Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Cette émission explore l'évolution des phénomènes d'Objets Volants Non Identifiés (Ovnis) à travers l'Histoire, en partant des premiers témoignages pariétaux (sur les parois des grottes) jusqu'aux récits contemporains. Nous plongerons dans des archives fascinantes, évoquant des apparitions étranges dans les textes historiques, et religieux, de l'Antiquité au XXè siècle, ainsi que des événements emblématiques reconnus depuis comme fantaisistes. Une plongée dans un immense catalogue d’observations au fil des siècles et des débats qu'elles ont suscités, entre croyance, scepticisme et science.Une émission qui s'adresse à un public curieux, amateur d'Histoire et de mystères inexpliqués.Bibliographiecnrs-geipan.frhttp ://cufos.orghttps://www.archives.gov/records-mgmt/uap-guidance#:~:text=The%202024%20National%20Defense%20Authorization,Anomalous%20Phenomena%20(UAP)%20record%20inJulien Weverbergh et Ion Hobana, Les OVNI en URSS, Laffont, 1976Paul Misraki, Des signes dans le ciel, Labergerie, 1969 Le Mahabharata, traduit du sanscrit par PH. ED. Foucaux 1862 La Bible de Lemestre de Sacy, 1848Ramayana, traduit du sanscrit par Hyppolyte Fauche, 1855, livre XIVLe Bhagavata Purana, traduit du sanscrit par Eugène Burnouf, tome troisièmehttp ://www.thelatinlibrary.com/annalesregnifrancorum.html, rubrique 776 (DCCLXXXVI) - Attention, en latin ;)

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La torture au Moyen Âge est souvent associée aux châteaux et aux donjons, mais elle trouve ses racines bien avant cette époque, notamment dans le droit romain qui  a servi de base juridique à de nombreuses pratiques médiévales.Sous l'Empire romain, la torture était utilisée comme méthode d'investigation, principalement dans les affaires graves comme les trahisons. Les esclaves, en particulier, étaient soumis à des interrogatoires par la torture, car on considérait que leur témoignage n'avait de valeur qu'extorqué sous contrainte. Le droit romain la codifiait, avec des règles strictes sur qui pouvait en être victime, et dans quel contexte.Au Moyen Âge, la torture s'inscrit dans un cadre judiciaire plus complexe. Elle est réintroduite progressivement à partir du 12ᵉ siècle avec l'essor des tribunaux inquisitoriaux et royaux. C'est l'époque où l'Église l'utilise pour extorquer des aveux lors des procès en hérésie, et où les pouvoirs laïcs s'en servent dans les affaires de trahison, de meurtre ou de sorcellerie. L'objectif de la torture est généralement d'obtenir des aveux ou des informations, mais elle devait être pratiquée sous la supervision de juges.Les méthodes variaient considérablement selon les régions et les époques. Parmi les instruments les plus connus, on trouve la "strappado", où la victime était suspendue par les poignets derrière le dos, ou encore le "chevalet", une machine qui étirait lentement le corps. Mais la torture pouvait aussi être psychologique, avec la menace d'instruments terrifiants, sans nécessairement les utiliser.Il est important de souligner que la torture était encadrée par des règles. Elle n'était pas appliquée librement et devait être autorisée par des autorités judiciaires. Les juges fixaient la durée et la nature de la torture, et elle ne devait surtout pas conduire à la mort de la personne torturée.Une émission écrite par Lucie Devocelle, pour Timeline.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La torture au Moyen Âge est souvent associée aux châteaux et aux donjons, mais elle trouve ses racines bien avant cette époque, notamment dans le droit romain qui  a servi de base juridique à de nombreuses pratiques médiévales.Sous l'Empire romain, la torture était utilisée comme méthode d'investigation, principalement dans les affaires graves comme les trahisons. Les esclaves, en particulier, étaient soumis à des interrogatoires par la torture, car on considérait que leur témoignage n'avait de valeur qu'extorqué sous contrainte. Le droit romain la codifiait, avec des règles strictes sur qui pouvait en être victime, et dans quel contexte.Au Moyen Âge, la torture s'inscrit dans un cadre judiciaire plus complexe. Elle est réintroduite progressivement à partir du 12ᵉ siècle avec l'essor des tribunaux inquisitoriaux et royaux. C'est l'époque où l'Église l'utilise pour extorquer des aveux lors des procès en hérésie, et où les pouvoirs laïcs s'en servent dans les affaires de trahison, de meurtre ou de sorcellerie. L'objectif de la torture est généralement d'obtenir des aveux ou des informations, mais elle devait être pratiquée sous la supervision de juges.Les méthodes variaient considérablement selon les régions et les époques. Parmi les instruments les plus connus, on trouve la "strappado", où la victime était suspendue par les poignets derrière le dos, ou encore le "chevalet", une machine qui étirait lentement le corps. Mais la torture pouvait aussi être psychologique, avec la menace d'instruments terrifiants, sans nécessairement les utiliser.Il est important de souligner que la torture était encadrée par des règles. Elle n'était pas appliquée librement et devait être autorisée par des autorités judiciaires. Les juges fixaient la durée et la nature de la torture, et elle ne devait surtout pas conduire à la mort de la personne torturée.Une émission écrite par Lucie Devocelle, pour Timeline.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La torture au Moyen Âge est souvent associée aux châteaux et aux donjons, mais elle trouve ses racines bien avant cette époque, notamment dans le droit romain qui a servi de base juridique à de nombreuses pratiques médiévales.Sous l'Empire romain, la torture était utilisée comme méthode d'investigation, principalement dans les affaires graves comme les trahisons. Les esclaves, en particulier, étaient soumis à des interrogatoires par la torture, car on considérait que leur témoignage n'avait de valeur qu'extorqué sous contrainte. Le droit romain la codifiait, avec des règles strictes sur qui pouvait en être victime, et dans quel contexte.Au Moyen Âge, la torture s'inscrit dans un cadre judiciaire plus complexe. Elle est réintroduite progressivement à partir du 12ᵉ siècle avec l'essor des tribunaux inquisitoriaux et royaux. C'est l'époque où l'Église l'utilise pour extorquer des aveux lors des procès en hérésie, et où les pouvoirs laïcs s'en servent dans les affaires de trahison, de meurtre ou de sorcellerie. L'objectif de la torture est généralement d'obtenir des aveux ou des informations, mais elle devait être pratiquée sous la supervision de juges.Les méthodes variaient considérablement selon les régions et les époques. Parmi les instruments les plus connus, on trouve la "strappado", où la victime était suspendue par les poignets derrière le dos, ou encore le "chevalet", une machine qui étirait lentement le corps. Mais la torture pouvait aussi être psychologique, avec la menace d'instruments terrifiants, sans nécessairement les utiliser.Il est important de souligner que la torture était encadrée par des règles. Elle n'était pas appliquée librement et devait être autorisée par des autorités judiciaires. Les juges fixaient la durée et la nature de la torture, et elle ne devait surtout pas conduire à la mort de la personne torturée.Une émission écrite par Lucie Devocelle, pour Timeline.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La torture au Moyen Âge est souvent associée aux châteaux et aux donjons, mais elle trouve ses racines bien avant cette époque, notamment dans le droit romain qui  a servi de base juridique à de nombreuses pratiques médiévales.Sous l'Empire romain, la torture était utilisée comme méthode d'investigation, principalement dans les affaires graves comme les trahisons. Les esclaves, en particulier, étaient soumis à des interrogatoires par la torture, car on considérait que leur témoignage n'avait de valeur qu'extorqué sous contrainte. Le droit romain la codifiait, avec des règles strictes sur qui pouvait en être victime, et dans quel contexte.Au Moyen Âge, la torture s'inscrit dans un cadre judiciaire plus complexe. Elle est réintroduite progressivement à partir du 12ᵉ siècle avec l'essor des tribunaux inquisitoriaux et royaux. C'est l'époque où l'Église l'utilise pour extorquer des aveux lors des procès en hérésie, et où les pouvoirs laïcs s'en servent dans les affaires de trahison, de meurtre ou de sorcellerie. L'objectif de la torture est généralement d'obtenir des aveux ou des informations, mais elle devait être pratiquée sous la supervision de juges.Les méthodes variaient considérablement selon les régions et les époques. Parmi les instruments les plus connus, on trouve la "strappado", où la victime était suspendue par les poignets derrière le dos, ou encore le "chevalet", une machine qui étirait lentement le corps. Mais la torture pouvait aussi être psychologique, avec la menace d'instruments terrifiants, sans nécessairement les utiliser.Il est important de souligner que la torture était encadrée par des règles. Elle n'était pas appliquée librement et devait être autorisée par des autorités judiciaires. Les juges fixaient la durée et la nature de la torture, et elle ne devait surtout pas conduire à la mort de la personne torturée.Une émission écrite par Lucie Devocelle, pour Timeline.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La torture au Moyen Âge est souvent associée aux châteaux et aux donjons, mais elle trouve ses racines bien avant cette époque, notamment dans le droit romain qui  a servi de base juridique à de nombreuses pratiques médiévales.Sous l'Empire romain, la torture était utilisée comme méthode d'investigation, principalement dans les affaires graves comme les trahisons. Les esclaves, en particulier, étaient soumis à des interrogatoires par la torture, car on considérait que leur témoignage n'avait de valeur qu'extorqué sous contrainte. Le droit romain la codifiait, avec des règles strictes sur qui pouvait en être victime, et dans quel contexte.Au Moyen Âge, la torture s'inscrit dans un cadre judiciaire plus complexe. Elle est réintroduite progressivement à partir du 12ᵉ siècle avec l'essor des tribunaux inquisitoriaux et royaux. C'est l'époque où l'Église l'utilise pour extorquer des aveux lors des procès en hérésie, et où les pouvoirs laïcs s'en servent dans les affaires de trahison, de meurtre ou de sorcellerie. L'objectif de la torture est généralement d'obtenir des aveux ou des informations, mais elle devait être pratiquée sous la supervision de juges.Les méthodes variaient considérablement selon les régions et les époques. Parmi les instruments les plus connus, on trouve la "strappado", où la victime était suspendue par les poignets derrière le dos, ou encore le "chevalet", une machine qui étirait lentement le corps. Mais la torture pouvait aussi être psychologique, avec la menace d'instruments terrifiants, sans nécessairement les utiliser.Il est important de souligner que la torture était encadrée par des règles. Elle n'était pas appliquée librement et devait être autorisée par des autorités judiciaires. Les juges fixaient la durée et la nature de la torture, et elle ne devait surtout pas conduire à la mort de la personne torturée.Une émission écrite par Lucie Devocelle, pour Timeline.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La torture au Moyen Âge est souvent associée aux châteaux et aux donjons, mais elle trouve ses racines bien avant cette époque, notamment dans le droit romain qui  a servi de base juridique à de nombreuses pratiques médiévales.Sous l'Empire romain, la torture était utilisée comme méthode d'investigation, principalement dans les affaires graves comme les trahisons. Les esclaves, en particulier, étaient soumis à des interrogatoires par la torture, car on considérait que leur témoignage n'avait de valeur qu'extorqué sous contrainte. Le droit romain la codifiait, avec des règles strictes sur qui pouvait en être victime, et dans quel contexte.Au Moyen Âge, la torture s'inscrit dans un cadre judiciaire plus complexe. Elle est réintroduite progressivement à partir du 12ᵉ siècle avec l'essor des tribunaux inquisitoriaux et royaux. C'est l'époque où l'Église l'utilise pour extorquer des aveux lors des procès en hérésie, et où les pouvoirs laïcs s'en servent dans les affaires de trahison, de meurtre ou de sorcellerie. L'objectif de la torture est généralement d'obtenir des aveux ou des informations, mais elle devait être pratiquée sous la supervision de juges.Les méthodes variaient considérablement selon les régions et les époques. Parmi les instruments les plus connus, on trouve la "strappado", où la victime était suspendue par les poignets derrière le dos, ou encore le "chevalet", une machine qui étirait lentement le corps. Mais la torture pouvait aussi être psychologique, avec la menace d'instruments terrifiants, sans nécessairement les utiliser.Il est important de souligner que la torture était encadrée par des règles. Elle n'était pas appliquée librement et devait être autorisée par des autorités judiciaires. Les juges fixaient la durée et la nature de la torture, et elle ne devait surtout pas conduire à la mort de la personne torturée.Une émission écrite par Lucie Devocelle, pour Timeline.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette deuxième partie, nous abordons les cités mayas et la vie quotidienne.Les ville étaient en effet des centres de vie politique, religieuse et économique pour cette civilisation ancienne qui s'étendait du sud du Mexique à l'Amérique centrale. Une ville maya typique était dominée par une grande place centrale, autour de laquelle s'organisaient des structures monumentales comme des temples-pyramides, des palais et des terrains de jeu de balle. Ces édifices symbolisaient la puissance des élites dirigeantes et servaient de lieux pour des rituels religieux complexes, souvent en l'honneur des dieux et du roi, considéré comme une figure divine.Les Mayas vivaient dans des maisons simples, faites de bois et de chaume, souvent organisées en petits groupes familiaux à la périphérie de la ville. La vie quotidienne était rythmée par l'agriculture, principalement la culture du maïs, aliment de base. Les familles cultivaient aussi des haricots, des courges et des piments. L'artisanat occupait une place importante, avec la fabrication de textiles, de poteries et d'objets en jade ou en obsidienne, souvent échangés sur de vastes réseaux commerciaux.La société maya était hiérarchisée. À son sommet, les nobles et les prêtres jouaient un rôle central dans la gestion de la cité et la pratique des rituels religieux, tandis que les paysans et les artisans formaient la base de la société. Les cérémonies religieuses et les jeux de balle avaient une grande importance, marquant les événements majeurs de la vie sociale et religieuse.Nous verrons enfin que le temps des Mayas était également structuré par leur calendrier sophistiqué, basé sur des observations astronomiques précises, et influençait à la fois les cycles agricoles et les pratiques spirituelles.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette deuxième partie, nous abordons les cités mayas et la vie quotidienne.Les ville étaient en effet des centres de vie politique, religieuse et économique pour cette civilisation ancienne qui s'étendait du sud du Mexique à l'Amérique centrale. Une ville maya typique était dominée par une grande place centrale, autour de laquelle s'organisaient des structures monumentales comme des temples-pyramides, des palais et des terrains de jeu de balle. Ces édifices symbolisaient la puissance des élites dirigeantes et servaient de lieux pour des rituels religieux complexes, souvent en l'honneur des dieux et du roi, considéré comme une figure divine.Les Mayas vivaient dans des maisons simples, faites de bois et de chaume, souvent organisées en petits groupes familiaux à la périphérie de la ville. La vie quotidienne était rythmée par l'agriculture, principalement la culture du maïs, aliment de base. Les familles cultivaient aussi des haricots, des courges et des piments. L'artisanat occupait une place importante, avec la fabrication de textiles, de poteries et d'objets en jade ou en obsidienne, souvent échangés sur de vastes réseaux commerciaux.La société maya était hiérarchisée. À son sommet, les nobles et les prêtres jouaient un rôle central dans la gestion de la cité et la pratique des rituels religieux, tandis que les paysans et les artisans formaient la base de la société. Les cérémonies religieuses et les jeux de balle avaient une grande importance, marquant les événements majeurs de la vie sociale et religieuse.Nous verrons enfin que le temps des Mayas était également structuré par leur calendrier sophistiqué, basé sur des observations astronomiques précises, et influençait à la fois les cycles agricoles et les pratiques spirituelles.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette deuxième partie, nous abordons les cités mayas et la vie quotidienne.Les ville étaient en effet des centres de vie politique, religieuse et économique pour cette civilisation ancienne qui s'étendait du sud du Mexique à l'Amérique centrale. Une ville maya typique était dominée par une grande place centrale, autour de laquelle s'organisaient des structures monumentales comme des temples-pyramides, des palais et des terrains de jeu de balle. Ces édifices symbolisaient la puissance des élites dirigeantes et servaient de lieux pour des rituels religieux complexes, souvent en l'honneur des dieux et du roi, considéré comme une figure divine.Les Mayas vivaient dans des maisons simples, faites de bois et de chaume, souvent organisées en petits groupes familiaux à la périphérie de la ville. La vie quotidienne était rythmée par l'agriculture, principalement la culture du maïs, aliment de base. Les familles cultivaient aussi des haricots, des courges et des piments. L'artisanat occupait une place importante, avec la fabrication de textiles, de poteries et d'objets en jade ou en obsidienne, souvent échangés sur de vastes réseaux commerciaux.La société maya était hiérarchisée. À son sommet, les nobles et les prêtres jouaient un rôle central dans la gestion de la cité et la pratique des rituels religieux, tandis que les paysans et les artisans formaient la base de la société. Les cérémonies religieuses et les jeux de balle avaient une grande importance, marquant les événements majeurs de la vie sociale et religieuse.Nous verrons enfin que le temps des Mayas était également structuré par leur calendrier sophistiqué, basé sur des observations astronomiques précises, et influençait à la fois les cycles agricoles et les pratiques spirituelles.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette deuxième partie, nous abordons les cités mayas et la vie quotidienne.Les ville étaient en effet des centres de vie politique, religieuse et économique pour cette civilisation ancienne qui s'étendait du sud du Mexique à l'Amérique centrale. Une ville maya typique était dominée par une grande place centrale, autour de laquelle s'organisaient des structures monumentales comme des temples-pyramides, des palais et des terrains de jeu de balle. Ces édifices symbolisaient la puissance des élites dirigeantes et servaient de lieux pour des rituels religieux complexes, souvent en l'honneur des dieux et du roi, considéré comme une figure divine.Les Mayas vivaient dans des maisons simples, faites de bois et de chaume, souvent organisées en petits groupes familiaux à la périphérie de la ville. La vie quotidienne était rythmée par l'agriculture, principalement la culture du maïs, aliment de base. Les familles cultivaient aussi des haricots, des courges et des piments. L'artisanat occupait une place importante, avec la fabrication de textiles, de poteries et d'objets en jade ou en obsidienne, souvent échangés sur de vastes réseaux commerciaux.La société maya était hiérarchisée. À son sommet, les nobles et les prêtres jouaient un rôle central dans la gestion de la cité et la pratique des rituels religieux, tandis que les paysans et les artisans formaient la base de la société. Les cérémonies religieuses et les jeux de balle avaient une grande importance, marquant les événements majeurs de la vie sociale et religieuse.Nous verrons enfin que le temps des Mayas était également structuré par leur calendrier sophistiqué, basé sur des observations astronomiques précises, et influençait à la fois les cycles agricoles et les pratiques spirituelles.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette deuxième partie, nous abordons les cités mayas et la vie quotidienne.Les ville étaient en effet des centres de vie politique, religieuse et économique pour cette civilisation ancienne qui s'étendait du sud du Mexique à l'Amérique centrale. Une ville maya typique était dominée par une grande place centrale, autour de laquelle s'organisaient des structures monumentales comme des temples-pyramides, des palais et des terrains de jeu de balle. Ces édifices symbolisaient la puissance des élites dirigeantes et servaient de lieux pour des rituels religieux complexes, souvent en l'honneur des dieux et du roi, considéré comme une figure divine.Les Mayas vivaient dans des maisons simples, faites de bois et de chaume, souvent organisées en petits groupes familiaux à la périphérie de la ville. La vie quotidienne était rythmée par l'agriculture, principalement la culture du maïs, aliment de base. Les familles cultivaient aussi des haricots, des courges et des piments. L'artisanat occupait une place importante, avec la fabrication de textiles, de poteries et d'objets en jade ou en obsidienne, souvent échangés sur de vastes réseaux commerciaux.La société maya était hiérarchisée. À son sommet, les nobles et les prêtres jouaient un rôle central dans la gestion de la cité et la pratique des rituels religieux, tandis que les paysans et les artisans formaient la base de la société. Les cérémonies religieuses et les jeux de balle avaient une grande importance, marquant les événements majeurs de la vie sociale et religieuse.Nous verrons enfin que le temps des Mayas était également structuré par leur calendrier sophistiqué, basé sur des observations astronomiques précises, et influençait à la fois les cycles agricoles et les pratiques spirituelles.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette deuxième partie, nous abordons les cités mayas et la vie quotidienne.Les ville étaient en effet des centres de vie politique, religieuse et économique pour cette civilisation ancienne qui s'étendait du sud du Mexique à l'Amérique centrale. Une ville maya typique était dominée par une grande place centrale, autour de laquelle s'organisaient des structures monumentales comme des temples-pyramides, des palais et des terrains de jeu de balle. Ces édifices symbolisaient la puissance des élites dirigeantes et servaient de lieux pour des rituels religieux complexes, souvent en l'honneur des dieux et du roi, considéré comme une figure divine.Les Mayas vivaient dans des maisons simples, faites de bois et de chaume, souvent organisées en petits groupes familiaux à la périphérie de la ville. La vie quotidienne était rythmée par l'agriculture, principalement la culture du maïs, aliment de base. Les familles cultivaient aussi des haricots, des courges et des piments. L'artisanat occupait une place importante, avec la fabrication de textiles, de poteries et d'objets en jade ou en obsidienne, souvent échangés sur de vastes réseaux commerciaux.La société maya était hiérarchisée. À son sommet, les nobles et les prêtres jouaient un rôle central dans la gestion de la cité et la pratique des rituels religieux, tandis que les paysans et les artisans formaient la base de la société. Les cérémonies religieuses et les jeux de balle avaient une grande importance, marquant les événements majeurs de la vie sociale et religieuse.Nous verrons enfin que le temps des Mayas était également structuré par leur calendrier sophistiqué, basé sur des observations astronomiques précises, et influençait à la fois les cycles agricoles et les pratiques spirituelles.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En fonction de 1879 à 1887, ses deux mandats (dont le second n’aura duré que 2 ans) ont été marqués par des réformes visant à renforcer les institutions républicaines, notamment en matière de liberté de la presse et de séparation de l'Église et de l'État. Pendant cette période, Jules Grévy a dû faire face à plusieurs défis majeurs, comme la gestion des tensions politiques entre les différentes factions républicaines, notamment entre les modérés et les radicaux. Ces divisions ont rendu difficile la mise en œuvre de réformes et ont parfois conduit à des blocages politiques.En outre, Grévy a dû faire face à des scandales politiques, tels que l'affaire des décorations, qui ont ébranlé sa présidence et terni son image publique. Ces scandales ont suscité des critiques et remis en question son intégrité en tant que président.Enfin, il a dû faire face à des défis économiques et sociaux, comme la question de la réforme agraire et de la protection des travailleurs. Ces problèmes ont nécessité des efforts importants pour trouver des solutions équitables et durables.Malgré ces défis, Jules Grévy, 4è Président de notre République, a tenté de gouverner avec intégrité et de promouvoir les idéaux républicains, contribuant ainsi à consolider la République française.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En fonction de 1879 à 1887, ses deux mandats (dont le second n’aura duré que 2 ans) ont été marqués par des réformes visant à renforcer les institutions républicaines, notamment en matière de liberté de la presse et de séparation de l'Église et de l'État. Pendant cette période, Jules Grévy a dû faire face à plusieurs défis majeurs, comme la gestion des tensions politiques entre les différentes factions républicaines, notamment entre les modérés et les radicaux. Ces divisions ont rendu difficile la mise en œuvre de réformes et ont parfois conduit à des blocages politiques.En outre, Grévy a dû faire face à des scandales politiques, tels que l'affaire des décorations, qui ont ébranlé sa présidence et terni son image publique. Ces scandales ont suscité des critiques et remis en question son intégrité en tant que président.Enfin, il a dû faire face à des défis économiques et sociaux, comme la question de la réforme agraire et de la protection des travailleurs. Ces problèmes ont nécessité des efforts importants pour trouver des solutions équitables et durables.Malgré ces défis, Jules Grévy, 4è Président de notre République, a tenté de gouverner avec intégrité et de promouvoir les idéaux républicains, contribuant ainsi à consolider la République française.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En fonction de 1879 à 1887, ses deux mandats (dont le second n’aura duré que 2 ans) ont été marqués par des réformes visant à renforcer les institutions républicaines, notamment en matière de liberté de la presse et de séparation de l'Église et de l'État. Pendant cette période, Jules Grévy a dû faire face à plusieurs défis majeurs, comme la gestion des tensions politiques entre les différentes factions républicaines, notamment entre les modérés et les radicaux. Ces divisions ont rendu difficile la mise en œuvre de réformes et ont parfois conduit à des blocages politiques.En outre, Grévy a dû faire face à des scandales politiques, tels que l'affaire des décorations, qui ont ébranlé sa présidence et terni son image publique. Ces scandales ont suscité des critiques et remis en question son intégrité en tant que président.Enfin, il a dû faire face à des défis économiques et sociaux, comme la question de la réforme agraire et de la protection des travailleurs. Ces problèmes ont nécessité des efforts importants pour trouver des solutions équitables et durables.Malgré ces défis, Jules Grévy, 4è Président de notre République, a tenté de gouverner avec intégrité et de promouvoir les idéaux républicains, contribuant ainsi à consolider la République française.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En fonction de 1879 à 1887, ses deux mandats (dont le second n’aura duré que 2 ans) ont été marqués par des réformes visant à renforcer les institutions républicaines, notamment en matière de liberté de la presse et de séparation de l'Église et de l'État. Pendant cette période, Jules Grévy a dû faire face à plusieurs défis majeurs, comme la gestion des tensions politiques entre les différentes factions républicaines, notamment entre les modérés et les radicaux. Ces divisions ont rendu difficile la mise en œuvre de réformes et ont parfois conduit à des blocages politiques.En outre, Grévy a dû faire face à des scandales politiques, tels que l'affaire des décorations, qui ont ébranlé sa présidence et terni son image publique. Ces scandales ont suscité des critiques et remis en question son intégrité en tant que président.Enfin, il a dû faire face à des défis économiques et sociaux, comme la question de la réforme agraire et de la protection des travailleurs. Ces problèmes ont nécessité des efforts importants pour trouver des solutions équitables et durables.Malgré ces défis, Jules Grévy, 4è Président de notre République, a tenté de gouverner avec intégrité et de promouvoir les idéaux républicains, contribuant ainsi à consolider la République française.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En fonction de 1879 à 1887, ses deux mandats (dont le second n’aura duré que 2 ans) ont été marqués par des réformes visant à renforcer les institutions républicaines, notamment en matière de liberté de la presse et de séparation de l'Église et de l'État. Pendant cette période, Jules Grévy a dû faire face à plusieurs défis majeurs, comme la gestion des tensions politiques entre les différentes factions républicaines, notamment entre les modérés et les radicaux. Ces divisions ont rendu difficile la mise en œuvre de réformes et ont parfois conduit à des blocages politiques.En outre, Grévy a dû faire face à des scandales politiques, tels que l'affaire des décorations, qui ont ébranlé sa présidence et terni son image publique. Ces scandales ont suscité des critiques et remis en question son intégrité en tant que président.Enfin, il a dû faire face à des défis économiques et sociaux, comme la question de la réforme agraire et de la protection des travailleurs. Ces problèmes ont nécessité des efforts importants pour trouver des solutions équitables et durables.Malgré ces défis, Jules Grévy, 4è Président de notre République, a tenté de gouverner avec intégrité et de promouvoir les idéaux républicains, contribuant ainsi à consolider la République française.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En fonction de 1879 à 1887, ses deux mandats (dont le second n’aura duré que 2 ans) ont été marqués par des réformes visant à renforcer les institutions républicaines, notamment en matière de liberté de la presse et de séparation de l'Église et de l'État. Pendant cette période, Jules Grévy a dû faire face à plusieurs défis majeurs, comme la gestion des tensions politiques entre les différentes factions républicaines, notamment entre les modérés et les radicaux. Ces divisions ont rendu difficile la mise en œuvre de réformes et ont parfois conduit à des blocages politiques.En outre, Grévy a dû faire face à des scandales politiques, tels que l'affaire des décorations, qui ont ébranlé sa présidence et terni son image publique. Ces scandales ont suscité des critiques et remis en question son intégrité en tant que président.Enfin, il a dû faire face à des défis économiques et sociaux, comme la question de la réforme agraire et de la protection des travailleurs. Ces problèmes ont nécessité des efforts importants pour trouver des solutions équitables et durables.Malgré ces défis, Jules Grévy, 4è Président de notre République, a tenté de gouverner avec intégrité et de promouvoir les idéaux républicains, contribuant ainsi à consolider la République française.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique.Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible.Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique.Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible.Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique.Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible.Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique.Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible.Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique.Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible.Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique.Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible.Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La civilisation maya est née sur les terres du Honduras, vers le IIIe millénaire av. J.-C., et s’est étendue de façon progressive vers l’actuel Mexique. Elle a établi un territoire comprenant les pays que l’on appelle de nos jour le Mexique, le Belize, le Guatemala, le Honduras et le Salvador, c’est-à-dire une partie de l’Amérique centrale. Les Mayas sont, avant tout, un peuple terrien : habiles fermiers, ils défrichent de vastes étendues de forêt tropicale et bâtissent d’immenses réservoirs souterrains d’eau de pluie dans les zones sèches. Ils cultivent principalement du maïs, qui est la base de leur alimentation. Ils tracent aussi des routes pour relier leurs territoires entre eux, et tissent ainsi un vaste réseau d’échanges à travers le monde précolombien. Mais on connaît la civilisation maya surtout grâce aux extraordinaires pyramides qui ont défié les siècles et subsistent encore aujourd’hui. Le souverain y montre ses connaissances et y légitime son pouvoir. Les cités mayas rivalisent de beauté et de grandeur, cette course à la sophistication était une manière de révéler leur puissance.La compréhension de l’univers qui entoure les Mayas est le point de départ de leurs croyances. De là découlent les rites, liés le plus souvent au bon déroulement des saisons. La religion fait partie de la vie quotidienne. Le prêtre maya, ou chaman, interprète la bonne récurrence des cycles et prédit les temps passés et à venir. S’il présage des temps difficiles, il faut faire des sacrifices pour apaiser les dieux. Ces sacrifices ont pour but d’agir sur le monde, de veiller à son équilibre et de mettre les dieux du côté des hommes.Mais que seraient les Mayas sans leur écriture ? Celle-ci est extrêmement perfectionnée : elle utilise des glyphes, disposés en colonnes, qui se lisent de gauche à droite et de haut en bas. L’écriture maya est difficile à interpréter, mais on sait aujourd’hui décrypter plus de 80% des glyphes. L’écriture sert à entrer en communication directe avec les dieux et très vite les Mayas l’utilisent à des fins de propagande politique, pour montrer le roi et sa dynastie sous son jour le plus favorable. Mais nous conservons également de nombreux écrits de leurs calculs du temps, de la position des étoiles et des planètes. Une question continue de passionner les archéologues : pourquoi les Mayas ont-ils abandonné leurs magnifiques cités à l’aube du Xe siècle, marquant ainsi la fin de leur brillante civilisation ? Ont-ils été victimes d’une catastrophe naturelle ? D’une invasion étrangère ? Le mystère demeure… 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La civilisation maya est née sur les terres du Honduras, vers le IIIe millénaire av. J.-C., et s’est étendue de façon progressive vers l’actuel Mexique. Elle a établi un territoire comprenant les pays que l’on appelle de nos jour le Mexique, le Belize, le Guatemala, le Honduras et le Salvador, c’est-à-dire une partie de l’Amérique centrale. Les Mayas sont, avant tout, un peuple terrien : habiles fermiers, ils défrichent de vastes étendues de forêt tropicale et bâtissent d’immenses réservoirs souterrains d’eau de pluie dans les zones sèches. Ils cultivent principalement du maïs, qui est la base de leur alimentation. Ils tracent aussi des routes pour relier leurs territoires entre eux, et tissent ainsi un vaste réseau d’échanges à travers le monde précolombien. Mais on connaît la civilisation maya surtout grâce aux extraordinaires pyramides qui ont défié les siècles et subsistent encore aujourd’hui. Le souverain y montre ses connaissances et y légitime son pouvoir. Les cités mayas rivalisent de beauté et de grandeur, cette course à la sophistication était une manière de révéler leur puissance.La compréhension de l’univers qui entoure les Mayas est le point de départ de leurs croyances. De là découlent les rites, liés le plus souvent au bon déroulement des saisons. La religion fait partie de la vie quotidienne. Le prêtre maya, ou chaman, interprète la bonne récurrence des cycles et prédit les temps passés et à venir. S’il présage des temps difficiles, il faut faire des sacrifices pour apaiser les dieux. Ces sacrifices ont pour but d’agir sur le monde, de veiller à son équilibre et de mettre les dieux du côté des hommes.Mais que seraient les Mayas sans leur écriture ? Celle-ci est extrêmement perfectionnée : elle utilise des glyphes, disposés en colonnes, qui se lisent de gauche à droite et de haut en bas. L’écriture maya est difficile à interpréter, mais on sait aujourd’hui décrypter plus de 80% des glyphes. L’écriture sert à entrer en communication directe avec les dieux et très vite les Mayas l’utilisent à des fins de propagande politique, pour montrer le roi et sa dynastie sous son jour le plus favorable. Mais nous conservons également de nombreux écrits de leurs calculs du temps, de la position des étoiles et des planètes. Une question continue de passionner les archéologues : pourquoi les Mayas ont-ils abandonné leurs magnifiques cités à l’aube du Xe siècle, marquant ainsi la fin de leur brillante civilisation ? Ont-ils été victimes d’une catastrophe naturelle ? D’une invasion étrangère ? Le mystère demeure… 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La civilisation maya est née sur les terres du Honduras, vers le IIIe millénaire av. J.-C., et s’est étendue de façon progressive vers l’actuel Mexique. Elle a établi un territoire comprenant les pays que l’on appelle de nos jour le Mexique, le Belize, le Guatemala, le Honduras et le Salvador, c’est-à-dire une partie de l’Amérique centrale. Les Mayas sont, avant tout, un peuple terrien : habiles fermiers, ils défrichent de vastes étendues de forêt tropicale et bâtissent d’immenses réservoirs souterrains d’eau de pluie dans les zones sèches. Ils cultivent principalement du maïs, qui est la base de leur alimentation. Ils tracent aussi des routes pour relier leurs territoires entre eux, et tissent ainsi un vaste réseau d’échanges à travers le monde précolombien. Mais on connaît la civilisation maya surtout grâce aux extraordinaires pyramides qui ont défié les siècles et subsistent encore aujourd’hui. Le souverain y montre ses connaissances et y légitime son pouvoir. Les cités mayas rivalisent de beauté et de grandeur, cette course à la sophistication était une manière de révéler leur puissance.La compréhension de l’univers qui entoure les Mayas est le point de départ de leurs croyances. De là découlent les rites, liés le plus souvent au bon déroulement des saisons. La religion fait partie de la vie quotidienne. Le prêtre maya, ou chaman, interprète la bonne récurrence des cycles et prédit les temps passés et à venir. S’il présage des temps difficiles, il faut faire des sacrifices pour apaiser les dieux. Ces sacrifices ont pour but d’agir sur le monde, de veiller à son équilibre et de mettre les dieux du côté des hommes.Mais que seraient les Mayas sans leur écriture ? Celle-ci est extrêmement perfectionnée : elle utilise des glyphes, disposés en colonnes, qui se lisent de gauche à droite et de haut en bas. L’écriture maya est difficile à interpréter, mais on sait aujourd’hui décrypter plus de 80% des glyphes. L’écriture sert à entrer en communication directe avec les dieux et très vite les Mayas l’utilisent à des fins de propagande politique, pour montrer le roi et sa dynastie sous son jour le plus favorable. Mais nous conservons également de nombreux écrits de leurs calculs du temps, de la position des étoiles et des planètes. Une question continue de passionner les archéologues : pourquoi les Mayas ont-ils abandonné leurs magnifiques cités à l’aube du Xe siècle, marquant ainsi la fin de leur brillante civilisation ? Ont-ils été victimes d’une catastrophe naturelle ? D’une invasion étrangère ? Le mystère demeure… 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La civilisation maya est née sur les terres du Honduras, vers le IIIe millénaire av. J.-C., et s’est étendue de façon progressive vers l’actuel Mexique. Elle a établi un territoire comprenant les pays que l’on appelle de nos jour le Mexique, le Belize, le Guatemala, le Honduras et le Salvador, c’est-à-dire une partie de l’Amérique centrale. Les Mayas sont, avant tout, un peuple terrien : habiles fermiers, ils défrichent de vastes étendues de forêt tropicale et bâtissent d’immenses réservoirs souterrains d’eau de pluie dans les zones sèches. Ils cultivent principalement du maïs, qui est la base de leur alimentation. Ils tracent aussi des routes pour relier leurs territoires entre eux, et tissent ainsi un vaste réseau d’échanges à travers le monde précolombien. Mais on connaît la civilisation maya surtout grâce aux extraordinaires pyramides qui ont défié les siècles et subsistent encore aujourd’hui. Le souverain y montre ses connaissances et y légitime son pouvoir. Les cités mayas rivalisent de beauté et de grandeur, cette course à la sophistication était une manière de révéler leur puissance.La compréhension de l’univers qui entoure les Mayas est le point de départ de leurs croyances. De là découlent les rites, liés le plus souvent au bon déroulement des saisons. La religion fait partie de la vie quotidienne. Le prêtre maya, ou chaman, interprète la bonne récurrence des cycles et prédit les temps passés et à venir. S’il présage des temps difficiles, il faut faire des sacrifices pour apaiser les dieux. Ces sacrifices ont pour but d’agir sur le monde, de veiller à son équilibre et de mettre les dieux du côté des hommes.Mais que seraient les Mayas sans leur écriture ? Celle-ci est extrêmement perfectionnée : elle utilise des glyphes, disposés en colonnes, qui se lisent de gauche à droite et de haut en bas. L’écriture maya est difficile à interpréter, mais on sait aujourd’hui décrypter plus de 80% des glyphes. L’écriture sert à entrer en communication directe avec les dieux et très vite les Mayas l’utilisent à des fins de propagande politique, pour montrer le roi et sa dynastie sous son jour le plus favorable. Mais nous conservons également de nombreux écrits de leurs calculs du temps, de la position des étoiles et des planètes. Une question continue de passionner les archéologues : pourquoi les Mayas ont-ils abandonné leurs magnifiques cités à l’aube du Xe siècle, marquant ainsi la fin de leur brillante civilisation ? Ont-ils été victimes d’une catastrophe naturelle ? D’une invasion étrangère ? Le mystère demeure… 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La civilisation maya est née sur les terres du Honduras, vers le IIIe millénaire av. J.-C., et s’est étendue de façon progressive vers l’actuel Mexique. Elle a établi un territoire comprenant les pays que l’on appelle de nos jour le Mexique, le Belize, le Guatemala, le Honduras et le Salvador, c’est-à-dire une partie de l’Amérique centrale. Les Mayas sont, avant tout, un peuple terrien : habiles fermiers, ils défrichent de vastes étendues de forêt tropicale et bâtissent d’immenses réservoirs souterrains d’eau de pluie dans les zones sèches. Ils cultivent principalement du maïs, qui est la base de leur alimentation. Ils tracent aussi des routes pour relier leurs territoires entre eux, et tissent ainsi un vaste réseau d’échanges à travers le monde précolombien. Mais on connaît la civilisation maya surtout grâce aux extraordinaires pyramides qui ont défié les siècles et subsistent encore aujourd’hui. Le souverain y montre ses connaissances et y légitime son pouvoir. Les cités mayas rivalisent de beauté et de grandeur, cette course à la sophistication était une manière de révéler leur puissance.La compréhension de l’univers qui entoure les Mayas est le point de départ de leurs croyances. De là découlent les rites, liés le plus souvent au bon déroulement des saisons. La religion fait partie de la vie quotidienne. Le prêtre maya, ou chaman, interprète la bonne récurrence des cycles et prédit les temps passés et à venir. S’il présage des temps difficiles, il faut faire des sacrifices pour apaiser les dieux. Ces sacrifices ont pour but d’agir sur le monde, de veiller à son équilibre et de mettre les dieux du côté des hommes.Mais que seraient les Mayas sans leur écriture ? Celle-ci est extrêmement perfectionnée : elle utilise des glyphes, disposés en colonnes, qui se lisent de gauche à droite et de haut en bas. L’écriture maya est difficile à interpréter, mais on sait aujourd’hui décrypter plus de 80% des glyphes. L’écriture sert à entrer en communication directe avec les dieux et très vite les Mayas l’utilisent à des fins de propagande politique, pour montrer le roi et sa dynastie sous son jour le plus favorable. Mais nous conservons également de nombreux écrits de leurs calculs du temps, de la position des étoiles et des planètes. Une question continue de passionner les archéologues : pourquoi les Mayas ont-ils abandonné leurs magnifiques cités à l’aube du Xe siècle, marquant ainsi la fin de leur brillante civilisation ? Ont-ils été victimes d’une catastrophe naturelle ? D’une invasion étrangère ? Le mystère demeure… 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La civilisation maya est née sur les terres du Honduras, vers le IIIe millénaire av. J.-C., et s’est étendue de façon progressive vers l’actuel Mexique. Elle a établi un territoire comprenant les pays que l’on appelle de nos jour le Mexique, le Belize, le Guatemala, le Honduras et le Salvador, c’est-à-dire une partie de l’Amérique centrale. Les Mayas sont, avant tout, un peuple terrien : habiles fermiers, ils défrichent de vastes étendues de forêt tropicale et bâtissent d’immenses réservoirs souterrains d’eau de pluie dans les zones sèches. Ils cultivent principalement du maïs, qui est la base de leur alimentation. Ils tracent aussi des routes pour relier leurs territoires entre eux, et tissent ainsi un vaste réseau d’échanges à travers le monde précolombien. Mais on connaît la civilisation maya surtout grâce aux extraordinaires pyramides qui ont défié les siècles et subsistent encore aujourd’hui. Le souverain y montre ses connaissances et y légitime son pouvoir. Les cités mayas rivalisent de beauté et de grandeur, cette course à la sophistication était une manière de révéler leur puissance.La compréhension de l’univers qui entoure les Mayas est le point de départ de leurs croyances. De là découlent les rites, liés le plus souvent au bon déroulement des saisons. La religion fait partie de la vie quotidienne. Le prêtre maya, ou chaman, interprète la bonne récurrence des cycles et prédit les temps passés et à venir. S’il présage des temps difficiles, il faut faire des sacrifices pour apaiser les dieux. Ces sacrifices ont pour but d’agir sur le monde, de veiller à son équilibre et de mettre les dieux du côté des hommes.Mais que seraient les Mayas sans leur écriture ? Celle-ci est extrêmement perfectionnée : elle utilise des glyphes, disposés en colonnes, qui se lisent de gauche à droite et de haut en bas. L’écriture maya est difficile à interpréter, mais on sait aujourd’hui décrypter plus de 80% des glyphes. L’écriture sert à entrer en communication directe avec les dieux et très vite les Mayas l’utilisent à des fins de propagande politique, pour montrer le roi et sa dynastie sous son jour le plus favorable. Mais nous conservons également de nombreux écrits de leurs calculs du temps, de la position des étoiles et des planètes. Une question continue de passionner les archéologues : pourquoi les Mayas ont-ils abandonné leurs magnifiques cités à l’aube du Xe siècle, marquant ainsi la fin de leur brillante civilisation ? Ont-ils été victimes d’une catastrophe naturelle ? D’une invasion étrangère ? Le mystère demeure… 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 26 janvier 1788, 859 colons débarquent à Botany Bay, sur la côté Est de l’Australie, à bord de la première flotte britannique en direction du Pacifique. Prêts à commencer une nouvelle vie, les colons s’installent progressivement sur le nouveau territoire et font de l’île une colonie de l’Empire britannique. Mais qui sont-ils ? Sur les huit navires constituant la flotte britannique, les entreponts sont surchargés de plusieurs centaines d’hommes, de femmes et d’enfants, fermement enchainés et surveillés de près par plus de 200 soldats. Il s’agit ici de la première transportation de prisonniers britanniques sur les terres australiennes… Exilés loin de tous leurs repères, les détenus se voient forcés de travailler au développement de la Nouvelle-Galles du Sud, territoire revendiqué au nom de la Couronne quelques années auparavant. Comment ces terres sont-elles devenues une colonie pénitentiaire au service de l’ordre et de la justice britannique ? C’est ce que nous allons voir aujourd’hui… Ecriture : Lucie Devocelle 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 26 janvier 1788, 859 colons débarquent à Botany Bay, sur la côté Est de l’Australie, à bord de la première flotte britannique en direction du Pacifique. Prêts à commencer une nouvelle vie, les colons s’installent progressivement sur le nouveau territoire et font de l’île une colonie de l’Empire britannique. Mais qui sont-ils ? Sur les huit navires constituant la flotte britannique, les entreponts sont surchargés de plusieurs centaines d’hommes, de femmes et d’enfants, fermement enchainés et surveillés de près par plus de 200 soldats. Il s’agit ici de la première transportation de prisonniers britanniques sur les terres australiennes… Exilés loin de tous leurs repères, les détenus se voient forcés de travailler au développement de la Nouvelle-Galles du Sud, territoire revendiqué au nom de la Couronne quelques années auparavant. Comment ces terres sont-elles devenues une colonie pénitentiaire au service de l’ordre et de la justice britannique ? C’est ce que nous allons voir aujourd’hui… Ecriture : Lucie Devocelle 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 26 janvier 1788, 859 colons débarquent à Botany Bay, sur la côté Est de l’Australie, à bord de la première flotte britannique en direction du Pacifique. Prêts à commencer une nouvelle vie, les colons s’installent progressivement sur le nouveau territoire et font de l’île une colonie de l’Empire britannique. Mais qui sont-ils ? Sur les huit navires constituant la flotte britannique, les entreponts sont surchargés de plusieurs centaines d’hommes, de femmes et d’enfants, fermement enchainés et surveillés de près par plus de 200 soldats. Il s’agit ici de la première transportation de prisonniers britanniques sur les terres australiennes… Exilés loin de tous leurs repères, les détenus se voient forcés de travailler au développement de la Nouvelle-Galles du Sud, territoire revendiqué au nom de la Couronne quelques années auparavant. Comment ces terres sont-elles devenues une colonie pénitentiaire au service de l’ordre et de la justice britannique ? C’est ce que nous allons voir aujourd’hui… Ecriture : Lucie Devocelle 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 26 janvier 1788, 859 colons débarquent à Botany Bay, sur la côté Est de l’Australie, à bord de la première flotte britannique en direction du Pacifique. Prêts à commencer une nouvelle vie, les colons s’installent progressivement sur le nouveau territoire et font de l’île une colonie de l’Empire britannique. Mais qui sont-ils ? Sur les huit navires constituant la flotte britannique, les entreponts sont surchargés de plusieurs centaines d’hommes, de femmes et d’enfants, fermement enchainés et surveillés de près par plus de 200 soldats. Il s’agit ici de la première transportation de prisonniers britanniques sur les terres australiennes… Exilés loin de tous leurs repères, les détenus se voient forcés de travailler au développement de la Nouvelle-Galles du Sud, territoire revendiqué au nom de la Couronne quelques années auparavant. Comment ces terres sont-elles devenues une colonie pénitentiaire au service de l’ordre et de la justice britannique ? C’est ce que nous allons voir aujourd’hui… Ecriture : Lucie Devocelle 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 26 janvier 1788, 859 colons débarquent à Botany Bay, sur la côté Est de l’Australie, à bord de la première flotte britannique en direction du Pacifique. Prêts à commencer une nouvelle vie, les colons s’installent progressivement sur le nouveau territoire et font de l’île une colonie de l’Empire britannique. Mais qui sont-ils ? Sur les huit navires constituant la flotte britannique, les entreponts sont surchargés de plusieurs centaines d’hommes, de femmes et d’enfants, fermement enchainés et surveillés de près par plus de 200 soldats. Il s’agit ici de la première transportation de prisonniers britanniques sur les terres australiennes… Exilés loin de tous leurs repères, les détenus se voient forcés de travailler au développement de la Nouvelle-Galles du Sud, territoire revendiqué au nom de la Couronne quelques années auparavant. Comment ces terres sont-elles devenues une colonie pénitentiaire au service de l’ordre et de la justice britannique ? C’est ce que nous allons voir aujourd’hui… Ecriture : Lucie Devocelle 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 26 janvier 1788, 859 colons débarquent à Botany Bay, sur la côté Est de l’Australie, à bord de la première flotte britannique en direction du Pacifique. Prêts à commencer une nouvelle vie, les colons s’installent progressivement sur le nouveau territoire et font de l’île une colonie de l’Empire britannique. Mais qui sont-ils ? Sur les huit navires constituant la flotte britannique, les entreponts sont surchargés de plusieurs centaines d’hommes, de femmes et d’enfants, fermement enchainés et surveillés de près par plus de 200 soldats. Il s’agit ici de la première transportation de prisonniers britanniques sur les terres australiennes… Exilés loin de tous leurs repères, les détenus se voient forcés de travailler au développement de la Nouvelle-Galles du Sud, territoire revendiqué au nom de la Couronne quelques années auparavant. Comment ces terres sont-elles devenues une colonie pénitentiaire au service de l’ordre et de la justice britannique ? C’est ce que nous allons voir aujourd’hui… Ecriture : Lucie Devocelle 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jules Grévy, 4è Président de la République française, est l’un des piliers de la IIIe République. Avant d'accéder à la présidence, il mène une carrière de juriste et d'avocat, et s'engage très tôt en politique, se faisant remarquer pour ses idées républicaines. Opposé à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu député sous la Seconde République en 1848. Après le coup d'État de 1851, il se retire temporairement de la vie politique, avant de revenir sur le devant de la scène en 1868, devenant un fervent défenseur de la République parlementaire. Nous verrons qu’il y jouera un rôle clé dans l'élaboration des institutions de la IIIe République, après la chute du Second Empire en 1870. Cette première partie reprend son parcours jusqu’à sa Présidence.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jules Grévy, 4è Président de la République française, est l’un des piliers de la IIIe République. Avant d'accéder à la présidence, il mène une carrière de juriste et d'avocat, et s'engage très tôt en politique, se faisant remarquer pour ses idées républicaines. Opposé à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu député sous la Seconde République en 1848. Après le coup d'État de 1851, il se retire temporairement de la vie politique, avant de revenir sur le devant de la scène en 1868, devenant un fervent défenseur de la République parlementaire. Nous verrons qu’il y jouera un rôle clé dans l'élaboration des institutions de la IIIe République, après la chute du Second Empire en 1870. Cette première partie reprend son parcours jusqu’à sa Présidence.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jules Grévy, 4è Président de la République française, est l’un des piliers de la IIIe République. Avant d'accéder à la présidence, il mène une carrière de juriste et d'avocat, et s'engage très tôt en politique, se faisant remarquer pour ses idées républicaines. Opposé à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu député sous la Seconde République en 1848. Après le coup d'État de 1851, il se retire temporairement de la vie politique, avant de revenir sur le devant de la scène en 1868, devenant un fervent défenseur de la République parlementaire. Nous verrons qu’il y jouera un rôle clé dans l'élaboration des institutions de la IIIe République, après la chute du Second Empire en 1870. Cette première partie reprend son parcours jusqu’à sa Présidence.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jules Grévy, 4è Président de la République française, est l’un des piliers de la IIIe République. Avant d'accéder à la présidence, il mène une carrière de juriste et d'avocat, et s'engage très tôt en politique, se faisant remarquer pour ses idées républicaines. Opposé à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu député sous la Seconde République en 1848. Après le coup d'État de 1851, il se retire temporairement de la vie politique, avant de revenir sur le devant de la scène en 1868, devenant un fervent défenseur de la République parlementaire. Nous verrons qu’il y jouera un rôle clé dans l'élaboration des institutions de la IIIe République, après la chute du Second Empire en 1870. Cette première partie reprend son parcours jusqu’à sa Présidence.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jules Grévy, 4è Président de la République française, est l’un des piliers de la IIIe République. Avant d'accéder à la présidence, il mène une carrière de juriste et d'avocat, et s'engage très tôt en politique, se faisant remarquer pour ses idées républicaines. Opposé à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu député sous la Seconde République en 1848. Après le coup d'État de 1851, il se retire temporairement de la vie politique, avant de revenir sur le devant de la scène en 1868, devenant un fervent défenseur de la République parlementaire. Nous verrons qu’il y jouera un rôle clé dans l'élaboration des institutions de la IIIe République, après la chute du Second Empire en 1870. Cette première partie reprend son parcours jusqu’à sa Présidence.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jules Grévy, 4è Président de la République française, est l’un des piliers de la IIIe République. Avant d'accéder à la présidence, il mène une carrière de juriste et d'avocat, et s'engage très tôt en politique, se faisant remarquer pour ses idées républicaines. Opposé à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu député sous la Seconde République en 1848. Après le coup d'État de 1851, il se retire temporairement de la vie politique, avant de revenir sur le devant de la scène en 1868, devenant un fervent défenseur de la République parlementaire. Nous verrons qu’il y jouera un rôle clé dans l'élaboration des institutions de la IIIe République, après la chute du Second Empire en 1870. Cette première partie reprend son parcours jusqu’à sa Présidence.

Le nom de Jean-François Champollion résonne à nos oreilles dès que l’on évoque la civilisation égyptienne et son écriture si belle et si mystérieuse, et plus encore en cette année, où nous célébrons le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes. C’était l’occasion de lui rendre hommage et de retracer son long combat, ses réussites, ses échecs, ses doutes et ses désespoirs, jusqu’à la résolution finale. Nous avons également mis en avant sa démarche novatrice dans son souci de pédagogie dans la transmission de son savoir.  Cette histoire est maintenant connue de tous depuis le XIXe siècle. Toutefois, notre émission met en lumière tous ceux qui, bien avant Jean-François Champollion, s’étaient attelés à relever ce défi, et qui, par leurs recherches, ont fourni les premières clefs au héros de Figeac pour ouvrir toutes les portes de l’histoire égyptienne.  En cette année égyptienne, un fait nouveau est mis en avant en ce qui concerne la résolution du mystère des hiéroglyphes égyptiens : le rôle insoupçonné et pourtant capital joué par Jacques-Joseph Champollion-Figeac. En effet, c’est lui qui, par son soutien indéfectible, sa passion de l’Histoire et des civilisations anciennes et son énergie remarquable, a permis à son frère cadet de progresser sur la route semée d’embûches du déchiffrement de ces signes mystérieux.  En réalité, le long cheminement vers le déchiffrement des hiéroglyphes s’est fait à deux. Ce sont bien deux Champollion qui ont donné naissance à ce que l’on appelle de nos jours l’égyptologie, un lien fusionnel qui unissait les deux frères, sans lequel rien n’aurait été possible. 

Le nom de Jean-François Champollion résonne à nos oreilles dès que l’on évoque la civilisation égyptienne et son écriture si belle et si mystérieuse, et plus encore en cette année, où nous célébrons le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes. C’était l’occasion de lui rendre hommage et de retracer son long combat, ses réussites, ses échecs, ses doutes et ses désespoirs, jusqu’à la résolution finale. Nous avons également mis en avant sa démarche novatrice dans son souci de pédagogie dans la transmission de son savoir.  Cette histoire est maintenant connue de tous depuis le XIXe siècle. Toutefois, notre émission met en lumière tous ceux qui, bien avant Jean-François Champollion, s’étaient attelés à relever ce défi, et qui, par leurs recherches, ont fourni les premières clefs au héros de Figeac pour ouvrir toutes les portes de l’histoire égyptienne.  En cette année égyptienne, un fait nouveau est mis en avant en ce qui concerne la résolution du mystère des hiéroglyphes égyptiens : le rôle insoupçonné et pourtant capital joué par Jacques-Joseph Champollion-Figeac. En effet, c’est lui qui, par son soutien indéfectible, sa passion de l’Histoire et des civilisations anciennes et son énergie remarquable, a permis à son frère cadet de progresser sur la route semée d’embûches du déchiffrement de ces signes mystérieux.  En réalité, le long cheminement vers le déchiffrement des hiéroglyphes s’est fait à deux. Ce sont bien deux Champollion qui ont donné naissance à ce que l’on appelle de nos jours l’égyptologie, un lien fusionnel qui unissait les deux frères, sans lequel rien n’aurait été possible. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le nom de Jean-François Champollion résonne à nos oreilles dès que l’on évoque la civilisation égyptienne et son écriture si belle et si mystérieuse, et plus encore en cette année, où nous célébrons le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes. C’était l’occasion de lui rendre hommage et de retracer son long combat, ses réussites, ses échecs, ses doutes et ses désespoirs, jusqu’à la résolution finale. Nous avons également mis en avant sa démarche novatrice dans son souci de pédagogie dans la transmission de son savoir.  Cette histoire est maintenant connue de tous depuis le XIXe siècle. Toutefois, notre émission met en lumière tous ceux qui, bien avant Jean-François Champollion, s’étaient attelés à relever ce défi, et qui, par leurs recherches, ont fourni les premières clefs au héros de Figeac pour ouvrir toutes les portes de l’histoire égyptienne.  En cette année égyptienne, un fait nouveau est mis en avant en ce qui concerne la résolution du mystère des hiéroglyphes égyptiens : le rôle insoupçonné et pourtant capital joué par Jacques-Joseph Champollion-Figeac. En effet, c’est lui qui, par son soutien indéfectible, sa passion de l’Histoire et des civilisations anciennes et son énergie remarquable, a permis à son frère cadet de progresser sur la route semée d’embûches du déchiffrement de ces signes mystérieux.  En réalité, le long cheminement vers le déchiffrement des hiéroglyphes s’est fait à deux. Ce sont bien deux Champollion qui ont donné naissance à ce que l’on appelle de nos jours l’égyptologie, un lien fusionnel qui unissait les deux frères, sans lequel rien n’aurait été possible. 

Le nom de Jean-François Champollion résonne à nos oreilles dès que l’on évoque la civilisation égyptienne et son écriture si belle et si mystérieuse, et plus encore en cette année, où nous célébrons le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes. C’était l’occasion de lui rendre hommage et de retracer son long combat, ses réussites, ses échecs, ses doutes et ses désespoirs, jusqu’à la résolution finale. Nous avons également mis en avant sa démarche novatrice dans son souci de pédagogie dans la transmission de son savoir.  Cette histoire est maintenant connue de tous depuis le XIXe siècle. Toutefois, notre émission met en lumière tous ceux qui, bien avant Jean-François Champollion, s’étaient attelés à relever ce défi, et qui, par leurs recherches, ont fourni les premières clefs au héros de Figeac pour ouvrir toutes les portes de l’histoire égyptienne.  En cette année égyptienne, un fait nouveau est mis en avant en ce qui concerne la résolution du mystère des hiéroglyphes égyptiens : le rôle insoupçonné et pourtant capital joué par Jacques-Joseph Champollion-Figeac. En effet, c’est lui qui, par son soutien indéfectible, sa passion de l’Histoire et des civilisations anciennes et son énergie remarquable, a permis à son frère cadet de progresser sur la route semée d’embûches du déchiffrement de ces signes mystérieux.  En réalité, le long cheminement vers le déchiffrement des hiéroglyphes s’est fait à deux. Ce sont bien deux Champollion qui ont donné naissance à ce que l’on appelle de nos jours l’égyptologie, un lien fusionnel qui unissait les deux frères, sans lequel rien n’aurait été possible. 

Le nom de Jean-François Champollion résonne à nos oreilles dès que l’on évoque la civilisation égyptienne et son écriture si belle et si mystérieuse, et plus encore en cette année, où nous célébrons le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes. C’était l’occasion de lui rendre hommage et de retracer son long combat, ses réussites, ses échecs, ses doutes et ses désespoirs, jusqu’à la résolution finale. Nous avons également mis en avant sa démarche novatrice dans son souci de pédagogie dans la transmission de son savoir.  Cette histoire est maintenant connue de tous depuis le XIXe siècle. Toutefois, notre émission met en lumière tous ceux qui, bien avant Jean-François Champollion, s’étaient attelés à relever ce défi, et qui, par leurs recherches, ont fourni les premières clefs au héros de Figeac pour ouvrir toutes les portes de l’histoire égyptienne.  En cette année égyptienne, un fait nouveau est mis en avant en ce qui concerne la résolution du mystère des hiéroglyphes égyptiens : le rôle insoupçonné et pourtant capital joué par Jacques-Joseph Champollion-Figeac. En effet, c’est lui qui, par son soutien indéfectible, sa passion de l’Histoire et des civilisations anciennes et son énergie remarquable, a permis à son frère cadet de progresser sur la route semée d’embûches du déchiffrement de ces signes mystérieux.  En réalité, le long cheminement vers le déchiffrement des hiéroglyphes s’est fait à deux. Ce sont bien deux Champollion qui ont donné naissance à ce que l’on appelle de nos jours l’égyptologie, un lien fusionnel qui unissait les deux frères, sans lequel rien n’aurait été possible. 

Le nom de Jean-François Champollion résonne à nos oreilles dès que l’on évoque la civilisation égyptienne et son écriture si belle et si mystérieuse, et plus encore en cette année, où nous célébrons le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes. C’était l’occasion de lui rendre hommage et de retracer son long combat, ses réussites, ses échecs, ses doutes et ses désespoirs, jusqu’à la résolution finale. Nous avons également mis en avant sa démarche novatrice dans son souci de pédagogie dans la transmission de son savoir.  Cette histoire est maintenant connue de tous depuis le XIXe siècle. Toutefois, notre émission met en lumière tous ceux qui, bien avant Jean-François Champollion, s’étaient attelés à relever ce défi, et qui, par leurs recherches, ont fourni les premières clefs au héros de Figeac pour ouvrir toutes les portes de l’histoire égyptienne.  En cette année égyptienne, un fait nouveau est mis en avant en ce qui concerne la résolution du mystère des hiéroglyphes égyptiens : le rôle insoupçonné et pourtant capital joué par Jacques-Joseph Champollion-Figeac. En effet, c’est lui qui, par son soutien indéfectible, sa passion de l’Histoire et des civilisations anciennes et son énergie remarquable, a permis à son frère cadet de progresser sur la route semée d’embûches du déchiffrement de ces signes mystérieux.  En réalité, le long cheminement vers le déchiffrement des hiéroglyphes s’est fait à deux. Ce sont bien deux Champollion qui ont donné naissance à ce que l’on appelle de nos jours l’égyptologie, un lien fusionnel qui unissait les deux frères, sans lequel rien n’aurait été possible. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il existe de nombreuses théories sur l’identité de Jack l’Éventreur.  Dans ce second épisode, nous terminons avec les derniers meurtres, et, en conclusion, un regard sur 2 théories dont l’une absurde, l’autre... A voir ;)  Playlist musicale :  - La bande son du téléfilm « Jack l’Eventreur » avec Michael Caine  - Fin d’émission : Soundtrack « From Hell ».

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il existe de nombreuses théories sur l’identité de Jack l’Éventreur.  Dans ce second épisode, nous terminons avec les derniers meurtres, et, en conclusion, un regard sur 2 théories dont l’une absurde, l’autre... A voir ;)  Playlist musicale :  - La bande son du téléfilm « Jack l’Eventreur » avec Michael Caine  - Fin d’émission : Soundtrack « From Hell ».

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il existe de nombreuses théories sur l’identité de Jack l’Éventreur.  Dans ce second épisode, nous terminons avec les derniers meurtres, et, en conclusion, un regard sur 2 théories dont l’une absurde, l’autre... A voir ;)  Playlist musicale :  - La bande son du téléfilm « Jack l’Eventreur » avec Michael Caine  - Fin d’émission : Soundtrack « From Hell ».

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il existe de nombreuses théories sur l’identité de Jack l’Éventreur.  Dans ce second épisode, nous terminons avec les derniers meurtres, et, en conclusion, un regard sur 2 théories dont l’une absurde, l’autre... A voir ;)  Playlist musicale :  - La bande son du téléfilm « Jack l’Eventreur » avec Michael Caine  - Fin d’émission : Soundtrack « From Hell ».

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il existe de nombreuses théories sur l’identité de Jack l’Éventreur.  Dans ce second épisode, nous terminons avec les derniers meurtres, et, en conclusion, un regard sur 2 théories dont l’une absurde, l’autre... A voir ;)  Playlist musicale :  - La bande son du téléfilm « Jack l’Eventreur » avec Michael Caine  - Fin d’émission : Soundtrack « From Hell ».

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il existe de nombreuses théories sur l’identité de Jack l’Éventreur.  Dans ce second épisode, nous terminons avec les derniers meurtres, et, en conclusion, un regard sur 2 théories dont l’une absurde, l’autre... A voir ;)  Playlist musicale :  - La bande son du téléfilm « Jack l’Eventreur » avec Michael Caine  - Fin d’émission : Soundtrack « From Hell ».

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette émission, je ne vais pas vous proposer de découvrir qui est Jack l’éventreur, mais je vais revenir sur tous les mythes, reprendre l’histoire avec les faits tels qu’ils se sont réellement passés, car aujourd’hui nous avons quand même pas mal avancé...  Et d’emblée, pour commencer :  - Il n'y a jamais eu de brouillard lors des meurtres, et la deuxième victime a même été assassinée en plein jour - Les lettres signées « Jack l'Eventreur » n'ont certainement pas été écrites par le meurtrier, mais par un journaliste  - Ni le duc de Clarence, ni aucun membre de la famille royale, n'était Jack l'Eventreur  - Mary Kelly n'était pas enceinte  - Les dossiers de Scotland Yard n'ont pas été classés pour des raisons mystérieuses, et on peut les consulter depuis de nombreuses années.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette émission, je ne vais pas vous proposer de découvrir qui est Jack l’éventreur, mais je vais revenir sur tous les mythes, reprendre l’histoire avec les faits tels qu’ils se sont réellement passés, car aujourd’hui nous avons quand même pas mal avancé...  Et d’emblée, pour commencer :  - Il n'y a jamais eu de brouillard lors des meurtres, et la deuxième victime a même été assassinée en plein jour - Les lettres signées « Jack l'Eventreur » n'ont certainement pas été écrites par le meurtrier, mais par un journaliste  - Ni le duc de Clarence, ni aucun membre de la famille royale, n'était Jack l'Eventreur  - Mary Kelly n'était pas enceinte  - Les dossiers de Scotland Yard n'ont pas été classés pour des raisons mystérieuses, et on peut les consulter depuis de nombreuses années.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette émission, je ne vais pas vous proposer de découvrir qui est Jack l’éventreur, mais je vais revenir sur tous les mythes, reprendre l’histoire avec les faits tels qu’ils se sont réellement passés, car aujourd’hui nous avons quand même pas mal avancé...  Et d’emblée, pour commencer :  - Il n'y a jamais eu de brouillard lors des meurtres, et la deuxième victime a même été assassinée en plein jour - Les lettres signées « Jack l'Eventreur » n'ont certainement pas été écrites par le meurtrier, mais par un journaliste  - Ni le duc de Clarence, ni aucun membre de la famille royale, n'était Jack l'Eventreur  - Mary Kelly n'était pas enceinte  - Les dossiers de Scotland Yard n'ont pas été classés pour des raisons mystérieuses, et on peut les consulter depuis de nombreuses années.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette émission, je ne vais pas vous proposer de découvrir qui est Jack l’éventreur, mais je vais revenir sur tous les mythes, reprendre l’histoire avec les faits tels qu’ils se sont réellement passés, car aujourd’hui nous avons quand même pas mal avancé...  Et d’emblée, pour commencer :  - Il n'y a jamais eu de brouillard lors des meurtres, et la deuxième victime a même été assassinée en plein jour - Les lettres signées « Jack l'Eventreur » n'ont certainement pas été écrites par le meurtrier, mais par un journaliste  - Ni le duc de Clarence, ni aucun membre de la famille royale, n'était Jack l'Eventreur  - Mary Kelly n'était pas enceinte  - Les dossiers de Scotland Yard n'ont pas été classés pour des raisons mystérieuses, et on peut les consulter depuis de nombreuses années.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette émission, je ne vais pas vous proposer de découvrir qui est Jack l’éventreur, mais je vais revenir sur tous les mythes, reprendre l’histoire avec les faits tels qu’ils se sont réellement passés, car aujourd’hui nous avons quand même pas mal avancé...  Et d’emblée, pour commencer :  - Il n'y a jamais eu de brouillard lors des meurtres, et la deuxième victime a même été assassinée en plein jour - Les lettres signées « Jack l'Eventreur » n'ont certainement pas été écrites par le meurtrier, mais par un journaliste  - Ni le duc de Clarence, ni aucun membre de la famille royale, n'était Jack l'Eventreur  - Mary Kelly n'était pas enceinte  - Les dossiers de Scotland Yard n'ont pas été classés pour des raisons mystérieuses, et on peut les consulter depuis de nombreuses années.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette émission, je ne vais pas vous proposer de découvrir qui est Jack l’éventreur, mais je vais revenir sur tous les mythes, reprendre l’histoire avec les faits tels qu’ils se sont réellement passés, car aujourd’hui nous avons quand même pas mal avancé...  Et d’emblée, pour commencer :  - Il n'y a jamais eu de brouillard lors des meurtres, et la deuxième victime a même été assassinée en plein jour - Les lettres signées « Jack l'Eventreur » n'ont certainement pas été écrites par le meurtrier, mais par un journaliste  - Ni le duc de Clarence, ni aucun membre de la famille royale, n'était Jack l'Eventreur  - Mary Kelly n'était pas enceinte  - Les dossiers de Scotland Yard n'ont pas été classés pour des raisons mystérieuses, et on peut les consulter depuis de nombreuses années.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant plus de deux siècles, plusieurs milliers de jeunes femmes irlandaises sont envoyées dans des institutions censées leur donner une éducation et un savoir-faire conformes aux valeurs conservatrices et religieuses prônées par la société.  Mais la réalité est toute autre. Loin des promesses de vivre à l’écart des maux du monde extérieur, ces filles sont en réalité contraintes au travail forcé et aux maltraitance des religieuses.  Et dès les années 1990, de nombreuses victimes des couvents de la Madeleine témoignent des violences subies pendant plusieurs années, ce qui nous permet d’avoir connaissance de cette invraisemblable histoire pourtant réelle. Bibliographie :  - Maeve O’Rourke, Ireland's Magdalene Laundries and the state's duty to protect. Hibernian Law Journal, 2011. - Maria Luddy, Cliona Murphy, Women surviving, studies in Irish Women’s History in the 19th and 20th centuries. Poolbeg, 1989. - Susan Mumm, ’Not worse than other girls’: the convent-based rehabilitation of fallen women in Victorian Britain. Journal of Social History, 1996. pp. 527–547 Documentaire : Sex in a cold climate (1998), réalisé par Steve Humphries Rapport de la Commission interministérielle chargée d’établir les faits de l’implication de l’État dans les Laveries de la Madeleine, Ministère de la justice - Sénateur Martin McAleese, octobre 2020. Film : The Magdalen sisters, de Peter Mullan (2002)

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant plus de deux siècles, plusieurs milliers de jeunes femmes irlandaises sont envoyées dans des institutions censées leur donner une éducation et un savoir-faire conformes aux valeurs conservatrices et religieuses prônées par la société.  Mais la réalité est toute autre. Loin des promesses de vivre à l’écart des maux du monde extérieur, ces filles sont en réalité contraintes au travail forcé et aux maltraitance des religieuses.  Et dès les années 1990, de nombreuses victimes des couvents de la Madeleine témoignent des violences subies pendant plusieurs années, ce qui nous permet d’avoir connaissance de cette invraisemblable histoire pourtant réelle. Bibliographie :  - Maeve O’Rourke, Ireland's Magdalene Laundries and the state's duty to protect. Hibernian Law Journal, 2011. - Maria Luddy, Cliona Murphy, Women surviving, studies in Irish Women’s History in the 19th and 20th centuries. Poolbeg, 1989. - Susan Mumm, ’Not worse than other girls’: the convent-based rehabilitation of fallen women in Victorian Britain. Journal of Social History, 1996. pp. 527–547 Documentaire : Sex in a cold climate (1998), réalisé par Steve Humphries Rapport de la Commission interministérielle chargée d’établir les faits de l’implication de l’État dans les Laveries de la Madeleine, Ministère de la justice - Sénateur Martin McAleese, octobre 2020. Film : The Magdalen sisters, de Peter Mullan (2002)

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant plus de deux siècles, plusieurs milliers de jeunes femmes irlandaises sont envoyées dans des institutions censées leur donner une éducation et un savoir-faire conformes aux valeurs conservatrices et religieuses prônées par la société.  Mais la réalité est toute autre. Loin des promesses de vivre à l’écart des maux du monde extérieur, ces filles sont en réalité contraintes au travail forcé et aux maltraitance des religieuses.  Et dès les années 1990, de nombreuses victimes des couvents de la Madeleine témoignent des violences subies pendant plusieurs années, ce qui nous permet d’avoir connaissance de cette invraisemblable histoire pourtant réelle. Bibliographie :  - Maeve O’Rourke, Ireland's Magdalene Laundries and the state's duty to protect. Hibernian Law Journal, 2011. - Maria Luddy, Cliona Murphy, Women surviving, studies in Irish Women’s History in the 19th and 20th centuries. Poolbeg, 1989. - Susan Mumm, ’Not worse than other girls’: the convent-based rehabilitation of fallen women in Victorian Britain. Journal of Social History, 1996. pp. 527–547 Documentaire : Sex in a cold climate (1998), réalisé par Steve Humphries Rapport de la Commission interministérielle chargée d’établir les faits de l’implication de l’État dans les Laveries de la Madeleine, Ministère de la justice - Sénateur Martin McAleese, octobre 2020. Film : The Magdalen sisters, de Peter Mullan (2002)

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant plus de deux siècles, plusieurs milliers de jeunes femmes irlandaises sont envoyées dans des institutions censées leur donner une éducation et un savoir-faire conformes aux valeurs conservatrices et religieuses prônées par la société.  Mais la réalité est toute autre. Loin des promesses de vivre à l’écart des maux du monde extérieur, ces filles sont en réalité contraintes au travail forcé et aux maltraitance des religieuses.  Et dès les années 1990, de nombreuses victimes des couvents de la Madeleine témoignent des violences subies pendant plusieurs années, ce qui nous permet d’avoir connaissance de cette invraisemblable histoire pourtant réelle. Bibliographie :  - Maeve O’Rourke, Ireland's Magdalene Laundries and the state's duty to protect. Hibernian Law Journal, 2011. - Maria Luddy, Cliona Murphy, Women surviving, studies in Irish Women’s History in the 19th and 20th centuries. Poolbeg, 1989. - Susan Mumm, ’Not worse than other girls’: the convent-based rehabilitation of fallen women in Victorian Britain. Journal of Social History, 1996. pp. 527–547 Documentaire : Sex in a cold climate (1998), réalisé par Steve Humphries Rapport de la Commission interministérielle chargée d’établir les faits de l’implication de l’État dans les Laveries de la Madeleine, Ministère de la justice - Sénateur Martin McAleese, octobre 2020. Film : The Magdalen sisters, de Peter Mullan (2002)

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant plus de deux siècles, plusieurs milliers de jeunes femmes irlandaises sont envoyées dans des institutions censées leur donner une éducation et un savoir-faire conformes aux valeurs conservatrices et religieuses prônées par la société.  Mais la réalité est toute autre. Loin des promesses de vivre à l’écart des maux du monde extérieur, ces filles sont en réalité contraintes au travail forcé et aux maltraitance des religieuses.  Et dès les années 1990, de nombreuses victimes des couvents de la Madeleine témoignent des violences subies pendant plusieurs années, ce qui nous permet d’avoir connaissance de cette invraisemblable histoire pourtant réelle. Bibliographie :  - Maeve O’Rourke, Ireland's Magdalene Laundries and the state's duty to protect. Hibernian Law Journal, 2011. - Maria Luddy, Cliona Murphy, Women surviving, studies in Irish Women’s History in the 19th and 20th centuries. Poolbeg, 1989. - Susan Mumm, ’Not worse than other girls’: the convent-based rehabilitation of fallen women in Victorian Britain. Journal of Social History, 1996. pp. 527–547 Documentaire : Sex in a cold climate (1998), réalisé par Steve Humphries Rapport de la Commission interministérielle chargée d’établir les faits de l’implication de l’État dans les Laveries de la Madeleine, Ministère de la justice - Sénateur Martin McAleese, octobre 2020. Film : The Magdalen sisters, de Peter Mullan (2002)

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant plus de deux siècles, plusieurs milliers de jeunes femmes irlandaises sont envoyées dans des institutions censées leur donner une éducation et un savoir-faire conformes aux valeurs conservatrices et religieuses prônées par la société.  Mais la réalité est toute autre. Loin des promesses de vivre à l’écart des maux du monde extérieur, ces filles sont en réalité contraintes au travail forcé et aux maltraitance des religieuses.  Et dès les années 1990, de nombreuses victimes des couvents de la Madeleine témoignent des violences subies pendant plusieurs années, ce qui nous permet d’avoir connaissance de cette invraisemblable histoire pourtant réelle. Bibliographie :  - Maeve O’Rourke, Ireland's Magdalene Laundries and the state's duty to protect. Hibernian Law Journal, 2011. - Maria Luddy, Cliona Murphy, Women surviving, studies in Irish Women’s History in the 19th and 20th centuries. Poolbeg, 1989. - Susan Mumm, ’Not worse than other girls’: the convent-based rehabilitation of fallen women in Victorian Britain. Journal of Social History, 1996. pp. 527–547 Documentaire : Sex in a cold climate (1998), réalisé par Steve Humphries Rapport de la Commission interministérielle chargée d’établir les faits de l’implication de l’État dans les Laveries de la Madeleine, Ministère de la justice - Sénateur Martin McAleese, octobre 2020. Film : The Magdalen sisters, de Peter Mullan (2002)

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La piraterie a été pratiquée sur les côtes chinoises de l'Antiquité à nos jours, mais les renseignements notoires sur les activités des contrebandiers et des pillards n'existent pas avant le XIVe siècle.  À cette époque, sous la dynastie Ming, se développe le mouvement des Wokou, né au Japon.  Il regroupe des Japonais, qui veulent se venger de l'attaque de leur pays par la dynastie chinoise précédente des Yuan, et des Chinois, fonctionnaires et marchands, mécontents de la nouvelle dynastie Ming, entourés d'une armée de contrebandiers, de bandits et de « frères de la côte ». De son côté, l'empereur de Chine crée des milices de garde-côtes.  Au cours du XVe siècle, la suprématie de la marine chinoise permet l'essor de véritables relations commerciales en Asie orientale. Au XVIe siècle, l'aggravation du climat social au Japon suscite une recrudescence de la piraterie qui trouve un terrain idéal sur la côte chinoise. À la fin du XVIIIe siècle, la piraterie en mer de Chine méridionale va se développer, et, au 19è siècle, alors que la piraterie tend à disparaître, une pirate a, elle aussi, tiré les ficelles des grandes organisations mondiales de son époque. Dans cet épisode, je vais vous raconter l’histoire de Ching Shih, une pirate qui a fait de la piraterie une institutions encore plus redoutable que la marine impériale chinoise. De prostituée à pirate redoutable, elle monte à la tête de la flotte du Drapeau Rouge, et tient d’une main de fer son équipage qui compte plusieurs milliers d’hommes.  Vous découvrirez comment, en 10 ans, elle va diriger toute l’organisation politique et commerciale des cotes chinoises méridionales et humilier l’empereur et son armée plus d’une fois. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La piraterie a été pratiquée sur les côtes chinoises de l'Antiquité à nos jours, mais les renseignements notoires sur les activités des contrebandiers et des pillards n'existent pas avant le XIVe siècle.  À cette époque, sous la dynastie Ming, se développe le mouvement des Wokou, né au Japon.  Il regroupe des Japonais, qui veulent se venger de l'attaque de leur pays par la dynastie chinoise précédente des Yuan, et des Chinois, fonctionnaires et marchands, mécontents de la nouvelle dynastie Ming, entourés d'une armée de contrebandiers, de bandits et de « frères de la côte ». De son côté, l'empereur de Chine crée des milices de garde-côtes.  Au cours du XVe siècle, la suprématie de la marine chinoise permet l'essor de véritables relations commerciales en Asie orientale. Au XVIe siècle, l'aggravation du climat social au Japon suscite une recrudescence de la piraterie qui trouve un terrain idéal sur la côte chinoise. À la fin du XVIIIe siècle, la piraterie en mer de Chine méridionale va se développer, et, au 19è siècle, alors que la piraterie tend à disparaître, une pirate a, elle aussi, tiré les ficelles des grandes organisations mondiales de son époque. Dans cet épisode, je vais vous raconter l’histoire de Ching Shih, une pirate qui a fait de la piraterie une institutions encore plus redoutable que la marine impériale chinoise. De prostituée à pirate redoutable, elle monte à la tête de la flotte du Drapeau Rouge, et tient d’une main de fer son équipage qui compte plusieurs milliers d’hommes.  Vous découvrirez comment, en 10 ans, elle va diriger toute l’organisation politique et commerciale des cotes chinoises méridionales et humilier l’empereur et son armée plus d’une fois. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La piraterie a été pratiquée sur les côtes chinoises de l'Antiquité à nos jours, mais les renseignements notoires sur les activités des contrebandiers et des pillards n'existent pas avant le XIVe siècle.  À cette époque, sous la dynastie Ming, se développe le mouvement des Wokou, né au Japon.  Il regroupe des Japonais, qui veulent se venger de l'attaque de leur pays par la dynastie chinoise précédente des Yuan, et des Chinois, fonctionnaires et marchands, mécontents de la nouvelle dynastie Ming, entourés d'une armée de contrebandiers, de bandits et de « frères de la côte ». De son côté, l'empereur de Chine crée des milices de garde-côtes.  Au cours du XVe siècle, la suprématie de la marine chinoise permet l'essor de véritables relations commerciales en Asie orientale. Au XVIe siècle, l'aggravation du climat social au Japon suscite une recrudescence de la piraterie qui trouve un terrain idéal sur la côte chinoise. À la fin du XVIIIe siècle, la piraterie en mer de Chine méridionale va se développer, et, au 19è siècle, alors que la piraterie tend à disparaître, une pirate a, elle aussi, tiré les ficelles des grandes organisations mondiales de son époque. Dans cet épisode, je vais vous raconter l’histoire de Ching Shih, une pirate qui a fait de la piraterie une institutions encore plus redoutable que la marine impériale chinoise. De prostituée à pirate redoutable, elle monte à la tête de la flotte du Drapeau Rouge, et tient d’une main de fer son équipage qui compte plusieurs milliers d’hommes.  Vous découvrirez comment, en 10 ans, elle va diriger toute l’organisation politique et commerciale des cotes chinoises méridionales et humilier l’empereur et son armée plus d’une fois. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La piraterie a été pratiquée sur les côtes chinoises de l'Antiquité à nos jours, mais les renseignements notoires sur les activités des contrebandiers et des pillards n'existent pas avant le XIVe siècle.  À cette époque, sous la dynastie Ming, se développe le mouvement des Wokou, né au Japon.  Il regroupe des Japonais, qui veulent se venger de l'attaque de leur pays par la dynastie chinoise précédente des Yuan, et des Chinois, fonctionnaires et marchands, mécontents de la nouvelle dynastie Ming, entourés d'une armée de contrebandiers, de bandits et de « frères de la côte ». De son côté, l'empereur de Chine crée des milices de garde-côtes.  Au cours du XVe siècle, la suprématie de la marine chinoise permet l'essor de véritables relations commerciales en Asie orientale. Au XVIe siècle, l'aggravation du climat social au Japon suscite une recrudescence de la piraterie qui trouve un terrain idéal sur la côte chinoise. À la fin du XVIIIe siècle, la piraterie en mer de Chine méridionale va se développer, et, au 19è siècle, alors que la piraterie tend à disparaître, une pirate a, elle aussi, tiré les ficelles des grandes organisations mondiales de son époque. Dans cet épisode, je vais vous raconter l’histoire de Ching Shih, une pirate qui a fait de la piraterie une institutions encore plus redoutable que la marine impériale chinoise. De prostituée à pirate redoutable, elle monte à la tête de la flotte du Drapeau Rouge, et tient d’une main de fer son équipage qui compte plusieurs milliers d’hommes.  Vous découvrirez comment, en 10 ans, elle va diriger toute l’organisation politique et commerciale des cotes chinoises méridionales et humilier l’empereur et son armée plus d’une fois. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La piraterie a été pratiquée sur les côtes chinoises de l'Antiquité à nos jours, mais les renseignements notoires sur les activités des contrebandiers et des pillards n'existent pas avant le XIVe siècle.  À cette époque, sous la dynastie Ming, se développe le mouvement des Wokou, né au Japon.  Il regroupe des Japonais, qui veulent se venger de l'attaque de leur pays par la dynastie chinoise précédente des Yuan, et des Chinois, fonctionnaires et marchands, mécontents de la nouvelle dynastie Ming, entourés d'une armée de contrebandiers, de bandits et de « frères de la côte ». De son côté, l'empereur de Chine crée des milices de garde-côtes.  Au cours du XVe siècle, la suprématie de la marine chinoise permet l'essor de véritables relations commerciales en Asie orientale. Au XVIe siècle, l'aggravation du climat social au Japon suscite une recrudescence de la piraterie qui trouve un terrain idéal sur la côte chinoise. À la fin du XVIIIe siècle, la piraterie en mer de Chine méridionale va se développer, et, au 19è siècle, alors que la piraterie tend à disparaître, une pirate a, elle aussi, tiré les ficelles des grandes organisations mondiales de son époque. Dans cet épisode, je vais vous raconter l’histoire de Ching Shih, une pirate qui a fait de la piraterie une institutions encore plus redoutable que la marine impériale chinoise. De prostituée à pirate redoutable, elle monte à la tête de la flotte du Drapeau Rouge, et tient d’une main de fer son équipage qui compte plusieurs milliers d’hommes.  Vous découvrirez comment, en 10 ans, elle va diriger toute l’organisation politique et commerciale des cotes chinoises méridionales et humilier l’empereur et son armée plus d’une fois. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La piraterie a été pratiquée sur les côtes chinoises de l'Antiquité à nos jours, mais les renseignements notoires sur les activités des contrebandiers et des pillards n'existent pas avant le XIVe siècle.  À cette époque, sous la dynastie Ming, se développe le mouvement des Wokou, né au Japon.  Il regroupe des Japonais, qui veulent se venger de l'attaque de leur pays par la dynastie chinoise précédente des Yuan, et des Chinois, fonctionnaires et marchands, mécontents de la nouvelle dynastie Ming, entourés d'une armée de contrebandiers, de bandits et de « frères de la côte ». De son côté, l'empereur de Chine crée des milices de garde-côtes.  Au cours du XVe siècle, la suprématie de la marine chinoise permet l'essor de véritables relations commerciales en Asie orientale. Au XVIe siècle, l'aggravation du climat social au Japon suscite une recrudescence de la piraterie qui trouve un terrain idéal sur la côte chinoise. À la fin du XVIIIe siècle, la piraterie en mer de Chine méridionale va se développer, et, au 19è siècle, alors que la piraterie tend à disparaître, une pirate a, elle aussi, tiré les ficelles des grandes organisations mondiales de son époque. Dans cet épisode, je vais vous raconter l’histoire de Ching Shih, une pirate qui a fait de la piraterie une institutions encore plus redoutable que la marine impériale chinoise. De prostituée à pirate redoutable, elle monte à la tête de la flotte du Drapeau Rouge, et tient d’une main de fer son équipage qui compte plusieurs milliers d’hommes.  Vous découvrirez comment, en 10 ans, elle va diriger toute l’organisation politique et commerciale des cotes chinoises méridionales et humilier l’empereur et son armée plus d’une fois. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L’athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d’abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l’éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l’endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l’arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l’âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence.  Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d’Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d’usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées.  L’admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l’athlète au rang des dieux.  Le désir de gloire, l’appétit de louanges et l’orgueil national excitent l’ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d’un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d’hellénisme. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L’athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d’abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l’éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l’endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l’arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l’âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence.  Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d’Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d’usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées.  L’admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l’athlète au rang des dieux.  Le désir de gloire, l’appétit de louanges et l’orgueil national excitent l’ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d’un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d’hellénisme. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L’athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d’abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l’éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l’endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l’arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l’âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence.  Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d’Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d’usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées.  L’admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l’athlète au rang des dieux.  Le désir de gloire, l’appétit de louanges et l’orgueil national excitent l’ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d’un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d’hellénisme. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L’athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d’abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l’éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l’endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l’arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l’âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence.  Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d’Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d’usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées.  L’admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l’athlète au rang des dieux.  Le désir de gloire, l’appétit de louanges et l’orgueil national excitent l’ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d’un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d’hellénisme. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L’athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d’abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l’éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l’endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l’arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l’âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence.  Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d’Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d’usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées.  L’admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l’athlète au rang des dieux.  Le désir de gloire, l’appétit de louanges et l’orgueil national excitent l’ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d’un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d’hellénisme. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il convient de revoir notre vision des Jeux Olympiques antiques, et traiter les Grecs comme des étrangers, appartenant à une culture différente de la nôtre. Pour eux, le sport constitue, avant tout, un marqueur social, qui constitue et soude une communauté humaine. L’athlète grec est avant tout un citoyen ou un futur citoyen. La pratique sportive est, d’abord, une activité politique, au sens grec du terme, de la « polis », la cité. Elle est étroitement liée à l’éducation, à la guerre et à la religion. Dans la palestre, les jeunes grecs apprennent aussi la littérature, la musique et la danse. Les exercices physiques sont destinés à leur donner l’endurance nécessaire au combat. Ils pratiquent toutes sortes de disciplines sportives : tir à l’arc, course en armes, tir sur cible, lancer du disque et du javelot, lutte, boxe. Ils sont également formés au maniement des armes. A l’âge adulte, ils reviennent au gymnase pour se perfectionner et pour entretenir leur forme. Le gymnase est donc le lieu de la sociabilité masculine par excellence.  Mais la pratique sportive est également une activité religieuse : le vainqueur des Jeux d’Olympie apparaît comme le favori des dieux. Il est d’usage, après la victoire, de consacrer une offrande dans le sanctuaire du dieu à qui les concours sont dédiées.  L’admiration que suscitent les victoires aux Grands Jeux sont particulièrement vive quand un même athlète remporte la couronne dans le cycle des quatre fêtes successivement, devenant alors périodonique, « vainqueur du cycle ». La renommée de tels champions traverse les siècles et peut même, dans certaines circonstances, faire accéder l’athlète au rang des dieux.  Le désir de gloire, l’appétit de louanges et l’orgueil national excitent l’ardeur des concurrents. Les spectateurs viennent de très loin pour voir de près ces dieux vivants. A se côtoyer, pendant quelques jours, à prendre part aux mêmes sacrifices, à vibrer d’un même enthousiasme, des hommes venus de tous les points du monde hellénique donnaient un contenu plus concret à la notion même d’hellénisme. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Imaginez-vous dans la Grèce antique, aux premiers Jeux Olympiques.  Les épreuves se déroulent sous le soleil brûlant de l'été, dans un cadre majestueux, entouré de temples et de statues des dieux. Les athlètes, représentant diverses cités-états, sont prêts à tout pour l'honneur et la gloire.  Le premier épisode, L’arrivée à Olympie, vous a présenté le concept et les athlètes. Mais, désormais, place aux Jeux ! La compétition commence avec la course à pied, la plus ancienne et la plus vénérée des épreuves. Les spectateurs crient, encouragent, et vivent chaque instant intensément. Vient ensuite le pentathlon, une série d'épreuves combinant le saut en longueur, le lancer de disque, le lancer de javelot, la course et la lutte. Chaque mouvement est un spectacle de force et d'agilité. Les lutteurs, enduits d'huile, s'affrontent dans un combat de techniques et de puissance, sous les acclamations du public. Le pugilat et le pancrace suivent, des disciplines brutales où les coups sont portés sans retenue. Les athlètes, musclés et déterminés, se battent jusqu'à l'épuisement.  Enfin, le spectacle se termine par les courses de chars et de chevaux, des épreuves où la vitesse et le courage des conducteurs et des animaux sont mis à l'épreuve. La poussière vole, les roues crissent, et les foules retiennent leur souffle. Ces Jeux sont bien plus qu'une simple compétition sportive; ils sont un mélange de religion, de culture et de politique. Chaque victoire est célébrée comme un triomphe divin, chaque défaite est une leçon d'humilité.  En écoutant notre émission, vous allez littéralement plonger au cœur de ces épreuves fascinantes et découvrir l'essence même des premiers Jeux Olympiques.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Imaginez-vous dans la Grèce antique, aux premiers Jeux Olympiques.  Les épreuves se déroulent sous le soleil brûlant de l'été, dans un cadre majestueux, entouré de temples et de statues des dieux. Les athlètes, représentant diverses cités-états, sont prêts à tout pour l'honneur et la gloire.  Le premier épisode, L’arrivée à Olympie, vous a présenté le concept et les athlètes. Mais, désormais, place aux Jeux ! La compétition commence avec la course à pied, la plus ancienne et la plus vénérée des épreuves. Les spectateurs crient, encouragent, et vivent chaque instant intensément. Vient ensuite le pentathlon, une série d'épreuves combinant le saut en longueur, le lancer de disque, le lancer de javelot, la course et la lutte. Chaque mouvement est un spectacle de force et d'agilité. Les lutteurs, enduits d'huile, s'affrontent dans un combat de techniques et de puissance, sous les acclamations du public. Le pugilat et le pancrace suivent, des disciplines brutales où les coups sont portés sans retenue. Les athlètes, musclés et déterminés, se battent jusqu'à l'épuisement.  Enfin, le spectacle se termine par les courses de chars et de chevaux, des épreuves où la vitesse et le courage des conducteurs et des animaux sont mis à l'épreuve. La poussière vole, les roues crissent, et les foules retiennent leur souffle. Ces Jeux sont bien plus qu'une simple compétition sportive; ils sont un mélange de religion, de culture et de politique. Chaque victoire est célébrée comme un triomphe divin, chaque défaite est une leçon d'humilité.  En écoutant notre émission, vous allez littéralement plonger au cœur de ces épreuves fascinantes et découvrir l'essence même des premiers Jeux Olympiques.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Imaginez-vous dans la Grèce antique, aux premiers Jeux Olympiques.  Les épreuves se déroulent sous le soleil brûlant de l'été, dans un cadre majestueux, entouré de temples et de statues des dieux. Les athlètes, représentant diverses cités-états, sont prêts à tout pour l'honneur et la gloire.  Le premier épisode, L’arrivée à Olympie, vous a présenté le concept et les athlètes. Mais, désormais, place aux Jeux ! La compétition commence avec la course à pied, la plus ancienne et la plus vénérée des épreuves. Les spectateurs crient, encouragent, et vivent chaque instant intensément. Vient ensuite le pentathlon, une série d'épreuves combinant le saut en longueur, le lancer de disque, le lancer de javelot, la course et la lutte. Chaque mouvement est un spectacle de force et d'agilité. Les lutteurs, enduits d'huile, s'affrontent dans un combat de techniques et de puissance, sous les acclamations du public. Le pugilat et le pancrace suivent, des disciplines brutales où les coups sont portés sans retenue. Les athlètes, musclés et déterminés, se battent jusqu'à l'épuisement.  Enfin, le spectacle se termine par les courses de chars et de chevaux, des épreuves où la vitesse et le courage des conducteurs et des animaux sont mis à l'épreuve. La poussière vole, les roues crissent, et les foules retiennent leur souffle. Ces Jeux sont bien plus qu'une simple compétition sportive; ils sont un mélange de religion, de culture et de politique. Chaque victoire est célébrée comme un triomphe divin, chaque défaite est une leçon d'humilité.  En écoutant notre émission, vous allez littéralement plonger au cœur de ces épreuves fascinantes et découvrir l'essence même des premiers Jeux Olympiques.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Imaginez-vous dans la Grèce antique, aux premiers Jeux Olympiques.  Les épreuves se déroulent sous le soleil brûlant de l'été, dans un cadre majestueux, entouré de temples et de statues des dieux. Les athlètes, représentant diverses cités-états, sont prêts à tout pour l'honneur et la gloire.  Le premier épisode, L’arrivée à Olympie, vous a présenté le concept et les athlètes. Mais, désormais, place aux Jeux ! La compétition commence avec la course à pied, la plus ancienne et la plus vénérée des épreuves. Les spectateurs crient, encouragent, et vivent chaque instant intensément. Vient ensuite le pentathlon, une série d'épreuves combinant le saut en longueur, le lancer de disque, le lancer de javelot, la course et la lutte. Chaque mouvement est un spectacle de force et d'agilité. Les lutteurs, enduits d'huile, s'affrontent dans un combat de techniques et de puissance, sous les acclamations du public. Le pugilat et le pancrace suivent, des disciplines brutales où les coups sont portés sans retenue. Les athlètes, musclés et déterminés, se battent jusqu'à l'épuisement.  Enfin, le spectacle se termine par les courses de chars et de chevaux, des épreuves où la vitesse et le courage des conducteurs et des animaux sont mis à l'épreuve. La poussière vole, les roues crissent, et les foules retiennent leur souffle. Ces Jeux sont bien plus qu'une simple compétition sportive; ils sont un mélange de religion, de culture et de politique. Chaque victoire est célébrée comme un triomphe divin, chaque défaite est une leçon d'humilité.  En écoutant notre émission, vous allez littéralement plonger au cœur de ces épreuves fascinantes et découvrir l'essence même des premiers Jeux Olympiques.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Imaginez-vous dans la Grèce antique, aux premiers Jeux Olympiques.  Les épreuves se déroulent sous le soleil brûlant de l'été, dans un cadre majestueux, entouré de temples et de statues des dieux. Les athlètes, représentant diverses cités-états, sont prêts à tout pour l'honneur et la gloire.  Le premier épisode, L’arrivée à Olympie, vous a présenté le concept et les athlètes. Mais, désormais, place aux Jeux ! La compétition commence avec la course à pied, la plus ancienne et la plus vénérée des épreuves. Les spectateurs crient, encouragent, et vivent chaque instant intensément. Vient ensuite le pentathlon, une série d'épreuves combinant le saut en longueur, le lancer de disque, le lancer de javelot, la course et la lutte. Chaque mouvement est un spectacle de force et d'agilité. Les lutteurs, enduits d'huile, s'affrontent dans un combat de techniques et de puissance, sous les acclamations du public. Le pugilat et le pancrace suivent, des disciplines brutales où les coups sont portés sans retenue. Les athlètes, musclés et déterminés, se battent jusqu'à l'épuisement.  Enfin, le spectacle se termine par les courses de chars et de chevaux, des épreuves où la vitesse et le courage des conducteurs et des animaux sont mis à l'épreuve. La poussière vole, les roues crissent, et les foules retiennent leur souffle. Ces Jeux sont bien plus qu'une simple compétition sportive; ils sont un mélange de religion, de culture et de politique. Chaque victoire est célébrée comme un triomphe divin, chaque défaite est une leçon d'humilité.  En écoutant notre émission, vous allez littéralement plonger au cœur de ces épreuves fascinantes et découvrir l'essence même des premiers Jeux Olympiques.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Imaginez-vous dans la Grèce antique, aux premiers Jeux Olympiques.  Les épreuves se déroulent sous le soleil brûlant de l'été, dans un cadre majestueux, entouré de temples et de statues des dieux. Les athlètes, représentant diverses cités-états, sont prêts à tout pour l'honneur et la gloire.  Le premier épisode, L’arrivée à Olympie, vous a présenté le concept et les athlètes. Mais, désormais, place aux Jeux ! La compétition commence avec la course à pied, la plus ancienne et la plus vénérée des épreuves. Les spectateurs crient, encouragent, et vivent chaque instant intensément. Vient ensuite le pentathlon, une série d'épreuves combinant le saut en longueur, le lancer de disque, le lancer de javelot, la course et la lutte. Chaque mouvement est un spectacle de force et d'agilité. Les lutteurs, enduits d'huile, s'affrontent dans un combat de techniques et de puissance, sous les acclamations du public. Le pugilat et le pancrace suivent, des disciplines brutales où les coups sont portés sans retenue. Les athlètes, musclés et déterminés, se battent jusqu'à l'épuisement.  Enfin, le spectacle se termine par les courses de chars et de chevaux, des épreuves où la vitesse et le courage des conducteurs et des animaux sont mis à l'épreuve. La poussière vole, les roues crissent, et les foules retiennent leur souffle. Ces Jeux sont bien plus qu'une simple compétition sportive; ils sont un mélange de religion, de culture et de politique. Chaque victoire est célébrée comme un triomphe divin, chaque défaite est une leçon d'humilité.  En écoutant notre émission, vous allez littéralement plonger au cœur de ces épreuves fascinantes et découvrir l'essence même des premiers Jeux Olympiques.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Envisageons la chose suivante : l’industrie de l’or noir est désormais au coeur de la majorité des considérations politiques et économiques autour du globe. Le pétrole constitue la pierre angulaire de la richesse et de la puissance d’une nation et octroie à son détenteur le pouvoir de se rendre victorieux des conflits les importants de l’histoire…  Que se passerait-il alors si une compagnie pétrolière décidait de soutenir une idéologie impérialiste ? Les responsables des majors restent des hommes, après tout, avec leurs idées politiques, leurs valeurs, leurs principes et leur propre philosophie… Eh bien ce sera aujourd’hui le sujet central de notre émission : comment le pétrole a-t-il façonné l’avancée, puis le déclin, de l’idéologie antisémite nazie ? Entre conflits territoriaux et conflits idéologiques, revenons ensemble sur la tragique période de la Seconde Guerre Mondiale, dont le pétrole a définitivement, du début à la fin, tiré les ficelles. Bibliographie - Matthieu Auzaneau, Or noir, La grande histoire du pétrole, La découverte, 2015 - Daniel J. Kevles, Au nom de l’eugénisme, Presses universitaires de France, Paris, 1995 - Rapport du 6 juin 1944 d’August von Knieriem à SCHMITZ, AMBROS, BUETEFISCH, « Procès des criminels de guerre devant les tribunaux militaires de Nuremberg », U.S Government Printing office, Washington, 1953 - Jean Lopez, « Les Alliés, maîtres du jeu pétrolier », Guerres & Histoire, n°9, octobre-novembre 2012 - Robert Goralski et Russel W. Freeburg, Oil & War, William Morrow and Company, 1987 - Saburo Hayashi et Alin D. Coox, Kogun : The Japanese Army in the Pacific War, Greenwood Press, Westport, 1959 Écriture : Lucie Devocelle 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Envisageons la chose suivante : l’industrie de l’or noir est désormais au coeur de la majorité des considérations politiques et économiques autour du globe. Le pétrole constitue la pierre angulaire de la richesse et de la puissance d’une nation et octroie à son détenteur le pouvoir de se rendre victorieux des conflits les importants de l’histoire…  Que se passerait-il alors si une compagnie pétrolière décidait de soutenir une idéologie impérialiste ? Les responsables des majors restent des hommes, après tout, avec leurs idées politiques, leurs valeurs, leurs principes et leur propre philosophie… Eh bien ce sera aujourd’hui le sujet central de notre émission : comment le pétrole a-t-il façonné l’avancée, puis le déclin, de l’idéologie antisémite nazie ? Entre conflits territoriaux et conflits idéologiques, revenons ensemble sur la tragique période de la Seconde Guerre Mondiale, dont le pétrole a définitivement, du début à la fin, tiré les ficelles. Bibliographie - Matthieu Auzaneau, Or noir, La grande histoire du pétrole, La découverte, 2015 - Daniel J. Kevles, Au nom de l’eugénisme, Presses universitaires de France, Paris, 1995 - Rapport du 6 juin 1944 d’August von Knieriem à SCHMITZ, AMBROS, BUETEFISCH, « Procès des criminels de guerre devant les tribunaux militaires de Nuremberg », U.S Government Printing office, Washington, 1953 - Jean Lopez, « Les Alliés, maîtres du jeu pétrolier », Guerres & Histoire, n°9, octobre-novembre 2012 - Robert Goralski et Russel W. Freeburg, Oil & War, William Morrow and Company, 1987 - Saburo Hayashi et Alin D. Coox, Kogun : The Japanese Army in the Pacific War, Greenwood Press, Westport, 1959 Écriture : Lucie Devocelle 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Envisageons la chose suivante : l’industrie de l’or noir est désormais au coeur de la majorité des considérations politiques et économiques autour du globe. Le pétrole constitue la pierre angulaire de la richesse et de la puissance d’une nation et octroie à son détenteur le pouvoir de se rendre victorieux des conflits les importants de l’histoire…  Que se passerait-il alors si une compagnie pétrolière décidait de soutenir une idéologie impérialiste ? Les responsables des majors restent des hommes, après tout, avec leurs idées politiques, leurs valeurs, leurs principes et leur propre philosophie… Eh bien ce sera aujourd’hui le sujet central de notre émission : comment le pétrole a-t-il façonné l’avancée, puis le déclin, de l’idéologie antisémite nazie ? Entre conflits territoriaux et conflits idéologiques, revenons ensemble sur la tragique période de la Seconde Guerre Mondiale, dont le pétrole a définitivement, du début à la fin, tiré les ficelles. Bibliographie - Matthieu Auzaneau, Or noir, La grande histoire du pétrole, La découverte, 2015 - Daniel J. Kevles, Au nom de l’eugénisme, Presses universitaires de France, Paris, 1995 - Rapport du 6 juin 1944 d’August von Knieriem à SCHMITZ, AMBROS, BUETEFISCH, « Procès des criminels de guerre devant les tribunaux militaires de Nuremberg », U.S Government Printing office, Washington, 1953 - Jean Lopez, « Les Alliés, maîtres du jeu pétrolier », Guerres & Histoire, n°9, octobre-novembre 2012 - Robert Goralski et Russel W. Freeburg, Oil & War, William Morrow and Company, 1987 - Saburo Hayashi et Alin D. Coox, Kogun : The Japanese Army in the Pacific War, Greenwood Press, Westport, 1959 Écriture : Lucie Devocelle 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Envisageons la chose suivante : l’industrie de l’or noir est désormais au coeur de la majorité des considérations politiques et économiques autour du globe. Le pétrole constitue la pierre angulaire de la richesse et de la puissance d’une nation et octroie à son détenteur le pouvoir de se rendre victorieux des conflits les importants de l’histoire…  Que se passerait-il alors si une compagnie pétrolière décidait de soutenir une idéologie impérialiste ? Les responsables des majors restent des hommes, après tout, avec leurs idées politiques, leurs valeurs, leurs principes et leur propre philosophie… Eh bien ce sera aujourd’hui le sujet central de notre émission : comment le pétrole a-t-il façonné l’avancée, puis le déclin, de l’idéologie antisémite nazie ? Entre conflits territoriaux et conflits idéologiques, revenons ensemble sur la tragique période de la Seconde Guerre Mondiale, dont le pétrole a définitivement, du début à la fin, tiré les ficelles. Bibliographie - Matthieu Auzaneau, Or noir, La grande histoire du pétrole, La découverte, 2015 - Daniel J. Kevles, Au nom de l’eugénisme, Presses universitaires de France, Paris, 1995 - Rapport du 6 juin 1944 d’August von Knieriem à SCHMITZ, AMBROS, BUETEFISCH, « Procès des criminels de guerre devant les tribunaux militaires de Nuremberg », U.S Government Printing office, Washington, 1953 - Jean Lopez, « Les Alliés, maîtres du jeu pétrolier », Guerres & Histoire, n°9, octobre-novembre 2012 - Robert Goralski et Russel W. Freeburg, Oil & War, William Morrow and Company, 1987 - Saburo Hayashi et Alin D. Coox, Kogun : The Japanese Army in the Pacific War, Greenwood Press, Westport, 1959 Écriture : Lucie Devocelle 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Envisageons la chose suivante : l’industrie de l’or noir est désormais au coeur de la majorité des considérations politiques et économiques autour du globe. Le pétrole constitue la pierre angulaire de la richesse et de la puissance d’une nation et octroie à son détenteur le pouvoir de se rendre victorieux des conflits les importants de l’histoire…  Que se passerait-il alors si une compagnie pétrolière décidait de soutenir une idéologie impérialiste ? Les responsables des majors restent des hommes, après tout, avec leurs idées politiques, leurs valeurs, leurs principes et leur propre philosophie… Eh bien ce sera aujourd’hui le sujet central de notre émission : comment le pétrole a-t-il façonné l’avancée, puis le déclin, de l’idéologie antisémite nazie ? Entre conflits territoriaux et conflits idéologiques, revenons ensemble sur la tragique période de la Seconde Guerre Mondiale, dont le pétrole a définitivement, du début à la fin, tiré les ficelles. Bibliographie - Matthieu Auzaneau, Or noir, La grande histoire du pétrole, La découverte, 2015 - Daniel J. Kevles, Au nom de l’eugénisme, Presses universitaires de France, Paris, 1995 - Rapport du 6 juin 1944 d’August von Knieriem à SCHMITZ, AMBROS, BUETEFISCH, « Procès des criminels de guerre devant les tribunaux militaires de Nuremberg », U.S Government Printing office, Washington, 1953 - Jean Lopez, « Les Alliés, maîtres du jeu pétrolier », Guerres & Histoire, n°9, octobre-novembre 2012 - Robert Goralski et Russel W. Freeburg, Oil & War, William Morrow and Company, 1987 - Saburo Hayashi et Alin D. Coox, Kogun : The Japanese Army in the Pacific War, Greenwood Press, Westport, 1959 Écriture : Lucie Devocelle 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Envisageons la chose suivante : l’industrie de l’or noir est désormais au coeur de la majorité des considérations politiques et économiques autour du globe. Le pétrole constitue la pierre angulaire de la richesse et de la puissance d’une nation et octroie à son détenteur le pouvoir de se rendre victorieux des conflits les importants de l’histoire…  Que se passerait-il alors si une compagnie pétrolière décidait de soutenir une idéologie impérialiste ? Les responsables des majors restent des hommes, après tout, avec leurs idées politiques, leurs valeurs, leurs principes et leur propre philosophie… Eh bien ce sera aujourd’hui le sujet central de notre émission : comment le pétrole a-t-il façonné l’avancée, puis le déclin, de l’idéologie antisémite nazie ? Entre conflits territoriaux et conflits idéologiques, revenons ensemble sur la tragique période de la Seconde Guerre Mondiale, dont le pétrole a définitivement, du début à la fin, tiré les ficelles. Bibliographie - Matthieu Auzaneau, Or noir, La grande histoire du pétrole, La découverte, 2015 - Daniel J. Kevles, Au nom de l’eugénisme, Presses universitaires de France, Paris, 1995 - Rapport du 6 juin 1944 d’August von Knieriem à SCHMITZ, AMBROS, BUETEFISCH, « Procès des criminels de guerre devant les tribunaux militaires de Nuremberg », U.S Government Printing office, Washington, 1953 - Jean Lopez, « Les Alliés, maîtres du jeu pétrolier », Guerres & Histoire, n°9, octobre-novembre 2012 - Robert Goralski et Russel W. Freeburg, Oil & War, William Morrow and Company, 1987 - Saburo Hayashi et Alin D. Coox, Kogun : The Japanese Army in the Pacific War, Greenwood Press, Westport, 1959 Écriture : Lucie Devocelle 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Les Jeux Olympiques de Paris approchent à grands pas. Tout le pays est en ébullition. C’est un évènement extraordinaire qui se prépare, certains disent même historique, car ces Jeux sont organisés 100 ans après les Jeux de Paris de 1924.  Mais, si nos compétitions sportives modernes ont été inventées par Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques, eux, sont bien plus anciens. Ils ont été créés par les Grecs durant le VIIIe siècle avant notre ère. La pratique du sport est l’un des aspects les plus connus de la civilisation grecque. C’est le seul que l’on prétend ressusciter tous les quatre ans sous la forme des jeux Olympiques modernes. Nous croyons tous être incollables sur les Jeux d’Olympie. Nous nous imaginons de jeunes athlètes entièrement nus, beaux comme des dieux, faisant étinceler leurs muscles saillants sous les rayons du soleil, lançant le javelot et le disque, ou se livrant à des combats féroces où tous les coups sont permis. Or, les nouvelles données archéologiques, et l’analyse des sources antiques, nous permettent de dresser un tableau plus réaliste. Et il est très surprenant, voire, même, déconcertant.  Contrairement à ce que tout le monde pense, les athlètes, à l’origine, ne concourraient pas nus, même si cette nudité supposée a, rapidement, été associée à l’héroïsme et à la faveur divine. Les vases et les figurines en terre cuite ont propagé à profusion l’image de ces hommes éblouissants de jeunesse et de beauté, qui émoustillent les sens des spectateurs. Or, ils n’étaient pas tous grands et élancés : selon les auteurs antiques, certains de ces participants étaient même obèses ! Et les femmes, dans tout cela ? Les Jeux Olympiques modernes leur ont été interdits durant de longues années, sous prétextes que les femmes grecques antiques ne pouvaient pas concourir lors des Jeux antiques. Il s’agit, là aussi, d’un cliché. Si leur exclusion des Jeux d’Olympie est avérée, elles disposaient de leurs propres compétitions sportives, et se montraient aussi combattantes et performantes que les athlètes masculins. Certaines, à l’instar des champions d’Olympie, étaient même élevées au rang de divinités. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Les Jeux Olympiques de Paris approchent à grands pas. Tout le pays est en ébullition. C’est un évènement extraordinaire qui se prépare, certains disent même historique, car ces Jeux sont organisés 100 ans après les Jeux de Paris de 1924.  Mais, si nos compétitions sportives modernes ont été inventées par Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques, eux, sont bien plus anciens. Ils ont été créés par les Grecs durant le VIIIe siècle avant notre ère. La pratique du sport est l’un des aspects les plus connus de la civilisation grecque. C’est le seul que l’on prétend ressusciter tous les quatre ans sous la forme des jeux Olympiques modernes. Nous croyons tous être incollables sur les Jeux d’Olympie. Nous nous imaginons de jeunes athlètes entièrement nus, beaux comme des dieux, faisant étinceler leurs muscles saillants sous les rayons du soleil, lançant le javelot et le disque, ou se livrant à des combats féroces où tous les coups sont permis. Or, les nouvelles données archéologiques, et l’analyse des sources antiques, nous permettent de dresser un tableau plus réaliste. Et il est très surprenant, voire, même, déconcertant.  Contrairement à ce que tout le monde pense, les athlètes, à l’origine, ne concourraient pas nus, même si cette nudité supposée a, rapidement, été associée à l’héroïsme et à la faveur divine. Les vases et les figurines en terre cuite ont propagé à profusion l’image de ces hommes éblouissants de jeunesse et de beauté, qui émoustillent les sens des spectateurs. Or, ils n’étaient pas tous grands et élancés : selon les auteurs antiques, certains de ces participants étaient même obèses ! Et les femmes, dans tout cela ? Les Jeux Olympiques modernes leur ont été interdits durant de longues années, sous prétextes que les femmes grecques antiques ne pouvaient pas concourir lors des Jeux antiques. Il s’agit, là aussi, d’un cliché. Si leur exclusion des Jeux d’Olympie est avérée, elles disposaient de leurs propres compétitions sportives, et se montraient aussi combattantes et performantes que les athlètes masculins. Certaines, à l’instar des champions d’Olympie, étaient même élevées au rang de divinités. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Les Jeux Olympiques de Paris approchent à grands pas. Tout le pays est en ébullition. C’est un évènement extraordinaire qui se prépare, certains disent même historique, car ces Jeux sont organisés 100 ans après les Jeux de Paris de 1924.  Mais, si nos compétitions sportives modernes ont été inventées par Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques, eux, sont bien plus anciens. Ils ont été créés par les Grecs durant le VIIIe siècle avant notre ère. La pratique du sport est l’un des aspects les plus connus de la civilisation grecque. C’est le seul que l’on prétend ressusciter tous les quatre ans sous la forme des jeux Olympiques modernes. Nous croyons tous être incollables sur les Jeux d’Olympie. Nous nous imaginons de jeunes athlètes entièrement nus, beaux comme des dieux, faisant étinceler leurs muscles saillants sous les rayons du soleil, lançant le javelot et le disque, ou se livrant à des combats féroces où tous les coups sont permis. Or, les nouvelles données archéologiques, et l’analyse des sources antiques, nous permettent de dresser un tableau plus réaliste. Et il est très surprenant, voire, même, déconcertant.  Contrairement à ce que tout le monde pense, les athlètes, à l’origine, ne concourraient pas nus, même si cette nudité supposée a, rapidement, été associée à l’héroïsme et à la faveur divine. Les vases et les figurines en terre cuite ont propagé à profusion l’image de ces hommes éblouissants de jeunesse et de beauté, qui émoustillent les sens des spectateurs. Or, ils n’étaient pas tous grands et élancés : selon les auteurs antiques, certains de ces participants étaient même obèses ! Et les femmes, dans tout cela ? Les Jeux Olympiques modernes leur ont été interdits durant de longues années, sous prétextes que les femmes grecques antiques ne pouvaient pas concourir lors des Jeux antiques. Il s’agit, là aussi, d’un cliché. Si leur exclusion des Jeux d’Olympie est avérée, elles disposaient de leurs propres compétitions sportives, et se montraient aussi combattantes et performantes que les athlètes masculins. Certaines, à l’instar des champions d’Olympie, étaient même élevées au rang de divinités. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Les Jeux Olympiques de Paris approchent à grands pas. Tout le pays est en ébullition. C’est un évènement extraordinaire qui se prépare, certains disent même historique, car ces Jeux sont organisés 100 ans après les Jeux de Paris de 1924.  Mais, si nos compétitions sportives modernes ont été inventées par Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques, eux, sont bien plus anciens. Ils ont été créés par les Grecs durant le VIIIe siècle avant notre ère. La pratique du sport est l’un des aspects les plus connus de la civilisation grecque. C’est le seul que l’on prétend ressusciter tous les quatre ans sous la forme des jeux Olympiques modernes. Nous croyons tous être incollables sur les Jeux d’Olympie. Nous nous imaginons de jeunes athlètes entièrement nus, beaux comme des dieux, faisant étinceler leurs muscles saillants sous les rayons du soleil, lançant le javelot et le disque, ou se livrant à des combats féroces où tous les coups sont permis. Or, les nouvelles données archéologiques, et l’analyse des sources antiques, nous permettent de dresser un tableau plus réaliste. Et il est très surprenant, voire, même, déconcertant.  Contrairement à ce que tout le monde pense, les athlètes, à l’origine, ne concourraient pas nus, même si cette nudité supposée a, rapidement, été associée à l’héroïsme et à la faveur divine. Les vases et les figurines en terre cuite ont propagé à profusion l’image de ces hommes éblouissants de jeunesse et de beauté, qui émoustillent les sens des spectateurs. Or, ils n’étaient pas tous grands et élancés : selon les auteurs antiques, certains de ces participants étaient même obèses ! Et les femmes, dans tout cela ? Les Jeux Olympiques modernes leur ont été interdits durant de longues années, sous prétextes que les femmes grecques antiques ne pouvaient pas concourir lors des Jeux antiques. Il s’agit, là aussi, d’un cliché. Si leur exclusion des Jeux d’Olympie est avérée, elles disposaient de leurs propres compétitions sportives, et se montraient aussi combattantes et performantes que les athlètes masculins. Certaines, à l’instar des champions d’Olympie, étaient même élevées au rang de divinités. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Les Jeux Olympiques de Paris approchent à grands pas. Tout le pays est en ébullition. C’est un évènement extraordinaire qui se prépare, certains disent même historique, car ces Jeux sont organisés 100 ans après les Jeux de Paris de 1924.  Mais, si nos compétitions sportives modernes ont été inventées par Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques, eux, sont bien plus anciens. Ils ont été créés par les Grecs durant le VIIIe siècle avant notre ère. La pratique du sport est l’un des aspects les plus connus de la civilisation grecque. C’est le seul que l’on prétend ressusciter tous les quatre ans sous la forme des jeux Olympiques modernes. Nous croyons tous être incollables sur les Jeux d’Olympie. Nous nous imaginons de jeunes athlètes entièrement nus, beaux comme des dieux, faisant étinceler leurs muscles saillants sous les rayons du soleil, lançant le javelot et le disque, ou se livrant à des combats féroces où tous les coups sont permis. Or, les nouvelles données archéologiques, et l’analyse des sources antiques, nous permettent de dresser un tableau plus réaliste. Et il est très surprenant, voire, même, déconcertant.  Contrairement à ce que tout le monde pense, les athlètes, à l’origine, ne concourraient pas nus, même si cette nudité supposée a, rapidement, été associée à l’héroïsme et à la faveur divine. Les vases et les figurines en terre cuite ont propagé à profusion l’image de ces hommes éblouissants de jeunesse et de beauté, qui émoustillent les sens des spectateurs. Or, ils n’étaient pas tous grands et élancés : selon les auteurs antiques, certains de ces participants étaient même obèses ! Et les femmes, dans tout cela ? Les Jeux Olympiques modernes leur ont été interdits durant de longues années, sous prétextes que les femmes grecques antiques ne pouvaient pas concourir lors des Jeux antiques. Il s’agit, là aussi, d’un cliché. Si leur exclusion des Jeux d’Olympie est avérée, elles disposaient de leurs propres compétitions sportives, et se montraient aussi combattantes et performantes que les athlètes masculins. Certaines, à l’instar des champions d’Olympie, étaient même élevées au rang de divinités. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Les Jeux Olympiques de Paris approchent à grands pas. Tout le pays est en ébullition. C’est un évènement extraordinaire qui se prépare, certains disent même historique, car ces Jeux sont organisés 100 ans après les Jeux de Paris de 1924.  Mais, si nos compétitions sportives modernes ont été inventées par Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques, eux, sont bien plus anciens. Ils ont été créés par les Grecs durant le VIIIe siècle avant notre ère. La pratique du sport est l’un des aspects les plus connus de la civilisation grecque. C’est le seul que l’on prétend ressusciter tous les quatre ans sous la forme des jeux Olympiques modernes. Nous croyons tous être incollables sur les Jeux d’Olympie. Nous nous imaginons de jeunes athlètes entièrement nus, beaux comme des dieux, faisant étinceler leurs muscles saillants sous les rayons du soleil, lançant le javelot et le disque, ou se livrant à des combats féroces où tous les coups sont permis. Or, les nouvelles données archéologiques, et l’analyse des sources antiques, nous permettent de dresser un tableau plus réaliste. Et il est très surprenant, voire, même, déconcertant.  Contrairement à ce que tout le monde pense, les athlètes, à l’origine, ne concourraient pas nus, même si cette nudité supposée a, rapidement, été associée à l’héroïsme et à la faveur divine. Les vases et les figurines en terre cuite ont propagé à profusion l’image de ces hommes éblouissants de jeunesse et de beauté, qui émoustillent les sens des spectateurs. Or, ils n’étaient pas tous grands et élancés : selon les auteurs antiques, certains de ces participants étaient même obèses ! Et les femmes, dans tout cela ? Les Jeux Olympiques modernes leur ont été interdits durant de longues années, sous prétextes que les femmes grecques antiques ne pouvaient pas concourir lors des Jeux antiques. Il s’agit, là aussi, d’un cliché. Si leur exclusion des Jeux d’Olympie est avérée, elles disposaient de leurs propres compétitions sportives, et se montraient aussi combattantes et performantes que les athlètes masculins. Certaines, à l’instar des champions d’Olympie, étaient même élevées au rang de divinités. 

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque.  Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s’est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C’est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d’émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d’actualité historique, concernant une découverte récente.

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque.  Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s’est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C’est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d’émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d’actualité historique, concernant une découverte récente.

La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque.  Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s’est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C’est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d’émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d’actualité historique, concernant une découverte récente.

La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque.  Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s’est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C’est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d’émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d’actualité historique, concernant une découverte récente.

La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque.  Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s’est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C’est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d’émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d’actualité historique, concernant une découverte récente.

La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque.  Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s’est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C’est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d’émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d’actualité historique, concernant une découverte récente.

Le débarquement de Provence, connu sous le nom d'Opération Dragoon, a eu lieu le 15 août 1944. Cette opération militaire alliée visait à libérer le sud de la France des forces allemandes durant la Seconde Guerre mondiale.  Planifiée comme une complémentaire au débarquement de Normandie en juin 1944, elle a impliqué les forces américaines, britanniques et surtout françaises, sous le commandement du général Alexander Patch et du général de Lattre de Tassigny pour les forces françaises. Les principales forces de débarquement comprenaient la 7ème armée américaine et le Corps expéditionnaire français. Rapidement, elles ont sécurisé les plages et commencé à avancer à l'intérieur des terres, capturant les ports stratégiques de Toulon et de Marseille. Ces ports étaient cruciaux pour assurer le ravitaillement des forces alliées. La progression rapide des troupes alliées a forcé les forces allemandes à se replier, permettant la libération de vastes régions de la Provence. Ce succès a également facilité l'ouverture d'un deuxième front contre les forces allemandes en France, contribuant ainsi à la libération progressive du territoire français et à la défaite finale de l'Allemagne nazie.  Le débarquement de Provence est trop souvent considéré comme une opération complémentaire essentielle à celle de Normandie, contribuant significativement à la libération de la France, alors qu’elle est une opération très importante dans le dispositif final. C’est toute l’histoire de l’opération que nous vous racontons ici.

Le débarquement de Provence, connu sous le nom d'Opération Dragoon, a eu lieu le 15 août 1944. Cette opération militaire alliée visait à libérer le sud de la France des forces allemandes durant la Seconde Guerre mondiale.  Planifiée comme une complémentaire au débarquement de Normandie en juin 1944, elle a impliqué les forces américaines, britanniques et surtout françaises, sous le commandement du général Alexander Patch et du général de Lattre de Tassigny pour les forces françaises. Les principales forces de débarquement comprenaient la 7ème armée américaine et le Corps expéditionnaire français. Rapidement, elles ont sécurisé les plages et commencé à avancer à l'intérieur des terres, capturant les ports stratégiques de Toulon et de Marseille. Ces ports étaient cruciaux pour assurer le ravitaillement des forces alliées. La progression rapide des troupes alliées a forcé les forces allemandes à se replier, permettant la libération de vastes régions de la Provence. Ce succès a également facilité l'ouverture d'un deuxième front contre les forces allemandes en France, contribuant ainsi à la libération progressive du territoire français et à la défaite finale de l'Allemagne nazie.  Le débarquement de Provence est trop souvent considéré comme une opération complémentaire essentielle à celle de Normandie, contribuant significativement à la libération de la France, alors qu’elle est une opération très importante dans le dispositif final. C’est toute l’histoire de l’opération que nous vous racontons ici.

Le débarquement de Provence, connu sous le nom d'Opération Dragoon, a eu lieu le 15 août 1944. Cette opération militaire alliée visait à libérer le sud de la France des forces allemandes durant la Seconde Guerre mondiale.  Planifiée comme une complémentaire au débarquement de Normandie en juin 1944, elle a impliqué les forces américaines, britanniques et surtout françaises, sous le commandement du général Alexander Patch et du général de Lattre de Tassigny pour les forces françaises. Les principales forces de débarquement comprenaient la 7ème armée américaine et le Corps expéditionnaire français. Rapidement, elles ont sécurisé les plages et commencé à avancer à l'intérieur des terres, capturant les ports stratégiques de Toulon et de Marseille. Ces ports étaient cruciaux pour assurer le ravitaillement des forces alliées. La progression rapide des troupes alliées a forcé les forces allemandes à se replier, permettant la libération de vastes régions de la Provence. Ce succès a également facilité l'ouverture d'un deuxième front contre les forces allemandes en France, contribuant ainsi à la libération progressive du territoire français et à la défaite finale de l'Allemagne nazie.  Le débarquement de Provence est trop souvent considéré comme une opération complémentaire essentielle à celle de Normandie, contribuant significativement à la libération de la France, alors qu’elle est une opération très importante dans le dispositif final. C’est toute l’histoire de l’opération que nous vous racontons ici.

Pour s’abonner et écouter l’émission en une fois sans pub : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX Le débarquement de Provence, connu sous le nom d'Opération Dragoon, a eu lieu le 15 août 1944. Cette opération militaire alliée visait à libérer le sud de la France des forces allemandes durant la Seconde Guerre mondiale.  Planifiée comme une complémentaire au débarquement de Normandie en juin 1944, elle a impliqué les forces américaines, britanniques et surtout françaises, sous le commandement du général Alexander Patch et du général de Lattre de Tassigny pour les forces françaises. Les principales forces de débarquement comprenaient la 7ème armée américaine et le Corps expéditionnaire français. Rapidement, elles ont sécurisé les plages et commencé à avancer à l'intérieur des terres, capturant les ports stratégiques de Toulon et de Marseille. Ces ports étaient cruciaux pour assurer le ravitaillement des forces alliées. La progression rapide des troupes alliées a forcé les forces allemandes à se replier, permettant la libération de vastes régions de la Provence. Ce succès a également facilité l'ouverture d'un deuxième front contre les forces allemandes en France, contribuant ainsi à la libération progressive du territoire français et à la défaite finale de l'Allemagne nazie.  Le débarquement de Provence est trop souvent considéré comme une opération complémentaire essentielle à celle de Normandie, contribuant significativement à la libération de la France, alors qu’elle est une opération très importante dans le dispositif final. C’est toute l’histoire de l’opération que nous vous racontons ici.

Le débarquement de Provence, connu sous le nom d'Opération Dragoon, a eu lieu le 15 août 1944. Cette opération militaire alliée visait à libérer le sud de la France des forces allemandes durant la Seconde Guerre mondiale.  Planifiée comme une complémentaire au débarquement de Normandie en juin 1944, elle a impliqué les forces américaines, britanniques et surtout françaises, sous le commandement du général Alexander Patch et du général de Lattre de Tassigny pour les forces françaises. Les principales forces de débarquement comprenaient la 7ème armée américaine et le Corps expéditionnaire français. Rapidement, elles ont sécurisé les plages et commencé à avancer à l'intérieur des terres, capturant les ports stratégiques de Toulon et de Marseille. Ces ports étaient cruciaux pour assurer le ravitaillement des forces alliées. La progression rapide des troupes alliées a forcé les forces allemandes à se replier, permettant la libération de vastes régions de la Provence. Ce succès a également facilité l'ouverture d'un deuxième front contre les forces allemandes en France, contribuant ainsi à la libération progressive du territoire français et à la défaite finale de l'Allemagne nazie.  Le débarquement de Provence est trop souvent considéré comme une opération complémentaire essentielle à celle de Normandie, contribuant significativement à la libération de la France, alors qu’elle est une opération très importante dans le dispositif final. C’est toute l’histoire de l’opération que nous vous racontons ici.

Le débarquement de Provence, connu sous le nom d'Opération Dragoon, a eu lieu le 15 août 1944. Cette opération militaire alliée visait à libérer le sud de la France des forces allemandes durant la Seconde Guerre mondiale.  Planifiée comme une complémentaire au débarquement de Normandie en juin 1944, elle a impliqué les forces américaines, britanniques et surtout françaises, sous le commandement du général Alexander Patch et du général de Lattre de Tassigny pour les forces françaises. Les principales forces de débarquement comprenaient la 7ème armée américaine et le Corps expéditionnaire français. Rapidement, elles ont sécurisé les plages et commencé à avancer à l'intérieur des terres, capturant les ports stratégiques de Toulon et de Marseille. Ces ports étaient cruciaux pour assurer le ravitaillement des forces alliées. La progression rapide des troupes alliées a forcé les forces allemandes à se replier, permettant la libération de vastes régions de la Provence. Ce succès a également facilité l'ouverture d'un deuxième front contre les forces allemandes en France, contribuant ainsi à la libération progressive du territoire français et à la défaite finale de l'Allemagne nazie.  Le débarquement de Provence est trop souvent considéré comme une opération complémentaire essentielle à celle de Normandie, contribuant significativement à la libération de la France, alors qu’elle est une opération très importante dans le dispositif final. C’est toute l’histoire de l’opération que nous vous racontons ici.

Pour vous abonner et écouter l’émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX Bête longiligne ou massive, avec ou sans ailes, aquatique ou cracheuse de feu… Le dragon a de multiplies facettes, et dans tout cela, seule deux choses sont certaines.  La première, c’est que, qu’importe le lieu ou l’époque, le dragon a en lui quelque chose de reptilien. De près ou de loin, il est avant tout un gigantesque serpent, ce qui n’a rien d’anodin. La seconde certitude, c’est qu’il est depuis toujours le mythe le plus universel et le plus significatif qu’il soit. Au sein de chaque culture, son existence révèle quelque chose de profond de la pensée et des coutumes qui y sont établies. C’est comme si l’on pouvait dire : décris-moi un dragon, je te dirai qui tu es !  Partons ensemble à la découverte de cette entité mystérieuse, de ses origines et de ses innombrables représentations. Bibliographie pour aller plus loin - La figure du dragon : des origines mythiques à la Fantasy Daisy de Palmas Jauze - Le thème du dragon dans la sculpture et la peinture : étude comparative le dragon d'Occident et le dragon d'Asie : XIe-XIIe siècles, Hyo-Ae Kim - Le dragon médiéval. "Physiologus", encyclopédies et bestiaires enluminés (VIIIe-XVe s.) : Texte et Image, Marion Charpier - De l'animal à la divinité : le dragon dans la littérature médiévale anglaise, entre réappropriation mythologique et création d'une nouvelle figure mythique, Lucie Herbreteau - Le dragon : mythe ou réalité ? Pascal Perrais

Pour vous abonner et écouter l’émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX Bête longiligne ou massive, avec ou sans ailes, aquatique ou cracheuse de feu… Le dragon a de multiplies facettes, et dans tout cela, seule deux choses sont certaines.  La première, c’est que, qu’importe le lieu ou l’époque, le dragon a en lui quelque chose de reptilien. De près ou de loin, il est avant tout un gigantesque serpent, ce qui n’a rien d’anodin. La seconde certitude, c’est qu’il est depuis toujours le mythe le plus universel et le plus significatif qu’il soit. Au sein de chaque culture, son existence révèle quelque chose de profond de la pensée et des coutumes qui y sont établies. C’est comme si l’on pouvait dire : décris-moi un dragon, je te dirai qui tu es !  Partons ensemble à la découverte de cette entité mystérieuse, de ses origines et de ses innombrables représentations. Bibliographie pour aller plus loin - La figure du dragon : des origines mythiques à la Fantasy Daisy de Palmas Jauze - Le thème du dragon dans la sculpture et la peinture : étude comparative le dragon d'Occident et le dragon d'Asie : XIe-XIIe siècles, Hyo-Ae Kim - Le dragon médiéval. "Physiologus", encyclopédies et bestiaires enluminés (VIIIe-XVe s.) : Texte et Image, Marion Charpier - De l'animal à la divinité : le dragon dans la littérature médiévale anglaise, entre réappropriation mythologique et création d'une nouvelle figure mythique, Lucie Herbreteau - Le dragon : mythe ou réalité ? Pascal Perrais

Bête longiligne ou massive, avec ou sans ailes, aquatique ou cracheuse de feu… Le dragon a de multiplies facettes, et dans tout cela, seule deux choses sont certaines.  La première, c’est que, qu’importe le lieu ou l’époque, le dragon a en lui quelque chose de reptilien. De près ou de loin, il est avant tout un gigantesque serpent, ce qui n’a rien d’anodin. La seconde certitude, c’est qu’il est depuis toujours le mythe le plus universel et le plus significatif qu’il soit. Au sein de chaque culture, son existence révèle quelque chose de profond de la pensée et des coutumes qui y sont établies. C’est comme si l’on pouvait dire : décris-moi un dragon, je te dirai qui tu es !  Partons ensemble à la découverte de cette entité mystérieuse, de ses origines et de ses innombrables représentations. Bibliographie pour aller plus loin - La figure du dragon : des origines mythiques à la Fantasy Daisy de Palmas Jauze - Le thème du dragon dans la sculpture et la peinture : étude comparative le dragon d'Occident et le dragon d'Asie : XIe-XIIe siècles, Hyo-Ae Kim - Le dragon médiéval. "Physiologus", encyclopédies et bestiaires enluminés (VIIIe-XVe s.) : Texte et Image, Marion Charpier - De l'animal à la divinité : le dragon dans la littérature médiévale anglaise, entre réappropriation mythologique et création d'une nouvelle figure mythique, Lucie Herbreteau - Le dragon : mythe ou réalité ? Pascal Perrais

Bête longiligne ou massive, avec ou sans ailes, aquatique ou cracheuse de feu… Le dragon a de multiplies facettes, et dans tout cela, seule deux choses sont certaines.  La première, c’est que, qu’importe le lieu ou l’époque, le dragon a en lui quelque chose de reptilien. De près ou de loin, il est avant tout un gigantesque serpent, ce qui n’a rien d’anodin. La seconde certitude, c’est qu’il est depuis toujours le mythe le plus universel et le plus significatif qu’il soit. Au sein de chaque culture, son existence révèle quelque chose de profond de la pensée et des coutumes qui y sont établies. C’est comme si l’on pouvait dire : décris-moi un dragon, je te dirai qui tu es !  Partons ensemble à la découverte de cette entité mystérieuse, de ses origines et de ses innombrables représentations. Bibliographie pour aller plus loin - La figure du dragon : des origines mythiques à la Fantasy Daisy de Palmas Jauze - Le thème du dragon dans la sculpture et la peinture : étude comparative le dragon d'Occident et le dragon d'Asie : XIe-XIIe siècles, Hyo-Ae Kim - Le dragon médiéval. "Physiologus", encyclopédies et bestiaires enluminés (VIIIe-XVe s.) : Texte et Image, Marion Charpier - De l'animal à la divinité : le dragon dans la littérature médiévale anglaise, entre réappropriation mythologique et création d'une nouvelle figure mythique, Lucie Herbreteau - Le dragon : mythe ou réalité ? Pascal Perrais

Pour vous abonner et écouter l’émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX Bête longiligne ou massive, avec ou sans ailes, aquatique ou cracheuse de feu… Le dragon a de multiplies facettes, et dans tout cela, seule deux choses sont certaines.  La première, c’est que, qu’importe le lieu ou l’époque, le dragon a en lui quelque chose de reptilien. De près ou de loin, il est avant tout un gigantesque serpent, ce qui n’a rien d’anodin. La seconde certitude, c’est qu’il est depuis toujours le mythe le plus universel et le plus significatif qu’il soit. Au sein de chaque culture, son existence révèle quelque chose de profond de la pensée et des coutumes qui y sont établies. C’est comme si l’on pouvait dire : décris-moi un dragon, je te dirai qui tu es !  Partons ensemble à la découverte de cette entité mystérieuse, de ses origines et de ses innombrables représentations. Bibliographie pour aller plus loin - La figure du dragon : des origines mythiques à la Fantasy Daisy de Palmas Jauze - Le thème du dragon dans la sculpture et la peinture : étude comparative le dragon d'Occident et le dragon d'Asie : XIe-XIIe siècles, Hyo-Ae Kim - Le dragon médiéval. "Physiologus", encyclopédies et bestiaires enluminés (VIIIe-XVe s.) : Texte et Image, Marion Charpier - De l'animal à la divinité : le dragon dans la littérature médiévale anglaise, entre réappropriation mythologique et création d'une nouvelle figure mythique, Lucie Herbreteau - Le dragon : mythe ou réalité ? Pascal Perrais

Pour vous abonner et écouter l’émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX Bête longiligne ou massive, avec ou sans ailes, aquatique ou cracheuse de feu… Le dragon a de multiplies facettes, et dans tout cela, seule deux choses sont certaines.  La première, c’est que, qu’importe le lieu ou l’époque, le dragon a en lui quelque chose de reptilien. De près ou de loin, il est avant tout un gigantesque serpent, ce qui n’a rien d’anodin. La seconde certitude, c’est qu’il est depuis toujours le mythe le plus universel et le plus significatif qu’il soit. Au sein de chaque culture, son existence révèle quelque chose de profond de la pensée et des coutumes qui y sont établies. C’est comme si l’on pouvait dire : décris-moi un dragon, je te dirai qui tu es !  Partons ensemble à la découverte de cette entité mystérieuse, de ses origines et de ses innombrables représentations. Bibliographie pour aller plus loin - La figure du dragon : des origines mythiques à la Fantasy Daisy de Palmas Jauze - Le thème du dragon dans la sculpture et la peinture : étude comparative le dragon d'Occident et le dragon d'Asie : XIe-XIIe siècles, Hyo-Ae Kim - Le dragon médiéval. "Physiologus", encyclopédies et bestiaires enluminés (VIIIe-XVe s.) : Texte et Image, Marion Charpier - De l'animal à la divinité : le dragon dans la littérature médiévale anglaise, entre réappropriation mythologique et création d'une nouvelle figure mythique, Lucie Herbreteau - Le dragon : mythe ou réalité ? Pascal Perrais

Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX Le Nouvel Empire est marqué par une transformation rapide de la monarchie égyptienne. La monarchie égyptienne est sur le point de vivre l’une des plus brillantes périodes de son histoire. Depuis son apparition à la fin du IVe millénaire, elle n’avait pas encore pu se déployer durablement hors des limites de la vallée du Nil. Les pharaons n’avaient pas encore eu la capacité de s’implanter au Proche-Orient. Mais tout change lorsqu’ils s’emparent des possessions hyksôs dans le delta du Nil. La monarchie égyptienne récupère la maîtrise des routes commerciales qui sillonnent le Sinaï, le bassin méditerranéen et la Nubie. Elle dispose ainsi des moyens financiers et humains de se lancer à l’assaut du Levant et du royaume de Koush. Le pays est repris en main par une lignée d’hommes forts, qui mènent leur armée au combat. La puissance physique du monarque est mise en images et en mots. Sur les parois des temples et des monuments officiels, le pharaon est représenté en pleine action, il fonce sur un char, tire à l’arc, rame, ou barre une embarcation sur le Nil. Les victoires militaires des pharaons renforcent leur emprise sur l’armée. Les nouveaux maîtres du royaume du Nil s’imposent par les armes et grâce à la gloire qu’offrent les victoires. Le royaume égyptien est ouvert vers l’extérieur. Les pharaons du Nouvel Empire affirment leur maîtrise de la Nubie, un territoire considérable hérité d’Ahmosis et d’Amenhotep Ier. Ils lancent tour à tour leurs troupes sur le pays, et arrivent jusqu’à la 4e cataracte. C’est le temps des conquêtes et des pharaons les plus illustres de l’histoire égyptienne : Thoutmosis Ier, Hatchepsout, Thoutmosis III, Amenhotep II et Amenhotep III. Ils étendent le territoire égyptien en annexant la Nubie et une partie du Levant. Le pays du Nil devient la première puissance du bassin méditerranéen, redoutée par les Etats voisins, qui préfèrent se soumettre et implorer sa protection. Rien ne semble pouvoir freiner les ambitions démesurées des pharaons.  Bibliographie conseillée Damien AGUT et Juan Carlos MORENO- GARCIA, L’Egypte des Pharaons, De Narmer à Dioclétien, 3150 av. J-C.-284 apr. J.-C., Paris, Editions Belin, collection « Mondes Anciens », 2016. Raymond BLOCH, Alain HUS, Les conquêtes de l’archéologie, Genève, Editions Famot, « Grandes civilisations disparues », 1976. Pierre NORMA, Dictionnaire historique de l’Egypte, Maxi-Livres, 2005. Sous la direction d’Anne-Sophie PERES, Les tout-puissants pharaons du Nouvel Empire, Paris, Editions Atlas, « Passion de l’Egypte », 2003. Emission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Le Nouvel Empire est marqué par une transformation rapide de la monarchie égyptienne. La monarchie égyptienne est sur le point de vivre l’une des plus brillantes périodes de son histoire. Depuis son apparition à la fin du IVe millénaire, elle n’avait pas encore pu se déployer durablement hors des limites de la vallée du Nil. Les pharaons n’avaient pas encore eu la capacité de s’implanter au Proche-Orient. Mais tout change lorsqu’ils s’emparent des possessions hyksôs dans le delta du Nil. La monarchie égyptienne récupère la maîtrise des routes commerciales qui sillonnent le Sinaï, le bassin méditerranéen et la Nubie. Elle dispose ainsi des moyens financiers et humains de se lancer à l’assaut du Levant et du royaume de Koush. Le pays est repris en main par une lignée d’hommes forts, qui mènent leur armée au combat. La puissance physique du monarque est mise en images et en mots. Sur les parois des temples et des monuments officiels, le pharaon est représenté en pleine action, il fonce sur un char, tire à l’arc, rame, ou barre une embarcation sur le Nil. Les victoires militaires des pharaons renforcent leur emprise sur l’armée. Les nouveaux maîtres du royaume du Nil s’imposent par les armes et grâce à la gloire qu’offrent les victoires. Le royaume égyptien est ouvert vers l’extérieur. Les pharaons du Nouvel Empire affirment leur maîtrise de la Nubie, un territoire considérable hérité d’Ahmosis et d’Amenhotep Ier. Ils lancent tour à tour leurs troupes sur le pays, et arrivent jusqu’à la 4e cataracte. C’est le temps des conquêtes et des pharaons les plus illustres de l’histoire égyptienne : Thoutmosis Ier, Hatchepsout, Thoutmosis III, Amenhotep II et Amenhotep III. Ils étendent le territoire égyptien en annexant la Nubie et une partie du Levant. Le pays du Nil devient la première puissance du bassin méditerranéen, redoutée par les Etats voisins, qui préfèrent se soumettre et implorer sa protection. Rien ne semble pouvoir freiner les ambitions démesurées des pharaons.  Bibliographie conseillée Damien AGUT et Juan Carlos MORENO- GARCIA, L’Egypte des Pharaons, De Narmer à Dioclétien, 3150 av. J-C.-284 apr. J.-C., Paris, Editions Belin, collection « Mondes Anciens », 2016. Raymond BLOCH, Alain HUS, Les conquêtes de l’archéologie, Genève, Editions Famot, « Grandes civilisations disparues », 1976. Pierre NORMA, Dictionnaire historique de l’Egypte, Maxi-Livres, 2005. Sous la direction d’Anne-Sophie PERES, Les tout-puissants pharaons du Nouvel Empire, Paris, Editions Atlas, « Passion de l’Egypte », 2003. Emission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX Le Nouvel Empire est marqué par une transformation rapide de la monarchie égyptienne. La monarchie égyptienne est sur le point de vivre l’une des plus brillantes périodes de son histoire. Depuis son apparition à la fin du IVe millénaire, elle n’avait pas encore pu se déployer durablement hors des limites de la vallée du Nil. Les pharaons n’avaient pas encore eu la capacité de s’implanter au Proche-Orient. Mais tout change lorsqu’ils s’emparent des possessions hyksôs dans le delta du Nil. La monarchie égyptienne récupère la maîtrise des routes commerciales qui sillonnent le Sinaï, le bassin méditerranéen et la Nubie. Elle dispose ainsi des moyens financiers et humains de se lancer à l’assaut du Levant et du royaume de Koush. Le pays est repris en main par une lignée d’hommes forts, qui mènent leur armée au combat. La puissance physique du monarque est mise en images et en mots. Sur les parois des temples et des monuments officiels, le pharaon est représenté en pleine action, il fonce sur un char, tire à l’arc, rame, ou barre une embarcation sur le Nil. Les victoires militaires des pharaons renforcent leur emprise sur l’armée. Les nouveaux maîtres du royaume du Nil s’imposent par les armes et grâce à la gloire qu’offrent les victoires. Le royaume égyptien est ouvert vers l’extérieur. Les pharaons du Nouvel Empire affirment leur maîtrise de la Nubie, un territoire considérable hérité d’Ahmosis et d’Amenhotep Ier. Ils lancent tour à tour leurs troupes sur le pays, et arrivent jusqu’à la 4e cataracte. C’est le temps des conquêtes et des pharaons les plus illustres de l’histoire égyptienne : Thoutmosis Ier, Hatchepsout, Thoutmosis III, Amenhotep II et Amenhotep III. Ils étendent le territoire égyptien en annexant la Nubie et une partie du Levant. Le pays du Nil devient la première puissance du bassin méditerranéen, redoutée par les Etats voisins, qui préfèrent se soumettre et implorer sa protection. Rien ne semble pouvoir freiner les ambitions démesurées des pharaons.  Bibliographie conseillée Damien AGUT et Juan Carlos MORENO- GARCIA, L’Egypte des Pharaons, De Narmer à Dioclétien, 3150 av. J-C.-284 apr. J.-C., Paris, Editions Belin, collection « Mondes Anciens », 2016. Raymond BLOCH, Alain HUS, Les conquêtes de l’archéologie, Genève, Editions Famot, « Grandes civilisations disparues », 1976. Pierre NORMA, Dictionnaire historique de l’Egypte, Maxi-Livres, 2005. Sous la direction d’Anne-Sophie PERES, Les tout-puissants pharaons du Nouvel Empire, Paris, Editions Atlas, « Passion de l’Egypte », 2003. Emission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX Le Nouvel Empire est marqué par une transformation rapide de la monarchie égyptienne. La monarchie égyptienne est sur le point de vivre l’une des plus brillantes périodes de son histoire. Depuis son apparition à la fin du IVe millénaire, elle n’avait pas encore pu se déployer durablement hors des limites de la vallée du Nil. Les pharaons n’avaient pas encore eu la capacité de s’implanter au Proche-Orient. Mais tout change lorsqu’ils s’emparent des possessions hyksôs dans le delta du Nil. La monarchie égyptienne récupère la maîtrise des routes commerciales qui sillonnent le Sinaï, le bassin méditerranéen et la Nubie. Elle dispose ainsi des moyens financiers et humains de se lancer à l’assaut du Levant et du royaume de Koush. Le pays est repris en main par une lignée d’hommes forts, qui mènent leur armée au combat. La puissance physique du monarque est mise en images et en mots. Sur les parois des temples et des monuments officiels, le pharaon est représenté en pleine action, il fonce sur un char, tire à l’arc, rame, ou barre une embarcation sur le Nil. Les victoires militaires des pharaons renforcent leur emprise sur l’armée. Les nouveaux maîtres du royaume du Nil s’imposent par les armes et grâce à la gloire qu’offrent les victoires. Le royaume égyptien est ouvert vers l’extérieur. Les pharaons du Nouvel Empire affirment leur maîtrise de la Nubie, un territoire considérable hérité d’Ahmosis et d’Amenhotep Ier. Ils lancent tour à tour leurs troupes sur le pays, et arrivent jusqu’à la 4e cataracte. C’est le temps des conquêtes et des pharaons les plus illustres de l’histoire égyptienne : Thoutmosis Ier, Hatchepsout, Thoutmosis III, Amenhotep II et Amenhotep III. Ils étendent le territoire égyptien en annexant la Nubie et une partie du Levant. Le pays du Nil devient la première puissance du bassin méditerranéen, redoutée par les Etats voisins, qui préfèrent se soumettre et implorer sa protection. Rien ne semble pouvoir freiner les ambitions démesurées des pharaons.  Bibliographie conseillée Damien AGUT et Juan Carlos MORENO- GARCIA, L’Egypte des Pharaons, De Narmer à Dioclétien, 3150 av. J-C.-284 apr. J.-C., Paris, Editions Belin, collection « Mondes Anciens », 2016. Raymond BLOCH, Alain HUS, Les conquêtes de l’archéologie, Genève, Editions Famot, « Grandes civilisations disparues », 1976. Pierre NORMA, Dictionnaire historique de l’Egypte, Maxi-Livres, 2005. Sous la direction d’Anne-Sophie PERES, Les tout-puissants pharaons du Nouvel Empire, Paris, Editions Atlas, « Passion de l’Egypte », 2003. Emission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Le Nouvel Empire est marqué par une transformation rapide de la monarchie égyptienne. La monarchie égyptienne est sur le point de vivre l’une des plus brillantes périodes de son histoire. Depuis son apparition à la fin du IVe millénaire, elle n’avait pas encore pu se déployer durablement hors des limites de la vallée du Nil. Les pharaons n’avaient pas encore eu la capacité de s’implanter au Proche-Orient. Mais tout change lorsqu’ils s’emparent des possessions hyksôs dans le delta du Nil. La monarchie égyptienne récupère la maîtrise des routes commerciales qui sillonnent le Sinaï, le bassin méditerranéen et la Nubie. Elle dispose ainsi des moyens financiers et humains de se lancer à l’assaut du Levant et du royaume de Koush. Le pays est repris en main par une lignée d’hommes forts, qui mènent leur armée au combat. La puissance physique du monarque est mise en images et en mots. Sur les parois des temples et des monuments officiels, le pharaon est représenté en pleine action, il fonce sur un char, tire à l’arc, rame, ou barre une embarcation sur le Nil. Les victoires militaires des pharaons renforcent leur emprise sur l’armée. Les nouveaux maîtres du royaume du Nil s’imposent par les armes et grâce à la gloire qu’offrent les victoires. Le royaume égyptien est ouvert vers l’extérieur. Les pharaons du Nouvel Empire affirment leur maîtrise de la Nubie, un territoire considérable hérité d’Ahmosis et d’Amenhotep Ier. Ils lancent tour à tour leurs troupes sur le pays, et arrivent jusqu’à la 4e cataracte. C’est le temps des conquêtes et des pharaons les plus illustres de l’histoire égyptienne : Thoutmosis Ier, Hatchepsout, Thoutmosis III, Amenhotep II et Amenhotep III. Ils étendent le territoire égyptien en annexant la Nubie et une partie du Levant. Le pays du Nil devient la première puissance du bassin méditerranéen, redoutée par les Etats voisins, qui préfèrent se soumettre et implorer sa protection. Rien ne semble pouvoir freiner les ambitions démesurées des pharaons.  Bibliographie conseillée Damien AGUT et Juan Carlos MORENO- GARCIA, L’Egypte des Pharaons, De Narmer à Dioclétien, 3150 av. J-C.-284 apr. J.-C., Paris, Editions Belin, collection « Mondes Anciens », 2016. Raymond BLOCH, Alain HUS, Les conquêtes de l’archéologie, Genève, Editions Famot, « Grandes civilisations disparues », 1976. Pierre NORMA, Dictionnaire historique de l’Egypte, Maxi-Livres, 2005. Sous la direction d’Anne-Sophie PERES, Les tout-puissants pharaons du Nouvel Empire, Paris, Editions Atlas, « Passion de l’Egypte », 2003. Emission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Le Nouvel Empire est marqué par une transformation rapide de la monarchie égyptienne. La monarchie égyptienne est sur le point de vivre l’une des plus brillantes périodes de son histoire. Depuis son apparition à la fin du IVe millénaire, elle n’avait pas encore pu se déployer durablement hors des limites de la vallée du Nil. Les pharaons n’avaient pas encore eu la capacité de s’implanter au Proche-Orient. Mais tout change lorsqu’ils s’emparent des possessions hyksôs dans le delta du Nil. La monarchie égyptienne récupère la maîtrise des routes commerciales qui sillonnent le Sinaï, le bassin méditerranéen et la Nubie. Elle dispose ainsi des moyens financiers et humains de se lancer à l’assaut du Levant et du royaume de Koush. Le pays est repris en main par une lignée d’hommes forts, qui mènent leur armée au combat. La puissance physique du monarque est mise en images et en mots. Sur les parois des temples et des monuments officiels, le pharaon est représenté en pleine action, il fonce sur un char, tire à l’arc, rame, ou barre une embarcation sur le Nil. Les victoires militaires des pharaons renforcent leur emprise sur l’armée. Les nouveaux maîtres du royaume du Nil s’imposent par les armes et grâce à la gloire qu’offrent les victoires. Le royaume égyptien est ouvert vers l’extérieur. Les pharaons du Nouvel Empire affirment leur maîtrise de la Nubie, un territoire considérable hérité d’Ahmosis et d’Amenhotep Ier. Ils lancent tour à tour leurs troupes sur le pays, et arrivent jusqu’à la 4e cataracte. C’est le temps des conquêtes et des pharaons les plus illustres de l’histoire égyptienne : Thoutmosis Ier, Hatchepsout, Thoutmosis III, Amenhotep II et Amenhotep III. Ils étendent le territoire égyptien en annexant la Nubie et une partie du Levant. Le pays du Nil devient la première puissance du bassin méditerranéen, redoutée par les Etats voisins, qui préfèrent se soumettre et implorer sa protection. Rien ne semble pouvoir freiner les ambitions démesurées des pharaons.  Bibliographie conseillée Damien AGUT et Juan Carlos MORENO- GARCIA, L’Egypte des Pharaons, De Narmer à Dioclétien, 3150 av. J-C.-284 apr. J.-C., Paris, Editions Belin, collection « Mondes Anciens », 2016. Raymond BLOCH, Alain HUS, Les conquêtes de l’archéologie, Genève, Editions Famot, « Grandes civilisations disparues », 1976. Pierre NORMA, Dictionnaire historique de l’Egypte, Maxi-Livres, 2005. Sous la direction d’Anne-Sophie PERES, Les tout-puissants pharaons du Nouvel Empire, Paris, Editions Atlas, « Passion de l’Egypte », 2003. Emission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Le Projet Manhattan fut une entreprise militaire et scientifique de grande envergure menée par les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'objectif de développer la première bombe atomique. Il débute officiellement en 1941 sous la direction du général Leslie Groves. L'urgence du projet fut accentuée par la crainte que l'Allemagne nazie ne développe l’arme nucléaire en premier. Environ 130 000 personnes furent directement impliquées dans le projet, comprenant des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens et du personnel militaire. Le coût du projet atteignit environ 2 milliards de dollars de l'époque (environ 25 milliards de dollars actuels). L'un des premiers défis fut de transformer la théorie de la fission nucléaire, qui n'avait été démontrée qu'en 1938, en une technologie pratique. Les scientifiques durent comprendre comment provoquer et contrôler une réaction en chaîne. Deux matériaux étaient nécessaires pour les bombes : l'uranium-235 et le plutonium-239. L'uranium-235 devait être séparé de l'uranium-238, un processus extrêmement difficile car les isotopes sont chimiquement identiques et très proches en poids. Pour cela, on utilisa la diffusion gazeuse, une méthode complexe nécessitant de vastes installations comme l'usine de Oak Ridge, Tennessee, et le procédé électromagnétique, utilisé à Y-12 à Oak Ridge, exploitant les propriétés magnétiques pour séparer les isotopes. Les premiers réacteurs nucléaires furent construits à Hanford, Washington, pour produire du plutonium en irradiant de l'uranium avec des neutrons. La conception des bombes elles-mêmes posait des défis considérables. La bombe "Little Boy" utilisait de l'uranium-235 et un mécanisme de "canon" où deux masses d'uranium étaient réunies pour atteindre la masse critique. La bombe "Fat Man" utilisait du plutonium-239 et un mécanisme de "compression" où une sphère de plutonium était compressée par des explosifs conventionnels pour initier la réaction en chaîne. Assurer la sécurité des informations et des sites fut une tâche titanesque. Le projet fut tenu dans un secret rigoureux pour éviter les fuites vers les puissances ennemies et les espions. La coordination des différents sites de production et de recherche, répartis aux États-Unis, exigea une planification méticuleuse et une gestion efficace des ressources humaines et matérielles. Le Projet Manhattan allait atteindre son apogée avec les essais de la première bombe nucléaire, "Trinity", le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Quelques semaines plus tard, les bombes furent larguées sur Hiroshima et Nagasaki, entraînant la capitulation du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale.  Le Projet Manhattan demeure un exemple emblématique de mobilisation scientifique et industrielle en temps de guerre, surmontant d'énormes défis techniques, logistiques et humains pour réaliser en moins de quatre ans une avancée technologique majeure qui a profondément changé le cours de l'histoire. Et voici son histoire …

Le Projet Manhattan fut une entreprise militaire et scientifique de grande envergure menée par les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'objectif de développer la première bombe atomique. Il débute officiellement en 1941 sous la direction du général Leslie Groves. L'urgence du projet fut accentuée par la crainte que l'Allemagne nazie ne développe l’arme nucléaire en premier. Environ 130 000 personnes furent directement impliquées dans le projet, comprenant des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens et du personnel militaire. Le coût du projet atteignit environ 2 milliards de dollars de l'époque (environ 25 milliards de dollars actuels). L'un des premiers défis fut de transformer la théorie de la fission nucléaire, qui n'avait été démontrée qu'en 1938, en une technologie pratique. Les scientifiques durent comprendre comment provoquer et contrôler une réaction en chaîne. Deux matériaux étaient nécessaires pour les bombes : l'uranium-235 et le plutonium-239. L'uranium-235 devait être séparé de l'uranium-238, un processus extrêmement difficile car les isotopes sont chimiquement identiques et très proches en poids. Pour cela, on utilisa la diffusion gazeuse, une méthode complexe nécessitant de vastes installations comme l'usine de Oak Ridge, Tennessee, et le procédé électromagnétique, utilisé à Y-12 à Oak Ridge, exploitant les propriétés magnétiques pour séparer les isotopes. Les premiers réacteurs nucléaires furent construits à Hanford, Washington, pour produire du plutonium en irradiant de l'uranium avec des neutrons. La conception des bombes elles-mêmes posait des défis considérables. La bombe "Little Boy" utilisait de l'uranium-235 et un mécanisme de "canon" où deux masses d'uranium étaient réunies pour atteindre la masse critique. La bombe "Fat Man" utilisait du plutonium-239 et un mécanisme de "compression" où une sphère de plutonium était compressée par des explosifs conventionnels pour initier la réaction en chaîne. Assurer la sécurité des informations et des sites fut une tâche titanesque. Le projet fut tenu dans un secret rigoureux pour éviter les fuites vers les puissances ennemies et les espions. La coordination des différents sites de production et de recherche, répartis aux États-Unis, exigea une planification méticuleuse et une gestion efficace des ressources humaines et matérielles. Le Projet Manhattan allait atteindre son apogée avec les essais de la première bombe nucléaire, "Trinity", le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Quelques semaines plus tard, les bombes furent larguées sur Hiroshima et Nagasaki, entraînant la capitulation du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale.  Le Projet Manhattan demeure un exemple emblématique de mobilisation scientifique et industrielle en temps de guerre, surmontant d'énormes défis techniques, logistiques et humains pour réaliser en moins de quatre ans une avancée technologique majeure qui a profondément changé le cours de l'histoire. Et voici son histoire …

Le Projet Manhattan fut une entreprise militaire et scientifique de grande envergure menée par les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'objectif de développer la première bombe atomique. Il débute officiellement en 1941 sous la direction du général Leslie Groves. L'urgence du projet fut accentuée par la crainte que l'Allemagne nazie ne développe l’arme nucléaire en premier. Environ 130 000 personnes furent directement impliquées dans le projet, comprenant des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens et du personnel militaire. Le coût du projet atteignit environ 2 milliards de dollars de l'époque (environ 25 milliards de dollars actuels). L'un des premiers défis fut de transformer la théorie de la fission nucléaire, qui n'avait été démontrée qu'en 1938, en une technologie pratique. Les scientifiques durent comprendre comment provoquer et contrôler une réaction en chaîne. Deux matériaux étaient nécessaires pour les bombes : l'uranium-235 et le plutonium-239. L'uranium-235 devait être séparé de l'uranium-238, un processus extrêmement difficile car les isotopes sont chimiquement identiques et très proches en poids. Pour cela, on utilisa la diffusion gazeuse, une méthode complexe nécessitant de vastes installations comme l'usine de Oak Ridge, Tennessee, et le procédé électromagnétique, utilisé à Y-12 à Oak Ridge, exploitant les propriétés magnétiques pour séparer les isotopes. Les premiers réacteurs nucléaires furent construits à Hanford, Washington, pour produire du plutonium en irradiant de l'uranium avec des neutrons. La conception des bombes elles-mêmes posait des défis considérables. La bombe "Little Boy" utilisait de l'uranium-235 et un mécanisme de "canon" où deux masses d'uranium étaient réunies pour atteindre la masse critique. La bombe "Fat Man" utilisait du plutonium-239 et un mécanisme de "compression" où une sphère de plutonium était compressée par des explosifs conventionnels pour initier la réaction en chaîne. Assurer la sécurité des informations et des sites fut une tâche titanesque. Le projet fut tenu dans un secret rigoureux pour éviter les fuites vers les puissances ennemies et les espions. La coordination des différents sites de production et de recherche, répartis aux États-Unis, exigea une planification méticuleuse et une gestion efficace des ressources humaines et matérielles. Le Projet Manhattan allait atteindre son apogée avec les essais de la première bombe nucléaire, "Trinity", le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Quelques semaines plus tard, les bombes furent larguées sur Hiroshima et Nagasaki, entraînant la capitulation du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale.  Le Projet Manhattan demeure un exemple emblématique de mobilisation scientifique et industrielle en temps de guerre, surmontant d'énormes défis techniques, logistiques et humains pour réaliser en moins de quatre ans une avancée technologique majeure qui a profondément changé le cours de l'histoire. Et voici son histoire …

Le Projet Manhattan fut une entreprise militaire et scientifique de grande envergure menée par les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'objectif de développer la première bombe atomique. Il débute officiellement en 1941 sous la direction du général Leslie Groves. L'urgence du projet fut accentuée par la crainte que l'Allemagne nazie ne développe l’arme nucléaire en premier. Environ 130 000 personnes furent directement impliquées dans le projet, comprenant des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens et du personnel militaire. Le coût du projet atteignit environ 2 milliards de dollars de l'époque (environ 25 milliards de dollars actuels). L'un des premiers défis fut de transformer la théorie de la fission nucléaire, qui n'avait été démontrée qu'en 1938, en une technologie pratique. Les scientifiques durent comprendre comment provoquer et contrôler une réaction en chaîne. Deux matériaux étaient nécessaires pour les bombes : l'uranium-235 et le plutonium-239. L'uranium-235 devait être séparé de l'uranium-238, un processus extrêmement difficile car les isotopes sont chimiquement identiques et très proches en poids. Pour cela, on utilisa la diffusion gazeuse, une méthode complexe nécessitant de vastes installations comme l'usine de Oak Ridge, Tennessee, et le procédé électromagnétique, utilisé à Y-12 à Oak Ridge, exploitant les propriétés magnétiques pour séparer les isotopes. Les premiers réacteurs nucléaires furent construits à Hanford, Washington, pour produire du plutonium en irradiant de l'uranium avec des neutrons. La conception des bombes elles-mêmes posait des défis considérables. La bombe "Little Boy" utilisait de l'uranium-235 et un mécanisme de "canon" où deux masses d'uranium étaient réunies pour atteindre la masse critique. La bombe "Fat Man" utilisait du plutonium-239 et un mécanisme de "compression" où une sphère de plutonium était compressée par des explosifs conventionnels pour initier la réaction en chaîne. Assurer la sécurité des informations et des sites fut une tâche titanesque. Le projet fut tenu dans un secret rigoureux pour éviter les fuites vers les puissances ennemies et les espions. La coordination des différents sites de production et de recherche, répartis aux États-Unis, exigea une planification méticuleuse et une gestion efficace des ressources humaines et matérielles. Le Projet Manhattan allait atteindre son apogée avec les essais de la première bombe nucléaire, "Trinity", le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Quelques semaines plus tard, les bombes furent larguées sur Hiroshima et Nagasaki, entraînant la capitulation du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale.  Le Projet Manhattan demeure un exemple emblématique de mobilisation scientifique et industrielle en temps de guerre, surmontant d'énormes défis techniques, logistiques et humains pour réaliser en moins de quatre ans une avancée technologique majeure qui a profondément changé le cours de l'histoire. Et voici son histoire …

Pour vous abonner et écouter en une fois sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX Le Projet Manhattan fut une entreprise militaire et scientifique de grande envergure menée par les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'objectif de développer la première bombe atomique. Il débute officiellement en 1941 sous la direction du général Leslie Groves. L'urgence du projet fut accentuée par la crainte que l'Allemagne nazie ne développe l’arme nucléaire en premier. Environ 130 000 personnes furent directement impliquées dans le projet, comprenant des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens et du personnel militaire. Le coût du projet atteignit environ 2 milliards de dollars de l'époque (environ 25 milliards de dollars actuels). L'un des premiers défis fut de transformer la théorie de la fission nucléaire, qui n'avait été démontrée qu'en 1938, en une technologie pratique. Les scientifiques durent comprendre comment provoquer et contrôler une réaction en chaîne. Deux matériaux étaient nécessaires pour les bombes : l'uranium-235 et le plutonium-239. L'uranium-235 devait être séparé de l'uranium-238, un processus extrêmement difficile car les isotopes sont chimiquement identiques et très proches en poids. Pour cela, on utilisa la diffusion gazeuse, une méthode complexe nécessitant de vastes installations comme l'usine de Oak Ridge, Tennessee, et le procédé électromagnétique, utilisé à Y-12 à Oak Ridge, exploitant les propriétés magnétiques pour séparer les isotopes. Les premiers réacteurs nucléaires furent construits à Hanford, Washington, pour produire du plutonium en irradiant de l'uranium avec des neutrons. La conception des bombes elles-mêmes posait des défis considérables. La bombe "Little Boy" utilisait de l'uranium-235 et un mécanisme de "canon" où deux masses d'uranium étaient réunies pour atteindre la masse critique. La bombe "Fat Man" utilisait du plutonium-239 et un mécanisme de "compression" où une sphère de plutonium était compressée par des explosifs conventionnels pour initier la réaction en chaîne. Assurer la sécurité des informations et des sites fut une tâche titanesque. Le projet fut tenu dans un secret rigoureux pour éviter les fuites vers les puissances ennemies et les espions. La coordination des différents sites de production et de recherche, répartis aux États-Unis, exigea une planification méticuleuse et une gestion efficace des ressources humaines et matérielles. Le Projet Manhattan allait atteindre son apogée avec les essais de la première bombe nucléaire, "Trinity", le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Quelques semaines plus tard, les bombes furent larguées sur Hiroshima et Nagasaki, entraînant la capitulation du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale.  Le Projet Manhattan demeure un exemple emblématique de mobilisation scientifique et industrielle en temps de guerre, surmontant d'énormes défis techniques, logistiques et humains pour réaliser en moins de quatre ans une avancée technologique majeure qui a profondément changé le cours de l'histoire. Et voici son histoire …

Le Projet Manhattan fut une entreprise militaire et scientifique de grande envergure menée par les États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'objectif de développer la première bombe atomique. Il débute officiellement en 1941 sous la direction du général Leslie Groves. L'urgence du projet fut accentuée par la crainte que l'Allemagne nazie ne développe l’arme nucléaire en premier. Environ 130 000 personnes furent directement impliquées dans le projet, comprenant des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens et du personnel militaire. Le coût du projet atteignit environ 2 milliards de dollars de l'époque (environ 25 milliards de dollars actuels). L'un des premiers défis fut de transformer la théorie de la fission nucléaire, qui n'avait été démontrée qu'en 1938, en une technologie pratique. Les scientifiques durent comprendre comment provoquer et contrôler une réaction en chaîne. Deux matériaux étaient nécessaires pour les bombes : l'uranium-235 et le plutonium-239. L'uranium-235 devait être séparé de l'uranium-238, un processus extrêmement difficile car les isotopes sont chimiquement identiques et très proches en poids. Pour cela, on utilisa la diffusion gazeuse, une méthode complexe nécessitant de vastes installations comme l'usine de Oak Ridge, Tennessee, et le procédé électromagnétique, utilisé à Y-12 à Oak Ridge, exploitant les propriétés magnétiques pour séparer les isotopes. Les premiers réacteurs nucléaires furent construits à Hanford, Washington, pour produire du plutonium en irradiant de l'uranium avec des neutrons. La conception des bombes elles-mêmes posait des défis considérables. La bombe "Little Boy" utilisait de l'uranium-235 et un mécanisme de "canon" où deux masses d'uranium étaient réunies pour atteindre la masse critique. La bombe "Fat Man" utilisait du plutonium-239 et un mécanisme de "compression" où une sphère de plutonium était compressée par des explosifs conventionnels pour initier la réaction en chaîne. Assurer la sécurité des informations et des sites fut une tâche titanesque. Le projet fut tenu dans un secret rigoureux pour éviter les fuites vers les puissances ennemies et les espions. La coordination des différents sites de production et de recherche, répartis aux États-Unis, exigea une planification méticuleuse et une gestion efficace des ressources humaines et matérielles. Le Projet Manhattan allait atteindre son apogée avec les essais de la première bombe nucléaire, "Trinity", le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Quelques semaines plus tard, les bombes furent larguées sur Hiroshima et Nagasaki, entraînant la capitulation du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale.  Le Projet Manhattan demeure un exemple emblématique de mobilisation scientifique et industrielle en temps de guerre, surmontant d'énormes défis techniques, logistiques et humains pour réaliser en moins de quatre ans une avancée technologique majeure qui a profondément changé le cours de l'histoire. Et voici son histoire …

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ce second épisode sur l’Egypte sous le Moyen Empire revient sur cette période de transition et de bouleversements politiques.  Vers 1800 avant J.-C., sous le règne des derniers pharaons de la XIIe dynastie, l'Égypte connaît une phase de déclin économique et de troubles internes. Les successeurs de Sésostris III et Amenemhat III peinent à maintenir l'unité et le contrôle sur les provinces. Ce climat de fragilité ouvre la voie à l'invasion des Hyksôs, un peuple venu du Levant, qui s'implante dans le delta du Nil et finit par prendre le contrôle de la région. Les Hyksôs introduisent malgré tout des innovations telles que le char de guerre et de nouvelles techniques de métallurgie. Leur domination marque le début de la Deuxième Période Intermédiaire, une époque de division où la Basse Égypte est sous le joug des Hyksôs, tandis que la Haute Égypte reste partiellement indépendante. Cependant, vers 1550 avant J.-C., un mouvement de résistance s'organise sous l'égide des princes thébains.  Le pharaon Ahmôsis I réussit finalement à expulser les Hyksôs et à réunifier l'Égypte, inaugurant ainsi le Nouvel Empire.  Ce renouveau marque le début d'une période de prospérité, d'expansion militaire et de rayonnement culturel sans précédent. Ainsi, la fin du Moyen Empire, caractérisée par la fragmentation et l'instabilité, pave la voie à une nouvelle ère de puissance et de splendeur sous la XVIIIe dynastie, où des figures emblématiques comme Hatshepsout, Thoutmôsis III et Ramsès II marqueront durablement l'histoire de l'Égypte ancienne, mais ça, c’est une autre histoire … Bibliographie AGUT Damien et MORENO- GARCIA Juan Carlos, L’Egypte des Pharaons, De Narmer à Dioclétien, 3150 av. J-C.-284 apr. J.-C., Paris, Editions Belin, collection « Mondes Anciens », 2016. BLOCH Raymond, HUS Alain, Les conquêtes de l’archéologie, Genève, Editions Famot, « Grandes civilisations disparues », 1976. NORMA Pierre, Dictionnaire historique de l’Egypte, Maxi-Livres, 2005. PERES Anne-Sophie (dir.), Les tout-puissants pharaons du Nouvel Empire, Paris, Editions Atlas, « Passion de l’Egypte », 2003. Emission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ce second épisode sur l’Egypte sous le Moyen Empire revient sur cette période de transition et de bouleversements politiques.  Vers 1800 avant J.-C., sous le règne des derniers pharaons de la XIIe dynastie, l'Égypte connaît une phase de déclin économique et de troubles internes. Les successeurs de Sésostris III et Amenemhat III peinent à maintenir l'unité et le contrôle sur les provinces. Ce climat de fragilité ouvre la voie à l'invasion des Hyksôs, un peuple venu du Levant, qui s'implante dans le delta du Nil et finit par prendre le contrôle de la région. Les Hyksôs introduisent malgré tout des innovations telles que le char de guerre et de nouvelles techniques de métallurgie. Leur domination marque le début de la Deuxième Période Intermédiaire, une époque de division où la Basse Égypte est sous le joug des Hyksôs, tandis que la Haute Égypte reste partiellement indépendante. Cependant, vers 1550 avant J.-C., un mouvement de résistance s'organise sous l'égide des princes thébains.  Le pharaon Ahmôsis I réussit finalement à expulser les Hyksôs et à réunifier l'Égypte, inaugurant ainsi le Nouvel Empire.  Ce renouveau marque le début d'une période de prospérité, d'expansion militaire et de rayonnement culturel sans précédent. Ainsi, la fin du Moyen Empire, caractérisée par la fragmentation et l'instabilité, pave la voie à une nouvelle ère de puissance et de splendeur sous la XVIIIe dynastie, où des figures emblématiques comme Hatshepsout, Thoutmôsis III et Ramsès II marqueront durablement l'histoire de l'Égypte ancienne, mais ça, c’est une autre histoire … Bibliographie AGUT Damien et MORENO- GARCIA Juan Carlos, L’Egypte des Pharaons, De Narmer à Dioclétien, 3150 av. J-C.-284 apr. J.-C., Paris, Editions Belin, collection « Mondes Anciens », 2016. BLOCH Raymond, HUS Alain, Les conquêtes de l’archéologie, Genève, Editions Famot, « Grandes civilisations disparues », 1976. NORMA Pierre, Dictionnaire historique de l’Egypte, Maxi-Livres, 2005. PERES Anne-Sophie (dir.), Les tout-puissants pharaons du Nouvel Empire, Paris, Editions Atlas, « Passion de l’Egypte », 2003. Emission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ce second épisode sur l’Egypte sous le Moyen Empire revient sur cette période de transition et de bouleversements politiques.  Vers 1800 avant J.-C., sous le règne des derniers pharaons de la XIIe dynastie, l'Égypte connaît une phase de déclin économique et de troubles internes. Les successeurs de Sésostris III et Amenemhat III peinent à maintenir l'unité et le contrôle sur les provinces. Ce climat de fragilité ouvre la voie à l'invasion des Hyksôs, un peuple venu du Levant, qui s'implante dans le delta du Nil et finit par prendre le contrôle de la région. Les Hyksôs introduisent malgré tout des innovations telles que le char de guerre et de nouvelles techniques de métallurgie. Leur domination marque le début de la Deuxième Période Intermédiaire, une époque de division où la Basse Égypte est sous le joug des Hyksôs, tandis que la Haute Égypte reste partiellement indépendante. Cependant, vers 1550 avant J.-C., un mouvement de résistance s'organise sous l'égide des princes thébains.  Le pharaon Ahmôsis I réussit finalement à expulser les Hyksôs et à réunifier l'Égypte, inaugurant ainsi le Nouvel Empire.  Ce renouveau marque le début d'une période de prospérité, d'expansion militaire et de rayonnement culturel sans précédent. Ainsi, la fin du Moyen Empire, caractérisée par la fragmentation et l'instabilité, pave la voie à une nouvelle ère de puissance et de splendeur sous la XVIIIe dynastie, où des figures emblématiques comme Hatshepsout, Thoutmôsis III et Ramsès II marqueront durablement l'histoire de l'Égypte ancienne, mais ça, c’est une autre histoire … Bibliographie AGUT Damien et MORENO- GARCIA Juan Carlos, L’Egypte des Pharaons, De Narmer à Dioclétien, 3150 av. J-C.-284 apr. J.-C., Paris, Editions Belin, collection « Mondes Anciens », 2016. BLOCH Raymond, HUS Alain, Les conquêtes de l’archéologie, Genève, Editions Famot, « Grandes civilisations disparues », 1976. NORMA Pierre, Dictionnaire historique de l’Egypte, Maxi-Livres, 2005. PERES Anne-Sophie (dir.), Les tout-puissants pharaons du Nouvel Empire, Paris, Editions Atlas, « Passion de l’Egypte », 2003. Emission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ce second épisode sur l’Egypte sous le Moyen Empire revient sur cette période de transition et de bouleversements politiques.  Vers 1800 avant J.-C., sous le règne des derniers pharaons de la XIIe dynastie, l'Égypte connaît une phase de déclin économique et de troubles internes. Les successeurs de Sésostris III et Amenemhat III peinent à maintenir l'unité et le contrôle sur les provinces. Ce climat de fragilité ouvre la voie à l'invasion des Hyksôs, un peuple venu du Levant, qui s'implante dans le delta du Nil et finit par prendre le contrôle de la région. Les Hyksôs introduisent malgré tout des innovations telles que le char de guerre et de nouvelles techniques de métallurgie. Leur domination marque le début de la Deuxième Période Intermédiaire, une époque de division où la Basse Égypte est sous le joug des Hyksôs, tandis que la Haute Égypte reste partiellement indépendante. Cependant, vers 1550 avant J.-C., un mouvement de résistance s'organise sous l'égide des princes thébains.  Le pharaon Ahmôsis I réussit finalement à expulser les Hyksôs et à réunifier l'Égypte, inaugurant ainsi le Nouvel Empire.  Ce renouveau marque le début d'une période de prospérité, d'expansion militaire et de rayonnement culturel sans précédent. Ainsi, la fin du Moyen Empire, caractérisée par la fragmentation et l'instabilité, pave la voie à une nouvelle ère de puissance et de splendeur sous la XVIIIe dynastie, où des figures emblématiques comme Hatshepsout, Thoutmôsis III et Ramsès II marqueront durablement l'histoire de l'Égypte ancienne, mais ça, c’est une autre histoire … Bibliographie AGUT Damien et MORENO- GARCIA Juan Carlos, L’Egypte des Pharaons, De Narmer à Dioclétien, 3150 av. J-C.-284 apr. J.-C., Paris, Editions Belin, collection « Mondes Anciens », 2016. BLOCH Raymond, HUS Alain, Les conquêtes de l’archéologie, Genève, Editions Famot, « Grandes civilisations disparues », 1976. NORMA Pierre, Dictionnaire historique de l’Egypte, Maxi-Livres, 2005. PERES Anne-Sophie (dir.), Les tout-puissants pharaons du Nouvel Empire, Paris, Editions Atlas, « Passion de l’Egypte », 2003. Emission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ce second épisode sur l’Egypte sous le Moyen Empire revient sur cette période de transition et de bouleversements politiques.  Vers 1800 avant J.-C., sous le règne des derniers pharaons de la XIIe dynastie, l'Égypte connaît une phase de déclin économique et de troubles internes. Les successeurs de Sésostris III et Amenemhat III peinent à maintenir l'unité et le contrôle sur les provinces. Ce climat de fragilité ouvre la voie à l'invasion des Hyksôs, un peuple venu du Levant, qui s'implante dans le delta du Nil et finit par prendre le contrôle de la région. Les Hyksôs introduisent malgré tout des innovations telles que le char de guerre et de nouvelles techniques de métallurgie. Leur domination marque le début de la Deuxième Période Intermédiaire, une époque de division où la Basse Égypte est sous le joug des Hyksôs, tandis que la Haute Égypte reste partiellement indépendante. Cependant, vers 1550 avant J.-C., un mouvement de résistance s'organise sous l'égide des princes thébains.  Le pharaon Ahmôsis I réussit finalement à expulser les Hyksôs et à réunifier l'Égypte, inaugurant ainsi le Nouvel Empire.  Ce renouveau marque le début d'une période de prospérité, d'expansion militaire et de rayonnement culturel sans précédent. Ainsi, la fin du Moyen Empire, caractérisée par la fragmentation et l'instabilité, pave la voie à une nouvelle ère de puissance et de splendeur sous la XVIIIe dynastie, où des figures emblématiques comme Hatshepsout, Thoutmôsis III et Ramsès II marqueront durablement l'histoire de l'Égypte ancienne, mais ça, c’est une autre histoire … Bibliographie AGUT Damien et MORENO- GARCIA Juan Carlos, L’Egypte des Pharaons, De Narmer à Dioclétien, 3150 av. J-C.-284 apr. J.-C., Paris, Editions Belin, collection « Mondes Anciens », 2016. BLOCH Raymond, HUS Alain, Les conquêtes de l’archéologie, Genève, Editions Famot, « Grandes civilisations disparues », 1976. NORMA Pierre, Dictionnaire historique de l’Egypte, Maxi-Livres, 2005. PERES Anne-Sophie (dir.), Les tout-puissants pharaons du Nouvel Empire, Paris, Editions Atlas, « Passion de l’Egypte », 2003. Emission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Ce second épisode sur l’Egypte sous le Moyen Empire revient sur cette période de transition et de bouleversements politiques.  Vers 1800 avant J.-C., sous le règne des derniers pharaons de la XIIe dynastie, l'Égypte connaît une phase de déclin économique et de troubles internes. Les successeurs de Sésostris III et Amenemhat III peinent à maintenir l'unité et le contrôle sur les provinces. Ce climat de fragilité ouvre la voie à l'invasion des Hyksôs, un peuple venu du Levant, qui s'implante dans le delta du Nil et finit par prendre le contrôle de la région. Les Hyksôs introduisent malgré tout des innovations telles que le char de guerre et de nouvelles techniques de métallurgie. Leur domination marque le début de la Deuxième Période Intermédiaire, une époque de division où la Basse Égypte est sous le joug des Hyksôs, tandis que la Haute Égypte reste partiellement indépendante. Cependant, vers 1550 avant J.-C., un mouvement de résistance s'organise sous l'égide des princes thébains.  Le pharaon Ahmôsis I réussit finalement à expulser les Hyksôs et à réunifier l'Égypte, inaugurant ainsi le Nouvel Empire.  Ce renouveau marque le début d'une période de prospérité, d'expansion militaire et de rayonnement culturel sans précédent. Ainsi, la fin du Moyen Empire, caractérisée par la fragmentation et l'instabilité, pave la voie à une nouvelle ère de puissance et de splendeur sous la XVIIIe dynastie, où des figures emblématiques comme Hatshepsout, Thoutmôsis III et Ramsès II marqueront durablement l'histoire de l'Égypte ancienne, mais ça, c’est une autre histoire … Bibliographie AGUT Damien et MORENO- GARCIA Juan Carlos, L’Egypte des Pharaons, De Narmer à Dioclétien, 3150 av. J-C.-284 apr. J.-C., Paris, Editions Belin, collection « Mondes Anciens », 2016. BLOCH Raymond, HUS Alain, Les conquêtes de l’archéologie, Genève, Editions Famot, « Grandes civilisations disparues », 1976. NORMA Pierre, Dictionnaire historique de l’Egypte, Maxi-Livres, 2005. PERES Anne-Sophie (dir.), Les tout-puissants pharaons du Nouvel Empire, Paris, Editions Atlas, « Passion de l’Egypte », 2003. Emission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Dans les années 1960, la France a mené une série d'essais nucléaires dans le désert algérien, en pleine guerre d'Algérie. Les autorités françaises ont choisi le Sahara algérien comme site d'essai en raison de son éloignement et de son isolement. Le premier essai nucléaire français a eu lieu le 13 février 1960 à Reggane, suivi de plusieurs autres dans les années qui ont suivi.  Ces tests ont été réalisés principalement pour développer et perfectionner les armes nucléaires françaises dans le cadre de la politique de dissuasion nucléaire de la France, connue sous le nom de "force de frappe". Le chemin menant à Reggane fut long, semé de multiples embûches, notament de nos alliés les plus proches. Mais la France a tenu bon, et fait depuis lors partie des 9 pays sur 165 à détenir la puissance nucléaire, un club très fermé. Grâce à ces efforts, à ceux de centaines d’hommes et de femmes brillants, le parc nucléaire français est aujourd’hui le 2è plus important au monde en puissance, derrière les Etats-Unis… Retour sur ce dernier épisode, qui en appelle bien d’autres, que nous ouvrirons sous peu :) Bibliographie L’aventure de la Bombe, De Gaulle et la dissuasion nucléaire 1958 - 1969 Mirages et réalités. L’arme nucléaire française, Marc Lacoste-Lareymondie La France et la négociation du traité d’Euratom, dans Relations internationales N°44, Pierre Guillen Bombe atomique française et opinion publique internationale, Nicole Denay Le pouvoir et la vie, tome 2, Valéry Giscard d’Estaing

Dans les années 1960, la France a mené une série d'essais nucléaires dans le désert algérien, en pleine guerre d'Algérie. Les autorités françaises ont choisi le Sahara algérien comme site d'essai en raison de son éloignement et de son isolement. Le premier essai nucléaire français a eu lieu le 13 février 1960 à Reggane, suivi de plusieurs autres dans les années qui ont suivi.  Ces tests ont été réalisés principalement pour développer et perfectionner les armes nucléaires françaises dans le cadre de la politique de dissuasion nucléaire de la France, connue sous le nom de "force de frappe". Le chemin menant à Reggane fut long, semé de multiples embûches, notament de nos alliés les plus proches. Mais la France a tenu bon, et fait depuis lors partie des 9 pays sur 165 à détenir la puissance nucléaire, un club très fermé. Grâce à ces efforts, à ceux de centaines d’hommes et de femmes brillants, le parc nucléaire français est aujourd’hui le 2è plus important au monde en puissance, derrière les Etats-Unis… Retour sur ce dernier épisode, qui en appelle bien d’autres, que nous ouvrirons sous peu :) Bibliographie L’aventure de la Bombe, De Gaulle et la dissuasion nucléaire 1958 - 1969 Mirages et réalités. L’arme nucléaire française, Marc Lacoste-Lareymondie La France et la négociation du traité d’Euratom, dans Relations internationales N°44, Pierre Guillen Bombe atomique française et opinion publique internationale, Nicole Denay Le pouvoir et la vie, tome 2, Valéry Giscard d’Estaing

Dans les années 1960, la France a mené une série d'essais nucléaires dans le désert algérien, en pleine guerre d'Algérie. Les autorités françaises ont choisi le Sahara algérien comme site d'essai en raison de son éloignement et de son isolement. Le premier essai nucléaire français a eu lieu le 13 février 1960 à Reggane, suivi de plusieurs autres dans les années qui ont suivi.  Ces tests ont été réalisés principalement pour développer et perfectionner les armes nucléaires françaises dans le cadre de la politique de dissuasion nucléaire de la France, connue sous le nom de "force de frappe". Le chemin menant à Reggane fut long, semé de multiples embûches, notament de nos alliés les plus proches. Mais la France a tenu bon, et fait depuis lors partie des 9 pays sur 165 à détenir la puissance nucléaire, un club très fermé. Grâce à ces efforts, à ceux de centaines d’hommes et de femmes brillants, le parc nucléaire français est aujourd’hui le 2è plus important au monde en puissance, derrière les Etats-Unis… Retour sur ce dernier épisode, qui en appelle bien d’autres, que nous ouvrirons sous peu :) Bibliographie L’aventure de la Bombe, De Gaulle et la dissuasion nucléaire 1958 - 1969 Mirages et réalités. L’arme nucléaire française, Marc Lacoste-Lareymondie La France et la négociation du traité d’Euratom, dans Relations internationales N°44, Pierre Guillen Bombe atomique française et opinion publique internationale, Nicole Denay Le pouvoir et la vie, tome 2, Valéry Giscard d’Estaing

Dans les années 1960, la France a mené une série d'essais nucléaires dans le désert algérien, en pleine guerre d'Algérie. Les autorités françaises ont choisi le Sahara algérien comme site d'essai en raison de son éloignement et de son isolement. Le premier essai nucléaire français a eu lieu le 13 février 1960 à Reggane, suivi de plusieurs autres dans les années qui ont suivi.  Ces tests ont été réalisés principalement pour développer et perfectionner les armes nucléaires françaises dans le cadre de la politique de dissuasion nucléaire de la France, connue sous le nom de "force de frappe". Le chemin menant à Reggane fut long, semé de multiples embûches, notament de nos alliés les plus proches. Mais la France a tenu bon, et fait depuis lors partie des 9 pays sur 165 à détenir la puissance nucléaire, un club très fermé. Grâce à ces efforts, à ceux de centaines d’hommes et de femmes brillants, le parc nucléaire français est aujourd’hui le 2è plus important au monde en puissance, derrière les Etats-Unis… Retour sur ce dernier épisode, qui en appelle bien d’autres, que nous ouvrirons sous peu :) Bibliographie L’aventure de la Bombe, De Gaulle et la dissuasion nucléaire 1958 - 1969 Mirages et réalités. L’arme nucléaire française, Marc Lacoste-Lareymondie La France et la négociation du traité d’Euratom, dans Relations internationales N°44, Pierre Guillen Bombe atomique française et opinion publique internationale, Nicole Denay Le pouvoir et la vie, tome 2, Valéry Giscard d’Estaing

Dans les années 1960, la France a mené une série d'essais nucléaires dans le désert algérien, en pleine guerre d'Algérie. Les autorités françaises ont choisi le Sahara algérien comme site d'essai en raison de son éloignement et de son isolement. Le premier essai nucléaire français a eu lieu le 13 février 1960 à Reggane, suivi de plusieurs autres dans les années qui ont suivi.  Ces tests ont été réalisés principalement pour développer et perfectionner les armes nucléaires françaises dans le cadre de la politique de dissuasion nucléaire de la France, connue sous le nom de "force de frappe". Le chemin menant à Reggane fut long, semé de multiples embûches, notament de nos alliés les plus proches. Mais la France a tenu bon, et fait depuis lors partie des 9 pays sur 165 à détenir la puissance nucléaire, un club très fermé. Grâce à ces efforts, à ceux de centaines d’hommes et de femmes brillants, le parc nucléaire français est aujourd’hui le 2è plus important au monde en puissance, derrière les Etats-Unis… Retour sur ce dernier épisode, qui en appelle bien d’autres, que nous ouvrirons sous peu :) Bibliographie L’aventure de la Bombe, De Gaulle et la dissuasion nucléaire 1958 - 1969 Mirages et réalités. L’arme nucléaire française, Marc Lacoste-Lareymondie La France et la négociation du traité d’Euratom, dans Relations internationales N°44, Pierre Guillen Bombe atomique française et opinion publique internationale, Nicole Denay Le pouvoir et la vie, tome 2, Valéry Giscard d’Estaing

Dans les années 1960, la France a mené une série d'essais nucléaires dans le désert algérien, en pleine guerre d'Algérie. Les autorités françaises ont choisi le Sahara algérien comme site d'essai en raison de son éloignement et de son isolement. Le premier essai nucléaire français a eu lieu le 13 février 1960 à Reggane, suivi de plusieurs autres dans les années qui ont suivi.  Ces tests ont été réalisés principalement pour développer et perfectionner les armes nucléaires françaises dans le cadre de la politique de dissuasion nucléaire de la France, connue sous le nom de "force de frappe". Le chemin menant à Reggane fut long, semé de multiples embûches, notament de nos alliés les plus proches. Mais la France a tenu bon, et fait depuis lors partie des 9 pays sur 165 à détenir la puissance nucléaire, un club très fermé. Grâce à ces efforts, à ceux de centaines d’hommes et de femmes brillants, le parc nucléaire français est aujourd’hui le 2è plus important au monde en puissance, derrière les Etats-Unis… Retour sur ce dernier épisode, qui en appelle bien d’autres, que nous ouvrirons sous peu :) Bibliographie L’aventure de la Bombe, De Gaulle et la dissuasion nucléaire 1958 - 1969 Mirages et réalités. L’arme nucléaire française, Marc Lacoste-Lareymondie La France et la négociation du traité d’Euratom, dans Relations internationales N°44, Pierre Guillen Bombe atomique française et opinion publique internationale, Nicole Denay Le pouvoir et la vie, tome 2, Valéry Giscard d’Estaing

Depuis que les premiers bateaux marchands naviguent sur les eaux méditerranéennes, des brigands avides de richesses les y suivent, cherchant la première occasion de mettre la main sur un trésor.  Embarqués à bord de navires rapides et discrets, ils attaquent aussi bien un bâtiment naval qu’une cité côtière, afin de s’emparer de nourriture, de tissus, de métaux ou même de citoyens destinés à être vendus sur les marchés d’esclaves.  Si une telle pratique est connue aujourd’hui sous le terme de « piraterie », il n’a en fait pas toujours été question d’offensives orchestrées par des hors-la-lois. En vérité, dès la période antique, les états sévissent déjà autant, voire plus, que les brigands indépendants. Si tout commence par des razzias justifiées par des contextes de guerres ouvertes entre deux nations, ces activités continuent de se développer au cours des siècles pour devenir ce que l’on connait maintenant sous le nom de « course ».  Alors : pirates ou corsaires, brigands ou soldats, la piraterie est plus complexe que ne le laissent paraître les ouvrages et films de fiction sur le sujet.  Loin de l’univers de Pirates des Caraïbes ou de L’île au trésor, plongeons nous dans le véritable quotidien des pirates à travers l’histoire et découvrons tous les tenants et aboutissants de cette activité tant fantasmée.  Ecriture : Lucie Devocelle

Depuis que les premiers bateaux marchands naviguent sur les eaux méditerranéennes, des brigands avides de richesses les y suivent, cherchant la première occasion de mettre la main sur un trésor.  Embarqués à bord de navires rapides et discrets, ils attaquent aussi bien un bâtiment naval qu’une cité côtière, afin de s’emparer de nourriture, de tissus, de métaux ou même de citoyens destinés à être vendus sur les marchés d’esclaves.  Si une telle pratique est connue aujourd’hui sous le terme de « piraterie », il n’a en fait pas toujours été question d’offensives orchestrées par des hors-la-lois. En vérité, dès la période antique, les états sévissent déjà autant, voire plus, que les brigands indépendants. Si tout commence par des razzias justifiées par des contextes de guerres ouvertes entre deux nations, ces activités continuent de se développer au cours des siècles pour devenir ce que l’on connait maintenant sous le nom de « course ».  Alors : pirates ou corsaires, brigands ou soldats, la piraterie est plus complexe que ne le laissent paraître les ouvrages et films de fiction sur le sujet.  Loin de l’univers de Pirates des Caraïbes ou de L’île au trésor, plongeons nous dans le véritable quotidien des pirates à travers l’histoire et découvrons tous les tenants et aboutissants de cette activité tant fantasmée.  Ecriture : Lucie Devocelle

Depuis que les premiers bateaux marchands naviguent sur les eaux méditerranéennes, des brigands avides de richesses les y suivent, cherchant la première occasion de mettre la main sur un trésor.  Embarqués à bord de navires rapides et discrets, ils attaquent aussi bien un bâtiment naval qu’une cité côtière, afin de s’emparer de nourriture, de tissus, de métaux ou même de citoyens destinés à être vendus sur les marchés d’esclaves.  Si une telle pratique est connue aujourd’hui sous le terme de « piraterie », il n’a en fait pas toujours été question d’offensives orchestrées par des hors-la-lois. En vérité, dès la période antique, les états sévissent déjà autant, voire plus, que les brigands indépendants. Si tout commence par des razzias justifiées par des contextes de guerres ouvertes entre deux nations, ces activités continuent de se développer au cours des siècles pour devenir ce que l’on connait maintenant sous le nom de « course ».  Alors : pirates ou corsaires, brigands ou soldats, la piraterie est plus complexe que ne le laissent paraître les ouvrages et films de fiction sur le sujet.  Loin de l’univers de Pirates des Caraïbes ou de L’île au trésor, plongeons nous dans le véritable quotidien des pirates à travers l’histoire et découvrons tous les tenants et aboutissants de cette activité tant fantasmée.  Ecriture : Lucie Devocelle

Depuis que les premiers bateaux marchands naviguent sur les eaux méditerranéennes, des brigands avides de richesses les y suivent, cherchant la première occasion de mettre la main sur un trésor.  Embarqués à bord de navires rapides et discrets, ils attaquent aussi bien un bâtiment naval qu’une cité côtière, afin de s’emparer de nourriture, de tissus, de métaux ou même de citoyens destinés à être vendus sur les marchés d’esclaves.  Si une telle pratique est connue aujourd’hui sous le terme de « piraterie », il n’a en fait pas toujours été question d’offensives orchestrées par des hors-la-lois. En vérité, dès la période antique, les états sévissent déjà autant, voire plus, que les brigands indépendants. Si tout commence par des razzias justifiées par des contextes de guerres ouvertes entre deux nations, ces activités continuent de se développer au cours des siècles pour devenir ce que l’on connait maintenant sous le nom de « course ».  Alors : pirates ou corsaires, brigands ou soldats, la piraterie est plus complexe que ne le laissent paraître les ouvrages et films de fiction sur le sujet.  Loin de l’univers de Pirates des Caraïbes ou de L’île au trésor, plongeons nous dans le véritable quotidien des pirates à travers l’histoire et découvrons tous les tenants et aboutissants de cette activité tant fantasmée.  Ecriture : Lucie Devocelle

Depuis que les premiers bateaux marchands naviguent sur les eaux méditerranéennes, des brigands avides de richesses les y suivent, cherchant la première occasion de mettre la main sur un trésor.  Embarqués à bord de navires rapides et discrets, ils attaquent aussi bien un bâtiment naval qu’une cité côtière, afin de s’emparer de nourriture, de tissus, de métaux ou même de citoyens destinés à être vendus sur les marchés d’esclaves.  Si une telle pratique est connue aujourd’hui sous le terme de « piraterie », il n’a en fait pas toujours été question d’offensives orchestrées par des hors-la-lois. En vérité, dès la période antique, les états sévissent déjà autant, voire plus, que les brigands indépendants. Si tout commence par des razzias justifiées par des contextes de guerres ouvertes entre deux nations, ces activités continuent de se développer au cours des siècles pour devenir ce que l’on connait maintenant sous le nom de « course ».  Alors : pirates ou corsaires, brigands ou soldats, la piraterie est plus complexe que ne le laissent paraître les ouvrages et films de fiction sur le sujet.  Loin de l’univers de Pirates des Caraïbes ou de L’île au trésor, plongeons nous dans le véritable quotidien des pirates à travers l’histoire et découvrons tous les tenants et aboutissants de cette activité tant fantasmée.  Ecriture : Lucie Devocelle

Depuis que les premiers bateaux marchands naviguent sur les eaux méditerranéennes, des brigands avides de richesses les y suivent, cherchant la première occasion de mettre la main sur un trésor.  Embarqués à bord de navires rapides et discrets, ils attaquent aussi bien un bâtiment naval qu’une cité côtière, afin de s’emparer de nourriture, de tissus, de métaux ou même de citoyens destinés à être vendus sur les marchés d’esclaves.  Si une telle pratique est connue aujourd’hui sous le terme de « piraterie », il n’a en fait pas toujours été question d’offensives orchestrées par des hors-la-lois. En vérité, dès la période antique, les états sévissent déjà autant, voire plus, que les brigands indépendants. Si tout commence par des razzias justifiées par des contextes de guerres ouvertes entre deux nations, ces activités continuent de se développer au cours des siècles pour devenir ce que l’on connait maintenant sous le nom de « course ».  Alors : pirates ou corsaires, brigands ou soldats, la piraterie est plus complexe que ne le laissent paraître les ouvrages et films de fiction sur le sujet.  Loin de l’univers de Pirates des Caraïbes ou de L’île au trésor, plongeons nous dans le véritable quotidien des pirates à travers l’histoire et découvrons tous les tenants et aboutissants de cette activité tant fantasmée.  Ecriture : Lucie Devocelle

Retracer en détail l’histoire du Moyen Empire demeure, encore aujourd’hui, une tâche malaisée, car les sources épigraphiques concernant cette période sont moins abondantes et moins riches que pour le IIIe millénaire. Quant aux vestiges archéologiques, ils sont peu nombreux et bien plus modestes que ceux laissés par les rois memphites.  Cette période de l’histoire égyptienne est souvent présentée comme l’une des plus brillantes de la monarchie pharaonique. La culture classique, qui va dominer la civilisation égyptienne tout au long du IIe millénaire, se construit et s’affine. Cette affirmation est vraie pour la littérature et les arts. En revanche, elle est à nuancer en ce qui concernant l’histoire politique. L’étude des données archéologiques et épigraphiques nous donne à voir plutôt un Etat vacillant, aux bases fragiles.  Une nouvelle dynastie parvient à réunifier le pays et à restaurer le pouvoir royale. Cependant, les nouveaux maîtres du pays ne sont pas aussi puissants que les rois de l’Ancien Empire. Leur emprise est limitée, et la plupart des ressources économiques leur échappe complètement. Ils sont contraints de s’appuyer sur les potentats provinciaux, qui contrôlent les routes commerciales qui relient l’Egypte aux marchés méditerranéen et orientaux. Si certains pharaons réussissent, un temps, à rendre un peu de souffle au pouvoir royal, ils ne pourront éviter le déclin de la monarchie, et empêcher le pays de sombrer dans une nouvelle période de chaos.  Episode #1 - Une Monarchie vacillante

Retracer en détail l’histoire du Moyen Empire demeure, encore aujourd’hui, une tâche malaisée, car les sources épigraphiques concernant cette période sont moins abondantes et moins riches que pour le IIIe millénaire. Quant aux vestiges archéologiques, ils sont peu nombreux et bien plus modestes que ceux laissés par les rois memphites.  Cette période de l’histoire égyptienne est souvent présentée comme l’une des plus brillantes de la monarchie pharaonique. La culture classique, qui va dominer la civilisation égyptienne tout au long du IIe millénaire, se construit et s’affine. Cette affirmation est vraie pour la littérature et les arts. En revanche, elle est à nuancer en ce qui concernant l’histoire politique. L’étude des données archéologiques et épigraphiques nous donne à voir plutôt un Etat vacillant, aux bases fragiles.  Une nouvelle dynastie parvient à réunifier le pays et à restaurer le pouvoir royale. Cependant, les nouveaux maîtres du pays ne sont pas aussi puissants que les rois de l’Ancien Empire. Leur emprise est limitée, et la plupart des ressources économiques leur échappe complètement. Ils sont contraints de s’appuyer sur les potentats provinciaux, qui contrôlent les routes commerciales qui relient l’Egypte aux marchés méditerranéen et orientaux. Si certains pharaons réussissent, un temps, à rendre un peu de souffle au pouvoir royal, ils ne pourront éviter le déclin de la monarchie, et empêcher le pays de sombrer dans une nouvelle période de chaos.  Episode #1 - Une Monarchie vacillante

Retracer en détail l’histoire du Moyen Empire demeure, encore aujourd’hui, une tâche malaisée, car les sources épigraphiques concernant cette période sont moins abondantes et moins riches que pour le IIIe millénaire. Quant aux vestiges archéologiques, ils sont peu nombreux et bien plus modestes que ceux laissés par les rois memphites.  Cette période de l’histoire égyptienne est souvent présentée comme l’une des plus brillantes de la monarchie pharaonique. La culture classique, qui va dominer la civilisation égyptienne tout au long du IIe millénaire, se construit et s’affine. Cette affirmation est vraie pour la littérature et les arts. En revanche, elle est à nuancer en ce qui concernant l’histoire politique. L’étude des données archéologiques et épigraphiques nous donne à voir plutôt un Etat vacillant, aux bases fragiles.  Une nouvelle dynastie parvient à réunifier le pays et à restaurer le pouvoir royale. Cependant, les nouveaux maîtres du pays ne sont pas aussi puissants que les rois de l’Ancien Empire. Leur emprise est limitée, et la plupart des ressources économiques leur échappe complètement. Ils sont contraints de s’appuyer sur les potentats provinciaux, qui contrôlent les routes commerciales qui relient l’Egypte aux marchés méditerranéen et orientaux. Si certains pharaons réussissent, un temps, à rendre un peu de souffle au pouvoir royal, ils ne pourront éviter le déclin de la monarchie, et empêcher le pays de sombrer dans une nouvelle période de chaos.  Episode #1 - Une Monarchie vacillante

Retracer en détail l’histoire du Moyen Empire demeure, encore aujourd’hui, une tâche malaisée, car les sources épigraphiques concernant cette période sont moins abondantes et moins riches que pour le IIIe millénaire. Quant aux vestiges archéologiques, ils sont peu nombreux et bien plus modestes que ceux laissés par les rois memphites.  Cette période de l’histoire égyptienne est souvent présentée comme l’une des plus brillantes de la monarchie pharaonique. La culture classique, qui va dominer la civilisation égyptienne tout au long du IIe millénaire, se construit et s’affine. Cette affirmation est vraie pour la littérature et les arts. En revanche, elle est à nuancer en ce qui concernant l’histoire politique. L’étude des données archéologiques et épigraphiques nous donne à voir plutôt un Etat vacillant, aux bases fragiles.  Une nouvelle dynastie parvient à réunifier le pays et à restaurer le pouvoir royale. Cependant, les nouveaux maîtres du pays ne sont pas aussi puissants que les rois de l’Ancien Empire. Leur emprise est limitée, et la plupart des ressources économiques leur échappe complètement. Ils sont contraints de s’appuyer sur les potentats provinciaux, qui contrôlent les routes commerciales qui relient l’Egypte aux marchés méditerranéen et orientaux. Si certains pharaons réussissent, un temps, à rendre un peu de souffle au pouvoir royal, ils ne pourront éviter le déclin de la monarchie, et empêcher le pays de sombrer dans une nouvelle période de chaos.  Episode #1 - Une Monarchie vacillante

Retracer en détail l’histoire du Moyen Empire demeure, encore aujourd’hui, une tâche malaisée, car les sources épigraphiques concernant cette période sont moins abondantes et moins riches que pour le IIIe millénaire. Quant aux vestiges archéologiques, ils sont peu nombreux et bien plus modestes que ceux laissés par les rois memphites.  Cette période de l’histoire égyptienne est souvent présentée comme l’une des plus brillantes de la monarchie pharaonique. La culture classique, qui va dominer la civilisation égyptienne tout au long du IIe millénaire, se construit et s’affine. Cette affirmation est vraie pour la littérature et les arts. En revanche, elle est à nuancer en ce qui concernant l’histoire politique. L’étude des données archéologiques et épigraphiques nous donne à voir plutôt un Etat vacillant, aux bases fragiles.  Une nouvelle dynastie parvient à réunifier le pays et à restaurer le pouvoir royale. Cependant, les nouveaux maîtres du pays ne sont pas aussi puissants que les rois de l’Ancien Empire. Leur emprise est limitée, et la plupart des ressources économiques leur échappe complètement. Ils sont contraints de s’appuyer sur les potentats provinciaux, qui contrôlent les routes commerciales qui relient l’Egypte aux marchés méditerranéen et orientaux. Si certains pharaons réussissent, un temps, à rendre un peu de souffle au pouvoir royal, ils ne pourront éviter le déclin de la monarchie, et empêcher le pays de sombrer dans une nouvelle période de chaos.  Episode #1 - Une Monarchie vacillante

Retracer en détail l’histoire du Moyen Empire demeure, encore aujourd’hui, une tâche malaisée, car les sources épigraphiques concernant cette période sont moins abondantes et moins riches que pour le IIIe millénaire. Quant aux vestiges archéologiques, ils sont peu nombreux et bien plus modestes que ceux laissés par les rois memphites.  Cette période de l’histoire égyptienne est souvent présentée comme l’une des plus brillantes de la monarchie pharaonique. La culture classique, qui va dominer la civilisation égyptienne tout au long du IIe millénaire, se construit et s’affine. Cette affirmation est vraie pour la littérature et les arts. En revanche, elle est à nuancer en ce qui concernant l’histoire politique. L’étude des données archéologiques et épigraphiques nous donne à voir plutôt un Etat vacillant, aux bases fragiles.  Une nouvelle dynastie parvient à réunifier le pays et à restaurer le pouvoir royale. Cependant, les nouveaux maîtres du pays ne sont pas aussi puissants que les rois de l’Ancien Empire. Leur emprise est limitée, et la plupart des ressources économiques leur échappe complètement. Ils sont contraints de s’appuyer sur les potentats provinciaux, qui contrôlent les routes commerciales qui relient l’Egypte aux marchés méditerranéen et orientaux. Si certains pharaons réussissent, un temps, à rendre un peu de souffle au pouvoir royal, ils ne pourront éviter le déclin de la monarchie, et empêcher le pays de sombrer dans une nouvelle période de chaos.  Episode #1 - Une Monarchie vacillante

Dans ce deuxième épisode, nous voyons que dans la période qui suit la Seconde Guerre mondiale, la France est en proie à une reconstruction post-conflit, tout en se positionnant sur l'échiquier mondial en tant que puissance. La découverte et l'utilisation de la bombe atomique par les États-Unis en 1945 ont profondément marqué la conscience mondiale, et la France n'a pas tardé à suivre cette voie. En effet, dès la fin de la guerre, la France se lance dans des recherches nucléaires ambitieuses. Sous la direction de scientifiques éminents tels que Frédéric Joliot-Curie, la France s'est engagée dans le développement de son propre programme nucléaire, en grande partie pour des raisons de prestige national et de sécurité nationale. En 1945, sous l’impulsion du Général de Gaulle, le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) est créé pour superviser les recherches nucléaires en France. Cette agence gouvernementale joue un rôle central dans le développement de la bombe atomique française, coordonnant les efforts des scientifiques et des ingénieurs. Cependant, cette période est également marquée par des tensions internationales, en particulier avec les États-Unis. Malgré une alliance pendant la Seconde Guerre mondiale, la France commence à exprimer son désir de plus d'indépendance politique et militaire vis-à-vis des États-Unis. Cette volonté d'indépendance se manifeste notamment par le rejet de la Communauté européenne de défense (CED) en 1954, un projet de défense collective européenne soutenu par les États-Unis mais rejeté par la France, en grande partie en raison de préoccupations liées à sa souveraineté nationale. Parallèlement, les États-Unis surveillent de près les progrès du programme nucléaire français et s'efforcent parfois de freiner son développement. L'ingérence américaine, qu'elle soit directe ou indirecte, est souvent perçue comme une menace à l'autonomie stratégique de la France. En somme, la période 1945-1955 est une période charnière pour la France, marquée par la naissance de sa bombe atomique, la création du CEA, le rejet de la CED et les tensions croissantes avec les États-Unis, qui reflètent les luttes pour l'indépendance et le prestige national dans le contexte de l'après-guerre.

Dans ce deuxième épisode, nous voyons que dans la période qui suit la Seconde Guerre mondiale, la France est en proie à une reconstruction post-conflit, tout en se positionnant sur l'échiquier mondial en tant que puissance. La découverte et l'utilisation de la bombe atomique par les États-Unis en 1945 ont profondément marqué la conscience mondiale, et la France n'a pas tardé à suivre cette voie. En effet, dès la fin de la guerre, la France se lance dans des recherches nucléaires ambitieuses. Sous la direction de scientifiques éminents tels que Frédéric Joliot-Curie, la France s'est engagée dans le développement de son propre programme nucléaire, en grande partie pour des raisons de prestige national et de sécurité nationale. En 1945, sous l’impulsion du Général de Gaulle, le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) est créé pour superviser les recherches nucléaires en France. Cette agence gouvernementale joue un rôle central dans le développement de la bombe atomique française, coordonnant les efforts des scientifiques et des ingénieurs. Cependant, cette période est également marquée par des tensions internationales, en particulier avec les États-Unis. Malgré une alliance pendant la Seconde Guerre mondiale, la France commence à exprimer son désir de plus d'indépendance politique et militaire vis-à-vis des États-Unis. Cette volonté d'indépendance se manifeste notamment par le rejet de la Communauté européenne de défense (CED) en 1954, un projet de défense collective européenne soutenu par les États-Unis mais rejeté par la France, en grande partie en raison de préoccupations liées à sa souveraineté nationale. Parallèlement, les États-Unis surveillent de près les progrès du programme nucléaire français et s'efforcent parfois de freiner son développement. L'ingérence américaine, qu'elle soit directe ou indirecte, est souvent perçue comme une menace à l'autonomie stratégique de la France. En somme, la période 1945-1955 est une période charnière pour la France, marquée par la naissance de sa bombe atomique, la création du CEA, le rejet de la CED et les tensions croissantes avec les États-Unis, qui reflètent les luttes pour l'indépendance et le prestige national dans le contexte de l'après-guerre.

Dans ce deuxième épisode, nous voyons que dans la période qui suit la Seconde Guerre mondiale, la France est en proie à une reconstruction post-conflit, tout en se positionnant sur l'échiquier mondial en tant que puissance. La découverte et l'utilisation de la bombe atomique par les États-Unis en 1945 ont profondément marqué la conscience mondiale, et la France n'a pas tardé à suivre cette voie. En effet, dès la fin de la guerre, la France se lance dans des recherches nucléaires ambitieuses. Sous la direction de scientifiques éminents tels que Frédéric Joliot-Curie, la France s'est engagée dans le développement de son propre programme nucléaire, en grande partie pour des raisons de prestige national et de sécurité nationale. En 1945, sous l’impulsion du Général de Gaulle, le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) est créé pour superviser les recherches nucléaires en France. Cette agence gouvernementale joue un rôle central dans le développement de la bombe atomique française, coordonnant les efforts des scientifiques et des ingénieurs. Cependant, cette période est également marquée par des tensions internationales, en particulier avec les États-Unis. Malgré une alliance pendant la Seconde Guerre mondiale, la France commence à exprimer son désir de plus d'indépendance politique et militaire vis-à-vis des États-Unis. Cette volonté d'indépendance se manifeste notamment par le rejet de la Communauté européenne de défense (CED) en 1954, un projet de défense collective européenne soutenu par les États-Unis mais rejeté par la France, en grande partie en raison de préoccupations liées à sa souveraineté nationale. Parallèlement, les États-Unis surveillent de près les progrès du programme nucléaire français et s'efforcent parfois de freiner son développement. L'ingérence américaine, qu'elle soit directe ou indirecte, est souvent perçue comme une menace à l'autonomie stratégique de la France. En somme, la période 1945-1955 est une période charnière pour la France, marquée par la naissance de sa bombe atomique, la création du CEA, le rejet de la CED et les tensions croissantes avec les États-Unis, qui reflètent les luttes pour l'indépendance et le prestige national dans le contexte de l'après-guerre.

Dans ce deuxième épisode, nous voyons que dans la période qui suit la Seconde Guerre mondiale, la France est en proie à une reconstruction post-conflit, tout en se positionnant sur l'échiquier mondial en tant que puissance. La découverte et l'utilisation de la bombe atomique par les États-Unis en 1945 ont profondément marqué la conscience mondiale, et la France n'a pas tardé à suivre cette voie. En effet, dès la fin de la guerre, la France se lance dans des recherches nucléaires ambitieuses. Sous la direction de scientifiques éminents tels que Frédéric Joliot-Curie, la France s'est engagée dans le développement de son propre programme nucléaire, en grande partie pour des raisons de prestige national et de sécurité nationale. En 1945, sous l’impulsion du Général de Gaulle, le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) est créé pour superviser les recherches nucléaires en France. Cette agence gouvernementale joue un rôle central dans le développement de la bombe atomique française, coordonnant les efforts des scientifiques et des ingénieurs. Cependant, cette période est également marquée par des tensions internationales, en particulier avec les États-Unis. Malgré une alliance pendant la Seconde Guerre mondiale, la France commence à exprimer son désir de plus d'indépendance politique et militaire vis-à-vis des États-Unis. Cette volonté d'indépendance se manifeste notamment par le rejet de la Communauté européenne de défense (CED) en 1954, un projet de défense collective européenne soutenu par les États-Unis mais rejeté par la France, en grande partie en raison de préoccupations liées à sa souveraineté nationale. Parallèlement, les États-Unis surveillent de près les progrès du programme nucléaire français et s'efforcent parfois de freiner son développement. L'ingérence américaine, qu'elle soit directe ou indirecte, est souvent perçue comme une menace à l'autonomie stratégique de la France. En somme, la période 1945-1955 est une période charnière pour la France, marquée par la naissance de sa bombe atomique, la création du CEA, le rejet de la CED et les tensions croissantes avec les États-Unis, qui reflètent les luttes pour l'indépendance et le prestige national dans le contexte de l'après-guerre.

Dans ce deuxième épisode, nous voyons que dans la période qui suit la Seconde Guerre mondiale, la France est en proie à une reconstruction post-conflit, tout en se positionnant sur l'échiquier mondial en tant que puissance. La découverte et l'utilisation de la bombe atomique par les États-Unis en 1945 ont profondément marqué la conscience mondiale, et la France n'a pas tardé à suivre cette voie. En effet, dès la fin de la guerre, la France se lance dans des recherches nucléaires ambitieuses. Sous la direction de scientifiques éminents tels que Frédéric Joliot-Curie, la France s'est engagée dans le développement de son propre programme nucléaire, en grande partie pour des raisons de prestige national et de sécurité nationale. En 1945, sous l’impulsion du Général de Gaulle, le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) est créé pour superviser les recherches nucléaires en France. Cette agence gouvernementale joue un rôle central dans le développement de la bombe atomique française, coordonnant les efforts des scientifiques et des ingénieurs. Cependant, cette période est également marquée par des tensions internationales, en particulier avec les États-Unis. Malgré une alliance pendant la Seconde Guerre mondiale, la France commence à exprimer son désir de plus d'indépendance politique et militaire vis-à-vis des États-Unis. Cette volonté d'indépendance se manifeste notamment par le rejet de la Communauté européenne de défense (CED) en 1954, un projet de défense collective européenne soutenu par les États-Unis mais rejeté par la France, en grande partie en raison de préoccupations liées à sa souveraineté nationale. Parallèlement, les États-Unis surveillent de près les progrès du programme nucléaire français et s'efforcent parfois de freiner son développement. L'ingérence américaine, qu'elle soit directe ou indirecte, est souvent perçue comme une menace à l'autonomie stratégique de la France. En somme, la période 1945-1955 est une période charnière pour la France, marquée par la naissance de sa bombe atomique, la création du CEA, le rejet de la CED et les tensions croissantes avec les États-Unis, qui reflètent les luttes pour l'indépendance et le prestige national dans le contexte de l'après-guerre.

Dans ce deuxième épisode, nous voyons que dans la période qui suit la Seconde Guerre mondiale, la France est en proie à une reconstruction post-conflit, tout en se positionnant sur l'échiquier mondial en tant que puissance. La découverte et l'utilisation de la bombe atomique par les États-Unis en 1945 ont profondément marqué la conscience mondiale, et la France n'a pas tardé à suivre cette voie. En effet, dès la fin de la guerre, la France se lance dans des recherches nucléaires ambitieuses. Sous la direction de scientifiques éminents tels que Frédéric Joliot-Curie, la France s'est engagée dans le développement de son propre programme nucléaire, en grande partie pour des raisons de prestige national et de sécurité nationale. En 1945, sous l’impulsion du Général de Gaulle, le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) est créé pour superviser les recherches nucléaires en France. Cette agence gouvernementale joue un rôle central dans le développement de la bombe atomique française, coordonnant les efforts des scientifiques et des ingénieurs. Cependant, cette période est également marquée par des tensions internationales, en particulier avec les États-Unis. Malgré une alliance pendant la Seconde Guerre mondiale, la France commence à exprimer son désir de plus d'indépendance politique et militaire vis-à-vis des États-Unis. Cette volonté d'indépendance se manifeste notamment par le rejet de la Communauté européenne de défense (CED) en 1954, un projet de défense collective européenne soutenu par les États-Unis mais rejeté par la France, en grande partie en raison de préoccupations liées à sa souveraineté nationale. Parallèlement, les États-Unis surveillent de près les progrès du programme nucléaire français et s'efforcent parfois de freiner son développement. L'ingérence américaine, qu'elle soit directe ou indirecte, est souvent perçue comme une menace à l'autonomie stratégique de la France. En somme, la période 1945-1955 est une période charnière pour la France, marquée par la naissance de sa bombe atomique, la création du CEA, le rejet de la CED et les tensions croissantes avec les États-Unis, qui reflètent les luttes pour l'indépendance et le prestige national dans le contexte de l'après-guerre.

L'histoire de la bombe atomique française est un récit complexe et fascinant qui s'inscrit dans le contexte tumultueux de la Seconde Guerre mondiale, car en effet, les vraies recherches pratiques sur l’énergie nucléaire commencèrent en France dès la fin août 1939. Dans ce premier épisode, nous allons donc explorer les origines, les développements et les implications de l'aventure de la bombe atomique française au cours de la période allant de 1939 à 1945. Bien que les progrès de nos scientifiques aient été entravés par de nombreux obstacles, cette période a posé les bases d'une aventure qui allait se poursuivre bien au-delà de la fin de la Seconde Guerre mondiale, marquant ainsi le début d'une nouvelle ère dans les relations internationales et la stratégie de défense. Dans cet épisode, nous verrons que nos amis ne le furent pas toujours, que les jeux de dupes furent monnaie courante, et que, finalement, quoi qu’on ait longtemps cru, l’Allemagne nazie était très loin de posséder La Bombe.

L'histoire de la bombe atomique française est un récit complexe et fascinant qui s'inscrit dans le contexte tumultueux de la Seconde Guerre mondiale, car en effet, les vraies recherches pratiques sur l’énergie nucléaire commencèrent en France dès la fin août 1939. Dans ce premier épisode, nous allons donc explorer les origines, les développements et les implications de l'aventure de la bombe atomique française au cours de la période allant de 1939 à 1945. Bien que les progrès de nos scientifiques aient été entravés par de nombreux obstacles, cette période a posé les bases d'une aventure qui allait se poursuivre bien au-delà de la fin de la Seconde Guerre mondiale, marquant ainsi le début d'une nouvelle ère dans les relations internationales et la stratégie de défense. Dans cet épisode, nous verrons que nos amis ne le furent pas toujours, que les jeux de dupes furent monnaie courante, et que, finalement, quoi qu’on ait longtemps cru, l’Allemagne nazie était très loin de posséder La Bombe.

L'histoire de la bombe atomique française est un récit complexe et fascinant qui s'inscrit dans le contexte tumultueux de la Seconde Guerre mondiale, car en effet, les vraies recherches pratiques sur l’énergie nucléaire commencèrent en France dès la fin août 1939. Dans ce premier épisode, nous allons donc explorer les origines, les développements et les implications de l'aventure de la bombe atomique française au cours de la période allant de 1939 à 1945. Bien que les progrès de nos scientifiques aient été entravés par de nombreux obstacles, cette période a posé les bases d'une aventure qui allait se poursuivre bien au-delà de la fin de la Seconde Guerre mondiale, marquant ainsi le début d'une nouvelle ère dans les relations internationales et la stratégie de défense. Dans cet épisode, nous verrons que nos amis ne le furent pas toujours, que les jeux de dupes furent monnaie courante, et que, finalement, quoi qu’on ait longtemps cru, l’Allemagne nazie était très loin de posséder La Bombe.

L'histoire de la bombe atomique française est un récit complexe et fascinant qui s'inscrit dans le contexte tumultueux de la Seconde Guerre mondiale, car en effet, les vraies recherches pratiques sur l’énergie nucléaire commencèrent en France dès la fin août 1939. Dans ce premier épisode, nous allons donc explorer les origines, les développements et les implications de l'aventure de la bombe atomique française au cours de la période allant de 1939 à 1945. Bien que les progrès de nos scientifiques aient été entravés par de nombreux obstacles, cette période a posé les bases d'une aventure qui allait se poursuivre bien au-delà de la fin de la Seconde Guerre mondiale, marquant ainsi le début d'une nouvelle ère dans les relations internationales et la stratégie de défense. Dans cet épisode, nous verrons que nos amis ne le furent pas toujours, que les jeux de dupes furent monnaie courante, et que, finalement, quoi qu’on ait longtemps cru, l’Allemagne nazie était très loin de posséder La Bombe.

L'histoire de la bombe atomique française est un récit complexe et fascinant qui s'inscrit dans le contexte tumultueux de la Seconde Guerre mondiale, car en effet, les vraies recherches pratiques sur l’énergie nucléaire commencèrent en France dès la fin août 1939. Dans ce premier épisode, nous allons donc explorer les origines, les développements et les implications de l'aventure de la bombe atomique française au cours de la période allant de 1939 à 1945. Bien que les progrès de nos scientifiques aient été entravés par de nombreux obstacles, cette période a posé les bases d'une aventure qui allait se poursuivre bien au-delà de la fin de la Seconde Guerre mondiale, marquant ainsi le début d'une nouvelle ère dans les relations internationales et la stratégie de défense. Dans cet épisode, nous verrons que nos amis ne le furent pas toujours, que les jeux de dupes furent monnaie courante, et que, finalement, quoi qu’on ait longtemps cru, l’Allemagne nazie était très loin de posséder La Bombe.

L'histoire de la bombe atomique française est un récit complexe et fascinant qui s'inscrit dans le contexte tumultueux de la Seconde Guerre mondiale, car en effet, les vraies recherches pratiques sur l’énergie nucléaire commencèrent en France dès la fin août 1939. Dans ce premier épisode, nous allons donc explorer les origines, les développements et les implications de l'aventure de la bombe atomique française au cours de la période allant de 1939 à 1945. Bien que les progrès de nos scientifiques aient été entravés par de nombreux obstacles, cette période a posé les bases d'une aventure qui allait se poursuivre bien au-delà de la fin de la Seconde Guerre mondiale, marquant ainsi le début d'une nouvelle ère dans les relations internationales et la stratégie de défense. Dans cet épisode, nous verrons que nos amis ne le furent pas toujours, que les jeux de dupes furent monnaie courante, et que, finalement, quoi qu’on ait longtemps cru, l’Allemagne nazie était très loin de posséder La Bombe.

Pendant deux siècles, le Japon a connu une période pour le moins étonnante, durant laquelle un gouvernement de guerrier a régné sur une nation en paix. Il s’agit là d’une époque charnière pour l’archipel nippone, qui constitue la transition entre le monde féodal japonais et la modernisation fulgurante que le pays a connu pendant l’ère Meiji.  Les guerriers se reconvertissent en fonctionnaires, les provinces retrouvent (presque) un climat de paix et les villes se développent en un rien de temps autour des résidences des anciens seigneurs de guerre, entrainant dans leur expansion celle du commerce et de la culture.  La civilisation nippone se cristallise alors autour d’une idée d’« âme japonaise ». Elle se détache ainsi un peu de ses origines chinoises, au moment même où l’archipel entre dans une période d’isolationnisme.  Bref, la période d’Edo est un tournant majeur de l’histoire japonaise, et nous allons la traverser ensemble aujourd’hui… Écriture : Lucie Devocelle  Bibliographie :  - Le Japon d’Edo, François et Mieko Macé, Les Belles Lettres, 2009 - Histoire des samouraïs, Les guerriers dans la rizière, Pierre-François Souyri, Flammarion, 2024

Pendant deux siècles, le Japon a connu une période pour le moins étonnante, durant laquelle un gouvernement de guerrier a régné sur une nation en paix. Il s’agit là d’une époque charnière pour l’archipel nippone, qui constitue la transition entre le monde féodal japonais et la modernisation fulgurante que le pays a connu pendant l’ère Meiji.  Les guerriers se reconvertissent en fonctionnaires, les provinces retrouvent (presque) un climat de paix et les villes se développent en un rien de temps autour des résidences des anciens seigneurs de guerre, entrainant dans leur expansion celle du commerce et de la culture.  La civilisation nippone se cristallise alors autour d’une idée d’« âme japonaise ». Elle se détache ainsi un peu de ses origines chinoises, au moment même où l’archipel entre dans une période d’isolationnisme.  Bref, la période d’Edo est un tournant majeur de l’histoire japonaise, et nous allons la traverser ensemble aujourd’hui… Écriture : Lucie Devocelle  Bibliographie :  - Le Japon d’Edo, François et Mieko Macé, Les Belles Lettres, 2009 - Histoire des samouraïs, Les guerriers dans la rizière, Pierre-François Souyri, Flammarion, 2024

Pendant deux siècles, le Japon a connu une période pour le moins étonnante, durant laquelle un gouvernement de guerrier a régné sur une nation en paix. Il s’agit là d’une époque charnière pour l’archipel nippone, qui constitue la transition entre le monde féodal japonais et la modernisation fulgurante que le pays a connu pendant l’ère Meiji.  Les guerriers se reconvertissent en fonctionnaires, les provinces retrouvent (presque) un climat de paix et les villes se développent en un rien de temps autour des résidences des anciens seigneurs de guerre, entrainant dans leur expansion celle du commerce et de la culture.  La civilisation nippone se cristallise alors autour d’une idée d’« âme japonaise ». Elle se détache ainsi un peu de ses origines chinoises, au moment même où l’archipel entre dans une période d’isolationnisme.  Bref, la période d’Edo est un tournant majeur de l’histoire japonaise, et nous allons la traverser ensemble aujourd’hui… Écriture : Lucie Devocelle  Bibliographie :  - Le Japon d’Edo, François et Mieko Macé, Les Belles Lettres, 2009 - Histoire des samouraïs, Les guerriers dans la rizière, Pierre-François Souyri, Flammarion, 2024

Pendant deux siècles, le Japon a connu une période pour le moins étonnante, durant laquelle un gouvernement de guerrier a régné sur une nation en paix. Il s’agit là d’une époque charnière pour l’archipel nippone, qui constitue la transition entre le monde féodal japonais et la modernisation fulgurante que le pays a connu pendant l’ère Meiji.  Les guerriers se reconvertissent en fonctionnaires, les provinces retrouvent (presque) un climat de paix et les villes se développent en un rien de temps autour des résidences des anciens seigneurs de guerre, entrainant dans leur expansion celle du commerce et de la culture.  La civilisation nippone se cristallise alors autour d’une idée d’« âme japonaise ». Elle se détache ainsi un peu de ses origines chinoises, au moment même où l’archipel entre dans une période d’isolationnisme.  Bref, la période d’Edo est un tournant majeur de l’histoire japonaise, et nous allons la traverser ensemble aujourd’hui… Écriture : Lucie Devocelle  Bibliographie :  - Le Japon d’Edo, François et Mieko Macé, Les Belles Lettres, 2009 - Histoire des samouraïs, Les guerriers dans la rizière, Pierre-François Souyri, Flammarion, 2024

Louise Michel est d'abord un nom, celui que portent 190 établissements scolaires de France et bien davantage encore de rues. Un nom idolâtré par la gauche, détesté par la droite, mais dont l'histoire reste méconnue.  Avec le talent qu'on lui connaît, Marie-Hélène Baylac est partie sur les traces de l'anarchiste la plus célèbre de France. Née à Vroncourt-la-Côte en 1830, d'une servante abusée par son châtelain, Louise est élevée comme " une demoiselle ", et, devenue institutrice, elle monte à Paris à l'âge de 26 ans. Dès lors, sa vie se confond avec la quête d'une société plus juste. Elle fréquente les milieux républicains, s'investit dans l'éducation populaire et pour l'émancipation des femmes, fait ses premières armes de militante socialiste. La guerre franco-prussienne de 1870 puis la Commune révèlent une combattante intrépide. Elle y perd l'amour de sa vie, Théophile Ferré, mais son courage et sa fierté la transforment en icône. Déportée en Nouvelle-Calédonie, Louise est l'une des premières à s'intéresser à la nature et à la culture kanak. Elle y puise une source d'inspiration qui parcourra toute son œuvre littéraire. À son retour à Paris, en 1880, les foules se pressent pour entendre la Vierge rouge, désormais convaincue qu'il n'est de solution à la misère et aux injustices que dans l'abolition brutale de l'État. Pendant un quart de siècle, oratrice infatigable autant qu'écrivaine prolifique, elle tient la police en haleine, multiplie les séjours en prison, se réfugie à Londres. Son chemin croise les grandes crises de la Troisième République, du boulangisme à l'affaire Dreyfus. Elle côtoie les figures majeures de la pensée révolutionnaire internationale – Blanqui, Kropotkine, Malatesta... – et les ténors de la vie politique : Clemenceau, les Jules – Favre, Simon, Guesde, Ferry, etc. Quand elle meurt à Marseille, début 1905, au retour d'une tournée en Algérie, la presse s'incline devant la dernière des romantiques, reconnaissant qu'elle force le respect de tous, y compris de ceux qui combattent ses idées. En compagnie de l'historienne Marie-Hélène Baylac, auteur de l'excellent Louise Michel chez Perrin,  nous revenons sur ce personnage important de notre Histoire.

Louise Michel est d'abord un nom, celui que portent 190 établissements scolaires de France et bien davantage encore de rues. Un nom idolâtré par la gauche, détesté par la droite, mais dont l'histoire reste méconnue.  Avec le talent qu'on lui connaît, Marie-Hélène Baylac est partie sur les traces de l'anarchiste la plus célèbre de France. Née à Vroncourt-la-Côte en 1830, d'une servante abusée par son châtelain, Louise est élevée comme " une demoiselle ", et, devenue institutrice, elle monte à Paris à l'âge de 26 ans. Dès lors, sa vie se confond avec la quête d'une société plus juste. Elle fréquente les milieux républicains, s'investit dans l'éducation populaire et pour l'émancipation des femmes, fait ses premières armes de militante socialiste. La guerre franco-prussienne de 1870 puis la Commune révèlent une combattante intrépide. Elle y perd l'amour de sa vie, Théophile Ferré, mais son courage et sa fierté la transforment en icône. Déportée en Nouvelle-Calédonie, Louise est l'une des premières à s'intéresser à la nature et à la culture kanak. Elle y puise une source d'inspiration qui parcourra toute son œuvre littéraire. À son retour à Paris, en 1880, les foules se pressent pour entendre la Vierge rouge, désormais convaincue qu'il n'est de solution à la misère et aux injustices que dans l'abolition brutale de l'État. Pendant un quart de siècle, oratrice infatigable autant qu'écrivaine prolifique, elle tient la police en haleine, multiplie les séjours en prison, se réfugie à Londres. Son chemin croise les grandes crises de la Troisième République, du boulangisme à l'affaire Dreyfus. Elle côtoie les figures majeures de la pensée révolutionnaire internationale – Blanqui, Kropotkine, Malatesta... – et les ténors de la vie politique : Clemenceau, les Jules – Favre, Simon, Guesde, Ferry, etc. Quand elle meurt à Marseille, début 1905, au retour d'une tournée en Algérie, la presse s'incline devant la dernière des romantiques, reconnaissant qu'elle force le respect de tous, y compris de ceux qui combattent ses idées. En compagnie de l'historienne Marie-Hélène Baylac, auteur de l'excellent Louise Michel chez Perrin,  nous revenons sur ce personnage important de notre Histoire.

Louise Michel est d'abord un nom, celui que portent 190 établissements scolaires de France et bien davantage encore de rues. Un nom idolâtré par la gauche, détesté par la droite, mais dont l'histoire reste méconnue.  Avec le talent qu'on lui connaît, Marie-Hélène Baylac est partie sur les traces de l'anarchiste la plus célèbre de France. Née à Vroncourt-la-Côte en 1830, d'une servante abusée par son châtelain, Louise est élevée comme " une demoiselle ", et, devenue institutrice, elle monte à Paris à l'âge de 26 ans. Dès lors, sa vie se confond avec la quête d'une société plus juste. Elle fréquente les milieux républicains, s'investit dans l'éducation populaire et pour l'émancipation des femmes, fait ses premières armes de militante socialiste. La guerre franco-prussienne de 1870 puis la Commune révèlent une combattante intrépide. Elle y perd l'amour de sa vie, Théophile Ferré, mais son courage et sa fierté la transforment en icône. Déportée en Nouvelle-Calédonie, Louise est l'une des premières à s'intéresser à la nature et à la culture kanak. Elle y puise une source d'inspiration qui parcourra toute son œuvre littéraire. À son retour à Paris, en 1880, les foules se pressent pour entendre la Vierge rouge, désormais convaincue qu'il n'est de solution à la misère et aux injustices que dans l'abolition brutale de l'État. Pendant un quart de siècle, oratrice infatigable autant qu'écrivaine prolifique, elle tient la police en haleine, multiplie les séjours en prison, se réfugie à Londres. Son chemin croise les grandes crises de la Troisième République, du boulangisme à l'affaire Dreyfus. Elle côtoie les figures majeures de la pensée révolutionnaire internationale – Blanqui, Kropotkine, Malatesta... – et les ténors de la vie politique : Clemenceau, les Jules – Favre, Simon, Guesde, Ferry, etc. Quand elle meurt à Marseille, début 1905, au retour d'une tournée en Algérie, la presse s'incline devant la dernière des romantiques, reconnaissant qu'elle force le respect de tous, y compris de ceux qui combattent ses idées. En compagnie de l'historienne Marie-Hélène Baylac, auteur de l'excellent Louise Michel chez Perrin,  nous revenons sur ce personnage important de notre Histoire.

Louise Michel est d'abord un nom, celui que portent 190 établissements scolaires de France et bien davantage encore de rues. Un nom idolâtré par la gauche, détesté par la droite, mais dont l'histoire reste méconnue.  Avec le talent qu'on lui connaît, Marie-Hélène Baylac est partie sur les traces de l'anarchiste la plus célèbre de France. Née à Vroncourt-la-Côte en 1830, d'une servante abusée par son châtelain, Louise est élevée comme " une demoiselle ", et, devenue institutrice, elle monte à Paris à l'âge de 26 ans. Dès lors, sa vie se confond avec la quête d'une société plus juste. Elle fréquente les milieux républicains, s'investit dans l'éducation populaire et pour l'émancipation des femmes, fait ses premières armes de militante socialiste. La guerre franco-prussienne de 1870 puis la Commune révèlent une combattante intrépide. Elle y perd l'amour de sa vie, Théophile Ferré, mais son courage et sa fierté la transforment en icône. Déportée en Nouvelle-Calédonie, Louise est l'une des premières à s'intéresser à la nature et à la culture kanak. Elle y puise une source d'inspiration qui parcourra toute son œuvre littéraire. À son retour à Paris, en 1880, les foules se pressent pour entendre la Vierge rouge, désormais convaincue qu'il n'est de solution à la misère et aux injustices que dans l'abolition brutale de l'État. Pendant un quart de siècle, oratrice infatigable autant qu'écrivaine prolifique, elle tient la police en haleine, multiplie les séjours en prison, se réfugie à Londres. Son chemin croise les grandes crises de la Troisième République, du boulangisme à l'affaire Dreyfus. Elle côtoie les figures majeures de la pensée révolutionnaire internationale – Blanqui, Kropotkine, Malatesta... – et les ténors de la vie politique : Clemenceau, les Jules – Favre, Simon, Guesde, Ferry, etc. Quand elle meurt à Marseille, début 1905, au retour d'une tournée en Algérie, la presse s'incline devant la dernière des romantiques, reconnaissant qu'elle force le respect de tous, y compris de ceux qui combattent ses idées. En compagnie de l'historienne Marie-Hélène Baylac, auteur de l'excellent Louise Michel chez Perrin,  nous revenons sur ce personnage important de notre Histoire.

Louise Michel est d'abord un nom, celui que portent 190 établissements scolaires de France et bien davantage encore de rues. Un nom idolâtré par la gauche, détesté par la droite, mais dont l'histoire reste méconnue.  Avec le talent qu'on lui connaît, Marie-Hélène Baylac est partie sur les traces de l'anarchiste la plus célèbre de France. Née à Vroncourt-la-Côte en 1830, d'une servante abusée par son châtelain, Louise est élevée comme " une demoiselle ", et, devenue institutrice, elle monte à Paris à l'âge de 26 ans. Dès lors, sa vie se confond avec la quête d'une société plus juste. Elle fréquente les milieux républicains, s'investit dans l'éducation populaire et pour l'émancipation des femmes, fait ses premières armes de militante socialiste. La guerre franco-prussienne de 1870 puis la Commune révèlent une combattante intrépide. Elle y perd l'amour de sa vie, Théophile Ferré, mais son courage et sa fierté la transforment en icône. Déportée en Nouvelle-Calédonie, Louise est l'une des premières à s'intéresser à la nature et à la culture kanak. Elle y puise une source d'inspiration qui parcourra toute son œuvre littéraire. À son retour à Paris, en 1880, les foules se pressent pour entendre la Vierge rouge, désormais convaincue qu'il n'est de solution à la misère et aux injustices que dans l'abolition brutale de l'État. Pendant un quart de siècle, oratrice infatigable autant qu'écrivaine prolifique, elle tient la police en haleine, multiplie les séjours en prison, se réfugie à Londres. Son chemin croise les grandes crises de la Troisième République, du boulangisme à l'affaire Dreyfus. Elle côtoie les figures majeures de la pensée révolutionnaire internationale – Blanqui, Kropotkine, Malatesta... – et les ténors de la vie politique : Clemenceau, les Jules – Favre, Simon, Guesde, Ferry, etc. Quand elle meurt à Marseille, début 1905, au retour d'une tournée en Algérie, la presse s'incline devant la dernière des romantiques, reconnaissant qu'elle force le respect de tous, y compris de ceux qui combattent ses idées. En compagnie de l'historienne Marie-Hélène Baylac, auteur de l'excellent Louise Michel chez Perrin,  nous revenons sur ce personnage important de notre Histoire.

Louise Michel est d'abord un nom, celui que portent 190 établissements scolaires de France et bien davantage encore de rues. Un nom idolâtré par la gauche, détesté par la droite, mais dont l'histoire reste méconnue.  Avec le talent qu'on lui connaît, Marie-Hélène Baylac est partie sur les traces de l'anarchiste la plus célèbre de France. Née à Vroncourt-la-Côte en 1830, d'une servante abusée par son châtelain, Louise est élevée comme " une demoiselle ", et, devenue institutrice, elle monte à Paris à l'âge de 26 ans. Dès lors, sa vie se confond avec la quête d'une société plus juste. Elle fréquente les milieux républicains, s'investit dans l'éducation populaire et pour l'émancipation des femmes, fait ses premières armes de militante socialiste. La guerre franco-prussienne de 1870 puis la Commune révèlent une combattante intrépide. Elle y perd l'amour de sa vie, Théophile Ferré, mais son courage et sa fierté la transforment en icône. Déportée en Nouvelle-Calédonie, Louise est l'une des premières à s'intéresser à la nature et à la culture kanak. Elle y puise une source d'inspiration qui parcourra toute son œuvre littéraire. À son retour à Paris, en 1880, les foules se pressent pour entendre la Vierge rouge, désormais convaincue qu'il n'est de solution à la misère et aux injustices que dans l'abolition brutale de l'État. Pendant un quart de siècle, oratrice infatigable autant qu'écrivaine prolifique, elle tient la police en haleine, multiplie les séjours en prison, se réfugie à Londres. Son chemin croise les grandes crises de la Troisième République, du boulangisme à l'affaire Dreyfus. Elle côtoie les figures majeures de la pensée révolutionnaire internationale – Blanqui, Kropotkine, Malatesta... – et les ténors de la vie politique : Clemenceau, les Jules – Favre, Simon, Guesde, Ferry, etc. Quand elle meurt à Marseille, début 1905, au retour d'une tournée en Algérie, la presse s'incline devant la dernière des romantiques, reconnaissant qu'elle force le respect de tous, y compris de ceux qui combattent ses idées. En compagnie de l'historienne Marie-Hélène Baylac, auteur de l'excellent Louise Michel chez Perrin,  nous revenons sur ce personnage important de notre Histoire.

La disparition de la monarchie memphite laisse un vide sidéral dans la paysage politique de l’Egypte. Décontenancées, les grandes cités se replient sur elles-mêmes. Les rivalités anciennes réapparaissent, et le pays est, à nouveau, scindé en deux parties. Les auteurs antiques, dont les écrits vont inspirer ceux des historiens modernes, décrivent cette période comme une ère de chaos, de famine, de violence et de meurtres. On foule la justice et la rectitude aux pieds, la malveillance et l’avarice sont reines. On tue même pour se nourrir. La mort devient une compagne de vie, à tel point que l’on ne s’épuise plus à porter le deuil, car les défunts se comptent par milliers. Les poètes se lamentent, tandis que les devins, eux, croient encore en des jours meilleurs. Devant tant de malheurs, de nombreux sceptiques doutent de l’existence d’un autre monde. On médite sur la vanité de la vie, et on délaisse complètement les arts. L’ancien royaume égyptien n’est plus qu’arbitraire et insécurité. Le règne des ténèbres. Or, les historiens d’aujourd’hui, qui ont longuement interrogé les sources écrites de l’époque et les données archéologiques, savent qu’il n’en est rien. Contrairement à ce qu’ont pu écrire les auteurs grecs et leurs successeurs, cette période que l’on a appelé la « Première Période Intermédiaire », n’est pas une période de décadence, caractérisée par une soi-disant crise des institutions et des valeurs morales. Au contraire, elle est marquée par une extraordinaire vitalité sociale, économique et culturelle, et prolonge, à sa manière, les acquis du milieu du IIIemillénaire. Il ne s’agit pas, à proprement parler, d’une période de rupture, mais d’une période de transition entre deux états, bien différents, de la société égyptienne. 

La disparition de la monarchie memphite laisse un vide sidéral dans la paysage politique de l’Egypte. Décontenancées, les grandes cités se replient sur elles-mêmes. Les rivalités anciennes réapparaissent, et le pays est, à nouveau, scindé en deux parties. Les auteurs antiques, dont les écrits vont inspirer ceux des historiens modernes, décrivent cette période comme une ère de chaos, de famine, de violence et de meurtres. On foule la justice et la rectitude aux pieds, la malveillance et l’avarice sont reines. On tue même pour se nourrir. La mort devient une compagne de vie, à tel point que l’on ne s’épuise plus à porter le deuil, car les défunts se comptent par milliers. Les poètes se lamentent, tandis que les devins, eux, croient encore en des jours meilleurs. Devant tant de malheurs, de nombreux sceptiques doutent de l’existence d’un autre monde. On médite sur la vanité de la vie, et on délaisse complètement les arts. L’ancien royaume égyptien n’est plus qu’arbitraire et insécurité. Le règne des ténèbres. Or, les historiens d’aujourd’hui, qui ont longuement interrogé les sources écrites de l’époque et les données archéologiques, savent qu’il n’en est rien. Contrairement à ce qu’ont pu écrire les auteurs grecs et leurs successeurs, cette période que l’on a appelé la « Première Période Intermédiaire », n’est pas une période de décadence, caractérisée par une soi-disant crise des institutions et des valeurs morales. Au contraire, elle est marquée par une extraordinaire vitalité sociale, économique et culturelle, et prolonge, à sa manière, les acquis du milieu du IIIemillénaire. Il ne s’agit pas, à proprement parler, d’une période de rupture, mais d’une période de transition entre deux états, bien différents, de la société égyptienne. 

La disparition de la monarchie memphite laisse un vide sidéral dans la paysage politique de l’Egypte. Décontenancées, les grandes cités se replient sur elles-mêmes. Les rivalités anciennes réapparaissent, et le pays est, à nouveau, scindé en deux parties. Les auteurs antiques, dont les écrits vont inspirer ceux des historiens modernes, décrivent cette période comme une ère de chaos, de famine, de violence et de meurtres. On foule la justice et la rectitude aux pieds, la malveillance et l’avarice sont reines. On tue même pour se nourrir. La mort devient une compagne de vie, à tel point que l’on ne s’épuise plus à porter le deuil, car les défunts se comptent par milliers. Les poètes se lamentent, tandis que les devins, eux, croient encore en des jours meilleurs. Devant tant de malheurs, de nombreux sceptiques doutent de l’existence d’un autre monde. On médite sur la vanité de la vie, et on délaisse complètement les arts. L’ancien royaume égyptien n’est plus qu’arbitraire et insécurité. Le règne des ténèbres. Or, les historiens d’aujourd’hui, qui ont longuement interrogé les sources écrites de l’époque et les données archéologiques, savent qu’il n’en est rien. Contrairement à ce qu’ont pu écrire les auteurs grecs et leurs successeurs, cette période que l’on a appelé la « Première Période Intermédiaire », n’est pas une période de décadence, caractérisée par une soi-disant crise des institutions et des valeurs morales. Au contraire, elle est marquée par une extraordinaire vitalité sociale, économique et culturelle, et prolonge, à sa manière, les acquis du milieu du IIIemillénaire. Il ne s’agit pas, à proprement parler, d’une période de rupture, mais d’une période de transition entre deux états, bien différents, de la société égyptienne. 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  La disparition de la monarchie memphite laisse un vide sidéral dans la paysage politique de l’Egypte. Décontenancées, les grandes cités se replient sur elles-mêmes. Les rivalités anciennes réapparaissent, et le pays est, à nouveau, scindé en deux parties. Les auteurs antiques, dont les écrits vont inspirer ceux des historiens modernes, décrivent cette période comme une ère de chaos, de famine, de violence et de meurtres. On foule la justice et la rectitude aux pieds, la malveillance et l’avarice sont reines. On tue même pour se nourrir. La mort devient une compagne de vie, à tel point que l’on ne s’épuise plus à porter le deuil, car les défunts se comptent par milliers. Les poètes se lamentent, tandis que les devins, eux, croient encore en des jours meilleurs. Devant tant de malheurs, de nombreux sceptiques doutent de l’existence d’un autre monde. On médite sur la vanité de la vie, et on délaisse complètement les arts. L’ancien royaume égyptien n’est plus qu’arbitraire et insécurité. Le règne des ténèbres. Or, les historiens d’aujourd’hui, qui ont longuement interrogé les sources écrites de l’époque et les données archéologiques, savent qu’il n’en est rien. Contrairement à ce qu’ont pu écrire les auteurs grecs et leurs successeurs, cette période que l’on a appelé la « Première Période Intermédiaire », n’est pas une période de décadence, caractérisée par une soi-disant crise des institutions et des valeurs morales. Au contraire, elle est marquée par une extraordinaire vitalité sociale, économique et culturelle, et prolonge, à sa manière, les acquis du milieu du IIIemillénaire. Il ne s’agit pas, à proprement parler, d’une période de rupture, mais d’une période de transition entre deux états, bien différents, de la société égyptienne. 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  La disparition de la monarchie memphite laisse un vide sidéral dans la paysage politique de l’Egypte. Décontenancées, les grandes cités se replient sur elles-mêmes. Les rivalités anciennes réapparaissent, et le pays est, à nouveau, scindé en deux parties. Les auteurs antiques, dont les écrits vont inspirer ceux des historiens modernes, décrivent cette période comme une ère de chaos, de famine, de violence et de meurtres. On foule la justice et la rectitude aux pieds, la malveillance et l’avarice sont reines. On tue même pour se nourrir. La mort devient une compagne de vie, à tel point que l’on ne s’épuise plus à porter le deuil, car les défunts se comptent par milliers. Les poètes se lamentent, tandis que les devins, eux, croient encore en des jours meilleurs. Devant tant de malheurs, de nombreux sceptiques doutent de l’existence d’un autre monde. On médite sur la vanité de la vie, et on délaisse complètement les arts. L’ancien royaume égyptien n’est plus qu’arbitraire et insécurité. Le règne des ténèbres. Or, les historiens d’aujourd’hui, qui ont longuement interrogé les sources écrites de l’époque et les données archéologiques, savent qu’il n’en est rien. Contrairement à ce qu’ont pu écrire les auteurs grecs et leurs successeurs, cette période que l’on a appelé la « Première Période Intermédiaire », n’est pas une période de décadence, caractérisée par une soi-disant crise des institutions et des valeurs morales. Au contraire, elle est marquée par une extraordinaire vitalité sociale, économique et culturelle, et prolonge, à sa manière, les acquis du milieu du IIIemillénaire. Il ne s’agit pas, à proprement parler, d’une période de rupture, mais d’une période de transition entre deux états, bien différents, de la société égyptienne. 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  La disparition de la monarchie memphite laisse un vide sidéral dans la paysage politique de l’Egypte. Décontenancées, les grandes cités se replient sur elles-mêmes. Les rivalités anciennes réapparaissent, et le pays est, à nouveau, scindé en deux parties. Les auteurs antiques, dont les écrits vont inspirer ceux des historiens modernes, décrivent cette période comme une ère de chaos, de famine, de violence et de meurtres. On foule la justice et la rectitude aux pieds, la malveillance et l’avarice sont reines. On tue même pour se nourrir. La mort devient une compagne de vie, à tel point que l’on ne s’épuise plus à porter le deuil, car les défunts se comptent par milliers. Les poètes se lamentent, tandis que les devins, eux, croient encore en des jours meilleurs. Devant tant de malheurs, de nombreux sceptiques doutent de l’existence d’un autre monde. On médite sur la vanité de la vie, et on délaisse complètement les arts. L’ancien royaume égyptien n’est plus qu’arbitraire et insécurité. Le règne des ténèbres. Or, les historiens d’aujourd’hui, qui ont longuement interrogé les sources écrites de l’époque et les données archéologiques, savent qu’il n’en est rien. Contrairement à ce qu’ont pu écrire les auteurs grecs et leurs successeurs, cette période que l’on a appelé la « Première Période Intermédiaire », n’est pas une période de décadence, caractérisée par une soi-disant crise des institutions et des valeurs morales. Au contraire, elle est marquée par une extraordinaire vitalité sociale, économique et culturelle, et prolonge, à sa manière, les acquis du milieu du IIIemillénaire. Il ne s’agit pas, à proprement parler, d’une période de rupture, mais d’une période de transition entre deux états, bien différents, de la société égyptienne. 

Qu'est ce qui nous pousse aujourd'hui à flâner dans les cimetières? Peut être est ce l’architecture remarquable de certaines sépultures? La verdure, l’ordre, et le calme olympien qui y règne? Ou encore la possibilité de contempler la mort froidement inscrite dans la pierre sans qu’elle nous atteigne? Pourtant, il y a trois cent ans en arrière, les cimetières étaient de véritables mortuaires à ciel ouvert où les cadavres livrés à la merci des mouches, pourrissaient sans la moindre attention. On se souciait d’ailleurs très peu des corps des défunts. Seul le salut de l’âme importait. Alors d’où nous vient cette tradition de la sépulture? Comment se fait-il que depuis la révolution industrielle, la dégénérescence du corps soit devenue tabou? A travers cet épisode, nous vous proposons de découvrir le rapport étrange que la société occidentale entretient avec ses défunts depuis des siècles et à méditer sur le sens de notre propre mort.

Qu'est ce qui nous pousse aujourd'hui à flâner dans les cimetières? Peut être est ce l’architecture remarquable de certaines sépultures? La verdure, l’ordre, et le calme olympien qui y règne? Ou encore la possibilité de contempler la mort froidement inscrite dans la pierre sans qu’elle nous atteigne? Pourtant, il y a trois cent ans en arrière, les cimetières étaient de véritables mortuaires à ciel ouvert où les cadavres livrés à la merci des mouches, pourrissaient sans la moindre attention. On se souciait d’ailleurs très peu des corps des défunts. Seul le salut de l’âme importait. Alors d’où nous vient cette tradition de la sépulture? Comment se fait-il que depuis la révolution industrielle, la dégénérescence du corps soit devenue tabou? A travers cet épisode, nous vous proposons de découvrir le rapport étrange que la société occidentale entretient avec ses défunts depuis des siècles et à méditer sur le sens de notre propre mort.

Qu'est ce qui nous pousse aujourd'hui à flâner dans les cimetières? Peut être est ce l’architecture remarquable de certaines sépultures? La verdure, l’ordre, et le calme olympien qui y règne? Ou encore la possibilité de contempler la mort froidement inscrite dans la pierre sans qu’elle nous atteigne? Pourtant, il y a trois cent ans en arrière, les cimetières étaient de véritables mortuaires à ciel ouvert où les cadavres livrés à la merci des mouches, pourrissaient sans la moindre attention. On se souciait d’ailleurs très peu des corps des défunts. Seul le salut de l’âme importait. Alors d’où nous vient cette tradition de la sépulture? Comment se fait-il que depuis la révolution industrielle, la dégénérescence du corps soit devenue tabou? A travers cet épisode, nous vous proposons de découvrir le rapport étrange que la société occidentale entretient avec ses défunts depuis des siècles et à méditer sur le sens de notre propre mort.

Qu'est ce qui nous pousse aujourd'hui à flâner dans les cimetières? Peut être est ce l’architecture remarquable de certaines sépultures? La verdure, l’ordre, et le calme olympien qui y règne? Ou encore la possibilité de contempler la mort froidement inscrite dans la pierre sans qu’elle nous atteigne? Pourtant, il y a trois cent ans en arrière, les cimetières étaient de véritables mortuaires à ciel ouvert où les cadavres livrés à la merci des mouches, pourrissaient sans la moindre attention. On se souciait d’ailleurs très peu des corps des défunts. Seul le salut de l’âme importait. Alors d’où nous vient cette tradition de la sépulture? Comment se fait-il que depuis la révolution industrielle, la dégénérescence du corps soit devenue tabou? A travers cet épisode, nous vous proposons de découvrir le rapport étrange que la société occidentale entretient avec ses défunts depuis des siècles et à méditer sur le sens de notre propre mort.

Qu'est ce qui nous pousse aujourd'hui à flâner dans les cimetières? Peut être est ce l’architecture remarquable de certaines sépultures? La verdure, l’ordre, et le calme olympien qui y règne? Ou encore la possibilité de contempler la mort froidement inscrite dans la pierre sans qu’elle nous atteigne? Pourtant, il y a trois cent ans en arrière, les cimetières étaient de véritables mortuaires à ciel ouvert où les cadavres livrés à la merci des mouches, pourrissaient sans la moindre attention. On se souciait d’ailleurs très peu des corps des défunts. Seul le salut de l’âme importait. Alors d’où nous vient cette tradition de la sépulture? Comment se fait-il que depuis la révolution industrielle, la dégénérescence du corps soit devenue tabou? A travers cet épisode, nous vous proposons de découvrir le rapport étrange que la société occidentale entretient avec ses défunts depuis des siècles et à méditer sur le sens de notre propre mort.

Qu'est ce qui nous pousse aujourd'hui à flâner dans les cimetières? Peut être est ce l’architecture remarquable de certaines sépultures? La verdure, l’ordre, et le calme olympien qui y règne? Ou encore la possibilité de contempler la mort froidement inscrite dans la pierre sans qu’elle nous atteigne? Pourtant, il y a trois cent ans en arrière, les cimetières étaient de véritables mortuaires à ciel ouvert où les cadavres livrés à la merci des mouches, pourrissaient sans la moindre attention. On se souciait d’ailleurs très peu des corps des défunts. Seul le salut de l’âme importait. Alors d’où nous vient cette tradition de la sépulture? Comment se fait-il que depuis la révolution industrielle, la dégénérescence du corps soit devenue tabou? A travers cet épisode, nous vous proposons de découvrir le rapport étrange que la société occidentale entretient avec ses défunts depuis des siècles et à méditer sur le sens de notre propre mort.

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  La Résistance française, un mouvement héroïque et complexe, a joué un rôle crucial pendant l'occupation nazie de la France (1940-1944). Malgré les risques mortels, des hommes et des femmes de tous horizons ont bravé l'oppression pour lutter contre l'occupation et défendre les valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité. Mais est-ce aussi simple ? Etaient-ils vraiment tous d’accord entre eux ? Avaient-ils les mêmes buts ? En compagnie de Fabrice Grenard, historien, spécialiste de la Résistance et directeur du département recherche et pédagogie de la Fondation de la Résistance, pour préparer les 80 ans du Débarquement et de la Libération de Paris, nous revenons en détail sur ces réseaux clandestins qui se sont formés, regroupant des civils, des intellectuels, des politiciens, et même des membres des forces armées françaises en exil. Munis de courage, ils ont mené différentes actions, sabotage, renseignement et propagande, sapant l'effort de guerre allemand et aidant les Alliés. Des figures emblématiques ont émergé, telles que Jean Moulin, chef de la résistance intérieure, et les célèbres groupes comme les FTP (Francs-tireurs et partisans) et le réseau de renseignement Alliance. Les femmes ont également joué un rôle vital, souvent dans l'ombre, assumant des responsabilités cruciales dans la collecte de renseignements et la transmission de messages. Le point culminant de la résistance fut la Libération de Paris en août 1944, où les résistants parisiens et les forces alliées unirent leurs efforts pour chasser les nazis de la capitale française, marquant un tournant majeur dans la Seconde Guerre mondiale. La Résistance française incarne un exemple de courage et de détermination face à l'adversité, rappelant à jamais le prix de la Liberté.  #Résistance #Libération #Histoire #France

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  La Résistance française, un mouvement héroïque et complexe, a joué un rôle crucial pendant l'occupation nazie de la France (1940-1944). Malgré les risques mortels, des hommes et des femmes de tous horizons ont bravé l'oppression pour lutter contre l'occupation et défendre les valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité. Mais est-ce aussi simple ? Etaient-ils vraiment tous d’accord entre eux ? Avaient-ils les mêmes buts ? En compagnie de Fabrice Grenard, historien, spécialiste de la Résistance et directeur du département recherche et pédagogie de la Fondation de la Résistance, pour préparer les 80 ans du Débarquement et de la Libération de Paris, nous revenons en détail sur ces réseaux clandestins qui se sont formés, regroupant des civils, des intellectuels, des politiciens, et même des membres des forces armées françaises en exil. Munis de courage, ils ont mené différentes actions, sabotage, renseignement et propagande, sapant l'effort de guerre allemand et aidant les Alliés. Des figures emblématiques ont émergé, telles que Jean Moulin, chef de la résistance intérieure, et les célèbres groupes comme les FTP (Francs-tireurs et partisans) et le réseau de renseignement Alliance. Les femmes ont également joué un rôle vital, souvent dans l'ombre, assumant des responsabilités cruciales dans la collecte de renseignements et la transmission de messages. Le point culminant de la résistance fut la Libération de Paris en août 1944, où les résistants parisiens et les forces alliées unirent leurs efforts pour chasser les nazis de la capitale française, marquant un tournant majeur dans la Seconde Guerre mondiale. La Résistance française incarne un exemple de courage et de détermination face à l'adversité, rappelant à jamais le prix de la Liberté.  #Résistance #Libération #Histoire #France

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  La Résistance française, un mouvement héroïque et complexe, a joué un rôle crucial pendant l'occupation nazie de la France (1940-1944). Malgré les risques mortels, des hommes et des femmes de tous horizons ont bravé l'oppression pour lutter contre l'occupation et défendre les valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité. Mais est-ce aussi simple ? Etaient-ils vraiment tous d’accord entre eux ? Avaient-ils les mêmes buts ? En compagnie de Fabrice Grenard, historien, spécialiste de la Résistance et directeur du département recherche et pédagogie de la Fondation de la Résistance, pour préparer les 80 ans du Débarquement et de la Libération de Paris, nous revenons en détail sur ces réseaux clandestins qui se sont formés, regroupant des civils, des intellectuels, des politiciens, et même des membres des forces armées françaises en exil. Munis de courage, ils ont mené différentes actions, sabotage, renseignement et propagande, sapant l'effort de guerre allemand et aidant les Alliés. Des figures emblématiques ont émergé, telles que Jean Moulin, chef de la résistance intérieure, et les célèbres groupes comme les FTP (Francs-tireurs et partisans) et le réseau de renseignement Alliance. Les femmes ont également joué un rôle vital, souvent dans l'ombre, assumant des responsabilités cruciales dans la collecte de renseignements et la transmission de messages. Le point culminant de la résistance fut la Libération de Paris en août 1944, où les résistants parisiens et les forces alliées unirent leurs efforts pour chasser les nazis de la capitale française, marquant un tournant majeur dans la Seconde Guerre mondiale. La Résistance française incarne un exemple de courage et de détermination face à l'adversité, rappelant à jamais le prix de la Liberté.  #Résistance #Libération #Histoire #France

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  La Résistance française, un mouvement héroïque et complexe, a joué un rôle crucial pendant l'occupation nazie de la France (1940-1944). Malgré les risques mortels, des hommes et des femmes de tous horizons ont bravé l'oppression pour lutter contre l'occupation et défendre les valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité. Mais est-ce aussi simple ? Etaient-ils vraiment tous d’accord entre eux ? Avaient-ils les mêmes buts ? En compagnie de Fabrice Grenard, historien, spécialiste de la Résistance et directeur du département recherche et pédagogie de la Fondation de la Résistance, pour préparer les 80 ans du Débarquement et de la Libération de Paris, nous revenons en détail sur ces réseaux clandestins qui se sont formés, regroupant des civils, des intellectuels, des politiciens, et même des membres des forces armées françaises en exil. Munis de courage, ils ont mené différentes actions, sabotage, renseignement et propagande, sapant l'effort de guerre allemand et aidant les Alliés. Des figures emblématiques ont émergé, telles que Jean Moulin, chef de la résistance intérieure, et les célèbres groupes comme les FTP (Francs-tireurs et partisans) et le réseau de renseignement Alliance. Les femmes ont également joué un rôle vital, souvent dans l'ombre, assumant des responsabilités cruciales dans la collecte de renseignements et la transmission de messages. Le point culminant de la résistance fut la Libération de Paris en août 1944, où les résistants parisiens et les forces alliées unirent leurs efforts pour chasser les nazis de la capitale française, marquant un tournant majeur dans la Seconde Guerre mondiale. La Résistance française incarne un exemple de courage et de détermination face à l'adversité, rappelant à jamais le prix de la Liberté.  #Résistance #Libération #Histoire #France

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  La Résistance française, un mouvement héroïque et complexe, a joué un rôle crucial pendant l'occupation nazie de la France (1940-1944). Malgré les risques mortels, des hommes et des femmes de tous horizons ont bravé l'oppression pour lutter contre l'occupation et défendre les valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité. Mais est-ce aussi simple ? Etaient-ils vraiment tous d’accord entre eux ? Avaient-ils les mêmes buts ? En compagnie de Fabrice Grenard, historien, spécialiste de la Résistance et directeur du département recherche et pédagogie de la Fondation de la Résistance, pour préparer les 80 ans du Débarquement et de la Libération de Paris, nous revenons en détail sur ces réseaux clandestins qui se sont formés, regroupant des civils, des intellectuels, des politiciens, et même des membres des forces armées françaises en exil. Munis de courage, ils ont mené différentes actions, sabotage, renseignement et propagande, sapant l'effort de guerre allemand et aidant les Alliés. Des figures emblématiques ont émergé, telles que Jean Moulin, chef de la résistance intérieure, et les célèbres groupes comme les FTP (Francs-tireurs et partisans) et le réseau de renseignement Alliance. Les femmes ont également joué un rôle vital, souvent dans l'ombre, assumant des responsabilités cruciales dans la collecte de renseignements et la transmission de messages. Le point culminant de la résistance fut la Libération de Paris en août 1944, où les résistants parisiens et les forces alliées unirent leurs efforts pour chasser les nazis de la capitale française, marquant un tournant majeur dans la Seconde Guerre mondiale. La Résistance française incarne un exemple de courage et de détermination face à l'adversité, rappelant à jamais le prix de la Liberté.  #Résistance #Libération #Histoire #France

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  La Résistance française, un mouvement héroïque et complexe, a joué un rôle crucial pendant l'occupation nazie de la France (1940-1944). Malgré les risques mortels, des hommes et des femmes de tous horizons ont bravé l'oppression pour lutter contre l'occupation et défendre les valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité. Mais est-ce aussi simple ? Etaient-ils vraiment tous d’accord entre eux ? Avaient-ils les mêmes buts ? En compagnie de Fabrice Grenard, historien, spécialiste de la Résistance et directeur du département recherche et pédagogie de la Fondation de la Résistance, pour préparer les 80 ans du Débarquement et de la Libération de Paris, nous revenons en détail sur ces réseaux clandestins qui se sont formés, regroupant des civils, des intellectuels, des politiciens, et même des membres des forces armées françaises en exil. Munis de courage, ils ont mené différentes actions, sabotage, renseignement et propagande, sapant l'effort de guerre allemand et aidant les Alliés. Des figures emblématiques ont émergé, telles que Jean Moulin, chef de la résistance intérieure, et les célèbres groupes comme les FTP (Francs-tireurs et partisans) et le réseau de renseignement Alliance. Les femmes ont également joué un rôle vital, souvent dans l'ombre, assumant des responsabilités cruciales dans la collecte de renseignements et la transmission de messages. Le point culminant de la résistance fut la Libération de Paris en août 1944, où les résistants parisiens et les forces alliées unirent leurs efforts pour chasser les nazis de la capitale française, marquant un tournant majeur dans la Seconde Guerre mondiale. La Résistance française incarne un exemple de courage et de détermination face à l'adversité, rappelant à jamais le prix de la Liberté.  #Résistance #Libération #Histoire #France

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Entre la première et le début de la VIe dynastie, l’Etat pharaonique croît et prospère, à la faveur d’une longue phase de consolidation. Un roi non identifié de la IIe dynastie (2925-2700) fait édifier le premier monument à degrés en pierre sur le plateau de Saqqarah. L’administration égyptienne subit diverses transformations et réajustements internes afin de prendre en compte les intérêts des différents groupes qui forment l’élite, et pour maintenir le pouvoir du pharaon sur le pays. L’absence de documents écrits avant la fin du IVemillénaire contraint les égyptologues à se référer aux données archéologiques, qui offrent l’avantage de livrer des informations sur l’habitat, les formes de productions et les croyances de la population, tant de l’élite que des paysans.  Le plan politique et économique de la monarchie memphite reprend le modèle étatique de Nagada. Toutefois, elle se spécialise et s’articule autour de la figure royale, autour de laquelle s’organise une vie de cour rassemblant les élites politiques au sein du palais. L’administration royale est chargée de la gestion des domaines agricoles royaux, répartis aux multiples points du royaume. Le monument funéraire le plus célèbre du plateau de Saqqarah est la pyramide à degrés, érigée par le légendaire Imhotep pour le pharaon Djéser. S’il s’agit d’un édifice nouveau, il est le résultat d’une longue évolution qui remonte au début du IIIemillénaire. Il existait déjà de grands monuments à degrés à Saqqarah, qui avaient une fonction votive ou rituelle. Mais la pyramide de Djéser souligne la capacité du roi à mobiliser des ressources toujours plus importantes. Mais de quelles natures sont-elles ? Et comment le royaume égyptien s’est-il enrichi à un point tel que le pharaon puisse se faire bâtir un monument funéraire aussi impressionnant ? Ecrit par Laetitia Faure

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Entre la première et le début de la VIe dynastie, l’Etat pharaonique croît et prospère, à la faveur d’une longue phase de consolidation. Un roi non identifié de la IIe dynastie (2925-2700) fait édifier le premier monument à degrés en pierre sur le plateau de Saqqarah. L’administration égyptienne subit diverses transformations et réajustements internes afin de prendre en compte les intérêts des différents groupes qui forment l’élite, et pour maintenir le pouvoir du pharaon sur le pays. L’absence de documents écrits avant la fin du IVemillénaire contraint les égyptologues à se référer aux données archéologiques, qui offrent l’avantage de livrer des informations sur l’habitat, les formes de productions et les croyances de la population, tant de l’élite que des paysans.  Le plan politique et économique de la monarchie memphite reprend le modèle étatique de Nagada. Toutefois, elle se spécialise et s’articule autour de la figure royale, autour de laquelle s’organise une vie de cour rassemblant les élites politiques au sein du palais. L’administration royale est chargée de la gestion des domaines agricoles royaux, répartis aux multiples points du royaume. Le monument funéraire le plus célèbre du plateau de Saqqarah est la pyramide à degrés, érigée par le légendaire Imhotep pour le pharaon Djéser. S’il s’agit d’un édifice nouveau, il est le résultat d’une longue évolution qui remonte au début du IIIemillénaire. Il existait déjà de grands monuments à degrés à Saqqarah, qui avaient une fonction votive ou rituelle. Mais la pyramide de Djéser souligne la capacité du roi à mobiliser des ressources toujours plus importantes. Mais de quelles natures sont-elles ? Et comment le royaume égyptien s’est-il enrichi à un point tel que le pharaon puisse se faire bâtir un monument funéraire aussi impressionnant ? Ecrit par Laetitia Faure

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Entre la première et le début de la VIe dynastie, l’Etat pharaonique croît et prospère, à la faveur d’une longue phase de consolidation. Un roi non identifié de la IIe dynastie (2925-2700) fait édifier le premier monument à degrés en pierre sur le plateau de Saqqarah. L’administration égyptienne subit diverses transformations et réajustements internes afin de prendre en compte les intérêts des différents groupes qui forment l’élite, et pour maintenir le pouvoir du pharaon sur le pays. L’absence de documents écrits avant la fin du IVemillénaire contraint les égyptologues à se référer aux données archéologiques, qui offrent l’avantage de livrer des informations sur l’habitat, les formes de productions et les croyances de la population, tant de l’élite que des paysans.  Le plan politique et économique de la monarchie memphite reprend le modèle étatique de Nagada. Toutefois, elle se spécialise et s’articule autour de la figure royale, autour de laquelle s’organise une vie de cour rassemblant les élites politiques au sein du palais. L’administration royale est chargée de la gestion des domaines agricoles royaux, répartis aux multiples points du royaume. Le monument funéraire le plus célèbre du plateau de Saqqarah est la pyramide à degrés, érigée par le légendaire Imhotep pour le pharaon Djéser. S’il s’agit d’un édifice nouveau, il est le résultat d’une longue évolution qui remonte au début du IIIemillénaire. Il existait déjà de grands monuments à degrés à Saqqarah, qui avaient une fonction votive ou rituelle. Mais la pyramide de Djéser souligne la capacité du roi à mobiliser des ressources toujours plus importantes. Mais de quelles natures sont-elles ? Et comment le royaume égyptien s’est-il enrichi à un point tel que le pharaon puisse se faire bâtir un monument funéraire aussi impressionnant ? Ecrit par Laetitia Faure

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Entre la première et le début de la VIe dynastie, l’Etat pharaonique croît et prospère, à la faveur d’une longue phase de consolidation. Un roi non identifié de la IIe dynastie (2925-2700) fait édifier le premier monument à degrés en pierre sur le plateau de Saqqarah. L’administration égyptienne subit diverses transformations et réajustements internes afin de prendre en compte les intérêts des différents groupes qui forment l’élite, et pour maintenir le pouvoir du pharaon sur le pays. L’absence de documents écrits avant la fin du IVemillénaire contraint les égyptologues à se référer aux données archéologiques, qui offrent l’avantage de livrer des informations sur l’habitat, les formes de productions et les croyances de la population, tant de l’élite que des paysans.  Le plan politique et économique de la monarchie memphite reprend le modèle étatique de Nagada. Toutefois, elle se spécialise et s’articule autour de la figure royale, autour de laquelle s’organise une vie de cour rassemblant les élites politiques au sein du palais. L’administration royale est chargée de la gestion des domaines agricoles royaux, répartis aux multiples points du royaume. Le monument funéraire le plus célèbre du plateau de Saqqarah est la pyramide à degrés, érigée par le légendaire Imhotep pour le pharaon Djéser. S’il s’agit d’un édifice nouveau, il est le résultat d’une longue évolution qui remonte au début du IIIemillénaire. Il existait déjà de grands monuments à degrés à Saqqarah, qui avaient une fonction votive ou rituelle. Mais la pyramide de Djéser souligne la capacité du roi à mobiliser des ressources toujours plus importantes. Mais de quelles natures sont-elles ? Et comment le royaume égyptien s’est-il enrichi à un point tel que le pharaon puisse se faire bâtir un monument funéraire aussi impressionnant ? Ecrit par Laetitia Faure

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Entre la première et le début de la VIe dynastie, l’Etat pharaonique croît et prospère, à la faveur d’une longue phase de consolidation. Un roi non identifié de la IIe dynastie (2925-2700) fait édifier le premier monument à degrés en pierre sur le plateau de Saqqarah. L’administration égyptienne subit diverses transformations et réajustements internes afin de prendre en compte les intérêts des différents groupes qui forment l’élite, et pour maintenir le pouvoir du pharaon sur le pays. L’absence de documents écrits avant la fin du IVemillénaire contraint les égyptologues à se référer aux données archéologiques, qui offrent l’avantage de livrer des informations sur l’habitat, les formes de productions et les croyances de la population, tant de l’élite que des paysans.  Le plan politique et économique de la monarchie memphite reprend le modèle étatique de Nagada. Toutefois, elle se spécialise et s’articule autour de la figure royale, autour de laquelle s’organise une vie de cour rassemblant les élites politiques au sein du palais. L’administration royale est chargée de la gestion des domaines agricoles royaux, répartis aux multiples points du royaume. Le monument funéraire le plus célèbre du plateau de Saqqarah est la pyramide à degrés, érigée par le légendaire Imhotep pour le pharaon Djéser. S’il s’agit d’un édifice nouveau, il est le résultat d’une longue évolution qui remonte au début du IIIemillénaire. Il existait déjà de grands monuments à degrés à Saqqarah, qui avaient une fonction votive ou rituelle. Mais la pyramide de Djéser souligne la capacité du roi à mobiliser des ressources toujours plus importantes. Mais de quelles natures sont-elles ? Et comment le royaume égyptien s’est-il enrichi à un point tel que le pharaon puisse se faire bâtir un monument funéraire aussi impressionnant ? Ecrit par Laetitia Faure

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Entre la première et le début de la VIe dynastie, l’Etat pharaonique croît et prospère, à la faveur d’une longue phase de consolidation. Un roi non identifié de la IIe dynastie (2925-2700) fait édifier le premier monument à degrés en pierre sur le plateau de Saqqarah. L’administration égyptienne subit diverses transformations et réajustements internes afin de prendre en compte les intérêts des différents groupes qui forment l’élite, et pour maintenir le pouvoir du pharaon sur le pays. L’absence de documents écrits avant la fin du IVemillénaire contraint les égyptologues à se référer aux données archéologiques, qui offrent l’avantage de livrer des informations sur l’habitat, les formes de productions et les croyances de la population, tant de l’élite que des paysans.  Le plan politique et économique de la monarchie memphite reprend le modèle étatique de Nagada. Toutefois, elle se spécialise et s’articule autour de la figure royale, autour de laquelle s’organise une vie de cour rassemblant les élites politiques au sein du palais. L’administration royale est chargée de la gestion des domaines agricoles royaux, répartis aux multiples points du royaume. Le monument funéraire le plus célèbre du plateau de Saqqarah est la pyramide à degrés, érigée par le légendaire Imhotep pour le pharaon Djéser. S’il s’agit d’un édifice nouveau, il est le résultat d’une longue évolution qui remonte au début du IIIemillénaire. Il existait déjà de grands monuments à degrés à Saqqarah, qui avaient une fonction votive ou rituelle. Mais la pyramide de Djéser souligne la capacité du roi à mobiliser des ressources toujours plus importantes. Mais de quelles natures sont-elles ? Et comment le royaume égyptien s’est-il enrichi à un point tel que le pharaon puisse se faire bâtir un monument funéraire aussi impressionnant ? Ecrit par Laetitia Faure

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Entre la première et le début de la VIe dynastie, l’Etat pharaonique croît et prospère, à la faveur d’une longue phase de consolidation. Un roi non identifié de la IIe dynastie (2925-2700) fait édifier le premier monument à degrés en pierre sur le plateau de Saqqarah. L’administration égyptienne subit diverses transformations et réajustements internes afin de prendre en compte les intérêts des différents groupes qui forment l’élite, et pour maintenir le pouvoir du pharaon sur le pays. L’absence de documents écrits avant la fin du IVemillénaire contraint les égyptologues à se référer aux données archéologiques, qui offrent l’avantage de livrer des informations sur l’habitat, les formes de productions et les croyances de la population, tant de l’élite que des paysans.  Le plan politique et économique de la monarchie memphite reprend le modèle étatique de Nagada. Toutefois, elle se spécialise et s’articule autour de la figure royale, autour de laquelle s’organise une vie de cour rassemblant les élites politiques au sein du palais. L’administration royale est chargée de la gestion des domaines agricoles royaux, répartis aux multiples points du royaume. Le monument funéraire le plus célèbre du plateau de Saqqarah est la pyramide à degrés, érigée par le légendaire Imhotep pour le pharaon Djéser. S’il s’agit d’un édifice nouveau, il est le résultat d’une longue évolution qui remonte au début du IIIemillénaire. Il existait déjà de grands monuments à degrés à Saqqarah, qui avaient une fonction votive ou rituelle. Mais la pyramide de Djéser souligne la capacité du roi à mobiliser des ressources toujours plus importantes. Mais de quelles natures sont-elles ? Et comment le royaume égyptien s’est-il enrichi à un point tel que le pharaon puisse se faire bâtir un monument funéraire aussi impressionnant ? Ecrit par Laetitia Faure

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Entre la première et le début de la VIe dynastie, l’Etat pharaonique croît et prospère, à la faveur d’une longue phase de consolidation. Un roi non identifié de la IIe dynastie (2925-2700) fait édifier le premier monument à degrés en pierre sur le plateau de Saqqarah. L’administration égyptienne subit diverses transformations et réajustements internes afin de prendre en compte les intérêts des différents groupes qui forment l’élite, et pour maintenir le pouvoir du pharaon sur le pays. L’absence de documents écrits avant la fin du IVemillénaire contraint les égyptologues à se référer aux données archéologiques, qui offrent l’avantage de livrer des informations sur l’habitat, les formes de productions et les croyances de la population, tant de l’élite que des paysans.  Le plan politique et économique de la monarchie memphite reprend le modèle étatique de Nagada. Toutefois, elle se spécialise et s’articule autour de la figure royale, autour de laquelle s’organise une vie de cour rassemblant les élites politiques au sein du palais. L’administration royale est chargée de la gestion des domaines agricoles royaux, répartis aux multiples points du royaume. Le monument funéraire le plus célèbre du plateau de Saqqarah est la pyramide à degrés, érigée par le légendaire Imhotep pour le pharaon Djéser. S’il s’agit d’un édifice nouveau, il est le résultat d’une longue évolution qui remonte au début du IIIemillénaire. Il existait déjà de grands monuments à degrés à Saqqarah, qui avaient une fonction votive ou rituelle. Mais la pyramide de Djéser souligne la capacité du roi à mobiliser des ressources toujours plus importantes. Mais de quelles natures sont-elles ? Et comment le royaume égyptien s’est-il enrichi à un point tel que le pharaon puisse se faire bâtir un monument funéraire aussi impressionnant ? Ecrit par Laetitia Faure

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Entre la première et le début de la VIe dynastie, l’Etat pharaonique croît et prospère, à la faveur d’une longue phase de consolidation. Un roi non identifié de la IIe dynastie (2925-2700) fait édifier le premier monument à degrés en pierre sur le plateau de Saqqarah. L’administration égyptienne subit diverses transformations et réajustements internes afin de prendre en compte les intérêts des différents groupes qui forment l’élite, et pour maintenir le pouvoir du pharaon sur le pays. L’absence de documents écrits avant la fin du IVemillénaire contraint les égyptologues à se référer aux données archéologiques, qui offrent l’avantage de livrer des informations sur l’habitat, les formes de productions et les croyances de la population, tant de l’élite que des paysans.  Le plan politique et économique de la monarchie memphite reprend le modèle étatique de Nagada. Toutefois, elle se spécialise et s’articule autour de la figure royale, autour de laquelle s’organise une vie de cour rassemblant les élites politiques au sein du palais. L’administration royale est chargée de la gestion des domaines agricoles royaux, répartis aux multiples points du royaume. Le monument funéraire le plus célèbre du plateau de Saqqarah est la pyramide à degrés, érigée par le légendaire Imhotep pour le pharaon Djéser. S’il s’agit d’un édifice nouveau, il est le résultat d’une longue évolution qui remonte au début du IIIemillénaire. Il existait déjà de grands monuments à degrés à Saqqarah, qui avaient une fonction votive ou rituelle. Mais la pyramide de Djéser souligne la capacité du roi à mobiliser des ressources toujours plus importantes. Mais de quelles natures sont-elles ? Et comment le royaume égyptien s’est-il enrichi à un point tel que le pharaon puisse se faire bâtir un monument funéraire aussi impressionnant ? Ecrit par Laetitia Faure

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Entre la première et le début de la VIe dynastie, l’Etat pharaonique croît et prospère, à la faveur d’une longue phase de consolidation. Un roi non identifié de la IIe dynastie (2925-2700) fait édifier le premier monument à degrés en pierre sur le plateau de Saqqarah. L’administration égyptienne subit diverses transformations et réajustements internes afin de prendre en compte les intérêts des différents groupes qui forment l’élite, et pour maintenir le pouvoir du pharaon sur le pays. L’absence de documents écrits avant la fin du IVemillénaire contraint les égyptologues à se référer aux données archéologiques, qui offrent l’avantage de livrer des informations sur l’habitat, les formes de productions et les croyances de la population, tant de l’élite que des paysans.  Le plan politique et économique de la monarchie memphite reprend le modèle étatique de Nagada. Toutefois, elle se spécialise et s’articule autour de la figure royale, autour de laquelle s’organise une vie de cour rassemblant les élites politiques au sein du palais. L’administration royale est chargée de la gestion des domaines agricoles royaux, répartis aux multiples points du royaume. Le monument funéraire le plus célèbre du plateau de Saqqarah est la pyramide à degrés, érigée par le légendaire Imhotep pour le pharaon Djéser. S’il s’agit d’un édifice nouveau, il est le résultat d’une longue évolution qui remonte au début du IIIemillénaire. Il existait déjà de grands monuments à degrés à Saqqarah, qui avaient une fonction votive ou rituelle. Mais la pyramide de Djéser souligne la capacité du roi à mobiliser des ressources toujours plus importantes. Mais de quelles natures sont-elles ? Et comment le royaume égyptien s’est-il enrichi à un point tel que le pharaon puisse se faire bâtir un monument funéraire aussi impressionnant ? Ecrit par Laetitia Faure

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Entre la première et le début de la VIe dynastie, l’Etat pharaonique croît et prospère, à la faveur d’une longue phase de consolidation. Un roi non identifié de la IIe dynastie (2925-2700) fait édifier le premier monument à degrés en pierre sur le plateau de Saqqarah. L’administration égyptienne subit diverses transformations et réajustements internes afin de prendre en compte les intérêts des différents groupes qui forment l’élite, et pour maintenir le pouvoir du pharaon sur le pays. L’absence de documents écrits avant la fin du IVemillénaire contraint les égyptologues à se référer aux données archéologiques, qui offrent l’avantage de livrer des informations sur l’habitat, les formes de productions et les croyances de la population, tant de l’élite que des paysans.  Le plan politique et économique de la monarchie memphite reprend le modèle étatique de Nagada. Toutefois, elle se spécialise et s’articule autour de la figure royale, autour de laquelle s’organise une vie de cour rassemblant les élites politiques au sein du palais. L’administration royale est chargée de la gestion des domaines agricoles royaux, répartis aux multiples points du royaume. Le monument funéraire le plus célèbre du plateau de Saqqarah est la pyramide à degrés, érigée par le légendaire Imhotep pour le pharaon Djéser. S’il s’agit d’un édifice nouveau, il est le résultat d’une longue évolution qui remonte au début du IIIemillénaire. Il existait déjà de grands monuments à degrés à Saqqarah, qui avaient une fonction votive ou rituelle. Mais la pyramide de Djéser souligne la capacité du roi à mobiliser des ressources toujours plus importantes. Mais de quelles natures sont-elles ? Et comment le royaume égyptien s’est-il enrichi à un point tel que le pharaon puisse se faire bâtir un monument funéraire aussi impressionnant ? Ecrit par Laetitia Faure

Entre la première et le début de la VIe dynastie, l’Etat pharaonique croît et prospère, à la faveur d’une longue phase de consolidation. Un roi non identifié de la IIe dynastie (2925-2700) fait édifier le premier monument à degrés en pierre sur le plateau de Saqqarah. L’administration égyptienne subit diverses transformations et réajustements internes afin de prendre en compte les intérêts des différents groupes qui forment l’élite, et pour maintenir le pouvoir du pharaon sur le pays. L’absence de documents écrits avant la fin du IVemillénaire contraint les égyptologues à se référer aux données archéologiques, qui offrent l’avantage de livrer des informations sur l’habitat, les formes de productions et les croyances de la population, tant de l’élite que des paysans.  Le plan politique et économique de la monarchie memphite reprend le modèle étatique de Nagada. Toutefois, elle se spécialise et s’articule autour de la figure royale, autour de laquelle s’organise une vie de cour rassemblant les élites politiques au sein du palais. L’administration royale est chargée de la gestion des domaines agricoles royaux, répartis aux multiples points du royaume. Le monument funéraire le plus célèbre du plateau de Saqqarah est la pyramide à degrés, érigée par le légendaire Imhotep pour le pharaon Djéser. S’il s’agit d’un édifice nouveau, il est le résultat d’une longue évolution qui remonte au début du IIIemillénaire. Il existait déjà de grands monuments à degrés à Saqqarah, qui avaient une fonction votive ou rituelle. Mais la pyramide de Djéser souligne la capacité du roi à mobiliser des ressources toujours plus importantes. Mais de quelles natures sont-elles ? Et comment le royaume égyptien s’est-il enrichi à un point tel que le pharaon puisse se faire bâtir un monument funéraire aussi impressionnant ? Ecrit par Laetitia Faure

🎙️ Découvrez notre émission Incontournable sur l'Histoire des Beatles! 🎸 Plongez dans l'univers envoûtant des légendaires Beatles avec notre émission, sorte de "Fab Four Chronicles"! Êtes-vous prêt à embarquer pour un voyage fascinant à travers les époques, les chansons emblématiques et les histoires inédites de John, Paul, George et Ringo? 🔍 Explorez les Coulisses de la Révolution Musicale: Découvrez les secrets de l'enregistrement de leurs plus grands succès, les anecdotes surprenantes des sessions studio et les influences qui ont façonné leur musique révolutionnaire. 📚 Plongez dans leur Histoire Personnelle: Des débuts modestes dans les clubs de Liverpool à la conquête mondiale, suivez le parcours incroyable des Beatles, parsemé de triomphes, de défis et d'amitié indéfectible. 🌟 Rencontrez les Personnages Clés: De Brian Epstein à George Martin, explorez les figures emblématiques qui ont contribué à façonner l'histoire des Beatles et à les propulser vers la gloire éternelle. 🎵 Écoutez des Analyses Profondes des Morceaux Cultes: Décortiquez les paroles, la musique et les innovations sonores qui ont fait des chansons des Beatles des hymnes intemporels, toujours aussi pertinents aujourd'hui. Que vous soyez un fan de longue date ou un novice curieux, notre "Fab Four Chronicles" est le compagnon idéal pour tous ceux qui souhaitent plonger au cœur de l'histoire captivante des Beatles.  En compagnie de Frédéric Granier, grand spécialiste !  Abonnez-vous dès maintenant pour ne manquer aucun épisode et rejoignez-nous, sans pub, dans cette exploration épique de l'une des plus grandes légendes de la musique de tous les temps! 🚀 #TheBeatles #FabFourChronicles #BeatlesMania  Interview réalisée par Iona Bermon en compagnie de Frédéric Granier

🎙️ Découvrez notre émission Incontournable sur l'Histoire des Beatles! 🎸 Plongez dans l'univers envoûtant des légendaires Beatles avec notre émission, sorte de "Fab Four Chronicles"! Êtes-vous prêt à embarquer pour un voyage fascinant à travers les époques, les chansons emblématiques et les histoires inédites de John, Paul, George et Ringo? 🔍 Explorez les Coulisses de la Révolution Musicale: Découvrez les secrets de l'enregistrement de leurs plus grands succès, les anecdotes surprenantes des sessions studio et les influences qui ont façonné leur musique révolutionnaire. 📚 Plongez dans leur Histoire Personnelle: Des débuts modestes dans les clubs de Liverpool à la conquête mondiale, suivez le parcours incroyable des Beatles, parsemé de triomphes, de défis et d'amitié indéfectible. 🌟 Rencontrez les Personnages Clés: De Brian Epstein à George Martin, explorez les figures emblématiques qui ont contribué à façonner l'histoire des Beatles et à les propulser vers la gloire éternelle. 🎵 Écoutez des Analyses Profondes des Morceaux Cultes: Décortiquez les paroles, la musique et les innovations sonores qui ont fait des chansons des Beatles des hymnes intemporels, toujours aussi pertinents aujourd'hui. Que vous soyez un fan de longue date ou un novice curieux, notre "Fab Four Chronicles" est le compagnon idéal pour tous ceux qui souhaitent plonger au cœur de l'histoire captivante des Beatles.  En compagnie de Frédéric Granier, grand spécialiste !  Abonnez-vous dès maintenant pour ne manquer aucun épisode et rejoignez-nous, sans pub, dans cette exploration épique de l'une des plus grandes légendes de la musique de tous les temps! 🚀 #TheBeatles #FabFourChronicles #BeatlesMania  Interview réalisée par Iona Bermon en compagnie de Frédéric Granier

🎙️ Découvrez notre émission Incontournable sur l'Histoire des Beatles! 🎸 Plongez dans l'univers envoûtant des légendaires Beatles avec notre émission, sorte de "Fab Four Chronicles"! Êtes-vous prêt à embarquer pour un voyage fascinant à travers les époques, les chansons emblématiques et les histoires inédites de John, Paul, George et Ringo? 🔍 Explorez les Coulisses de la Révolution Musicale: Découvrez les secrets de l'enregistrement de leurs plus grands succès, les anecdotes surprenantes des sessions studio et les influences qui ont façonné leur musique révolutionnaire. 📚 Plongez dans leur Histoire Personnelle: Des débuts modestes dans les clubs de Liverpool à la conquête mondiale, suivez le parcours incroyable des Beatles, parsemé de triomphes, de défis et d'amitié indéfectible. 🌟 Rencontrez les Personnages Clés: De Brian Epstein à George Martin, explorez les figures emblématiques qui ont contribué à façonner l'histoire des Beatles et à les propulser vers la gloire éternelle. 🎵 Écoutez des Analyses Profondes des Morceaux Cultes: Décortiquez les paroles, la musique et les innovations sonores qui ont fait des chansons des Beatles des hymnes intemporels, toujours aussi pertinents aujourd'hui. Que vous soyez un fan de longue date ou un novice curieux, notre "Fab Four Chronicles" est le compagnon idéal pour tous ceux qui souhaitent plonger au cœur de l'histoire captivante des Beatles.  En compagnie de Frédéric Granier, grand spécialiste !  Abonnez-vous dès maintenant pour ne manquer aucun épisode et rejoignez-nous, sans pub, dans cette exploration épique de l'une des plus grandes légendes de la musique de tous les temps! 🚀 #TheBeatles #FabFourChronicles #BeatlesMania  Interview réalisée par Iona Bermon en compagnie de Frédéric Granier

🎙️ Découvrez notre émission Incontournable sur l'Histoire des Beatles! 🎸 Plongez dans l'univers envoûtant des légendaires Beatles avec notre émission, sorte de "Fab Four Chronicles"! Êtes-vous prêt à embarquer pour un voyage fascinant à travers les époques, les chansons emblématiques et les histoires inédites de John, Paul, George et Ringo? 🔍 Explorez les Coulisses de la Révolution Musicale: Découvrez les secrets de l'enregistrement de leurs plus grands succès, les anecdotes surprenantes des sessions studio et les influences qui ont façonné leur musique révolutionnaire. 📚 Plongez dans leur Histoire Personnelle: Des débuts modestes dans les clubs de Liverpool à la conquête mondiale, suivez le parcours incroyable des Beatles, parsemé de triomphes, de défis et d'amitié indéfectible. 🌟 Rencontrez les Personnages Clés: De Brian Epstein à George Martin, explorez les figures emblématiques qui ont contribué à façonner l'histoire des Beatles et à les propulser vers la gloire éternelle. 🎵 Écoutez des Analyses Profondes des Morceaux Cultes: Décortiquez les paroles, la musique et les innovations sonores qui ont fait des chansons des Beatles des hymnes intemporels, toujours aussi pertinents aujourd'hui. Que vous soyez un fan de longue date ou un novice curieux, notre "Fab Four Chronicles" est le compagnon idéal pour tous ceux qui souhaitent plonger au cœur de l'histoire captivante des Beatles.  En compagnie de Frédéric Granier, grand spécialiste !  Abonnez-vous dès maintenant pour ne manquer aucun épisode et rejoignez-nous, sans pub, dans cette exploration épique de l'une des plus grandes légendes de la musique de tous les temps! 🚀 #TheBeatles #FabFourChronicles #BeatlesMania  Interview réalisée par Iona Bermon en compagnie de Frédéric Granier

🎙️ Découvrez notre émission Incontournable sur l'Histoire des Beatles! 🎸 Plongez dans l'univers envoûtant des légendaires Beatles avec notre émission, sorte de "Fab Four Chronicles"! Êtes-vous prêt à embarquer pour un voyage fascinant à travers les époques, les chansons emblématiques et les histoires inédites de John, Paul, George et Ringo? 🔍 Explorez les Coulisses de la Révolution Musicale: Découvrez les secrets de l'enregistrement de leurs plus grands succès, les anecdotes surprenantes des sessions studio et les influences qui ont façonné leur musique révolutionnaire. 📚 Plongez dans leur Histoire Personnelle: Des débuts modestes dans les clubs de Liverpool à la conquête mondiale, suivez le parcours incroyable des Beatles, parsemé de triomphes, de défis et d'amitié indéfectible. 🌟 Rencontrez les Personnages Clés: De Brian Epstein à George Martin, explorez les figures emblématiques qui ont contribué à façonner l'histoire des Beatles et à les propulser vers la gloire éternelle. 🎵 Écoutez des Analyses Profondes des Morceaux Cultes: Décortiquez les paroles, la musique et les innovations sonores qui ont fait des chansons des Beatles des hymnes intemporels, toujours aussi pertinents aujourd'hui. Que vous soyez un fan de longue date ou un novice curieux, notre "Fab Four Chronicles" est le compagnon idéal pour tous ceux qui souhaitent plonger au cœur de l'histoire captivante des Beatles.  En compagnie de Frédéric Granier, grand spécialiste !  Abonnez-vous dès maintenant pour ne manquer aucun épisode et rejoignez-nous, sans pub, dans cette exploration épique de l'une des plus grandes légendes de la musique de tous les temps! 🚀 #TheBeatles #FabFourChronicles #BeatlesMania  Interview réalisée par Iona Bermon en compagnie de Frédéric Granier

🎙️ Découvrez notre émission Incontournable sur l'Histoire des Beatles! 🎸 Plongez dans l'univers envoûtant des légendaires Beatles avec notre émission, sorte de "Fab Four Chronicles"! Êtes-vous prêt à embarquer pour un voyage fascinant à travers les époques, les chansons emblématiques et les histoires inédites de John, Paul, George et Ringo? 🔍 Explorez les Coulisses de la Révolution Musicale: Découvrez les secrets de l'enregistrement de leurs plus grands succès, les anecdotes surprenantes des sessions studio et les influences qui ont façonné leur musique révolutionnaire. 📚 Plongez dans leur Histoire Personnelle: Des débuts modestes dans les clubs de Liverpool à la conquête mondiale, suivez le parcours incroyable des Beatles, parsemé de triomphes, de défis et d'amitié indéfectible. 🌟 Rencontrez les Personnages Clés: De Brian Epstein à George Martin, explorez les figures emblématiques qui ont contribué à façonner l'histoire des Beatles et à les propulser vers la gloire éternelle. 🎵 Écoutez des Analyses Profondes des Morceaux Cultes: Décortiquez les paroles, la musique et les innovations sonores qui ont fait des chansons des Beatles des hymnes intemporels, toujours aussi pertinents aujourd'hui. Que vous soyez un fan de longue date ou un novice curieux, notre "Fab Four Chronicles" est le compagnon idéal pour tous ceux qui souhaitent plonger au cœur de l'histoire captivante des Beatles.  En compagnie de Frédéric Granier, grand spécialiste !  Abonnez-vous dès maintenant pour ne manquer aucun épisode et rejoignez-nous, sans pub, dans cette exploration épique de l'une des plus grandes légendes de la musique de tous les temps! 🚀 #TheBeatles #FabFourChronicles #BeatlesMania  Interview réalisée par Iona Bermon en compagnie de Frédéric Granier

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  En ce début de XXe siècle, l’industrie pétrolière est maintenant en marche. Les Etats-Unis ont lancé le mouvement, et le monde veut désormais suivre le même exemple.  Entre guerres, coups bas, alliances, cartels et trahisons, les plus grandes nations mondiales sortent le grand jeu et elles ne reculeront devant rien pour acquérir la nouvelle énergie miracle.  C’est une question de vie ou de mort, dans certains cas, mais surtout une question de Capital, à chaque fois…  Écriture : Lucie Devocelle 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  En ce début de XXe siècle, l’industrie pétrolière est maintenant en marche. Les Etats-Unis ont lancé le mouvement, et le monde veut désormais suivre le même exemple.  Entre guerres, coups bas, alliances, cartels et trahisons, les plus grandes nations mondiales sortent le grand jeu et elles ne reculeront devant rien pour acquérir la nouvelle énergie miracle.  C’est une question de vie ou de mort, dans certains cas, mais surtout une question de Capital, à chaque fois…  Écriture : Lucie Devocelle 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  En ce début de XXe siècle, l’industrie pétrolière est maintenant en marche. Les Etats-Unis ont lancé le mouvement, et le monde veut désormais suivre le même exemple.  Entre guerres, coups bas, alliances, cartels et trahisons, les plus grandes nations mondiales sortent le grand jeu et elles ne reculeront devant rien pour acquérir la nouvelle énergie miracle.  C’est une question de vie ou de mort, dans certains cas, mais surtout une question de Capital, à chaque fois…  Écriture : Lucie Devocelle 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  En ce début de XXe siècle, l’industrie pétrolière est maintenant en marche. Les Etats-Unis ont lancé le mouvement, et le monde veut désormais suivre le même exemple.  Entre guerres, coups bas, alliances, cartels et trahisons, les plus grandes nations mondiales sortent le grand jeu et elles ne reculeront devant rien pour acquérir la nouvelle énergie miracle.  C’est une question de vie ou de mort, dans certains cas, mais surtout une question de Capital, à chaque fois…  Écriture : Lucie Devocelle 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  En ce début de XXe siècle, l’industrie pétrolière est maintenant en marche. Les Etats-Unis ont lancé le mouvement, et le monde veut désormais suivre le même exemple.  Entre guerres, coups bas, alliances, cartels et trahisons, les plus grandes nations mondiales sortent le grand jeu et elles ne reculeront devant rien pour acquérir la nouvelle énergie miracle.  C’est une question de vie ou de mort, dans certains cas, mais surtout une question de Capital, à chaque fois…  Écriture : Lucie Devocelle 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  En ce début de XXe siècle, l’industrie pétrolière est maintenant en marche. Les Etats-Unis ont lancé le mouvement, et le monde veut désormais suivre le même exemple.  Entre guerres, coups bas, alliances, cartels et trahisons, les plus grandes nations mondiales sortent le grand jeu et elles ne reculeront devant rien pour acquérir la nouvelle énergie miracle.  C’est une question de vie ou de mort, dans certains cas, mais surtout une question de Capital, à chaque fois…  Écriture : Lucie Devocelle 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Les Chevaliers de la Table Ronde sont des figures emblématiques de la légende arthurienne, qui trouve ses origines dans les récits médiévaux français et britanniques. Leur histoire est centrée autour du roi Arthur, un souverain mythique de Grande-Bretagne du haut Moyen Âge. Selon la légende, Arthur est le détenteur de l'épée magique Excalibur, lui conférant une légitimité divine et une autorité incontestée. Les Chevaliers de la Table Ronde sont ses compagnons les plus fidèles et les plus vaillants, réputés pour leur courage, leur loyauté et leur quête de la vérité et de la justice. Parmi les plus célèbres des chevaliers figurent Lancelot, réputé pour sa bravoure et son amour pour la reine Guenièvre, et Galaad, le chevalier pur et parfait. Ils accomplissent de nombreuses quêtes, dont la recherche du Saint Graal, la coupe utilisée par Jésus-Christ lors de la Cène. Cependant, la fraternité des chevaliers est marquée par des intrigues, des trahisons et des conflits, notamment entre Lancelot et Arthur à cause de l'adultère de ce dernier avec Guenièvre. Cette lutte interne finit par conduire à la chute de Camelot, le royaume d'Arthur. Malgré cela, le mythe des Chevaliers de la Table Ronde demeure une source d'inspiration intemporelle, symbolisant les idéaux de courage, de loyauté et de quête de perfection morale. En compagnie de l’historien et médiéviste Emanuele Arioli, récent découvreur d’un chevalier oublié, et pourtant un des grands héros de cette saga, Ségurant, nous revenons sur l’ensemble du mythe Arthurien.

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Les Chevaliers de la Table Ronde sont des figures emblématiques de la légende arthurienne, qui trouve ses origines dans les récits médiévaux français et britanniques. Leur histoire est centrée autour du roi Arthur, un souverain mythique de Grande-Bretagne du haut Moyen Âge. Selon la légende, Arthur est le détenteur de l'épée magique Excalibur, lui conférant une légitimité divine et une autorité incontestée. Les Chevaliers de la Table Ronde sont ses compagnons les plus fidèles et les plus vaillants, réputés pour leur courage, leur loyauté et leur quête de la vérité et de la justice. Parmi les plus célèbres des chevaliers figurent Lancelot, réputé pour sa bravoure et son amour pour la reine Guenièvre, et Galaad, le chevalier pur et parfait. Ils accomplissent de nombreuses quêtes, dont la recherche du Saint Graal, la coupe utilisée par Jésus-Christ lors de la Cène. Cependant, la fraternité des chevaliers est marquée par des intrigues, des trahisons et des conflits, notamment entre Lancelot et Arthur à cause de l'adultère de ce dernier avec Guenièvre. Cette lutte interne finit par conduire à la chute de Camelot, le royaume d'Arthur. Malgré cela, le mythe des Chevaliers de la Table Ronde demeure une source d'inspiration intemporelle, symbolisant les idéaux de courage, de loyauté et de quête de perfection morale. En compagnie de l’historien et médiéviste Emanuele Arioli, récent découvreur d’un chevalier oublié, et pourtant un des grands héros de cette saga, Ségurant, nous revenons sur l’ensemble du mythe Arthurien.

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Les Chevaliers de la Table Ronde sont des figures emblématiques de la légende arthurienne, qui trouve ses origines dans les récits médiévaux français et britanniques. Leur histoire est centrée autour du roi Arthur, un souverain mythique de Grande-Bretagne du haut Moyen Âge. Selon la légende, Arthur est le détenteur de l'épée magique Excalibur, lui conférant une légitimité divine et une autorité incontestée. Les Chevaliers de la Table Ronde sont ses compagnons les plus fidèles et les plus vaillants, réputés pour leur courage, leur loyauté et leur quête de la vérité et de la justice. Parmi les plus célèbres des chevaliers figurent Lancelot, réputé pour sa bravoure et son amour pour la reine Guenièvre, et Galaad, le chevalier pur et parfait. Ils accomplissent de nombreuses quêtes, dont la recherche du Saint Graal, la coupe utilisée par Jésus-Christ lors de la Cène. Cependant, la fraternité des chevaliers est marquée par des intrigues, des trahisons et des conflits, notamment entre Lancelot et Arthur à cause de l'adultère de ce dernier avec Guenièvre. Cette lutte interne finit par conduire à la chute de Camelot, le royaume d'Arthur. Malgré cela, le mythe des Chevaliers de la Table Ronde demeure une source d'inspiration intemporelle, symbolisant les idéaux de courage, de loyauté et de quête de perfection morale. En compagnie de l’historien et médiéviste Emanuele Arioli, récent découvreur d’un chevalier oublié, et pourtant un des grands héros de cette saga, Ségurant, nous revenons sur l’ensemble du mythe Arthurien.

Les Chevaliers de la Table Ronde sont des figures emblématiques de la légende arthurienne, qui trouve ses origines dans les récits médiévaux français et britanniques. Leur histoire est centrée autour du roi Arthur, un souverain mythique de Grande-Bretagne du haut Moyen Âge. Selon la légende, Arthur est le détenteur de l'épée magique Excalibur, lui conférant une légitimité divine et une autorité incontestée. Les Chevaliers de la Table Ronde sont ses compagnons les plus fidèles et les plus vaillants, réputés pour leur courage, leur loyauté et leur quête de la vérité et de la justice. Parmi les plus célèbres des chevaliers figurent Lancelot, réputé pour sa bravoure et son amour pour la reine Guenièvre, et Galaad, le chevalier pur et parfait. Ils accomplissent de nombreuses quêtes, dont la recherche du Saint Graal, la coupe utilisée par Jésus-Christ lors de la Cène. Cependant, la fraternité des chevaliers est marquée par des intrigues, des trahisons et des conflits, notamment entre Lancelot et Arthur à cause de l'adultère de ce dernier avec Guenièvre. Cette lutte interne finit par conduire à la chute de Camelot, le royaume d'Arthur. Malgré cela, le mythe des Chevaliers de la Table Ronde demeure une source d'inspiration intemporelle, symbolisant les idéaux de courage, de loyauté et de quête de perfection morale. En compagnie de l’historien et médiéviste Emanuele Arioli, récent découvreur d’un chevalier oublié, et pourtant un des grands héros de cette saga, Ségurant, nous revenons sur l’ensemble du mythe Arthurien.

Les Chevaliers de la Table Ronde sont des figures emblématiques de la légende arthurienne, qui trouve ses origines dans les récits médiévaux français et britanniques. Leur histoire est centrée autour du roi Arthur, un souverain mythique de Grande-Bretagne du haut Moyen Âge. Selon la légende, Arthur est le détenteur de l'épée magique Excalibur, lui conférant une légitimité divine et une autorité incontestée. Les Chevaliers de la Table Ronde sont ses compagnons les plus fidèles et les plus vaillants, réputés pour leur courage, leur loyauté et leur quête de la vérité et de la justice. Parmi les plus célèbres des chevaliers figurent Lancelot, réputé pour sa bravoure et son amour pour la reine Guenièvre, et Galaad, le chevalier pur et parfait. Ils accomplissent de nombreuses quêtes, dont la recherche du Saint Graal, la coupe utilisée par Jésus-Christ lors de la Cène. Cependant, la fraternité des chevaliers est marquée par des intrigues, des trahisons et des conflits, notamment entre Lancelot et Arthur à cause de l'adultère de ce dernier avec Guenièvre. Cette lutte interne finit par conduire à la chute de Camelot, le royaume d'Arthur. Malgré cela, le mythe des Chevaliers de la Table Ronde demeure une source d'inspiration intemporelle, symbolisant les idéaux de courage, de loyauté et de quête de perfection morale. En compagnie de l’historien et médiéviste Emanuele Arioli, récent découvreur d’un chevalier oublié, et pourtant un des grands héros de cette saga, Ségurant, nous revenons sur l’ensemble du mythe Arthurien.

Les Chevaliers de la Table Ronde sont des figures emblématiques de la légende arthurienne, qui trouve ses origines dans les récits médiévaux français et britanniques. Leur histoire est centrée autour du roi Arthur, un souverain mythique de Grande-Bretagne du haut Moyen Âge. Selon la légende, Arthur est le détenteur de l'épée magique Excalibur, lui conférant une légitimité divine et une autorité incontestée. Les Chevaliers de la Table Ronde sont ses compagnons les plus fidèles et les plus vaillants, réputés pour leur courage, leur loyauté et leur quête de la vérité et de la justice. Parmi les plus célèbres des chevaliers figurent Lancelot, réputé pour sa bravoure et son amour pour la reine Guenièvre, et Galaad, le chevalier pur et parfait. Ils accomplissent de nombreuses quêtes, dont la recherche du Saint Graal, la coupe utilisée par Jésus-Christ lors de la Cène. Cependant, la fraternité des chevaliers est marquée par des intrigues, des trahisons et des conflits, notamment entre Lancelot et Arthur à cause de l'adultère de ce dernier avec Guenièvre. Cette lutte interne finit par conduire à la chute de Camelot, le royaume d'Arthur. Malgré cela, le mythe des Chevaliers de la Table Ronde demeure une source d'inspiration intemporelle, symbolisant les idéaux de courage, de loyauté et de quête de perfection morale. En compagnie de l’historien et médiéviste Emanuele Arioli, récent découvreur d’un chevalier oublié, et pourtant un des grands héros de cette saga, Ségurant, nous revenons sur l’ensemble du mythe Arthurien.

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Publius Cornelius Scipio Africanus, dit Scipion (235-183 av. J.-C.) était un général et homme d'État romain, membre de la célèbre famille des Scipions. Il émerge pendant la deuxième guerre punique, où il remporte des victoires cruciales contre les Carthaginois. Sa stratégie audacieuse lors de la bataille de Zama en 202 av. J.-C. contre Hannibal Barca, le grand général carthaginois, assure la victoire romaine et met fin à la guerre. Acclamé à Rome pour ses exploits militaires, il reçoit le surnom d'"Africanus".  Par la suite, il poursuit une carrière politique, devenant consul et censeur. Cependant, il rencontre des controverses et des oppositions au sein de la politique romaine. Ses réformes et son comportement aristocratique suscitent la méfiance, et il se retire de la vie publique vers la fin de sa vie. Malgré ses succès, Scipion l'Africain connaîtra des périodes difficiles, notamment des accusations de corruption. Néanmoins, il demeure une figure emblématique de l'histoire romaine, célébrée pour ses triomphes militaires et son rôle dans la victoire sur Carthage. Et il n’est pas pour rien dans notre culture occidentale… En compagnie de l’historien et spécialiste Laurent Gohary, auteur de l’excellent Scipion l’Africain, nous revenons sur toute sa vie.

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Publius Cornelius Scipio Africanus, dit Scipion (235-183 av. J.-C.) était un général et homme d'État romain, membre de la célèbre famille des Scipions. Il émerge pendant la deuxième guerre punique, où il remporte des victoires cruciales contre les Carthaginois. Sa stratégie audacieuse lors de la bataille de Zama en 202 av. J.-C. contre Hannibal Barca, le grand général carthaginois, assure la victoire romaine et met fin à la guerre. Acclamé à Rome pour ses exploits militaires, il reçoit le surnom d'"Africanus".  Par la suite, il poursuit une carrière politique, devenant consul et censeur. Cependant, il rencontre des controverses et des oppositions au sein de la politique romaine. Ses réformes et son comportement aristocratique suscitent la méfiance, et il se retire de la vie publique vers la fin de sa vie. Malgré ses succès, Scipion l'Africain connaîtra des périodes difficiles, notamment des accusations de corruption. Néanmoins, il demeure une figure emblématique de l'histoire romaine, célébrée pour ses triomphes militaires et son rôle dans la victoire sur Carthage. Et il n’est pas pour rien dans notre culture occidentale… En compagnie de l’historien et spécialiste Laurent Gohary, auteur de l’excellent Scipion l’Africain, nous revenons sur toute sa vie.

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  L'histoire inédite d'une exception française, de Montaigne à François Mitterrand. La France possède une singularité enviée du monde, et sans doute vouée à disparaître : la liaison étroite qu'entretiennent depuis des siècles la politique et la littérature. En quel autre pays, un homme d'État estimerait que la légitimité issue du suffrage est rehaussée par le prestige de l'écriture ? En quel autre pays les grands écrivains jugent que leur génie leur octroie le devoir d'éclairer les destinées de la nation et de guider le peuple ? Ce croisement n'a pas été l'exception mais la norme, comme en témoignent par exemple la publication du Mémorial de Sainte-Hélène et celle des Mémoires de Charles de Gaulle dans la bibliothèque de la Pléiade.  Du XVIe au XXIe siècle, ce grand livre met en lumière, à travers une galerie de portraits d'hommes politiques qui ont écrit des chefs-d'œuvre et d'écrivains phares qui ont exercé le pouvoir, cette endogamie paradoxale qui n'a cessé de susciter l'étonnement des étrangers, car elle donne aux mots une résonance et à la politique une élévation, presque une transcendance, qui manque tant aujourd'hui. Du côté des hommes d'État, voici Henri IV, Richelieu, Louis XIV, Mirabeau, Napoléon, Clemenceau, Jaurès, Blum, de Gaulle et Mitterrand, dont l'exercice du pouvoir s'est accompagné des pouvoirs de l'écrit. Parmi les écrivains dont la renommée a été le piédestal des ambitions politiques, voici Montaigne, Chateaubriand, Lamartine, Tocqueville, Hugo, Barrès, Malraux, Senghor... La littérature apparaît tantôt comme le vecteur d'une ambition, tantôt comme le deuil éclatant d'espoirs déçus, tandis que la politique cherche dans la littérature un surcroît de légitimité conjugué à un brevet pour la postérité. Un livre fort, doté d'une écriture superbe ; des portraits ciselés qui convoquent l'ironie de Saint-Simon et ont la profondeur de ceux de Sainte-Beuve. Bruno de Cessole est notre invité pour Xpresso

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Publius Cornelius Scipio Africanus, dit Scipion (235-183 av. J.-C.) était un général et homme d'État romain, membre de la célèbre famille des Scipions. Il émerge pendant la deuxième guerre punique, où il remporte des victoires cruciales contre les Carthaginois. Sa stratégie audacieuse lors de la bataille de Zama en 202 av. J.-C. contre Hannibal Barca, le grand général carthaginois, assure la victoire romaine et met fin à la guerre. Acclamé à Rome pour ses exploits militaires, il reçoit le surnom d'"Africanus".  Par la suite, il poursuit une carrière politique, devenant consul et censeur. Cependant, il rencontre des controverses et des oppositions au sein de la politique romaine. Ses réformes et son comportement aristocratique suscitent la méfiance, et il se retire de la vie publique vers la fin de sa vie. Malgré ses succès, Scipion l'Africain connaîtra des périodes difficiles, notamment des accusations de corruption. Néanmoins, il demeure une figure emblématique de l'histoire romaine, célébrée pour ses triomphes militaires et son rôle dans la victoire sur Carthage. Et il n’est pas pour rien dans notre culture occidentale… En compagnie de l’historien et spécialiste Laurent Gohary, auteur de l’excellent Scipion l’Africain, nous revenons sur toute sa vie.

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Publius Cornelius Scipio Africanus, dit Scipion (235-183 av. J.-C.) était un général et homme d'État romain, membre de la célèbre famille des Scipions. Il émerge pendant la deuxième guerre punique, où il remporte des victoires cruciales contre les Carthaginois. Sa stratégie audacieuse lors de la bataille de Zama en 202 av. J.-C. contre Hannibal Barca, le grand général carthaginois, assure la victoire romaine et met fin à la guerre. Acclamé à Rome pour ses exploits militaires, il reçoit le surnom d'"Africanus".  Par la suite, il poursuit une carrière politique, devenant consul et censeur. Cependant, il rencontre des controverses et des oppositions au sein de la politique romaine. Ses réformes et son comportement aristocratique suscitent la méfiance, et il se retire de la vie publique vers la fin de sa vie. Malgré ses succès, Scipion l'Africain connaîtra des périodes difficiles, notamment des accusations de corruption. Néanmoins, il demeure une figure emblématique de l'histoire romaine, célébrée pour ses triomphes militaires et son rôle dans la victoire sur Carthage. Et il n’est pas pour rien dans notre culture occidentale… En compagnie de l’historien et spécialiste Laurent Gohary, auteur de l’excellent Scipion l’Africain, nous revenons sur toute sa vie.

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Publius Cornelius Scipio Africanus, dit Scipion (235-183 av. J.-C.) était un général et homme d'État romain, membre de la célèbre famille des Scipions. Il émerge pendant la deuxième guerre punique, où il remporte des victoires cruciales contre les Carthaginois. Sa stratégie audacieuse lors de la bataille de Zama en 202 av. J.-C. contre Hannibal Barca, le grand général carthaginois, assure la victoire romaine et met fin à la guerre. Acclamé à Rome pour ses exploits militaires, il reçoit le surnom d'"Africanus".  Par la suite, il poursuit une carrière politique, devenant consul et censeur. Cependant, il rencontre des controverses et des oppositions au sein de la politique romaine. Ses réformes et son comportement aristocratique suscitent la méfiance, et il se retire de la vie publique vers la fin de sa vie. Malgré ses succès, Scipion l'Africain connaîtra des périodes difficiles, notamment des accusations de corruption. Néanmoins, il demeure une figure emblématique de l'histoire romaine, célébrée pour ses triomphes militaires et son rôle dans la victoire sur Carthage. Et il n’est pas pour rien dans notre culture occidentale… En compagnie de l’historien et spécialiste Laurent Gohary, auteur de l’excellent Scipion l’Africain, nous revenons sur toute sa vie.

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Publius Cornelius Scipio Africanus, dit Scipion (235-183 av. J.-C.) était un général et homme d'État romain, membre de la célèbre famille des Scipions. Il émerge pendant la deuxième guerre punique, où il remporte des victoires cruciales contre les Carthaginois. Sa stratégie audacieuse lors de la bataille de Zama en 202 av. J.-C. contre Hannibal Barca, le grand général carthaginois, assure la victoire romaine et met fin à la guerre. Acclamé à Rome pour ses exploits militaires, il reçoit le surnom d'"Africanus".  Par la suite, il poursuit une carrière politique, devenant consul et censeur. Cependant, il rencontre des controverses et des oppositions au sein de la politique romaine. Ses réformes et son comportement aristocratique suscitent la méfiance, et il se retire de la vie publique vers la fin de sa vie. Malgré ses succès, Scipion l'Africain connaîtra des périodes difficiles, notamment des accusations de corruption. Néanmoins, il demeure une figure emblématique de l'histoire romaine, célébrée pour ses triomphes militaires et son rôle dans la victoire sur Carthage. Et il n’est pas pour rien dans notre culture occidentale… En compagnie de l’historien et spécialiste Laurent Gohary, auteur de l’excellent Scipion l’Africain, nous revenons sur toute sa vie.

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Quand on prononce le mot « Egypte », tout de suite, on pense aux pyramides, aux momies, aux grands pharaons qui se sont succédés sur le trône, aux innombrables statues qui sont exposées dans les musées, aux fabuleux trésors mêlant or et lapis-lazuli, sans oublier les étranges divinités aux têtes d’animaux. La civilisation égyptienne nous fascine depuis des siècles, et elle semble avoir toujours exister, telle que nous la connaissons aujourd’hui.  Mais, comme toute civilisation, elle n’est pas née, d’un coup, d’un coup de baguette magique. Elle est le fruit d’une longue évolution, d’un long cheminement. Elle aussi, elle a son histoire, une histoire passionnante. Comme c’est une histoire qui se déroule sur plusieurs millénaires, une seule émission ne pourrait suffire pour en raconter ses grandes lignes. Nous proposons donc de vous la faire découvrir en 7 épisodes, des origines à la conquête romaine.  L’histoire de l’Egypte pharaonique commence il y a plus de 6 000 ans, au milieu du désert. Plusieurs groupes de nomades parcourent ce vaste territoire de long en large, au gré des saisons et des conditions climatiques. Il arrive qu’ils se rencontrent et qu’ils échangent leurs savoirs et leurs savoir-faire. Un beau jour, ils se réunissent et donnent naissances aux premières villes, puis aux premiers royaumes. Le pays est alors divisé en deux parties, deux Etats qui se combattent sans cesse, entre deux transactions. Chaque camp possède des atouts et des inconvénients. Les deux Etats, le Nord et le Sud, sont constitués par deux civilisations différentes, qui vivent et pensent de manière différente. Ces deux sœurs ennemies semblent irréconciliables, et la perspective de créer un Etat unique semble être une chose impossible. Et pourtant, un homme va accomplir cet exploit. Ecriture: Laetitia Faure pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Quand on prononce le mot « Egypte », tout de suite, on pense aux pyramides, aux momies, aux grands pharaons qui se sont succédés sur le trône, aux innombrables statues qui sont exposées dans les musées, aux fabuleux trésors mêlant or et lapis-lazuli, sans oublier les étranges divinités aux têtes d’animaux. La civilisation égyptienne nous fascine depuis des siècles, et elle semble avoir toujours exister, telle que nous la connaissons aujourd’hui.  Mais, comme toute civilisation, elle n’est pas née, d’un coup, d’un coup de baguette magique. Elle est le fruit d’une longue évolution, d’un long cheminement. Elle aussi, elle a son histoire, une histoire passionnante. Comme c’est une histoire qui se déroule sur plusieurs millénaires, une seule émission ne pourrait suffire pour en raconter ses grandes lignes. Nous proposons donc de vous la faire découvrir en 7 épisodes, des origines à la conquête romaine.  L’histoire de l’Egypte pharaonique commence il y a plus de 6 000 ans, au milieu du désert. Plusieurs groupes de nomades parcourent ce vaste territoire de long en large, au gré des saisons et des conditions climatiques. Il arrive qu’ils se rencontrent et qu’ils échangent leurs savoirs et leurs savoir-faire. Un beau jour, ils se réunissent et donnent naissances aux premières villes, puis aux premiers royaumes. Le pays est alors divisé en deux parties, deux Etats qui se combattent sans cesse, entre deux transactions. Chaque camp possède des atouts et des inconvénients. Les deux Etats, le Nord et le Sud, sont constitués par deux civilisations différentes, qui vivent et pensent de manière différente. Ces deux sœurs ennemies semblent irréconciliables, et la perspective de créer un Etat unique semble être une chose impossible. Et pourtant, un homme va accomplir cet exploit. Ecriture: Laetitia Faure pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  À quoi donc ressemblerait notre temps si Rome n’avait été sauvée, après la bataille de Cannes en 216 av. J.-C., par un homme tombé dans l’oubli : Publius Cornelius Scipio. Surnommé l’Africain après sa victoire sur Hannibal à Zama, il occupe une place de premier plan parmi les héros de la République romaine. Bien loin de l’image idéalisée telle que l’imaginaient Poussin ou Mozart, le personnage eut une dimension plus sombre que la tradition a bien voulu le laisser paraître. Calculateur souvent, cruel parfois, retors, mais aussi visionnaire, charismatique, généreux et habile diplomate, cet homme qui transgressa nombre de règles de la République eut pourtant la témérité nécessaire pour la sauver de son pire ennemi. Il sut apprendre d’Hannibal la ruse pour mieux le vaincre sur son propre terrain. Précurseur d’un César, il modernisa l’armée romaine et ses tactiques. Philhellène, il introduisit plus qu’on ne le croit d’ordinaire la culture grecque dans une Rome encore conservatrice. Scipion donna également à la République les prémices d’une mainmise sur l’Espagne, l’Afrique et l’Asie, inaugurant de la sorte une romanisation qui tolérait les autres cultures à condition qu’elles se soumettent à Rome. Mais il connut une terrible chute, témoignage de l’ingratitude d’une patrie qui redoutait l’ombre même des rois. Au point que la postérité lui préféra souvent la renommée lumineuse de son farouche adversaire. Laurent Gohary est notre invité pour Xpresso

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Quand on prononce le mot « Egypte », tout de suite, on pense aux pyramides, aux momies, aux grands pharaons qui se sont succédés sur le trône, aux innombrables statues qui sont exposées dans les musées, aux fabuleux trésors mêlant or et lapis-lazuli, sans oublier les étranges divinités aux têtes d’animaux. La civilisation égyptienne nous fascine depuis des siècles, et elle semble avoir toujours exister, telle que nous la connaissons aujourd’hui.  Mais, comme toute civilisation, elle n’est pas née, d’un coup, d’un coup de baguette magique. Elle est le fruit d’une longue évolution, d’un long cheminement. Elle aussi, elle a son histoire, une histoire passionnante. Comme c’est une histoire qui se déroule sur plusieurs millénaires, une seule émission ne pourrait suffire pour en raconter ses grandes lignes. Nous proposons donc de vous la faire découvrir en 7 épisodes, des origines à la conquête romaine.  L’histoire de l’Egypte pharaonique commence il y a plus de 6 000 ans, au milieu du désert. Plusieurs groupes de nomades parcourent ce vaste territoire de long en large, au gré des saisons et des conditions climatiques. Il arrive qu’ils se rencontrent et qu’ils échangent leurs savoirs et leurs savoir-faire. Un beau jour, ils se réunissent et donnent naissances aux premières villes, puis aux premiers royaumes. Le pays est alors divisé en deux parties, deux Etats qui se combattent sans cesse, entre deux transactions. Chaque camp possède des atouts et des inconvénients. Les deux Etats, le Nord et le Sud, sont constitués par deux civilisations différentes, qui vivent et pensent de manière différente. Ces deux sœurs ennemies semblent irréconciliables, et la perspective de créer un Etat unique semble être une chose impossible. Et pourtant, un homme va accomplir cet exploit. Ecriture: Laetitia Faure pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Quand on prononce le mot « Egypte », tout de suite, on pense aux pyramides, aux momies, aux grands pharaons qui se sont succédés sur le trône, aux innombrables statues qui sont exposées dans les musées, aux fabuleux trésors mêlant or et lapis-lazuli, sans oublier les étranges divinités aux têtes d’animaux. La civilisation égyptienne nous fascine depuis des siècles, et elle semble avoir toujours exister, telle que nous la connaissons aujourd’hui.  Mais, comme toute civilisation, elle n’est pas née, d’un coup, d’un coup de baguette magique. Elle est le fruit d’une longue évolution, d’un long cheminement. Elle aussi, elle a son histoire, une histoire passionnante. Comme c’est une histoire qui se déroule sur plusieurs millénaires, une seule émission ne pourrait suffire pour en raconter ses grandes lignes. Nous proposons donc de vous la faire découvrir en 7 épisodes, des origines à la conquête romaine.  L’histoire de l’Egypte pharaonique commence il y a plus de 6 000 ans, au milieu du désert. Plusieurs groupes de nomades parcourent ce vaste territoire de long en large, au gré des saisons et des conditions climatiques. Il arrive qu’ils se rencontrent et qu’ils échangent leurs savoirs et leurs savoir-faire. Un beau jour, ils se réunissent et donnent naissances aux premières villes, puis aux premiers royaumes. Le pays est alors divisé en deux parties, deux Etats qui se combattent sans cesse, entre deux transactions. Chaque camp possède des atouts et des inconvénients. Les deux Etats, le Nord et le Sud, sont constitués par deux civilisations différentes, qui vivent et pensent de manière différente. Ces deux sœurs ennemies semblent irréconciliables, et la perspective de créer un Etat unique semble être une chose impossible. Et pourtant, un homme va accomplir cet exploit. Ecriture: Laetitia Faure pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Quand on prononce le mot « Egypte », tout de suite, on pense aux pyramides, aux momies, aux grands pharaons qui se sont succédés sur le trône, aux innombrables statues qui sont exposées dans les musées, aux fabuleux trésors mêlant or et lapis-lazuli, sans oublier les étranges divinités aux têtes d’animaux. La civilisation égyptienne nous fascine depuis des siècles, et elle semble avoir toujours exister, telle que nous la connaissons aujourd’hui.  Mais, comme toute civilisation, elle n’est pas née, d’un coup, d’un coup de baguette magique. Elle est le fruit d’une longue évolution, d’un long cheminement. Elle aussi, elle a son histoire, une histoire passionnante. Comme c’est une histoire qui se déroule sur plusieurs millénaires, une seule émission ne pourrait suffire pour en raconter ses grandes lignes. Nous proposons donc de vous la faire découvrir en 7 épisodes, des origines à la conquête romaine.  L’histoire de l’Egypte pharaonique commence il y a plus de 6 000 ans, au milieu du désert. Plusieurs groupes de nomades parcourent ce vaste territoire de long en large, au gré des saisons et des conditions climatiques. Il arrive qu’ils se rencontrent et qu’ils échangent leurs savoirs et leurs savoir-faire. Un beau jour, ils se réunissent et donnent naissances aux premières villes, puis aux premiers royaumes. Le pays est alors divisé en deux parties, deux Etats qui se combattent sans cesse, entre deux transactions. Chaque camp possède des atouts et des inconvénients. Les deux Etats, le Nord et le Sud, sont constitués par deux civilisations différentes, qui vivent et pensent de manière différente. Ces deux sœurs ennemies semblent irréconciliables, et la perspective de créer un Etat unique semble être une chose impossible. Et pourtant, un homme va accomplir cet exploit. Ecriture: Laetitia Faure pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Quand on prononce le mot « Egypte », tout de suite, on pense aux pyramides, aux momies, aux grands pharaons qui se sont succédés sur le trône, aux innombrables statues qui sont exposées dans les musées, aux fabuleux trésors mêlant or et lapis-lazuli, sans oublier les étranges divinités aux têtes d’animaux. La civilisation égyptienne nous fascine depuis des siècles, et elle semble avoir toujours exister, telle que nous la connaissons aujourd’hui.  Mais, comme toute civilisation, elle n’est pas née, d’un coup, d’un coup de baguette magique. Elle est le fruit d’une longue évolution, d’un long cheminement. Elle aussi, elle a son histoire, une histoire passionnante. Comme c’est une histoire qui se déroule sur plusieurs millénaires, une seule émission ne pourrait suffire pour en raconter ses grandes lignes. Nous proposons donc de vous la faire découvrir en 7 épisodes, des origines à la conquête romaine.  L’histoire de l’Egypte pharaonique commence il y a plus de 6 000 ans, au milieu du désert. Plusieurs groupes de nomades parcourent ce vaste territoire de long en large, au gré des saisons et des conditions climatiques. Il arrive qu’ils se rencontrent et qu’ils échangent leurs savoirs et leurs savoir-faire. Un beau jour, ils se réunissent et donnent naissances aux premières villes, puis aux premiers royaumes. Le pays est alors divisé en deux parties, deux Etats qui se combattent sans cesse, entre deux transactions. Chaque camp possède des atouts et des inconvénients. Les deux Etats, le Nord et le Sud, sont constitués par deux civilisations différentes, qui vivent et pensent de manière différente. Ces deux sœurs ennemies semblent irréconciliables, et la perspective de créer un Etat unique semble être une chose impossible. Et pourtant, un homme va accomplir cet exploit. Ecriture: Laetitia Faure pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit … Ecriture: Iona Bermon pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit … Ecriture: Iona Bermon pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Surpassant tous les chevaliers de son temps en force et en bravoure, Ségurant remporte haut la main chaque tournoi de chevalerie auquel il participe, jusqu’à ce qu’il soit ensorcelé par les fées Morgane et Sibylle qui le lancent à la poursuite d’un dragon cracheur de feu. Les aventures extraordinaires de ce chevalier de la Table Ronde étaient oubliées depuis des siècles. Elles ont été retrouvées par un jeune médiéviste, Emanuele Arioli, qui a parcouru les bibliothèques de toute l’Europe en quête des manuscrits de ce roman arthurien. Au terme de plus de dix années de recherches, Emanuele Arioli donne ici le texte de ce roman disparu, illustré par les enluminures des manuscrits originaux, pour que chacun puisse, pour la première fois, le lire. « Retrouver aujourd’hui un nouveau roman du Moyen Âge, un roman arthurien inconnu, est exceptionnel. [...] Reconstituer l’ensemble du roman est un prodige d’érudition, d’intelligence et de sensibilité. » Michel Zink Emanuele Arioli est notre invité pour Xpresso

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit … Ecriture: Iona Bermon pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit … Ecriture: Iona Bermon pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit … Ecriture: Iona Bermon pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit … Ecriture: Iona Bermon pour Timeline

Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit … Ecriture: Iona Bermon pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit … Ecriture: Iona Bermon pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Dans cette émission, j‘explore les idées préconçues entourant Napoléon Bonaparte, suite à tout ce qui a pu être vu et entendu avec la sortie du film de Ridley Scott. J’ai cherché à démystifier les clichés populaires, en commençant par expliquer le pourquoi du comment...  En remettant en question les stéréotypes tenaces, en examinant les sources historiques et en déconstruisant les mythes, l'émission offre un regard critique sur la manière dont l'histoire a façonné la perception de Napoléon, encourageant le public à remettre en question les préjugés courants et à approfondir sa compréhension de cette figure emblématique. Bonne écoute ! Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit …  Ecriture: Iona Bermon pour Timeline 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit …  Ecriture: Iona Bermon pour Timeline 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit …  Ecriture: Iona Bermon pour Timeline 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit …  Ecriture: Iona Bermon pour Timeline 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit …  Ecriture: Iona Bermon pour Timeline 

Il y a exactement cent ans, lors de l’hiver 1924, le fils du magnat JP Morgan, Jack Morgan, faisait don au public de la collection de livres titanesque de son père.  Cette collection est encore abritée aujourd'hui dans un sublime palais de marbre sur Madison Avenue à New York. Depuis plus d’un siècle, des chercheurs du monde entier s’y rendent pour consulter les copies originales de manuscrits les plus rares de l'histoire de l’humanité.  La Bible de Gutenberg, le livre d’heures de Catherine de Clèves, l’édition originale de Paradis Perdu de John Milton, les correspondances entre Paul Gauguin et Vincent van Gogh...  Pour tant de richesses durement négociées et méticuleusement archivées, est-ce que vous saviez qu’à la tête de cet empire littéraire régnait une femme ? Son nom, Belle Greene.  C’est l’héroïne de notre histoire, le summum de la self made woman. Belle da Costa Greene de son nom complet vivait à une époque d’une violence inouïe pour les personnes noires. De descendance afro américaine, cette femme métisse a l’éducation brillante a bravé mille interdits pour se construire une carrière au sommet de l’échelle sociale.  Née quinze ans à peine après l’abolition de l’escalvage en 1865, la loi américaine lui interdisait l’accès à toute forme de prestige.  Malgré son teint légèrement matte, et la clarté de ses yeux verts, malgré le teint pâle de ses soeurs et leur chevelure blonde, Belle et les siens étaient perçus comme des gens de couleur, des marginaux.  En effet, les lois Jim Crow passées en 1877 les maintenaient à l’écart des blancs dans les transports, dans les écoles, dans les bibliothèques et les restaurants. D’après la célèbre “One drop Rule” règle de l’unique goutte de sang, chaque personne métis vivant sur le territoire américain était contrainte de se déclarer comme noire.  Une seule goutte de sang, la goutte d’un seul ancêtre africain suffisait pour les condamner à la précarité absolue.  Tout individu métis qui tentait de se faire passer pour blanc était passible de lynchage, c’était considéré comme un crime. Cette histoire est consacrée au destin d’une femme qui en a décidé autrement, qui a eu le courage de braver la loi, le courage de s’inventer une vie et la sublimer à la perfection.  Le génie de Belle Greene lui a valu de devenir au début du XXe siècle, tout simplement la femme la plus riche des Etats Unis.  Toutefois, c’est son audace qui lui a permis d’être considérée à sa juste valeur.  A la effrontée et précautionneuse, légère mais indétrônable.  Belle Greene est un phénomène unique de l’histoire.  Elle semble même la devancer d’un demi-siècle tant son indépendance et son goût du moderne transcendaient les mœurs de son époque.  Elle écrivait d’ailleurs en 1910 à son amant, l’historien Bernhard Berenson, la lettre suivante: « Je pense que, chez la plupart d’entre nous, il y a le désir de transgresser les limites. Je sais que ce besoin d’aller au-delà de toutes les expériences ne me quitte pas. C’est comme ça, Fiamma mia : je suis habitée par le goût de l’excès, et mon amour pour toi n’y changera rien.»  Et voici son récit … Ecriture: Iona Bermon pour Timeline

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Dans cette émission, j‘explore les idées préconçues entourant Napoléon Bonaparte, suite à tout ce qui a pu être vu et entendu avec la sortie du film de Ridley Scott. J’ai cherché à démystifier les clichés populaires, en commençant par expliquer le pourquoi du comment...  En remettant en question les stéréotypes tenaces, en examinant les sources historiques et en déconstruisant les mythes, l'émission offre un regard critique sur la manière dont l'histoire a façonné la perception de Napoléon, encourageant le public à remettre en question les préjugés courants et à approfondir sa compréhension de cette figure emblématique. Bonne écoute !

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Dans cette émission, j‘explore les idées préconçues entourant Napoléon Bonaparte, suite à tout ce qui a pu être vu et entendu avec la sortie du film de Ridley Scott. J’ai cherché à démystifier les clichés populaires, en commençant par expliquer le pourquoi du comment...  En remettant en question les stéréotypes tenaces, en examinant les sources historiques et en déconstruisant les mythes, l'émission offre un regard critique sur la manière dont l'histoire a façonné la perception de Napoléon, encourageant le public à remettre en question les préjugés courants et à approfondir sa compréhension de cette figure emblématique. Bonne écoute !

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Dans cette émission, j‘explore les idées préconçues entourant Napoléon Bonaparte, suite à tout ce qui a pu être vu et entendu avec la sortie du film de Ridley Scott. J’ai cherché à démystifier les clichés populaires, en commençant par expliquer le pourquoi du comment...  En remettant en question les stéréotypes tenaces, en examinant les sources historiques et en déconstruisant les mythes, l'émission offre un regard critique sur la manière dont l'histoire a façonné la perception de Napoléon, encourageant le public à remettre en question les préjugés courants et à approfondir sa compréhension de cette figure emblématique. Bonne écoute !

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Dans cette émission, j‘explore les idées préconçues entourant Napoléon Bonaparte, suite à tout ce qui a pu être vu et entendu avec la sortie du film de Ridley Scott. J’ai cherché à démystifier les clichés populaires, en commençant par expliquer le pourquoi du comment...  En remettant en question les stéréotypes tenaces, en examinant les sources historiques et en déconstruisant les mythes, l'émission offre un regard critique sur la manière dont l'histoire a façonné la perception de Napoléon, encourageant le public à remettre en question les préjugés courants et à approfondir sa compréhension de cette figure emblématique. Bonne écoute !

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Dans cette émission, j‘explore les idées préconçues entourant Napoléon Bonaparte, suite à tout ce qui a pu être vu et entendu avec la sortie du film de Ridley Scott. J’ai cherché à démystifier les clichés populaires, en commençant par expliquer le pourquoi du comment...  En remettant en question les stéréotypes tenaces, en examinant les sources historiques et en déconstruisant les mythes, l'émission offre un regard critique sur la manière dont l'histoire a façonné la perception de Napoléon, encourageant le public à remettre en question les préjugés courants et à approfondir sa compréhension de cette figure emblématique. Bonne écoute !

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Dans cette émission, j‘explore les idées préconçues entourant Napoléon Bonaparte, suite à tout ce qui a pu être vu et entendu avec la sortie du film de Ridley Scott. J’ai cherché à démystifier les clichés populaires, en commençant par expliquer le pourquoi du comment...  En remettant en question les stéréotypes tenaces, en examinant les sources historiques et en déconstruisant les mythes, l'émission offre un regard critique sur la manière dont l'histoire a façonné la perception de Napoléon, encourageant le public à remettre en question les préjugés courants et à approfondir sa compréhension de cette figure emblématique. Bonne écoute !

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  "La maison du Loup" de Benoit Soles, un voyage au bout duquel vous serez comment un roman a changé la société américaine ! Entrez dans La Maison du loup, le repaire du mythique écrivain américain, Jack London ! Vous y rencontrerez sa partenaire, Charmian, et le mystérieux Ed, porteur d'un lourd secret. Dans un superbe décor, vous verrez ces trois fauves se flairer, se déchirer, puis se réconcilier. Il sera question d'amour, d'idéaux, de révolte, d'instinct de survie et de l'étincelle créatrice... Un voyage au bout duquel vous saurez comment un roman a changé la société américaine !  Après La Machine de Turing (4 Molières 2019), la nouvelle création de Benoit Solès. Pour Xpresso, Benoit Solès est notre invité en studio. 

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Vous écoutez gratuitement "Francis Huster raconte Molière", un épisode du podcast "5.000 ans d'Histoire". Si cela vous a plu, retrouvez + de 300 podcasts d'une heure environ pour seulement 2€ par mois, avec une nouvelle émission chaque Jeudi : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  Les pièces de Molière sont connues dans le monde entier, des millions d'écoliers ont appris - et continuent d'apprendre ? - ses vers, et le français est appelé "la langue de Molière", comme il y a la langue de Shakespeare pour l'anglais, la langue de Goethe pour l'allemand ...  Mais alors, pourquoi Molière n'est pas au Panthéon ?  C'est l'un des combats que mène Francis Huster, qui vient de sortir "Molière mon dieu" aux éditions Dunod.  Dans cette discussion, où le verbe et la langue sont magnifiés par cet immense comédien qui connaît si bien Molière, il nous raconte qui est Jean-Baptiste Poquelin, quel est son théâtre, pourquoi il fut si important au point qu'on puisse parler de "disruptif" à son égard.  N'oubliez pas la pétition, à laquelle Timeline s'associe pleinement : www.dunod.link/moliere-pantheon

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Vous écoutez gratuitement "Francis Huster raconte Molière", un épisode du podcast "5.000 ans d'Histoire". Si cela vous a plu, retrouvez + de 300 podcasts d'une heure environ pour seulement 2€ par mois, avec une nouvelle émission chaque Jeudi : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  Les pièces de Molière sont connues dans le monde entier, des millions d'écoliers ont appris - et continuent d'apprendre ? - ses vers, et le français est appelé "la langue de Molière", comme il y a la langue de Shakespeare pour l'anglais, la langue de Goethe pour l'allemand ...  Mais alors, pourquoi Molière n'est pas au Panthéon ?  C'est l'un des combats que mène Francis Huster, qui vient de sortir "Molière mon dieu" aux éditions Dunod.  Dans cette discussion, où le verbe et la langue sont magnifiés par cet immense comédien qui connaît si bien Molière, il nous raconte qui est Jean-Baptiste Poquelin, quel est son théâtre, pourquoi il fut si important au point qu'on puisse parler de "disruptif" à son égard.  N'oubliez pas la pétition, à laquelle Timeline s'associe pleinement : www.dunod.link/moliere-pantheon

Cet épisode vous est proposé gratuitement en partenariat avec  ISpeakSpokeSpoken.com la plus grande communauté d'apprentissage de l'anglais en France sponsorise cet épisode. Recevez gratuitement votre challenge PDF pour vous (re)mettre à l’anglais en 4 semaines en suivant le lien créé pour vous : www.ispeakspokespoken.com/timeline  Vous écoutez gratuitement "Francis Huster raconte Molière", un épisode du podcast "5.000 ans d'Histoire". Si cela vous a plu, retrouvez + de 300 podcasts d'une heure environ pour seulement 2€ par mois, avec une nouvelle émission chaque Jeudi : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  Les pièces de Molière sont connues dans le monde entier, des millions d'écoliers ont appris - et continuent d'apprendre ? - ses vers, et le français est appelé "la langue de Molière", comme il y a la langue de Shakespeare pour l'anglais, la langue de Goethe pour l'allemand ...  Mais alors, pourquoi Molière n'est pas au Panthéon ?  C'est l'un des combats que mène Francis Huster, qui vient de sortir "Molière mon dieu" aux éditions Dunod.  Dans cette discussion, où le verbe et la langue sont magnifiés par cet immense comédien qui connaît si bien Molière, il nous raconte qui est Jean-Baptiste Poquelin, quel est son théâtre, pourquoi il fut si important au point qu'on puisse parler de "disruptif" à son égard.  N'oubliez pas la pétition, à laquelle Timeline s'associe pleinement : www.dunod.link/moliere-pantheon

Vous écoutez gratuitement "Francis Huster raconte Molière", un épisode du podcast "5.000 ans d'Histoire". Si cela vous a plu, retrouvez + de 300 podcasts d'une heure environ pour seulement 2€ par mois, avec une nouvelle émission chaque Jeudi : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  Les pièces de Molière sont connues dans le monde entier, des millions d'écoliers ont appris - et continuent d'apprendre ? - ses vers, et le français est appelé "la langue de Molière", comme il y a la langue de Shakespeare pour l'anglais, la langue de Goethe pour l'allemand ...  Mais alors, pourquoi Molière n'est pas au Panthéon ?  C'est l'un des combats que mène Francis Huster, qui vient de sortir "Molière mon dieu" aux éditions Dunod.  Dans cette discussion, où le verbe et la langue sont magnifiés par cet immense comédien qui connaît si bien Molière, il nous raconte qui est Jean-Baptiste Poquelin, quel est son théâtre, pourquoi il fut si important au point qu'on puisse parler de "disruptif" à son égard.  N'oubliez pas la pétition, à laquelle Timeline s'associe pleinement : www.dunod.link/moliere-pantheon

Vous écoutez gratuitement "Francis Huster raconte Molière", un épisode du podcast "5.000 ans d'Histoire". Si cela vous a plu, retrouvez + de 300 podcasts d'une heure environ pour seulement 2€ par mois, avec une nouvelle émission chaque Jeudi : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  Les pièces de Molière sont connues dans le monde entier, des millions d'écoliers ont appris - et continuent d'apprendre ? - ses vers, et le français est appelé "la langue de Molière", comme il y a la langue de Shakespeare pour l'anglais, la langue de Goethe pour l'allemand ...  Mais alors, pourquoi Molière n'est pas au Panthéon ?  C'est l'un des combats que mène Francis Huster, qui vient de sortir "Molière mon dieu" aux éditions Dunod.  Dans cette discussion, où le verbe et la langue sont magnifiés par cet immense comédien qui connaît si bien Molière, il nous raconte qui est Jean-Baptiste Poquelin, quel est son théâtre, pourquoi il fut si important au point qu'on puisse parler de "disruptif" à son égard.  N'oubliez pas la pétition, à laquelle Timeline s'associe pleinement : www.dunod.link/moliere-pantheon

Vous écoutez gratuitement "Francis Huster raconte Molière", un épisode du podcast "5.000 ans d'Histoire". Si cela vous a plu, retrouvez + de 300 podcasts d'une heure environ pour seulement 2€ par mois, avec une nouvelle émission chaque Jeudi : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  Les pièces de Molière sont connues dans le monde entier, des millions d'écoliers ont appris - et continuent d'apprendre ? - ses vers, et le français est appelé "la langue de Molière", comme il y a la langue de Shakespeare pour l'anglais, la langue de Goethe pour l'allemand ...  Mais alors, pourquoi Molière n'est pas au Panthéon ?  C'est l'un des combats que mène Francis Huster, qui vient de sortir "Molière mon dieu" aux éditions Dunod.  Dans cette discussion, où le verbe et la langue sont magnifiés par cet immense comédien qui connaît si bien Molière, il nous raconte qui est Jean-Baptiste Poquelin, quel est son théâtre, pourquoi il fut si important au point qu'on puisse parler de "disruptif" à son égard.  N'oubliez pas la pétition, à laquelle Timeline s'associe pleinement : www.dunod.link/moliere-pantheon

Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l’exception d’une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l’un d’eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d’Angleterre. C’est le début d’une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…

Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l’exception d’une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l’un d’eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d’Angleterre. C’est le début d’une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…

Souvent épique, parfois dramatique, toujours profondément humain, le sauvetage en mer balise l’histoire de la navigation. Il y eut les pirates, les naufrageurs, les guerriers. Ceux qui, pour survivre, attendaient le don du large. Parce que la mer n’est pas qu’un espace infini et sauvage suscitant la rêverie et le jeu. C’est surtout une inconnue, pouvant être terrifiante, violente, qui garde parfois la vie des marins ou amène le chaos. C’est aussi un espace de luttes de pouvoir, sans foi ni loi. Dans ce livre, nous visiterons en récits les grands naufrages historiques, la naissance et le développement des différentes sociétés de sauvetage en Europe, la coopération mondiale, l’évolution de l’équipement qui a rendu possible cette évolution, du premier canot aux balises en passant par la télémédecine, des sauvetages célèbres ou non, mais marquants : de celui, dramatique, d’Alain Bombard dans la barre d’Étel au pétrolier Affinity dans le Canal de Suez, des sauvetages dans le Vendée Globe à ceux des bords de plage, des réfugiés sur leur canot en Méditerranée ou ailleurs au Costa Concordia sur l’île de Giglio en Italie. L’Histoire n’est qu’une succession de petits événements singuliers qui permettent de constituer une ligne logique et inaltérable pour comprendre l’évidence du présent. Qui fréquente le pont d’un navire sait qu’il peut disparaître et se fera un devoir de secourir le naufragé qu’il aurait pu être. Une Histoire du Sauvetage en Mer de Patrick Benoiton aux éditions Glénat.  Pour Xpresso, Patrick Benoiton est notre invité en studio. 

Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l’exception d’une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l’un d’eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d’Angleterre. C’est le début d’une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…

Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l’exception d’une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l’un d’eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d’Angleterre. C’est le début d’une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…

Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l’exception d’une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l’un d’eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d’Angleterre. C’est le début d’une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…

Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l’exception d’une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l’un d’eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d’Angleterre. C’est le début d’une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…

De 1296-1357, c’est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d’Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…

De 1296-1357, c’est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d’Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…

De 1296-1357, c’est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d’Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…

De 1296-1357, c’est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d’Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…

De 1296-1357, c’est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d’Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…

De 1296-1357, c’est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère. A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle. Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d’Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers…

📚 Et voici notre émission incontournable de conseils de lecture, en compagnie d’Ugo Bimar, créateur inimitable de Confessions d’Histoire ! C’était en direct sur Twitch, en vidéo, aussi, n’hésitez pas, les prochaines fois, à venir nombreux, pour profiter et participer à nos discussions, et avoir les images bien sûr 😆 Plongez dans l'univers captivant des bandes dessinées et des livres d'histoire avec Richard et Ugo.  Des recommandations soigneusement sélectionnées, allant de récits historiques captivants à des œuvres graphiques époustouflantes. Que vous soyez un amateur de BD ou un passionné d'histoire, cette émission est votre rendez-vous incontournable pour enrichir votre bibliothèque personnelle, faire ou vous faire offrir des cadeaux pour Noël … ou n’importe quand ! 📖✨  #LectureRecommandée #BD #Histoire #Livres #CultureLittéraire Retrouvez sur notre Twitch.tv l'intégralité de cette émission en vidéo donc y compris les images : www.twitch.tv/videos/2001493648

L’Egypte annonce régulièrement de nouvelles découvertes archéologiques, que certains experts qualifient « d’effets d’annonce » plus politiques que scientifiques. Il est vrai que le ministère des Antiquités égyptien cherche par tous les moyens à faire revenir les touristes sur son sol, afin de sortir progressivement le pays de la grave crise économique qui s’est abattue sur le pays depuis 2011. Rappelons que le tourisme représente 10% du PIB de l’Egypte, et que le secteur a considérablement souffert des effets du terrorisme et de la crise du Covid-19. La découverte de nouvelles tombes est toujours annoncée en grande pompe devant les journalistes du monde entier, car la mise au jour de sépultures intactes et, surtout, de nouvelles momies, enthousiasme toujours les spectateurs de toute origine.  Cet engouement pour les tombes et les momies ne date pas d’hier. Les premières sépultures ont été fouillées dès la Renaissance, mais dans le seul but de découvrir des momies, car on pensait, à cette époque, qu’elles avaient des vertus thérapeutiques. Les aventuriers les « récoltaient » donc en masse afin de les réduire en poudre et de les verser dans des fioles ! Ce n’est qu’après l’expédition de Bonaparte que l’Europe entière se prend de passion pour l’Egypte antique. Les premières fouilles, plus ou moins scientifiques, sont alors lancées. Hélas, un très grand nombre de tombes avaient déjà été pillées par les voleurs locaux, parfois dès l’Antiquité. Tomber sur des momies et du mobilier funéraire était donc un véritable miracle, et une source incomparable de richesses et de gloire. En cette fin du XIXe siècle, la quasi-totalité des tombeaux de la Vallée des Rois a été pillée. Mais qu’en est-il des corps des souverains ? Ont-ils tous été détruits ? C’est du moins ce que pensaient les égyptologues, jusqu’à cette incroyable découverte. Lorsque Maspero succède à Mariette à la tête du Service des Antiquités, il est bien loin de se douter que, peu de temps après, aura lieu l’un des plus grands moments de l’égyptologie, la découverte des momies royales de la XVIIIe dynastie. Surnommée « la première trouvaille de Deir el-Bahari », elle surpasse en importance historique la découverte de la tombe de Toutankhamon, une découverte dont aucun archéologue n’osait rêver. Et une nouvelle enquête passionnante attend Maspero, qui n’a rien à envier aux romans d’Agatha Christie. Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timline

L’Egypte annonce régulièrement de nouvelles découvertes archéologiques, que certains experts qualifient « d’effets d’annonce » plus politiques que scientifiques. Il est vrai que le ministère des Antiquités égyptien cherche par tous les moyens à faire revenir les touristes sur son sol, afin de sortir progressivement le pays de la grave crise économique qui s’est abattue sur le pays depuis 2011. Rappelons que le tourisme représente 10% du PIB de l’Egypte, et que le secteur a considérablement souffert des effets du terrorisme et de la crise du Covid-19. La découverte de nouvelles tombes est toujours annoncée en grande pompe devant les journalistes du monde entier, car la mise au jour de sépultures intactes et, surtout, de nouvelles momies, enthousiasme toujours les spectateurs de toute origine.  Cet engouement pour les tombes et les momies ne date pas d’hier. Les premières sépultures ont été fouillées dès la Renaissance, mais dans le seul but de découvrir des momies, car on pensait, à cette époque, qu’elles avaient des vertus thérapeutiques. Les aventuriers les « récoltaient » donc en masse afin de les réduire en poudre et de les verser dans des fioles ! Ce n’est qu’après l’expédition de Bonaparte que l’Europe entière se prend de passion pour l’Egypte antique. Les premières fouilles, plus ou moins scientifiques, sont alors lancées. Hélas, un très grand nombre de tombes avaient déjà été pillées par les voleurs locaux, parfois dès l’Antiquité. Tomber sur des momies et du mobilier funéraire était donc un véritable miracle, et une source incomparable de richesses et de gloire. En cette fin du XIXe siècle, la quasi-totalité des tombeaux de la Vallée des Rois a été pillée. Mais qu’en est-il des corps des souverains ? Ont-ils tous été détruits ? C’est du moins ce que pensaient les égyptologues, jusqu’à cette incroyable découverte. Lorsque Maspero succède à Mariette à la tête du Service des Antiquités, il est bien loin de se douter que, peu de temps après, aura lieu l’un des plus grands moments de l’égyptologie, la découverte des momies royales de la XVIIIe dynastie. Surnommée « la première trouvaille de Deir el-Bahari », elle surpasse en importance historique la découverte de la tombe de Toutankhamon, une découverte dont aucun archéologue n’osait rêver. Et une nouvelle enquête passionnante attend Maspero, qui n’a rien à envier aux romans d’Agatha Christie. Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timline

L’Egypte annonce régulièrement de nouvelles découvertes archéologiques, que certains experts qualifient « d’effets d’annonce » plus politiques que scientifiques. Il est vrai que le ministère des Antiquités égyptien cherche par tous les moyens à faire revenir les touristes sur son sol, afin de sortir progressivement le pays de la grave crise économique qui s’est abattue sur le pays depuis 2011. Rappelons que le tourisme représente 10% du PIB de l’Egypte, et que le secteur a considérablement souffert des effets du terrorisme et de la crise du Covid-19. La découverte de nouvelles tombes est toujours annoncée en grande pompe devant les journalistes du monde entier, car la mise au jour de sépultures intactes et, surtout, de nouvelles momies, enthousiasme toujours les spectateurs de toute origine.  Cet engouement pour les tombes et les momies ne date pas d’hier. Les premières sépultures ont été fouillées dès la Renaissance, mais dans le seul but de découvrir des momies, car on pensait, à cette époque, qu’elles avaient des vertus thérapeutiques. Les aventuriers les « récoltaient » donc en masse afin de les réduire en poudre et de les verser dans des fioles ! Ce n’est qu’après l’expédition de Bonaparte que l’Europe entière se prend de passion pour l’Egypte antique. Les premières fouilles, plus ou moins scientifiques, sont alors lancées. Hélas, un très grand nombre de tombes avaient déjà été pillées par les voleurs locaux, parfois dès l’Antiquité. Tomber sur des momies et du mobilier funéraire était donc un véritable miracle, et une source incomparable de richesses et de gloire. En cette fin du XIXe siècle, la quasi-totalité des tombeaux de la Vallée des Rois a été pillée. Mais qu’en est-il des corps des souverains ? Ont-ils tous été détruits ? C’est du moins ce que pensaient les égyptologues, jusqu’à cette incroyable découverte. Lorsque Maspero succède à Mariette à la tête du Service des Antiquités, il est bien loin de se douter que, peu de temps après, aura lieu l’un des plus grands moments de l’égyptologie, la découverte des momies royales de la XVIIIe dynastie. Surnommée « la première trouvaille de Deir el-Bahari », elle surpasse en importance historique la découverte de la tombe de Toutankhamon, une découverte dont aucun archéologue n’osait rêver. Et une nouvelle enquête passionnante attend Maspero, qui n’a rien à envier aux romans d’Agatha Christie. Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timline

L’Egypte annonce régulièrement de nouvelles découvertes archéologiques, que certains experts qualifient « d’effets d’annonce » plus politiques que scientifiques. Il est vrai que le ministère des Antiquités égyptien cherche par tous les moyens à faire revenir les touristes sur son sol, afin de sortir progressivement le pays de la grave crise économique qui s’est abattue sur le pays depuis 2011. Rappelons que le tourisme représente 10% du PIB de l’Egypte, et que le secteur a considérablement souffert des effets du terrorisme et de la crise du Covid-19. La découverte de nouvelles tombes est toujours annoncée en grande pompe devant les journalistes du monde entier, car la mise au jour de sépultures intactes et, surtout, de nouvelles momies, enthousiasme toujours les spectateurs de toute origine.  Cet engouement pour les tombes et les momies ne date pas d’hier. Les premières sépultures ont été fouillées dès la Renaissance, mais dans le seul but de découvrir des momies, car on pensait, à cette époque, qu’elles avaient des vertus thérapeutiques. Les aventuriers les « récoltaient » donc en masse afin de les réduire en poudre et de les verser dans des fioles ! Ce n’est qu’après l’expédition de Bonaparte que l’Europe entière se prend de passion pour l’Egypte antique. Les premières fouilles, plus ou moins scientifiques, sont alors lancées. Hélas, un très grand nombre de tombes avaient déjà été pillées par les voleurs locaux, parfois dès l’Antiquité. Tomber sur des momies et du mobilier funéraire était donc un véritable miracle, et une source incomparable de richesses et de gloire. En cette fin du XIXe siècle, la quasi-totalité des tombeaux de la Vallée des Rois a été pillée. Mais qu’en est-il des corps des souverains ? Ont-ils tous été détruits ? C’est du moins ce que pensaient les égyptologues, jusqu’à cette incroyable découverte. Lorsque Maspero succède à Mariette à la tête du Service des Antiquités, il est bien loin de se douter que, peu de temps après, aura lieu l’un des plus grands moments de l’égyptologie, la découverte des momies royales de la XVIIIe dynastie. Surnommée « la première trouvaille de Deir el-Bahari », elle surpasse en importance historique la découverte de la tombe de Toutankhamon, une découverte dont aucun archéologue n’osait rêver. Et une nouvelle enquête passionnante attend Maspero, qui n’a rien à envier aux romans d’Agatha Christie. Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timline

L’Egypte annonce régulièrement de nouvelles découvertes archéologiques, que certains experts qualifient « d’effets d’annonce » plus politiques que scientifiques. Il est vrai que le ministère des Antiquités égyptien cherche par tous les moyens à faire revenir les touristes sur son sol, afin de sortir progressivement le pays de la grave crise économique qui s’est abattue sur le pays depuis 2011. Rappelons que le tourisme représente 10% du PIB de l’Egypte, et que le secteur a considérablement souffert des effets du terrorisme et de la crise du Covid-19. La découverte de nouvelles tombes est toujours annoncée en grande pompe devant les journalistes du monde entier, car la mise au jour de sépultures intactes et, surtout, de nouvelles momies, enthousiasme toujours les spectateurs de toute origine.  Cet engouement pour les tombes et les momies ne date pas d’hier. Les premières sépultures ont été fouillées dès la Renaissance, mais dans le seul but de découvrir des momies, car on pensait, à cette époque, qu’elles avaient des vertus thérapeutiques. Les aventuriers les « récoltaient » donc en masse afin de les réduire en poudre et de les verser dans des fioles ! Ce n’est qu’après l’expédition de Bonaparte que l’Europe entière se prend de passion pour l’Egypte antique. Les premières fouilles, plus ou moins scientifiques, sont alors lancées. Hélas, un très grand nombre de tombes avaient déjà été pillées par les voleurs locaux, parfois dès l’Antiquité. Tomber sur des momies et du mobilier funéraire était donc un véritable miracle, et une source incomparable de richesses et de gloire. En cette fin du XIXe siècle, la quasi-totalité des tombeaux de la Vallée des Rois a été pillée. Mais qu’en est-il des corps des souverains ? Ont-ils tous été détruits ? C’est du moins ce que pensaient les égyptologues, jusqu’à cette incroyable découverte. Lorsque Maspero succède à Mariette à la tête du Service des Antiquités, il est bien loin de se douter que, peu de temps après, aura lieu l’un des plus grands moments de l’égyptologie, la découverte des momies royales de la XVIIIe dynastie. Surnommée « la première trouvaille de Deir el-Bahari », elle surpasse en importance historique la découverte de la tombe de Toutankhamon, une découverte dont aucun archéologue n’osait rêver. Et une nouvelle enquête passionnante attend Maspero, qui n’a rien à envier aux romans d’Agatha Christie. Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timline

L’Egypte annonce régulièrement de nouvelles découvertes archéologiques, que certains experts qualifient « d’effets d’annonce » plus politiques que scientifiques. Il est vrai que le ministère des Antiquités égyptien cherche par tous les moyens à faire revenir les touristes sur son sol, afin de sortir progressivement le pays de la grave crise économique qui s’est abattue sur le pays depuis 2011. Rappelons que le tourisme représente 10% du PIB de l’Egypte, et que le secteur a considérablement souffert des effets du terrorisme et de la crise du Covid-19. La découverte de nouvelles tombes est toujours annoncée en grande pompe devant les journalistes du monde entier, car la mise au jour de sépultures intactes et, surtout, de nouvelles momies, enthousiasme toujours les spectateurs de toute origine.  Cet engouement pour les tombes et les momies ne date pas d’hier. Les premières sépultures ont été fouillées dès la Renaissance, mais dans le seul but de découvrir des momies, car on pensait, à cette époque, qu’elles avaient des vertus thérapeutiques. Les aventuriers les « récoltaient » donc en masse afin de les réduire en poudre et de les verser dans des fioles ! Ce n’est qu’après l’expédition de Bonaparte que l’Europe entière se prend de passion pour l’Egypte antique. Les premières fouilles, plus ou moins scientifiques, sont alors lancées. Hélas, un très grand nombre de tombes avaient déjà été pillées par les voleurs locaux, parfois dès l’Antiquité. Tomber sur des momies et du mobilier funéraire était donc un véritable miracle, et une source incomparable de richesses et de gloire. En cette fin du XIXe siècle, la quasi-totalité des tombeaux de la Vallée des Rois a été pillée. Mais qu’en est-il des corps des souverains ? Ont-ils tous été détruits ? C’est du moins ce que pensaient les égyptologues, jusqu’à cette incroyable découverte. Lorsque Maspero succède à Mariette à la tête du Service des Antiquités, il est bien loin de se douter que, peu de temps après, aura lieu l’un des plus grands moments de l’égyptologie, la découverte des momies royales de la XVIIIe dynastie. Surnommée « la première trouvaille de Deir el-Bahari », elle surpasse en importance historique la découverte de la tombe de Toutankhamon, une découverte dont aucun archéologue n’osait rêver. Et une nouvelle enquête passionnante attend Maspero, qui n’a rien à envier aux romans d’Agatha Christie. Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timline

Nous allons donc vous emmener avec nous pour un fabuleux voyage olfactif qui va nous faire traverser les méandres mystérieux et enivrants de l'Histoire de l'Odorat.  Une quête captivante qui explore le lien intime entre l'humanité et le monde des fragrances, en compagnie de l’historienne et spécialiste Annick Le Guérer. C'est une histoire tissée de parfums enivrants, d'arômes mystérieux, et de fragrances qui transcendent le temps pour nous transporter à travers les âges. Imaginez nos ancêtres, chasseurs-cueilleurs, utilisant leur odorat aiguisé pour traquer leurs proies, identifier les plantes comestibles, et naviguer dans un monde sauvage imprévisible.  Dans ces temps anciens, l'odorat était plus qu'un simple outil de survie, c'était une clé pour comprendre et appréhender le monde qui les entourait. Puis, surgissent les premières civilisations, des mondes antiques empreints de mystère et de cérémonies. L'Égypte, berceau de la civilisation, utilisait des parfums dans des rituels religieux et funéraires, donnant naissance à une tradition qui allait se répandre comme une brise parfumée à travers les siècles.  Les Romains, quant à eux, voyaient l'odorat comme un signe de raffinement et d'élégance, ajoutant des senteurs exquises à leurs bains luxueux et à leurs célébrations grandioses. Au Moyen Âge, une ère où les parfums pouvaient être un remède, et où les alchimistes s'adonnaient à la création d'élixirs mystérieux.  Les souks orientaux regorgeaient de marchands aux senteurs envoûtantes, tandis que l'Europe redécouvrait les délices des parfums perdus depuis longtemps. La Renaissance apporte une explosion de connaissances, de commerce, et d'exploration, s'étendant jusqu'aux contrées lointaines où de nouvelles essences captivantes attendaient d'être découvertes. Les cours royales européennes rivalisaient d'ingéniosité pour créer des parfums uniques, reflétant la sophistication croissante de la société. Au siècle des Lumières, l'odorat devient un sujet d'études scientifiques approfondies, avec des esprits curieux cherchant à percer les mystères de ces molécules magiques qui déclenchent nos sens. Les parfumeurs deviennent des artistes, et les parfums, des œuvres d'art liquides qui transcendent la simple fonction de masquer les odeurs corporelles. L'époque contemporaine, cette fois, la parfumerie devient une industrie mondiale, influencée par la mode, la technologie, et les tendances culturelles.  Des maîtres parfumeurs contemporains repoussent les limites de la créativité, créant des fragrances qui évoquent des émotions, racontent des histoires, et capturent l'esprit de notre époque, jusqu’à nous pousser à acheter grâce au marketing olfactif. Ainsi se dessine une Histoire de l'Odorat et des odeurs, une émission enivrante qui traverse les âges, révélant comment notre relation intime avec les odeurs a évolué, reflétant les complexités de l'expérience humaine. 

Nous allons donc vous emmener avec nous pour un fabuleux voyage olfactif qui va nous faire traverser les méandres mystérieux et enivrants de l'Histoire de l'Odorat.  Une quête captivante qui explore le lien intime entre l'humanité et le monde des fragrances, en compagnie de l’historienne et spécialiste Annick Le Guérer. C'est une histoire tissée de parfums enivrants, d'arômes mystérieux, et de fragrances qui transcendent le temps pour nous transporter à travers les âges. Imaginez nos ancêtres, chasseurs-cueilleurs, utilisant leur odorat aiguisé pour traquer leurs proies, identifier les plantes comestibles, et naviguer dans un monde sauvage imprévisible.  Dans ces temps anciens, l'odorat était plus qu'un simple outil de survie, c'était une clé pour comprendre et appréhender le monde qui les entourait. Puis, surgissent les premières civilisations, des mondes antiques empreints de mystère et de cérémonies. L'Égypte, berceau de la civilisation, utilisait des parfums dans des rituels religieux et funéraires, donnant naissance à une tradition qui allait se répandre comme une brise parfumée à travers les siècles.  Les Romains, quant à eux, voyaient l'odorat comme un signe de raffinement et d'élégance, ajoutant des senteurs exquises à leurs bains luxueux et à leurs célébrations grandioses. Au Moyen Âge, une ère où les parfums pouvaient être un remède, et où les alchimistes s'adonnaient à la création d'élixirs mystérieux.  Les souks orientaux regorgeaient de marchands aux senteurs envoûtantes, tandis que l'Europe redécouvrait les délices des parfums perdus depuis longtemps. La Renaissance apporte une explosion de connaissances, de commerce, et d'exploration, s'étendant jusqu'aux contrées lointaines où de nouvelles essences captivantes attendaient d'être découvertes. Les cours royales européennes rivalisaient d'ingéniosité pour créer des parfums uniques, reflétant la sophistication croissante de la société. Au siècle des Lumières, l'odorat devient un sujet d'études scientifiques approfondies, avec des esprits curieux cherchant à percer les mystères de ces molécules magiques qui déclenchent nos sens. Les parfumeurs deviennent des artistes, et les parfums, des œuvres d'art liquides qui transcendent la simple fonction de masquer les odeurs corporelles. L'époque contemporaine, cette fois, la parfumerie devient une industrie mondiale, influencée par la mode, la technologie, et les tendances culturelles.  Des maîtres parfumeurs contemporains repoussent les limites de la créativité, créant des fragrances qui évoquent des émotions, racontent des histoires, et capturent l'esprit de notre époque, jusqu’à nous pousser à acheter grâce au marketing olfactif. Ainsi se dessine une Histoire de l'Odorat et des odeurs, une émission enivrante qui traverse les âges, révélant comment notre relation intime avec les odeurs a évolué, reflétant les complexités de l'expérience humaine. Histoire de l'Odorat 1/6

Nous allons donc vous emmener avec nous pour un fabuleux voyage olfactif qui va nous faire traverser les méandres mystérieux et enivrants de l'Histoire de l'Odorat.  Une quête captivante qui explore le lien intime entre l'humanité et le monde des fragrances, en compagnie de l’historienne et spécialiste Annick Le Guérer. C'est une histoire tissée de parfums enivrants, d'arômes mystérieux, et de fragrances qui transcendent le temps pour nous transporter à travers les âges. Imaginez nos ancêtres, chasseurs-cueilleurs, utilisant leur odorat aiguisé pour traquer leurs proies, identifier les plantes comestibles, et naviguer dans un monde sauvage imprévisible.  Dans ces temps anciens, l'odorat était plus qu'un simple outil de survie, c'était une clé pour comprendre et appréhender le monde qui les entourait. Puis, surgissent les premières civilisations, des mondes antiques empreints de mystère et de cérémonies. L'Égypte, berceau de la civilisation, utilisait des parfums dans des rituels religieux et funéraires, donnant naissance à une tradition qui allait se répandre comme une brise parfumée à travers les siècles.  Les Romains, quant à eux, voyaient l'odorat comme un signe de raffinement et d'élégance, ajoutant des senteurs exquises à leurs bains luxueux et à leurs célébrations grandioses. Au Moyen Âge, une ère où les parfums pouvaient être un remède, et où les alchimistes s'adonnaient à la création d'élixirs mystérieux.  Les souks orientaux regorgeaient de marchands aux senteurs envoûtantes, tandis que l'Europe redécouvrait les délices des parfums perdus depuis longtemps. La Renaissance apporte une explosion de connaissances, de commerce, et d'exploration, s'étendant jusqu'aux contrées lointaines où de nouvelles essences captivantes attendaient d'être découvertes. Les cours royales européennes rivalisaient d'ingéniosité pour créer des parfums uniques, reflétant la sophistication croissante de la société. Au siècle des Lumières, l'odorat devient un sujet d'études scientifiques approfondies, avec des esprits curieux cherchant à percer les mystères de ces molécules magiques qui déclenchent nos sens. Les parfumeurs deviennent des artistes, et les parfums, des œuvres d'art liquides qui transcendent la simple fonction de masquer les odeurs corporelles. L'époque contemporaine, cette fois, la parfumerie devient une industrie mondiale, influencée par la mode, la technologie, et les tendances culturelles.  Des maîtres parfumeurs contemporains repoussent les limites de la créativité, créant des fragrances qui évoquent des émotions, racontent des histoires, et capturent l'esprit de notre époque, jusqu’à nous pousser à acheter grâce au marketing olfactif. Ainsi se dessine une Histoire de l'Odorat et des odeurs, une émission enivrante qui traverse les âges, révélant comment notre relation intime avec les odeurs a évolué, reflétant les complexités de l'expérience humaine. 

Nous allons donc vous emmener avec nous pour un fabuleux voyage olfactif qui va nous faire traverser les méandres mystérieux et enivrants de l'Histoire de l'Odorat.  Une quête captivante qui explore le lien intime entre l'humanité et le monde des fragrances, en compagnie de l’historienne et spécialiste Annick Le Guérer. C'est une histoire tissée de parfums enivrants, d'arômes mystérieux, et de fragrances qui transcendent le temps pour nous transporter à travers les âges. Imaginez nos ancêtres, chasseurs-cueilleurs, utilisant leur odorat aiguisé pour traquer leurs proies, identifier les plantes comestibles, et naviguer dans un monde sauvage imprévisible.  Dans ces temps anciens, l'odorat était plus qu'un simple outil de survie, c'était une clé pour comprendre et appréhender le monde qui les entourait. Puis, surgissent les premières civilisations, des mondes antiques empreints de mystère et de cérémonies. L'Égypte, berceau de la civilisation, utilisait des parfums dans des rituels religieux et funéraires, donnant naissance à une tradition qui allait se répandre comme une brise parfumée à travers les siècles.  Les Romains, quant à eux, voyaient l'odorat comme un signe de raffinement et d'élégance, ajoutant des senteurs exquises à leurs bains luxueux et à leurs célébrations grandioses. Au Moyen Âge, une ère où les parfums pouvaient être un remède, et où les alchimistes s'adonnaient à la création d'élixirs mystérieux.  Les souks orientaux regorgeaient de marchands aux senteurs envoûtantes, tandis que l'Europe redécouvrait les délices des parfums perdus depuis longtemps. La Renaissance apporte une explosion de connaissances, de commerce, et d'exploration, s'étendant jusqu'aux contrées lointaines où de nouvelles essences captivantes attendaient d'être découvertes. Les cours royales européennes rivalisaient d'ingéniosité pour créer des parfums uniques, reflétant la sophistication croissante de la société. Au siècle des Lumières, l'odorat devient un sujet d'études scientifiques approfondies, avec des esprits curieux cherchant à percer les mystères de ces molécules magiques qui déclenchent nos sens. Les parfumeurs deviennent des artistes, et les parfums, des œuvres d'art liquides qui transcendent la simple fonction de masquer les odeurs corporelles. L'époque contemporaine, cette fois, la parfumerie devient une industrie mondiale, influencée par la mode, la technologie, et les tendances culturelles.  Des maîtres parfumeurs contemporains repoussent les limites de la créativité, créant des fragrances qui évoquent des émotions, racontent des histoires, et capturent l'esprit de notre époque, jusqu’à nous pousser à acheter grâce au marketing olfactif. Ainsi se dessine une Histoire de l'Odorat et des odeurs, une émission enivrante qui traverse les âges, révélant comment notre relation intime avec les odeurs a évolué, reflétant les complexités de l'expérience humaine. 

La mode … Vaste sujet !  Apparue réellement au XVIIIe siècle, la mode est devenue aujourd’hui une des industries les plus lucratives  et les plus influentes du XXIe siècle.  Depuis sa naissance, elle entretient des liens très forts avec les enjeux sociaux de chaque époque et apparaît autant comme un symbole d’appartenance que comme un signe de rébellion envers les codes établis.  En se différenciant du simple vêtement, qui existe, lui, depuis bien plus longtemps, elle prend une dimension artistique qui amène à réfléchir sur sa véritable essence.  Art ou industrie ? Comment la mode est-elle apparue et que désigne-t-elle ? De la Préhistoire jusqu’au XXIe siècle, nous vous proposons de découvrir son histoire, qui, à l’écoute, en appelle bien d’autres … Une émission écrite par Lucie Devocelle, réalisée par Jade Vigier 

Comment définir le lien de la Corse avec la France et quel est son fil conducteur ? Pourquoi ces deux entités si disparates ont-elles uni leurs destinées alors que, culturellement parlant, la Corse était plus proche de l’Italie ? L’union entre la France et la Corse commence par le mariage forcé du traité de Versailles de 1768. Peu après, Bonaparte intègre la Corse à l’administration française. Le mariage forcé se transforme en mariage d’amour sous Napoléon III, qui entretient une relation personnelle avec l’île. Cette union perdure jusqu’à de Gaulle, dernier chef d’État admiré en Corse. La fin de l’Empire colonial et de l’Algérie française, où tant de Corses sont impliqués, marque les débuts d’une prise de distance avec la France. À la fin des années 1950, les insulaires se sentent délaissés tant leur région reste sous-développée. Durant les années 1970, un nationalisme aux multiples facettes prospère dans les esprits. Après des années de violence et de nombreuses réformes, la Corse acquiert un statut d’autonomie tandis que les nationalistes accèdent au pouvoir institutionnel en 2015. Si le leitmotiv de l’indépendance est loin d’avoir disparu, surtout parmi les jeunes, aucun projet crédible n’a été proposé à ce jour. Dans cet essai enlevé, Paul-François Paoli n’écrit pas l’histoire de la Corse française mais bien « une » histoire de la Corse française. Une histoire indéniablement subjective mais qui se veut aussi impartiale que possible. Interviewé en direct au téléphone depuis La Réunion (son de qualité moyenne désolé) lors notre émission Twitch, Paul-François Paoli nous révèle quelques anecdotes inédites sur son dernier essai littéraire.  Pour participer vous aussi à l’émission Twitch, en direct, chaque jeudi à 19h, c’est ici, https://www.twitch.tv/timeline_podcast  et c’est gratuit ! 

La mode … Vaste sujet !  Apparue réellement au XVIIIe siècle, la mode est devenue aujourd’hui une des industries les plus lucratives  et les plus influentes du XXIe siècle.  Depuis sa naissance, elle entretient des liens très forts avec les enjeux sociaux de chaque époque et apparaît autant comme un symbole d’appartenance que comme un signe de rébellion envers les codes établis.  En se différenciant du simple vêtement, qui existe, lui, depuis bien plus longtemps, elle prend une dimension artistique qui amène à réfléchir sur sa véritable essence.  Art ou industrie ? Comment la mode est-elle apparue et que désigne-t-elle ? De la Préhistoire jusqu’au XXIe siècle, nous vous proposons de découvrir son histoire, qui, à l’écoute, en appelle bien d’autres … Une émission écrite par Lucie Devocelle, réalisée par Jade Vigier 

La mode … Vaste sujet !  Apparue réellement au XVIIIe siècle, la mode est devenue aujourd’hui une des industries les plus lucratives  et les plus influentes du XXIe siècle.  Depuis sa naissance, elle entretient des liens très forts avec les enjeux sociaux de chaque époque et apparaît autant comme un symbole d’appartenance que comme un signe de rébellion envers les codes établis.  En se différenciant du simple vêtement, qui existe, lui, depuis bien plus longtemps, elle prend une dimension artistique qui amène à réfléchir sur sa véritable essence.  Art ou industrie ? Comment la mode est-elle apparue et que désigne-t-elle ? De la Préhistoire jusqu’au XXIe siècle, nous vous proposons de découvrir son histoire, qui, à l’écoute, en appelle bien d’autres … Une émission écrite par Lucie Devocelle, réalisée par Jade Vigier 

La mode … Vaste sujet !  Apparue réellement au XVIIIe siècle, la mode est devenue aujourd’hui une des industries les plus lucratives  et les plus influentes du XXIe siècle.  Depuis sa naissance, elle entretient des liens très forts avec les enjeux sociaux de chaque époque et apparaît autant comme un symbole d’appartenance que comme un signe de rébellion envers les codes établis.  En se différenciant du simple vêtement, qui existe, lui, depuis bien plus longtemps, elle prend une dimension artistique qui amène à réfléchir sur sa véritable essence.  Art ou industrie ? Comment la mode est-elle apparue et que désigne-t-elle ? De la Préhistoire jusqu’au XXIe siècle, nous vous proposons de découvrir son histoire, qui, à l’écoute, en appelle bien d’autres … Une émission écrite par Lucie Devocelle, réalisée par Jade Vigier 

La mode … Vaste sujet !  Apparue réellement au XVIIIe siècle, la mode est devenue aujourd’hui une des industries les plus lucratives  et les plus influentes du XXIe siècle.  Depuis sa naissance, elle entretient des liens très forts avec les enjeux sociaux de chaque époque et apparaît autant comme un symbole d’appartenance que comme un signe de rébellion envers les codes établis.  En se différenciant du simple vêtement, qui existe, lui, depuis bien plus longtemps, elle prend une dimension artistique qui amène à réfléchir sur sa véritable essence.  Art ou industrie ? Comment la mode est-elle apparue et que désigne-t-elle ? De la Préhistoire jusqu’au XXIe siècle, nous vous proposons de découvrir son histoire, qui, à l’écoute, en appelle bien d’autres … Une émission écrite par Lucie Devocelle, réalisée par Jade Vigier 

Plongez dans l'épopée de Patrice de Mac Mahon, maréchal de France et 3è président de la République française, à travers cette émission !  De ses exploits militaires, tels que la bataille de Magenta, à son rôle clé dans la politique française en tant que président de la République, découvrez la vie fascinante de ce personnage emblématique.  Entre ses succès sur les champs de bataille et son engagement politique, Mac Mahon incarne une période charnière de l'histoire française.  Plongez avec nous dans les coulisses de sa vie, entre gloire et controverses, et explorez l'héritage complexe de ce personnage captivant.  Écoutez notre podcast pour une immersion captivante dans le passé tumultueux de la République française qui a bien failli disparaître à ce moment-là ! 🎙️🔍 #Histoire #Podcast #MacMahon

Plongez dans l'épopée de Patrice de Mac Mahon, maréchal de France et 3è président de la République française, à travers cette émission !  De ses exploits militaires, tels que la bataille de Magenta, à son rôle clé dans la politique française en tant que président de la République, découvrez la vie fascinante de ce personnage emblématique.  Entre ses succès sur les champs de bataille et son engagement politique, Mac Mahon incarne une période charnière de l'histoire française.  Plongez avec nous dans les coulisses de sa vie, entre gloire et controverses, et explorez l'héritage complexe de ce personnage captivant.  Écoutez notre podcast pour une immersion captivante dans le passé tumultueux de la République française qui a bien failli disparaître à ce moment-là ! 🎙️🔍 #Histoire #Podcast #MacMahon

Princesse anticonformiste, Marie Bonaparte (1882-1962) défie son milieu par son audace en explorant un sujet tabou : le plaisir féminin. Patiente de Freud dont elle devient l'amie, elle se bat pour introduire ses travaux en France. Elle le sauve lors de l'entrée des nazis à Vienne et c'est grâce à sa générosité et à sa détermination qu'il s'exile à Londres pour y mourir. Orpheline de mère et marquée par l'indifférence de son père, le prince Roland Bonaparte, elle est élevée par une grand-mère effroyablement sévère. Elle collectionne les amants les plus prestigieux pour tenter d'échapper à son mariage malheureux avec le prince Georges de Grèce. Pourtant, rien ne l'apaise. Rongée par sa frigidité, Marie Bonaparte s'inflige plus d'une opération de chirurgie. Par ses écrits subversifs, elle revendique pour les femmes le droit à la jouissance. Sous la plume de Valérie Troisier - petite-fille de Jean Troisier, qui a été pendant plus de vingt-cinq ans la plus belle histoire d'amour de la princesse - se dessine le portrait intime, intellectuel et inédit de l'arrière-petite-nièce de Napoléon, un personnage attachant, singulier et flamboyant.  Pour Xpresso, Valérie Troisier est avec nous en studio, en direct sur Twitch, avec les questions des auditeurs. Pour participer vous aussi à l’émission Twitch, en direct, chaque jeudi à 19h, c’est ici, https://www.twitch.tv/timeline_podcast  c’est gratuit !

Plongez dans l'épopée de Patrice de Mac Mahon, maréchal de France et 3è président de la République française, à travers cette émission !  De ses exploits militaires, tels que la bataille de Magenta, à son rôle clé dans la politique française en tant que président de la République, découvrez la vie fascinante de ce personnage emblématique.  Entre ses succès sur les champs de bataille et son engagement politique, Mac Mahon incarne une période charnière de l'histoire française.  Plongez avec nous dans les coulisses de sa vie, entre gloire et controverses, et explorez l'héritage complexe de ce personnage captivant.  Écoutez notre podcast pour une immersion captivante dans le passé tumultueux de la République française qui a bien failli disparaître à ce moment-là ! 🎙️🔍 #Histoire #Podcast #MacMahon

Plongez dans l'épopée de Patrice de Mac Mahon, maréchal de France et 3è président de la République française, à travers cette émission !  De ses exploits militaires, tels que la bataille de Magenta, à son rôle clé dans la politique française en tant que président de la République, découvrez la vie fascinante de ce personnage emblématique.  Entre ses succès sur les champs de bataille et son engagement politique, Mac Mahon incarne une période charnière de l'histoire française.  Plongez avec nous dans les coulisses de sa vie, entre gloire et controverses, et explorez l'héritage complexe de ce personnage captivant.  Écoutez notre podcast pour une immersion captivante dans le passé tumultueux de la République française qui a bien failli disparaître à ce moment-là ! 🎙️🔍 #Histoire #Podcast #MacMahon

Plongez dans l'épopée de Patrice de Mac Mahon, maréchal de France et 3è président de la République française, à travers cette émission !  De ses exploits militaires, tels que la bataille de Magenta, à son rôle clé dans la politique française en tant que président de la République, découvrez la vie fascinante de ce personnage emblématique.  Entre ses succès sur les champs de bataille et son engagement politique, Mac Mahon incarne une période charnière de l'histoire française.  Plongez avec nous dans les coulisses de sa vie, entre gloire et controverses, et explorez l'héritage complexe de ce personnage captivant.  Écoutez notre podcast pour une immersion captivante dans le passé tumultueux de la République française qui a bien failli disparaître à ce moment-là ! 🎙️🔍 #Histoire #Podcast #MacMahon

Dans cette seconde émission, nous démarrons avec la campagne la plus célèbre d'Hannibal, débutée en 218 avant J.-C. lorsqu'il traverse les Alpes avec son armée pour envahir l'Italie.  Ce passage épique, marqué par des défis logistiques et climatiques, fut un exploit militaire audacieux. Hannibal infligea de lourdes défaites à l'armée romaine lors de batailles mémorables, notamment à Trébie, au lac Trasimène, et à Cannes (Italie). Pendant près de 15 ans, Hannibal maintient une guerre d'usure contre Rome en Italie, mais ne put jamais conquérir la ville elle-même.  En 203 avant J.-C., après des années de lutte, il est rappelé à Carthage pour défendre la ville contre les Romains dirigés par Scipion l'Africain. La bataille de Zama en 202 avant J.-C. scelle la défaite de Carthage, marquant la fin de la Deuxième Guerre punique. Hannibal va connaître l’exil, servir brièvement comme conseiller militaire pour différents royaumes, notamment en Syrie, tout en se heurtant à Rome à plusieurs reprises. Il est finalement contraint de se suicider en 183 avant J.-C. pour échapper à la capture. Hannibal Barca reste une figure emblématique de l'histoire militaire pour son génie tactique, son audace et sa ténacité. Son passage des Alpes est un exploit légendaire qui témoigne de sa détermination à défier Rome. Bien que sa campagne en Italie n'ait pas abouti à la victoire finale, son héritage perdure dans les annales de l'histoire antique.

Dans cette seconde émission, nous démarrons avec la campagne la plus célèbre d'Hannibal, débutée en 218 avant J.-C. lorsqu'il traverse les Alpes avec son armée pour envahir l'Italie.  Ce passage épique, marqué par des défis logistiques et climatiques, fut un exploit militaire audacieux. Hannibal infligea de lourdes défaites à l'armée romaine lors de batailles mémorables, notamment à Trébie, au lac Trasimène, et à Cannes (Italie). Pendant près de 15 ans, Hannibal maintient une guerre d'usure contre Rome en Italie, mais ne put jamais conquérir la ville elle-même.  En 203 avant J.-C., après des années de lutte, il est rappelé à Carthage pour défendre la ville contre les Romains dirigés par Scipion l'Africain. La bataille de Zama en 202 avant J.-C. scelle la défaite de Carthage, marquant la fin de la Deuxième Guerre punique. Hannibal va connaître l’exil, servir brièvement comme conseiller militaire pour différents royaumes, notamment en Syrie, tout en se heurtant à Rome à plusieurs reprises. Il est finalement contraint de se suicider en 183 avant J.-C. pour échapper à la capture. Hannibal Barca reste une figure emblématique de l'histoire militaire pour son génie tactique, son audace et sa ténacité. Son passage des Alpes est un exploit légendaire qui témoigne de sa détermination à défier Rome. Bien que sa campagne en Italie n'ait pas abouti à la victoire finale, son héritage perdure dans les annales de l'histoire antique.

Pour la première fois en France, une pièce de théâtre entièrement en noir et blanc ! Comment Charlie est devenu Chaplin.  C'est ce que raconte "Smile", pièce entièrement en noir et blanc, des décors aux costumes en passant par les maquillages.  Nous sommes en 1910 dans un bar de Londres. Charlie a rendez-vous avec une jeune femme pour lui déclarer sa flamme. Et ce rendez-vous pourrait bien changer sa vie...  En utilisant des procédés de mise en scène tels que ralentis, accélérés, flashbacks et changements de points de vues, cette pièce va vous plonger dans l'univers du cinéma de Chaplin le temps d'une bulle de tendresse et de poésie. Nomination Molières 2023 : Création Visuelle – Révélation Masculine : Alexandre Faitrouni Une pièce de Nicolas Nebot & Dan Menasche Théâtre de l'Oeuvre 55 rue de Clichy  75009 Paris Pour Xpresso, Dan Menasche est notre invité en studio

Dans cette seconde émission, nous démarrons avec la campagne la plus célèbre d'Hannibal, débutée en 218 avant J.-C. lorsqu'il traverse les Alpes avec son armée pour envahir l'Italie.  Ce passage épique, marqué par des défis logistiques et climatiques, fut un exploit militaire audacieux. Hannibal infligea de lourdes défaites à l'armée romaine lors de batailles mémorables, notamment à Trébie, au lac Trasimène, et à Cannes (Italie). Pendant près de 15 ans, Hannibal maintient une guerre d'usure contre Rome en Italie, mais ne put jamais conquérir la ville elle-même.  En 203 avant J.-C., après des années de lutte, il est rappelé à Carthage pour défendre la ville contre les Romains dirigés par Scipion l'Africain. La bataille de Zama en 202 avant J.-C. scelle la défaite de Carthage, marquant la fin de la Deuxième Guerre punique. Hannibal va connaître l’exil, servir brièvement comme conseiller militaire pour différents royaumes, notamment en Syrie, tout en se heurtant à Rome à plusieurs reprises. Il est finalement contraint de se suicider en 183 avant J.-C. pour échapper à la capture. Hannibal Barca reste une figure emblématique de l'histoire militaire pour son génie tactique, son audace et sa ténacité. Son passage des Alpes est un exploit légendaire qui témoigne de sa détermination à défier Rome. Bien que sa campagne en Italie n'ait pas abouti à la victoire finale, son héritage perdure dans les annales de l'histoire antique.

Dans cette seconde émission, nous démarrons avec la campagne la plus célèbre d'Hannibal, débutée en 218 avant J.-C. lorsqu'il traverse les Alpes avec son armée pour envahir l'Italie.  Ce passage épique, marqué par des défis logistiques et climatiques, fut un exploit militaire audacieux. Hannibal infligea de lourdes défaites à l'armée romaine lors de batailles mémorables, notamment à Trébie, au lac Trasimène, et à Cannes (Italie). Pendant près de 15 ans, Hannibal maintient une guerre d'usure contre Rome en Italie, mais ne put jamais conquérir la ville elle-même.  En 203 avant J.-C., après des années de lutte, il est rappelé à Carthage pour défendre la ville contre les Romains dirigés par Scipion l'Africain. La bataille de Zama en 202 avant J.-C. scelle la défaite de Carthage, marquant la fin de la Deuxième Guerre punique. Hannibal va connaître l’exil, servir brièvement comme conseiller militaire pour différents royaumes, notamment en Syrie, tout en se heurtant à Rome à plusieurs reprises. Il est finalement contraint de se suicider en 183 avant J.-C. pour échapper à la capture. Hannibal Barca reste une figure emblématique de l'histoire militaire pour son génie tactique, son audace et sa ténacité. Son passage des Alpes est un exploit légendaire qui témoigne de sa détermination à défier Rome. Bien que sa campagne en Italie n'ait pas abouti à la victoire finale, son héritage perdure dans les annales de l'histoire antique.

Dans cette seconde émission, nous démarrons avec la campagne la plus célèbre d'Hannibal, débutée en 218 avant J.-C. lorsqu'il traverse les Alpes avec son armée pour envahir l'Italie.  Ce passage épique, marqué par des défis logistiques et climatiques, fut un exploit militaire audacieux. Hannibal infligea de lourdes défaites à l'armée romaine lors de batailles mémorables, notamment à Trébie, au lac Trasimène, et à Cannes (Italie). Pendant près de 15 ans, Hannibal maintient une guerre d'usure contre Rome en Italie, mais ne put jamais conquérir la ville elle-même.  En 203 avant J.-C., après des années de lutte, il est rappelé à Carthage pour défendre la ville contre les Romains dirigés par Scipion l'Africain. La bataille de Zama en 202 avant J.-C. scelle la défaite de Carthage, marquant la fin de la Deuxième Guerre punique. Hannibal va connaître l’exil, servir brièvement comme conseiller militaire pour différents royaumes, notamment en Syrie, tout en se heurtant à Rome à plusieurs reprises. Il est finalement contraint de se suicider en 183 avant J.-C. pour échapper à la capture. Hannibal Barca reste une figure emblématique de l'histoire militaire pour son génie tactique, son audace et sa ténacité. Son passage des Alpes est un exploit légendaire qui témoigne de sa détermination à défier Rome. Bien que sa campagne en Italie n'ait pas abouti à la victoire finale, son héritage perdure dans les annales de l'histoire antique.

Hannibal Barca. Un nom qui fait rêver, qui nous fait traverser les Alpes et galoper à travers les plaines italiennes. Hannibal le Carthaginois, celui qui a fait trembler le peuple romain, et qui a eu l’audace incroyable de franchir les hautes murailles alpines pour venir porter le combat sur le sol italien.  Un nom célèbre, entré dans l’imaginaire populaire. Mais que savons-nous de l’homme ? Peu de choses, en réalité, du moins jusqu’à ces dix dernières années. Récemment, des archéologues et des historiens se sont penchés sur son cas, et se sont évertués à démêler le vrai du faux le concernant. Héros pour les uns, il est une véritable figure de cauchemar pour les enfants romains, agitée devant leurs yeux effrayés à chaque fois qu’ils commettent une bêtise, un peu à la façon de notre croque-mitaine. Et ce n’est pas un hasard si Thomas Harris a donné ce nom à son tueur en série, Hannibal Lecter, un criminel cruel et sans pitié devenu un agent des services de police, à la fois intelligent, cultivé et implacable. Cet Hannibal-là a, durant un temps, emprisonné dans l’ombre le vrai Hannibal. Alors, qui est-il vraiment, cet Hannibal Barca ? Un tueur en série ? Un massacreur ? Ou bien un fin stratège, un habile tacticien et un grand chef de guerre ? L’analyse attentive des sources antiques et les résultats des fouilles archéologiques permettent de réécrire l’histoire de cette grande figure de l’Histoire. Peu à peu, les vieilles certitudes et les clichés sont remis en question, pour dessiner un portrait plus réaliste du général carthaginois. Né durant la première Guerre Punique, il est très tôt contraint de s’exilé avec son père, Hamilcar, une autre illustre figure de l’histoire militaire. C’est loin de sa patrie d’origine qu’il grandit, au beau milieu des soldats de son père, et se familiarise avec la vie dure et disciplinée des hommes de guerre. Il ne rêve que de batailles, de conquêtes, de gloire et de richesses. Son père surveille étroitement son éducation militaire, et lui transmet sa haine des Romains. Lorsque ce dernier disparaît brutalement, Hannibal lui succède à la tête de son armée. Lui vient alors une idée folle, audacieuse, périlleuse, voire suicidaire : attaquer les Romains sur leur propre sol, en passant par les Alpes. Il s’apprête donc à faire franchir à une armée entière, composée d’Africains et d’Ibères, ces immenses murailles, avec des armes, des vivres et des éléphants, les animaux de guerre privilégiés des Carthaginois. Mission impossible ? Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Hannibal Barca. Un nom qui fait rêver, qui nous fait traverser les Alpes et galoper à travers les plaines italiennes. Hannibal le Carthaginois, celui qui a fait trembler le peuple romain, et qui a eu l’audace incroyable de franchir les hautes murailles alpines pour venir porter le combat sur le sol italien.  Un nom célèbre, entré dans l’imaginaire populaire. Mais que savons-nous de l’homme ? Peu de choses, en réalité, du moins jusqu’à ces dix dernières années. Récemment, des archéologues et des historiens se sont penchés sur son cas, et se sont évertués à démêler le vrai du faux le concernant. Héros pour les uns, il est une véritable figure de cauchemar pour les enfants romains, agitée devant leurs yeux effrayés à chaque fois qu’ils commettent une bêtise, un peu à la façon de notre croque-mitaine. Et ce n’est pas un hasard si Thomas Harris a donné ce nom à son tueur en série, Hannibal Lecter, un criminel cruel et sans pitié devenu un agent des services de police, à la fois intelligent, cultivé et implacable. Cet Hannibal-là a, durant un temps, emprisonné dans l’ombre le vrai Hannibal. Alors, qui est-il vraiment, cet Hannibal Barca ? Un tueur en série ? Un massacreur ? Ou bien un fin stratège, un habile tacticien et un grand chef de guerre ? L’analyse attentive des sources antiques et les résultats des fouilles archéologiques permettent de réécrire l’histoire de cette grande figure de l’Histoire. Peu à peu, les vieilles certitudes et les clichés sont remis en question, pour dessiner un portrait plus réaliste du général carthaginois. Né durant la première Guerre Punique, il est très tôt contraint de s’exilé avec son père, Hamilcar, une autre illustre figure de l’histoire militaire. C’est loin de sa patrie d’origine qu’il grandit, au beau milieu des soldats de son père, et se familiarise avec la vie dure et disciplinée des hommes de guerre. Il ne rêve que de batailles, de conquêtes, de gloire et de richesses. Son père surveille étroitement son éducation militaire, et lui transmet sa haine des Romains. Lorsque ce dernier disparaît brutalement, Hannibal lui succède à la tête de son armée. Lui vient alors une idée folle, audacieuse, périlleuse, voire suicidaire : attaquer les Romains sur leur propre sol, en passant par les Alpes. Il s’apprête donc à faire franchir à une armée entière, composée d’Africains et d’Ibères, ces immenses murailles, avec des armes, des vivres et des éléphants, les animaux de guerre privilégiés des Carthaginois. Mission impossible ? Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

En nous plongeant dans la vie quotidienne des soldats à l’apogée de l’Empire romain, de 31 av. J.-C. à 235 ap. J.-C., Yann Le Bohec nous permet de comprendre pourquoi l’armée romaine du Principat a atteint un niveau d’excellence sans exemple dans l’histoire. À partir des sources disponibles et des nombreuses et récentes découvertes des archéologues, notamment les ostraka, les papyrus et les tablettes, l’auteur nous entraîne du camp romain aux campagnes et à la guerre, de l’alimentation et de l’équipement des soldats à leur formation et à leur psychologie. En contrepoint des études qui s’intéressent, « par le haut », à l’armée romaine comme institution, il explore un sujet qui n’avait jamais été traité jusqu’ici. Avec cet ouvrage, Yann Le Bohec, grand spécialiste de l’armée romaine, apporte une contribution précieuse et originale à l’histoire militaire, et il est notre invité par téléphone, pour Xpresso

Hannibal Barca. Un nom qui fait rêver, qui nous fait traverser les Alpes et galoper à travers les plaines italiennes. Hannibal le Carthaginois, celui qui a fait trembler le peuple romain, et qui a eu l’audace incroyable de franchir les hautes murailles alpines pour venir porter le combat sur le sol italien.  Un nom célèbre, entré dans l’imaginaire populaire. Mais que savons-nous de l’homme ? Peu de choses, en réalité, du moins jusqu’à ces dix dernières années. Récemment, des archéologues et des historiens se sont penchés sur son cas, et se sont évertués à démêler le vrai du faux le concernant. Héros pour les uns, il est une véritable figure de cauchemar pour les enfants romains, agitée devant leurs yeux effrayés à chaque fois qu’ils commettent une bêtise, un peu à la façon de notre croque-mitaine. Et ce n’est pas un hasard si Thomas Harris a donné ce nom à son tueur en série, Hannibal Lecter, un criminel cruel et sans pitié devenu un agent des services de police, à la fois intelligent, cultivé et implacable. Cet Hannibal-là a, durant un temps, emprisonné dans l’ombre le vrai Hannibal. Alors, qui est-il vraiment, cet Hannibal Barca ? Un tueur en série ? Un massacreur ? Ou bien un fin stratège, un habile tacticien et un grand chef de guerre ? L’analyse attentive des sources antiques et les résultats des fouilles archéologiques permettent de réécrire l’histoire de cette grande figure de l’Histoire. Peu à peu, les vieilles certitudes et les clichés sont remis en question, pour dessiner un portrait plus réaliste du général carthaginois. Né durant la première Guerre Punique, il est très tôt contraint de s’exilé avec son père, Hamilcar, une autre illustre figure de l’histoire militaire. C’est loin de sa patrie d’origine qu’il grandit, au beau milieu des soldats de son père, et se familiarise avec la vie dure et disciplinée des hommes de guerre. Il ne rêve que de batailles, de conquêtes, de gloire et de richesses. Son père surveille étroitement son éducation militaire, et lui transmet sa haine des Romains. Lorsque ce dernier disparaît brutalement, Hannibal lui succède à la tête de son armée. Lui vient alors une idée folle, audacieuse, périlleuse, voire suicidaire : attaquer les Romains sur leur propre sol, en passant par les Alpes. Il s’apprête donc à faire franchir à une armée entière, composée d’Africains et d’Ibères, ces immenses murailles, avec des armes, des vivres et des éléphants, les animaux de guerre privilégiés des Carthaginois. Mission impossible ? Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Hannibal Barca. Un nom qui fait rêver, qui nous fait traverser les Alpes et galoper à travers les plaines italiennes. Hannibal le Carthaginois, celui qui a fait trembler le peuple romain, et qui a eu l’audace incroyable de franchir les hautes murailles alpines pour venir porter le combat sur le sol italien.  Un nom célèbre, entré dans l’imaginaire populaire. Mais que savons-nous de l’homme ? Peu de choses, en réalité, du moins jusqu’à ces dix dernières années. Récemment, des archéologues et des historiens se sont penchés sur son cas, et se sont évertués à démêler le vrai du faux le concernant. Héros pour les uns, il est une véritable figure de cauchemar pour les enfants romains, agitée devant leurs yeux effrayés à chaque fois qu’ils commettent une bêtise, un peu à la façon de notre croque-mitaine. Et ce n’est pas un hasard si Thomas Harris a donné ce nom à son tueur en série, Hannibal Lecter, un criminel cruel et sans pitié devenu un agent des services de police, à la fois intelligent, cultivé et implacable. Cet Hannibal-là a, durant un temps, emprisonné dans l’ombre le vrai Hannibal. Alors, qui est-il vraiment, cet Hannibal Barca ? Un tueur en série ? Un massacreur ? Ou bien un fin stratège, un habile tacticien et un grand chef de guerre ? L’analyse attentive des sources antiques et les résultats des fouilles archéologiques permettent de réécrire l’histoire de cette grande figure de l’Histoire. Peu à peu, les vieilles certitudes et les clichés sont remis en question, pour dessiner un portrait plus réaliste du général carthaginois. Né durant la première Guerre Punique, il est très tôt contraint de s’exilé avec son père, Hamilcar, une autre illustre figure de l’histoire militaire. C’est loin de sa patrie d’origine qu’il grandit, au beau milieu des soldats de son père, et se familiarise avec la vie dure et disciplinée des hommes de guerre. Il ne rêve que de batailles, de conquêtes, de gloire et de richesses. Son père surveille étroitement son éducation militaire, et lui transmet sa haine des Romains. Lorsque ce dernier disparaît brutalement, Hannibal lui succède à la tête de son armée. Lui vient alors une idée folle, audacieuse, périlleuse, voire suicidaire : attaquer les Romains sur leur propre sol, en passant par les Alpes. Il s’apprête donc à faire franchir à une armée entière, composée d’Africains et d’Ibères, ces immenses murailles, avec des armes, des vivres et des éléphants, les animaux de guerre privilégiés des Carthaginois. Mission impossible ? Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Hannibal Barca. Un nom qui fait rêver, qui nous fait traverser les Alpes et galoper à travers les plaines italiennes. Hannibal le Carthaginois, celui qui a fait trembler le peuple romain, et qui a eu l’audace incroyable de franchir les hautes murailles alpines pour venir porter le combat sur le sol italien.  Un nom célèbre, entré dans l’imaginaire populaire. Mais que savons-nous de l’homme ? Peu de choses, en réalité, du moins jusqu’à ces dix dernières années. Récemment, des archéologues et des historiens se sont penchés sur son cas, et se sont évertués à démêler le vrai du faux le concernant. Héros pour les uns, il est une véritable figure de cauchemar pour les enfants romains, agitée devant leurs yeux effrayés à chaque fois qu’ils commettent une bêtise, un peu à la façon de notre croque-mitaine. Et ce n’est pas un hasard si Thomas Harris a donné ce nom à son tueur en série, Hannibal Lecter, un criminel cruel et sans pitié devenu un agent des services de police, à la fois intelligent, cultivé et implacable. Cet Hannibal-là a, durant un temps, emprisonné dans l’ombre le vrai Hannibal. Alors, qui est-il vraiment, cet Hannibal Barca ? Un tueur en série ? Un massacreur ? Ou bien un fin stratège, un habile tacticien et un grand chef de guerre ? L’analyse attentive des sources antiques et les résultats des fouilles archéologiques permettent de réécrire l’histoire de cette grande figure de l’Histoire. Peu à peu, les vieilles certitudes et les clichés sont remis en question, pour dessiner un portrait plus réaliste du général carthaginois. Né durant la première Guerre Punique, il est très tôt contraint de s’exilé avec son père, Hamilcar, une autre illustre figure de l’histoire militaire. C’est loin de sa patrie d’origine qu’il grandit, au beau milieu des soldats de son père, et se familiarise avec la vie dure et disciplinée des hommes de guerre. Il ne rêve que de batailles, de conquêtes, de gloire et de richesses. Son père surveille étroitement son éducation militaire, et lui transmet sa haine des Romains. Lorsque ce dernier disparaît brutalement, Hannibal lui succède à la tête de son armée. Lui vient alors une idée folle, audacieuse, périlleuse, voire suicidaire : attaquer les Romains sur leur propre sol, en passant par les Alpes. Il s’apprête donc à faire franchir à une armée entière, composée d’Africains et d’Ibères, ces immenses murailles, avec des armes, des vivres et des éléphants, les animaux de guerre privilégiés des Carthaginois. Mission impossible ? Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Hannibal Barca. Un nom qui fait rêver, qui nous fait traverser les Alpes et galoper à travers les plaines italiennes. Hannibal le Carthaginois, celui qui a fait trembler le peuple romain, et qui a eu l’audace incroyable de franchir les hautes murailles alpines pour venir porter le combat sur le sol italien.  Un nom célèbre, entré dans l’imaginaire populaire. Mais que savons-nous de l’homme ? Peu de choses, en réalité, du moins jusqu’à ces dix dernières années. Récemment, des archéologues et des historiens se sont penchés sur son cas, et se sont évertués à démêler le vrai du faux le concernant. Héros pour les uns, il est une véritable figure de cauchemar pour les enfants romains, agitée devant leurs yeux effrayés à chaque fois qu’ils commettent une bêtise, un peu à la façon de notre croque-mitaine. Et ce n’est pas un hasard si Thomas Harris a donné ce nom à son tueur en série, Hannibal Lecter, un criminel cruel et sans pitié devenu un agent des services de police, à la fois intelligent, cultivé et implacable. Cet Hannibal-là a, durant un temps, emprisonné dans l’ombre le vrai Hannibal. Alors, qui est-il vraiment, cet Hannibal Barca ? Un tueur en série ? Un massacreur ? Ou bien un fin stratège, un habile tacticien et un grand chef de guerre ? L’analyse attentive des sources antiques et les résultats des fouilles archéologiques permettent de réécrire l’histoire de cette grande figure de l’Histoire. Peu à peu, les vieilles certitudes et les clichés sont remis en question, pour dessiner un portrait plus réaliste du général carthaginois. Né durant la première Guerre Punique, il est très tôt contraint de s’exilé avec son père, Hamilcar, une autre illustre figure de l’histoire militaire. C’est loin de sa patrie d’origine qu’il grandit, au beau milieu des soldats de son père, et se familiarise avec la vie dure et disciplinée des hommes de guerre. Il ne rêve que de batailles, de conquêtes, de gloire et de richesses. Son père surveille étroitement son éducation militaire, et lui transmet sa haine des Romains. Lorsque ce dernier disparaît brutalement, Hannibal lui succède à la tête de son armée. Lui vient alors une idée folle, audacieuse, périlleuse, voire suicidaire : attaquer les Romains sur leur propre sol, en passant par les Alpes. Il s’apprête donc à faire franchir à une armée entière, composée d’Africains et d’Ibères, ces immenses murailles, avec des armes, des vivres et des éléphants, les animaux de guerre privilégiés des Carthaginois. Mission impossible ? Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timeline

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien :  http://www.hellofresh.fr/timeline Les Etrusques demeurent un peuple mystérieux et fascinant, à la fois célèbre et méconnu. A travers les récentes recherches archéologiques, ils apparaissent comme un peuple évolué, raffiné et puissant. Ils sont réputés dans tout le bassin méditerranéen par leur industrie textile, leur magnifique statuaire en terre cuite, leurs magnifiques fresques funéraires, leurs récipients en bronze d’une surprenante technicité, et grâce aux bijoux, d’une extraordinaire délicatesse, qui sortent des mains des artisans étrusques. D’une grande virtuosité, ils sont les plus beaux exemples de maîtrise de la technique du grenetis, une technique inédite à l’époque, et aucun spécialiste de l’orfèvrerie antique ne peut encore expliquer comment ils ont réalisé ces chefs-d’œuvre. Tout ce qui sort des ateliers d’Etrurie révèle des prouesses techniques et artistiques.  La société étrusque est une société fortement hiérarchisée, fondée sur une élite dominante, qui met en place un système de clientèle, et qui ont à leur service des paysans dépendants ou libres. Cette organisation sociale est reprise ensuite par les Romains.  Les fouilles archéologiques battent en brèche la vision romantique d’un peuple pacifique qui ne sait pas se battre, rendu trop mou par l’habitude du luxe et des banquets fastueux. Bien au contraire, la guerre tient une place importante dans la vie des Etrusques. Ils doivent sans cesse lutter contre les tentatives d’invasion de peuples voisins, comme les Celtes et les Romains. Toutefois, ils savent entretenir d’excellents rapports avec les peuples voisins et lointains. Ils tissent un important et dynamique réseau d’échanges commerciaux avec les Grecs, les Phéniciens, la Sicile, la Corse et les habitants d’Asie Mineure. La production et la culture étrusques se diffusent ainsi dans tout le bassin méditerranéen, par voie de terre et par voie de mer. Les contacts avec les peuples méditerranéens, et en particulier avec les Phéniciens, ouvrent la porte de l’Etrurie à l’alphabet. Naît alors une langue étrange, fondée sur l’alphabet phénicien, certes déchiffrée, mais pas encore comprise.  Cette émission a remis en lumière un peuple disparu depuis deux millénaires. Pourtant, les hommes et les femmes étrusques apparaissent très proches de nous. Les mots ne manquent pas pour décrire la manière avec laquelle ils nous apparaissent : sympathiques, attirants, fascinants, chaleureux, bons vivants, courageux face aux dangers et face à la mort. Ils ont su, avec art, s’approprier des cultures d’origines différentes, les mélanger, et créer une culture singulière qui se démarque de celles qui dominent dans le monde grec et oriental. C’est une civilisation qui n’a pas encore révélé tous ses secrets.  Bibliographie * Jean-Marc IROLLO, Histoire des Etrusques. L’antique civilisation toscane, VIIIe-Ier siècle av. J.-C., Paris, Editions Perrin, « Tempus », 2010 * « Les Etrusques : qui sont-ils ? », Dossiers d’Archéologie, hors-série n° 37, Dijon, Editions Faton, novembre 2019. * Dominique FRERE et Laurent HUGOT, « Qui sont les Etrusques ? Les nouvelles données de l’archéologie », Archéologia, n° 608, avril 2022. * Marie-Laurence HAACK, A la découverte des Etrusques, Paris, Editions La Découverte, 2023.

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien :  http://www.hellofresh.fr/timeline Les Etrusques demeurent un peuple mystérieux et fascinant, à la fois célèbre et méconnu. A travers les récentes recherches archéologiques, ils apparaissent comme un peuple évolué, raffiné et puissant. Ils sont réputés dans tout le bassin méditerranéen par leur industrie textile, leur magnifique statuaire en terre cuite, leurs magnifiques fresques funéraires, leurs récipients en bronze d’une surprenante technicité, et grâce aux bijoux, d’une extraordinaire délicatesse, qui sortent des mains des artisans étrusques. D’une grande virtuosité, ils sont les plus beaux exemples de maîtrise de la technique du grenetis, une technique inédite à l’époque, et aucun spécialiste de l’orfèvrerie antique ne peut encore expliquer comment ils ont réalisé ces chefs-d’œuvre. Tout ce qui sort des ateliers d’Etrurie révèle des prouesses techniques et artistiques.  La société étrusque est une société fortement hiérarchisée, fondée sur une élite dominante, qui met en place un système de clientèle, et qui ont à leur service des paysans dépendants ou libres. Cette organisation sociale est reprise ensuite par les Romains.  Les fouilles archéologiques battent en brèche la vision romantique d’un peuple pacifique qui ne sait pas se battre, rendu trop mou par l’habitude du luxe et des banquets fastueux. Bien au contraire, la guerre tient une place importante dans la vie des Etrusques. Ils doivent sans cesse lutter contre les tentatives d’invasion de peuples voisins, comme les Celtes et les Romains. Toutefois, ils savent entretenir d’excellents rapports avec les peuples voisins et lointains. Ils tissent un important et dynamique réseau d’échanges commerciaux avec les Grecs, les Phéniciens, la Sicile, la Corse et les habitants d’Asie Mineure. La production et la culture étrusques se diffusent ainsi dans tout le bassin méditerranéen, par voie de terre et par voie de mer. Les contacts avec les peuples méditerranéens, et en particulier avec les Phéniciens, ouvrent la porte de l’Etrurie à l’alphabet. Naît alors une langue étrange, fondée sur l’alphabet phénicien, certes déchiffrée, mais pas encore comprise.  Cette émission a remis en lumière un peuple disparu depuis deux millénaires. Pourtant, les hommes et les femmes étrusques apparaissent très proches de nous. Les mots ne manquent pas pour décrire la manière avec laquelle ils nous apparaissent : sympathiques, attirants, fascinants, chaleureux, bons vivants, courageux face aux dangers et face à la mort. Ils ont su, avec art, s’approprier des cultures d’origines différentes, les mélanger, et créer une culture singulière qui se démarque de celles qui dominent dans le monde grec et oriental. C’est une civilisation qui n’a pas encore révélé tous ses secrets.  Bibliographie * Jean-Marc IROLLO, Histoire des Etrusques. L’antique civilisation toscane, VIIIe-Ier siècle av. J.-C., Paris, Editions Perrin, « Tempus », 2010 * « Les Etrusques : qui sont-ils ? », Dossiers d’Archéologie, hors-série n° 37, Dijon, Editions Faton, novembre 2019. * Dominique FRERE et Laurent HUGOT, « Qui sont les Etrusques ? Les nouvelles données de l’archéologie », Archéologia, n° 608, avril 2022. * Marie-Laurence HAACK, A la découverte des Etrusques, Paris, Editions La Découverte, 2023.

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien :  http://www.hellofresh.fr/timeline Coup de projecteur sur des visages féminins de l’histoire de l’exploration, d’hier et d’aujourd’hui. Une façon de revisiter une histoire habituellement accordée au masculin. Elles s’appellent Alexandra David-Néel, Anita Conti, Jane Goodall, Ella Maillart, Gertrude Bell, Katia Krafft. Elles sont orientalistes, océanographes, éthologues, sportives, espionnes, volcanologues. Comme les quarante-cinq autres exploratrices et aventurières du livre, elles ont réussi à aller au-delà des océans, des crêtes, des déserts, à dépasser les frontières. Toutes les frontières. Y compris celles que la société de leur époque impose aux femmes. Y compris celles de leurs propres peurs. Il est des visages plus méconnus : on oublie souvent que l’expédition de Bougainville comptait une femme, Jeanne Barret, qui dut se déguiser en homme pour monter à bord. Elle fut la première à faire le tour du monde. Ce volume ménage aussi une place à des figures non occidentales, telle l’Iñupiat Ada Blackjack, qui survécut à l’expédition catastrophique de l’ethnologue Vilhjalmur Stefansson sur l’île Wrangel en Arctique en 1921. Ce livre n’est pas écrit par une exploratrice de papier, mais par une grande voyageuse, Caroline Riegel. Cela donne cinquante portraits forts et engagés. Caroline Riegel est notre invitée, en direct de notre Café Histoire sur Twitch

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien :  http://www.hellofresh.fr/timeline Les Etrusques demeurent un peuple mystérieux et fascinant, à la fois célèbre et méconnu. A travers les récentes recherches archéologiques, ils apparaissent comme un peuple évolué, raffiné et puissant. Ils sont réputés dans tout le bassin méditerranéen par leur industrie textile, leur magnifique statuaire en terre cuite, leurs magnifiques fresques funéraires, leurs récipients en bronze d’une surprenante technicité, et grâce aux bijoux, d’une extraordinaire délicatesse, qui sortent des mains des artisans étrusques. D’une grande virtuosité, ils sont les plus beaux exemples de maîtrise de la technique du grenetis, une technique inédite à l’époque, et aucun spécialiste de l’orfèvrerie antique ne peut encore expliquer comment ils ont réalisé ces chefs-d’œuvre. Tout ce qui sort des ateliers d’Etrurie révèle des prouesses techniques et artistiques.  La société étrusque est une société fortement hiérarchisée, fondée sur une élite dominante, qui met en place un système de clientèle, et qui ont à leur service des paysans dépendants ou libres. Cette organisation sociale est reprise ensuite par les Romains.  Les fouilles archéologiques battent en brèche la vision romantique d’un peuple pacifique qui ne sait pas se battre, rendu trop mou par l’habitude du luxe et des banquets fastueux. Bien au contraire, la guerre tient une place importante dans la vie des Etrusques. Ils doivent sans cesse lutter contre les tentatives d’invasion de peuples voisins, comme les Celtes et les Romains. Toutefois, ils savent entretenir d’excellents rapports avec les peuples voisins et lointains. Ils tissent un important et dynamique réseau d’échanges commerciaux avec les Grecs, les Phéniciens, la Sicile, la Corse et les habitants d’Asie Mineure. La production et la culture étrusques se diffusent ainsi dans tout le bassin méditerranéen, par voie de terre et par voie de mer. Les contacts avec les peuples méditerranéens, et en particulier avec les Phéniciens, ouvrent la porte de l’Etrurie à l’alphabet. Naît alors une langue étrange, fondée sur l’alphabet phénicien, certes déchiffrée, mais pas encore comprise.  Cette émission a remis en lumière un peuple disparu depuis deux millénaires. Pourtant, les hommes et les femmes étrusques apparaissent très proches de nous. Les mots ne manquent pas pour décrire la manière avec laquelle ils nous apparaissent : sympathiques, attirants, fascinants, chaleureux, bons vivants, courageux face aux dangers et face à la mort. Ils ont su, avec art, s’approprier des cultures d’origines différentes, les mélanger, et créer une culture singulière qui se démarque de celles qui dominent dans le monde grec et oriental. C’est une civilisation qui n’a pas encore révélé tous ses secrets.  Bibliographie * Jean-Marc IROLLO, Histoire des Etrusques. L’antique civilisation toscane, VIIIe-Ier siècle av. J.-C., Paris, Editions Perrin, « Tempus », 2010 * « Les Etrusques : qui sont-ils ? », Dossiers d’Archéologie, hors-série n° 37, Dijon, Editions Faton, novembre 2019. * Dominique FRERE et Laurent HUGOT, « Qui sont les Etrusques ? Les nouvelles données de l’archéologie », Archéologia, n° 608, avril 2022. * Marie-Laurence HAACK, A la découverte des Etrusques, Paris, Editions La Découverte, 2023.

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien :  http://www.hellofresh.fr/timeline  Les Etrusques demeurent un peuple mystérieux et fascinant, à la fois célèbre et méconnu. A travers les récentes recherches archéologiques, ils apparaissent comme un peuple évolué, raffiné et puissant. Ils sont réputés dans tout le bassin méditerranéen par leur industrie textile, leur magnifique statuaire en terre cuite, leurs magnifiques fresques funéraires, leurs récipients en bronze d’une surprenante technicité, et grâce aux bijoux, d’une extraordinaire délicatesse, qui sortent des mains des artisans étrusques. D’une grande virtuosité, ils sont les plus beaux exemples de maîtrise de la technique du grenetis, une technique inédite à l’époque, et aucun spécialiste de l’orfèvrerie antique ne peut encore expliquer comment ils ont réalisé ces chefs-d’œuvre. Tout ce qui sort des ateliers d’Etrurie révèle des prouesses techniques et artistiques.  La société étrusque est une société fortement hiérarchisée, fondée sur une élite dominante, qui met en place un système de clientèle, et qui ont à leur service des paysans dépendants ou libres. Cette organisation sociale est reprise ensuite par les Romains.  Les fouilles archéologiques battent en brèche la vision romantique d’un peuple pacifique qui ne sait pas se battre, rendu trop mou par l’habitude du luxe et des banquets fastueux. Bien au contraire, la guerre tient une place importante dans la vie des Etrusques. Ils doivent sans cesse lutter contre les tentatives d’invasion de peuples voisins, comme les Celtes et les Romains. Toutefois, ils savent entretenir d’excellents rapports avec les peuples voisins et lointains. Ils tissent un important et dynamique réseau d’échanges commerciaux avec les Grecs, les Phéniciens, la Sicile, la Corse et les habitants d’Asie Mineure. La production et la culture étrusques se diffusent ainsi dans tout le bassin méditerranéen, par voie de terre et par voie de mer. Les contacts avec les peuples méditerranéens, et en particulier avec les Phéniciens, ouvrent la porte de l’Etrurie à l’alphabet. Naît alors une langue étrange, fondée sur l’alphabet phénicien, certes déchiffrée, mais pas encore comprise.  Cette émission a remis en lumière un peuple disparu depuis deux millénaires. Pourtant, les hommes et les femmes étrusques apparaissent très proches de nous. Les mots ne manquent pas pour décrire la manière avec laquelle ils nous apparaissent : sympathiques, attirants, fascinants, chaleureux, bons vivants, courageux face aux dangers et face à la mort. Ils ont su, avec art, s’approprier des cultures d’origines différentes, les mélanger, et créer une culture singulière qui se démarque de celles qui dominent dans le monde grec et oriental. C’est une civilisation qui n’a pas encore révélé tous ses secrets.  Bibliographie * Jean-Marc IROLLO, Histoire des Etrusques. L’antique civilisation toscane, VIIIe-Ier siècle av. J.-C., Paris, Editions Perrin, « Tempus », 2010 * « Les Etrusques : qui sont-ils ? », Dossiers d’Archéologie, hors-série n° 37, Dijon, Editions Faton, novembre 2019. * Dominique FRERE et Laurent HUGOT, « Qui sont les Etrusques ? Les nouvelles données de l’archéologie », Archéologia, n° 608, avril 2022. * Marie-Laurence HAACK, A la découverte des Etrusques, Paris, Editions La Découverte, 2023.

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien :  http://www.hellofresh.fr/timeline  Les Etrusques demeurent un peuple mystérieux et fascinant, à la fois célèbre et méconnu. A travers les récentes recherches archéologiques, ils apparaissent comme un peuple évolué, raffiné et puissant. Ils sont réputés dans tout le bassin méditerranéen par leur industrie textile, leur magnifique statuaire en terre cuite, leurs magnifiques fresques funéraires, leurs récipients en bronze d’une surprenante technicité, et grâce aux bijoux, d’une extraordinaire délicatesse, qui sortent des mains des artisans étrusques. D’une grande virtuosité, ils sont les plus beaux exemples de maîtrise de la technique du grenetis, une technique inédite à l’époque, et aucun spécialiste de l’orfèvrerie antique ne peut encore expliquer comment ils ont réalisé ces chefs-d’œuvre. Tout ce qui sort des ateliers d’Etrurie révèle des prouesses techniques et artistiques.  La société étrusque est une société fortement hiérarchisée, fondée sur une élite dominante, qui met en place un système de clientèle, et qui ont à leur service des paysans dépendants ou libres. Cette organisation sociale est reprise ensuite par les Romains.  Les fouilles archéologiques battent en brèche la vision romantique d’un peuple pacifique qui ne sait pas se battre, rendu trop mou par l’habitude du luxe et des banquets fastueux. Bien au contraire, la guerre tient une place importante dans la vie des Etrusques. Ils doivent sans cesse lutter contre les tentatives d’invasion de peuples voisins, comme les Celtes et les Romains. Toutefois, ils savent entretenir d’excellents rapports avec les peuples voisins et lointains. Ils tissent un important et dynamique réseau d’échanges commerciaux avec les Grecs, les Phéniciens, la Sicile, la Corse et les habitants d’Asie Mineure. La production et la culture étrusques se diffusent ainsi dans tout le bassin méditerranéen, par voie de terre et par voie de mer. Les contacts avec les peuples méditerranéens, et en particulier avec les Phéniciens, ouvrent la porte de l’Etrurie à l’alphabet. Naît alors une langue étrange, fondée sur l’alphabet phénicien, certes déchiffrée, mais pas encore comprise.  Cette émission a remis en lumière un peuple disparu depuis deux millénaires. Pourtant, les hommes et les femmes étrusques apparaissent très proches de nous. Les mots ne manquent pas pour décrire la manière avec laquelle ils nous apparaissent : sympathiques, attirants, fascinants, chaleureux, bons vivants, courageux face aux dangers et face à la mort. Ils ont su, avec art, s’approprier des cultures d’origines différentes, les mélanger, et créer une culture singulière qui se démarque de celles qui dominent dans le monde grec et oriental. C’est une civilisation qui n’a pas encore révélé tous ses secrets.  Bibliographie * Jean-Marc IROLLO, Histoire des Etrusques. L’antique civilisation toscane, VIIIe-Ier siècle av. J.-C., Paris, Editions Perrin, « Tempus », 2010 * « Les Etrusques : qui sont-ils ? », Dossiers d’Archéologie, hors-série n° 37, Dijon, Editions Faton, novembre 2019. * Dominique FRERE et Laurent HUGOT, « Qui sont les Etrusques ? Les nouvelles données de l’archéologie », Archéologia, n° 608, avril 2022. * Marie-Laurence HAACK, A la découverte des Etrusques, Paris, Editions La Découverte, 2023.

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien :  http://www.hellofresh.fr/timeline  Les Etrusques demeurent un peuple mystérieux et fascinant, à la fois célèbre et méconnu. A travers les récentes recherches archéologiques, ils apparaissent comme un peuple évolué, raffiné et puissant. Ils sont réputés dans tout le bassin méditerranéen par leur industrie textile, leur magnifique statuaire en terre cuite, leurs magnifiques fresques funéraires, leurs récipients en bronze d’une surprenante technicité, et grâce aux bijoux, d’une extraordinaire délicatesse, qui sortent des mains des artisans étrusques. D’une grande virtuosité, ils sont les plus beaux exemples de maîtrise de la technique du grenetis, une technique inédite à l’époque, et aucun spécialiste de l’orfèvrerie antique ne peut encore expliquer comment ils ont réalisé ces chefs-d’œuvre. Tout ce qui sort des ateliers d’Etrurie révèle des prouesses techniques et artistiques.  La société étrusque est une société fortement hiérarchisée, fondée sur une élite dominante, qui met en place un système de clientèle, et qui ont à leur service des paysans dépendants ou libres. Cette organisation sociale est reprise ensuite par les Romains.  Les fouilles archéologiques battent en brèche la vision romantique d’un peuple pacifique qui ne sait pas se battre, rendu trop mou par l’habitude du luxe et des banquets fastueux. Bien au contraire, la guerre tient une place importante dans la vie des Etrusques. Ils doivent sans cesse lutter contre les tentatives d’invasion de peuples voisins, comme les Celtes et les Romains. Toutefois, ils savent entretenir d’excellents rapports avec les peuples voisins et lointains. Ils tissent un important et dynamique réseau d’échanges commerciaux avec les Grecs, les Phéniciens, la Sicile, la Corse et les habitants d’Asie Mineure. La production et la culture étrusques se diffusent ainsi dans tout le bassin méditerranéen, par voie de terre et par voie de mer. Les contacts avec les peuples méditerranéens, et en particulier avec les Phéniciens, ouvrent la porte de l’Etrurie à l’alphabet. Naît alors une langue étrange, fondée sur l’alphabet phénicien, certes déchiffrée, mais pas encore comprise.  Cette émission a remis en lumière un peuple disparu depuis deux millénaires. Pourtant, les hommes et les femmes étrusques apparaissent très proches de nous. Les mots ne manquent pas pour décrire la manière avec laquelle ils nous apparaissent : sympathiques, attirants, fascinants, chaleureux, bons vivants, courageux face aux dangers et face à la mort. Ils ont su, avec art, s’approprier des cultures d’origines différentes, les mélanger, et créer une culture singulière qui se démarque de celles qui dominent dans le monde grec et oriental. C’est une civilisation qui n’a pas encore révélé tous ses secrets.  Bibliographie * Jean-Marc IROLLO, Histoire des Etrusques. L’antique civilisation toscane, VIIIe-Ier siècle av. J.-C., Paris, Editions Perrin, « Tempus », 2010 * « Les Etrusques : qui sont-ils ? », Dossiers d’Archéologie, hors-série n° 37, Dijon, Editions Faton, novembre 2019. * Dominique FRERE et Laurent HUGOT, « Qui sont les Etrusques ? Les nouvelles données de l’archéologie », Archéologia, n° 608, avril 2022. * Marie-Laurence HAACK, A la découverte des Etrusques, Paris, Editions La Découverte, 2023.

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien : http://www.hellofresh.fr/timeline  L’ère du pétrole entre le 18e siècle et les années 1930, dont nous parlons dans cet épisode, est une période charnière dans l'histoire industrielle et géopolitique.  Au 18e siècle, le pétrole était principalement utilisé pour l'éclairage, extrait de sources naturelles.  Au 19e siècle, l'exploitation pétrolière se développe avec le forage de puits en Pennsylvanie, aux États-Unis, menant à la première véritable révolution pétrolière. L'usage du pétrole se diversifie rapidement, alimentant les lampes à pétrole, les navires à vapeur et les premières automobiles.  Au début du 20e siècle, le Moyen-Orient devient une source majeure de pétrole, bouleversant l'équilibre géopolitique mondial. Cette émission sur l'histoire du pétrole est une saga fascinante de croissance industrielle, d'innovations technologiques et de bouleversements politiques.  Le pétrole a en effet propulsé notre société moderne, devenant un symbole de puissance économique et de dépendance énergétique.  Du premier gisement à l'essor des entreprises pétrolières telles que la Standard Oil, le pétrole a forgé notre monde moderne… Bibliographie:  Auzanneau, Matthieu. Or noir. La grande histoire du pétrole. La Découverte, 2015   Ecriture: Lucie Devocelle pour Storycast 

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien : http://www.hellofresh.fr/timeline  L’ère du pétrole entre le 18e siècle et les années 1930, dont nous parlons dans cet épisode, est une période charnière dans l'histoire industrielle et géopolitique.  Au 18e siècle, le pétrole était principalement utilisé pour l'éclairage, extrait de sources naturelles.  Au 19e siècle, l'exploitation pétrolière se développe avec le forage de puits en Pennsylvanie, aux États-Unis, menant à la première véritable révolution pétrolière. L'usage du pétrole se diversifie rapidement, alimentant les lampes à pétrole, les navires à vapeur et les premières automobiles.  Au début du 20e siècle, le Moyen-Orient devient une source majeure de pétrole, bouleversant l'équilibre géopolitique mondial. Cette émission sur l'histoire du pétrole est une saga fascinante de croissance industrielle, d'innovations technologiques et de bouleversements politiques.  Le pétrole a en effet propulsé notre société moderne, devenant un symbole de puissance économique et de dépendance énergétique.  Du premier gisement à l'essor des entreprises pétrolières telles que la Standard Oil, le pétrole a forgé notre monde moderne…   Bibliographie:  Auzanneau, Matthieu. Or noir. La grande histoire du pétrole. La Découverte, 2015   Ecriture: Lucie Devocelle pour Storycast 

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien : http://www.hellofresh.fr/timeline  L’ère du pétrole entre le 18e siècle et les années 1930, dont nous parlons dans cet épisode, est une période charnière dans l'histoire industrielle et géopolitique.  Au 18e siècle, le pétrole était principalement utilisé pour l'éclairage, extrait de sources naturelles.  Au 19e siècle, l'exploitation pétrolière se développe avec le forage de puits en Pennsylvanie, aux États-Unis, menant à la première véritable révolution pétrolière. L'usage du pétrole se diversifie rapidement, alimentant les lampes à pétrole, les navires à vapeur et les premières automobiles.  Au début du 20e siècle, le Moyen-Orient devient une source majeure de pétrole, bouleversant l'équilibre géopolitique mondial. Cette émission sur l'histoire du pétrole est une saga fascinante de croissance industrielle, d'innovations technologiques et de bouleversements politiques.  Le pétrole a en effet propulsé notre société moderne, devenant un symbole de puissance économique et de dépendance énergétique.  Du premier gisement à l'essor des entreprises pétrolières telles que la Standard Oil, le pétrole a forgé notre monde moderne…   Bibliographie:  Auzanneau, Matthieu. Or noir. La grande histoire du pétrole. La Découverte, 2015   Ecriture: Lucie Devocelle pour Storycast 

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien : http://www.hellofresh.fr/timeline  L’ère du pétrole entre le 18e siècle et les années 1930, dont nous parlons dans cet épisode, est une période charnière dans l'histoire industrielle et géopolitique.  Au 18e siècle, le pétrole était principalement utilisé pour l'éclairage, extrait de sources naturelles.  Au 19e siècle, l'exploitation pétrolière se développe avec le forage de puits en Pennsylvanie, aux États-Unis, menant à la première véritable révolution pétrolière. L'usage du pétrole se diversifie rapidement, alimentant les lampes à pétrole, les navires à vapeur et les premières automobiles.  Au début du 20e siècle, le Moyen-Orient devient une source majeure de pétrole, bouleversant l'équilibre géopolitique mondial. Cette émission sur l'histoire du pétrole est une saga fascinante de croissance industrielle, d'innovations technologiques et de bouleversements politiques.  Le pétrole a en effet propulsé notre société moderne, devenant un symbole de puissance économique et de dépendance énergétique.  Du premier gisement à l'essor des entreprises pétrolières telles que la Standard Oil, le pétrole a forgé notre monde moderne…   Bibliographie:  Auzanneau, Matthieu. Or noir. La grande histoire du pétrole. La Découverte, 2015   Ecriture: Lucie Devocelle pour Storycast 

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce lien : http://www.hellofresh.fr/timeline  L’ère du pétrole entre le 18e siècle et les années 1930, dont nous parlons dans cet épisode, est une période charnière dans l'histoire industrielle et géopolitique.  Au 18e siècle, le pétrole était principalement utilisé pour l'éclairage, extrait de sources naturelles.  Au 19e siècle, l'exploitation pétrolière se développe avec le forage de puits en Pennsylvanie, aux États-Unis, menant à la première véritable révolution pétrolière. L'usage du pétrole se diversifie rapidement, alimentant les lampes à pétrole, les navires à vapeur et les premières automobiles.  Au début du 20e siècle, le Moyen-Orient devient une source majeure de pétrole, bouleversant l'équilibre géopolitique mondial. Cette émission sur l'histoire du pétrole est une saga fascinante de croissance industrielle, d'innovations technologiques et de bouleversements politiques.  Le pétrole a en effet propulsé notre société moderne, devenant un symbole de puissance économique et de dépendance énergétique.  Du premier gisement à l'essor des entreprises pétrolières telles que la Standard Oil, le pétrole a forgé notre monde moderne… Bibliographie:  Auzanneau, Matthieu. Or noir. La grande histoire du pétrole. La Découverte, 2015   Ecriture: Lucie Devocelle pour Storycast 

 Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce line :  http://www.hellofresh.fr/timeline  Les  Étrusques, anciens habitants de l'Italie centrale, étaient un peuple  mystérieux dont l'origine reste débattue. Ils vivaient dans des cités-États fortifiées et avaient une société avancée. Leur mode  vestimentaire était riche en tissus colorés, avec des bijoux et des  coiffures élaborées. La société étrusque était organisée en classes  sociales, avec une aristocratie puissante et une classe moyenne. Ils  étaient des agriculteurs habiles, cultivant des céréales, des fruits et  des légumes, et pratiquaient également l'élevage.  Les Étrusques sont  connus pour leur art, leur ingénierie et leur maîtrise de la  métallurgie, mais ils ont été progressivement absorbés par la Rome  antique vers le IVe siècle avant J.-C., laissant derrière eux un riche  héritage culturel.

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce line :  http://www.hellofresh.fr/timeline  Les  Étrusques, anciens habitants de l'Italie centrale, étaient un peuple  mystérieux dont l'origine reste débattue. Ils vivaient dans des cités-États fortifiées et avaient une société avancée. Leur mode  vestimentaire était riche en tissus colorés, avec des bijoux et des  coiffures élaborées. La société étrusque était organisée en classes  sociales, avec une aristocratie puissante et une classe moyenne. Ils  étaient des agriculteurs habiles, cultivant des céréales, des fruits et  des légumes, et pratiquaient également l'élevage.  Les Étrusques sont  connus pour leur art, leur ingénierie et leur maîtrise de la  métallurgie, mais ils ont été progressivement absorbés par la Rome  antique vers le IVe siècle avant J.-C., laissant derrière eux un riche  héritage culturel.

 Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce line :  http://www.hellofresh.fr/timeline  Les  Étrusques, anciens habitants de l'Italie centrale, étaient un peuple  mystérieux dont l'origine reste débattue. Ils vivaient dans des cités-États fortifiées et avaient une société avancée. Leur mode  vestimentaire était riche en tissus colorés, avec des bijoux et des  coiffures élaborées. La société étrusque était organisée en classes  sociales, avec une aristocratie puissante et une classe moyenne. Ils  étaient des agriculteurs habiles, cultivant des céréales, des fruits et  des légumes, et pratiquaient également l'élevage.  Les Étrusques sont  connus pour leur art, leur ingénierie et leur maîtrise de la  métallurgie, mais ils ont été progressivement absorbés par la Rome  antique vers le IVe siècle avant J.-C., laissant derrière eux un riche  héritage culturel.

 Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce line :  http://www.hellofresh.fr/timeline  Les  Étrusques, anciens habitants de l'Italie centrale, étaient un peuple  mystérieux dont l'origine reste débattue. Ils vivaient dans des cités-États fortifiées et avaient une société avancée.  Leur mode  vestimentaire était riche en tissus colorés, avec des bijoux et des  coiffures élaborées. La société étrusque était organisée en classes  sociales, avec une aristocratie puissante et une classe moyenne. Ils  étaient des agriculteurs habiles, cultivant des céréales, des fruits et  des légumes, et pratiquaient également l'élevage.  Les Étrusques sont  connus pour leur art, leur ingénierie et leur maîtrise de la  métallurgie, mais ils ont été progressivement absorbés par la Rome  antique vers le IVe siècle avant J.-C., laissant derrière eux un riche  héritage culturel.

Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce line :  http://www.hellofresh.fr/timeline  Les  Étrusques, anciens habitants de l'Italie centrale, étaient un peuple  mystérieux dont l'origine reste débattue. Ils vivaient dans des cités-États fortifiées et avaient une société avancée. Leur mode  vestimentaire était riche en tissus colorés, avec des bijoux et des  coiffures élaborées. La société étrusque était organisée en classes  sociales, avec une aristocratie puissante et une classe moyenne. Ils  étaient des agriculteurs habiles, cultivant des céréales, des fruits et  des légumes, et pratiquaient également l'élevage.  Les Étrusques sont  connus pour leur art, leur ingénierie et leur maîtrise de la  métallurgie, mais ils ont été progressivement absorbés par la Rome  antique vers le IVe siècle avant J.-C., laissant derrière eux un riche  héritage culturel.

 Merci à HelloFresh de soutenir Timeline ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code Timeline ou en cliquant sur ce line :  http://www.hellofresh.fr/timeline  Les  Étrusques, anciens habitants de l'Italie centrale, étaient un peuple  mystérieux dont l'origine reste débattue. Ils vivaient dans des cités-États fortifiées et avaient une société avancée.  Leur mode  vestimentaire était riche en tissus colorés, avec des bijoux et des  coiffures élaborées. La société étrusque était organisée en classes  sociales, avec une aristocratie puissante et une classe moyenne. Ils  étaient des agriculteurs habiles, cultivant des céréales, des fruits et  des légumes, et pratiquaient également l'élevage.  Les Étrusques sont  connus pour leur art, leur ingénierie et leur maîtrise de la  métallurgie, mais ils ont été progressivement absorbés par la Rome  antique vers le IVe siècle avant J.-C., laissant derrière eux un riche  héritage culturel.

Cette émission nous permet d'appréhender l'ingéniosité et l'ingénierie romaine qui ont influencé la conception des infrastructures modernes, des aqueducs aux routes. Le système de planification urbaine romain, caractérisé par la création de rues organisées en grille et l'aménagement de forums, a jeté les bases de nos villes modernes. Qui plus est, l'architecture romaine a laissé des traces dans les styles architecturaux et les techniques de construction adoptés par les civilisations qui ont suivi. Les arcs, les voûtes et les dômes romains ont été repris et adaptés au fil des siècles, influençant les édifices emblématiques tels que les cathédrales gothiques ou les bâtiments néo-classiques. Enfin, l'étude des bâtiments romains offre des coups de projecteur sur l'organisation sociale, politique et économique de l'Antiquité.  Les forums, les thermes, les amphithéâtres et les habitations fournissent des indices sur la vie quotidienne, la culture et les valeurs romaines, et comment ces éléments ont façonné la société contemporaine. Ainsi, connaître les bâtiments d'une cité romaine éclaire notre compréhension de la manière dont l'ingénierie, l'architecture et la société romaines ont laissé une empreinte durable sur l'évolution des villes et des civilisations jusqu'à nos jours.

Cette émission nous permet d'appréhender l'ingéniosité et l'ingénierie romaine qui ont influencé la conception des infrastructures modernes, des aqueducs aux routes. Le système de planification urbaine romain, caractérisé par la création de rues organisées en grille et l'aménagement de forums, a jeté les bases de nos villes modernes. Qui plus est, l'architecture romaine a laissé des traces dans les styles architecturaux et les techniques de construction adoptés par les civilisations qui ont suivi. Les arcs, les voûtes et les dômes romains ont été repris et adaptés au fil des siècles, influençant les édifices emblématiques tels que les cathédrales gothiques ou les bâtiments néo-classiques. Enfin, l'étude des bâtiments romains offre des coups de projecteur sur l'organisation sociale, politique et économique de l'Antiquité.  Les forums, les thermes, les amphithéâtres et les habitations fournissent des indices sur la vie quotidienne, la culture et les valeurs romaines, et comment ces éléments ont façonné la société contemporaine. Ainsi, connaître les bâtiments d'une cité romaine éclaire notre compréhension de la manière dont l'ingénierie, l'architecture et la société romaines ont laissé une empreinte durable sur l'évolution des villes et des civilisations jusqu'à nos jours.

Cet  ouvrage propose de découvrir ou redécouvrir huit femmes qui partagèrent  un temps la vie de Picasso. Germaine Pichot, Fernande Olivier, Eva  Gouel, Olga Khokhlova, Marie-Thérèse Walter, Dora Maar, Françoise Gilot  et Jacqueline Roque formèrent avec lui de singuliers couples, plus ou  moins durables, plus ou moins publics. Ces femmes, que l’histoire a  intimement liées à la production de Picasso, ont souvent été étudiées  sans nuances, enfermées dans un processus de création et de destruction  typiquement picassien. Avec  un soin de chercheuse égal à son talent de conteuse, Laurence Madeline  restitue à chaque femme et au-delà des années passées auprès de lui,  l’intensité d’une existence irréductible à Picasso. Picasso qui n’est ni  un héros, ni un dieu. Il vit, tombe amoureux, trahit, est trahi,  travaille, expose, crée inlassablement. Approcher  ces huit femmes, c’est dérouler en huit récits l’entier parcours de  l’artiste, de l’atelier précaire et convivial du Bateau-Lavoir à celui  de Mougins, solide et protégé comme une forteresse. C’est aussi explorer  soixante-dix années de la condition féminine, de 1906 à 1973, de la  petite Parisienne qui cherche une vie meilleure à la femme consciente de  sa responsabilité écrasante dans la survivance d’un créateur  octogénaire, puis nonagénaire, en passant par les compagnes qui  questionnent un machisme flagrant. C’est enfin aborder l’œuvre de  Picasso comme une entreprise qui ne serait pas seulement vampirisante,  mais réfléchie, polyphonique. Une entreprise dans laquelle les femmes ne  sont ni des muses ni des modèles, mais de véritables partenaires qui  contribuèrent à porter l’œuvre de l’artiste à la postérité inouïe que  nous lui connaissons aujourd’hui. Laurence Madeline est notre invitée pour Xpresso

Cette émission nous permet d'appréhender l'ingéniosité et l'ingénierie romaine qui ont influencé la conception des infrastructures modernes, des aqueducs aux routes. Le système de planification urbaine romain, caractérisé par la création de rues organisées en grille et l'aménagement de forums, a jeté les bases de nos villes modernes. Qui plus est, l'architecture romaine a laissé des traces dans les styles architecturaux et les techniques de construction adoptés par les civilisations qui ont suivi. Les arcs, les voûtes et les dômes romains ont été repris et adaptés au fil des siècles, influençant les édifices emblématiques tels que les cathédrales gothiques ou les bâtiments néo-classiques. Enfin, l'étude des bâtiments romains offre des coups de projecteur sur l'organisation sociale, politique et économique de l'Antiquité.  Les forums, les thermes, les amphithéâtres et les habitations fournissent des indices sur la vie quotidienne, la culture et les valeurs romaines, et comment ces éléments ont façonné la société contemporaine. Ainsi, connaître les bâtiments d'une cité romaine éclaire notre compréhension de la manière dont l'ingénierie, l'architecture et la société romaines ont laissé une empreinte durable sur l'évolution des villes et des civilisations jusqu'à nos jours.

Cette émission nous permet d'appréhender l'ingéniosité et l'ingénierie romaine qui ont influencé la conception des infrastructures modernes, des aqueducs aux routes. Le système de planification urbaine romain, caractérisé par la création de rues organisées en grille et l'aménagement de forums, a jeté les bases de nos villes modernes. Qui plus est, l'architecture romaine a laissé des traces dans les styles architecturaux et les techniques de construction adoptés par les civilisations qui ont suivi. Les arcs, les voûtes et les dômes romains ont été repris et adaptés au fil des siècles, influençant les édifices emblématiques tels que les cathédrales gothiques ou les bâtiments néo-classiques. Enfin, l'étude des bâtiments romains offre des coups de projecteur sur l'organisation sociale, politique et économique de l'Antiquité.  Les forums, les thermes, les amphithéâtres et les habitations fournissent des indices sur la vie quotidienne, la culture et les valeurs romaines, et comment ces éléments ont façonné la société contemporaine. Ainsi, connaître les bâtiments d'une cité romaine éclaire notre compréhension de la manière dont l'ingénierie, l'architecture et la société romaines ont laissé une empreinte durable sur l'évolution des villes et des civilisations jusqu'à nos jours.

Cette émission nous permet d'appréhender l'ingéniosité et l'ingénierie romaine qui ont influencé la conception des infrastructures modernes, des aqueducs aux routes. Le système de planification urbaine romain, caractérisé par la création de rues organisées en grille et l'aménagement de forums, a jeté les bases de nos villes modernes. Qui plus est, l'architecture romaine a laissé des traces dans les styles architecturaux et les techniques de construction adoptés par les civilisations qui ont suivi. Les arcs, les voûtes et les dômes romains ont été repris et adaptés au fil des siècles, influençant les édifices emblématiques tels que les cathédrales gothiques ou les bâtiments néo-classiques. Enfin, l'étude des bâtiments romains offre des coups de projecteur sur l'organisation sociale, politique et économique de l'Antiquité.  Les forums, les thermes, les amphithéâtres et les habitations fournissent des indices sur la vie quotidienne, la culture et les valeurs romaines, et comment ces éléments ont façonné la société contemporaine. Ainsi, connaître les bâtiments d'une cité romaine éclaire notre compréhension de la manière dont l'ingénierie, l'architecture et la société romaines ont laissé une empreinte durable sur l'évolution des villes et des civilisations jusqu'à nos jours.

Jusqu’en 1950, l’Algérie est le plus grand exportateur de vin au monde ! Dom Pérignon n’a pas inventé le Champagne tel qu’on le connaît ! La bouteille en verre a tout changé ! Pour en savoir plus sur ces trois affirmations, écoutez notre 3è et dernier volet sur l’Histoire du Vin, de la Renaissance à nos jours. En effet, à la fin du Moyen-Âge, les moines perfectionnèrent la viticulture, tandis que le commerce international se développa. Au XVIIe siècle, la France devint le centre mondial de la viticulture avec l'apparition des vignobles de Bordeaux et de Bourgogne. Au XIXe siècle, la phylloxéra ravagea les vignes européennes, entraînant des replantations massives et des innovations techniques. Le vin devint un symbole de prestige, avec l'apparition des grands crus. Le XXe siècle vit l'essor de l'industrie vinicole, la mondialisation des goûts et la popularisation du vin en dehors de l'Europe. Les Nouveaux Mondes, comme l'Australie et la Californie, produisirent des vins de renom. Aujourd'hui, la viticulture durable et biologique gagne du terrain, tout comme la technologie moderne dans la production. Le vin est plus accessible que jamais, avec des vignobles du monde entier offrant une grande variété de saveurs, de cépages et de styles. Il est devenu un élément incontournable de la culture mondiale, célébré à travers des festivals, des dégustations et des discussions passionnées. 🍷 #HistoireDuVin #RenaissanceÀAujourdhui Emission en compagnie de David Cobbold et Sébastien Durand-Viel, co-fondateurs de l’Académie de vin et spiritueux et de la dégustation, Bibliographie de nos invités  - 101 Vins cultes, Sébastien Durand-Viel, David Cobbold, Hachette (2019) - Atlas des vins de France, David Cobbold, Hachette (2021) - Vous allez enfin vous y connaître en vin, Sébastien Durand-Viel, David Cobbold, Larousse (2018) - Simplissime, Le livre sur le vin le + facile du monde, Sébastien Durand-Viel, Hachette (2020) - Tout sur le vin ou presque..., collectif, Ellipses (2021) ET SURTOUT, LES PETIT DERNIERS - Le tour du monde en 100 vins, David Cobbold, Sébastien Durand-Viel, Hachette (2023) - Atlas Hachette des Vins du Monde, David Cobbold, Sébastien Durand-Viel, Hachette (à paraitre, 2023)

Jusqu’en 1950, l’Algérie est le plus grand exportateur de vin au monde ! Dom Pérignon n’a pas inventé le Champagne tel qu’on le connaît ! La bouteille en verre a tout changé ! Pour en savoir plus sur ces trois affirmations, écoutez notre 3è et dernier volet sur l’Histoire du Vin, de la Renaissance à nos jours. En effet, à la fin du Moyen-Âge, les moines perfectionnèrent la viticulture, tandis que le commerce international se développa. Au XVIIe siècle, la France devint le centre mondial de la viticulture avec l'apparition des vignobles de Bordeaux et de Bourgogne. Au XIXe siècle, la phylloxéra ravagea les vignes européennes, entraînant des replantations massives et des innovations techniques. Le vin devint un symbole de prestige, avec l'apparition des grands crus. Le XXe siècle vit l'essor de l'industrie vinicole, la mondialisation des goûts et la popularisation du vin en dehors de l'Europe. Les Nouveaux Mondes, comme l'Australie et la Californie, produisirent des vins de renom. Aujourd'hui, la viticulture durable et biologique gagne du terrain, tout comme la technologie moderne dans la production. Le vin est plus accessible que jamais, avec des vignobles du monde entier offrant une grande variété de saveurs, de cépages et de styles. Il est devenu un élément incontournable de la culture mondiale, célébré à travers des festivals, des dégustations et des discussions passionnées. 🍷 #HistoireDuVin #RenaissanceÀAujourdhui Emission en compagnie de David Cobbold et Sébastien Durand-Viel, co-fondateurs de l’Académie de vin et spiritueux et de la dégustation, Bibliographie de nos invités  - 101 Vins cultes, Sébastien Durand-Viel, David Cobbold, Hachette (2019) - Atlas des vins de France, David Cobbold, Hachette (2021) - Vous allez enfin vous y connaître en vin, Sébastien Durand-Viel, David Cobbold, Larousse (2018) - Simplissime, Le livre sur le vin le + facile du monde, Sébastien Durand-Viel, Hachette (2020) - Tout sur le vin ou presque..., collectif, Ellipses (2021) ET SURTOUT, LES PETIT DERNIERS - Le tour du monde en 100 vins, David Cobbold, Sébastien Durand-Viel, Hachette (2023) - Atlas Hachette des Vins du Monde, David Cobbold, Sébastien Durand-Viel, Hachette (à paraitre, 2023)

La Machine de Turing Théâtre du Palais Royal 38, rue de Montpensier 75001 PARIS Turing a construit une machine pensante qui se révélera être le premier ordinateur. Contraint au silence par les services secrets, il fut condamné pour homosexualité, avant de se suicider en croquant une pomme empoisonnée rappelant étrangement un célèbre logo… Vous est-il déjà arrivé de détenir un secret, un grand secret ? Non ? Dans ce cas, vous ignorez combien il peut être difficile de le garder pour soi. De toutes les choses immatérielles, le silence est l’une des plus lourde à porter. Et justement, ma vie était remplie de secrets… Avez-vous déjà entendu parler de l’Enigma ? Bien sûr que non, comment le pourriez-vous ? Alors, c’est le moment d’être bien attentif. » Benoît Solès, auteur et « Turing » dans la pièce est notre invité pour Xpresso

Jusqu’en 1950, l’Algérie est le plus grand exportateur de vin au monde ! Dom Pérignon n’a pas inventé le Champagne tel qu’on le connaît ! La bouteille en verre a tout changé ! Pour en savoir plus sur ces trois affirmations, écoutez notre 3è et dernier volet sur l’Histoire du Vin, de la Renaissance à nos jours. En effet, à la fin du Moyen-Âge, les moines perfectionnèrent la viticulture, tandis que le commerce international se développa. Au XVIIe siècle, la France devint le centre mondial de la viticulture avec l'apparition des vignobles de Bordeaux et de Bourgogne. Au XIXe siècle, la phylloxéra ravagea les vignes européennes, entraînant des replantations massives et des innovations techniques. Le vin devint un symbole de prestige, avec l'apparition des grands crus. Le XXe siècle vit l'essor de l'industrie vinicole, la mondialisation des goûts et la popularisation du vin en dehors de l'Europe. Les Nouveaux Mondes, comme l'Australie et la Californie, produisirent des vins de renom. Aujourd'hui, la viticulture durable et biologique gagne du terrain, tout comme la technologie moderne dans la production. Le vin est plus accessible que jamais, avec des vignobles du monde entier offrant une grande variété de saveurs, de cépages et de styles. Il est devenu un élément incontournable de la culture mondiale, célébré à travers des festivals, des dégustations et des discussions passionnées. 🍷 #HistoireDuVin #RenaissanceÀAujourdhui Emission en compagnie de David Cobbold et Sébastien Durand-Viel, co-fondateurs de l’Académie de vin et spiritueux et de la dégustation, Bibliographie de nos invités  - 101 Vins cultes, Sébastien Durand-Viel, David Cobbold, Hachette (2019) - Atlas des vins de France, David Cobbold, Hachette (2021) - Vous allez enfin vous y connaître en vin, Sébastien Durand-Viel, David Cobbold, Larousse (2018) - Simplissime, Le livre sur le vin le + facile du monde, Sébastien Durand-Viel, Hachette (2020) - Tout sur le vin ou presque..., collectif, Ellipses (2021) ET SURTOUT, LES PETIT DERNIERS - Le tour du monde en 100 vins, David Cobbold, Sébastien Durand-Viel, Hachette (2023) - Atlas Hachette des Vins du Monde, David Cobbold, Sébastien Durand-Viel, Hachette (à paraitre, 2023)

Jusqu’en 1950, l’Algérie est le plus grand exportateur de vin au monde ! Dom Pérignon n’a pas inventé le Champagne tel qu’on le connaît ! La bouteille en verre a tout changé ! Pour en savoir plus sur ces trois affirmations, écoutez notre 3è et dernier volet sur l’Histoire du Vin, de la Renaissance à nos jours. En effet, à la fin du Moyen-Âge, les moines perfectionnèrent la viticulture, tandis que le commerce international se développa. Au XVIIe siècle, la France devint le centre mondial de la viticulture avec l'apparition des vignobles de Bordeaux et de Bourgogne. Au XIXe siècle, la phylloxéra ravagea les vignes européennes, entraînant des replantations massives et des innovations techniques. Le vin devint un symbole de prestige, avec l'apparition des grands crus. Le XXe siècle vit l'essor de l'industrie vinicole, la mondialisation des goûts et la popularisation du vin en dehors de l'Europe. Les Nouveaux Mondes, comme l'Australie et la Californie, produisirent des vins de renom. Aujourd'hui, la viticulture durable et biologique gagne du terrain, tout comme la technologie moderne dans la production. Le vin est plus accessible que jamais, avec des vignobles du monde entier offrant une grande variété de saveurs, de cépages et de styles. Il est devenu un élément incontournable de la culture mondiale, célébré à travers des festivals, des dégustations et des discussions passionnées. 🍷 #HistoireDuVin #RenaissanceÀAujourdhui Emission en compagnie de David Cobbold et Sébastien Durand-Viel, co-fondateurs de l’Académie de vin et spiritueux et de la dégustation, Bibliographie de nos invités  - 101 Vins cultes, Sébastien Durand-Viel, David Cobbold, Hachette (2019) - Atlas des vins de France, David Cobbold, Hachette (2021) - Vous allez enfin vous y connaître en vin, Sébastien Durand-Viel, David Cobbold, Larousse (2018) - Simplissime, Le livre sur le vin le + facile du monde, Sébastien Durand-Viel, Hachette (2020) - Tout sur le vin ou presque..., collectif, Ellipses (2021) ET SURTOUT, LES PETIT DERNIERS - Le tour du monde en 100 vins, David Cobbold, Sébastien Durand-Viel, Hachette (2023) - Atlas Hachette des Vins du Monde, David Cobbold, Sébastien Durand-Viel, Hachette (à paraitre, 2023)

Jusqu’en 1950, l’Algérie est le plus grand exportateur de vin au monde ! Dom Pérignon n’a pas inventé le Champagne tel qu’on le connaît ! La bouteille en verre a tout changé ! Pour en savoir plus sur ces trois affirmations, écoutez notre 3è et dernier volet sur l’Histoire du Vin, de la Renaissance à nos jours. En effet, à la fin du Moyen-Âge, les moines perfectionnèrent la viticulture, tandis que le commerce international se développa. Au XVIIe siècle, la France devint le centre mondial de la viticulture avec l'apparition des vignobles de Bordeaux et de Bourgogne. Au XIXe siècle, la phylloxéra ravagea les vignes européennes, entraînant des replantations massives et des innovations techniques. Le vin devint un symbole de prestige, avec l'apparition des grands crus. Le XXe siècle vit l'essor de l'industrie vinicole, la mondialisation des goûts et la popularisation du vin en dehors de l'Europe. Les Nouveaux Mondes, comme l'Australie et la Californie, produisirent des vins de renom. Aujourd'hui, la viticulture durable et biologique gagne du terrain, tout comme la technologie moderne dans la production. Le vin est plus accessible que jamais, avec des vignobles du monde entier offrant une grande variété de saveurs, de cépages et de styles. Il est devenu un élément incontournable de la culture mondiale, célébré à travers des festivals, des dégustations et des discussions passionnées. 🍷 #HistoireDuVin #RenaissanceÀAujourdhui Emission en compagnie de David Cobbold et Sébastien Durand-Viel, co-fondateurs de l’Académie de vin et spiritueux et de la dégustation, Bibliographie de nos invités  - 101 Vins cultes, Sébastien Durand-Viel, David Cobbold, Hachette (2019) - Atlas des vins de France, David Cobbold, Hachette (2021) - Vous allez enfin vous y connaître en vin, Sébastien Durand-Viel, David Cobbold, Larousse (2018) - Simplissime, Le livre sur le vin le + facile du monde, Sébastien Durand-Viel, Hachette (2020) - Tout sur le vin ou presque..., collectif, Ellipses (2021) ET SURTOUT, LES PETIT DERNIERS - Le tour du monde en 100 vins, David Cobbold, Sébastien Durand-Viel, Hachette (2023) - Atlas Hachette des Vins du Monde, David Cobbold, Sébastien Durand-Viel, Hachette (à paraitre, 2023)

Jusqu’en 1950, l’Algérie est le plus grand exportateur de vin au monde ! Dom Pérignon n’a pas inventé le Champagne tel qu’on le connaît ! La bouteille en verre a tout changé ! Pour en savoir plus sur ces trois affirmations, écoutez notre 3è et dernier volet sur l’Histoire du Vin, de la Renaissance à nos jours. En effet, à la fin du Moyen-Âge, les moines perfectionnèrent la viticulture, tandis que le commerce international se développa. Au XVIIe siècle, la France devint le centre mondial de la viticulture avec l'apparition des vignobles de Bordeaux et de Bourgogne. Au XIXe siècle, la phylloxéra ravagea les vignes européennes, entraînant des replantations massives et des innovations techniques. Le vin devint un symbole de prestige, avec l'apparition des grands crus. Le XXe siècle vit l'essor de l'industrie vinicole, la mondialisation des goûts et la popularisation du vin en dehors de l'Europe. Les Nouveaux Mondes, comme l'Australie et la Californie, produisirent des vins de renom. Aujourd'hui, la viticulture durable et biologique gagne du terrain, tout comme la technologie moderne dans la production. Le vin est plus accessible que jamais, avec des vignobles du monde entier offrant une grande variété de saveurs, de cépages et de styles. Il est devenu un élément incontournable de la culture mondiale, célébré à travers des festivals, des dégustations et des discussions passionnées. 🍷 #HistoireDuVin #RenaissanceÀAujourdhui Emission en compagnie de David Cobbold et Sébastien Durand-Viel, co-fondateurs de l’Académie de vin et spiritueux et de la dégustation, Bibliographie de nos invités  - 101 Vins cultes, Sébastien Durand-Viel, David Cobbold, Hachette (2019) - Atlas des vins de France, David Cobbold, Hachette (2021) - Vous allez enfin vous y connaître en vin, Sébastien Durand-Viel, David Cobbold, Larousse (2018) - Simplissime, Le livre sur le vin le + facile du monde, Sébastien Durand-Viel, Hachette (2020) - Tout sur le vin ou presque..., collectif, Ellipses (2021) ET SURTOUT, LES PETIT DERNIERS - Le tour du monde en 100 vins, David Cobbold, Sébastien Durand-Viel, Hachette (2023) - Atlas Hachette des Vins du Monde, David Cobbold, Sébastien Durand-Viel, Hachette (à paraitre, 2023)

« Les marches et chansons populaires […] sont gravées dans notre esprit et seront bien la dernière chose du Lager que nous oublierons ; car elles sont la voix du Lager , l’expression sensible de sa folie géométrique, de la détermination avec laquelle des hommes entreprirent de nous anéantir, de nous détruire en tant qu’hommes avant de nous faire mourir lentement. » Primo Levi, Si c’est un homme (1947) La musique a joué un rôle crucial dans l’organisation et la discipline exercées au sein des camps de concentration et les centres de mise à mort du régime nazi. Un large répertoire de marches militaires, de ballades amoureuses et d’hymnes clandestins sont restés gravés dans les mémoires des détenus et des soldats. Cette musique et ses multiples fonctions fait l’objet d’une exposition très riche à découvrir actuellement au musée de la Shoah à Paris jusqu’au 25 février 2024.  Rencontre avec Elise Petit, la commissaire de l’exposition, spécialiste de la musique sous le IIIe Reich et dans le système concentrationnaire nazi.

« Les marches et chansons populaires […] sont gravées dans notre esprit et seront bien la dernière chose du Lager que nous oublierons ; car elles sont la voix du Lager , l’expression sensible de sa folie géométrique, de la détermination avec laquelle des hommes entreprirent de nous anéantir, de nous détruire en tant qu’hommes avant de nous faire mourir lentement. » Primo Levi, Si c’est un homme (1947) La musique a joué un rôle crucial dans l’organisation et la discipline exercées au sein des camps de concentration et les centres de mise à mort du régime nazi. Un large répertoire de marches militaires, de ballades amoureuses et d’hymnes clandestins sont restés gravés dans les mémoires des détenus et des soldats. Cette musique et ses multiples fonctions fait l’objet d’une exposition très riche à découvrir actuellement au musée de la Shoah à Paris jusqu’au 25 février 2024.  Rencontre avec Elise Petit, la commissaire de l’exposition, spécialiste de la musique sous le IIIe Reich et dans le système concentrationnaire nazi.

En  novembre 1975, débute le deuxième procès de Pierre Goldman, militant  d’extrême gauche, condamné en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité pour quatre braquages à main armée, dont un  ayant entraîné la mort de deux pharmaciennes. Il clame son innocence  dans cette dernière affaire et devient en quelques semaines l’icône de  la gauche intellectuelle. Georges Kiejman, jeune avocat, assure sa  défense. Mais très vite, leurs rapports se tendent. Goldman,  insaisissable et provocateur, risque la peine capitale et rend l’issue  du procès incertaine. Le réalisateur Cédric Khan et Nathalie Hertzberg, la scénariste sont nos invités pour Xpresso

« Les marches et chansons populaires […] sont gravées dans notre esprit et seront bien la dernière chose du Lager que nous oublierons ; car elles sont la voix du Lager , l’expression sensible de sa folie géométrique, de la détermination avec laquelle des hommes entreprirent de nous anéantir, de nous détruire en tant qu’hommes avant de nous faire mourir lentement. » Primo Levi, Si c’est un homme (1947) La musique a joué un rôle crucial dans l’organisation et la discipline exercées au sein des camps de concentration et les centres de mise à mort du régime nazi. Un large répertoire de marches militaires, de ballades amoureuses et d’hymnes clandestins sont restés gravés dans les mémoires des détenus et des soldats. Cette musique et ses multiples fonctions fait l’objet d’une exposition très riche à découvrir actuellement au musée de la Shoah à Paris jusqu’au 25 février 2024.  Rencontre avec Elise Petit, la commissaire de l’exposition, spécialiste de la musique sous le IIIe Reich et dans le système concentrationnaire nazi.

« Les marches et chansons populaires […] sont gravées dans notre esprit et seront bien la dernière chose du Lager que nous oublierons ; car elles sont la voix du Lager , l’expression sensible de sa folie géométrique, de la détermination avec laquelle des hommes entreprirent de nous anéantir, de nous détruire en tant qu’hommes avant de nous faire mourir lentement. » Primo Levi, Si c’est un homme (1947) La musique a joué un rôle crucial dans l’organisation et la discipline exercées au sein des camps de concentration et les centres de mise à mort du régime nazi. Un large répertoire de marches militaires, de ballades amoureuses et d’hymnes clandestins sont restés gravés dans les mémoires des détenus et des soldats. Cette musique et ses multiples fonctions fait l’objet d’une exposition très riche à découvrir actuellement au musée de la Shoah à Paris jusqu’au 25 février 2024.  Rencontre avec Elise Petit, la commissaire de l’exposition, spécialiste de la musique sous le IIIe Reich et dans le système concentrationnaire nazi.

« Les marches et chansons populaires […] sont gravées dans notre esprit et seront bien la dernière chose du Lager que nous oublierons ; car elles sont la voix du Lager , l’expression sensible de sa folie géométrique, de la détermination avec laquelle des hommes entreprirent de nous anéantir, de nous détruire en tant qu’hommes avant de nous faire mourir lentement. » Primo Levi, Si c’est un homme (1947) La musique a joué un rôle crucial dans l’organisation et la discipline exercées au sein des camps de concentration et les centres de mise à mort du régime nazi. Un large répertoire de marches militaires, de ballades amoureuses et d’hymnes clandestins sont restés gravés dans les mémoires des détenus et des soldats. Cette musique et ses multiples fonctions fait l’objet d’une exposition très riche à découvrir actuellement au musée de la Shoah à Paris jusqu’au 25 février 2024.  Rencontre avec Elise Petit, la commissaire de l’exposition, spécialiste de la musique sous le IIIe Reich et dans le système concentrationnaire nazi.

« Les marches et chansons populaires […] sont gravées dans notre esprit et seront bien la dernière chose du Lager que nous oublierons ; car elles sont la voix du Lager , l’expression sensible de sa folie géométrique, de la détermination avec laquelle des hommes entreprirent de nous anéantir, de nous détruire en tant qu’hommes avant de nous faire mourir lentement. » Primo Levi, Si c’est un homme (1947) La musique a joué un rôle crucial dans l’organisation et la discipline exercées au sein des camps de concentration et les centres de mise à mort du régime nazi. Un large répertoire de marches militaires, de ballades amoureuses et d’hymnes clandestins sont restés gravés dans les mémoires des détenus et des soldats. Cette musique et ses multiples fonctions fait l’objet d’une exposition très riche à découvrir actuellement au musée de la Shoah à Paris jusqu’au 25 février 2024.  Rencontre avec Elise Petit, la commissaire de l’exposition, spécialiste de la musique sous le IIIe Reich et dans le système concentrationnaire nazi.

1977, un matin d'un septembre sombre, le 16 pour être précis.  Une nouvelle tragique se répand comme une onde de choc dans le monde entier : Maria Callas a rendu son dernier souffle.  Son corps fragile a succombé à une crise cardiaque, mettant fin à une vie tumultueuse empreinte de passion et de drame. L'annonce de sa mort plonge le monde dans une profonde tristesse.  Les médias se précipitent pour rendre hommage à cette voix qui a enchanté les foules et brisé les cœurs.  Les amoureux de l'opéra se souviendront toujours de cette grande diva, dont la voix sublime et les émotions brutes ont transcendé les frontières de l'art. Le rideau s’est donc définitivement refermé sur la vie de Maria Callas, laissant derrière elle un héritage musical inégalé. Sa voix continue de résonner dans nos cœurs, rappelant l'époque dorée de l'opéra et l'immense talent de cette femme légendaire.  Maria Callas, une étoile qui a brillé intensément, mais dont la lumière éternelle continuera de nous guider vers les sommets de l'art lyrique. Avec Jean-Claude Mory, nous allons vous raconter l'histoire fascinante de cette diva parmi les divas, dont la vie s'est déroulée dans l'éclat et la tragédie du XXe siècle. Nous allons voyager dans les années 1940 et 1950, une époque où l'Europe se remet encore des cicatrices de la Seconde Guerre mondiale.  Au milieu de cette tourmente, va naître une voix qui allait ensorceler le monde entier. Maria Callas, née à New York en 1923, était destinée à devenir une icône de l'opéra.  Avec sa voix puissante et expressive, elle évoque pour les contemporains des émotions profondes et transmet des histoires de passion, de douleur et de désir sur les plus grandes scènes du monde. Mais derrière ce talent immense se cache une âme tourmentée.  Des amours tumultueuses, des rivalités brûlantes et des tragédies personnelles ont jalonné son chemin.  Son mariage avec Giovanni Battista Meneghini, son amour passionné pour Aristote Onassis et leur douloureuse séparation ont nourri les tabloïds et les conversations mondaines de l'époque. Maria Callas c’était bien plus qu'une simple chanteuse d'opéra ; elle était une figure de légende.  Son art a transcendé les limites de la scène pour toucher les cœurs et les esprits de millions de personnes.  Elle a révolutionné l'opéra, façonnant un héritage intemporel qui continue de nous captiver aujourd'hui, la preuve, nous en faisons une émission. Préparez-vous à plonger avec nous dans le monde envoûtant de Maria Callas, où la musique, la passion et les drames se sont entremêlés pour créer une histoire, une histoire … inoubliable.

1977, un matin d'un septembre sombre, le 16 pour être précis.  Une nouvelle tragique se répand comme une onde de choc dans le monde entier : Maria Callas a rendu son dernier souffle.  Son corps fragile a succombé à une crise cardiaque, mettant fin à une vie tumultueuse empreinte de passion et de drame. L'annonce de sa mort plonge le monde dans une profonde tristesse.  Les médias se précipitent pour rendre hommage à cette voix qui a enchanté les foules et brisé les cœurs.  Les amoureux de l'opéra se souviendront toujours de cette grande diva, dont la voix sublime et les émotions brutes ont transcendé les frontières de l'art. Le rideau s’est donc définitivement refermé sur la vie de Maria Callas, laissant derrière elle un héritage musical inégalé. Sa voix continue de résonner dans nos cœurs, rappelant l'époque dorée de l'opéra et l'immense talent de cette femme légendaire.  Maria Callas, une étoile qui a brillé intensément, mais dont la lumière éternelle continuera de nous guider vers les sommets de l'art lyrique. Avec Jean-Claude Mory, nous allons vous raconter l'histoire fascinante de cette diva parmi les divas, dont la vie s'est déroulée dans l'éclat et la tragédie du XXe siècle. Nous allons voyager dans les années 1940 et 1950, une époque où l'Europe se remet encore des cicatrices de la Seconde Guerre mondiale.  Au milieu de cette tourmente, va naître une voix qui allait ensorceler le monde entier. Maria Callas, née à New York en 1923, était destinée à devenir une icône de l'opéra.  Avec sa voix puissante et expressive, elle évoque pour les contemporains des émotions profondes et transmet des histoires de passion, de douleur et de désir sur les plus grandes scènes du monde. Mais derrière ce talent immense se cache une âme tourmentée.  Des amours tumultueuses, des rivalités brûlantes et des tragédies personnelles ont jalonné son chemin.  Son mariage avec Giovanni Battista Meneghini, son amour passionné pour Aristote Onassis et leur douloureuse séparation ont nourri les tabloïds et les conversations mondaines de l'époque. Maria Callas c’était bien plus qu'une simple chanteuse d'opéra ; elle était une figure de légende.  Son art a transcendé les limites de la scène pour toucher les cœurs et les esprits de millions de personnes.  Elle a révolutionné l'opéra, façonnant un héritage intemporel qui continue de nous captiver aujourd'hui, la preuve, nous en faisons une émission. Préparez-vous à plonger avec nous dans le monde envoûtant de Maria Callas, où la musique, la passion et les drames se sont entremêlés pour créer une histoire, une histoire … inoubliable.

L'Empereur tel qu'en lui-même sa demeure éternelle le change. Dans son testament, Napoléon avait souhaité reposer " sur les bords de la Seine ".  Ainsi en décida Louis-Philippe en 1840. La réalisation du tombeau, aux Invalides, fut confiée à Louis Visconti. Il fallut une décennie de travaux, sous la surveillance critique du gouvernement, des Chambres, de la presse et de l'opinion, pour en venir à bout : chantier pharaonique, qui employa des centaines d'ouvriers et d'artisans, et qui fut émaillé d'incidents, de retards en tous genres, et d'une explosion des budgets, sans compter la Révolution de 1848. On alla même chercher des blocs pour le sarcophage pourpre aux confins du cercle polaire. Ce n'est qu'en 1861 que les Cendres furent définitivement installées dans la crypte. Depuis lors, le tombeau a connu moments de vicissitudes et heures de gloire, des grands hommes – Foch, Lyautey, l'Aiglon – ont rejoint l'Empereur, des visiteurs illustres et variés, y compris Hitler, se sont succédé, la Résistance s'en est mêlée, et la foule des touristes cause aujourd'hui autant de soucis qu'elle témoigne de l'irrésistible attraction de la légende napoléonienne, devenue partie intégrante, en dépit des fâcheux, de la mémoire nationale. Pour Xpresso, son auteur Thierry Lentz revient sur l'histoire méconnue et, dans son ouvrage, nous révèle les nombreux secrets de ce monument unique au monde.

1977, un matin d'un septembre sombre, le 16 pour être précis.  Une nouvelle tragique se répand comme une onde de choc dans le monde entier : Maria Callas a rendu son dernier souffle.  Son corps fragile a succombé à une crise cardiaque, mettant fin à une vie tumultueuse empreinte de passion et de drame. L'annonce de sa mort plonge le monde dans une profonde tristesse.  Les médias se précipitent pour rendre hommage à cette voix qui a enchanté les foules et brisé les cœurs.  Les amoureux de l'opéra se souviendront toujours de cette grande diva, dont la voix sublime et les émotions brutes ont transcendé les frontières de l'art. Le rideau s’est donc définitivement refermé sur la vie de Maria Callas, laissant derrière elle un héritage musical inégalé. Sa voix continue de résonner dans nos cœurs, rappelant l'époque dorée de l'opéra et l'immense talent de cette femme légendaire.  Maria Callas, une étoile qui a brillé intensément, mais dont la lumière éternelle continuera de nous guider vers les sommets de l'art lyrique. Avec Jean-Claude Mory, nous allons vous raconter l'histoire fascinante de cette diva parmi les divas, dont la vie s'est déroulée dans l'éclat et la tragédie du XXe siècle. Nous allons voyager dans les années 1940 et 1950, une époque où l'Europe se remet encore des cicatrices de la Seconde Guerre mondiale.  Au milieu de cette tourmente, va naître une voix qui allait ensorceler le monde entier. Maria Callas, née à New York en 1923, était destinée à devenir une icône de l'opéra.  Avec sa voix puissante et expressive, elle évoque pour les contemporains des émotions profondes et transmet des histoires de passion, de douleur et de désir sur les plus grandes scènes du monde. Mais derrière ce talent immense se cache une âme tourmentée.  Des amours tumultueuses, des rivalités brûlantes et des tragédies personnelles ont jalonné son chemin.  Son mariage avec Giovanni Battista Meneghini, son amour passionné pour Aristote Onassis et leur douloureuse séparation ont nourri les tabloïds et les conversations mondaines de l'époque. Maria Callas c’était bien plus qu'une simple chanteuse d'opéra ; elle était une figure de légende.  Son art a transcendé les limites de la scène pour toucher les cœurs et les esprits de millions de personnes.  Elle a révolutionné l'opéra, façonnant un héritage intemporel qui continue de nous captiver aujourd'hui, la preuve, nous en faisons une émission. Préparez-vous à plonger avec nous dans le monde envoûtant de Maria Callas, où la musique, la passion et les drames se sont entremêlés pour créer une histoire, une histoire … inoubliable.

1977, un matin d'un septembre sombre, le 16 pour être précis.  Une nouvelle tragique se répand comme une onde de choc dans le monde entier : Maria Callas a rendu son dernier souffle.  Son corps fragile a succombé à une crise cardiaque, mettant fin à une vie tumultueuse empreinte de passion et de drame. L'annonce de sa mort plonge le monde dans une profonde tristesse.  Les médias se précipitent pour rendre hommage à cette voix qui a enchanté les foules et brisé les cœurs.  Les amoureux de l'opéra se souviendront toujours de cette grande diva, dont la voix sublime et les émotions brutes ont transcendé les frontières de l'art. Le rideau s’est donc définitivement refermé sur la vie de Maria Callas, laissant derrière elle un héritage musical inégalé. Sa voix continue de résonner dans nos cœurs, rappelant l'époque dorée de l'opéra et l'immense talent de cette femme légendaire.  Maria Callas, une étoile qui a brillé intensément, mais dont la lumière éternelle continuera de nous guider vers les sommets de l'art lyrique. Avec Jean-Claude Mory, nous allons vous raconter l'histoire fascinante de cette diva parmi les divas, dont la vie s'est déroulée dans l'éclat et la tragédie du XXe siècle. Nous allons voyager dans les années 1940 et 1950, une époque où l'Europe se remet encore des cicatrices de la Seconde Guerre mondiale.  Au milieu de cette tourmente, va naître une voix qui allait ensorceler le monde entier. Maria Callas, née à New York en 1923, était destinée à devenir une icône de l'opéra.  Avec sa voix puissante et expressive, elle évoque pour les contemporains des émotions profondes et transmet des histoires de passion, de douleur et de désir sur les plus grandes scènes du monde. Mais derrière ce talent immense se cache une âme tourmentée.  Des amours tumultueuses, des rivalités brûlantes et des tragédies personnelles ont jalonné son chemin.  Son mariage avec Giovanni Battista Meneghini, son amour passionné pour Aristote Onassis et leur douloureuse séparation ont nourri les tabloïds et les conversations mondaines de l'époque. Maria Callas c’était bien plus qu'une simple chanteuse d'opéra ; elle était une figure de légende.  Son art a transcendé les limites de la scène pour toucher les cœurs et les esprits de millions de personnes.  Elle a révolutionné l'opéra, façonnant un héritage intemporel qui continue de nous captiver aujourd'hui, la preuve, nous en faisons une émission. Préparez-vous à plonger avec nous dans le monde envoûtant de Maria Callas, où la musique, la passion et les drames se sont entremêlés pour créer une histoire, une histoire … inoubliable.

1977, un matin d'un septembre sombre, le 16 pour être précis.  Une nouvelle tragique se répand comme une onde de choc dans le monde entier : Maria Callas a rendu son dernier souffle.  Son corps fragile a succombé à une crise cardiaque, mettant fin à une vie tumultueuse empreinte de passion et de drame. L'annonce de sa mort plonge le monde dans une profonde tristesse.  Les médias se précipitent pour rendre hommage à cette voix qui a enchanté les foules et brisé les cœurs.  Les amoureux de l'opéra se souviendront toujours de cette grande diva, dont la voix sublime et les émotions brutes ont transcendé les frontières de l'art. Le rideau s’est donc définitivement refermé sur la vie de Maria Callas, laissant derrière elle un héritage musical inégalé. Sa voix continue de résonner dans nos cœurs, rappelant l'époque dorée de l'opéra et l'immense talent de cette femme légendaire.  Maria Callas, une étoile qui a brillé intensément, mais dont la lumière éternelle continuera de nous guider vers les sommets de l'art lyrique. Avec Jean-Claude Mory, nous allons vous raconter l'histoire fascinante de cette diva parmi les divas, dont la vie s'est déroulée dans l'éclat et la tragédie du XXe siècle. Nous allons voyager dans les années 1940 et 1950, une époque où l'Europe se remet encore des cicatrices de la Seconde Guerre mondiale.  Au milieu de cette tourmente, va naître une voix qui allait ensorceler le monde entier. Maria Callas, née à New York en 1923, était destinée à devenir une icône de l'opéra.  Avec sa voix puissante et expressive, elle évoque pour les contemporains des émotions profondes et transmet des histoires de passion, de douleur et de désir sur les plus grandes scènes du monde. Mais derrière ce talent immense se cache une âme tourmentée.  Des amours tumultueuses, des rivalités brûlantes et des tragédies personnelles ont jalonné son chemin.  Son mariage avec Giovanni Battista Meneghini, son amour passionné pour Aristote Onassis et leur douloureuse séparation ont nourri les tabloïds et les conversations mondaines de l'époque. Maria Callas c’était bien plus qu'une simple chanteuse d'opéra ; elle était une figure de légende.  Son art a transcendé les limites de la scène pour toucher les cœurs et les esprits de millions de personnes.  Elle a révolutionné l'opéra, façonnant un héritage intemporel qui continue de nous captiver aujourd'hui, la preuve, nous en faisons une émission. Préparez-vous à plonger avec nous dans le monde envoûtant de Maria Callas, où la musique, la passion et les drames se sont entremêlés pour créer une histoire, une histoire … inoubliable.

1977, un matin d'un septembre sombre, le 16 pour être précis.  Une nouvelle tragique se répand comme une onde de choc dans le monde entier : Maria Callas a rendu son dernier souffle.  Son corps fragile a succombé à une crise cardiaque, mettant fin à une vie tumultueuse empreinte de passion et de drame. L'annonce de sa mort plonge le monde dans une profonde tristesse.  Les médias se précipitent pour rendre hommage à cette voix qui a enchanté les foules et brisé les cœurs.  Les amoureux de l'opéra se souviendront toujours de cette grande diva, dont la voix sublime et les émotions brutes ont transcendé les frontières de l'art. Le rideau s’est donc définitivement refermé sur la vie de Maria Callas, laissant derrière elle un héritage musical inégalé. Sa voix continue de résonner dans nos cœurs, rappelant l'époque dorée de l'opéra et l'immense talent de cette femme légendaire.  Maria Callas, une étoile qui a brillé intensément, mais dont la lumière éternelle continuera de nous guider vers les sommets de l'art lyrique. Avec Jean-Claude Mory, nous allons vous raconter l'histoire fascinante de cette diva parmi les divas, dont la vie s'est déroulée dans l'éclat et la tragédie du XXe siècle. Nous allons voyager dans les années 1940 et 1950, une époque où l'Europe se remet encore des cicatrices de la Seconde Guerre mondiale.  Au milieu de cette tourmente, va naître une voix qui allait ensorceler le monde entier. Maria Callas, née à New York en 1923, était destinée à devenir une icône de l'opéra.  Avec sa voix puissante et expressive, elle évoque pour les contemporains des émotions profondes et transmet des histoires de passion, de douleur et de désir sur les plus grandes scènes du monde. Mais derrière ce talent immense se cache une âme tourmentée.  Des amours tumultueuses, des rivalités brûlantes et des tragédies personnelles ont jalonné son chemin.  Son mariage avec Giovanni Battista Meneghini, son amour passionné pour Aristote Onassis et leur douloureuse séparation ont nourri les tabloïds et les conversations mondaines de l'époque. Maria Callas c’était bien plus qu'une simple chanteuse d'opéra ; elle était une figure de légende.  Son art a transcendé les limites de la scène pour toucher les cœurs et les esprits de millions de personnes.  Elle a révolutionné l'opéra, façonnant un héritage intemporel qui continue de nous captiver aujourd'hui, la preuve, nous en faisons une émission. Préparez-vous à plonger avec nous dans le monde envoûtant de Maria Callas, où la musique, la passion et les drames se sont entremêlés pour créer une histoire, une histoire … inoubliable.

1977, un matin d'un septembre sombre, le 16 pour être précis.  Une nouvelle tragique se répand comme une onde de choc dans le monde entier : Maria Callas a rendu son dernier souffle.  Son corps fragile a succombé à une crise cardiaque, mettant fin à une vie tumultueuse empreinte de passion et de drame. L'annonce de sa mort plonge le monde dans une profonde tristesse.  Les médias se précipitent pour rendre hommage à cette voix qui a enchanté les foules et brisé les cœurs.  Les amoureux de l'opéra se souviendront toujours de cette grande diva, dont la voix sublime et les émotions brutes ont transcendé les frontières de l'art. Le rideau s’est donc définitivement refermé sur la vie de Maria Callas, laissant derrière elle un héritage musical inégalé. Sa voix continue de résonner dans nos cœurs, rappelant l'époque dorée de l'opéra et l'immense talent de cette femme légendaire.  Maria Callas, une étoile qui a brillé intensément, mais dont la lumière éternelle continuera de nous guider vers les sommets de l'art lyrique. Avec Jean-Claude Mory, nous allons vous raconter l'histoire fascinante de cette diva parmi les divas, dont la vie s'est déroulée dans l'éclat et la tragédie du XXe siècle. Nous allons voyager dans les années 1940 et 1950, une époque où l'Europe se remet encore des cicatrices de la Seconde Guerre mondiale.  Au milieu de cette tourmente, va naître une voix qui allait ensorceler le monde entier. Maria Callas, née à New York en 1923, était destinée à devenir une icône de l'opéra.  Avec sa voix puissante et expressive, elle évoque pour les contemporains des émotions profondes et transmet des histoires de passion, de douleur et de désir sur les plus grandes scènes du monde. Mais derrière ce talent immense se cache une âme tourmentée.  Des amours tumultueuses, des rivalités brûlantes et des tragédies personnelles ont jalonné son chemin.  Son mariage avec Giovanni Battista Meneghini, son amour passionné pour Aristote Onassis et leur douloureuse séparation ont nourri les tabloïds et les conversations mondaines de l'époque. Maria Callas c’était bien plus qu'une simple chanteuse d'opéra ; elle était une figure de légende.  Son art a transcendé les limites de la scène pour toucher les cœurs et les esprits de millions de personnes.  Elle a révolutionné l'opéra, façonnant un héritage intemporel qui continue de nous captiver aujourd'hui, la preuve, nous en faisons une émission. Préparez-vous à plonger avec nous dans le monde envoûtant de Maria Callas, où la musique, la passion et les drames se sont entremêlés pour créer une histoire, une histoire … inoubliable.

Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 - (6/6) Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire. 

Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 - (5/6) Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire. 

Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 - (4/6) Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire. 

Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 - (3/6) Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire. 

Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 - (2/6) Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire. 

Femmes des années -20.000 / Madame Sapiens #2 Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps. Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire. 

Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps.  Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...

Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps.  Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...

Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps.  Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...

Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps.  Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...

Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps.  Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...

Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps.  Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...

Quand on pense Préhistoire, on pense glace, forêt, savane, mammouth, grands fauves. Nous voyons aussi l’homme préhistorique tel qu’il a longtemps été décrit dans les livres d’Histoire : grand, musclé, hirsute, vêtu d’une simple peau de bête, brandissant une massue, et s’apprêtant à assommer un cerf. Nulle trace, dans cette vision stéréotypée, de la compagne de l’Homo Sapiens.  Mais qui était-elle, cette femme de la Préhistoire ? Une créature fragile, harcelée par une ribambelle d’enfants, et soumise à la toute-puissance du chasseur ? Ou, au contraire, une femme libre, forte et pleinement intégrée dans le clan ?  La femme a été naturellement oubliée du grand livre de la Préhistoire. Réduite au rang « d’éternelle mineure », la femme « pécheresse » était considérée par les hommes de la Troisième république comme dangereuse et pernicieuse. Cette créature diabolique devait être étroitement surveillée de sa naissance à sa mort, passant successivement de la tutelle de son père, de son mari et de ses fils. Les premiers préhistoriens sont alors persuadés que le monde fonctionnait déjà de cette manière au temps de nos ancêtres. Dans la société du XIXe siècle, les choses sont claires et nettes : la femme reste à la maison, ce sont les hommes qui jouent un rôle économique et social important. Donc, tout naturellement, on a pensé qu’il en allait de même au Paléolithique : l’homme chasseur qui fait avancer l’humanité, grâce à la chasse de grands mammifères, tandis que la femme, gardienne du foyer, s’occupe des enfants.  Les recherches récentes viennent contredire les enseignements et les préjugés des préhistoriens du XIXe siècle. En s’appuyant sur les vestiges matériels, l’analyse des ossements et l’observation attentive des représentations sculptées ou pariétales, les chercheurs du XXIe siècle parviennent à dresser un portrait réaliste de la femme préhistorique. Soudain, elle reprend vie, devant leurs yeux, bien différente de la vision que l’on s’en faisait il n’y a pas si longtemps.  Débarrassée des stéréotypes et des clichés, elle retrouve le pouvoir de la parole, et nous raconte sa véritable histoire...

Vous allez écouter les 15 premières minutes de « L'Histoire du Whisky », qui dure 1 heure et 17 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo   « Les Ecossais ont inventé le whisky pour soigner les mulets malades… d’un médicament ils en ont fait une boisson », Douglas Young, poète écossais du siècle dernier. Le whisky est aujourd’hui non seulement très à la mode, mais en plus un produit fabriqué dans bon nombre de pays dont certains… parfois insolites.  Il n’en reste pas moins que cette boisson possède ses origines propres, ancrées dans la Grande Histoire ; l’histoire des hommes mais aussi l’histoire de pays.  En compagnie de notre invité Salvatore Mannino, ambassadeur de La Maison du Whisky, nous allons voir son origine, son Histoire, mais aussi la façon de le déguster... avec modération ça va sans dire !

Vous allez écouter les 15 premières minutes de « Les Croisades », qui dure 1 heure et 10 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo   A la fin du XIè siècle, l'espace méditerranéen se partage entre le monde islamique, l'Empire byzantin, et la chrétienté occidentale. L'Orient, qu'il soit musulman ou byzantin, est gouverné par de vrais états, et est le centre d'une civilisation brillante.  De son côté, l'Occident chrétien sort à peine des invasions, de la barbarie, et surtout de la régression économique. Pourquoi la croisade ? Volonté uniquement religieuse ou finalement plus politique ? Comment a été perçue, de l'autre côté, l'invasion de ces « barbares » ?  Les francs sont-ils intervenus comme un chien dans un jeu de quilles, et ont-ils permis au monde islamique oriental de se structurer ?  Ce sont toutes ces questions, et beaucoup d'autres que nous posons à notre invité, Florian Besson, spécialiste de la féodalité dans les royaumes latins d'Orient.

L’auteur Guillaume Kosmicki écrit au sujet des femmes compositrices : « Il est tout à fait possible d’écrire une histoire de la musique uniquement fondée sur des œuvres de compositrices ».  Ces émissions, dont c’est ici le 4e épisode, en sont la preuve vivante.  Il est donc peut-être temps de changer nos regards et nos interprétations des musiques classiques et contemporaines telles que nous les connaissons. De reconstruire nos goûts, patiemment… Jean-Claude Mory, ancien Régisseur général de l’Opéra de Paris, nous éclaire de ses lumières !

Vous allez écouter les 15 premières minutes de « Guillaume le Conquérant », qui dure 1 heure et 2 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  1066 ! Hastings... Une date encore dans toutes les mémoires anglaises...  Mais chez nous, peu de gens connaissent le vainqueur de cette bataille légendaire, Guillaume le Conquérant, en terre anglaise.  Une émission qui revient sur l'épopée de ce Duc de Normandie, qui a commencé par reconquérir son trône ducal à partir de 7 ans, puis a porté ses couleurs en Angleterre pour, en deux mois et une victoire à Hastings, devenir roi d'Angleterre. Mais 1066, c'est aussi la Tapisserie de Bayeux, à laquelle nous faisons évidemment référence, en compagnie de Fabien Drugeon, auteur et réalisateur de Guillaume, la jeunesse du Conquérant, un long-métrage sorti en salles.

Vous allez écouter les 15 premières minutes de « Les Borgia », qui dure 1 heure et 10 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  Les Borgia... Un nom connu de tous, qui évoque immanquablement l'image d'une Renaissance italienne troublée par les machinations de souverains, d'hommes d'Eglise, avides d'argent et de pouvoir, la luxure et l'inceste jusque dans les plus hautes sphères du Vatican.  Au centre de ce tableau s'épanouit la « machiavélique » famille des Borgia, dont l'emprise tentaculaire ne cesse de s'étendre sur l'Italie.  Vivant dans un luxe extrême, elle renforce méthodiquement son pouvoir en pratiquant la corruption, n'hésitant pas à trahir et à assassiner à la moindre occasion… Nous allons voir comment.  Mais n’est-ce pas là un résumé de toute l’Histoire en général ? En compagnie du pape Alexandre VI (Rogrigue Borgia), César Borgia, et bien sûr, Lucrèce, nous revenons sur cette période de la Renaissance qui a vu deux changements de monde, la chute de Constantinople et la découverte de l’Amérique.

Vous allez écouter les 15 premières minutes de « L'Affaire Dreyfus », qui dure 59 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo   Elle est L'Affaire par excellence, le maître étalon des injustices dans l'Histoire.  Pourquoi et comment une banale histoire d’espionnage devint-elle l’événement que nous savons ? Car elle était en effet d’une terrible banalité cette petite affaire de trahison. Banale déjà parce qu’elle n’était pas la première.  Cette émission revient sur les circonstances, et surtout l'incroyable écheveau de faits qui ont pris 12 ans de la vie d'un innocent.

Vous allez écouter les 15 premières minutes de « Alésia », qui dure 1 heure et 20 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  Dans cette émission, nous avons laissé les clefs à Franck Ferrand, afin qu'il nous raconte comment César est finalement venu à bout de Vercingétorix, dans un combat titanesque entre ruses et stratégies.  Car contrairement aux idées reçues, Vercingétorix ne s'est pas laissé bêtement enfermé dans une ville... Mais Alésia, c'est aussi une controverse toujours vivace, sur sa localisation.  Et parce qu'il est toujours bon de se poser des questions, nous revenons sur les éléments plus que troublants qui font qu'Alise-Sainte-Reine ne peut, en aucun cas, être Alésia.  D'Alésia commence la civilisation Gallo-Romaine, mais il aurait pu en être tout à fait autrement ...

Vous allez écouter les 15 premières minutes de « La Course aux étoiles », qui dure 48 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo   Depuis toujours l'Homme a voulu aller voir plus loin. Il a quitté son berceau, son village, quitté sa région, son pays, et puis il a voulu voir les étoiles…  Et c'est lors d'une course effrénée dès l'après seconde guerre mondiale que la technologie lui a permis de progresser, jusqu'à aller poser le pied sur la lune.  Seulement, cette histoire ne s'est pas faite en un jour, il a fallu de longs cheminements avant Juillet 1969, et c'est cette histoire qui est contée ici… 3, 2, 1, décollage !

Vous allez écouter les 15 premières minutes de « William Wallace, Stirling, Bannockburn ... une histoire de l'Ecosse », qui dure 1 heure et 2 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo   De 1296 à 1357, l’Angleterre était presque parvenue à établir sur les Écossais sa domination, finalement repoussée grâce à William Wallace d’abord, et Robert Bruce, le héros fondateur, et à ses compagnons.  C'est cette période que nous allons voir dans cette émission.

Vous allez écouter les 15 premières minutes de « Charles V - Episode 3 », qui dure 46 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo   Le premier épisode est disponible en intégralité en suivant le lien :  https://podcasts.audiomeans.fr/timeline-5-000-ans-d-histoire-50ef2fa97d0c/charles-v-episode-1-9fdc17fc91bf   De 1364 à 1380, c'est la reprise du Royaume. Mais est-ce aussi facile que ça ?  Heureusement bien entouré (Avec Du Guesclin notamment), Charles V réussit l'impossible !

Vous allez écouter les 15 premières minutes de « Charles V - Episode 2 », qui dure 45 minutes environ. Le premier épisode est disponible en intégralité en suivant le lien :  https://podcasts.audiomeans.fr/timeline-5-000-ans-d-histoire-50ef2fa97d0c/charles-v-episode-1-9fdc17fc91bf  Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  L'année terrible, 1358 ! La première Révolution Française, Etienne Marcel, Edouard III, Jean II le Bon, Charles de Navarre...  Le dauphin Charles, régent du Royaume a tout connu, et tout surmonté…  Mais ne s'est-il pas finalement préparé à devenir Charles V ?

Vous allez écouter les 15 premières minutes de l’émission « Philippe IV Le Bel », qui dure 1 heure et 20 minutes environ.  Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Philippe IV Le Bel, roi Capétien d’une dynastie princière qui règne sur la France depuis 987 avec le couronnement de Hugues Capet.  Ce roi est souvent considéré comme le premier souverain "moderne" du royaume de France, du fait de ses réformes ayant engendré un État puissant et centralisé, révolutionnant le monde de la production et du commerce.  Un des modèles de monarque absolu, qui explique pourquoi les Principautés ont été progressivement étouffées, tandis que tout ce qui se soustrayait à son autorité était considéré comme nuisible à la Couronne.  Après lui, il n'y aurait donc plus d’Etat dans l’Etat… du moins en théorie.

Vous allez écouter les 15 premières minutes de l’émission « Ulysse », qui dure 48 minutes environ.  Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo   Cette émission aborde une thématique essentielle de l’antiquité grecque : les aventures du héros Ulysse lors de son voyage de retour après la guerre de Troie.  Ces récits d’Homère (ou supposé d’Homère), L’Odyssée comme l’Iliade, sont un des fondements de la culture occidentale.

Vous allez écouter les 15 premières minutes de l’émission « La Grippe Espagnole », qui dure 42 minutes environ.  Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo   Entre 1918 et 1919, un ennemi invisible a fait plus de morts que les deux guerres mondiales réunies…  Une grippe de type A / H1N1 dont on ne connaît encore aujourd'hui pas l'origine…  Récit tant biologique qu'historique sur ce phénomène qui a ravagé la Terre.

Vous allez écouter les 15 premières minutes de l’émission « Pirates et Corsaires », qui dure 42 minutes environ.  Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  Pour accompagner la sortie de "Black Flag", dernier opus d'Assassin's Creed d'Ubisoft, et l'arrivée du pirate de l'espace Albator sur nos écrans, Timeline revient sur l'Histoire des Pirates et des Corsaires, entre légendes et vérités retrouvées.  Hissons le pavillon noir !

Vous allez écouter les 15 premières minutes de l’émission « Les Dragons », qui dure 34 minutes environ.  Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo   Depuis la nuit des temps, des légendes des quatre coins du monde parlent d'une même créature, ailée ou non, aquatique ou terrestre, le dragon.  Crachant le feu, volant, rampant, se cachant dans l'eau, sous la terre ou au ciel, à la fois symbole du pouvoir et du chaos, les légendes se ressemblent sans que jamais ces peuples ne se rencontrent...  Retour sur les Dragons dans l'Histoire !

Vous allez écouter les 15 premières minutes de l’émission « Les Faux-Monnayeurs sous la Révolution », qui dure 46 minutes environ.  Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  Ou comment un phénomène pluriséculaire ait pu entraîner en l'espace de seulement 6 ans (1791 - 1797) l'effondrement total du système monétaire de la France Révolutionnaire.  Pour la première fois dans l'Histoire occidentale, la monnaie va servir d'arme… Et surtout, ce sujet peut permettre d'apporter un certain éclairage sur les fameux massacres de Septembre 92…

Vous allez écouter les 15 premières minutes de l’émission « La découverte du Temps #2 », qui dure 31 minutes environ.  Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  Grâce à Galilée notamment, les horloges vont gagner en précision et le Temps va devenir une référence universelle. Mieux, le marque-temps va permettre également de calculer la Longitude, étape essentielle pour les Grandes découvertes maritimes et terrestres… Une aventure qui n'a pas fini de nous étonner...

Vous allez écouter les 15 premières minutes de l’émission « Une histoire du Cinéma français  #2 », qui dure 42 minutes environ.  Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo   Les années 50, de Jacques Tati à Claude Autant-Lara, De Funès, Bourvil, puis Bardot… La Nouvelle-Vague, les années 60, les Tontons Flingueurs, et enfin les années 80-90-2000, un certain renouveau…  C'est toute l'histoire de cette seconde partie ! Une fois fini, à vos DVDs, Blu-Ray et autres plateformes vidéos !

Vous allez écouter les 15 premières minutes de l’émission « L'opération FORTITUDE ! », qui dure 51 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il vous suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo  C'est le nom de code d'une opération dont les machinations, si elles n'avaient pas existé, auraient eu pour le débarquement du 6 juin 1944 des conséquences extrêmement lourdes.  Cette vaste opération des services secrets britanniques avait pour objectif de fixer le plus longtemps possible la division de panzers dans le Pas de Calais.  Une fantastique partie d'échec dont les arcanes peuvent aujourd'hui nous faire frémir…

 Vous allez écouter les 15 premières minutes de l’émission « La Campagne de Russie », qui dure 41 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il vous suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En 1812, l'Europe est le témoin du plus grand désastre militaire de l'Histoire. Napoléon 1er, Empereur des Français et sa Grande Armée forte de plus d'un demi-million d'hommes connaissent leur plus incroyable défaite.  Est-ce vraiment l'hiver le fautif ? Est-ce la retraite qui fut la plus homérique ? Quelles en furent les causes ?  Retour sur une des plus extraordinaires épopées napoléoniennes…

Vous allez écouter les 15 premières minutes de l’émission « Les vampires dans l'Histoire », qui dure 40 minutes environ. Pour écouter la suite et plus de 300 émissions complètes d'une heure environ il vous suffit de vous abonner au prix d’un café par mois soit 2€, en suivant ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Avec Twilight en livres et au cinéma, Stephenie Meyer a connu un succès planétaire…  Il était selon nous intéressant de revenir sur le mythe des vampires, passant du monstre sanguinaire au héros romantique. Si durant l'Histoire les témoignages d'êtres maléfiques suçant le sang de victimes sont nombreux, et s'il est vrai que tous les continents, avant même que des échanges aient lieu entre eux, possèdent les mêmes légendes, c'est surtout à partir du XVIIIè siècle, malgré la grande époque des Lumières, que l'on parle de vampire.  C'est donc des vampires à travers l'histoire qu'il est question dans cette émission, où et comment le mythe est né, s'est propagé, pour devenir pour certain, un fantasme…

Dans cet épisode, nous allons vous raconter comment les fouilles archéologiques nous ont permis d’en savoir chaque fois plus non seulement sur l’Histoire du Mont, mais aussi sur la vie quotidienne, sur le village, et sur les coutumes traditionnelles des pélerinages médiévaux, et enfin la gestion d’une Abbaye, qui sera aussi, une prison. 

Pour s’abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Depuis l'effondrement de l'Union soviétique, l’Ukraine, indépendante en 1991, a été comme une sorte de volcan…  Les multiples signes indiquant qu'une éruption majeure allait se produire se sont accumulés au fil du temps, devenant plus importants, chaque fois plus rapprochés, et plus tragiques.  Les affrontements avec la Russie se sont portés sur trois dossiers majeurs, l'un important pour l'Ukraine: les livraisons de gaz russe; les deux autres pour la Russie: le sort de la base navale de Sébastopol, port principal de la Flotte de la mer Noire depuis deux siècles, et l’entrée éventuelle de l’Ukraine dans l’Otan. Pourtant, l'actualité n’est pas, et ne doit jamais être le domaine de l’Histoire. C’est celui de l'immédiateté, du superficiel et des approximations. Raison pour laquelle nous avons voulu prendre du temps et du recul pour vous proposer cette série. Mais on ne peut manquer de faire appel à l’Histoire pour tenter, sinon d’excuser, du moins comprendre les événements qui se déroulent sous nos yeux et sur les écrans des réseaux sociaux.  Dans cet épisode, nous allons vous raconter la naissance de l’Ukraine, et voir que ses terres ont toujours été fertiles, et qu’elles ont toujours attiré les envahisseurs, même venus de loin. Nous allons voir d’où vient le drapeau ukrainien, comment est née l’écriture cyrillique, et comment s’est peu à peu constitué un état ukrainien. Voici, le 1er épisode : La petite Rouss

Depuis l'effondrement de l'Union soviétique, l’Ukraine, indépendante en 1991, a été comme une sorte de volcan…  Les multiples signes indiquant qu'une éruption majeure allait se produire se sont accumulés au fil du temps, devenant plus importants, chaque fois plus rapprochés, et plus tragiques.  Les affrontements avec la Russie se sont portés sur trois dossiers majeurs, l'un important pour l'Ukraine: les livraisons de gaz russe; les deux autres pour la Russie: le sort de la base navale de Sébastopol, port principal de la Flotte de la mer Noire depuis deux siècles, et l’entrée éventuelle de l’Ukraine dans l’Otan. Pourtant, l'actualité n’est pas, et ne doit jamais être le domaine de l’Histoire. C’est celui de l'immédiateté, du superficiel et des approximations. Raison pour laquelle nous avons voulu prendre du temps et du recul pour vous proposer cette série. Mais on ne peut manquer de faire appel à l’Histoire pour tenter, sinon d’excuser, du moins comprendre les événements qui se déroulent sous nos yeux et sur les écrans des réseaux sociaux.  Dans cet épisode, nous allons vous raconter la naissance de l’Ukraine, et voir que ses terres ont toujours été fertiles, et qu’elles ont toujours attiré les envahisseurs, même venus de loin. Nous allons voir d’où vient le drapeau ukrainien, comment est née l’écriture cyrillique, et comment s’est peu à peu constitué un état ukrainien. Voici, le 1er épisode : La petite Rouss

Après l’épisode#1 et l’installation de la chrétienté sur le Mont Tombe, devenu Mont Saint-Michel, cette deuxième partie va revenir sur la « Merveille », les innovations et les modes lancées par ce lieu devenu un des hauts lieux de la chrétienté occidentale. XIè, XIIè, XIIIè et XIVè siècles, c’est le 2è épisode, intitulé « La Merveille », pour les abonnés Timeline !  

Le monde de l’Enfer est partout à la fin du Moyen Âge. Le diable, caché partout, semble parfois déborder sur terre en ces temps de catastrophes et de bouleversements marqués par les guerres, pestes, famines, révoltes, manifestations de satanisme, contestations sociales et religieuses. Comment est-il perçu ? Comment a-t-on instauré son « règne du mal » ? Quelles sont ses figures ? Réponses dans cette émission #2

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le Mont-Saint-Michel...  Cette « merveille », aussi qualifiée de « chef d’œuvre de la Chrétienté », attire les pèlerins depuis plus d’un millénaire. Le Mont raconte la folie des hommes et le courage des moines. C’est un lieu de la spiritualité médiévale et une citadelle imprenable, symbole du pouvoir royal qui fit même plier l’Angleterre.  Le village médiéval du Mont en constitue la base, protégé des caprices de la marée par les anciennes murailles. L’abbaye culmine en haut du rocher, couronnée en son sommet par la haute flèche, sur laquelle flamboie la statue de l’Archange de Frémiet. On dirait le château d’une fée !  Mais ce monument n’a rien de magique, il est l’œuvre de simples mortels, d’hommes ambitieux, courageux et confiants en leurs capacités.  L’histoire du Mont-Saint-Michel est longues et riches en péripéties : elle est digne d’un roman, et donc encore plus digne d’une saga Timeline ! Notre saga de l’été 2022.

Bête à cornes ou ange déchu, le diable prend de multiples formes pour tenter les plus innocents d’entre nous. Mais qui est vraiment celui que l’on tient pour responsable de tous les vices ? Contrairement à l’idée que l’on peut s’en faire, le diable est loin d’être une création purement judéo-chrétienne, comme si les Juifs puis les Chrétiens avaient tout inventé.  Ce serait bien trop réducteur de limiter son origine à la bible et à la Genèse. Et justement, on ne trouve dans les textes de l’Ancien Testament, aucune mention de « démon » à proprement parler. Ce nom, emprunté au grec « daïmôn », « le conseiller intime », est sans rapport avec la culture judaïque. Bien sûr, le diable est irrémédiablement lié à la bible, c’est impossible de dire le contraire, mais son histoire est bien plus complexe. Et il n’en fallait pas moins pour un tel personnage, ou devrais-je dire de tels personnages au pluriel ! Le diable est une créature bien singulière, il est loin d’être le seul à incarner le Mal.  Pour comprendre ça, il faut et remonter près de 4000 ans avant notre ère, dans la mythologie orientale…

Dans la première partie, nous avons vu la vie de Schliemann, comment il s’est construit, comment il a pu réaliser son rêve, tenter de découvrir où pouvait se situer la ville mythique de Troie, dont parle Homère, dans L’Illiade. Dans cette seconde partie, nous répondrons donc enfin à la question, a t-il vraiment découvert Troie ?

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo On l’appelle « le Napoléon du Foot », il était évident qu’il se devait d’avoir son émission … Il connaît la Seconde guerre mondiale, travaille à la Mine, perd un doigt dans un accident et, grâce à un ballon de cuir, voit sa vie changer. Sa vie pourrait être un roman, celui d’un homme de son temps au début, qui a vécu plusieurs vie, et qui fut en avance dans sa dernière partie. La France des années 50/60, n’est pas simple. On est en pleine guerre d’Algérie, qui suit l’Indochine, qui suivait elle-même directement la Libération.  Alors, bien sûr, nous allons parler Football, mais pas que, et c’est pour ça que cette émission va pouvoir intéresser tout le monde. Car oui, Raymond Kopa, car c’est de lui dont il s’agit est un des plus grands footballeurs de tous les temps, un des plus illustres français, mais nous allons aussi parler d’Histoire, de cette société des années 50/60 qui va vivre, en 58, une parenthèse enchantée. Pour cette émission, nous serons accompagnés de François DA ROCHA CARNEIRO Vice-président de l’Association des Professeurs d'Histoire-Géographie, docteur en Histoire contemporaine, auteur récemment de l’excellent Les bleus et la coupe, de Kopa à Mbappé Et Farid BOUADLA, auteur/réalisateur d’un documentaire qui va sortir, sur Raymond Kopa NDLR : Au cours de l’émission, François parle de Stéphane Curyl, et nous dit qu’il était dans le Nord … Il était en Alsace, mais l’émission était déjà en boîte !

Troie ! Ce lieu est légendaire. C’est là que s’est déroulée la guerre narrée par Homère dans ses poèmes épiques, qui nourrissent sans cesse la culture classique depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours.  On sait aujourd’hui qu’Homère a compilé de nombreuses histoires connues depuis plusieurs siècles et qui faisaient partie de la culture et de l’identité grecques. Il en a fait une œuvre monumentale, et les personnages qui ont participé à la guerre de Troie sont encore célèbres aujourd’hui.  Néanmoins, il faut garder à l’esprit que tout cela demeure du domaine du mythe, donc de la fiction. La guerre chantée par Homère est un conflit légendaire.  Mais, alors, la cité de Troie, est-elle, elle aussi, une pure invention ?  Toute sa vie, Henri (Heinrich) Schliemann a voulu faire renaître cette ville. A t-il réussi ?  Première partie de réponse dans cet épisode. Le dénouement dans l’épisode 2 😜

La IVe République avait - peut-être - oublié le problème algérien, parce que l’Algérie « semblait » calme depuis 1948... C’est pourquoi les attentats du 1er novembre 1954 en surprirent surprirent beaucoup, et firent l’effet d’« un coup de tonnerre dans un ciel serein ».  La plupart des partis et des journaux français y virent une manœuvre de l’Égypte nassérienne et de la Ligue arabe pour faire croire à une révolte inexistante. Il fallut un an pour que la « guerre d’Algérie » s’impose dans le langage courant et dans les préoccupations majeures des Français.  Dans cette émission, nous abordons la guerre au niveau politique, économique, géopolitique (l’Egypte de Nasser, l’URSS, les Etats-Unis), la chute des différents régimes français, y compris de la IVè République, le pourquoi du changement d’avis du Général De Gaulle …  Une émission rendue possible grâce à l’Historien Guy Pervillé, grand spécialiste de la période et de cet épisode en particulier.

Pour s’abonner, rien de plus simple, le lien est juste là : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La Première Guerre mondiale (1914-1918) et la Seconde Guerre mondiale (1939-1945) sont les pires conflits de toute l’histoire de l’humanité. Par l’ampleur des destructions humaines et matérielles –10 millions de morts pour le premier conflit, 50 millions de victimes pour le second, l’Europe et l’Asie totalement ou partiellement détruites– par la nature de la violence qu’elles engendrèrent – en particulier les génocides arméniens, juif et tzigane – ces deux guerres n’ont aucun équivalent. Les deux guerres mondiales ont également donné naissance à l’espoir d’un nouvel ordre mondial fondé sur la paix et la résolution à l’amiable des conflits entre nations… Utopie ou réalité ?  Retour sur cette nouvelle façon d’appréhender la guerre au XXè siècle, à l’ère industrielle.

Des grandes invasions à la prise de Constantinople, le Moyen Âge a été le théâtre d’une intense guerre secrète dans laquelle sont déjà utilisées toutes les pratiques de l’espionnage moderne. L’opération que vous allez vivre dans cette émission, c’est le débarquement. Pas celui du 6 juin 1944 sur les plages normandes… Celui de 1066, sur les côtes anglaises, qui ne sera pas sans vous rappeler l’émission Fortitude faite il y a plusieurs années. Vous allez voir que tous les ingrédients d’un roman d’espionnage sont là, près de 900 ans avant l’opération Overlord des alliés en 44. C’est la petite histoire qui fait la grande, une histoire incroyable mais vraie, qui a fait que l’Angleterre est ce qu’elle est aujourd’hui…

« Peut-être suis-je venu d’une autre planète... qui sait ? Mais quoi qu’il en soit, les inventions sont faciles pour moi. »  Hedy Lamarr évoque le contraste déconcertant entre son personnage de « plus belle femme du monde » et sa passion pour les inventions.  Du début à la fin, la vie de la star hollywoodienne des années 1940 a été extraordinaire, toujours là où on ne l’attend pas. Tandis qu’elle crève l’écran dans un film sulfureux au tout début de sa carrière, elle se prend de passion pour les inventions de guerre et les technologie de radiofréquence.  Celle qu’Hollywood avait consacrée « plus belle femme du monde », était tout sauf une ravissante idiote …

Le phénomène colonial européen débute au XVIe s à la suite des Grandes découvertes. Le fait majeur est alors la colonisation de l’Amérique. Mais, dès le début, la plupart des colonies d’Amérique, françaises, britanniques ou espagnoles ont obtenu leur indépendance. Cette colonisation du XIX° siècle n’est pas un phénomène exclusivement européen – les Japonais et les Etats-Unis se lancent aussi dans l’aventure – mais c’est bien un phénomène principalement européen. En effet, l’Europe, forte de sa supériorité technique, militaire, économique et financière, se lance, dans des conquêtes coloniales visant à dominer de vastes territoires. La colonisation des XIXe - XXe siècles s’est développée en Afrique et sur une large partie du continent asiatique. En 1914, l’Europe est au centre du monde et les grandes puissances européennes, notamment la Grande-Bretagne et la France, assument avec bonne conscience une « mission civilisatrice ». L’entre-deux-guerres voit apparaître les premières contestations de l’ordre colonial mais ce n’est qu’au lendemain de la Seconde Guerre mondiale que le mouvement de décolonisation s’enclencha, d’abord en Asie, puis en Afrique, selon des modalités plus ou moins violentes. Le phénomène colonial qui mit en contact, avec brutalité, des mondes largement différents a eu des répercussions tant humaines que politique, économique, sociale, culturelle. Cette domination des pays européens contribue encore à déterminer pour une part les relations des pays du Sud avec leur ancienne métropole... Playlist : - Michel Sardou, Le temps des colonies - Bourvil, Timichiné-la-pou-pou - Aristide Bruant, La noire

Pour s’abonner, rien de plus simple, le lien est juste là : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le critère du peuplement est généralement négligé, voire oublié, dans la notion de colonisation telle qu’elle est aujourd’hui généralement comprise en France. On sait pourtant que l’Algérie fut l’une des rares colonies de peuplement européen notable dans le deuxième empire colonial français, de 1830 à 1962.  Mais mesure-t-on bien quelle devait être l’importance du peuplement français dans l’esprit des fondateurs de la colonie, en quoi les faits démographiques démentirent leurs prévisions, et quelles conséquences résultèrent de cette inadéquation ? Pourquoi la France est-elle allée en Algérie ? Avait-elle besoin de peupler l’Algérie au XIXe siècle ? En était-elle capable ?  Dans cette première partie, issue du Direct, en compagnie de l’historien et spécialiste Guy Pervillé, nous verrons que la France a montré, depuis le début de son expansion maritime au XVIe siècle, une propension à envoyer des émigrants outre-mer plus faible que toute autre nation européenne.  Après 1815, la baisse précoce de sa natalité la prive rapidement de tout excédent naturel susceptible d’alimenter un courant migratoire notable ; et la majorité de ses rares émigrants se dirige vers les États-Unis et les autres pays neufs du Nouveau Monde. La prise d’Alger par le dernier gouvernement de la Restauration, le 5 juillet 1830, n’impliquait aucun projet préconçu d’annexion et de colonisation ; elle s’expliquait avant tout par des soucis de prestige international et de politique intérieure. Une première partie portant sur le pourquoi la France est intervenue en Algérie, jusqu’à la naissance des premiers sentiments nationaux algériens.

« Les siècles futurs pourront-ils croire, quand les moissons repousseront et qu’enfin reverdiront ces déserts, que des villes et des populations sont englouties sous leurs pieds et que les campagnes de leurs ancêtres ont disparu dans la mer incendiée ? »  Ainsi se lamente le poète Stace, quand, dans un élan de mélancolie, ses pensées s’accrochent au souvenir de deux villes antiques, disparues en un instant, par la volonté des dieux anciens. Or, ce que la nature a fait disparaître, la détermination et l’imagination des hommes lui a redonné vie. Dans cette émission, nous allons vivre, ensemble, la redécouverte des deux villes antiques les plus célèbres, Pompéi et Herculanum.

Des années 1870 à nos jours, la France a connu quatre régimes poli- tiques différents – dont trois républiques. Le régime républicain est inséparable de l’histoire contemporaine de la France. Il trouve ses origines dans la Révolution française au cours de laquelle, pour la première fois, la République a été proclamée en France, en septembre 1792. Néanmoins, il a fallu plus d’un siècle pour que la République s’installe de façon pérenne. C’est en 1870 que la IIIe République voit le jour. Née dans le contexte peu favorable d’une défaite militaire et d’abord dominée par une majorité monarchiste, la IIIe République est pourtant le régime qui va parvenir à installer le fait républicain en France. Inséparable de l’œuvre scolaire et de l’affirmation de valeurs qui demeurent aussi fondamentales que la laïcité, la IIIe République va parvenir à faire des Français d’authentiques républicains. La fin du régime est particulièrement dramatique puisqu’il sombre dans la défaite de 1940 et dans le vote des pleins pouvoirs au maréchal Pétain, le 10 juillet 1940. Alors, pour quatre ans se met en place le régime autoritaire, collaborationniste de l’État français installé à Vichy. Mais, dès la Libération, le régime républicain renaît de ses cendres. En 1946, les Français adoptent la constitution d’une nouvelle République, qui ressemble beaucoup à la précédente. La IVe République s’écroule finalement dans le contexte de la guerre d’Algérie. De Gaulle revient alors au pouvoir ; nous sommes en 1958. Il fait adopter une constitution dont l’esprit s’éloigne largement des deux précédentes républiques. Désormais, ce ne sont plus le Parlement et le pouvoir législatif qui dominent dans l’équilibre des pouvoirs mais l’exécutif. Et, au sein de l’exécutif, c’est désormais le président de la République et non plus le chef du gouvernement qui domine. En 1962, une révision constitutionnelle majeure va permettre aux Français d’élire le chef de l’État au suffrage universel direct. Cette réforme s’applique pour la première fois en 1965, élection présidentielle dans laquelle le général de Gaulle se trouve confronté, au deuxième tour, à François Mitterrand. Même si elle demeure critiquée par certains, l’élection présidentielle constitue depuis cette date un des moments clés de la vie politique française et la constitution de la Ve République, conçue en 1958 pour « l’homme du 18 juin » s’est révélée remarquablement souple au cours de son demi-siècle d’existence.

Le XXè siècle est, selon l’historien britannique Eric Hobsbawn, le « Siècle des extrêmes » : c’est indéniablement le siècle des totalitarismes. En effet, les totalitarismes sont tous nés au XXe siècle, et plus précisément après la Première Guerre mondiale, dans l’Entre-deux-guerres. C’est aussi une expérience européenne. Le mot « totalitarisme » est lui-même né en Italie : ce terme s’applique à des dictatures d’un type particulier, que nous définissons dans cette émission. Trois régimes sont englobés dans ce terme :  – le fascisme en Italie, – le stalinisme en URSS, – le nazisme en Allemagne. L’analyse de ces régimes relève de la philosophie politique : on peut notamment citer les l’étude d’Hannah Arendt, les Origines du totalitarisme, publié en France en 1961; cette étude se fonde surtout sur le nazisme, régime/archétype du totalitarisme. Les historiens ont eux aussi cherché à appréhender ces régimes dans leurs travaux. Les études historiques qui leur sont consacrées soulèvent un certain nombre de questions qui vont nous servir ici…

Parmi les grands fléaux de l’Humanité, les grandes épidémies demeurent une force meurtrière effroyable. Elles ont plus d’une fois fait trembler des continents. Et, ce qu’on oublie souvent, elles surviennent au moment de déséquilibres ou de mofdifications sociales et environnementales (révolutions, guerres, grandes découvertes, mondialisation, …). On dit qu’un Homme averti en vaut deux … Mais est-ce vraiment le cas ?  Sommes-nous mieux préparés ?  Pour nous aider à revenir sur ces grandes épidémies qui ont jalonné notre Histoire, l’historien Henri Deleersnijder, professeur à l’Université de Liège, auteur du livre « Les plus grandes épidémies dans l’Histoire », aux éditions Mardaga.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo De la fromagerie artisanale fondée en 1865 dans le Jura, jusqu’à aujourd’hui, en passant par la création juridique sous sa forme actuelle en 1922, les « Etablissements Jules Bel » ont évolué à travers leur marque phare (« La Vache qui rit »), devenant un groupe industriel fromager mondial. Bel, c’est aussi un exemple de capitalisme familial et paternaliste, toujours détenu à 80 % par la famille fondatrice (un siècle  après sa fondation), d’éthique et de transparence, d’innovations multiples, organisationnelles, commerciales et publicitaires. L’histoire du Groupe jurassien s’avère être une fascinante réussite (une « success story ») hexagonale, qui méritait d’avoir sa place dans cette émission, inaugurant ainsi la saga des marques made in France qui ont jalonné notre Histoire, notre enfance, et nos vies.

En archéologie préhistorique, l’industrie lithique (de la pierre donc) désigne l'ensemble des objets en pierre taillée, pierre polie et également dite de mouture (pour moudre les grains). Ces objets sont transformés intentionnellement par les humains.  Dans la pratique, cette expression désigne les outils finis, les armes mais aussi l’ensemble des sous-produits liés à leur fabrication.   Elle exclut généralement les productions purement artistiques (figurine de Vénus par exemple).  C'est à la fois une industrie extractive et manufacturière.  Nous sommes dans la période dite Néolithique (pierres nouvelles). C’est le début de l’agriculture, d’une certaine sédentarisation, de la domestication. Les hommes sont mieux nourris, donc plus résistants, ils vivent dans les premiers village, donc, en société. C’est le début de la spécialisation.  Mais est-ce aussi simple ? Est-ce que ça ne s’est pas un peu chevauché ? Et les fameux silex, artisanat ou industrie ? Nous allons voir ça en détail avec l’archéologue Jérémie Vosges, spécialiste en archéologie expérimentale, et lithicien, spécialiste de la pierre.

Pendant onze siècle, l’empire byzantin s’est imposé comme l’une des plus grandes puissances orientales.  Héritière de l’empire romain, Byzance va connaitre tout au long de son existence les tumultes politiques, militaires et religieux qui enflamment le Moyen-Orient médiéval. C’est surtout la naissance d’une nouvelle religion, l’Islam, qui bouleverse l’équilibre de l’empire. Une émission préparée par Emmanuelle Alavoine 

Lorsqu'une question soulève des opinions violemment contradictoires, on peut s'assurer qu'elle appartient au domaine de la croyance et non à celui de la connaissance. Voltaire Le mot croyance fait immédiatement penser à la religion. Pourtant les croyances foisonnent hors du domaine religieux. La connaissance est spontanément liée à la science. Mais on peut acquérir d'excellentes connaissances sans pour autant maîtriser les disciplines scientifiques et leurs techniques.  Citons notre maître à tous, Sacha Guitry : « Sur l'existence de Dieu, la moindre apparition sera la bienvenue ». Mais attention, gardons-nous de toute vision manichéenne du monde. La séparation entre science et croyance n'est pas aussi nette : les meilleurs esprits scientifiques ne sont pas à l'abri des virus de la croyance et les dévots les plus convaincus peuvent être effleurés par le doute … Remèdes de grands mère, folklore, magie, les croyances n’ont jamais cessé de se mêler à la logique et d’emblée aux évolutions scientifiques.  Lorsque nous manquons de réponses, nous exprimons des hypothèses pour tenter de comprendre le fonctionnement du monde. Mais si la véracité de certaines croyances a pu être démontrée et prouvée, d’autres n’ont jamais été élevées au rang de théorie scientifique, voire ont été totalement infirmées.  Pourtant, malgré les doutes et l’absence de preuves tangibles, ces croyances ont perduré pendant des siècles. Véritable moteur du quotidien, elles ont été le socle de nombreuses théories médicales, sociales, politiques et religieuses.  Dans cette première émission, nous revenons donc sur les grandes lignes, avec un zoom sur la radiesthésie, avant d’aborder les sorcières, l’inquisition, et pratiques païennes qui ont pu fleurir ici ou là dans l’Histoire

Né à la toute fin du XIIe siècle, Frédéric II est destiné à régner sur un territoire d’une ampleur gigantesque. C’est le petit-fils du célèbre empereur Barberousse, qui a énormément développé la puissance du Saint-Empire romain germanique, en faisant déborder de toutes parts les frontières de son empire. Sa famille est si bien installée au sommet de l’État qu’elle parvient à ce que le fils de Barberousse, Henri VI, lui succède au pouvoir. Les princes allemands qui élisent l’empereur se sont même engagés à voter pour que le petit-fils de Barberousse, Frédéric II, soit lui aussi élu lorsque le moment sera venu. Et ce n’est pas tout ! Son père Henri VI a habilement épousé la reine Constance du royaume de Sicile, dont Frédéric II est reconnu comme étant le futur souverain de ce royaume. Dès l’âge le plus tendre, il est donc désigné comme le futur dirigeant du Saint-Empire romain germanique et du royaume de Sicile. Il va donc être amené à diriger un territoire immense, car le Saint Empire romain germanique se déploie sur l’Allemagne actuelle, les Pays-Bas, le Luxembourg, la majorité de la Belgique, une grosse section de l’Est de la France, presque toute l’Italie, toute la Suisse, la Slovénie, l’Autriche, la République Tchèque et une petite partie de la Pologne ! Quant au royaume de Sicile, il est composé de l’île en elle-même, mais également de tout le Sud de l’Italie, s’arrêtant environ à mi-botte de la carte de l’Italie, si vous voyez ce que je veux dire.  Pourtant, tout ne va pas se passer comme prévu... Privé de parents dès l’âge de 4 ans, Frédéric II va devenir le jouet de puissants qui menacent grandement son avenir. Le pape qui le prend sous sa tutelle ne se sert en réalité que de lui pour satisfaire ses ambitions, les intrigues se multiplient à son encontre, la guerre civile guette son empire et son autorité n’est plus que théorique... Pourtant, Frédéric II va tout faire pour reconquérir ses trônes. Protecteur des sciences, des arts, féru d’antiquité, de culture orientale, de philosophie et de langues, ce complexe personnage va déployer une habile politique afin de tenter d’être l’homme le plus puissant d’Europe. Sa détermination à reconquérir son héritage, sa volonté de contrôler ses territoires et sa vision du pouvoir par le droit et les réformes audacieuses vont le plonger dans une lutte terrible contre la papauté. Il sera excommunié par deux fois refusant de reconnaître l’autorité de l’Église sur ses terres ! Il subit alors une titanesque propagande, étant accusé de tous les maux, au point que le pape Grégoire IX va même jusque le désigner comme l’antéchrist en personne.

Après la mort de William Wallace, Edouard 1er est le maître. Tous les barons et les comtes écossais, à l’exception d’une petite poignée se sont soumis à son joug. Pourtant, l’un d’eux, Robert Bruce, va trahir son serment et se retourner contre le roi d’Angleterre. C’est le début d’une Geste exceptionnelle, une histoire que seul le Moyen-Âge est encore capable de nous offrir…

Jusqu’au XVIIe siècle, l’eau n’est pas considérée comme un élément bienfaiteur, au contraire. La toilette sèche et les artifices sont alors d’usage pour cacher la misère et la crasse.  Le XVIIIe siècle va représenter un véritable tournant en terme d’hygiène. L’eau s’engouffre peu à peu dans les habitudes aristocratiques avant d’atteindre les autres couches sociales au fil du temps.  Passée d’une pratique lacunaire à une habitude extrêmement codifiée, la toilette s’impose jusque dans les sphère les plus privées des intérieurs.  Dans cette émission, nous verrons comment l’eau s’est peu à peu insérée dans la vie quotidienne, comment les villes ont évolué, et les appartements ont intégré la naissance de la salle de bains. Bibliographie  - Le Propre et le sale, Georges Vigarello - Le Miasme et la jonquille, Alain Corbin - La mise au propre en architecture, Monique Eleb - L’hygiène sociale au XIXe siècle : une physiologie morale, Gérard Seignan

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo De 1296-1357, c’est une guerre sans fin en Ecosse, civile autant qu'étrangère.  A la fin, cependant, ce pays allait définitivement conquérir sa place parmi les Etats européens, avec un allié solide sur le continent et une dynastie nouvelle.  Les six décennies qui s'écoulent de la mort d'Alexandre III au traité de Berwick sont essentielles dans l'histoire de l'Ecosse; elles sont encore présentes de nos jours, au plus profond de la mémoire collective du pays et contribuent, plus que toute autre période de l'Histoire, à alimenter la conscience nationale Écossaise. Dans cette émission en deux parties, nous croiserons Philippe Le Bel, Edouard 1er d’Angleterre, Edouard II, Isabelle de France, Willam Wallace, et Robert Bruce bien sûr. Loin de Braveheart (malheureusement nul historiquement parlant) et du nullissime Outlaw King (le roi hors-la-loi), retour sur un XIVè siècle âpre, mais surtout, pétri de droit féodal et de batailles juridiques autant que de chevaliers …

Avec le tournant de 1864  et les quelques déboires qui ont suivi, notamment au Mexique où Napoléon III échoue à imposer comme souverain Maximilien de Habsbourg, et en 1866 lors de la guerre qui oppose l’Autriche à la jeune Italie où il s’entremet maladroitement entre les belligérants, il convenait de redorer l’image de l’Empire. Napoléon III infléchit la politique intérieure en la libéralisant. Il est donc décidé de monter une nouvelle exposition universelle pour tenter de réitérer le succès de 1855.  Dans cette perspective, Offenbach compose, sur un livret de Meilhac et Halévy, un opéra-bouffe en 5 actes créé en octobre 1866, La Vie parisienne ; ce n’était plus la Cour impériale qui était raillée ici mais toute la société civile invitée à rire d’elle-même, triomphe de l’ambigüité comme il apparaît dans la lettre à Métella ; on ne distinguait plus là le vrai du faux...  Suite et fin de cette trilogie sur la vie d’Offenbach, en compagnie de Jean-Claude Mory, ancien régisseur général de l’Opéra de Paris.

L’épisode #2 retrouve notre Offenbach inscrivant sa carrière artistique dans le contexte social de la société urbaine du Second Empire, qui lui fournit à la fois son public et les sujets de ses pièces de théâtre. Lui-même, mondain, amuseur-né, tout d’ironie et de fantaisie,  prospère  dans cette société avide de stabilité et axée sur le plaisir qui était à elle seule une opérette vivante. Dès lors, il sera le  « Mozart des Champs-Élysées », puisque c’est là qu’il choisit d’installer son théâtre.  Nous vous racontons son histoire, en 3 épisodes d’une heure, grâce au talent de Jean-Claude Mory, ancien régisseur général de l’Opéra de Paris. Abonnez-vous pour avoir les 3 épisodes !!! (2 mois gratuits sur le site www.timelinepodcast.fr) 😀 Joyeux Noël, et bons réveillons !

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il fut un des plus grands compositeurs français du XIXe siècle, aux côtés d’un Hector Berlioz, d’un Ambroise Thomas, d’un Charles Gounod, d’un Georges Bizet, d’un Jules Massenet, et il était d’origine germanique.  Il est né en 1819 à … Offenbach, petite ville dont il prit le nom car il s’appelait originellement Jacob Eberst. Devenu le grand compositeur du Paris des fêtes du Second Empire, c’est son histoire que nous vous racontons, en 3 épisodes d’une heure, grâce au talent de Jean-Claude Mory, ancien régisseur général de l’Opéra de Paris. Abonnez-vous pour avoir les 3 épisodes !!! (2 mois gratuits sur le site www.timelinepodcast.fr) 😀Joyeux Noël !

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le saké est devenu la boisson de la sociabilité, de la joie, de la célébration des moments heureux de la vie et du calendrier, de l’attachement aux traditions religieuses et politique, et également, la plus ancienne boisson alcoolisée du Japon. Cette boisson est propice au dépassement et au rêve. En compagnie de Siméon Molard, Saké-Sommelier, et co-fondateur de Osake.fr (remise de 10% aux auditeurs de Timeline grâce au code Timeline soit dit en passant - merci à eux !), et de Prem Carriou, nous dégustons, en vidéo (pour les abonnés) et en audio, ce breuvage si différent de ce que l'on croit habituellement, sans oublier de parler Histoire, préparation, ... En bonus, un invité supplémentaire, Aurélien Touzé, spécialiste de spiritueux et notamment d'Armagnac, avec lequel nous préparons une émission dans le même style. Grâce à lui, nous comparons avec ce que nous connaissons mieux. En route pour le pays du Soleil levant…

La folie intrigue, fait peur, et peut susciter l’empathie comme le mépris. Mais ce qui est certain, c’est qu’elle a toujours fait partie intégrante de l’homme. Comme le laisse entendre Pascal, il n’y a pas de société sans fous. C’est ce que nous allons voir dans cette émission …

De grands changements s’effectuent en Gaule rurale à partir de l’an 1, ce qui change non seulement la politique, l’économie, les mentalités, mais aussi les paysages. Romains et gaulois s’échangent les savoirs-faire, ce qui va donner naissance à la France du Haut-Moyen-âge.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo C’était il y a 40 ans exactement, qu’apparaissaient les premiers cas identifiés d’une nouvelle maladie, la maladie des 4H comme on l’appelait à l’époque... Dans cette émissions, nous revenons non seulement sur la maladie elle-même, mais surtout sur ses origines, une enquête qui a duré 40 ans, et dont les résultats peuvent étonner. Cette émission est issue du Direct avec Francis Barin, en duplex depuis le Canada, ce qii donne une qualité plus « métallique » dûe à la connexion internet. Francis Barin est professeur émérite de l’université de Tours et membre honoraire de l’institut universitaire de France, rattaché à l’unité Inserm Morphogenèse et antigénicité du VIH et des virus des hépatites.

En Chine, au printemps 1852, à l'occasion d'une sélection nationale de concubines impériales, une jeune fille de seize ans séduit l’empereur qui la choisit en tant que concubine. Moins de dix ans plus tard, cette jeune fille s’empare du pouvoir impérial et règne sur la Chine jusqu'à sa mort en 1908 . Intelligente, stratège et ambitieuse, c’est elle qui ouvrira « l’Empire du Milieu » sur le reste du monde et fera entrer son pays en pleine ère industrielle.  Son nom ? Cixi … 

Jean-Baptiste de Lamarck est un homme d’exception, dont les travaux ont été tordus au fil du temps par ses adversaires...mais aussi par ses partisans, peu à peu tombé dans l’oubli... Pourtant, cet homme est un pionnier de la paléontologie et de la météorologie, un botaniste et zoologiste de grand talent, et surtout un chercheur acharné, qui a,  le premier, proposé une hypothèse sur l’évolution des espèces, plus de 50 ans avant Darwin.  Lamarck est un savant qui pense comme un homme du XVIIIe siècle, avec de géniales intuitions, mais qui ne démontre pas par des expériences ! Son inspiration avec la découverte de l’évolution des espèces a ouvert la voie à des progrès scientifiques énormes. Son idée phare est que le changement de milieu créé des besoins, qui eux-mêmes entraînent une évolution des organes et des formes corporelles. Les besoins créent donc les fonctions. Si des détails de sa théorie sont à discuter, il établit tout de même 50 ans avant Darwin qu’il y a des évolutions génétiques chez les êtres vivants, ce qui est tout simplement révolutionnaire à son époque !

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Les Aztèques (ou Mexicas) ont dominé le sud et le centre du Mexique du XIVe au XVIe siècle, en y érigeant un empire et une brillante civilisation. Ils ont - entre autre - fondé la ville de Mexico-Tenochtitlan qui dépassait en nombre d’habitants les capitales européennes. Ils sont aussi les héritiers des olmèques, puis des toltèques, mais, les connaît-on vraiment ? Côté grand public, ils sont mystérieux, objets de fantasmes, et sont aussi parfois une sorte de « madeleine de Proust » avec la série animée Les mystérieuses cités d’or 😜 ! Pour nous éclairer et revenir sur les vérités par rapport aux fantasmes, l’historien José Contel, directeur de l'Institut pluridisciplinaire pour les études sur les Amériques (Toulouse) et enseignant-chercheur au département d'études hispanoaméricaines de l'université de Toulouse, grand spécialiste de la culture mézo-américaine.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo A l’occasion du Salon du livre d’Histoire de Versailles, qui aura lieu les 20 et 21 novembre 2021, une interview de son créateur, Vianney Mallein. Et « histoire d’en rajouter » :), toute l’équipe Timeline sera présente ces deux jours-là ! Venez nombreux !!! Plus d’infos sur www.histoiredelire.fr

La droite et la gauche sont des notions politiques qui datent de la Révolution française. Il leur a pourtant fallu un certain temps pour s'imposer dans la vie politique des Français. C'est en septembre 1789 que le mot « gauche » apparaît dans la grande salle des Menus Plaisirs à Versailles où se réunissaient les députés de l'Assemblée constituante avant de s'installer à Paris.  En face de ce « côté gauche » fait front un « côté droit », les défenseurs de l'absolutisme.  La gauche, comme la droite, était nées.  Depuis cette époque lointaine, ces mots ont fait florès, débordé largement les frontières de la France. La gauche désigne, quasi universellement, ceux qui s'opposent aux réactionnaires, aux conservateurs, aux hommes d'ordre méprisant la liberté et l'égalité - les grands principes de l'émancipation.  Cet investissement de vertu a du même coup rendu la droite honteuse : il faut attendre la victoire électorale des socialistes en 1981 pour que, peu à peu, l'opposition assume le terme de « droite, par simple logique géométrique. Rappelons qu'en 1959 le parti gaulliste UNR avait refusé de siéger à droite … C’est sur cette histoire, depuis la Révolution, que nous allons revenir avec Bruno Fuligni, historien et spécialiste des problématiques politiques des 19è et 20è siècle en France. Cette émission est tirée du Direct Timeline mensuel. 

Dans cet épisode, nous allons revenir plus en profondeur sur des informations données dans l’émission « chapeau ». Souvenez-vous, du XIè au XIVè siècle, l'Europe et les régions de l'Atlantique Nord ont connu une période de réchauffement climatique, nommée optimum climatique médiéval. Nous allons voir pourquoi le climat s’est réchauffé, et comment, encore une fois, nous le savons. Nous entrerons dans les détails, des détails chiffrés, scientifiques, qui montrent les cycles climatiques existent bien, et que des réchauffement et des refroidissements ont existé, et ont changé beaucoup de choses …

Le 19è siècle a amorcé une période de réorganisation profonde dans les modes de gestion des morts au sein des sociétés occidentales.  La croissance de la mortalité dans les grandes métropoles, l'urbanisation et l'industrialisation ont augmenté les risques de crises sanitaires et les peurs collectives autour des cimetières et des fosses communes, comme foyers d'épidémie, contribuent à faire émerger la question des lieux d'inhumation comme « problème public ».  Les préoccupations concernant les cimetières, leur localisation, les conditions d'aménagement des sépultures s'intensifient avec la concentration urbaine des classes ouvrières, directement concernées par les enjeux de salubrité publique.  Et le XXè siècle ? En compagnie de Bertrand Beyern, notre « nécrosophe » national, nous allons partir en balade, sur le thème de la mort bien sûr, mais surtout  des cimetières, et voir leurs différences, en France, en Europe, et dans le monde.

Qui ne se rappelle pas du parfum que portait sa mère lors de son enfance, des embruns de la mer de ses vacances d’été ou de l’odeur de la victoire ?  L’odorat est l’un des sens les plus importants, plus que la vue, le goût ou l’ouïe.  Le parfum est le messager primaire des interactions entre les hommes, entre l’Homme et la Nature et surtout entre l’Homme et les Dieux.  Des temples babyloniens au N°5 de Chanel, retour sur une histoire fabuleuse, en compagnie de nos invités prestigieux, l'historienne Annick Le Guérer, l'administratrice de l'Osmothèque et docteur ès Lettres Isabelle Chazot, et Jean-Baptiste Darrouzet, évaluateur de parfum.

La rumeur, vraie ou fausse peut être une importante source d’informations. Elle peut aussi être inquiétante, parfois même perçue comme un danger potentiel. C’est un bruit qui se transmet de proche en proche... Cela concerne des événements intéressant la population (personnalités, calamités, annonce de guerres, de famines ou d’épidémies …), se rapportant même à la fiscalité, les annonces de levée d’argent ou de nouveaux impôts.  La nouvelle ainsi répandue est difficile à évaluer : sa véracité et son origine sont incertaines, voire inconnues. Sans doute considère-t-on souvent qu’elle est vraie, au moins en partie : « il n’y a pas de fumée sans feu »… Elle se substitue même parfois à l’histoire, quand elle est jugée plus « opportune » que la vérité ! Fréquemment créée et divulguée à dessein, elle devient alors calomnie, machination, propagande ou moyen de gouverner et de dominer. Retour sur quelques fausses rumeurs qui ne datent pas d’hier, en compagnie de Prem Carriou, co-auteur, avec Richard Fremder, de l’ouvrage « ça ne date pas d’hier », chez Firts Editions.

Cette émission est centrée sur la France, mais saura intéresser les abonnés de tous les continents…  Nous parlons de la France rurale, à une époque où bon nombre de citadins ne rêvent que d’une chose, quitter la ville et revenir à la terre, au moment où jamais le nombre de paysans - avec tout ce que ce mot comporte de noblesse - n’avait été aussi bas. Dans cette émission en plusieurs épisode, nous allons aborder plusieurs thèmes, plusieurs époques bien sûr.  Nous allons suivre l’évolution des campagnes françaises depuis la Préhistoire…  Dans cette émission, nous irons jusqu’aux Gallo-romains…  Nous allons parcourir les vestiges laissés par les hommes - leurs aliments, leurs outils, leurs abris, les terroirs qu’ils ont façonnés, les tombes qu’ils ont laissées, les lieux de cultes et les monuments qu’ils ont dressé. En effet, quand il n’y a pas de texte, il faut se référer à ces témoignages… Tout semble cependant avoir été dit sur les caractères géographiques de la campagne française et sur les relations historiques nouées entre les paysans français et l’espace qu’ils cultivent.  Marc Bloch, Roger Dion, notamment, ont su évoquer les traits originaux, permanents des ces paysages, en soulignant leur unité et leur diversité. Mais attention ! Le tableau géographique a été à la fois la conséquence et la cause des rapports de l’homme et du milieu. Il ne faut surtout pas tomber dans ce qu’on appelle le déterminisme. Ce n’est pas le milieu qui fait le peuple !  Le peuple peut façonner son milieu, et il va le faire… Bibliographie - L.R. Nougier, L’économie préhistorique, PUF - J.D. Clarck, L’Europe préhistorique, les fondements de son économie, Payot - Georges Bailloud, Le néolitique dans le Bassin parisien, CNRS - Histoire de la France rurale, sous la direction de Georges Duby, Point Seuil Playlist audio - V’la l’Printemps, Ricet Barrier - A la campagne, Benabar - Le bonheur est dans le pré, Celtic Kanan

« On impute la lèpre aux croisades, à l'Asie. L'Europe l'avait pourtant en elle-même. La guerre que le Moyen Âge déclara et à la chair, et à la propreté, devait porter son fruit [...] Cette société [...] craint toute purification comme une souillure. Nul bain pendant mille ans ! ». Voila ce qu’affirme Michelet dans son essai La Sorcière paru en 1862. Mais est-on vraiment sûr de ça ?  Il va désormais de soi que le Moyen-Age n’est pas la période obscurantiste et misérable qu’ont tenté de justifier les chroniqueurs et intellectuels modernes. Pourtant, un vilain cliché persiste malgré tout. Serfs crasseux et édentés, seigneurs rebutés à l’idée du bain annuel… La saleté et autres gueuseries seraient le propre du Moyen-Age. Et si c’était en fait l’inverse ? Si la vie au Moyen-Age était en fait plus hygiénique que celle des siècles plus tard ? C’est ce que nous allons voir… 

Trop longtemps perçue de manière simpliste comme la compagne de Voltaire, la « divine Émilie » a pourtant participé activement à la diffusion des sciences physiques et mathématiques auprès de ses confrères scientifiques et philosophes des Lumières.  Femme ambitieuse, Émilie du Châtelet méprise les normes de son temps pour assouvir sa passion pour les sciences et devenir la première femme savante du siècle des Lumières.  BIBLIOGRAPHIE - Élisabeth Badinter, Emilie, Emilie, l’Ambition féminine au XVIIIe Siècle, Flammarion, 1983 - Danielle Muzerelle, Élisabeth Badinter, Catalogue de l’exposition : Madame Du Châtelet. La Femme des Lumières, Éditions de la BNF, 2006 - Françoise de Graffigny Correspondance de Madame de Graffigni. Vie privée de Voltaire et Madame du Châtelet, 1739 - Louis Sébastien Mercier, Le Nouveau Paris, 1799 - Martine Sonnet, L’éducation des filles à l’époque moderne, Historiens et géographes, Association des professeurs d’histoire et de géographie, 2006 - Emile Saigey, Les sciences au XVIIIe siècle, la physique de Voltaire, Bibliothèque de philosophie contemporaine, 1873

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Depuis la fin du siècle précédent, l’Humanité assiste à une succession de phénomènes climatiques et naturels qui peuvent inquiéter : réchauffements, ouragans, tempêtes, inondations, séismes, tsunamis, éruptions volcaniques, épidémies (Sida, grippe aviaire, Creutzfeldt-Jakob, …), etc. Beaucoup de scientifiques, de spécialistes se sont penchés, et se penchent chaque jour sur ces questions, mais l’Historien lui se doit de raisonner à hauteur d’hommes, et d’exploiter avec un maximum de crédibilité et d’objectivité (pour ne pas dire de recul) les informations et données brutes. Et surtout, il se doit de s’élever au-dessus de la mêlée, à savoir sortir des débats stériles et des amalgames journalistiques. Nous allons donc ouvrir un dossier « touchy » parce qu’il touche à des croyances ancrées depuis longtemps, parce que les ravages des combats de 2 camps opposés ont inscrit dans les convictions de chacun des idées pas toujours de bon sens, et que, sans prétendre faire l’arbitre, nous allons vous apporter le fruit d’un travail de recherches à la fois rigoureux - comme toujours - mais aussi le plus honnête possible. Dans cette première émission, qui ouvre le dossier « Histoire du climat », nous allons revenir sur le général Quels sont les vrais chiffres ? Comment avons-nous réussi à mesurer le climat pluri-millénaire Quid du changement climatique (réchauffement et refroidissement) Quid des phénomènes extrêmes Vous l’avez compris, ici point de mise en cause de quoi que ce soit, ni de qui que ce soit, l’historien est un chercheur, un détective, pas un juge. 

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Timeline 5.000 ans d’Histoire est un podcast d’Histoire qui existe depuis 2012 ! Depuis les débuts, ce sont près de 300 émissions qui sont en ligne, d’une durée moyenne de 45 minutes, conçues par des historiens, avec le plus d’objectivité possible. L’historien est un scientifique, un enquêteur. A ce titre, il n’a pas à prendre parti pour ou contre tel sujet, c’est pourquoi nous ne nous interdisons aucun domaine, même les plus Touchy, quitte à égratigner le politiquement correct, ou même, ça m’est arrivé, à changer complètement de point de vue suite aux nouvelles recherches.  Car en effet, l’Histoire est une science, et en cela, les vérité d’un jour ne sont pas forcément celles du lendemain. Et c’est ce qui la rend si exaltante. Ainsi donc, dans ces émissions, vous pourrez entendre des dossiers (c’est à dire plusieurs émissions d’une heure) sur, par exemple, certains rois, sur l’esclavage, ou l’Affaire Dreyfus, vous pourrez également entendre l’histoire de la découverte du temps, l’histoire du cinéma français, et même l’histoire de la bière - une des émissions préférées l’été …  Nous faisons aussi grand cas des immenses personnages, hommes ou femmes, connus ou moins connus, qui méritent le panthéon virtuel de l’Histoire du monde, comme Victor Hugo, Marie Curie, Camille Claudel, Madame CJ Walker, Helena Rubinstein, Nelly Bly, Lamarck, Emilie du Châtelet, Aldo Manuzio … Parfois, vous serez surpris ou amusés, car nous aimons déboulonner les statues pour les remonter au plus près des dernières recherches, ce qui peut dérouter et changer notre vision des événements ou des personnages. Mais toujours, nous essayons, avec l’équipe, de vous rendre ces contenus accessibles, sympa à écouter, en tous, cas, nous on les trouve sympa à enregistrer. Il y a évidemment des sujets moins lourds comme les vampires dans l’Histoire, les dragons, ou même des mises au point en lien avec des séries ou films historiques. Nous avons aussi la chance d’avoir des historiens à interviewer, des auteurs, ou même des comédiens, comme Francis Huster, sur Molière par exemple, bref, nous souhaitons être éclectiques. Enfin, à partir de septembre 2021, nous allons vous permettre d’en avoir encore plus ! Au lieu de 2 émissions par mois traditionnellement, ce sera 5, dont une en direct avec possibilité de poser vos questions en temps réel à notre invité Vous avez été nombreux à nous le demander, l’accès aux textes des émissions Des news concernant les dernières actus Histoire, Préhistoire et Patrimoine Des interviews d’auteurs Histoire Des interviews d’auteurs et dessinateurs de BD historiques Des interviews d’opérateurs culturels (musées, châteaux, sites touristiques …) Des jeux historiques Et plein d’autres surprises tout au long de l’année Bref, Timeline, 5.000 ans d’Histoire va devenir - c’est notre souhait - votre référence incontournable en matière d’Histoire et de Patrimoine. Et tout cela pour le prix d’un café par mois, 2€. A partir de Septembre 2021 donc, vous devrez vous abonner, pour accéder à toutes ces nouveautés. Ce sera très simple, le lien sera dans la description des émissions, ou sur notre nouveau site, timelinepodcast.fr Alors, on se retrouve très vite Historiquement vôtre Richard Fremder

De l’ouverture de son premier salon, en Australie, à sa mort, suite et fin du récit concernant l’histoire fabuleuse d’Helena Rubinstein.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pionnière de la cosmétique moderne, Helena Rubinstein a bâti un empire industriel en quelques années en proposant des formules qui allaient changer la vie des femmes. Elle sera à l'origine de quelques-uns des plus grands succès de la cosmétique du XXe siècle, époque qui verra naître  l’institut des « soins de beauté ».  Une profession plus largement se spécialise dans l’esthétique physique, une unité nouvelle de pratiques et de produits se constitue. Helena Rubinstein illustre sans doute le mieux cette Révolution.  Quittant l’Europe pour l’Australie, elle invente une crème pour le teint à la fin du XIXe siècle, la Valaze, qu’elle complète par une série de produits de beauté, exploités ensuite dans un premier institut londonien en 1908 et dans un deuxième, à Paris, rue du Faubourg-Saint-Honoré, en 1912, avant d’essaimer aux États-Unis et à travers le monde. C’est cette histoire fabuleuse que nous vous proposons dans ce dernier épisode Timeline (en deux parties) avant les grandes vacances 2021 ;)

Né en 1770, Ludwig Van Beethoven aura côtoyé les plus grands, et restera à jamais comme le premier musicien sans mécène attitré, mais également le premier sans… perruque. Un détail ? Pas si sûr… Indomptable, il le sera toute sa vie, passionné de liberté et des idées des Lumières.  Pour en parler, qui d’autre que Jean-Claude Mory, ancien Régisseur Général de l’Opéra de Paris, passionné, et passionnant. Une émission d’1h30, qui aurait pu en faire le double…

Pour s’abonner, rien de plus simple, le lien est juste là : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant des décennies, l’histoire de l’esclavage s’est avant tout concentrée sur les formes gréco-romaines et précoloniales. Cette attention, quasi exclusivement portée aux mondes antique puis transatlantique a suscité de nombreux malentendus et tabous.  Du VIIe au XXe siècle, ce sont près de 20 millions d’hommes et de femmes qui ont ainsi été réduits en esclavage. La traite orientale et la traite transsaharienne ont fait l’objet d’un commerce dans nombre de pays arabo-musulmans, à destination de la péninsule arabique, de l’Afrique du Nord et du Moyen Orient. Bibliographie  - OLIVIER PÉTRÉ-GRENOUILLEAU, LES TRAITES NÉGRIÈRES - ESSAI D’HISTOIRE GLOBALE, 2004 - Tidiane N’Diaye, Le génocide voilé, 2008 - Joseph Cooper, Un continent perdu ou L'esclavage et la traite en Afrique, 1875 - Salah Trabelsi, « Travail et esclavage », Rives méditerranéennes - L'économie de l'esclavage en Méditerranée médiévale et moderne, 2016 - Murray Gordon, L’esclavage dans le monde arabe, VIIe - XXe siècle, Tallandier, 1987 - Les négriers en terre d’Islam, Jacques Heers, Tempus, 2003 Playlist Mozart l’Egyptien, concerto pour Oud et piano N°3, de Milan Natchev

Cette émission concerne toujours notre dossier sur l’Esclavage. Nous sommes dans les années 70 avant notre ère …  Comme partout ailleurs à cette époque, La société et l’économie romaines sont fondées sur l’esclavagisme. Rome constituant alors la plus vaste des puissances de l’époque, il n’y a rien d’étonnant à voir des esclaves de toutes origines sur le sol de l’Italie.  Sauf qu’une évasion va bouleverser cette organisation sociale, et cela pendant près de deux ans. En effet, un esclave Thrace défie Rome et provoque la troisième guerre servile. Son nom : Spartacus. 

Pendant plus de deux siècles, plusieurs milliers de jeunes femmes irlandaises sont envoyées dans des institutions censées leur donner une éducation et un savoir-faire conformes aux valeurs conservatrices et religieuses prônées par la société.  Mais la réalité est toute autre. Loin des promesses de vivre à l’écart des maux du monde extérieur, ces filles sont en réalité contraintes au travail forcé et aux maltraitance des religieuses.  Et dès les années 1990, de nombreuses victimes des couvents de la Madeleine témoignent des violences subies pendant plusieurs années, ce qui nous permet d’avoir connaissance de cette invraisemblable histoire pourtant réelle. Bibliographie :  - Maeve O’Rourke, Ireland's Magdalene Laundries and the state's duty to protect. Hibernian Law Journal, 2011. - Maria Luddy, Cliona Murphy, Women surviving, studies in Irish Women’s History in the 19th and 20th centuries. Poolbeg, 1989. - Susan Mumm, ’Not worse than other girls’: the convent-based rehabilitation of fallen women in Victorian Britain. Journal of Social History, 1996. pp. 527–547 Documentaire : Sex in a cold climate (1998), réalisé par Steve Humphries Rapport de la Commission interministérielle chargée d’établir les faits de l’implication de l’État dans les Laveries de la Madeleine, Ministère de la justice - Sénateur Martin McAleese, octobre 2020. Film : The Magdalen sisters, de Peter Mullan (2002)

Henry Chéron - que Clemenceau appelait « le Cid de Normandie » - fut l’un des hommes politiques les plus populaires et les plus intègres de sa génération. Pour autant, celui qui aimait se donner des allures plébéiennes, voire paysannes, fut parmi le personnel politique de l’époque celui qui fut la cible privilégiée des chansonniers et des caricaturistes. Il fut de ces rares hommes politiques à connaître une carrière aussi dense que longue. Grâce à Cédric Le Cannelier, nous pouvons sortir de l’ombre cet homme parmi les 631 ministres et 5663 parlementaires que connut la IIIè République. Playlist Prosper, Maurice Chevalier (1935)

Au départ, rien ne prédestinait la petite Sarah Breedlove à la vie extraordinaire qui l’attendait.  Mais ses ambitions sont grandes. Dès sa plus tendre enfance, ses envies d’épanouissement personnelle et d’ascension sociale sont déjà fortement présentes.  Cadette d’une famille d’esclaves, elle parvient alors à force de volonté et d’ingéniosité à monter un véritable empire de la cosmétique, sous le nom de Madam C.J Walker. Pour découvrir en vidéo son histoire, une série est disponible actuellement sur Netflix. Bibliographie :  - A’Leila Bundle, On her own ground : the life and times of madam C. J. Walker. 2001 - Penny Coleman, Madam C. J. Walker: Building a business empire. - TIFFANY M. GILL, Civic Beauty: Beauty Culturists and the Politics of African American Female Entrepreneurship, 1900—1965. Enterprise & Society , DECEMBER 2004, Vol. 5, No. 4, pp. 583- 593 - Caroline Rolland-Diamond, « New Negro (1915-1929) », Black America. Une histoire des luttes pour l’égalité et la justice (XIXe-XXIe siècle), La Découverte, 2016, pp. 73-133. - Stephanie Helen Weiss, “RACE WONDER WOMAN”: MADAM C. J. WALKER AND THE UPLIFT OF THE RACE, 1867-1919, University of Houston 2013 

Les historiens ont longtemps assimilé esclavage et servage, au point de penser que l’esclavage tel qu’il était pratiqué sous l’Antiquité avait disparu ... Or, il n’en est rien. Au contraire même ... En compagnie de l’historienne Sandrine Victor, auteur de l’ouvrage Les fils de Canaan, l’esclavage au Moyen-âge, nous revenons sur cette idée reçue. Pas de playlist, juste la chanson de Pierre Bachelet, Elle est d’ailleurs, habilement suggérée par un auditeur historique 😅

L’esclavage semble avoir été ignoré des sociétés primitives de chasseurs-cueilleurs, mais la sédentarisation des hommes, le développement de l'agriculture et par conséquent du commerce a ouvert la porte aux plus grandes atrocités. C’est en Mésopotamie qu’on trouve les plus anciennes traces écrites de l’esclavage.  Quatre millénaires nous séparent des premières tablettes sumériennes témoignant de ventes d’esclaves.  Depuis l'apparition des civilisations rurales jusqu'au XVIIIe siècle en Europe et jusqu’au XXIe, dans d’autres régions du monde, l'esclavage apparaît comme la forme la plus répandue de l'organisation du travail et la base de l’économie.  Sujet tabou, l’histoire de l’esclavage a été et est encore sujet à de nombreuses controverses... Nous revenons sur les vérités tirées des textes et des sources ! Bibliographie  - Solé, Robert. « 36. Une société idéalisée », , La grande aventure de l’égyptologie. sous la direction de Solé Robert. Perrin, 2019, pp. 291-296. - OLIVIER PÉTRÉ-GRENOUILLEAU, « LES TRAITES NÉGRIÈRES », ESSAI D’HISTOIRE GLOBALE. GALLIMARD, 2004 - Garlan Yvon. De l'esclavage en Grèce antique. Journal des savants, 1999, n° pp. 319-334 - Legras, Bernard. « Chapitre 4 - La population : les statuts juridiques et sociaux », , L'Égypte grecque et romaine. sous la direction de Legras Bernard. Armand Colin, 2004, pp. 60-80. - Les traites négrières, ou les limites d'une lecture européocentrique (Dans Revue d’histoire moderne & contemporaine 2005/5 (n° 52-4bis)), Olivier Pétré-Grenouilleau - L'esclavage dans la france moderne, Érick Noël - «  Commerce triangulaire et traite atlantique (XVe-XIXe), bibliographie pour l’article : Les traites négrières. Essai d’histoire global, Olivier Pétré-Grenouilleau;  - Atlas des esclavages, M.Dorigny et B.Gainot;  - Le commerce colonial triangulaire, XVIIIe-XIXe siècles, Raymond-Marin Lemesle;  - Le livre noir du colonialisme, M.Ferro - Napoléon, l’esclavage et les colonies, Jean-Claude Halpern - Esclavage : "La complicité de monarques africains est une donnée objective", selon l’anthropologue sénégalais Tidiane N’Diaye, Philippe Triay - Le génocide voilé, Tidiane N’Diaye - Des esclaves pour la liberté sexuelles de leurs maîtres (Europe occidentale, XIVe-XVIIIe siècles), Alessandro Stella 

Cette émission bonus est un add-on au livre « Napoléon à la plage », et surtout à l’émpisison précédente.  Il concerne un point important dans la stratégie de Bonaparte, la paix religieuse. Dès sa prise de pouvoir, Bonaparte sait que pour pacifier le politique, il faut pacifier le religieux, ce sera le concordat, en 1801.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo A l’occasion de la sortie de l’excellentissime (si si, on est très objectifs !) « Napoléon à la plage - un stratège dans un transat » de Richard Fremder, chez Dunod, Prem Carriou a reçu l’auteur (mais si, on a osé !) pour une discussion autour du français le plus connu du monde. Napoléon, pas (encore) l’auteur ;) Une discussion qui n’écarte pas les sujets qui fâchent (les sujets du moment), et qui revient su de nombreux aspects de Napoléon. Le livre n’est pas une biographie, mais un regard différend sur Napoléon. Il démontre que tout chez lui fut Stratégie. De ses mariages à sa mort, en passant par le militaire bien entendu...  Nous espérons que vous pardonnerez cette auto-promo, sérieuse mais, comme vous le voyez, ne se prend pas au sérieux. 

L'origine de cette ville, à la base, plus tard, d‘un immense empire, remonte au début du VIIIe siècle avant notre ère. Son récit transmis oralement de génération en génération, regorge de fables venues de contrées grecques, latines, ou encore étrusques. Avant l’époque impériale, pas moins d’une vingtaine de versions différentes de la fondation de Rome coexistaient. Toutes ont nourri ces récits d’anecdotes dont la véracité reste encore à prouver. Et il serait facile de les rejeter comme autant de contes pour enfants sans valeur historique. Mais force est de constater que pour Rome, comme pour les autres mythes fondateurs antiques, les légendes recèlent toujours une part de vérité. Forgés au cours des siècles, ces mythes façonnent l’identité des Romains. Si la dimension fantastique de la légende des fils de la louve n’est bien sûr pas à prendre au pied de la lettre, elle révèle surtout la façon dont les Romains ont pensé et écrit leur propre histoire au fil des siècles. Playlist - Rome, Main Title - Quo Vadis, Original - Gladiator, The might of Rome

Pour faire suite à l’émission sur la Tulipomanie, cet épisode bonus vous présente les conséquences de cette frénésie dans l’histoire de l’art ! D’où vient le mot « tulipe », comment et pourquoi fut-elle représentée dans les natures mortes, aurait-elle un rapport avec la Religion ? Autant de questions et de réponses dans cet épisode. Bibliographie - Vincent Brocvielle, Le Petit Larousse de l’Histoire de l’Art, Larousse, 2013 - Stephen Farthing, Tour sur l’art. Panorama des mouvements et des chefs-d'œuvre, Flammarion, 2016. - Thomas DaCosta Kaufmann, L’art flamand et hollandais, Belgique et Pays-Bas 1520 - 1914, Citadelles et Mazenod, 2002

On a tendance à dire que le premier Krach boursier qu’ait subi l’Occident était hollandais. Pourquoi ? Parce qu’il fut la conséquence d’une folle spéculation autour d’une « simple » fleur : la tulipe. L’impératrice des fleurs, comme on la nommait à l’époque, apparait aux yeux des hollandais comme l’objet à acquérir à tout prix. Objet d’apparat, symbole de richesse, le marché de la tulipe va rapidement virer à la Tulipomanie. Nous allons voir comment on est arrivé à une situation hors de tout contrôle, comment des fortunes furent faites et défaites, et surtout, d’où venait cette fleur devenue sulfureuse... Playlist : - La tulipe noire, de Gérard Calvi (musique du film avec Alain Delon) - Fanfan la tulipe, d’Alexandre Azaria (musique du film avec Vincent Pérez et Pénélope Cruz) - Dalida, le temps des fleurs Bibliographie : - Christian Chavagneux, « Une brève histoire des crises financières : des tulipes aux subprimes ». 2011 - Mike Dash, « La Tulipomania : l’histoire d’une fleur qui valait plus d’un Rembrandt », JC Lattès, 1999 - Henry Méchoulan, « Les vertus du marchand et de la marchandise », Amsterdam au temps de Spinoza. Argent et liberté, Presses Universitaires de France, 1990, pp. 73-122. - Les manies et les maniaques de ce siècle. I, La tulipomanie : Extrait de la Revue de l'académie de Toulouse, 1857 - Judith Lesnaw, Said Ghabrial, « Tulip Breaking: Past, Present, and Future », University of Kentucky, Lexington, 2000 Une émission préparée par Emmanuelle Alavoine 

La deuxième moitié du XIXe marque un bouleversement dans les télécommunications. Les campagnes de poses successives de 1857 à 1868 affirment les débuts de la télégraphie intercontinentale. Ces exploits témoignent des découvertes à la fois scientifiques, en ingénierie et maritimes. Tout cela rendu possible grâce à des paris financiers hors normes, d’investisseurs à qui rien ne garantissait un heureux dénouement. Et tout ne fut pas simple, comme nous allons le voir…

Grâce à Jean-Numa Ducange, Historien et maitre de conférence à l’Université de Rouen, et auteur de Marx à la plage  chez Dunod, nous décortiquons les notions clés définies par Marx : la lutte des classes, l'aliénation au travail, la dictature du prolétariat, le capitalisme, tout en retraçant « la vie d’un révolutionnaire », de son éveil politique auprès des « hégéliens de gauche » à la fondation de la première Internationale en 1864, en soulignant évidemment les périodes d’écriture d’ouvrages et de manuscrits.

Napoléon 1er est une personnalité exceptionnelle, son histoire l’est, et les mystères qui l’entourent également.  Dans l’Histoire, il y a des mystères, Jeanne des Armoises, le fameux Nandorff (le faux Louis XVII), plus tard des faux Napoléon et encore plus tard, Anastasia. Et bien, dans cette émission, nous allons parler de la fille de Napoléon, grâce au dernier livre de Bruno Fuligni ! Qui était-elle ? D’où venait-elle ? Et bien-sûr, était-elle bien la fille de l’Aigle ? Les réponses en compagnie de Bruno Fuligni, nous allons revenir sur cette histoire fabuleuse, véritable enquête historique :  La fille de Napoléon aux éditions Les Arènes

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo L’histoire de faits qui ont existé, sans jugement.

A partir de François 1er, le Royaume de France décide de se lancer dans l’aventure des grands voyages. Mais la grande majorité des terres ont été conquises, le monde se partageant entre deux grandes puissances exploratrices, l’Empire (avec l’Espagne comme chef de file) et le Portugal. Malgré tout, la France veut jouer un rôle. Y parviendra t-elle ?

La Tuberculose (ou encore Phtisie, ou Peste blanche) est vieille comme le monde. C’est l’un des plus grands Serial Killer de l’Histoire. Encore aujourd’hui, ce sont plus d’1,5 millions de morts dans le monde chaque année ... Or, depuis les temps préhistoriques, les momies d’Egypte, l’Antiquité, etc... cette épidémie rôde et est à la fois le témoin de l’Histoire, mais aussi le vecteur de bouleversements sociaux, intellectuels et sanitaires importants. Une émission qui coïncide à la fois avec la crise sanitaire mondiale, et surtout avec le centenaire de L’Union, ancien UICT (Union Internationale contre la Tuberculose), précurseur de l’OMS.

A l’occasion de la sortie de l’excellent « Landru, l’élégance assassine », écrit par Bruno Fuligni, j’avais envie de revenir sur cette histoire, mais, comme l’a fait l’auteur, en suivant cette fois le vrai héros, Jules Belin, l’inspecteur qui a enquêté et arrêté le dénommé Landru, le Barbe-Bleu de Gambais.

1870... Annus horribilis pour la France ... La guerre, la défaite, l’occupation, la Commune, autant de troubles qui empêchent la science d’avancer ... Pourtant la France se relève, panse ses plaies, rêve de revanche dans un antigermanisme primaire mais compréhensible... Pasteur n’échappe pas à son époque nous allons le voir. Pour lui, la Science doit apporter la gloire et la fierté pour son pays. Nous allons donc suivre ensemble cette France d’après-guerre, les progrès de l’hygiène et, dans le même temps, les travaux les plus célèbres de Louis Pasteur, sans oublier sa lutte franco-allemande à lui, face à un redoutable confrère tout aussi brillant, l’allemand Koch. Dans cet épisode nous allons découvrir que ce créateur de sciences a su habilement communiquer et s’entourer de disciples, au sein d’une structure alors novatrice, le laboratoire. L’une de ses contributions majeures fut ainsi d’organiser la recherche avec une dimension entrepreneuriale...

Il existe de nombreuses théories sur l’identité de Jack l’Éventreur. Dans ce second épisode, nous terminons avec les derniers meurtres, et, en conclusion, un regard sur 2 théories. L’une absurde, l’autre ... A voir ;) Playlist musicale : - La bande son du téléfilm « Jack l’Eventreur » avec Michael Caine - Fin d’émission : Soundtrack « From Hell »

Pour s’abonner, rien de plus simple, le lien est juste là : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette émission, je ne vais pas vous proposer de découvrir qui est Jack l’éventreur, mais je vais revenir sur tous les mythes, reprendre l’histoire avec les faits tels qu’ils se sont réellement passés, car aujourd’hui nous avons quand même pas mal avancé... Et d’emblée, pour commencer - Il n'y a jamais eu de brouillard lors des meurtres, et la deuxième victime a même été assassinée en plein jour - Les lettres signées « Jack l'Eventreur » n'ont certainement pas été écrites par le meurtrier, mais par un journaliste - Ni le duc de Clarence, ni aucun membre de la famille royale, n'était Jack l'Eventreur - Mary Kelly n'était pas enceinte - Les dossiers de Scotland Yard n'ont pas été classés pour des raisons mystérieuses, et on peut les consulter depuis de nombreuses années

Dans cet épisode, nous abordons un Louis XIV empreint de prétentions, tant pour lui-même que pour le Royaume. Une prétention qui lui fera commettre une faute, la Guerre de Hollande. Bibliographie - L’ouvrage (accessible gratuitement sur Galica) de LEGRELLE (La Diplomatie française et la Succession d’Espagne, Paris, 1888, t. I). - Paul SONNINO, Louis XIV and the Origins of the Dutch War - JC PETITFILS, Louis XIV : Le Métier de roi. Perrin ‒Tempus. 2019 Playlist audio - Age of Empire, Ready for Battle - Civilization V, Spain (the industrial era - Sun, Thomas Bergersen

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo - la petite bédéthèque des savoirs des éditions le Lombard https://www.lelombard.com/incontournable/la-petite-bedetheque-des-savoirs - le site ‪footballia.net‬, plus de 17 000 matchs de football en intégralité et gratuitement disponibles - Le Patrimoine pour les petits (et les grands !) https://eduscol.education.fr/histoire-des-arts/actualites/actualites/article/une-education-au-patrimoine-par-le-numerique.html - Les Grandes Dates de la Seconde Guerre Mondiale en Couleur, sur Netflix

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cet épisode, - L’UMA (Universal Museum of Art) sur les Chats https://uma-expo legacy.s3.amazonaws.com/cats_in_art_history/index.html#/cats_in_art_history/ - Une lecture d’un article de Sciences et Vie sur l’ADN retrouvé d’un dinosaure - Catherine Kikuchi sur Twitch https://www.twitch.tv/videos/604027035 - La visite comme si vous y étiez de la Grotte Chauvet https://youtu.be/7iLsSswmsN8

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Nous avons vu lors des 3 épisodes précédents comment les forces réunies des corps sociaux et l’anarchie des Grands avaient failli ôter à la monarchie sa raison d’être. Elle allait devoir coûte que coûte reconquérir sa légitimité, au moment du règne personnel de Louis XIV. Gouverner seul, n’est-ce pas justement le propre de cette fameuse monarchie absolue ?  Mais pour montrer sa puissance, il faut avoir la puissance. Et parfois, il faut le montrer, frapper fort.  Dans cet épisode, je vous emmène découvrir la chute de Fouquet, nous verrons la puissance de Colbert, et comment le roi finalement acquiert puissance et gloire, dont Versailles est en fait la parfaite synthèse.  Enfin, en guise de bonus, nous irons à Versailles, pour une découverte pas comme les autres, une découverte plaisir... la Maison Bonange.  BIBLIOGRAPHIE  - Ragnhild HATTON, L’Époque de Louis XIV  - Ragnhild HATTON, Louis XIV et l’Europe : éléments d’une révision historiographique, XVIIe siècle  - Jean MEYER, Le Poids de l’État  - Joël CORNETTE, Absolutisme et Lumières, 1652-1783  - Joël Cornette, Le roi de guerre - Jean Meyer, La France Moderne (1515 à 1789), Fayard  - Jean-Pierre Labatut, Noblesse, pouvoir et société en France au XVIIè siècle  PS : Une erreur dans mon récit, bien entendu Vatel n’est pas mort à Vaux-le-Vicomte pendant la visite de Louis XIV ... Je me suis un peu emporté là ;)  Richard Fremder

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo - L’association les Somatophylaques qui propose des lives facebook de questions-réponses sur l’histoire grecque, mais aussi des lives Facebook d’entrainement physique en mode hoplite pendant le confinement : https://www.facebook.com/Les-Somatophylaques-369335466520892/ - Les musées de la ville de Paris : http://parismuseescollections.paris.fr/fr - La série des livres Les rois du monde, le récit romancé de la vie d’un guerrier celte du VIe siècle avant notre ère : https://www.amazon.fr/Rois-monde-Même-Monde/dp/2070457745/ref=nodl_ - Une expérience immersive dans des tableaux, Art Plunge : https://youtu.be/sWc7_pc9fRY

En hommage à Michel Hidalgo, les années exceptionnelles de l’Equipe de France, les épisodes surréalistes, les matchs incroyables, les larmes, de tristesse et de joie, et enfin, la délivrance, le premier trophée majeur, celui de Champion d’Europe des Nations.  Cet épisode relate l’histoire d’une génération dorée, à qui il n’a manqué qu’une chose, le plus beau des trophées...

🙏 Pour vous abonner, il suffit de cliquer sur le lien suivant : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Chaque semaine, nous vous proposons les meilleurs Plans Culture pour sortir ... sans sortir, ou en sortant quand même mais ... enfin bref ... Un jour nous pourrons remettre le nez dehors. Dans ce premier épisode, Prem et Richard vous proposent - la bande-dessinée « Les Indes Fourbes », de Guarnido et Ayrolles - le jeu vidéo « We. The Revolution. » - 1700 pièces de musées numérisés en accès libre ! Lien : Sciav.fr/878modeles - « Victorian Farm », sur YouTube Sortez couverts !

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo De la naissance de l’Equipe nationale à la professionnalisation, des valises de buts encaissés à la première victoire contre les anglais, la première Coupe du Monde en Uruguay, et bien sûr 1958, cette émission retrace toute l’épopée de nos bleus du ballon rond. Emission pour les amoureux du foot, parce que parfois ça fait du bien de se souvenir et de se rappeler des grands moments. Dans ce premier épisode, nous allons jusqu’à 1977, avant la Coupe du Monde en Argentine. Une émission en l’hommage d’un immense Monsieur, Michel Hidalgo, parti il y a quelques jours...

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Cette émission parle de la Belle Epoque, en l’abordant d’une façon différente de d’habitude, au travers d’un jeu de rôle, Les Héritiers. Pour nous en parler, j’ai eu le plaisir de recevoir Vincent Blanchard (par téléphone), historien, Fabien Clavel, romancier, et, Prem Carriou, grand connaisseur devant l’Eternel des Jeux de rôle. Une émission pour tous, pour nous sortir un peu d’un quotidien vérolé, qui séduira à la fois les accrocs du jeu de rôle comme les néophytes (dont je fais partie !). Nous l’avons voulue accessible, distrayante, et pédagogique ! Rien que ça ;)

Le temps est venu de réaffirmer haut et fort la puissance restaurée de la monarchie, et cela dans tous les domaines, arts, littérature, musique, peinture, sculpture, architecture.  Louis XIV se rend compte que le cadre royal doit être éclatant et magnifique. L’installation de Louis XIV et de sa famille au Louvre en sera l’occasion. Dans cet épisode, nous voyons les premiers pas réels du roi, jusqu’à sa prise de pouvoir personnelle...  BIBLIOGRAPHIE  - Lucien BÉLY, Les Relations internationales en Europe. XVIIe-XVIIIe siècles, Paris, 1992   - Michèle FOGEL, Les Cérémonies de l’information dans la France du XVIe au XVIIIe siècle, Paris, 1989

La Fronde (ou Les Frondes en vérité) est une guerre civile.  Son bilan est accablant... Ruine des provinces, dû aux comportements des gens de guerre, des deux camps. Les troupes dévastatrices rançonnaient, pillaient, saccageaient, incendiaient villes et villages, violaient filles et femmes, éventraient ou mutilaient paysans et bourgeois. Les récoltes, le bétail, les semences, tout était gâté, détruit, volé.  Selon les études démographiques récentes la population française serait tombée de 20 à 18 millions d’habitants... en 10 ans.  C’est cet épisode crucial dans la vie de Louis XIV que nous abordons ici.  Bibliographie  - Lexique historique de la France d'Ancien Régime, Guy Cabourdin, Georges Viard, chez Armand Colin  - E. LE ROY LADURIE, L’Ancien Régime, de Louis XIII à Louis XV, 1610-1770, Paris, 1991   - Louis XIV, François Bluche, Fayard  - La France moderne, de Jean Meyer, chez Fayard  - Louis XIV, Jean-Christian Petitfils

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo De temps en temps, nous vous proposerons, au gré de nos lectures, de nos rencontres, des bonus pouvant vous donner envie de vous pencher plus avant sur des ouvrages, des jeux, des BD...  Aucun sponsor, aucune obligation de rien, simplement des coups de coeur !  Pour cette première, nous avons eu la chance de rencontrer Christine Goguet, pour son ouvrage « Les Grands Hommes et Dieu », aux éditions du Rocher.  13 grands personnages, hommes et femmes, qui ont pour point commun leur rapport à Dieu (plus que la religion).  Une sorte de plongée dans leur intimité. Christine Goguet est journaliste et écrivain, et par ailleurs directrice de la mission Mécénat et Partenariats du Centre des Monuments Nationaux.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Une très longue introduction pour bien comprendre quelle est la situation du Royaume de France à la mort de Louis XIII, et au début de la Régence d’Anne d’Autriche. Une introduction nécessaire pour comprendre d’où vient la Fronde, avant d’entrer véritablement dans le vif du sujet. La Fronde, une crise générale du régime et de la société, aux conséquences démographiques, économiques, sociales et culturelles durables, une crise qui représente un moment crucial de l’évolution de la France... BIBLIOGRAPHIE Roland MOUSNIER, Les Institutions de la France sous la monarchie absolue, 1598-1789, t. I, Paris, éd. de 1990  Denis RICHET, De la Réforme à la Révolution. Études sur la France moderne, Paris, 1991

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo BD - Un Pape dans l’Histoire - Jean-Paul II, chez Glénat - Retour de Flammes (Tome 1) : Premier Rendez-vous, chez Glénat - Il était une fois en France, chez Glénat Enfants - 150 événements faits et histoires (La Rome antique, L’Egypte antique, Les chevaliers, ...), chez Maxilivres Livres - Les affreux de l’Histoire, sous la direction de Bruno Fuligni, chez First Editions - Pourquoi la Science c’est pas sorcier, chez Marabout - La traversée de la nuit, Geneviève de Gaulle - Anthonioz, chez Points - Thérèsia / Robespierre, de Thérèse Charles-Vallin, chez La Bisquine Films - Les deux Papes, Netflix

L’action dont nous allons parler, se passe dans un après-midi de mai, ensoleillé, à Paris, à deux pas des Champs Elysées, rue Goujon, une rue qui existe encore aujourd’hui.  Nous allons parler d’un événement qui va durer en réalité un petit quart d’heure, mais un quart d’heure d’horreur.  1897, ce qui est considéré comme un divertissement de foire, le cinématographe, va être à l’origine de la tragédie, qui va faire plus d’une centaine de morts et qui aurait pu signifier, en plus, l’arrêt définitif de cette invention.  Une émission qui suit la diffusion de la série française « Le Bazar de la Charité », sur TF1, sur laquelle, historiquement parlant il y a beaucoup à dire.  Pour en parler, l’historien Bruno Fuligni, auteur, entre autre, de l’ouvrage « L’incendie du Bazar de la Charité », aux éditions de l’Archipel.

C'est au VIIIe siècle que l'on a pris l’habitude de dater les événements historiques à partir de la naissance du Christ. La naissance du christianisme et son développement qui sont l’objet de cette émission, apparaissent après la mort du Christ, c’est-à-dire aux environs des années 30.  Le christianisme parvient à un premier apogée lorsqu’il devient religion d’État en 392. Mais cette date a une importance politique bien moindre que celle de 451 qui voit, avec le concile de Chalcédoine, s’achever l’essentiel de la formulation du dogme de la Sainte Trinité. Pour cette émission, nous nous nous arrêterons au Concile de Nicée, en 325.

Juin 1944, Buchenwald, en Allemagne. Derrière les barreaux, deux hommes côte à côte, et face à face : Léon Blum, fidèle de Jaurès et chef du Front populaire et Georges Mandel, ancien collaborateur de Clemenceau, et ancien ministre.  La mort immédiate s'annonce, pour l'un d'entre eux…  L'intensité de leur dialogue se nourrit de cette angoisse, de leurs mémoires contrastées, de leurs tempéraments opposés, de leurs pudeurs bousculées, de leurs connivences révélées.  Ils nous parlent de la République, au cœur de ses contradictions et au plus haut de sa dignité.   Lequel survira ?  C’est le thème de la pièce « L’un de nous deux", jouée à Paris, au Théâtre du Petit Montparnasse (depuis fin 2019). En compagnie de Christophe Barbier, qui joue Georges Mandel, nous revenons sur cet épisode, et surtout sur Mandel, l’un des oubliés de notre Histoire.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Les pièces de Molière sont connues dans le monde entier, des millions d'écoliers ont appris - et continuent d'apprendre ? - ses vers, et le français est appelé "la langue de Molière", comme il y a la langue de Shakespeare pour l'anglais, la langue de Goethe pour l'allemand ...  Mais alors, pourquoi Molière n'est pas au Panthéon ?  C'est l'un des combats que mène Francis Huster, qui vient de sortir "Molière mon dieu" aux éditions Dunod.  Dans cette discussion, où le verbe et la langue sont magnifiés par cet immense comédien qui connaît si bien Molière, il nous raconte qui est Jean-Baptiste Poquelin, quel est son théâtre, pourquoi il fut si important au point qu'on puisse parler de "disruptif" à son égard.  N'oubliez pas la pétition, à laquelle Timeline s'associe pleinement : www.dunod.link/moliere-pantheon

Les histoires d'amour finissent mal... en général, et cette histoire ne fait pas exception à la règle.  Lui est archi connu dans le monde entier, c'est Henri de Toulouse-Lautrec. Elle, c'est Suzanne Valadon, très connue des amateurs de peinture mais moins du grand public. Il vient d'une famille noble et riche, elle vient de la rue. Cette rue, c'est Montmartre, en cette fin de XIXè siècle, Montmartre, le 3è personnage de cette histoire. Cette histoire, nous allons la découvrir en compagnie de Yonnick Flot, auteur de "Lautrec / Valadon, Montmartre Belle époque (https://www.amazon.fr/Lautrec-Valadon-Yonnick-Flot/dp/B07T4MSM5K)", aux éditions La Bisquine.

Parmi les grands noms français, de diverses catégories, dont le monde se souvient, il y a Lully, Pierre Cardin, Yves Montand, Napoléon, Emile Zola, Platini, etc...  Eh bien, aucun des noms cités ici n’est réellement français. Ils sont tous italiens d’origine évidemment... La France et l’Italie sont à la fois tellement différentes et tellement proches que leurs histoires sont entremêlées, et que bon nombre de nos grands hommes et femmes sont italiens. En tous cas, bon nombre d’italiens ont fait la France, c’est le thème de l’ouvrage Ti Amo Francia, écrit par Alberto Toscano, invité de cette émission.

Charles-Louis Schulmeister a fasciné tant ses contemporains que les historiens, mais souvent pour de mauvaises raisons. Etait-il vraiment un James Bond avant l'heure ? Pourquoi n'avons-nous pas beaucoup de sources à son sujet ? Qu'en était-il de l'espionnage sous le premier Empire ? Les réponses dans cette émission, avec en tâche de fond cette série des années 70 avec Jacques Fabri et Roger Carel. Pas toujours historiquement juste mais tellement attachante...

En trois siècles, entre 1050 et 1350, près d’une cen­taine de cathédrales a surgi de terre en France.  Comme l'a écrit Raoul Glaber : "c’était comme si le monde entier se libérait, rejetant le poids du passé et se revêtait d’un blanc manteau d’églises". En compagnie de Sandrine Victor, maître de conférences en histoire médiévale à l'Institut national universitaire Champollion d'Albi et grande spécialiste de l'histoire économique et sociale des métiers de la construction au Moyen Âge. 

Pour mieux gouverner un ensemble aussi étendu que l’Empire (jusqu’à 130 départements) que divers, la simplification des lois et de la géographie est primordiale, autant que d’encadrer strictement la transmission des ordres et leur exécution.  Ainsi, le préfet devient le pivot du nouvel édifice napoléonien dont la base est le maire.  Ce sont donc cent trente préfets, quarante mille maires, tous nommés, qui vont former l’ossature de la France sous le Consulat, l’Empire, et dont certaines institutions perdurent encore. Comment, avec qui, pour combien de temps encore, autant de questions auxquelles cette émission répond, à l’occasion du 250è anniversaire de la naissance de Napoléon Bonaparte (et non tricentenaire comme le dit Richard toujours aussi « envolée lyrique » :) ). En toute fin d’émission, nous serons en ligne avec l’ami Ugo Bimar, pour aider un projet d’Histoire auquel il participe : Occitanie, la bataille oubliée : https://m.youtube.com/watch?v=AXAcENUfyEs (https://m.youtube.com/watch?v=AXAcENUfyEs)

Il était une fois un italien, qui a traversé le XXè siècle. Un homme simple et courageux, qui s’est engagé dans le sport sans fermer les yeux sur les problèmes de son pays. Quand les événements et les tragédies de la Seconde guerre mondiale l’ont mis devant une alternative, engagement ou aveuglement, il a choisi la première. Cet homme, c’est Gino Bartali, l’un des plus grands - si ce n’est LE plus grand - champion cycliste italien, qui n’a pas hésité à prendre des risques pour sauver des vies. Une émission rendue possible grâce au livre et à la présence de son auteur, l’immense Alberto Toscano. Une émission qui nous fait découvrir un sportif avec des valeurs humaines, et par les temps qui courent ... ;) 

Pour ce dernier épisode, nous décryptons l'arrestation (ses raisons politiques et non religieuses), la flagellation, et bien sûr la crucifixion. L'angle historique permet de revenir sur des images d'Epinal. Un épisode à ne pas mettre entre toutes les oreilles, nous n'épargnons aucun détail. 1h30, une émission fleuve ...

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Emission spéciale pour l’été, quelques petits conseils de lecture (BD, romans) et autres produits étonnants. Voici la liste de BD : - L’Ange de Budapest (chez Glénat) - L’Abolition (chez Glénat) - Cuba 1961, La baie des cochons (chez Comicx Buro) - Pékin 1964, La Chinoise (chez Comix Buro) - Un Pape dans l’Histoire - Léon le Grand (chez Glénat) - Un Pape dans l’Histoire - Saint Pierre (chez Glénat) - Liberty Bessie, un pilote de l’Alabama (chez Glénat) - 1789 - La mort d’un monde (chez Glénat) - 1789 - La naissance d’un monde (chez Glénat) - Ah ça ira - Le pain et la poudre (chez Delcourt) Voici la liste des romans : - Un vélo contre la Barbarie, d’Alberto Toscano - Marx à la plage, Jean-Numa Ducange - Proust à la plage, Johan Faerber - Kant à la plage, Francis Métivier - Fils de Rabelais, Valéry de Changy Cahier de vacances Jules et Léonie - www.julesetleonie.com Bonnes vacances, Timeline reste ouvert pendant tout l’été !

A la fin du XIXe siècle, trois français vont radicalement changer les méthodes d’enquêtes de la police. Leur nom : Alphonse Bertillon, Alexandre Lacassagne et Edmond Locard. Ils vont tout simplement mettre en place les bases de la police technique et scientifique.  Dans cette émission, grâce à Philippe Marion, chef de la section physique-chimie du laboratoire de Lille à l’Institut National de Police Scientifique, et auteur du livre « Petites Histoires de la police technique et scientifique », nous allons revenir sur des enquêtes qui sont très révélatrices des progrès de l’époque, tout aussi bien que des déboires et des tâtonnements de ce qui allait devenir une science... 

Cette fois nous accompagnons Jésus de son baptême par Jean Baptiste jusqu'au sermon/discours sur la montagne et l'épisode de la multiplication des pains.  Dans cet épisode, je prononce "Sabbat", il faut bien sûr entendre "Shabbat", j'espère que vous pardonnerez cette erreur de prononciation ... Cette partie est importante car elle revient sur la façon d'être du personnage, y compris ses "coups de gueule", son enseignement, dont certains messages faisaient référence à des temps très reculés, et où chaque mot, chaque chiffre inscrit dans les textes a une importance qu'il faut décrypter.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Point de critique religieuse ici, uniquement une remise dans le contexte historique et politique d'un personnage, qui a marqué l'Histoire. Ce premier épisode, paradoxalement, parle peu de Jésus lui-même. Il est une introduction nécessaire au contexte historique, politique, et cultuel. Sans ces bases, il est plus compliqué, plus hasardeux de chercher à comprendre le Jésus de l'Histoire. Son arrivée, pourquoi il a été suivi, son enseignement ...  Dans cet épisode, nous revenons donc sur les sources, sur le pays et sa récente romanisation, l'hellénisme de certains, Jean Baptiste, et bien-sûr, Jean l'Evangéliste, qui est une source historique importante. Car cette émission ne saurait exister sans les découvertes archéologiques des 50 dernières années, venues corroborer cette source privilégiée. Comment ? Pourquoi ? C'est ce que vous allez entendre dans un instant ;) 

Dernier acte de notre série, et dernier acte également pour le roi. Retour sur la démarche juridique qui a conduit à son exécution le 21 janvier 1793.

Des journées d'Octobre 1789 à la prise des Tuileries en 1792, trois années terribles pour le Royaume de France. Entre un roi indécis, même si courageux, une Assemblée de plus en plus dépassée par les événements, et l'arrivée d'un nouveau pouvoir, celui de la rue, retour sur ce que certains ont appelé la 2è Révolution française.

Gabriel Loire, maître-verrier du 20ème siècle, a réalisé en l’église de Kervignac l’un de ses plus beaux chefs-d’œuvre...  Grâce à Alain Rocard et son merveilleux ouvrage, "Les vitraux de Gabriel Loire à Kervignac, de verre, de lumière et de foi", nous en apprenons plus sur cet homme, ses techniques, et surtout, sur le chef-d'oeuvre breton de la petite ville de Kervignac. Acheter ce livre (https://www.amazon.fr/Vitraux-Gabriel-Loire-Kervignac-Lumi%C3%A8re/dp/B07CNC25BV/ref=sr_1_2?ie=UTF8&qid=1553789943&sr=8-2&keywords=alain+rocard), et en même temps faire une bonne oeuvre pour l'Association pour la promotion des Vitraux de de Gabriel Loire à Kervignac (https://www.vitraux-gabriel-loire-kervignac.fr/une-association-avglk/) 😀  

Second épisode, sous forme de récit, de la vie de François Vidocq, c’est sa grande période de Chef de la Brigade de Sûreté, à Paris. C’est la période qui a fait sa légende. Il a ainsi connu l’Empire, la Restauration, Charles X ... jusqu’à l’arrivée de Louis-Napoléon Bonaparte. Avec lui, on suit le Paris underground, avec la grande Histoire en parallèle. Inventeur de plusieurs procédés anti-falsification de documents, inventeur également de l’agence de détectives privés, Vidocq a également été au coeur de chefs-d’oeuvre de la littérature française. Vous voulez en savoir plus ? 

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Vidocq, aventurier, forçat évadé, policier, détective privé, inventeur, une seule émission n’aurait pas suffit à entrer complètement dans la vie et la carrière de ce personnage hors du commun, qui a connu la Révolution, l’Empire, la Restauration, jusqu’au Second Empire. Avant d’être le chef de la Sûreté, un policier exceptionnel, il a connu des années de galères, des années qui l’ont forgé, qui lui ont permis de devenir LE Vidocq que tout le monde connaît. Ce premier épisode revient sur la première partie de sa vie, celle qui l’a menée au bagne, d’où il s’est évadé.  La Playlist  Générique « Les nouvelles aventures de Vidocq », série avec Claude Brasseur, 1971 Soundtrack « La grande évasion », film avec Steve McQueen, 1963 Soundtrack « L’empereur de Paris », film avec Vincent Cassel, 2019

Une émission consacrée à un homme, à une idée, à un parcours, à un leg hors du commun, Auguste Escoffier, roi des cuisiniers, cuisiniers des rois et des empereurs. Nous allons plonger dans l’art culinaire, la gastronomie à la française, et pas par hasard, puisque les Editions Glénat viennent de sortir une BD qui se dévore au sens propre et figuré, sur la vie d’Escoffier. Nous recevons donc l’un des auteurs, Rutile / Maéva (que nos auditeurs connaissent déjà pour être venue nous parler de la cuisine de Louis XIV), et l’illustrateur, Frédéric Charve, pour une émission à déguster sur le bout des doigts ... et des oreilles ;)

Avec cette troisième (et dernière) émission sur L’Affaire, en compagnie de Philippe Oriol, l’historien spécialiste qui a consacré plus de 20 ans de sa vie à ce dossier, nous faisons une mise au point définitive sur le sujet ... jusqu’à ce que de nouveaux documents apparaissent, et changent la vision historique ... ce qui paraît improbable malgré tout. Grâce à Philippe Oriol, c’est à un véritable travail historique auquel nous nous sommes livrés, en revenant sur la théorie intellectuellement excitante d’Adrien Abauzit (« coupable mais pas traître ») de l’émission précédente.  Et qu’on se le dise, Philippe Oriol, co-fondateur de la Société Internationale d’Histoire de l’Affaire Dreyfus, n’est pas un historien dreyfusard. C’est un historien tout simplement. Et sacrément passionnant !  

« L’Affaire » comme on dit, n’a pas fini de nous hanter, tant le dossier est compliqué.  Si une multitude d’ouvrages existe, du plus large au plus précis, peu en revanche apportent un éclairage différent de « l’histoire officielle ».  Et surtout, était-ce réellement utile de remuer une affaire jugée, rejugée, amnistiée, grâciée puis finalement disculpée ?  Normalement non. Et pourtant, à la lecture de l’ouvrage d’Adrien Abauzit « L’Affaire Dreyfus, entre farces et grosses ficelles », qui a épluché "l’intégralité" des procès (y compris celui de Zola), certains éléments peuvent amener au fameux « doute raisonnable »...  Après beaucoup de relecture, de « fact checking » (comme on dit de nos jours), nous avons décidé d’inviter l’auteur, afin qu’il nous présente ses conclusions pour le moins intéressantes.  Et si finalement Alfred Dreyfus avait bien écrit le fameux Bordereau ?  Et si en plus il n’avait pas été un traître pour autant ?  Pourquoi certains documents invraisemblables ont été pris comme pièces maîtresses du procès de Rennes ?   Dans cet épisode hypra sensible, nous sommes restés uniquement sur les faits et les pièces des procès, pour lesquelles chacune et chacun pourra se faire une opinion ...   Nous ne détenons aucune vérité, nous ne prétendons pas ici influencer les auditeurs, simplement informer qu’il existe une autre version, que l’on a le droit de se poser des questions, et que, même si finalement la conclusion est erronée,  le doute aura permis de creuser la question, et d’en apprendre davantage ... 

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo C’est l’émission de l’année dans laquelle l’équipe de Timeline et ses invités vous proposent leurs coups de coeur et leurs coups de gueule sur les livres, films, séries, BD, et jeux vidéos, à caractère historique bien sûr. Dans cet épisode, ils sont 3 à accompagner Richard dans cet exercice, sans concession vous allez le voir : Pauline Guéna, historienne, co-rédactrice du blog Actuel Moyen-Âge, Ugo Bimar, passionné d’Histoire et auteur du fabuleux Confessions d’Histoire sur YouTube, et Prem Carriou, que nous ne présentons plus 😅 Une émission très longue, où finalement nous entendons disserter historiens et passionnés sur des médias plus ou moins bons en terme de contenu.  Autant de conseils qui pourront vous servir pour vous faire offrir, ou offrir vous-même un cadeau à vos amis, y compris à vos ennemis, il y en a pour tout le monde...  Et puisque c’est Noël, n’oublions pas les Goodies Confessions d’Histoire (https://shop.spreadshirt.fr/confessionsdhistoire)

Paris, capitale du Royaume de France... Aux alentours de l’an mil, Paris comptait plus de 100.000 habitants, quand Londres n’en dénombrait que 30.000...  Qu’est-ce qu’une ville médiévale ?  A quoi pouvait ressembler Paris au Moyen-Âge ? Quelles populations ? Quels métiers ? Quelles problématiques ? Pour aller plus loin ne manquez pas le DVD du Paris médiéval reconstitué en images de synthèse, un texte de Richard Fremder : http://www.grezprod.com/docu-pomafilo.html

Dans la nuit du 27 avril 1796 (qu’on appelait le 8 Floréal an IV), la malle-poste du courrier de Lyon est attaquée à une lieue de Melun, par 4 hommes et la somme faramineuse de 7 millions de livres en assignats est dérobée. Elle était destinée à l’armée d’Italie. De simple fait divers, l’affaire du Courrier de Lyon, aboutit au procès de six hommes parmi lesquels - a priori - cinq seulement sont coupables. Elle devient emblématique de l’erreur judiciaire condamnant à mort un innocent, Joseph Lesurques. 

Grâce à Daniel Chocron, historien du cinéma, nous revenons sur cette période où dès 1933 et l’arrivée des Nazis au pouvoir en Allemagne, le cinéma a été utilisé comme outil de propagande. Une propagande pour la cause, subtile au début, beaucoup plus prononcée par la suite.  On serait surpris du nombre impressionnant de production cinématographique à cette période, et, également par le (faible) nombre de films clairement antisémites. Faible ici est à prendre au sens où l’on s’attendrait à ne trouver qu’une production essentiellement tournée sur cette propagande.  Une période à connaître, peu étudiée, avec la question philosophique (ou sociologique) sous-jacente : peut-on dire qu’une oeuvre est belle, au sens artistique, esthétique, en faisant abstraction du contenu et du message véhiculé ? Emission en Live (la vidéo est ici (https://www.facebook.com/Temporium/videos/2252191525014378/)), le volume des 17 premières minutes est un peu plus faible, avec nos excuses. 

Face à une situation sociale, politique et financière catastrophique, Louis XVI se voit contraint de convoquer les États Généraux, cette assemblée des trois ordres – clergé, noblesse et tiers état – qui seule peut décider de la levée de nouveaux impôts et engager la réforme du pays. Mais rien ne va se passer comme prévu. C’est le début de la « captivité » d’un roi de plus en plus esseulé, coupé de son peuple par un « cordon sanitaire » mis en place par des opposants. Ce dernier épisode de la série « Louis XVI et la révolution » nous conduira jusqu’au retour du roi à Paris, en octobre 1789. Il s’est passé tellement de choses en une seule année que cette émission dure près de 2h… La playlist audio de l’épisode : - Comédie musicale La Révolution française, « Charles Gauthier » - Révolution française, Opéra Rock, « Français, français » - Les Années Lumières, « Hymne à la Liberté », Jessye Norman, Georges Delerue

Dans cet épisode, retour sur les tentatives royales et ministérielles de réformer un pays à bout de souffle et exsangue financièrement parlant. Au bord de la banqueroute, de la faillite, le royaume n’a plus le choix. Réformer ou mourir. Mais des luttes intestines, des lobbys, des manoeuvres en sous main ont tôt fait d’enrayer toute évolution. Des changements, oui, mais chez le voisin ... Ce deuxième épisode montre l’inexorable chemin vers la Révolution, une Révolution que l’on devrait faire débuter réellement en 1787...

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pour accompagner (revenir dessus surtout !) la sortie du film « Un peuple et son roi », il fallait aborder la Révolution en commençant par le contexte, les forces en présence, notamment au niveau populaire. Contextualiser la révolution, sans l’idéaliser ou la juger, revenir sur Louis XVI, et reconstruire une statue plus proche du personnage réel, c’est le travail que nous avons souhaité faire, en dépassionnant le débat. Ce premier épisode aborde la Révolution en essayant de ressentir l’époque, l’ambiance, et montrer que le 14 Juillet n’éclate pas dans un ciel serein. Dans le prochain épisode, nous aborderons l’aspect politique et la confrontation des idées et des hommes en place. Le tout accompagné par la superbe musique de Georges Delerue…

Faire de l'Histoire avec les Tontons, comprendre les dialogues cultissimes qui n'ont pas été écrits par hasard ... Film culte, apprendre et se se détendre, on est bien dans la culture plaisir !

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Lorsqu'il accueille le roi de Yougoslavie Alexandre Ier à Marseille, le 9 octobre 1934, Louis Barthou, ministre des Affaires Étrangères, projette un « pacte oriental » réunissant la France, le Royaume-Uni, l'URSS, la Pologne, la Yougoslavie, et pourquoi pas l'Italie de Mussolini, afin de contrer Hitler, en qui il voit déjà le danger qui se profile. Seulement le roi avait, sans le savoir, programmé son arrêt de mort dès 1918… Un peu comme François-Ferdinand en 1914, cet attentat va ouvrir la voie à la Seconde Guerre Mondiale… Pourquoi ? Comment une simple balle perdue a certainement changé le cours de l’Histoire ? 

Louis XIV s’était donné pour mission de moderniser son royaume et de lui donner de meilleures frontières. Un homme, un inconnu du nom de Vauban, jeta toutes ses forces dans cette bataille, qui allait faire d’un Royaume le premier Etat-Nation. Il allait mettre, au service de son roi, toutes ses connaissances et toutes ses facultés, et nous allons voir qu’elles furent bien plus nombreuses qu’on le croit !

l’affaire Landru a été l’une des affaires criminelles les plus retentissantes du XXè siècle. Révélée en 1919 dans l’immédiat après-guerre, ce qui fait l’originalité de ce dossier c’est qu’il n’y a aucun aveu, ni aucune victime ! A la lecture du dossier d’instruction, on s’aperçoit qu’un certain nombre d’éléments sont à tout jamais inexplicables, car n’entrant dans aucune logique compréhensible. Il était une fois un monsieur qui emmenait des dames à la campagne, prenant toujours à la gare 2 allers et un retour !

Le ballon rond est vite devenu, autour de la Grande Guerre, le sport le plus populaire. Mais il n’a jamais véritablement été le sport national… D’autant que les Waterloo ont longtemps succédé aux Azincourt sportifs. La question posée dans cette émission « 12 juillet 98, une défaite ? », posée sous forme provocatrice, souhaite revenir sur les bases de ce sport. En effet, depuis 20 ans (et ce fameux 12 juillet), l’Equipe de France semble vouloir privilégier le résultat au jeu… Vue de l’esprit ? Réflexion d’ancien ? Mais n’a t-on pas autant vibré sur nos « glorieuses défaites » que notre UNIQUE victoire ? Car la culture de la gagne ne vaut… que si on gagne. Or, depuis 20 ans… Retour sur l’Histoire, la sociologie et la culture du Football français de 1956 à nos jours, 60 ans de joies et de peines, pour le meilleur et pour le pire, en compagnie de Cyprien Beytout (RMC Sports) et Eric Mazet (créateur de feu Guadalajara, magazine « dédié à la promotion du football et des bleus en particulier »). PS : Nous avons malheureusement omis d’en parler, mais les quadra et plus comprendront qu’il nous était impensable de ne pas rendre un hommage appuyé (mais posthume) à M. Thierry Roland, qui a accompagné nos soirées foot sur plus de 30 ans ! Salut Thierry !

« Je gagne les batailles, et Joséphine conquiert les coeurs » La Malmaison fut le témoin privilégié de la vie du général Bonaparte et Joséphine de Beauharnais qu’on a coutume de qualifier de premier couple politique de notre Histoire contemporaine. Leur union était à l’image de la «politique de fusion» entre ancien et nouveau monde voulue par Bonaparte. Puis advinrent l’Empire et les ambitions dynastiques de Napoléon… C’est sur ce thème que nous revenons dans cette émission, en compagnie de Françoise Deville, l’auteur de « Moi la Malmaison, amie intime de Joséphine », aux éditions de La Bisquine.

En 1980, la Corée du Sud est un pays profondément anticommuniste, ultra-libéral, allié solide des Etats-Unis et bénéficie d'une économie florissante qui lui permet de se moderniser très vite. La Corée du Nord est quant à elle ultra-communiste, totalitariste, méticuleusement surveillée par son dirigeant tout puissant, qui organise un embrigadement mêlant culte de la personnalité et vénération d'une idéologie ultra nationaliste. Ces deux modèles s’opposent... Aucun d'eux ne semble être en mesure de récupérer par la force le territoire ennemi et ainsi réunifier les Corées en un seul pays, même si l'idée persiste dans l'esprit de chaque Coréen... Et les tensions vont croître de manière spectaculaire et nous mener à la situation que nous connaissons de nos jours, le monde entier tournant son regard vers les Corées, même si, à l’heure où nous enregistrons, le dégel des relations soit plutôt de rigueur...

La technique du moulage est attestée chez les Romains pour l'empreinte du masque mortuaire, et va se poursuivre avec plus ou moins de péripéties jusqu’à nos jours. Dans cette émission, nous allons donc croiser l’antiquité, la renaissance, la Révolution française, le XIXè siècle, et bien entendu, terminer par nos jours, en compagnie de Véronique Berecz, responsable des relations extérieures du Musée Grévin, une institution qui a 136 ans ! Après un retour rapide sur l’histoire des portraits de cire, nous irons visiter virtuellement le musée parisien.

Depuis 1953, il y a désormais 2 Corées, nous en avons compris l'évolution grâce au précédent épisode... Ce deuxième opus nous emmène jusque dans les années 80, et nous verrons que c'est le Nord qui va le premier tirer son épingle du jeu, pour ensuite péricliter.  Comment, pourquoi ? De quel façon le Sud a évolué ? Un épisode important avant d'aborder les années 90-2000 que nous connaissons...

Retrouvez le podcast du Live du jeudi 22 mars à 20h en compagnie de 3 romains en armure venus tout droit de l'Antiquité afin de nous expliquer ce qu'est leur vie de guerriers ! Beaucoup de questions ont été posées par les auditeurs à ces reconstituteurs passionnés. Aucune n’était inintéressante quand il s'agissait de comprendre au mieux la vie quotidienne des hommes constituant l'incroyable armée qui a dominé pendant si longtemps une énorme partie du monde ! Quelques exemples : -comment la vie de camp était-elle organisée à Alésia ? -un contubernalis, c'est un copain de soirée pyjama et plus si affinité ? -quel était le pire adversaire redouté par un légionnaire sur le terrain ? -quelle était la formation reçue par un légionnaire ? -pourquoi diantre avez-vous un balai sur la tête ? Et plus sérieusement, votre armement il est fiable ou pas top en comparaison des Celtes par exemple ? -l'ingénierie militaire romaine était-elle si extraordinaire qu'on le dit ? -quelle était la réglementation par rapport à l'alcool ? -la religion était-elle omniprésente dans la vie d'un légionnaire ? -et centurion césarien, c'est une bonne situation, ça ? Une belle soirée avec Tiberius Antonius Serenus et Manius Caelius Durio de la X Veneria, mais aussi Publius Muius Mansuetus de la XXII Primigenia, tous de l'association Ave Bagacum ! En vidéo sur Facebook, la page Temporium, et bientôt sur Youtube

Aujourd’hui, nous allons parler de génie, de magie, de lumière au sens propre et figuré. Ensemble, nous allons découvrir Fernand Jacopozzi... De l’illumination des façades des Grands Magasins à la Tour Eiffel, en passant par le fameux « Faux Paris », c’est à cet homme que nous le devons… et si Paris est la ville lumière, c’est encore et toujours grâce à Fernand Jacopozzi… Ça vous intrigue ? Et bien rendez-vous avec nos invités - Veronique Tessier Huort (petite fille de Jacopozzi) - Xavier Boissel, pour son livre « Paris est un leurre » - Frédéric Douin, éditeur de l’ouvrage « Jacopozzi, magicien de la lumière » Suivez-nous dans cette formidable aventure, La ville lumière !

Qui était vraiment Cyrano de Bergerac ? Né à Bergerac en Dordogne ? Un amoureux incompris ? Et s'il était en fait un Libre-penseur, athée, polémiste, ayant beaucoup d’ennemis, utilisant des masques, des leurres ? Frondeur, il fut aussi serviteur de Louis XIII et de Richelieu, du jeune Louis XIV et de Mazarin. Ses écrits préfigurent les philosophes du XVIIIe siècle. L’œuvre théâtrale se résume à deux ouvrages : une comédie complètement délirante et une tragédie féroce en alexandrins. Son œuvre littéraire est encore grandement méconnue, mais son volumineux roman philosophique L’Autre Monde, avec le fameux Les Etats et Empires de la Lune et du Soleil, est maintenant étudié à l’Université... En compagnie de Yonnick Flot, auteur de "Cyrano de Paris, le mystère Bergerac", nous revenons sur le Vrai Cyrano... et ça décoiffe !

Emission exceptionnelle, car non seulement nous parlons d’Egypte antique, mais en plus, nous abordons un média révolutionnaire, pour apprendre l’Histoire différemment, en immersion complète, grâce au nouveau « bébé » d’Ubisoft, issu d’Assassin’s Creed Origins, le fameux Discovery Tour. Et nous en parlons, en abordant toutes les questions, recherches, éthique, médiation culturelle, éducation, avec Jean Guesdon, directeur créatif d'Assassin’s Creed Origins et le professeur en didactique de l'Histoire Marc-André Ethier.

En préambule à l’émission « Du livre à internet, la diffusion des idées », allons ensemble à la rencontre de Catherine Kikuchi (on ne vous refuse rien) et revenons sur la naissance de l’industrie de l’Imprimerie. Etonnamment, comme dans les années 2000, les néo créateurs d’entreprises ont pensé qu’il était possible de se lancer dans l’aventure de cette nouvelle technologie, sans réaliser que la diffusion des contenus et des idées avait un coût, et exigeait un véritable savoir-faire. Et pourtant, elles seront les premières start’up … Et à l’époque, la «Silicon valley », c’est Venise ! Une émission qui fait également écho à « Aldo Manuzzio, le Steve Jobs de la Renaissance » de 2014…

Dans cette émission, sous forme de discussion avec les historiennes Pauline Guéna et Catherine Kikuchi (auteurs du blog Actuel Moyen-âge), nous allons parcourir le thème de l’écologie au sens large, à savoir la question du rapport entre homme et environnement, et les évolutions de ce rapport dans le temps. Nous verrons que faire un détour par le Moyen Âge est une bonne manière de montrer que ce rapport n’est jamais linéaire : on ne va pas simplement d’un environnement subi à un environnement dominé…. Ce ne sera donc pas l’histoire de « comment les hommes sont devenus maîtres et possesseurs de la nature », mais plus l’histoire d’une recherche d’équilibre et d’inévitables ruptures…  

La Belle Epoque... Pas celle que vous avez l’habitude de voir ou d’entendre, mais celle des crimes et délits... Trop souvent, on associe La Belle Epoque à un portrait idéalisé, ce qui donne une image fausse des années 1880 - 1914. Car si cette période fut faste sur tous les plans (économique, culturel, artistique, technologique, scientifique...) il y a aussi l’autre face de la médaille, qu’il ne faut pas occulter. Nous vous proposons là, en compagnie de Priss du Blog Savoirs d'Histoire, un pan moins reluisant, mais tout autant symbolique de cette époque : les sévices d’un certain nombre de malfrats dans le Paris de la Belle Époque : les Apaches.

Et voici le deuxième épisode de Montbazon, dans lequel Baptist Cornabas de Parlons Y-stoire nous parle de son atelier où il propose à chacun de créer sa dictature rêvée !

Voici le premier des petits entretiens réalisés à Montbazon : aujourd'hui Calie de la chaîne Les Topovaures nous parle du festival Les Historiques et Prem nous raconte l'histoire de Jeanne la Flamme, femme héroïque du Moyen Age !

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Va Falloir qu'on m'explique ! c'est le premier podcast à écouter au moment de l'apéritif, entre amis, en famille, en voiture, ou tout seul, dans son bain, dans son lit, dans le métro, dans son tracteur ... C'est un jeu de société, archi simple, dans lequel Vous devez participer. Comment ? Sur des mots, des événements, ou des expressions, notre équipe de joyeux drilles propose quatre définitions ... à vous de trouver laquelle est la bonne ! C'est la culture plaisir, parce qu'on pense qu'on peut apprendre en s'amusant, et s'amuser en apprenant !

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Livres, jeux, BD, séries TV, films, tout ça dans le domaine de l'Histoire... Nos conseils pour offrir ou vous faire offrir... Et quoi revendre le cas échéant !!!

Louis XV, dernière partie... Cette période de règne permet de mieux comprendre à la fois du règne précédent mais surtout de tout ce qui suivra, 15 ans après la mort de Louis XV.

Les loisirs et les sports sont au croisement des grandes tendances politiques, économiques, sociales, culturelles de chaque époque. En compagnie de Laurent Turcot, auteur de « Sports et Loisirs, une histoire des origines à nos jours » nous revenons, de la Renaissance à la veille de la Révolution, sur les manières d'être, de vivre et de penser qui furent autant d'acceptations différentes de ce que l'on entend communément par loisir et sport.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Cette émission vous faire découvrir un pan de l’histoire de la conquête de l’Amérique du Nord souvent oublié… Face à la puissance Comanche, les occidentaux ont connu les plus grandes difficultés, obligés de battre en retraite, et lutter pour tenter de survivre face aux « Seigneurs des grandes plaines ». Nous allons briser quelques clichés sur la conquête de l’Ouest en traitant de la formidable histoire de la résistance Comanche. L’histoire d’une simple tribu de chasseurs-cueilleurs des canyons du Nouveau Mexique, qui décide de voler des chevaux et devient de terribles cavaliers guerriers qui conquièrent rapidement tout le milieu Sud des actuels USA, soumettant par la force les tribus de la région et contrant avec vigueur l’invasion des européens dans une immense partie du Sud américain et Nord mexicain… Par sa résistance, sa violence et son organisation rigoureuse, ce peuple a réussi le tour de force phénoménal de contrer pendant plus d’un siècle les rêves de conquête européen, colonisant même une immense partie du Sud-Ouest américain …

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Histoire de la division de la Corée, sans oublier de re-contextualiser... en partant du XVIIIème siècle jusqu'en 1953. Une émission pour tout comprendre de la terrible épopée qu'a été la division de la Corée.

Marie Curie, ce seul nom évoque les superlatifs et les exceptions. Ce fameux couple aux 5 prix Nobel.  Retour sur cette femme hors normes, ses découvertes, ses passions, son travail, ses combats aussi, notamment pendant la Première Guerre mondiale...  Une émission en compagnie de Renaud Huynes, directeur du Musée Curie à Paris.

Qui était vraiment Louis XV ? L'homme, le père, le mari, l'amant... Ce 3è (et avant-dernier) épisode revient sur le personnage en lui-même, mais aussi le roi en prise directe avec un changement de monde, un séisme en profondeur qui enclenche l'irrémédiable destruction de la monarchie en France.  Avec, à ajouter au dossier, l'émergence de l'opinion publique déclarée et affichée.

Cet épisode revient sur les années « Fleury », période d’expansion du Royaume de France, de remise à plat des institutions juridiques, de l’économie, bref, un « new deal » avant l’heure. Mais les nuages sont déjà présents, ils annoncent le mauvais temps et la période compliquée à venir dont héritera bientôt Louis XVI…

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Né en 1710, roi en 1715 à 5 ans, il meurt le 10 mai 1774. Il a régné 59 ans, avec une Régence de 9 ans. Fait rare, il est l'arrière-petit-fils de son prédécesseur, le « Grand » Louis XIV. C’est un règne, nous allons le voir en 3 épisodes très curieux.  Louis XV est un roi peu connu du grand public, car en effet, comment voulez-vous exister quand vous êtes entre « Saint » Louis XIV et le martyr Louis XVI ?  A la fois Louis le bien-aimé et Louis le mal aimé, il est le roi d’un royaume à son apogée, et donc, du début du déclin. L’a t-il provoqué, accéléré, ou au contraire ne pouvait-il rien y faire, dans quel état était la France de l’époque, nous reviendrons sur tous ces sujets.  Dans ce premier épisode, nous revenons sur sa naissance, les circonstances qui ont fait qu’il soit devenu dauphin alors que rien ne l’y prédestinait, et bien sûr la Régence, nous parlerons d’économie...

Qui l'eut cru, le drapeau breton n'est pas breton... mais francilien ! Tout commence en 1190, quand le roi d’Angleterre, Richard Coeur de Lion, part en croisade ... Suivons cette histoire ;)

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Si tout le monde (ou presque) connaît la forêt de Brocéliande, peu savent qu'au XIIè siècle il s'y trouvait un homme et sa bande qui volaient les riches pour redistribuer aux pauvres... ça ne vous rappelle rien ? Et oui, c'était un Robin des Bois bien français et avant l'heure ! Il s'appelait Eon de l'Etoile, et n'était pas chevalier, lui. Bonne balade !

Des années 70 à nos jours, en passant par les Hentai, et les conseils lecture / films de Delphine Mulard et Prem, voici la seconde émission sur l'Histoire du Manga, véritable phénomène social japonais.

Notre balade du jour nous fait rencontrer Salomon, roi de Bretagne, au IXè siècle de notre ère ainsi que la petite commune de la Martyre, située tout à l’Ouest, au bout du monde, « Finis Terae » en latin, bref, dans le Finistère !

En 56 avant notre ère, les Armoricains se révoltent. Sans bonnet rouge, mais en armes, et contre l'envahisseur romain.  Jules César viendra finalement à bout de cette coalition de peuples gaulois, dirigée par les Vénètes, qui seront finalement vaincus au terme d'une grande bataille navale, avec la complicité de la météo.

Carnac ! Ce nom qui évoque à la fois légendes celtiques et vacances, est en fait une véritable énigme historique, même proto historique, même pas celte ! Bien avant ... Une balade en Morbihan !

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Qu’est ce qu’un manga ? Quelles sont ses origines ? Peut-on le faire débuter suite au manga d’Hokusai, sorte de carnet de croquis de l’artiste Hokusai, le « fou de la peinture » et publiés à partir de 1814 ? Ou bien depuis le XIIè siècle, et les rouleaux enluminés ? Ce qui est certain, c’est que c’est Hokusai qui leur donne ce nom.  Ga signifie « représentation graphique dans un espace borné », et « Man » qui veut dire « dérisoire, insuffisant ».  Dans cette émission, nous revenons donc sur les débuts, jusque dans les années 70, en compagnie de Delphine Mulard, historienne, spécialiste du Japon.

Créés à la toute fin du XIXè siècle, les cabarets Le Ciel, et L'Enfer, témoignent de l'âge d'or du Cabaret en France.  Malheureusement disparus, il n'en reste que quelques rares spécimen, c'est une raison supplémentaire pour faire revivre, l'espace de quelques minutes, les sensations vécues par les clients...

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo On l'appelle communément "le quartier chinois", alors qu'en réalité, ce n'est pas si simple... Retour sur l'histoire de ce quartier de la capitale qui fut, jusque dans les années 70, le plus pauvre de Paris.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Paris était composée de plusieurs îles, dont beaucoup ont disparues, comme l'île aux Juifs. Retour sur ce lieu qui a connu un événement cher à Maurice Druon, duquel il fit partir la Guerre de Cent Ans... Les Rois Maudits bien sûr.

Le modèle de Versailles, le premier palais des superlatifs, celui qui valut à son propriétaire, Nicolas Fouquet, d'être emprisonné à vie.  Un château à voir absolument, et surtout, en nocturne, à la chandelle !

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Oh là là ! Sujet sexy à souhait, pour des histoires croustillantes (et d'autres plus sordides il est vrai), petit retour sur la grande époque des Maisons Closes à Paris, qui, bien entendu, ont toutes disparues ;)

Depuis la Révolution, les passages couverts sont une des particularités de Paris. Pour sortir des sentiers battus, autant prendre les chemins de traverse ;)

"Construire malin, construire romain" c'est la promesse du superbe musée de Guiry en Vexin, à voir en famille. Un musée authentique, malin, intelligent, à visiter en famille !

En Seine et Marne, à Coulommiers, une des plus belles commanderies templières, et parmi les mieux conservées d'Ile de France... Passionnés de la période ? A visiter sans tarder !

France Miniature, à Elancourt (78), un lieu magique pour faire le tour de France des monuments en une journée, y compris avec des enfants !

DragonLand, une expo du Parc des Expositions de Paris, jusque septembre 2017, nous offre l'occasion d'un petit retour de synthèse sur l'Histoire des Dragons

Retour sur cette expo de 2017 organisée à l'Hôtel de Ville de Paris, "Le gouvernement des parisiens".

En compagnie de jeunes élèves et de leurs encadrants, nous revenons sur cette année 1917, et cette guerre en général. Intéressant d'entendre la génération future sur ce sujet ... et un grand coup de chapeau aux éducateurs, un sujet pas simple !

A partir d'un texte (une dénonciation d'un certain Chabot) de l'an II de la République, nous revenons - comme un vrai travail d'historien - sur une affaire de corruption au plus haut niveau des députés de l'Assemblée et de la Constituante.  Pots de vins, lobbyings, marchandages, espionnage, où l'on voit que la jeune République est sujette à la cupidité des hommes...  Une émission ardue, pas toujours grand public, mais qui montre qu'un historien doit aussi savoir lire entre les lignes ;)

Cette seconde partie nous montre comment la France a réagi à la publication de Mein Kampf, et également comment l'Allemagne a réagi par rapport à la France...  En fin d'émission, quelques statistiques intéressantes... Et toujours, se remettre dans le contexte de l'époque.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo De l’écriture à la fabrication du livre, ce premier épisode revient sur les circonstance de la parution et du succès de Mein Kampf.  Une émission qui nous montre que si Hitler a écrit Mein Kampf, en parallèle, Mein Kampf a fait Hitler…

Dans cet épisode, nous retrouvons le sculpteur dans le tourbillon amoureux avec Rodin, puis nous suivrons la rupture, l'après-rodin, et enfin, la lente descente aux enfers.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jeune fille rebelle, artiste, amante, voire même folle, Camille Claudel cristallise les passions.  Malgré tout, personnalité iconique, suscitant toujours autant la controverse, nous allons voir dans ce premier épisode ses début, le monde des sculpteurs à cette époque dans le Paris triomphant de la fin du 19è siècle, et, bien sûr, les débuts de sa relations avec Rodin.

C'est au siècle de Louis XIV que la France connaît sa première grande révolution gastronomique.  Avec Versailles, les habitudes culinaires médiévales disparaissent, laissant place au raffinement naissant, à la disparition progressive des épices au profit des herbes...  En compagnie de Maeva Poupard (#Rutile de son pseudo), scénariste de la bande dessinée qui donne son titre à notre émission, nous aborderons le potager de La Quintinie, Vatel, le Procope, Ragueneau, et tant d'autres qui ont lancé véritablement la "cuisine à la française".

Il s’agit de découvrir Churchill par le biais des plaisirs de table ! Anecdotes sans intérêt ? Pas sûr ! Car aborder le rapport que possède Churchill aux plaisirs gastronomiques va nous permettre de le découvrir différemment, la consommation culinaire est déterminant dans la vie d’un homme, en particulier lorsqu’on parle de ce bon vivant qu’il était !  Dis-moi ce que tu manges, je te dirai qui tu es… Winston Churchill !

C’est l’histoire de passions, de convictions, de fulgurances, de médias, de technologies … Retour sur les élections présidentielles de 1965 à 2017, par le prisme des médias et des technologies …

Cet épisode répond à pas mal de questions, avec l'entrée en lice des équipes de la police scientifique ... Pourquoi il était là-haut, comment il est mort, quelles sont les plus récentes découvertes ?

Le 19 septembre 1991, un corps humain surgit de la glace à plus de 3200 m d’altitude. Cela se passe sur le glacier de Similaun, dans la province du Sud Tyrol, les Ötztal, On le surnomme Ötzi, ou Hibernatus. Cette découverte va révolutionner le monde de l’archéologie. Pour la première fois, les restes d’un homme de Néandertal est retrouvé entier (momifié) avec armes et bagages quasi intacts. Il a plus de 5.000 ans. Voici le récit de sa découverte, des luttes intestines pour la revendication, mais également du travail des scientifiques pour lui redonner un visage, une activité, et lui rendre ses vêtements. Dans l’épisode #2, nous verrons pourquoi il était là-haut, comment il est mort, ainsi que les plus récentes découvertes.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Plus de 50 ans d’histoire du Rock en une heure, impossible de passer l’intégralité des courants en revue, mais l’occasion de revenir sur les bases, sur les papas des groupes et artistes que nous connaissons aujourd’hui. De Memphis à Liverpool, en passant par San Francisco, Los Angeles, Woodstock, et un peu Paris et St Tropez ;) avec une playlist de 34 titres, retour sur l’Histoire du Rock.

De 1827 à 1877, la reine Pomaré IV règne sur Tahiti. Soutenant l’Angleterre protestante contre la France catholique, par amour pour son conseiller anglais Pritchard, elle faillit être la cause d’une nouvelle guerre entre ces deux nations, et se rebelle ouvertement contre la France, qui, par peur de perdre le contrôle de la région, décidera d’envahir Tahiti. Sa rébellion est bien sûr vaincue, lâchée par ce qu’on appellerait une fois de plus la perfide Albion, qui ne souhaitait en réalité que gêner la France sur ce territoire afin de l’essouffler un peu plus… Pomaré défaite, la France se débrouille pour se mettre la reine dans la poche, afin de se servir de son influence. C’est toute cette histoire que nous vous racontons dans cette dernière émission de l’année 2016.

Pour s’abonner, rien de plus simple, le lien est juste là : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo ... avec les coups de gueule qui vont avec ;) Enfin, ça c'est Richard, les deux autres gars, Prem Carriou et Ugo Bimar sont de gentils indulgents !!! Allez, nos coups de coeur pour vos cadeaux de Noël, et préparer vos vacances dans le meilleur de l'Histoire. 1h30 d'émission, avec papier et crayon pour noter les références !

Il a fait rayonner l'image de la France, il a bâti, ... mais qui était-il vraiment ? Un bon roi ? Pas si sûr ... Dans ce second épisode, nous abordons François 1er après la mort de sa mère, Louise de Savoie, passant de ses jupons à ceux de sa maîtresse ...

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo François 1er, le vrai visage, c’est une émission qui vous surprendra certainement. Avec la réalité d’un bilan bien sombre, sans doute un des plus lourds qu'on ait jamais tirés du règne d'un souverain français. Quand on fait le bilan de ce règne, on voit naître les travers qui, deux siècles plus tard, devaient condamner la monarchie française. Cette émission, c’est la première partie du règne, celle dominée par une femme, la mère du roi, Louise de Savoie, régente officielle, quasi reine officielle…

De la Renaissance à la veille de la Révolution, les lois royales ont toutes essayé de légiférer autour de la consommation d'alcool ... En France ! Retour sur toutes ces tentatives, et sur les vraies raisons de ces lois.

De la Révolution au Second Empire, le nombre des différents régimes, le nombre grandissant de fonctionnaires, associés à la baisse des revenus, ont favorisé tous les types de corruptions. Petit tour d'horizon ...

Jules César, Antoine, une tentative avec Octave … Cléopâtre, reine d’Egypte aura tout tenté pour mettre son royaume sur le devant de la scène internationale de l’époque. Malgré elle, elle va favoriser la fin de la République romaine, rendant Octave seul maître à Rome. Timeline revient sur les idées reçues, les légendes noires, remettant comme d’habitude événements et personnages à leur vraie place ! Une petite histoire dans la grande, des Ides de Mars à Actium, le destin croisé de quatre grands noms de l’Antiquité, César, Octave, Antoine, … et Cléopâtre.

Cette émission raconte une période de 2 ans où les écossais étaient divisés entre le roi en place, George II, anglais, protestant et descendant des Hanovre, et Charles Edward Stuart, catholique, descendant de James VII, considéré comme le légitime héritier au trône. Les Jacobites plaçaient en lui l’espoir d’une Écosse et d’une Angleterre réunifiées. Mais pour y parvenir, il fallait faire tomber George II, lever une armée, et mettre Bonnie Prince Charles (le petit nom que lui donnaient les Écossais) à sa place. Les Jacobites, ce sont les partisans de Charles Edward Stuart, et cette émission est en lien direct avec la série Outlander, qui se déroule à cette époque-là…

Timeline, en compagnie des historiens d’Actuel Moyen-Âge (Catherine Kikuchi, Pauline Guena et Florian Besson), revient sur Venise, aujourd’hui fragile et pourtant triomphante hier. Nous revenons sur l'histoire de sa construction dans un milieu hostile, sur ses chantiers innombrables ainsi que l’effort humain et financier considérable. Ce « miracle de pierres » n’est pas qu’un décor de marbre et de briques, et nous retraçons donc l'aventure de l’invention de Venise, jusqu’à sa mort, l’histoire d’une ville entièrement tournée vers la mer...

Rocamadour, c’est un site extraordinaire, un ensemble de monuments issus du Moyen-Âge, mais également des « âges farouches » de l’aube de l’humanité … Nous avons souhaité revenir sur l’histoire de ce lieu extraordinaire, et en faire un exemple de l’invention d’un pèlerinage, dont la réputation a franchi les limites non seulement de la province mais de la France même. Rocamadour, de la préhistoire au XIIIè siècle, dans Timeline, sur Temporium Radio.

Que reste t-il à découvrir des Gaulois ? Tout en réalité. Ils sont arrivés en Europe occidentale à l'époque préhistorique pour construire une civilisation brillante, et dont l'influence ne s'arrêtera pas avec l'arrivée des Romains. Il y a tellement eu d'idées fausses qui ont circulé à leurs propos que cette émission revient sur ces Celtes, ces Galates, bref, ces Gaulois qui sont bien nos lointains ancêtres.

Dernier épisode de la trilogie. Cette fois, nous avons les conclusions de cette affaire. Conclusions ? Et si ... ;)

Découvrir un tombeau, des ossuaires, c’est bien, mais le travail commence quand il s’agit de trouver des preuves, basées sur une intuition, voire des statistiques. Or, il faut convaincre les autorités scientifiques, religieuses, politiques, et le grand public, quatre cibles, quatre problématiques. L’équipe qui s’est lancé dans cette aventure ne pensait pas à toutes les embûches qu’il pouvait y avoir … Un deuxième épisode qui ouvre sur un troisième qui sera, bien sûr, la révélation …

On a souvent comparé la barbarie des Jihadistes à l’obscurantisme du Moyen-Âge. Il a souvent été dit et écrit que les actes odieux du 13 septembre rappelaient la triste Inquisition. Et si on se trompait ? Et si ce Moyen-Âge fantasmé n’avait finalement rien à voir avec les atrocités qu’on a bien voulu lui prêter ? Et s’il fallait finalement nuancer ? C’est l’objet de cette émission, enregistrée à Pontoise, au Marché de l'Histoire, en compagnie des historiens médiévistes Catherine Kikuchi, Pauline Guéna, et Florian Besson.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En 1980, suite à des travaux d'excavation dans le quartier est de Jérusalem, un tombeau est mis au jour. Il contient 10 ossuaires, dont 6 comportent des inscriptions. Ces ossuaires sont datés du 1er siècle de notre ère. Ces inscriptions révèlent des noms troublants, qui pourraient correspondre simplement à la famille de Jésus Christ... Ce premier épisode révèle la découverte du tombeau, et les noms associés ...

Cette émission est consacrée à la ville de Palmyre, en Syrie. Capturée par Daesh en mai 2015, la ville est reconquise un an plus tard par les forces russes, iraniennes, les milices chiites et les troupes de Bachar el-Assad. Durant ce laps de temps, en plus des crimes perpétrés contre la population locale, au moins un quart des sites archéologiques ont été détruits, tandis que le musée a quant à lui été entièrement saccagé… Palmyre et ses habitants ont bien souffert, c’est du coup l’occasion de revenir sur son incroyable histoire, celle d’une ville qui a failli faire basculer le monde romain, il y a deux mille ans.

Lorsqu’on parle de la culture sourde, on doit aborder leur langue, qui s’est progressivement construite au fil des siècles, par ce qu’on appelle la communauté sourde. Leurs histoires étant indissociables. Les origines de la langue des signes française que nous allons aborder au cours de cette émission demeurent assez floues, voire mystérieuses… Elle est pourtant vitale pour que ces personnes puissent s’adapter au sein d’une majorité que sont les entendants, qui l’ont souvent méprisé et même persécuté. Si elle est aujourd’hui acceptée, cette minorité demeure assez ignorée et c’est donc une raison supplémentaire qui nous a poussé à faire cette émission.

Cette émission revient sur le délicat et douloureux thème des "femmes de réconfort" et des autres crimes de guerre réalisés par le Japon entre 1937 à 1945. De nombreuses exactions ont en effet été commises lors du conflit qu'on appelle "seconde guerre sino-japonaise", qui commence avant la seconde guerre mondiale pour s’y greffer par la suite. Trop peu connu en Occident, ce conflit a respectivement causé la mort de 2 millions de soldats japonais et de 4 millions combattants chinois, et plus de 20 millions de civils ... Une émission à ne pas mettre entre toutes les oreilles ...

Cette nouvelle émission Timeline va vous plonger au coeur de la redécouverte de l’Égypte antique par les occidentaux au cours de l’Histoire. Un angle qui permet notamment de comprendre pourquoi et comment sont nées certaines idées fausses sur l'Egypte. Voyez donc cette émission comme une sorte d’introduction à de futurs sujets sur l'Egypte antique…

Comment un général romain, roi d'un petit peuple du Nord de la Gaule, va bâtir un immense royaume et fonder une véritable dynastie pour plus de deux siècles. Religion, art, politique, commerce, tout est passé ici au crible de notre émission, sans oublier le mythique vase de Soissons

Timeline revient sur ceux qu’on appelle les « Francs », pour revenir à leurs origines germaniques au IIIè siècle de notre ère, afin de comprendre comment ils ont fini par s’implanter en Gaule. Et vous verrez que si les Francs sont souvent associés aux « barbares » ayant provoqué la chute de l’empire romain, ce sont aussi eux qui ont paradoxalement lutté contre ces fameuses invasions ! Les Francs, c’est aussi une culture, une religion, des coutumes, des stratégies militaires et un art… Les Francs, des origines jusqu’à Clovis, dans Timeline.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Du XVIIè siècle à nos jours, retour sur l'Histoire de la Police en France, en compagnie de l'Historien Arnaud Houte, grand spécialiste du sujet. Une émission très dans l'air du temps ... En toute fin, les conseils de visites guidées, en partenariat avec MesSortiesCulture.

Sujet extrêmement difficile, phénomène difficilement traçable historiquement, qu'est vraiment la franc-maçonnerie ? De quoi s’agit-il ? Il peut y avoir autant de définitions possibles qu’il existe de loges ou de courants maçonniques… Mais il faut bien avouer que les théories développées à leur sujet sont souvent excessivement farfelues… Ordre religieux secret qui dominerait l’Europe, sinon le monde… ? De nombreux rapprochements entre des événements historiques et la franc-maçonnerie sont fréquemment réalisés, y compris qu'ils auraient eu une importance sur le cours de l’histoire… Comme par exemple la Révolution française, fomentée de A à Z par les frères maçons, et qui ne serait qu’un de leur innombrables complots… nous allons donc revenir sur tout cela, sans jamais tomber dans le fantasme mais sans pour autant écarter les théories les plus crédibles et soutenables par des preuves historiques, Timeline va donc vous plonger au coeur de l’histoire de la franc-maçonnerie.

Nous sommes à l’époque du Prince Jean, Richard Coeur de Lion, Robin des Bois, … La Magna Carta est un sujet fascinant car il est l’une des bases juridiques de toutes les constitutions, déclarations d’indépendance et des droits de l’Homme du XVIIIè siècle. Et ce document date de 1215 ! Elle a en effet établi le principe de primauté du droit, mais elle portait également sur des questions comme l’équilibre du pouvoir en politique, les limites du gouvernement, les droits individuels, l’interdiction de procéder à des arrestations arbitraires, l’économie et l’indépendance de l’Église. Même si l’ampleur du contenu de la Magna Carta mérite d’être soulignée, la caractéristique la plus impressionnante de cette charte est le fait qu’elle constituait une révolution pour protéger la vaste majorité d’une société plutôt qu’un effort pour l’anéantir et repartir à zéro. Dernière émission de l’année 2015, pour les 800 ans de la Magna Carta, avec en invitée, Marianne Villeret, juriste et spécialiste des questions européennes.

Lorsque qu’Abraham Lincoln est élu président en 1860, tous les journaux affirment que cette élection achève de rendre inéluctable une guerre civile entre le Sud et le Nord du pays… Dès décembre 1860 la Caroline du Sud déclare sa séparation du reste des Etats-Unis. Cette sécession est suivie de celles du Mississippi, de la Floride, de l’Alabama, de la Géorgie, de la Louisiane et enfin du Texas. Les États-Unis entrent en guerre 80 ans après leur Indépendance … mais l’ennemi, cette fois-ci, est aussi américain ! Les deux camps se préparent à une guerre fratricide qui sera tout simplement le conflit le plus meurtrier du XIXè siècle… En fin d’émission, petit débat : Abraham Lincoln était-il vraiment l’anti-esclavagiste souvent représenté ?

La Nouvelle France, au moment de la perte de cette colonie... pendant la guerre de 7 ans (1756-1763), guerre souvent dépeinte comme le premier conflit mondial de l'Histoire. Timeline vous propose de vous plonger dans les événements qui secouent la Nouvelle-France, située en Amérique du Nord, entre 1754 et 1760, entraînant la perte du Québec, mais aussi de nos terres en Indes, et une énorme partie des Etats-Unis actuels ... Belle émission avec le concours de notre historien québécois préféré !

Pour s’abonner, rien de plus simple, le lien est juste là : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo C’est le temps des cerises ! La Commune de 1871, en compagnie d’Eric Legale, Directeur de la Communication et des Nouvelles Technologies de la ville d’Issy-les-Moulineaux, ville dont le Fort a subi un siège de 41 jours. Avec la plus grande rigueur possible, Timeline revient sur cette histoire extra-ordinaire. La résistance du Fort d’Issy, à voir ici http://www.issy.com/histoire-fort-issy/l-histoire-du-fort-au-temps-des-cerises

« Les Ecossais ont inventé le whisky pour soigner les mulets malades … d’un médicament ils en ont fait une boisson », Douglas Young, poète écossais du siècle dernier. Le whisky est aujourd’hui non seulement très à la mode, mais en plus un produit fabriqué dans bon nombre de pays dont certains … parfois insolites. Il n’en reste pas moins que cette boisson possède ses origines propres, ancrées dans la Grande Histoire ; l’histoire des hommes mais aussi l’histoire de pays. En compagnie de notre invité Salvatore Mannino, ambassadeur de La Maison du Whisky, nous allons voir son origine, son Histoire, mais aussi la façon de le déguster ... avec modération ça va sans dire !

1066 ! Hastings ... Une date encore dans toutes les mémoires anglaises ... Mais chez nous, peu de gens connaissent le vainqueur de cette bataille légendaire, Guillaume le Conquérant, en terre anglaise. Une émission qui revient sur l'épopée de ce Duc de Normandie, qui a commencé par reconquérir son trône ducal à partir de 7 ans, puis a porté ses couleurs en Angleterre pour, en deux mois et une victoire à Hastings, devenir roi d'Angleterre. Mais 1066, c'est aussi la Tapisserie de Bayeux, à laquelle nous faisons évidemment référence, en compagnie de Fabien Drugeon, auteur et réalisateur de Guillaume, la jeunesse du Conquérant, un long-métrage sorti en salles.

Retour sur les Cent Jours, du retour de Napoléon de l'île d'Elbe à son abdication, en passant par la bataille de Waterloo. Vous verrez ce que sont vraiment les Cent Jours, et pourquoi Napoléon ne pouvait pas gagner ... En toute fin d'émission, une surprise et après, la bibliographie.

Ils s’appellent Alain Decaux et André Castelot, ils ont fait les beaux jours de l’ORTF, Patrice Gélinet et Franck Ferrand sur France Inter et Europe 1 ont repris le flambeau, et, depuis quelques années, le web et les réseaux sociaux leur ont emboîté le pas. Nous-même depuis 3 ans maintenant, avec les Podcasts, mais les réseaux nouvelle génération sont apparus, et depuis peu, on voit fleurir de tout sur tous les sujets, et bien sûr l’Histoire n’échappe pas à la règle, avec le danger que justement, qui dit réseau social et vulgarisation dit « sans garde fou ». Alors, Histoire et Réseaux sociaux riment avec Nota Bene, l’actuel champion français toute catégorie du nombre de vues sur Youtube, avec nous, l’inénarrable Bénabarbe, de son vrai prénom Benjamin. Plus récemment arrivés, mais promis à un avenir radieux, Confessions d’Histoire, avec nous dans l’émission Ugo Bimar, le créateur, concepteur et metteur en scène de ces interviewes croisées des personnages historiques. Prem, Richard Fremder et leurs invités reviennent sur les problématiques de la vulgarisation historique.

Cette émission, laisse de côté tous les aspects guerriers des Vikings, déjà évoqués dans une émission il y a deux ans, toujours disponible, pour se concentrer sur la société scandinave en elle-même. Nous découvrons que cette civilisation est avant tout une société commerçante et artisanale fortement structurée, régie par un nombre impressionnant de droits et de codes.

Les mythes et légendes ont-ils une réalité historique ? C’est une question très tendance dans notre société actuelle qui a besoin de se rassurer. Malheureusement, c’est souvent racoleur, blessant, injuste, pour ne pas dire limite scientifique. Nous allons donc tour à tour croiser l’Atlantide, l’Exode, la lance de Longinus, Jésus Christ, le Graal, Excalibur, etc… et voir si oui ou non, avec nos connaissances actuelles, certains mythes et certaines légendes sont basées sur des réalités historiques.

Cet épisode 2 est plus axé Jeux de société, séries TV et films (avec au passage une critique vitriolée de Prem sur le dernier Ridley Scott - Exodus: Gods and Kings) que le premier. Un remerciement également à Olivier de ProxiJeux, pour son intervention enregistrée, à retrouver en intégralité sur le site du Club www.temporium.fr/leclub Finalement, tous les médias sont bons à prendre, s’ils donnent envie, s’ils servent de support, à ne pas prendre au pied de la lettre. Les contraintes budgétaires, scénaristiques, politiques, techniques, sont nombreuses pour limiter ces médias dans leurs désirs d’aller au plus proche de la réalité … Est-ce différent avec internet ou la BD, c’est ce que nous verrons dans une autre émission …

Si les jeux vidéo attirent plus de vingt millions de joueurs en France, comme pour le cinéma ou les séries TV, ils puisent également, et depuis longtemps, dans l'histoire. Alors, avec les Jeux, les séries TV et le cinéma, peut-on apprendre l'Histoire autrement que dans des livres ? C'est le sujet de cette émission-débat avec, autour de la table, outre Prem et Richard Fremder, 4 autres invités exceptionnels: - Laurent Turcot, historien, professeur à l'Université du Québec Trois Rivières, et consultant historique sur le dernier Assassin's Creed Unity, - Guillaume Delalande, journaliste es-jeux vidéo et high tech sur LCI, passionné d'Histoire, auteur de nombreux ouvrages sur Assassin’s Creed mais aussi du petit dernier Une Minute Pour Comprendre l’histoire des jeux vidéo, - Lyrik, (son nom de guerre, sur le site HistoriaGames), le site sur les jeux vidéo historiques et l’Histoire, - Et Mathieu Fernandez, ingénieur et chercheur en histoire urbaine, auteur d’une thèse sur les souterrains de Paris, et surtout co créateur du jeu de société « Paris 1800 », un jeu de plateau dont il nous parlera Pourquoi les séries TV françaises sont-elle si mauvaises ? Peut-on faire un grand jeu, un grand film ou une grande série historique en respectant parfaitement l’Histoire ? Faut-il toujours violer l’Histoire pour lui faire de beaux enfants (dixit Alexandre Dumas) ? Autant de questions auxquelles nous tenterons de répondre au travers de deux émissions, dont voici le premier épisode, très centré Assassin’s Creed Unity, l’accent québécois en prime.

A la fin du XIè siècle, l'espace méditerranéen se partage entre le monde islamique, l'Empire byzantin, et la chrétienté occidentale. L'Orient, qu'il soit musulman ou byzantin, est gouverné par de vrais états, et est le centre d'une civilisation brillante. De son côté, l'Occident chrétien sort à peine des invasions, de la barbarie, et surtout de la régression économique. Pourquoi la croisade ? Volonté uniquement religieuse ou finalement plus politique ? Comment a été perçue, de l'autre côté, l'invasion de ces « barbares » ? Les francs sont-ils intervenus comme un chien dans un jeu de quilles, et ont-ils permis au monde islamique oriental de se structurer ? Ce sont toutes ces questions, et beaucoup d'autres que nous posons à notre invité, Florian Besson, spécialiste de la féodalité dans les royaumes latins d'Orient.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Et si contrairement à d’habitude, nous ne confondions pas le cimetière avec la mort, la cause et la conséquence ? Cette émission nous emmène à la découverte du « miracle » qu’est le cimetière du Père Lachaise, en compagnie d’un personnage fascinant, Bertrand Beyern, nécrosophe, seul guide habilité et labellisé Temporium pour une telle visite. C’est le cimetière le plus visité du monde, fréquenté par d’illustres personnages, le plus cosmopolite … La compagnie de Bertrand Beyern, dans une langue française qu’il est désormais trop rare d’entendre, nous permet de voir différemment ce lieu, où l’on y capte des émotions, des informations, une poésie. Où comment un cimetière peut nous rendre heureux avec les mots … Une émission peu habituelle, jamais morbide, rare, que nous sommes fiers de vous proposer afin que, pourquoi pas, vous ayez envie d’en savoir plus et de vous y rendre en vrai ! Et si le cimetière était le lieu le plus vivant qui soit ? Suivez le guide !

A la fin de sa vie (1558), Charles Quint, Empereur du Saint Empire Romain Germanique estimait avoir raté sa vie. Qu'il avait failli à sa mission, à son rôle sur cette terre. Comment et pourquoi, nous revenons sur les 58 ans de sa vie, qui l'ont vu tour à tour ceindre les couronnes d'Espagne, des Pays-Bas, puis être élu Empereur. Nous verrons ses luttes face à François 1er, ses doutes, ses problèmes financiers, et surtout, sa lutte face au Luthéranisme.

Et si le sexe était le reflet de la vie ? Une émission encore interdite aux moins de 18 ans ! En compagnie de Maurice, patron du Beverley (dernier cinéma pornographique français) et de Joseph Khalifa, patron du LoveHôtel de Paris, nous revenons sur les 40 dernières années. Nos années 2000 sont-elles celles du retour à une certaine morale ? Nos deux intervenants reviennent, sans se concerter, sur la réelle liberté des années 70-80 (pas uniquement sexuelle), par rapport à nos jours. Notre société, où la nudité est affichée à chaque coin de rue, ne paraît finalement pas si libre que ça. Quel est l’avenir du sexe, de la sexualité et de l’amour ? Retour sur deux interview beaucoup plus profondes que le sujet le laisserait penser. Mais avant cela, Prem et Richard Fremder répondent aux questions posées par les fans Facebook.

Pour vous abonner, c’est simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Nous avons une représentation de l'Antiquité très sexuelle, très libre, or il n'en est rien. Au contraire, au fil du temps, la liberté sexuelle n'a pas cessé de croître, avec, parfois, des coups d'arrêt explicables. Les libertins du XVIIIè ont fait sauter un verrou, en même temps que les tabous. Le début du XXè siècle en est issu ...

La Renaissance, c'est à la fois une période de l’histoire et un mouvement artistique qui voit progressivement le jour en Italie, aux XIVe et XVe siècles, puis dans toute l’Europe. Elle se termine vers la fin du XVIe siècle avec le maniérisme. Cette époque marque la fin du Moyen Âge et le début des Temps modernes. C'est un moment extraordinaire où les sociétés européennes se transforment, l'art aussi. En compagnie de Catherine Kikuchi, professeur à la Sorbonne, nous revenons sur cette grande période, tandis qu’en toute fin d’émission, Hélène Le Pelleter de la société Cap Monde nous démontre que l’on peut également intéresser enfants et ados à la culture Renaissance.