laos, la pongiste de 53 ans parle de ses origines et de son arrivée en France à l’âge de 10 ans. Elle raconte la fuite de son pays vers la Thaïlande puis la France où elle arrive d’abord à Créteil puis à Rennes avec sa famille. C’est grâce à son père qu’elle se met au tennis de table.(09:26) Alors qu’elle commence à évoluer dans des structures pour sportifs de haut niveau, on lui diagnostique une périartérite noueuse qui lui affecte les jambes. A 17 ans, elle ne peut plus s’entraîner, prend des traitements lourds. Ce n’est que peu avant les Jeux de Sydney qu’on lui propose de concourir en handisport.(12:55) Thu prépare sa 7e olympiade pour tenter de remporter une nouvelle médaille pour les Jeux de Paris en 2024. Où puise-t-elle sa force de caractère et toujours y retourner, après déjà deux titres paralympiques remportés en simple ? “Je suis une chercheuse d’or”, lance-t-elle. Elle explique ne rien laisser au hasard pour se maintenir au plus haut niveau. (29:10) Forcément, lorsqu’on glâne un total de sept médailles aux Jeux Paralympiques, on a beaucoup de souvenirs à raconter. Pour Belle Trace, elle nous livre les plus beaux moments de sa carrière et notamment son titre paralympique à Pékin, dans le pays où le tennis de table est le sport roi.Pour conclure, elle évoque la trace qu’elle aimerait laisser : “Je voudrais qu’on retienne deux choses de moi. La première : mes performances ; et la deuxième : j’espère être une belle personne”Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents" Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas" Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/10/202240 minutes, 55 seconds
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Julien Absalon : "On est payé pour gagner des courses mais aussi pour faire évoluer les VTT"

Double champion olympique, 5 titres de champion du monde, 5 titres de champion d'Europe et 14 fois champion de France... Cette semaine, Flo Masnada parle VTT avec Julien Absalon dans le podcast Belle Trace.Il a tout gagné dans un sport où il a été le meilleur du monde pendant plusieurs années. Ce qui impressionne chez lui, c'est la longévité de sa carrière au plus haut niveau.L'évolution technologique de son matériel, son refus de passer sur route, sa carrière boostée par la concurrence, ses stratégies mentales et physiques pour rester compétitif... le Vosgien se livre sans détours.Et surtout, sa belle trace...Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Jeannie Longo : "Quand je me lance dans quelque chose, ce n'est pas pour être médiocre"Sarah Ourahmoune : "On me disait : ‘Tu vas avoir un corps de bonhomme’ mais ça m’était égal"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas" Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/3/202239 minutes, 48 seconds
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Bertrand Gille : "Avec mon frère, on aime le travail, la fête, le partage quoi !"

Flo Masnada reçoit Bertrand Gille cette semaine dans Belle Trace. Forcément, les Jeux Olympiques sont au cœur de cet épisode, une compétition qui a permis aux handballeurs français de briller. Bertrand Gille a disputé quatre olympiades et remporté le titre à deux reprises en 2008 à Pékin et en 2012 à Londres. Il est question de la sensation de gagner un titre et de le partager avec ses coéquipiers, chose que ne peuvent pas forcément vivre les sportifs individuels (13:05).Pour Bertrand Gille, outre la possibilité de partager ses succès, les sports collectifs permettent aussi de gagner même si un individu n'est pas au meilleur de sa forme. Il peut être porté par le collectif. (21:27)Il évoque également sa carrière aux côtés de son frère Guillaume (29:20), une particularité qu'il évoque avec fierté. Quels sont ses projets désormais, lui qui est vice-président de la fédération française de handball ? (37:55)Pour finir, il évoque la trace qu'il pourrait laisser. "Je verrais si je laisse une trace, ce n'est pas à moi de le dire", assure-t-il. (44:26)Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/26/202251 minutes, 54 seconds
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Malia Metella : "Laure Manaudou m'a boostée, je me suis dit : 'Si elle l'a fait, moi aussi je le peux'"

Malia Metella est l'invitée de Flo Masnada cette semaine dans Belle Trace.Elle raconte ses débuts au club des Pacoussines en Guyane (01:30) en suivant sa sœur. Une discipline qu'elle a commencé à cause d'un traumatisme vécue par sa mère dans sa jeunesse.Elle raconte notamment qu'elle n'aime pas nager en dehors d'une piscine car elle aime voir le fond sinon elle "perd ses repères" (04:40). "Dès que tu sors un sportif de sa zone de confort, il perd des repères"Elle évoque évidemment son défi réalisé lors de la traversée du lac Titicaca (08:00) avec Théo Curin, 20 ans, athlète nageur paralympique et Matthieu Witwoet, 27 ans, aventurier militant écologique.Elle explique qu'elle s'est d'abord inspirée par Marie-José Pérec et pas du tout par des nageurs ou des nageuses. (15:54)Arrivée à l'Insep à la majorité, elle s'est d'abord développée chez elle en Guyane pour éviter d'être déracinée trop tôt. Au contact d'autres sportifs, elle a appris de nombreuses choses notamment sur les étirements (20:05) et la façon de travailler des autres sportifs et sportives.Elle raconte ensuite ses premiers Jeux Olympiques à Athènes (23:00) où les athlètes s'encourageaient les uns les autres ainsi que sa médaille d'argent sur 50 mètres nage libre avec la préparation, la chambre d'appel et la course. "Ma force c'était de pouvoir accélérer en fin de course", analyse-t-elle en expliquant qu'elle n'a pas respiré une seule fois lors de sa course.Une fois la deuxième place obtenue, elle revit les moments de joie avec notamment sa mère qui était dans les tribunes et qui était très présente à ses côtés. (31:00)Elle évoque ensuite le phénomène Laure Manaudou qui a explosé à Athènes en 2004 (35:30) et comment les filles ont été un exemple pour la suite de la natation française.Enfin, elle revient sur l'arrêt de sa carrière (37:30) qu'elle a décidé le jour où elle avait moins envie. Elle a ensuite bifurqué vers une école de journalisme avant de "galérer" pendant deux ans avant d'être recruté par Allianz qui recrutait des anciens sportifs.Aujourd'hui, elle travaille sur l'animation de conférences (40:30) et dans le milieu des start-ups.Elle termine par des conseils à des jeunes sportifs (42:15).Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/19/202246 minutes, 9 seconds
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Cristobal Huet : "La NHL c'était le rêve pour moi, les plus belles années de ma vie"

Cette semaine, Flo Masnada parle hockey sur glace avec Cristobal Huet dans le podcast Belle Trace.Il est le seul Français à avoir remporté la fameuse Coupe Stanley avec son club des Black Hawks de Chicago, il arrêtait 90% des tirs qui arrivaient dans sa cage de hockey sur glace et depuis 4 ans, il entraîne les gardiens de l’équipe de Lausanne, en Suisse : Cristobal Huet a déjà une riche carrière derrière lui, et il se penche dessus avec Flo Masnada.Il nous parle d'abord de ce poste exigeant de gardien de but, le stress et cet état d’alerte permanent qu’il faut maintenir tout au long d’un match (04:10) Il revient sur la genèse de son histoire avec le hockey sur glace, avant tout une histoire de famille. Celle d’un père passionné, qui a embarqué ses fils avec lui à la patinoire de Grenoble, et qui leur a transmis l’amour de ce sport. Cristobal est devenu professionnel et ses fils pratiquent eux aussi le hockey aujourd’hui, au poste de gardien tous les deux (07:53)Il raconte ensuite à Flo son parcours, comment il est parti jouer en NHL, le plus grand championnat de hockey sur glace au monde (13:30) Le déclencheur, c’est l’équipe de France avec le championnat du monde, la coupe d’Europe avec Grenoble aussi, et son départ en Suisse, à Lugano qui est la première étape. C’est là qu’il se fait repérer, en gagnant le championnat suisse dès sa première saison. Puis, c’est le grand départ pour la NHL, à Los Angeles d’abord, où il avoue devoir repartir de zéro. Il faut se faire un nom, se faire respecter, explique-t-il, c’est un apprentissage assez long. (16:15)Mais la NHL est un rêve pour Cristobal. « Ce sont les meilleures années de ma vie » (18:19)Un rêve qui demande beaucoup de travail, et une préparation physique très dure.Pour tenir sur la longueur, casser la routine et varier les plaisirs, il s’inspire parfois de la préparation physique des tennismen. (23:30)Après la carrière de joueur, il y a celle d’entraîneur, depuis 4 ans, à Lausanne. Il raconte ce nouveau poste, celui d’entraîneur des gardiens, qu’il voit plutôt comme un rôle de grand frère, d’accompagnateur que de coach sévère. (34:32)Et bien sûr, il donne sa devise et sa vision d’une belle trace.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : EurosportVoir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/12/202242 minutes, 45 seconds
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Philippe Sella : "Jean-Pierre Rives, je voulais être lui au point que je me suis teint les cheveux en blond"

Cette semaine Flo Masnada reçoit Philippe Sella, ancien rugbyman d’Agen, aux 111 sélections en équipe de France.Le trois-quart centre, finaliste de la Coupe de monde 1987 avec les Bleus, nous parle avec passion de son sport, du lien unique qui existe autour de ce ballon ovale, et du sens du collectif qu’il a appris dès le plus jeune âge. Intarissable sur ce qui fait les spécificités du rugby, il est toujours investi dans ce sport puisqu’il fait partie du comité des joueurs de la coupe du monde 2023 qui aura lieu en France.Il nous raconte d’abord ses débuts au rugby à XIII à Clairac, petite commune du Lot, à 9 ans (09:10) avant de rejoindre Agen, et son équipe de rugby à XV.Agen, un rêve pour Philippe Sella, marqué par un grand joueur : Jean-Pierre Rives (13:06)"Je voulais être lui", se souvient-il, à tel point qu’il est allé jusqu’à se teindre les cheveux en blond, pour ressembler à son idole, avec qui il a fini par jouer en équipe de France. "J’étais comme attiré par lui, quand on s’entraînait, c’était incroyable" (16:42), raconte-t-il, avant de confier qu’ "aujourd’hui, c’est toujours mon idole".Deux fois champion de France avec Agen, Philippe Sella avait une approche particulière de sa préparation physique et mentale : la sophrologie (20:19)Anticiper, en le visualisant, tout ce qui peut se passer sur et en dehors du terrain.Il revient aussi sur son premier haka, son premier match face aux All Blacks en Nouvelle-Zélande (32:45), le rêve ultime pour un joueur de rugby. Et raconte une anecdote à propos de la finale de la Coupe du monde 1987 contre la Nouvelle-Zélande : un moment de partage extraordinaire avec les Blacks, au lendemain de la défaite (41:39)Enfin, Flo Masnada lui a demandé quel était son regard sur le XV de France actuel (45:49), "une équipe, qu’on a tous envie d’aimer", selon lui. Et bien sûr, il donne sa devise et sa vision d’une belle trace.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : EurosportVoir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/5/20221 hour, 2 minutes, 40 seconds
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Patrice Martin : "Le ski nautique n'était pas mon sport préféré car je n'aime pas l'eau"

12 titres de champion du monde, 34 titres de champion d'Europe et 26 records du monde... Cette semaine, Flo Masnada parle ski nautique avec Patrice Martin dans le podcast Belle Trace.Au micro de Flo Masnada, ce grand sportif parle des origines de ce sport qui n'a jamais été sa passion, lui qui se destinait à faire... du ski alpin. Mais ce Nantais était trop loin des pistes enneigées pour en faire un sport régulier. C'est donc avec son père qu'il a appris à skier autrement.Sa soif de gagner, ses rituels ou encore sa rencontre avec le pape, partez à la rencontre d'un champion hors-normes détenteur de l'un des plus beaux palmarès du sport français.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Jeannie Longo : "Quand je me lance dans quelque chose, ce n'est pas pour être médiocre"Sarah Ourahmoune : "On me disait : ‘Tu vas avoir un corps de bonhomme’ mais ça m’était égal"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/29/202246 minutes, 11 seconds
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Justine Henin : "Très peu de gens ont cru en mon rêve"

Cette semaine, Flo Masnada parle ski et tennis avec Justine Henin dans le podcast Belle Trace.La tenniswoman belge est une figure emblématique des années 2000 avec sept titres du Grand Chelem, dont quatre à Roland-Garros, et une place de numéro un mondiale qu'elle détiendra pendant 117 semaines entre 2003 et 2008.Au micro de Flo Masnada, Justine Henin se confie sans détour sur sa passion du tennis, les personnes qui ont cru en elles et celles qui l'ont aidée à poursuivre son rêve de devenir championne de tennis. Parmi eux, ses frères et surtout Carlos Rodriguez, son coach de toujours qu'elle a eu à ses côtés dès ses 14 ans.Sa relation particulière avec le sport lui a permis de faire une grande carrière et de côtoyer des gens exceptionnels à travers des rencontres qu'elle vous raconte. Notamment sa relation avec Kim Clijsters, autre joueuse de tennis belge au sommet au même moment qu'elle, avec qui elle a entretenu une grande rivalité mais aussi une grande amitié.Son parcours de vie parfois chahutée et l'importance de la transmission l'ont guidée tout au long de sa carrière. Aujourd'hui au sein d'une académie de tennis à Limelette en Belgique et au micro d'Eurosport en tant que consultante.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Jeannie Longo : "Quand je me lance dans quelque chose, ce n'est pas pour être médiocre"Sarah Ourahmoune : "On me disait : ‘Tu vas avoir un corps de bonhomme’ mais ça m’était égal"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/22/202251 minutes, 31 seconds
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Jeannie Longo : "Quand je me lance dans quelque chose, ce n'est pas pour être médiocre"

Cette semaine, Flo Masnada parle ski et vélo avec Jeannie Longo dans le podcast Belle Trace.La cycliste a le plus beau palmarès du sport féminin français avec 4 médailles olympiques dont 1 en or, 13 titres de championne du Monde et 59 de championne de France. Et pourtant, la native d'Annecy aurait pu se lancer dans le ski alpin (05:00)Elle revient aussi sur ses débuts dans le vélo, quand elle cumulait les études et les entraînements et où elle a été couronnée championne d'Europe des lycées (09:30)La quadruple médaillée aux Jeux revient sur toutes ses olympiades, ses échecs, ses réussites "C'est un stress permanent" (21:45)Flo Masnada l'interroge aussi sur sa longue carrière de coureuse cycliste avec ses petites habitudes "J'étais réglée à la minute près avant les courses" (31:00)Enfin, Jeannie Longo s'interroge sur la volonté des sportives d'aujourd'hui à se lancer dans le haut-niveau (41:00)Surtout, elle donne sa vision de la belle trace.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/15/202247 minutes, 23 seconds
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Richard Dacoury : "Le beau geste est quelque chose qui me nourrissait"

Cette semaine, Flo Masnada parle basket avec Richard Dacoury dans le podcast Belle Trace. Joueur du CSP Limoges pendant 18 ans, le basketteur français revient sur sa quête de l'esthétisme et du beau jeu (05:59) qu'il juge indissociable du sport : "C'est ça qui t'embarque". Cette quête l'a animé dès sa découverte du sport et durant toute sa carrière professionnelle. Interrogé sur son parcours, le nonuple champion de France raconte sa love story avec Limoges, club avec lequel il remporte l'Euroligue en 1993 (13:30) où il avait un statut particulier dans le vestiaire : "J'étais un peu le garant des valeurs du club". Retour aussi sur sa carrière en bleu et notamment sur un douloureux souvenir lors du tournoi olympique de 1984 à Los Angeles, où il est privé du match face aux Etats-Unis pour une raison surréaliste (32:15). Désormais consultant, il livre son regard sur la génération actuelle du basket français (36:45) : "Le basket à la française a la cote !"Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/8/202248 minutes, 46 seconds
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Sarah Ourahmoune : "On me disait : ‘Tu vas avoir un corps de bonhomme’ mais ça m’était égal"

Sarah Ourahmoune est l’invitée de Flo Masnada dans Belle trace cette semaine. Vice-championne olympique de boxe lors des JO 2016 à Rio (-51 kg), elle raconte sa découverte de ce sport (1:41), dans son aspect éducatif d'abord. Un coup de foudre surprenant que peu de gens ont compris dans son entourage.Ourahmoune évoque la difficulté d'accepter le fait que des juges influent si directement sur le résultat, dans la boxe, avec le sentiment d'injustice que cela peut procurer (11:17). "C'est ce qu'il y a de plus compliqué (...) les coups de l'adversaire, nous y sommes préparées. Les décisions injustes, non", estime-t-elle.Notamment vice-présidente du CNOSF, Sarah Ourahmoune est une femme aux multiples casquettes. Elle parle de ses différents engagements (27:50). "Comment faire pour qu'il y ait plus de représentation féminine dans les instances ?", questionne-t-elle par exemple.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/1/202247 minutes, 39 seconds
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Tony Yoka : "Mohamed Ali, je le voyais comme un membre de ma famille"

Tony Yoka est l’invité de Flo Masnada dans Belle trace cette semaine. Le boxeur a rencontré "Flo" à Chamonix, au pied des pistes de ski, un sport qu’il a découvert il y a cinq ans seulement. "J’adore l’environnement que je trouve au milieu des montagnes", débute-t-il (01:42).Tony revient évidemment sur ses débuts de boxeur (05:50) grâce à son père qu’il l’a initié à ce sport. "A 6 ans, j’étais un peu turbulant, explique-t-il. J’ai goûté à la boxe et je ne suis plus jamais parti !"Depuis tout petit, il a "baigné dans l’univers de Mohamed Ali", grâce à son père qui lui montrait des vidéos de ces combats. (08:29) "Il y avait Ali du matin au soir à la maison", dit-il. Puis, plus tard, c’est le Britannique Lennox Lewis qui l’a inspiré pour son plan de carrière.Il se remémore ensuite comment Brahim Asloum, qu’il a vu petit à la télé lors de son titre olympique à Sydney en 2000, l’a inspiré (12:57). Champion olympique en 2016, Tony Yoka signe ensuite professionnel début 2017 (15:11). "Je savais que j’allais passer pro mais la question, c’était de savoir dans quelles conditions ?", détaille-t-il avant de revenir sur la genèse de son choix d’entraîneur.Comment se passe une carrière pro ? Avec qui et comment cela s’organise-t-il ? Tony Yoka liste les personnes qui l’entoure à présent. (19:00) Il revient également sur ses liens avec le boxeur Souleymane Cissokho qu’il connait depuis 17 ans et qui boxe lors des mêmes soirées que lui (21:09). Tony Yoka a un plan de carrière établi. Il sait même déjà qu’il veut devenir promoteur à l’issue de sa carrière (25:15). Tony Yoka évoque enfin ses rituels d’avant combat (29:30) : son sac qu’il fait deux fois, la musique qu’il ne met pas dans son casque…Enfin qu’est-ce qu’une belle trace pour lui ? Découvrez-le en fin d’épisode.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Eurosport Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/22/202240 minutes, 42 seconds
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Marie Dorin : "Martin Fourcade m’a beaucoup inspirée en tant qu’athlète mais aussi qu’en tant qu’homme"

Cette semaine, Eurosport est partenaire de l’opération #PlusDeSportAuFéminin. A cette occasion, nous vous proposons de réécouter l’épisode de Belle Trace avec Marie Dorin-Habert, multiple championne du monde de biathlon. Elle revient sur ses belles victoires, sa carrière et les personnes qui l'ont inspirées dans sa carrière. Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :https://shows.acast.com/les-belles-traces/episodes/gwendal-peizerat-avec-marina-anissina-javais-limpression-dethttps://shows.acast.com/les-belles-traces/episodes/carole-montillet-pour-etre-championne-olympique-jai-pris-unehttps://shows.acast.com/les-belles-traces/episodes/franck-piccard-est-devenu-un-homme-lors-des-jeux-1992Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/16/202239 minutes, 30 seconds
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Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, nous sommes différents"

Cette semaine, Flo Masnada parle de biathlon avec Raphaël Poirée dans le podcast Belle Trace. Vainqueur de 4 gros globe de cristal, le biathlète a joué un rôle d'ambassadeur de son sport en France bien avant l'avénement de Martin Fourcade. Il revient sur son dernier livre "La poursuite d'une vie" (1:58) qui retrace "avec du recul" comme il le dit lui-même, l'ensemble d'une carrière qu'il a trop passé "dans sa bulle".Raphaël nous raconte sa vie en Norvège, loin du biathlon mais aussi les personnes qui ont marqué sa vie de sportif de haut niveau (13:55).Il revient sur ce qu'il aurait fait différemment dans sa carrière. Jamais champion olympique, Raphaël Poirée, qui selon ses mots n'a jamais réussi à sortir son meilleur niveau aux Jeux Olympiques a toujours "trop voulu bien faire" (35:12).Le mot de la fin pour conclure ? "Nous ne sommes pas tous égaux mais chacun peut choisir d'être le plus fort" (43:34)Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :https://shows.acast.com/les-belles-traces/episodes/gwendal-peizerat-avec-marina-anissina-javais-limpression-dethttps://shows.acast.com/les-belles-traces/episodes/carole-montillet-pour-etre-championne-olympique-jai-pris-unehttps://shows.acast.com/les-belles-traces/episodes/franck-piccard-est-devenu-un-homme-lors-des-jeux-1992Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/8/202247 minutes, 18 seconds
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Perrine Pelen : "Quand on est athlète, on est toujours en mode projet pour réussir le jour J"

Cette semaine, Flo Masnada reçoit l’ancienne championne de ski alpin, Perrin Pelen, dans le podcast Belle Trace. Triple médaillée olympique, la native de Paris, aujourd’hui Directrice générale du comité d’organisation des championnats du monde de ski alpin 2023 à Méribel et Courchevel revient sur ses débuts à la montagne (0:56).Elle souligne l’importance du mental (7:19) en se remémorant sa préparation pour les Jeux Olympiques de 1980 à Salt Lake City ou comment elle a fait appel à un sophrologue pour l’aider sur cet aspect bien particulier de la carrière d’un sportif de haut niveau : “il est indispensable se préparer mentalement pour être prêt le jour J”. Perrine Pelen raconte les circonstances qui l’ont amenée à remporter sa première médaille olympique lors ces mêmes Jeux au nez et à la barbe de sa compatriote Fabienne Serra. Circonstances que cette-dernière n’a toujours pas oubliées (13:05). Elle s’étend aussi longuement sur son après-carrière et son nouveau rôle de Directrice générale du comité d’organisation des championnats du monde de ski alpin 2023 (20:40) et comment son passif de championne de ski peut l’y aider. Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, c'est que nous sommes différents"Gwendal Peizerat : "Avec Marina Anissina, j’avais l’impression d’être assis sur un baril de nitroglycérine"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Franck Piccard, du fond du trou au podium olympique à Albertville en 1992 : "Ce jour-là, je suis devenu un homme"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/2/202240 minutes, 44 seconds
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Raphaël Poirée : "Si nous trustons les podiums, il y a une raison, c'est que nous sommes différents"

Cette semaine, Flo Masnada parle de biathlon avec Raphaël Poirée dans le podcast Belle Trace. Vainqueur de 4 gros globe de cristal, le biathlète a joué un rôle d'ambassadeur de son sport en France bien avant l'avénement de Martin Fourcade. Il revient sur son dernier livre "La poursuite d'une vie" (1:58) qui retrace "avec du recul" comme il le dit lui-même, l'ensemble d'une carrière qu'il a trop passé "dans sa bulle".Raphaël nous raconte sa vie en Norvège, loin du biathlon mais aussi les personnes qui ont marqué sa vie de sportif de haut niveau (13:55). Il revient sur ce qu'il aurait fait différemment dans sa carrière. Jamais champion olympique, Raphaël Poirée, qui selon ses mots n'a jamais réussi à sortir son meilleur niveau aux Jeux Olympiques a toujours "trop voulu bien faire" (35:12).Le mot de la fin pour conclure ? "Nous ne sommes pas tous égaux mais chacun peut choisir d'être le plus fort" (43:34)Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :https://shows.acast.com/les-belles-traces/episodes/gwendal-peizerat-avec-marina-anissina-javais-limpression-dethttps://shows.acast.com/les-belles-traces/episodes/carole-montillet-pour-etre-championne-olympique-jai-pris-unehttps://shows.acast.com/les-belles-traces/episodes/franck-piccard-est-devenu-un-homme-lors-des-jeux-1992Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/25/202247 minutes, 18 seconds
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Gwendal Peizerat : "Avec Marina Anissina, j’avais l’impression d’être assis sur un baril de nitroglycérine"

Cette semaine, place au patinage artistique avec Gwendal Peizerat comme invité de Flo Masnada dans le podcast Belle Trace. Le danseur du glace a tout gagné, surtout les Jeux olympiques en 2002 à Salt Lake City avec sa partenaire Marina Anissina.Ensemble, ils ont été champions du monde en 2000, deux fois champions d'Europe et six fois champions de France en neuf ans de carrière entre 1993 et 2002. Et pourtant, tout n'a pas été simple entre eux.Gwendal nous explique comment il en est venu à faire du patinage (5:30) ce couple est né, a résisté au temps malgré leur peu de choses en commun et a finalement réussi à devenir le couple (sur glace) avec l'un des plus beaus palmarès de leur sport (10:55).Depuis sa retraite sportive, Gwendal a une vie toujours bien remplie et ouverte sur la vie d'artiste : chanteur et musicien, il a sorti un album en 2018 "Quand elle me..." Une passion qu'il vous fait découvrir en toute fin de podcast avec un titre en cadeau (49:15).Et si vous voulez le voir en concert, il se produit à Lyon le 21 avril 2022. Toutes les infos sur www.gwendalpeizerat.comBonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Philippe Candeloro : "Je suis frustré au commentaire car on m’empêche d’être moi, naturel"Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"Franck Piccard, du fond du trou au podium olympique à Albertville en 1992 : "Ce jour-là, je suis devenu un homme"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Sébastien Petit Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/18/202253 minutes, 51 seconds
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Carole Montillet : "Pour être championne olympique, j’ai pris une paire de skis que je ne connaissais pas"

Carole Montillet est l’invitée de Flo Masnada cette semaine dans le podcast Belle Trace.La championne olympique de descente 2002 revient sur son titre obtenu à Salt Lake City, quelques mois seulement après le décès accidentel de Régine Cavagnoud lors d’un entraînement.Dès le début du podcast (03:05), il est évidemment question de sa partenaire de l’équipe de France, décédée brutalement à l’automne 2001, un traumatisme pour celle qui est arrivée la première sur les lieux de l’accident pour constater le drame.Très marquée, Carole Montillet ne parvient pas à retrouver tout de suite ses sensations. Partie très tôt aux Etats-Unis pour essayer de se reconstruire, elle parvient à créer l’exploit en décrochant l’or olympique en descente aux Jeux Olympiques 2002.(22:00) Comme Antoine Dénériaz, elle évoque également la création de sa marque de skis, un ski accessible à "tout le monde et personnalisable".Après sa carrière achevée aux Jeux Olympiques de Turin en 2006, Carole Montillet s’est tournée vers le Dakar (28:52) avec Mélanie Suchet, une ancienne skieuse. "Le rallye-raid, il y a un côté MacGyver", jubile-t-elle.(32:08) Elle est également devenue consultante pour France Télévisions, une mission qui lui tient à cœur, pour le côté transmission d’expérience.(38:35) Pour conclure, elle évoque sa devise : "Se faire plaisir", qu’elle applique au quotidien. Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Franck Piccard, du fond du trou au podium olympique à Albertville en 1992 : "Ce jour-là, je suis devenu un homme"Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"Michaël Jérémiasz : "J'étais entre un Rafael Nadal et un Benoît Paire, j'avais besoin de bosser dur et aussi de brûler la vie"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Hadrien Hiault Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/11/202242 minutes, 13 seconds
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Franck Piccard, du fond du trou au podium olympique à Albertville en 1992 : "Ce jour-là, je suis devenu un homme"

Cette semaine, le triple médaillé olympique Franck Piccard est l’invité de Flo Masnada dans le podcast Belle Trace. L’ancien skieur alpin français, monté sur le toit de l’Olympe en 1988 à Calgary (super-G), raconte pendant trois quarts d’heure son glorieux passé… mais pas seulement.Piccard s’est notamment mis au ski de fond. Il explique y "retrouver cette sensation de glisse" qui lui procure du plaisir et lui offre "un moment de respiration, à part" (01:38).Il explique comment il a abordé les Jeux olympiques d’Albertville, en 1992 (13:36). D’une façon très compliquée : "Je commence à m’enfoncer dans les classements…" Avant de remonter la pente, pour conquérir une médaille d’argent en descente.Franck Piccard parle d’une "autre passion" : l’écriture, qu’il qualifie de "moyen d’expression absolument génial". Une passion qui lui est venue dans la foulée du ski de fond, avec l’envie de mettre des mots sur le sentiment de dépassement de soi (34:12).Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Arsène Wenger : "Les plus grands joueurs ont une prise d'information exceptionnelle"Grégory Coupet : "Je suis parti du stage de Tignes à cause de ma relation avec Domenech et j’ai fait demi-tour grâce à ma maman"Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : BababamVoir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/4/202247 minutes, 18 seconds
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Antoine Kombouaré : "C'est un énorme privilège d'être l'entraîneur du club dans lequel j'ai débuté"

Cette semaine, l'ancien joueur de football professionnel et aujourd'hui entraîneur Antoine Kombouaré est l’invité de Flo Masnada dans Belle Trace.Il explique ses débuts dans le football à Nouméa (01:30). Originaire de Nouvelle-Calédonie, il est arrivé à Nantes à l'âge de 19 ans pour faire un stage dans l'Hexagone dans les années 80. Il y restera finalement 7 ans, alors qu'il ne devait qu'y passer...De Nantes, Antoine est ensuite parti vers le PSG (13:37), destination fondamentale dans la carrière du Kanak. Là où il a réussi à se faire une renommée en décrochant plusieurs titres.De joueur, il est ensuite devenu entraîneur (20:35), qui était une "évidence mais aussi une obligation", la suite logique pour celui qui fait de la transmission et du partage une valeur forte à donner aux plus jeunes.Mais il n'y a pas que le foot dans sa vie... nous vous laissons découvrir son autre passion (37:01) !Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Arsène Wenger : "Les plus grands joueurs ont une prise d'information exceptionnelle"Grégory Coupet : "Je suis parti du stage de Tignes à cause de ma relation avec Domenech et j’ai fait demi-tour grâce à ma maman"Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/28/202141 minutes, 28 seconds
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Jackson Richardson : "En équipe de France, je rentrais dans le match pendant la Marseillaise, pas avant"

Cette semaine, l'ancien joueur de handball Jackson Richardson est l’invité de Flo Masnada dans Belle Trace.Il explique ses débuts dans ce sport "qui l'a choisi", comme il l'explique (03:50). Originaire de l'île de la Réunion, il est arrivé en métropole pour le service militaire, une arrivée qui s'est faite "sans réfléchir".Il détaille ensuite les sportifs qui l'ont inspiré (08:24). De Pelé aux basketteurs américains, il a été inspiré par de multiples personnalités. Il évoque aussi "sa fierté" d'avoir tenu le rôle de porte-drapeau aux Jeux Olympiques d'Athènes en 2004 (14:00). En équipe de France justement, il explique sa relation : "Je t'aime, moi non plus" avec le sélectionneur Daniel Costantini (21:00).Il livre aussi des détails sur sa préparation des matches. Avec notamment la bulle qu'il parvenait à créer autour de lui juste avant le début des oppositions (24:00).Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending"Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/21/202146 minutes, 38 seconds
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Vincent Clerc, un petit ailier devenu grand : "Je n’étais pas spécialement fait pour le haut niveau"

Cette semaine, l'ancien joueur de rugby Vincent Clerc est l’invité de Flo Masnada dans Belle Trace.Auteur de 34 essais en 67 sélections avec l’équipe de France, Clerc raconte son intérêt pour la préparation physique et sa curiosité : il est allé piocher des façons de faire dans d’autres sports (l’athlétisme, le football américain) et il fait un parallèle entre rugby et… ski (2:23). Il explique comment son jeu a évolué, vers plus d’altruisme. Le tout sans y perdre en termes d’essais marqués. Au contraire, ne pas être obsédé par son rôle de "finisseur" lui a permis de devenir encore meilleur en la matière selon lui (5:27).Vincent Clerc revient aussi sur un match qui l'a marqué : France - Nouvelle-Zélande, en novembre 2002 au Stade de France. Sa deuxième cape... et un duel avec Jonah Lomu pour fêter cela (23:57). "Il y a un truc absolument irréel quand il [Lomu] entre sur le terrain", déclare-t-il notamment.Clerc se remémore aussi un coup de tête d'un coéquipier qui a mal tourné (35:59). "Il m'a assommé", sourit-il, en insistant sur l'importance du collectif dans son sport.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending"Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/14/202147 minutes, 47 seconds
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Michaël Jérémiasz : "J'étais entre un Rafael Nadal et un Benoît Paire, j'avais besoin de bosser dur et aussi de brûler la vie"

Cette semaine, l'ancien joueur de tennis fauteuil Michaël Jérémiasz est l’invité de Flo Masnada dans Belle Trace.Il évoque débord son documentaire qu'il est en train de tourner en tant que producteur. L'angle : "Comment le sport a changé la vie des personnes handicapées dans le monde depuis 150 ans".Puis il évoque son podcast (05:00) créé avec So good sur la sexualité des personnes handicapées. Il se penche ensuite sur son association "Comme les Autres" (06:05) qui propose un accompagnement social dynamisé par le sport et les sensations fortes aux personnes devenues handicapées moteur après un accident.Son accident, il en est évidemment question (11:37). Michaël Jérémiasz revient dessus et explique qu'il a mis longtemps avant de revenir sur les lieux de son accident à Avoriaz.Avant de bifurquer sur le tennis fauteuil (14:10), un sport qu'il a pratiqué à très haut niveau. Il raconte son parcours de sportif de haut niveau qui l'a mené aux Jeux Olympiques. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/7/202143 minutes, 40 seconds
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Guillaume Gille : "On est tous des descendants des Barjots"

Cette semaine, le sélectionneur de l'équipe de France de handball Guillaume Gille est l’invité de Flo Masnada dans Belle Trace.Il évoque d’abord ses meilleurs souvenirs (01:30) qu'il relie à l'enfance et cette passion pour le jeu. "J'ai trouvé dans le handball un résumé de tout ce que j'aimais", explique-t-il.Puis il évoque les premières épopée, notamment celle "des Barjots de 1992" (07:00) qui leur ont fait prendre conscience que c'était possible. Puis vient le titre mondial en 1995 : "Ça a été le début d'une France en capacité de gagner"Il explique ensuite comment il a débuté sa carrière (13:26) et ses premières capes en équipe de France en 1996 face à la Yougoslavie, à seulement 20 ans. (20:30)Enfin, désormais sélectionneur de l'équipe de France, il explique qu'il a toujours eu cette envie au fond de lui. "Je ne sais pas si c'était une évidence de devenir coach mais j'ai toujours été intéressé par le fonctionnement de l'équipe". (29:50)Puis il nous livre son rapport avec les Jeux Olympiques. "Il n'y a rien qui atteint les JO en termes d'enjeu". (35:11) Enfin il se projette sur Paris 2024 et a hâte de jouer devant 28 000 personnes au Stade Pierre Mauroy (47:30). Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/30/202151 minutes, 35 seconds
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Philippe Candeloro : "Je suis frustré au commentaire car on m’empêche d’être moi, naturel"

Cette semaine, l'ancien patineur Philippe Candeloro est l’invité de Flo Masnada dans Belle Trace.Il revient d’abord sur ses débuts en patinage artistique en banlieue parisienne, dans la ville de Colombes. (02:30) "Le CP organisait une sortie scolaire à la patinoire et volà comment ça a commencé", raconte-t-il.Il explique ensuite comment le statut de sportif de haut niveau est particulier et la difficulté de l'après-carrière. (09:18) "C'est dommage qu'on ne demande pas plus aux anciens athlètes. On se sent aujourd'hui rejeté par nos instances fédérales", peste-t-il.Il revient aussi sur le show "Holiday on Ice" auquel il a participé et évoque son spectacle qu'il avait monté en 2008, dix ans après les Jeux Olympiques de Nagano (18:57)Philippe Candeloro se penche évidemment sur les plus beaux moments de sa carrière avec les deux médailles obtenues aux JO de 1994 et 1998 (29:29).Il évoque également les commentaires qu'il effectue depuis de longues années aux côtés de Nelson Monfort et Annick Dumont (31:50) sur France Télévisions.Enfin, il livre sa devise : "Tracer" (42:27), une devise qui lui correspond bien car il veut constamment aller de l'avant. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/23/202151 minutes, 47 seconds
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Yannick Agnel : "Dans la chambre d’appel aux Jeux Olympiques, je n’en menais pas large"

Double champion olympique de natation aux Jeux Olympiques de Londres, Yannick Agnel est l’invité de Flo Masnada.Il revient d’abord sur ses JO de Londres, et ses 2 titres olympiques. La récompense de beaucoup, beaucoup de travail."Avec Camille (Muffat) on se disait à l’époque : 'On est tellement au bout du rouleau, ou presque, que si vraiment on l’emporte, si on gagne à Londres, derrière on arrête, c’est Pina Colada et doigts de pieds en éventail !'" (02:06) Il raconte l’ambiance particulière des chambres d’appel, juste avant d’entrer dans l’arène pour se jeter à l’eau. Une atmosphère qu’il adorait (04:18). Où il aimait jouer de son côté décalé, pour détonner. Mais "dans la chambre d’appel aux Jeux Olympiques, je n’en menais pas large pour autant, je ne suis pas entré en faisant le moonwalk dans le couloir non plus", confesse-t-il (08:01).Puis il revient en détail sur sa finale du 200m (14:06) : "J’ai eu une sensation étrange, les 150 premiers mètres étaient d’une facilité déconcertante. Et aux 150 mètres je me suis dit : 'Allez, j’accélère'". (14:42) Une accélération, et le titre olympique au bout : "Une course magique" (16:14)Yannick nous parle aussi de sa collaboration avec Fabrice Pellerin, (21:25), un entraîneur "novateur" (22:16), avec qui la relation s’est tendue puis a explosé. Il analyse le couple entraîneur/nageur bien trop sacralisé en France (23:20), et où toute la pression repose sur l’entraîneur, qui en devient tout-puissant, ce qui peut mener à des situations très graves. Mais c’est le système qui veut ça, reconnaît-il. "Sans son exigence, je ne serais pas devenu champion olympique".Il se confie également sur son amour de l’écriture, et sur ses projets littéraires (29:20). Une envie d’écrire qui s’est révélée pendant le confinement (30:18). C’est ainsi qu’est né son roman, qu'il décrit comme "une merveilleuse aventure" (31:24), mais aussi comme "le prochain fil rouge de ma vie".Il y a le romancier, mais aussi le féru d’esport. Aujourd’hui, Yannick Agnel est directeur sportif d’un club d’esport, où il partage son expertise d'ancien sportif de haut niveau et nous explique comment il en est arrivé là (32:50).Pour conclure, sa devise de vie. (44:45) "Je crois que je n’en ai plus", reconnaît-il, "Quand j’étais en carrière, c’était : ‘La pression c’est ce qui transforme le charbon en diamant'. Mais aujourd’hui je ne pense plus avoir besoin de cette pression, de cette adrénaline." Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/16/202148 minutes, 11 seconds
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Pierre Frolla : "Quand je descends, je ne dois pas penser que j'ai envie de respirer, ni sentir la douleur"

Pierre Frolla, quadruple recorman du monde en apnée, Pierre Frolla est l’invité de Flo Masnada dans Belle Trace.L'apnéiste a battu quatre records du monde : -72 mètres en immersion libre (1999), -73 mètres en immersion libre (2000), -80 mètres en immersion libre (2001) et -123 mètres en poids variable (2004). Sa carrière, l'enseignement, les stages, c'est tout cela que Pierre Frolla raconte cette semaine dans le podcast "Belle Trace", sur Eurosport. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/10/202144 minutes, 20 seconds
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Emilie Le Pennec : Mon rêve était de devenir kiné, avant d'être championne olympique"

Médaillée d'or aux barres asymétriques aux Jeux Olympiques d'Athènes en 2004, la gymnaste Emilie Le Pennec est l’invitée de Flo Masnada dans Belle Trace.Cette jeune femme vous parle de sa réussite inattendue à son niveau, mais aussi de son métier, kinésithérapeute, un double projet qui l'a portée lors de son parcours. Un métier qu'elle n'a pas choisi par hasard, guidé par sa famille, élément très important pour la gymnaste.Ses joies, ses rivalités, les évolutions de son sport, c'est tout cela que Emilie Le Pennec raconte cette semaine dans le podcast "Belle Trace", sur Eurosport. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/2/202140 minutes, 52 seconds
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Charline Picon : "Une fois à l'Elysée, je suis allée faire toc toc à monsieur Macron..."

Médaillée d'or en RS:X aux Jeux Olympiques de Rio en 2016 puis d'argent à Tokyo l'été dernier, la véliplanchiste Charline Picon est l’invitée de Flo Masnada dans Belle Trace. Dès le début de cet échange, elle annonce la couleur : dans l'optique des JO de Paris 2024, elle a décidé de passer de la planche à voile RS:X au 49er FX, un dériveur léger, réservé aux femmes, qui se dispute en tandem.Elle explique ce choix par sa volonté d'être désormais dans le partage avec une coéquipière, en l'occurence Sarah Steyaert (34 ans), championne du monde de Laser radial en 2008 et cinquième des Jeux de Pékin. (06:40) Dans Belle Trace, elle revient ausi sur son "ancienne carrière" de véliplanchiste (14:47), ses olympiades avec ses médailles et évoque sa relation particulière avec son entraîneur.C'est tout cela que Charline Picon raconte cette semaine dans le podcast "Belle Trace", sur Eurosport. Bonne écoute Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/26/202143 minutes, 31 seconds
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Guy Drut : "Grâce aux paroles de Killy, je me suis forgé un mental de vainqueur"

Champion olympique du 110 mètres haies en 1976, Guy Drut est l’invité de Flo Masnada dans Belle Trace. Tout au long de cet échange, il évoque ses débuts (04:50), d'abord en football avant de basculer vers l'athlétisme très rapidement. Mais Guy Drut, c'est avant tout ce titre décroché en 1976 à Montréal sur 110 mètres haies, "un aboutissement", comme il aime le rappeler (07:03) alors qu'il avait raté sa demi-finale à l'issue de laquelle il s'est vu perdant. Mais les paroles de Jean-Claude Killy qu'il s'est remémoré l'ont reboosté pour aller chercher ce titre.Dans Belle Trace, Guy Drut évoque aussi ses tics lors de la préparation de ses courses (10:15) et la sensation qu'il a ressenti lors de sa victoire. (19:14)Il évoque également Ladji Doucouré et porte son regard sur l'athlétisme actuel (22:45) avant de bifurquer vers sa deuxième carrière, davantage politique celle-là.(25:38)Pour conclure, il se projette sur la sortie de son prochain livre "Champions Inoubliables", début novembre (29:15).C'est tout cela que le hurdleur raconte cette semaine dans le podcast "Belle Trace", sur Eurosport. Bonne écoute Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Abdelatif Benazzi : "Mon premier haka ? J'ai regardé dans mon pantalon pour voir ce qu'il y avait" Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/19/202141 minutes, 49 seconds
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Brahim Asloum : "Être petit, c’est ce qui m’a le plus perturbé dans ma vie. La boxe m’a permis de m’épanouir"

Champion olympique de boxe à Sydney en 2000, Brahim Asloum est l’invité de Flo Masnada dans Belle Trace. Tout au long de cet échange, il évoque ses débuts à Bourgoin-Jallieu, son titre de champion de France UNSS et son départ pour l’INSEP où il reste quatre ans. (01:33)  Dans Belle Trace, Brahim Asloum évoque aussi la recherche du beau geste dans le noble art (05:45) : "Mon plaisir, c’est d’attendre la bonne ouverture", jubile-t-il. Il est évidemment question de son titre olympique à Sydney en 2000 (08:54). Il revient sur son périple qui a duré une quinzaine de jours. Issu d’une famille de boucher, il raconte une anecdote sur sa jeunesse et une histoire de petit bout de papier qui a déclenché le respect de sa famille (18:23). Brahim Asloum évoque aussi les rencontres qui ont compté dans sa carrière (21:28). Il détaille enfin en longueur sa carrière chez les professionnels (33:30)  C'est tout cela que le boxeur raconte cette semaine dans le podcast "Belle Trace", sur Eurosport. Bonne écoute Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Abdelatif Benazzi : "Mon premier haka ? J'ai regardé dans mon pantalon pour voir ce qu'il y avait" Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending" Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/12/202150 minutes, 23 seconds
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Yannick Bestaven : "Humidité permanente, chauffage inexistant... Pendant 80 jours, on vit comme des sangliers"

Vainqueur du dernier Vendée Globe, Yannick Bestaven reçoit Flo Masnada chez lui à La Rochelle, à quelques mètres seulement de son monocoque Maître Coq.Le skipper revient sur ses débuts en canoé kayak et en planche à voile sur le bassin d’Arcachon avant de bifurquer vers la voile et la course au large au détour d’une rencontre avec Yves Parlier (02:16).Il revient évidemment sur sa victoire sur le Vendée Globe 2020-2021, une victoire d’équipe comme il aime le souligner (08:20) alors que 12 personnes sont présentes autour de lui pour la réussite du projet.Yannick se souvient aussi des moments clés de ce tour du monde victorieux (15:21) : le départ, le sauvetage de Kevin Escoffier, le passage du Cap Horn ainsi que la vie à bord et sa gestion du sommeil (23:50). "J’essayais de ne pas dormir plus de 60 minutes d’affilée", explique-t-il.Enfin, il revient sur ses sensations de retour sur terre, la victoire mais aussi la suite avec les règles sanitaires qui n'ont pas été simples à gérer (33:55).C'est tout cela que le skipper raconte cette semaine dans le podcast "Belle Trace", sur Eurosport. Bonne écouteEcoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Abdelatif Benazzi : "Mon premier haka ? J'ai regardé dans mon pantalon pour voir ce qu'il y avait"Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending"Grégory Coupet : "Je suis parti du stage de Tignes à cause de ma relation avec Domenech et j’ai fait demi-tour grâce à ma maman"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/5/202141 minutes, 37 seconds
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Abdelatif Benazzi : "Mon premier haka ? J'ai regardé dans mon pantalon pour voir ce qu'il y avait"

Grande figure du rugby français, Abdelatif Benazzi a fait le bonheur du XV tricolore pendant plus de dix ans au poste de deuxième ou troisième ligne. Dans Belle Trace, il revient avec Florence Masnada sur sa trajectoire hors normes.Une trajectoire originale et exemplaire. Douze saisons à Agen. Une âme de pionnier pour partir en Angleterre en fin de carrière. 78 sélections en équipe de France. Trois Coupes du monde. Un Grand Chelem dans le Tournoi en tant que capitaine. Une carcasse de près de deux mètres. Un style. Une gueule. Une histoire. Abdelatif Benazzi est une grande figure du rugby français. Rien, pourtant, ne prédestinait l'enfant d'Oujda, dans l'est marocain, à pratiquer ce sport de l'autre côté de la Méditerranée, au point d'en devenir un personnage majeur.C'est tout cela que l'ancien deuxième et troisième ligne du SU Agen et des Bleus raconte cette semaine dans le podcast "Belle Trace", sur Eurosport. Bonne écouteEcoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Grégory Coupet : "Je suis parti du stage de Tignes à cause de ma relation avec Domenech et j’ai fait demi-tour grâce à ma maman"Thomas Levet : "Je n’étais pas le plus doué mais j’en ai beaucoup battu dans la tête"Henri Leconte : "Si je n’avais pas été tennisman de haut niveau, j’aurais été acteur mais ce n’est pas fini"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Bababam  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/28/202146 minutes, 21 seconds
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Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending"

Samir Aït Saïd est l’invité de Flo Masnada cette semaine dans Belle Trace. Le gymnaste, champion d’Europe aux anneaux, revient sur son parcours et son histoire souvent douloureuse, mais toujours forte, avec les Jeux Olympiques. "Porte drapeau à Tokyo, c’était un honneur incroyable mais cela ne vaut pas une médaille olympique", reconnaît-il.Quatrième de la finale des anneaux à Tokyo, alors qu’il était blessé au biceps gauche, Samir Aït-Saïd ne pense maintenant qu'à une chose : prendre sa revanche et empocher l'or à Paris, en 2024. "En finale, je n’ai pas pu m’exprimer comme je le souhaitais", regrette-t-il (08:37), mais il l’assure : "A Paris ce sera différent, la roue va tourner". (20:01).Mais ses Jeux ne sont pas qu’un mauvais souvenir, il garde la fierté d’avoir laissé son nom à une figure : "Je me dis que quand j’arrêterai ma carrière, j’aurai marqué mon sport, et j’en suis fier" (04:38). Même si cela n’a pas été facile de laisser sa petite fille de quelques mois à la maison aussi longtemps (22:54).Samir Aït Saïd revient aussi sur sa formation de kiné (20:10), ses inspirations (12:48) et son leitmotiv : "Parfois il faut bosser plus que les autres pour y arriver, et cela a souvent été mon cas", reconnaît-il ainsi (29:30).Il y revient inlassablement. Porté par son rêve olympique, il n’abdiquera pas et croit en son destin, avec une confiance inébranlable. "A Paris, ça va être un happy ending. J’aurai ma médaille olympique chez moi, en France." Bonne écoute Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Grégory Coupet : "Je suis parti du stage de Tignes à cause de ma relation avec Domenech et j’ai fait demi-tour grâce à ma maman" Thomas Levet : "Je n’étais pas le plus doué mais j’en ai beaucoup battu dans la tête" Henri Leconte : "Si je n’avais pas été tennisman de haut niveau, j’aurais été acteur mais ce n’est pas fini" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Bababam   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/21/202143 minutes, 7 seconds
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Antoine Dénériaz : "En arrivant au départ de la descente olympique, j’ai levé les bras. Je sentais que ça allait le faire"

Antoine Dénériaz est l’invitée de Flo Masnada cette semaine dans Belle Trace. Le champion olympique de descente à Sestrières lors des Jeux d'hiver de Turin en 2006, évoque sa reconversion dans la fabrication de ski haut de gamme. Aux côtés de Flo Masnada, il est aussi question de sa carrière (09:50). Il revient aussi sur sa blessure et comment il a surmonté cela pour devenir champion olympique en dominant les Maier, Walchhofer ou Miller.Bonne écouteEcoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Surya Bonaly : "Si j'avais été blanche ou Américaine, j'aurais peut-être gagné une médaille d'or aux JO ou aux championnats du monde"Thomas Levet : "Je n’étais pas le plus doué mais j’en ai beaucoup battu dans la tête"Henri Leconte : "Si je n’avais pas été tennisman de haut niveau, j’aurais été acteur mais ce n’est pas fini"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Bababam  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/14/202141 minutes, 20 seconds
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Surya Bonaly : "Si j'avais été blanche ou Américaine, j'aurais peut-être gagné une médaille d'or aux JO ou aux championnats du monde"

Surya Bonaly est l’invitée de Flo Masnada cette semaine dans Belle Trace. L’ex-championne de patinage artistique, désormais installée à Las Vegas, revient sur son parcours. Elle se remémore avec envie sa carrière et notamment ce fameux salto arrière qui porte son nom (3:50), qu’elle est "toujours la seule à faire", précise-t-elle. Aux côtés de Flo Masnada, il est aussi question de couleur de peau (9:00). "C’est sûr qu’avec la couleur, c’est évident qu’il y avait quelque chose de différent", avance-t-elle avant de revenir sur les rapports qu’elle a entretenu avec sa mère, sa "prof sur la glace". Désormais entraîneuse (26:00), une profession qu’elle ne souhaitait absolument pas embrasser pendant sa carrière, Surya Bonaly livre ses secrets lorsqu’elle était athlète : ses choix de musique, sa gestion du stress et les sportives qui l’inspirent et l’ont inspirée.Bonne écouteEcoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Grégory Coupet : "Je suis parti du stage de Tignes à cause de ma relation avec Domenech et j’ai fait demi-tour grâce à ma maman"Thomas Levet : "Je n’étais pas le plus doué mais j’en ai beaucoup battu dans la tête"Henri Leconte : "Si je n’avais pas été tennisman de haut niveau, j’aurais été acteur mais ce n’est pas fini"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Bababam  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/7/202142 minutes, 14 seconds
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Grégory Coupet : "Je suis parti du stage de Tignes à cause de ma relation avec Domenech et j’ai fait demi-tour grâce à ma maman"

Flo Masnada reçoit Grégory Coupet dans Belle Trace. L'ancien gardien emblématique de Lyon et de l'équipe de France revient sur son parcours, son poste spécifique et raconte quelques anecdotes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/31/202145 minutes, 21 seconds
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Thomas Levet : "Je n’étais pas le plus doué mais j’en ai beaucoup battu dans la tête"

L’ancien golfeur Thomas Levet s’est confié dans Belle Trace au micro de Flo Masnada. Il revient sur sa carrière de joueur professionnel qu’il a choisi d'embrasser à 17 ans. Puis sur des moments forts de sa carrière et évoque la Ryder Cup à Détroit qu’il a vécu comme une rock star ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/20/202153 minutes, 2 seconds
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Henri Leconte : "Si je n’avais pas été tennisman de haut niveau, j’aurais été acteur mais ce n’est pas fini"

Henri Leconte est l'invité de Belle Trace cette semaine. Aux côtés de Flo Masnada, l'ancien joueur de tennis revient sur des moments forts de sa carrière et en particulier la finale de la Coupe Davis 1991 qu'il a remporté avec la France. Un entretien passionnant. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/13/202151 minutes, 6 seconds
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Jean Galfione : "Aux Jeux d’Atlanta, je ne sentais plus l’impact de mes appuis au sol, je volais"

Jean Galfione est l'invité de Flo Masnada dans Belle Trace cette semaine. Le perchiste, champion olympique à Atlanta en 1996, évoque sa carrière, son entraîneur Maurice Houvion avec qui il a entretenu des liens forts mais aussi sa deuxième carrière dans la voile. Il a notamment participé à la Coupe de l'America 2007 avec l'équipe de K-Challenge et la Route du Rhum en Class40. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/6/202147 minutes, 19 seconds
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Marie-Amélie Le Fur : "Perdre ma jambe à 15 ans m’a fait grandir plus rapidement"

Marie-Amélie Le Fur est l'invitée de Belle Trace cette semaine. Au micro de Flo Masnada, elle partage des moments de sa vie, rappelle les sacrifices qu'elle et sa famille font. Athlète handisport multi championne paralympique, elle raconte comment son parcours de vie l'a fait grandir plus vite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/29/202136 minutes, 6 seconds
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Arsène Wenger : "Les plus grands joueurs ont une prise d'information exceptionnelle"

Arsène Wenger est l'invité exceptionnel de Flo Masnada dans Belle Trace. Il retrace ses débuts et son parcours avec son amour du ballon rond. L'ancien manager d'Arsenal, aujourd'hui à la FIFA à la tête du Développement du football mondial, analyse avec profondeur les footballeurs. Une discussion enrichissante où il n'oublie pas de lâcher quelques anecdotes comme celles concernant l'ancien sprinter Usain Bolt : "J’ai dit à Usain Bolt qu’il était trop lent… pour le football" Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/22/202142 minutes, 42 seconds
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Marie Dorin : "Martin Fourcade m’a beaucoup inspiré en tant qu’athlète mais aussi qu’en tant qu’homme"

Pour ce nouvel épisode de Belle Trace, Flo Masnada reçoit Marie Dorin, multiple championne du monde de biathlon. Elle revient sur ses belles victoires, sa carrière et les personnes qui l'ont inspirées dans sa carrière. Bonne écoute. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/9/202139 minutes, 30 seconds
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Laurent Tillie : "Partir aux JO, ce sera partir vers l'inconnu comme Christophe Colomb dans sa Caravelle"

Dans Belle Trace cette semaine, Flo Masnada reçoit Laurent Tillie, entraîneur de l'équipe de France de volley-ball. Ce passionné nous parle de ses souvenirs olympiques, de la nouvelle aventure qui attend les Bleus à Tokyo cet été, entre des bulles sanitaires et un saut dans l'inconnu le plus total. Et bien sûr, la "belle trace" qu'il laisse. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/1/202135 minutes, 58 seconds
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Marie Bochet : "A chaque départ, je me dis : 'Fais toi plaisir et fais chanter la neige'"

Dans Belle Trace cette semaine, Flo Masnada reçoit Marie Bochet, skieuse handisport, multiple championne du monde et olympique. Elle nous parle de ses souvenirs olympiques, de son plaisir de skier en faisant "chanter la neige" et la "belle trace" qu'elle laisse. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/25/202133 minutes, 53 seconds
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Allison Pineau : "La force de l'équipe de France olympique est énorme"

Dans Belle Trace cette semaine, Flo Masnada reçoit Allison Pineau, la demi-centre de l'équipe de France. Elle nous parle de ses souvenirs olympiques, de ses envies de reconversion et de la "belle trace" qu'elle laisse. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/18/202138 minutes, 19 seconds
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Dimitri Yachvili : "Jean-Michel Larqué a été un second père pour moi"

Dans Belle Trace cette semaine, Flo Masnada reçoit Dimitri Yachvili, l'ancien demi de mêlée de l'équipe de France. Il nous parle de ses souvenirs, de son premier titre remporté avec Biarritz, de son poste "qui l'a choisi" et de Jean-Michel Larqué, qu'il considère comme un second père. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/11/202131 minutes, 51 seconds
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David Douillet : "Tout le monde m'avait déconseillé d'aller à Sydney, même mes proches"

Alors que les Jeux olympiques arrivent à grands pas, continuons notre tour des champions et des championnes qui ont laissé des traces indélébiles dans le sport français. Cette semaine, Flo Masnada est allée à la rencontre de David Douillet, double champion olympique en 1996 et 2000. Un souvenir fort que le Français vous raconte, avec une passion toujours intacte. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/4/202131 minutes, 53 seconds
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Alain Bernard : "Si à 15 ans, on m'avait dit que je serais champion olympique j'aurais ri au nez de la personne"

Alors que les Jeux olympiques arrivent à grands pas, continuons notre tour des champions et des championnes qui ont laissé des traces indélébiles dans le sport français.Cette semaine, Flo Masnada est allée à la rencontre d'Alain Bernard, champion olympique du 100m à Pékin en 2008. Un souvenir fort que le Français vous raconte, avec une passion toujours intacte. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/27/202141 minutes, 14 seconds
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Mélina Robert-Michon: "Je ne voulais pas choisir entre ma carrière sportive et ma vie de maman"

Alors que les Jeux olympiques arrivent à grands pas, continuons notre tour des champions et des championnes qui ont laissé des traces indélébiles dans le sport français.Cette semaine, Flo Masnada est allée à la rencontre de Mélina Robert-Michon, recordwoman de France au lancer du disque, vice-championne du monde en 2013 et vice-championne olympique de la discipline en 2016 à Rio de Janeiro. Un souvenir fort que la Française vous raconte, avec une passion toujours intacte, entre autres... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/20/202138 minutes, 46 seconds
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Fourcade : "Être Porte-drapeau, ça a changé ma façon de voir le sport"

A J-100 du début des Jeux olympiques, Flo est allée à la rencontre d'un ancien porte-drapeau : Martin Fourcade. Multiple champion olympique de biathlon, il explique ce qu'a représenté pour lui cette tâche et la difficulté que ça a été dans un premier temps avant d'accepter. Aux côtés de Flo, il revient sur son parcours, sa volonté de transmettre à travers l'écriture ou les associations et quelle trace il laisse au quotidien. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/13/202140 minutes, 37 seconds
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Edgar Grospiron : "C’est parce que j’étais un petit branleur que j’y suis arrivé"

Le premier invité de Belle Trace est Edgar Grospiron, sacré champion olympique de bosses aux Jeux olympiques d’Albertville en 1992. Depuis, Edgar a parcouru du chemin et est devenu un conférencier reconnu dans le monde de l’entreprise. Il a même récemment développé des Masterclass pour affronter la crise et booster la motivation. Aux côtés de Flo, il revient sur son parcours, les personnes qu’ils l’ont inspiré et quelle trace il laisse au quotidien. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/6/202138 minutes, 16 seconds