Et voilà, c'est la rentrée ! Et peut-être que, passée les premières retrouvailles à la machine à café, vous êtes déjà en train de vous demander... Mais qu'est-ce que je fous là ? Dans un embouteillage, un transport en commun bondé, ou après une première friction avec votre supérieur, vous ressentez... comme une envie de tout plaquer. de tout planter là et de...oui, changer de vie pourquoi pas ? Evidemment, très vite, une petite voix de la raison vous interpelle et vous susurre "ok, mais est-ce qu'on a la thune ?" Vous commencez à feuilleter les annonces pour des maisons à retaper dans l'arrière pays, vous vous dites que c'est peut-être pas si cher finalement et vous vous demandez : ça coûte combien de déménager, de faire autre chose et pourquoi pas, de réaliser son rêve ? Delphine, elle, n'a pas ouvert une librairie indé, une maison d'hôte ni un atelier de céramique, mais elle a voulu avoir son lieu, son restaurant dans un village charmant à deux heures de Paris. Alors on lui a posé la question pour vous : dis nous Delphine, ça t'a coûté quoi ? Toutes les réponses dans cet épisode. Bonne écoute, et bonne rentrée ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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En 2020 est sorti un ouvrage majeur écrit par deux sociologues, Céline Bessière et Sybille Gollac : Le genre du capital. L'essai étant une référence au Capital de Karl Marx, les deux universitaires s’inscrivent dans cette lecture de notre monde par classes sociales. Mais elles y intègrent un nouvel ingrédient : le genre. Vous pourrez dire "oui d'accord, mais ça fait longtemps qu’on sait que les hommes gagnent plus que les femmes. "Dans ce livre, ce n’est pas de cela qu'il s’agit.On ne parle pas ici du salaire des femmes, du temps partiel subi et des réunions calées à 17h30 pile quand elles doivent aller chercher les enfants à l’école… les deux sociologues enquêtent sur de la partie immergée de l’iceberg : le patrimoine.Le patrimoine, c’est quoi ? C’est l’argent - qu’il soit sur des comptes, dans des biens immobiliers ou dans des entreprises familiales - qu’on a obtenu sans avoir travaillé. Parce qu’on nous l’a légué. C’est la transmission, c'est l’héritage. Et bien figurez-vous que là aussi, se nichent des inégalités entre hommes et femmes. Et que cette inégalité se reproduit de génération en génération et devient donc structurelle. Céline Bessière est venue nous parler de ça, mais aussi de mariages et de divorces. C’est édifiant, ça vous donnera peut-être envie de lire le livre ou sa version BD, que nous vous conseillons.Cette interview est menée par Claire Teysserre-Orion.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Il y a des épisodes qui marquent à vie. Aucun pathos, rien de sombre dans cet entretien, dans lequel Lionel dévoile ses sentiments et sa réalité financière alors que le cancer vient de le condamner. Qu'est-ce que la thune quand on apprend sa date limite ? Qu'est-ce que l'argent quand on n'a plus le temps ? En plus de sa parfaite honnêteté, la sagesse et l'intelligence de l'interviewé donnent à ce témoignage une profondeur philosophique... inestimable. Bonne écoute. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Bien avant que les médias ne se fassent l'écho du mouvement "childfree" (sans enfant), cri du coeur venu de femmes du monde entier, Corinne Maier avait déjà marqué le début des années 2000 avec son plaidoyer No Kid, 40 raisons de ne pas avoir d'enfant. Depuis une vingtaine d'années, cette psychanalyste, économiste et essayiste publie régulièrement des ouvrages qui interrogent nos relation à la parentalité ou au travail.Aujourd’hui au micro de Thune, nous revenons sur l’argument financier de son manifeste drôle contre l'injonction à faire des enfants. Selon elle, ne pas enfanter serait l'assurance de s'offrir une vie meilleure, économiquement plus viable et moins asservie aux employeurs.Et même si ses détracteurs ne manqueront pas de souligner qu'être parents ne se résume pas à des histoires d'argent, nous lui sommes reconnaissantes de remuer cette question hautement sensible avec humour et... une certaine tendresse. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Et voilà, Thune cède à la "mode" des Jeux Olympiques. Alors qu'il partait pour les derniers rounds de qualifications, notre pigiste, Clara Baillot a interviewé l'athlète Thomas Martine, 5eme français d'une discipline qui rapporte beaucoup de médailles à la France : l'escrime, et plus précisément le Sabre. Spoiler, Thomas n'a pas été sélectionné cette année. Mais parmi toutes les raisons qui expliquent cet échec, il y a... la thune, eh oui, on la retrouve décidément partout. Et alors c'est intéressant parce que, en écoutant cet entretien que je n'ai pas réalisé, j'ai réalisé un truc : on pourrait très bien le qualifier d'"inspirant'; ce mot si tendance. Mais oui : le parcours de Thomas Martine est "inspirant" puisque ce garçon du 9-3 s'est élevé à la seule force de sa volonté, malgré les obstacles, notamment matériels, au rang de sportif de très haut niveau. Et vous allez l'entendre il tient aujourd'hui un discours comparable à celui d'un entrepreneur, avec pour produit à commercialiser : lui-même. Curieux twist de la vie, il m'est apparu aussi que, si ce sont les biens les services publiques - écoles, subventions - qui lui ont permis de découvrir l'escrime, et de s'y élever, il arrive désormais à un moment de sa vie où cette solidarité ne lui permet plus de progresser et de poursuivre sa route à haut niveau. Il a donc évolué vers un discours très libéral : être le meilleur, trouver les entreprises ou les sponsors privés qui le suivront... Bref, argent public, argent privé, réussite publique, bonheur privé... Voici quelques mots clefs pour des questionnement qui ne manqueront pas de se poser à vous pendant l'été après l'écoute de cet épisode très JO. Bons jeux toutes et tous et bonne écoute ! PS : Thomas Martine est toujours en recherche de sponsoring... à bon entendeur ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Voici un court extrait de l'épisode très "Jeux olympiques" qui sort demain ! Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Il y a 13 ans, après un burn-out, Olivia Moore est devenue humoriste. Son métier, son gagne-pain, c'est la scène.Dans cet épisode, on va parler de son rapport compliqué à l'argent (merci les parents), d'indépendance financière, du modèle économique de l'humour, de l'impact du TDAH sur les finances. Et puis, comme Olivia est engagée, elle a beaucoup réfléchi à sa position - d'où elle vient, d'où elle parle - et à ce que son rapport à l'argent raconte.Un épisode dense et une parole clairvoyante. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Un extrait de l'épisode qui sort jeudi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Quand on a parlé avec Hélène, vigneronne du Bordelais, de ses paiements à 30 / 60 / 90 jours, il y a un truc auquel on n'avait pas du tout pensé... Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Pour prolonger la dégustation, pardon, la discussion avec Hélène, savourez ces confidences sur la thune dans son couple... vous vous y retrouverez peut-être ! Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Sacrée période n'est-ce pas ? J'avais enregistré cet épisode très "terroir", très "trésor français" bien avant cette séquence nationale si étrange et perturbante. Je l'aime bien cet épisode, déjà parce qu'il nous emmène à la campagne, et aussi parce que dans le parcours d'Hélène, on voit bien cette France aux prises avec un monde qui bouge. C'est la trame de son histoire de thune : elle a grandi dans un domaine splendide, qui s'est un peu reposé sur son glorieux passé. Elle s'est d'abord éloignée de ce monde qui refusait de changer, elle a vu d'autres pays, d'autres cultures. Mais finalement, elle est revenue et aujourd'hui, elle se bat. Pour faire vivre la tradition, ne faut-il pas la réinventer ? Et pour en vivre, ne faut-il pas s'ouvrir aux autres ? Bonne réflexion, et à votre santé !PS : on ne fait pas de pub sur Thune comme vous le savez, et surtout pas pour e l'alcool, mais j'ai goûté le nectar du domaine de Ponty, et c'est un véritable régal. Alors je vous mets quand même le lien vers son site là --> https://vignoblesponty.com/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Un court extrait "bien arrosé" de l'épisode qui sort jeudi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Si vous ne l'avez pas écouté, on vous propose de découvrir un de nos "hits" : cet entretien passionnant avec la sociologue Alizée Delpierre sur la domesticité contemporaine. Le fruit d'une enquête complète (la chercheuse s'est elle-même mise au service de familles très riches en tant que "nanny") au coeur de ce qui se joue de complexe sur ce signe extérieur de richesse autour du "service" à la personne. A ne pas rater ou à réécouter !! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

#Rediffusion. Maroussia Dubreuil est journaliste, au Monde notamment. Fascinée par le monde des ultra riches, elle s'est immergée plusieurs semaines dans le quotidien des habitants de Monaco. (Candide à Monaco, 2020, éditions JC Lattès). Elle y a côtoyé des femmes désoeuvrées, a pu croiser pas mal de petits chiens et s'est interrogée, entre autres, sur le marché de l'immobilier. Un épisode croustillant, dans ce lieu où les joies superficielles côtoient l'ennui le plus existentiel.N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance Et suivez-nous sur thunepodcast.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Virginie a toujours voulu être avocate ; ça vient des séries judiciaires qu'elle regardait avec sa mère quand elle était gamine. Son rêve, c'était de défendre la veuve et l'orphelin, pas de rouler en décapotable avec une montre hors de prix à son poignet.Aujourd'hui, les clichés sur les avocats qui roulent sur l'or, elle en a sa claque. Parce que dans sa profession, il y en a pas mal qui galèrent et même qui abandonnent à force de se faire des nœuds au bide en pensant à leurs charges.En plus, Virginie est avocate en Seine-Saint-Denis, le département le plus pauvre de France : ses clients, c'est souvent des gens qui galèrent. Alors comment leur faire comprendre le montant de ses honoraires, la valeur de son travail ?  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Cette semaine encore, nous avons décidé de faire une rediffusion. Un choix assumé, en plein festival de Cannes, car rares sont les actrices qui prennent la parole sur la porosité de plus en plus prégnante entre les marques et le monde de la culture.Audrey Vernon est comédienne. Elle joue, écrit ses spectacles et les nourrit de ses lectures et de ses réflexions sur l'argent.On va parler de sa vie d'actrice de théâtre et de la circulation de la thune dans cette profession fantasmée et souvent précaire.Il faut le souligner : Audrey est ouvertement anti-capitaliste et très membre de l'association Les soulèvements de la terre.Elle tire la sonnette d'alarme sur certaines nouvelles pratiques du milieu, comme l'omniprésence des marques dans le cinéma, et des milliardaires dans le théâtre. Elle souligne aussi la pression mise sur les acteurs et actrices à qui l'on propose des centaines de milliers d'euros pour promouvoir Dior, Chanel ou Amazon.Un problème de riche ? Sans doute. Mais aussi un sujet moral, qui fait écho au tacle de Ricky Gervais aux Golden Globes en 2020 : "Si Daech lançait une chaîne de streaming, vous appelleriez immédiatement votre agent." Avec ce témoignage, nous nous éloignons de l'argent intime et entrons en terrain plus politique. Comme pour chacun de nos épisodes, nous essayons de rester les plus neutres possibles. Nous sommes néanmoins convaincues que la voix d'Audrey Vernon donne des clefs pour comprendre certains des enjeux qui agitent le monde de la culture.Photo : Maud SakriN'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance Et suivez-nous sur thunepodcast.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Cet épisode a déjà été diffusé il y a un an et demi, avec un grand succès. Nous avons choisi de le remettre en une cette semaine.Dans la comédie Le diable s'habille en Prada, la terrible rédactrice en chef de Vogue assène à sa jeune assistante : "Tout le monde voudrait être à ta place". Car intégrer le cercle très fermé du cœur de la mode - on parle ici des grandes maisons de luxe qui font rêver le monde entier - nécessite des trésors de créativité, d'audace et surtout énormément de travail. Mais une fois qu'on y est, que le Graal est atteint, que se passe-t-il ?C'est ce qu'analyse la Docteure anthropologie sociale et ethnologie Giulia Mensitieri dans Le plus beau métier du monde (éditions La découverte) un essai sur les travailleurs de la mode. On y suit notamment le parcours de Mia, styliste en vue, vêtue de vêtements coûteux (et offerts), mais n'ayant pas assez d'argent pour payer son forfait de téléphone.Est-elle un cas isolé ?Selon Giulia Mensitieri, le cas de Mia serait au contraire systémique : que l'on soit styliste, mannequin, photographe ou tout autre métier qui vend du rêve, l'addition est, en quelque sorte, salée. Sans patrimoine ni conjoint.e riche, peut-on vivre et durer dans la mode ? N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance Et suivez-nous sur thunepodcast.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Notre questionnaire de fin top chrono Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Entre le début des années 90 et la fin des années 2010, Ariel Wizman a démontré qu’être soi-même pouvait être un métier. Sa signature, un mélange de désinvolture intello, de culture et de goût pour la fête, l'a propulsé comme personnage à part dans l'audiovisuel français.Pourtant, en 2020, il raccroche le micro et se lance dans le commerce, en lançant en France la franchise chinoise Miniso.Que raconte ce virage business ? Y a t-il un moment où être soi ne suffit plus à faire vendre ? Les médias sont-ils out et les entrepreneurs au top de la vague ? Comment le rapport à l'argent change t-il quand on n'est plus le salarié, mais le patron ? Et puis l'argent, quand on en a, on en fait quoi ?Merci à Ariel Wizman pour sa participation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Pour l'épisode entier, c'est jeudi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Cette semaine, nous avons choisi pour vous de rediffuser cet épisode que nous aimons beaucoup.Ils sont 150 000 en France, de gardien de la paix à commissaire, ils vont partout, traversent les territoires, les classes sociales et les manifs.Qu'on les aime ou qu'on les déteste, ils structurent et scandent notre vivre-ensemble. Mais avez-vous déjà entendu un flic parler d'argent ? Eh non, les flics ne parlent pas : ils sont soumis au fameux "devoir de réserve" . Alors quand une capitaine ose prendre la parole pour parler salaires, primes, politique du chiffre et corruption, Thune fonce lui tendre son micro. Agnès Naudin a coécrit avec Fabien Bilheran "Police, la loi de l'omerta" (Le Cherche-Midi). Elle est claire, pédago, sensible et nous interroge sur les limites d'un management vénère qui ne fait pas que du bien à nos fonctionnaires. N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance Et suivez-nous sur thunepodcast.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Thune prend un peu de vacances mais ne vous laisse pas seul.e.s ! Marie eu du fric, n’a plus eu de fric. A eu des enfants, a connu la rue. Aujourd’hui elle a la cinquantaine. On s’est posées à une terrasse de bistrot il y a un an et demi, elle a accepté de parler de thune, librement. Elle est "colportrice de journaux", touche le RSA et vit dans un studio dans une cité de Marseille. Elle paye son loyer en retard. Elle s’est blessée à la cheville. Mais ça va. Bonne écoute. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Voici un court extrait de l'épisode qui sort ce jeudi. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

C'est quoi, en fait, un "transfuge de classe" ? En réalisant cet épisode, j'ai commencé par vouloir trouver des "chiffres" pour éclairer cet entretien. Et une fois de plus, au terme de mes recherches, j'ai fini par me dire que les chiffres ne disaient pas grand chose... Par exemple, on sait que 8% des fils d'ouvrier parviennent à être diplômés du supérieur. C'est un indice, bien sûr. Mais Guillaume, lui, ne s'insère pas dans cette catégorie. Fils de carrier, il a commencé maçon, et aujourd'hui, il est patron d'une jolie PME du BTP. Quand on le pousse à faire les comptes de son patrimoine, on parvient à quelques millions... pourtant, il n'est pas passé par la méritocratie scolaire, il ne s'est pas "hissé" dans les stats par un choix de carrière très différent de son milieu d'origine. Il a juste gagné plus d'argent, dans le sillon creusé par son père, il a mieux "réussi". Et au vu de sa fortune et de ses signes extérieurs de richesse, on pourrait dire que c'est un bourgeois. Mais à l'écouter, on comprend surtout qu'il flotte entre deux mondes, sans plus vraiment de place fixe. Socialement, comme il le dit, il n'a "pas les codes" des notables de son quartier. Vis à vis de ses pairs ouvriers du bâtiment, il est leur "patron". Trop riche pour être à égalité avec "ses gars", trop décalé pour fraterniser avec ceux qui ont autant d'argent que lui, animé de valeurs qui font qu'il dit "détester" les rentiers, attiré par un monde de l'art dont il peine à trouver l'entrée... quelle place lui reste-t-il ? Bonne écoute !L'épisode est disponibles comme d'habitude sur toutes les plateformes classiques (apple, deezer, spotify, slate...) et sur notre site https://www.thunepodcast.fr/#podcast #argent #thune #btp #batiment #patron #salaires #richesse #pauvreté #transfuge #transfugedeclasse #bourgeois #stats #statistiques Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Mademoiselle Caroline est autrice de BD. Ancienne étudiante de Penninghen (école d'art reconnue), elle aurait par exemple pu décider d'être directrice artistique dans la pub. Mais elle a préféré continuer à dessiner. Depuis une quinzaine d'années, elle sort une bande dessinée par an. Certaines, comme La chute ou La différence invisible, ont été de grands succès commerciaux. Avec elle, on va parler création, chaîne du livre et santé mentale aussi ; cette fameuse paix de l’esprit qui n’est pas vraiment offerte aux auteurs, ni aux indépendants, toujours tiraillés entre la peur de de manquer et la suractivité. Car quand on est son propre patron on est bien souvent son propre tyran.Et puis on évoquera le fait d'être une femme dans le milieu de la BD, historiquement préempté par des hommes. Quand on est rangée au rayon "girly", ça change quoi ? Un épisode passionné, qui prouve une fois de plus, que faire ce qu’on aime, ça a un coût (quelquefois un peu élevé).Pour la suivre sur Instagram c'est ici Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Les impôts, c'est toujours un peu bigoût, vous ne trouvez pas ? Par exemple, d'un côté, moi j'adore payer mes impôts. Quand je remplis ma déclaration, j'ai vraiment l'impression de participer au "Trésor public", à "notre" trésor et je suis un peu fière de me dire que je vais contribuer à payer des écoles, des infirmières, des soins ou des allocations pour des gens en difficulté. Je me dis que je suis une meuf bien en fait ! Et puis il y a une autre partie de moi, moins glorieuse, qui éprouve une forme d'anxiété, et ce pour 2 raisons. D'abord parce que j'ai peur de me tromper. D'oublier de déclarer un truc ou de mal le déclarer et de m'exposer à des sanctions. Et aussi parce que j'ai peur de m'autogruger en quelque sorte : eh oui, je ne suis pas spécialiste en droit fiscal et il y a tellement de niches et de déductions que je me dis que si ça se trouve il y en a auxquelles j'ai droit mais que je ne connais pas...Si vous aussi vous êtes comme ça, ou plus simplement si, en ces temps ou l'on parle beaucoup des fameuses "recettes de l'Etat", de la dette, de la fraude fiscale et de taxer les riches, vous vous posez des questions, cet entretien est pour vous. Nous avons eu la chance de rencontrer une contrôleuse du Fisc - très rock n roll -, qui nous explique tout "vu de l'intérieur'. Une parole exceptionnelle puisque les fonctionnaires de Bercy n'ont pas le droit de s'exprimer. Préparez-vous à apprendre : qui sont les gens des impôts, comment sont décidés les contrôles, quels sont leurs angles morts aussi, ce qu'ils peuvent faire et ne peuvent pas faire, que peut-on défiscaliser... Après cet éclairage sur la collecte de notre fameux Trésor public, je serais d'ailleurs bien curieuse d'avoir vos réflexions sur ce que cela dit...de nous ! En attendant, bonne écoute bien sûr !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Voici un court extrait de l'épisode "spécial impôts" qui sort ce jeudi. On vous met juste un petit teaser... de cet épisode riche en révélations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Vous avez certainement vu, au supermarché, des antivols sur des barquettes de viande. Pour cause, depuis l’inflation, le vol à l’étalage a augmenté : plus 14% en 2022. Les gens ne pouvant plus payer la nourriture, ils la volent. Mais - car il y a un mais - ce n'est pas la pauvreté qui pousse Julien à voler. La chourre quotidienne, pour lui, c'est une habitude, presque un lifestyle. C'est un petit voleur, pas un gros braqueur... sauf que quand on les additionne, ses petits larcins finissent par faire une sacrée somme.Cet entretien m’a marqué. d’abord, parce que Julien m”a fait penser au "Petit voleur" de la chanson de Renaud (souvenez-vous, on est en 1991 et Renaud est encore ce rebelle au coeur gros comme ça). Et puis, j’en ai parlé à des amis - parfois très aisés- et j’ai été surprise d’entendre que certain d'entre eux n'hésitaient pas à se servir dans les magasins, avec des techniques variées : oubli dans le cabas, trucs dans les poches...Qu'est-ce-que ça raconte de l’époque, de la façon dont on subit, à priori docilement, la pression financière de l'inflation ? A quel moment se sent-on légitime à voler quand on est tous un peu étranglés ? Quelle est, dans cette transgression, la part de respiration ? Et finalement, y-at-il des vols plus valables que d’autres ou des voleurs plus légitimes ? Vous vous ferez votre idée. Bonne écoute. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Le sachiez-tu : les Comores, pays musulman à 99%, est un matriarcat financier ! En prolongeant la discussion avec Fatima, notre interviewée du dernier épisode, on apprend qu'elle aurait pu faire fortune dans son pays d'origine. Et les raisons pour lesquelles elle y a renoncé. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Transferts d'argent : voici un épisode très feel good... et pourtant c'était pas gagné ! Fatima est tellement drôle et cash que son histoire, par ailleurs exemplaire, nous embarque ! Née aux Comores, l'un des pays les plus pauvres de la planète, elle a tout gagné. Si bien qu'aujourd'hui, elle doit payer. Selon la Banque mondiale, en 2023, les transferts d'argent vers les pays à revenu faible et intermédiaire ont atteint un montant record, historique, de 669 milliards de dollars : du jamais vu. Mais comme beaucoup, Fatima est lasse de cet impôt. "Et moi, si j'ai un problème, qui viendra me sauver ?" interroge-t-elle. Pourtant, ne plus envoyer d'argent "au pays', n'est-ce pas trahir, être ingrate, radine ? Vivre "comme une Française", est-ce abandonner ses valeurs, oublier les siens ? Une fois de plus, l'argent vient matérialiser autre chose et vous allez l'entendre, c'est passionnant. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Voici un court extrait de l'épisode (très sympathique et super instructif) qui sort demain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Warning : épisode clivant ! J'ai lu récemment le mot d'"héritocratie" pour désigner notre société. De fait, et on en a déjà parlé par exemple avec la sociologue Camille Herlin-Giret - autrice de "Rester riche", - l'héritage a explosé ces 50 dernières années, au gré d'une législation qui l'exonère de plus en plus. Par "explosé" je veux dire qu'au début des années 70, seulement 37% du capital de chacun venait de son héritage. De nos jours, la transmission constitue 60% de nos fameux patrimoines ! Alors bien sûr, cela renforce les inégalités - ce d'autant que 87% des héritages sont de moins de 100 000 euros et qu'au-dessus...les chiffres s'envolent.Andréa, vous allez l'entendre, fait partie de cette portion de super privilégiés puisqu'elle est héritière d'un patrimoine de plusieurs millions d'euros. Et encore, elle n'est pas parmi les plus riches des plus riches puisqu'il s'agit non pas d'actifs fluides, de placements ou de sociétés, mais de biens immobiliers, ceux-là mêmes qui tombent sous le coup de la taxation de l'IFI (impot sur la fortune immobilière) qui a remplacé l'ISF (impot sur les grandes fortunes). Les vrais ultra-riches, eux, parviennent à échapper à cette fiscalité. Mas ce n'est pas de ça dont se plaint Andréa. Non, ce qui m'a intéressée dans son témoignage, c'est qu'elle nous confie des sentiments qui sont sans doute aussi fréquents qu'impossible à assumer. Elle est riche, oui, mais au-delà des chiffres, au-delà des millions, l'histoire de cette richesse l'emprisonne. Etre héritier, est-ce que ce n'est pas toujours un peu honteux ? Comment se réaliser personnellement lorsque l'on est tenu de s'inscrire dans une destinée financière que l'on n'a pas choisie ? L'héritage n'est pas seulement source de disparités qui se perpétuent, il serait également problématique dans les rapports familiaux et les enjeux psychologiques qu'il engendre, chez celleux qui en bénéficient le plus.... A méditer ? Bonne écoute !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Voici le "teaser" de l'épisode à sortir ce jeudi. Spoiler : on va parler de beaucoup de thune (quand on commence à dire "patrimoine", c'est un signe...;^) Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Vous connaissez peut-être déjà Héloïse Bolle grâce à son compte Instagram Oseille et Compagnie ou à ses essais, Les bons comptes font les bons amants (éditions Cherche-Midi) et Aux thunes citoyennes (éditions Alisio).Cette gestionnaire de patrimoine d'un genre nouveau reçoit une majorité de femmes dans son cabinet parisien. Aux premières loges pour constater des inégalités "ordinaires", elle l'est aussi pour dispenser des conseils pratiques et éclairés.Avec elle, nous allons parler des femmes et de leur argent. Pourquoi ont-elles tendances à s’oublier dès qu’il s’agit de thune ? A quel moment décrochent-elles ? Comment ne pas être le pigeon de son couple ? Faut-il se marier même si cette idée nous donne de l’urticaire ? Pourquoi, penser "séparation" alors qu’on vient de se mettre en ménage, ne fait pas d'elles des êtres sans foi ni loi ?Ecoutez cet épisode en entier, il regorge de conseils qui vous donneront à réfléchir... pour, enfin, ne plus jamais vous faire enthuner.Crédit photo : Frédérique Toulet Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Il nous a paru très important de publier ce "bonus" qui fait suite à notre dernier épisode "Sois belle et paie-toi : le far west du mannequinat". Lesly, ancienne mannequin aujourd'hui agente, dénonce les scandales ordinaires et l'exploitation de la misère mondialisée dans ce monde de luxe. Bonne et attentive écoute. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Voici le premier bonus plein de pépites en complément de l'entretien de cette semaine "Sois belle et paie-toi : le far west du mannequinat" Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

C'est encore la Fashion week à Paris ! Eh oui, depuis le 25 février figurez-vous.L'occasion de se pencher sur un sujet aussi touchy que passionnant. C'est un peu un marronnier des études anglo-saxonnes : régulièrement, on lit ce genre de news : un chercheur australien ou américain fournit des chiffres qui attestent que les gens beaux seraient...mieux payés !Il y aurait un "beauty privilege" comme on dit en anglais, et bon... instinctivement, on sent bien que ça peut être le cas, sans qu'aucune pseudo étude ne vienne nous le prouver. Mais qu'en est-il du côté des champions et surtout des championnes de cette catégorie ? Lesly, ex mannequin a succès, qui travaille aujourd'hui dans une agence de mannequins, nous ouvre sans fard les portes du monde des très très belles personnes. Un monde cruel, luxueux, une sorte de Far west du capitalisme mondialisé. Les mannequins sont rémunérés pour leur apparence. Mais selon quels critères ? Qu'est-ce qui fait qu'une Kate Moss vaut plus qu'une autre ? Mannequin est-ce un objet, un produit, un savoir-faire, une pratique ? Et comment se fait-il que leur rémunération s'étalent sur une grille qui va de 0 (voire moins vous allez le découvrir) à des millions d'euros ? Si vous vous interrogez comme moi sur le prix de la beauté, toutes les réponses sont cet épisode. Bonne écoute.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Voici un teaser de l'épisode qui sort ce jeudi. On y explore le "prix de la beauté" à travers le prisme de Lesly, ex top modèle qui travaille aujourd'hui en agence de mannequin. Attention ça va être canon ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Thune est en vacances jusqu'au 29 février, mais ne vous laisse pas seul.e.s. Cette semaine, nous vous rediffusons les 3 épisodes que nous avons enregistrés avec Grégory Zaoui, le plus grand arnaqueur contemporain. Surnommé "le cerveau", il a imaginé "l'arnaque à la TVA" sur la taxe carbone, mise en fiction en ce moment par Xavier Giannoli et Frédéric Planchon dans la série à grand succès "D'argent et de sang", avec Judith Chemla, Vincent Lindon, Ramzy Bédia et Yvan Attal, diffusée sur Canal. On parle de plusieurs milliards d'euros détournés... Dans ce 3ème épisode, Grégory Zaoui revient sur sa chute, ses années de prison et ses nouvelles ambitions. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Thune est en vacances jusqu'au 29 février, mais ne vous laisse pas seul.e.s. Cette semaine, nous vous rediffusons les 3 épisodes que nous avons enregistrés avec Grégory Zaoui, le plus grand arnaqueur contemporain. Surnommé "le cerveau", il a imaginé "l'arnaque à la TVA" sur la taxe carbone, mise en fiction en ce moment par Xavier Giannoli et Frédéric Planchon dans la série à très grand succès "D'argent et de sang", avec Judith Chemla, Vincent Lindon, Ramzy Bédia et Yvan Attal, diffusée sur Canal. On parle de plusieurs milliards d'euros détournés... Dans ce 2e épisode, Grégory Zaoui revient sur ses années fastes, ses années fric. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Thune est en vacances jusqu'au 29 février, mais ne vous laisse pas seul.e.s. Cette semaine, nous vous rediffusons les 3 épisodes que nous avons enregistrés avec Grégory Zaoui, le plus grand arnaqueur contemporain. Surnommé "le cerveau", il a imaginé "l'arnaque à la TVA" sur la taxe carbone, mise en fiction en ce moment par Xavier Giannoli et Frédéric Planchon dans la série à grand succès "D'argent et de sang", avec Judith Chemla, Vincent Lindon, Ramzy Bédia et Yvan Attal, diffusée sur Canal. On parle de plusieurs milliards d'euros détournés... Dans ce premier épisode, Grégory Zaoui revient sur son enfance, l'enfance d'un arnaqueur - aujourd'hui repenti. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

"Si tu bosses à l’école et que tu files bien droit, tu auras un bon travail et de l’argent". Vous avez intégré ça ? C'est normal, ça s’appelle la méritocratie et c'est un rêve auquel on voudrait toutes et tous croire. Mais dans les faits, quand tu t’appelle Brahim, que ta mère est femme de ménage, et que tu viens d’une cité, tu n’as pas besoin des statistiques pour comprendre que l'ascenseur social est carrément grippé. Pour Brahim, il n' y a pas mille solutions : il va se casser, loin, très et construire sa vie ailleurs. Son ailleurs, ce sera Dubaï et les Émirats. Quand, fortune faite, il revient au pays avec femme et enfants, un autre type d’intégration l’attend : être légitime dans les sphères fermées de la bourgeoisie de province.Un épisode qui parle de fric, de super pauvres et de super riches, d’apparence et de mauvais goût, d’intégration ici et ailleurs, de bling, de famille… et du goût amer de la revanche quand on a manqué de thune.N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance Et suivez-nous sur thunepodcast.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Notre questionnaire de fin top chrono Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Voici l’histoire d’une transmission un peu particulière. Ekhi Busquet a grandi dans le Pays Basque avec des parents anarchistes, se méfiant de l’argent et carrément réfractaires à l’idée de posséder. Elle va nous raconter son enfance dans ce climat particulier, où il faut toujours être prêt à partir, à bouger vite, où la liberté est la valeur qui prime sur toutes les autres… au détriment de la sécurité ou du confort.Mais très vite, notre invité s’est rendue compte que le hors-système, ce n’était pas vraiment pour elle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Only fan, Mym... vous connaissez ? Des réseaux sociaux où l'on monnaye des photos et des vidéos de soi. La majeure partie des contenus sont érotiques ou pornographiques. Il y en a pour tous les goûts, à tous les prix. Une source d'argent facile ? Ces plateformes attirent beaucoup de mineures et de jeunes filles fragiles. Lola révèle les méthodes de recrutement agressives, l'existence de proxénètes "on line" comme celui qu'elle appelle son "ambassadeur" sur Mym. Elle a commencé à 16 ans, et en 2 mois, elle a gagné 10 000 euros. Aujourd'hui, elle dit "en payer le prix". Elle ne s'en sort pas. L'argent est-il une drogue ? Quels traumas peut-il créer chez une jeune fille ? Merci à elle pour son témoignage aussi touchant et intéressant que troublant, et bienveillante écoute à tou.te.s Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Voici un court extrait de l'épisode qui sort ce jeudi. Only fan, Mym... Lola nous parle de son expérience de prostitution virtuelle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Julien Redelsperger est parti il y a plus de 10 ans au Canada, à Ottawa plus précisément. Et il n'est pas le seul. Plus de 100 000 français, en quête de grand air, de nature, de dynamisme et de cette fameuse "qualité de vie" si fantasmée se sont installés dans le pays.Mais qu’en est-il de l’argent au Canada ? Dans ce Thune Opérator par -20°, on va parler erreurs de débutant, salaires et coût de la vie et trucs et astuces de l’expatrié. Un épisode boîte à outil pour celles et ceux qui se demandent comment ça se joue là bas. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Au sein d'un couple, comment se dansent nos relations différentes à l'argent ? C'est ce que nous allons examiner avec Jérémy et Lola, couple de trentenaires enthousiaste installé depuis peu à Marseille.Dans cet épisode, on va interroger cette fameuse culture familiale de l'argent, ce que les générations précédentes nous disent et nous transmettent, les valeurs morales comme les valeurs comptables.Et puis, puisqu'il n'y a pas que là d'où on vient, on va aborder les ajustements du couple au quotidien : Jérémie vit les montagnes russes de l'entrepreneur, Lola est salariée et aime la stabilité. Et comme ils sont en période de construction, maison, enfants, les ajustements sont nombreux et quelquefois mouvementés. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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J'adore cet épisode parce que je le trouve très humain et qu'en même temps on y apprend plein de choses !Ahhh on ne l'aime pas le huissier ! Huissier ça rime avec impayés, comme son nom l'indique c'est celui qui fait grincer l'huis de votre porte, facture à la main. Mais il a une drôle de position le huissier parce que c'est à la fois un notable, une huile, et en même temps c'est lui qui se confronte parfois à la misère que d'autres professions juridiques, bourgeoises, ne voient jamais. C'est peu connu, mais il peut aussi avoir un rôle social. Et ce qui m'a surpris par dessus tout, c'est qu'il a un côté très pragmatique car c'est avant tout... un chef d'entreprise, eh oui et vous allez voir ce volet est particulièrement surprenant. Mais pour parler de l'intérieur et sans tabou de tout ça, trouver le bon interlocuteur n'a pas été facile. D'abord parce que tout huissier qui répond à une interview doit avoir l'aval de sa corporation, eh oui, il faut demander des autorisations à leur chambre nationale. Et puis parce qu'il y a le risque qu'il se fasse simplement mousser ou qu'il omette les pans moins glorieux de son métier. Heureusement, j'ai rencontré Pauline Thibout : elle est franche du collier, sincère et très sympa, elle a exercé cette profession pendant presque 10 ans, aujourd'hui, elle a monté sa boîte de recouvrement, elle ne bâche pas son ancien métier, mais elle peut en parler, en toute liberté et nous dévoiler les secrets bien gardés des huissiers. bonne écoute !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Voici un court extrait de l'épisode qui sort ce jeudi. Et on vous promet qu'il vous réserve bien des surprises ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Ah ça ! Si on voulait faire une épisode racolleur, on ne s'y serait pas pris autrement, tous les ingrédients sont si bien réunis dans cette promesse d'épisode qu'on se demande pourquoi on ne l'a pas fait avant ! Laure Adjemian est sexologue : toute la journée, elle reçoit des couples ou des individus aux prises avec des questions intimes. L'argent vient parfois - souvent - s'y mêler... et elle, elle les aide à démêler justement. Alors elle a plusieurs biais, qu'on aborde dans cet entretien : ses clients ont à la fois les moyens de venir la consulter, et des problèmes qui provoquent leur démarche. Et elle-même, après une première carrière dans le planning stratégique, a une vision très "empowerment", très coaching dans sa façon d'aborder leurs problématiques. Mais pour thune, elle nous fait part de ses réflexions et de ses éclairages, un peu comme une consultation qu'on vous offrirait gratuitement. Bref, tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe, l'amour et la thune, c'est maintenant, bonne écoute. Et.... BONNE ANNEE !! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Voici un court extrait de l'épisode qui sort demain ! Bonne année et bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Il n'était pas parti pour avoir une jolie retraite, Jean-Marc. Il avait pourtant travaillé toute sa vie, mais entre licenciement, prud'hommes et invalidité, après une carrière au Smic, c'était quand même très mal barré. Sauf que voilà, une fois de plus, il a tenté sa chance à la loterie, et cette fois...ça a marché. Le miracle est arrivé. Il raconte la sidération, l'immense émotion, que lui a procuré ce petit ticket gagnant. Et puis l'envie immédiate de partage, le soulagement, l'impression de renaître et finalement, enfin, à 65 ans... l'amour. Cette semaine, on vous propose une belle histoire de thune. Bonne écoute. N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance Et suivez-nous sur thunepodcast.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

En cette période de fêtes, Thune prend quelques vacances mais vous propose une rediff' très "famille". L'an dernier, Le Monde publiait quelques-unes des enquêtes de Raphaëlle Bacqué et Vanessa Schneider sur les successions des grandes familles industrielles françaises. On y découvrait l'intimité des Arnault, des Bolloré, des Lagardère, des Bouygues, des Bettencourt... et l'épineuse passation du pouvoir. Leur livre Successions, l'argent, le sang, les larmes (Albin Michel) dévoile encore davantage les ressorts psychanalytiques qui animent ces ultra-riches quand il s'agit de lâcher les rênes.Comment désignent-t-ils l'élu.e ? À qui faire confiance ? À qui ne surtout pas faire confiance ? Comment préparer sa sortie quand, au-delà de la fortune familiale, la passation met en jeu des milliers d'emplois ? Et pour les héritiers, comment se construire et voler de ses propres ailes quand le patron, c’est papa ?Entre fric, business et psychologie, un épisode qui éclaire aussi les enjeux d'héritage chez les gens dits... "normaux".Plus bonus, si le sujet vous intéresse, n'hésitez pas à jeter un coup d'oeil à la dernière guerre de succession crousti-sanglante de la famille Desseigne-Barrère, à lire par exemple également dans Le Monde sous le titre "Succession au groupe Barrère : la haine en héritage", également sous la plume de Vanessa Schneider.Photo : Samuel KirszenbaumN'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Hannah a toujours su qu'elle hériterait avec sa soeur de l'imposante demeure familiale de l'Ouest parisien. Au décès de sa mère, elle a réalisé à quel point ce "cadeau" de 6 millions d'euros était compliqué à assumer.Comment vivre quand on est chargé de liquider des générations d'ancêtres et comment tirer un trait sur son propre passé ?D'autant plus que les choses ne sont pas vraiment passées comme prévu.Un épisode réalisé par Laurence Vély et monté par Frédéric Fortuny. Un production À bas bruit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Connaissez-vous "le Mont-de-Piété" ? Pour moi, c'était une mention dans les romans du XIXè siècle : des personnages de Balzac dans la dèche qui allaient mettre leurs affaires "au clou", en gage contre de l'argent. Je me suis aperçue que ça existait encore. Alors je suis allée voir et... ce n'est pas du tout comme je l'imaginais. Cette institution créée sous Louis XIII existe encore, et c'est un service public assez remarquable, très très loin des clichés que j'en avais. Qui va encore mettre des objets en gage contre du cash ? Comment ? Combien ça rapporte ? Vous allez voir, c'est pour le moins surprenant... Bonne écoute !N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee, pour que l'aventure continue, en toute indépendance ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Voici un court extrait de l'épisode de ce jeudi, où l'on parle prêt-sur-gage, gestion de budget et... petits soucis masculins. N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee, pour que l'aventure continue ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Michaël Dayan est né riche, essaie de continuer à l'être et est surtout très à l'aise quand il s'agit de parler de thune. Ses activités ? Big boss d'une conciergerie de luxe et d'une entreprise de jets privés, entre autres.  Il est disponible 24/24 et assume pourtant un goût prononcé pour l'oisiveté. Vous allez l'entendre, Michaël n'est pas du genre à dissimuler son argent ni son goût pour la dépense. Il nous raconte tout, sans tabou. Pour toutes ces raisons, et pour les réactions que cet entretien ne manquera pas de susciter, on le remercie de sa confiance. Merci également à Pauline Habay pour sa précieuse aide sur cet épisode.N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance  Et suivez-nous sur thunepodcast.fr

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En ces temps où les discours sur l'immigration sont souvent déshumanisés, où les vies sont réduites à des chiffres, à Thune, on a eu à coeur de donner la parole à Cali. Cet informaticien, français, envoie régulièrement de l'argent aux membres de sa famille restés en Afrique. Il en parle comme d'une évidence, mais vous allez voir que les montants et la fréquence de ces dons sont pourtant très subtils et emplis d'émotions. Combien sont-ils en France à gérer leur budget avec ce petit twist, cet impôt caché qu'ils acquittent volontiers ? C'est important de l'écouter... et de se transporter, comme toujours ici, dans d'autres vies que la nôtre. Bon épisode !N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance  Et suivez-nous sur thunepodcast.fr

Voici un court extrait de l'épisode qui sort demain... où l'on aborde une facette encore inexplorée de notre rapport à l'argent. Bonne écoute !N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance  Et suivez-nous sur thunepodcast.fr

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Devenir musicien, embrasser le son, choisir de travailler les émotions, l'intime, choisir un choix de vie radical, sublime, forcément sublime.... et tellement casse-gueule. Car la réalité de ce métier, si sexy à 20 ans, est de suivre un chemin erratique, avec peu de repères, beaucoup de galères et une seule certitude, qu'on acquiert vite : le talent ne suffit pas. Swan - c'est un pseudo - est un compositeur de 43 ans, obsessionnel du son, qui travaille jour et nuit. Après de longues années de dèche, il vit bien aujourd'hui de sa musique. Et même plutôt bien. Au micro de Thune, il raconte ses moments d'angoisse existentielle, ses combines alimentaires, les rencontres qui ont transformé le peut-être en possible. Merci à lui de s'être livré sans enjoliver. Dans cet épisode, ni fard ni scène ni paillettes : bienvenue dans la réalité d'un musicien professionnel. N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance  Et suivez-nous sur thunepodcast.fr

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Est-ce que vous diriez qu'en France, "on n'aime pas riches" ? Et pour vous, est-ce qu'il y a des "bons" et des "mauvais" riches ? Et d'ailleurs, c'est quoi "être riche" aujourd'hui ? La sociologue Camille Herlin-Giret s'est plongée dans l'exploration des relations entre les gestionnaires de patrimoine et leurs clients, forcément très fortunés. Elle nous emmène au coeur du rapport intime des millionnaires avec leur argent et bouscule au passage une très grosse somme de préjugés et d'idées reçues. Bonne écoute !N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance  Et suivez-nous sur thunepodcast.fr

Voici un court extrait de l'épisode qui sort demain. bonne écoute ! N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance  Et suivez-nous sur thunepodcast.fr

Il était une fois une jeune fille débrouillarde et dynamique qui s'était faite embaucher par la start-up de ses rêves pour un salaire très correct. Mais la belle aventure de cette jolie princesse s'est bientôt transformée en cauchemar quand l'argent est venu à manquer, et que ses patrons ont cessé de lui verser son salaire. Un mois, deux mois, puis trois... toujours en promettant que "tout allait s'arranger". Pour connaître la suite de ce conte très contemporain, écoutez l'épisode !N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Voici un court extrait de l'épisode qui sort demain. Bonne écoute ! N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Thune est parti pour la Toussaint cueillir des citrouilles et des champignons et dénicher quelques entretiens étonnants. Mais on ne vous laisse pas sans le sou ni sans podcast : voici un de nos "hits" paru l'an dernier. Bonne écoute !   Dans la comédie Le diable s'habille en Prada, la terrible rédactrice en chef de Vogue assène à sa jeune assistante : "Tout le monde voudrait être à ta place". Car intégrer le cercle très fermé du cœur de la mode - on parle ici des grandes maisons de luxe qui font rêver le monde entier - nécessite des trésors de créativité, d'audace et surtout énormément de travail. Mais une fois qu'on y est, que le Graal est atteint, que se passe-t-il ? C'est ce qu'analyse la Docteure anthropologie sociale et ethnologie Giulia Mensitieri dans Le plus beau métier du monde (éditions La découverte) un essai sur les travailleurs de la mode. On y suit notamment le parcours de Mia, styliste en vue, vêtue de vêtements coûteux (et offerts), mais n'ayant pas assez d'argent pour payer son forfait de téléphone. Est-elle un cas isolé ? Selon Giulia Mensitieri, le cas de Mia serait au contraire systémique : que l'on soit styliste, mannequin, photographe ou tout autre métier qui vend du rêve, l'addition est, en quelque sorte, salée. Sans patrimoine ni conjoint.e riche, peut-on vivre et durer dans la mode ? N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Voici un épisode qui résonne, de loin, mais pourtant douloureusement avec l'actualité. C'est un fait, qu'il n'est plus besoin de démontrer : la violence et les comportements à risque sont en majorité l'apanage des hommes. Le coup de génie de Lucile Peytavin est de s'être un jour arrêtée sur ce chiffre édifiant : en prison, 96,3% des détenus sont de sexe masculin. C'est en partant de ce constat que l'historienne féministe a décidé de chiffrer, avec des outils économiques, les coûts des dérives de cette fameuse "virilité" masculine, valorisée par la société et la pop culture (coucou Scarface). Nous en sommes convaincues : tout le monde devrait écouter cet entretien. Il fera sûrement grincer quelques dents, mais il est d’intérêt public. D'après Le coût de la virilité de Lucile Peytavin (éditions Anne Carrière). N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

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On la connaît bien, la figure romantique de l’artiste fauché, qui écrit à la lueur de sa dernière chandelle. Mais étonnamment, on ne se dit jamais que ces écrivains "à succès", que l’on voit passer sur France Culture ou à La grande librairie, peuvent aussi avoir du mal à vivre de leur plume. C’est à ce sujet que s’attaque Franck Courtès dans son derrière ouvrage, À pied d’œuvre (Gallimard). Il y observe en détail sa longue descente, palier après palier, dans une misère qui n’a rien de relatif. Pourtant, dans sa vie précédente, ce photographe de presse gagnait beaucoup d’argent. En décidant de faire de l’écriture son métier, il n’a pas divisé ses revenus par deux, mais bien par 20 ou par 30. Après l'auteur Hadrien Bels, ce quinquagénaire est le second écrivain que l’on reçoit dans notre podcast. Il explore avec nous la schizophrénie de ce métier qui le comble mais ne le fait pas manger. Et comme pour écrire, il faut bien être vivant, Franck Courtès a du faire des choix. Bienvenue dans le monde merveilleux de la main d’œuvre à pas cher.   N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

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C'est l'histoire d'un fils de Lorraine, cette terre désertée par l'industrie, qui fait une école de commerce pour s'en sortir, se "mettre à l'abri". Un jeune homme discret, peu dépensier, qui se retrouve ainsi propulsé au cœur de la finance mondiale, au Luxembourg. Et qui lève un lièvre. Un très gros lièvre. S'en suit une incroyable aventure, quand ce "petit monsieur de l'audit" vient percuter violemment le train-train des plus grosses multinationales. Bonne écoute ! N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Voici un court extrait de l'épisode qui sort demain où Antoine explique comment il s'est engagé dans l'audit pour ne "pas se mouiller"... avant finalement de faire trembler la place financière du Luxembourg. Une histoire de fou... Bonne écoute ! N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

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C'est l'histoire de jeunes mecs qui se montent la tête, sur un "coup facile". Les yeux brillent, il ne reste qu'à le faire. Sauf qu'un braquage, ce n'est pas anodin. C'est violent, c'est risqué. Le risque, Nadir n'y a même pas pensé. Il est jeune, sportif, bien dans sa vie, il ne peut rien lui arriver. Il prendra 16 ans, en fera 9. Au micro de Thune il raconte la place que prend l'argent quand on va en prison. Que fait-onde ce qu’on possède quand on y rentre ? Combien ça coûte un avocat correct ? Peut-on-on améliorer son quotidien, sa nourriture, sa literie ? Faut-il magouiller pour survivre ? Les détenus sont-ils tous logés à la même enseigne ou y-a-t'il en détention comme partout, des riches et des pauvres ? Et quand on sort, comment re-gagner sa vie ? Un grand merci à Nadir Chebila de nous avoir ouvert les portes de son pénitencier. N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

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C'est mignon "ébéniste", ça fait un peu rêver non ? Gaby pensait ça aussi mais à 30 ans, la voilà  dans une angoisse de fins de mois qui n'en finit pas. Elle survit sans payer ses impôts ni ses assurances, à coups de crédits à la conso, elle bosse trop... Qu'est-ce qui s'est passé ? Comment cela teinte-t-il ses relations avec ses amis, sa conjointe, son quotidien ? Au micro de Thune, elle confie ce qu'elle ne dit jamais, à personne : ses secrets, ses regrets, sa colère, et aussi, malgré tout, son amour durable pour ce métier, qui ne lui permet pourtant pas de vivre correctement. Bonne écoute et merci de vos retours tout doux sur cet épisode un peu dur. N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Voici un court extrait de l'épisode qui sort demain avec Gaby, 30 ans, ébéniste dans la dèche. N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Nina est médecin. Même carrément psychiatre. Au micro de Thune, elle raconte son enfance de fille d'immigrés marocains, marquée non pas par une pauvreté extrême, mais par le poids de l'argent. Poids des paroles du père, qui trime pour nourrir sa famille, espoir de la mère qui veut que sa fille réussisse, financièrement et aussi socialement, pour ne pas, comme elle, avoir à subir un mariage malheureux. Alors Nina bosse, elle s'en sort. Elle vit aujourd'hui très bien et... très loin. Mais est-elle pour autant libérée du rapport à l'argent de ses parents ? N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Un extrait de l'épisode qui sort jeudi.N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Fortnite, Zelda, Minecraft, Call of Duty ou même Candy Crush... nous sommes 38 millions en France à jouer régulièrement aux jeux vidéo. Adultes, ados...on a souvent l'impression que c'est gratuit ou à minima "pas cher", pourtant il n'y a pas besoin d'être un prix Nobel d'économie pour se douter qu'une industrie de cette envergure trouve forcément le moyen de se rémunérer. Et ce qu'on a trouvé intéressant dans cet épisode de Thune, c’est de découvrir justement tous les moyens un peu "cachés", jamais trop évidents, que le jeu vidéo met en place pour nous faire payer tout en restant "fun".  Bonne écoute, et bonne rentrée avec Thune !N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

C'est la rentrée et on ne manque pas de vous faire écouter un petit extrait du prochain épisode de Thune. Rendez-vous demain jeudi pour l'épisode complet !N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Pendant 15 ans, en travaillant jour et nuit, Raphaël a réussi à mettre une petite fortune de côté en étant pigiste dans la presse. Suite au déclin annoncé de son métier, il a décidé de devenir prof. Pour Thune, il dévoile l’amertume qui le mine face à  l'ingratitude financière de son nouveau job… et plus généralement face à l'ultra consumérisme de notre époque.N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Salomé n’aime pas dépendre. Ni d’un homme, ni d’une banque. Alors, elle gère, compte, s'agace des injonctions à consommer, met à gauche. Et gère sa vie de façon à la fois singulière et ultra-maîtrisée. Et force est de constater que cette mère de trois enfants à Paris s'en sort plutôt pas mal...N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

On n’interviewe pas tous les jours un notaire sur la succession. Déjà, parce que c’est complexe et surtout parce que ce n’est pas forcément le sujet le plus amusant du monde. Oui, quand on est en deuil, parler d’argent est certainement l’une des dernières choses que l’on se souhaite. Pourtant, il est probable que chacun d’entre vous qui écoutez ce podcast, sera un jour confronté à ce délicieux moment. Ayant moi-même été dans cette situation, j’ai voulu poser au notaire François Ripart, toutes les questions auxquelles j’aurais aimé avoir des réponses… avant. N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Audrey avait une belle vie, bourgeoise, favorisée, entourée. Mais quand son mari est décédé brutalement à 45 ans, la laissant seule avec 4 enfants, elle a perdu pied. Au delà de la perte, terrible, elle nous raconte l’immersion brutale et pas vraiment souhaitée dans les comptes bancaires d’un être cher, les disputes autour de l’héritage, l’inquiétude souvent irrationnelle de ne pas s’en sortir. Quand les soucis d’argent se superposent à la peine, le deuil est-il encore plus dur à traverser ? N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Notre best-of d'été continue. Et tandis que lundi on réécoutait Maroussia nous parler de la solitude de certaines femmes très fortunées à Monaco, cette semaine, on aborde le coût de la séparation.  Quand on décide de se séparer, on se retrouve sur un territoire peu accueillant où s'entremêlent sentiments, griefs, enfants et argent et où “faire payer l'autre” prend tout son sens. Avec Gautier Gisserot, avocat spécialisé en droit de la famille, nous discutons de l’encadrement du divorce : que vaut vraiment un adultère? Est-ce qu'un divorce peut enrichir ou ruiner l'une des deux parties ? Vaut-il mieux couper net ou faire traîner ? Enfin, faut-il encore se marier ? N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Et on continue les rediffs de l'été... jeudi dernier, on écoutait Mao, devenu millionnaire très jeune qui nous confiait que son objectif était désormais de faire partie des 0,01%, alors on a choisi de vous faire écouter ou réécouter l'enquête de Maroussia Dubreuil. Journaliste, elle s'est immergée à Monaco, cette minuscule cité-Etat où tout le monde fait partie de l'élite financière.  Comment vit-on au paradis des super riches ? Et surtout, y est-on plus heureux qu'ailleurs ? Bonne écoute ! N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

 On a choisi Mao pour cette 2e rediff de l'été pour plusieurs raisons. D'abord parce que l'épisode de lundi était sur les policiers, donc on n'a pas résisté à la tentation de le faire suivre d'un ancien dealer ;^). Et puis aussi parce qu'il est sympathique, ce fils de la cité phocéenne ! Il a quelque chose d'ensoleillé dans son parcours qui accompagne bien les vacances. Marseille lui a offert ce qu'elle avait à offrir, il s'en est emparé et... ça aurait pu mal tourner. Mais Mao est malin, exceptionnellement malin pour son âge. Et son témoignage interroge : est-ce que manier, gérer de l'argent, si jeune, fait grandir, mûrir ou vieillir ? La thune rend-elle plus "responsable", plus sage... ou plus inquiet ? A vous de me dire. Bonne écoute !N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Ca y est, Thune prend un peu de vacances. Mais on ne vous laisse pas seul.e.s : tout l'été, on rediffuse un best-of choisi. On a choisi celui-ci pour démarrer car il résonne pas mal avec l'actu, alors que certains policiers font une grève larvée et que leurs syndicats montent au créneau. On a eu la chance de trouver une gradée qui "parle vrai". Car si les flics sont 150 000 en  France, de gardiens de la paix à commissaires, avez-vous déjà entendu un flic parler d'argent ? Eh non, les flics ne parlent pas : ils sont soumis au fameux "devoir de réserve" . Alors  quand une capitaine ose prendre la parole pour parler salaires, primes,  politique du chiffre et corruption, Thune fonce lui tendre son micro. Agnès Naudin  a coécrit avec Fabien Bilheran "Police, la loi de l'omerta" (Le  Cherche-Midi). Elle est claire, pédago, sensible et nous interroge sur  les limites d'un management vénère qui ne fait pas que du bien à nos  fonctionnaires.  N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Avez-vous vu le film Barbie ? Si oui, et si vous vous êtes demandé ce qui vous avait pris de signer pour un spot de pub de deux heures.... vous feriez bien d'écouter cet épisode. Audrey Vernon est comédienne. Elle joue, écrit ses spectacles et les nourrit de ses réflexions sur l’argent. On va parler de son parcours, des cachets forcément inégaux, de son engagement et on va aussi discuter d’un sujet assez nouveau : l’ascendant grandissant des multinationales et de l'argent dans la culture. Une actrice qui prend un chèque pour être en front-row d’un défilé, ça raconte quoi ? L’Oréal omniprésent au Festival de Cannes, c’est grave ? Faut-il jeter la pierre aux comédiens qui acceptent 200 000 euros d’Amazon pour une journée de tournage ? Avec, en toile de fond, cette question : peut-on demander aux acteurs et aux actrices d'être irréprochables quand il s'agit d'argent ? Photo : Maud Sakri N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi 3 août.N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Pour éviter un "narratif inspirant" de la Start-up nation, il fallait un interlocuteur vraiment sincère qui n'ait rien à cacher ni à prouver. Michel Athénour, créateur de "Cityvox" a relevé le défi : devenu millionnaire assez jeune après avoir traversé l'époque de la bulle Internet et du krach de 2008, il dévoile ses angoisses et ses joies financières de patron, entre levées de fond à six chiffres, licenciements express et coups de bluff audacieux. Bonne écoute ! N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Voici un court extrait de l'épisode qui sort demain... de sacrés rebondissements en vue, bonne écoute !N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

On ne l’aime pas le radin. On est les premiers à se moquer de lui derrière son dos, à le regarder blêmir à l’heure cruciale de l’addition. On le qualifie de rat, de pince, de rapiat, on dit de lui qu’il a des oursins dans les poches, et on le redoute particulièrement... en vacances. Pour comprendre le raisonnement d'un radin, je suis allée à la source, discuter avec Marc Maziere, le créateur d'un site de bons plans et d’économies. Surprise : Marc est jeune, plutôt sympa, et surtout lucide. La preuve : il se définit lui-même comme étant 70% économe et 30% radin. L’écouter parler de son enfance, de son parcours, peut aider à comprendre comment on rentre dans la spirale de la petite économie... à tout prix.   Pour découvrir son site c'est ici : https://radinmalinblog.com/ N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Le témoignage de Léa est rare. C'est l'aveu, cash et trash, d'une Parisienne nantie, coquette,  très coquette, qui claque comme elle respire.... au point de se retrouver surendettée. Qu’est-ce qui se camoufle derrière les achats compulsifs de vêtements de la marque Isabel Marant et sous l'accumulation de centaines de "petits pulls noirs" ? Une  envie de rester dans l’enfance ? Une capitulation devant un désir  tout-puissant, qui ne s’exprime que dans l’univers feutré d’un magasin  chic ? Et puis, les paroles complices des vendeuses et les regards envieux des autres clientes font tellement plaisir… Alors,  Léa est allée toquer à la porte des Débiteurs Anonymes. Oui, comme les  Alcooliques anonymes, mais pour celles et ceux qui sont en incapacité de  gérer leur argent. Pour les membres de ce groupe de parole, la thune est source de tous les maux.   Un épisode hyper sincère, souvent drôle, quelquefois effrayant, qui démontre que les comportements névrotiques avec l'argent peuvent toucher absolument tout le monde.N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi.N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Le cliffhanger du premier épisode consacré à Séverine, caissière à Carrefour, vous a laissé sur votre faim ? Comme promis voici la suite : et si, après une vie de labeur, cette mère de trois enfants rencontrait l'amour... et la thune ? On frôle la comédie romantique, sauf qu'on est bien dans la vie, la vraie, celle où rien ne se passe comme prévu. A toutes celles et ceux qui se prennent à rêver "ahh si j'étais riche !", écoutez le témoignage de Séverine : le surclassement, ça peut faire un sacré choc !  N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

Voici un court extrait du 2eme épisode consacré à Séverine qui sort demain. Bonne écoute !  N'oubliez pas de soutenir Thune sur Tipeee pour que l'aventure continue en toute indépendance 

C'est nouveau, mais c'était fatal il fallait que ça arrive : nos interviewées se répondent. Dans un épisode précédent, Mélody, prostituée assumée, avait cette phrase : "Je préfère faire ça que caissière à Carrefour". Evidemment, ça a fait bondir Séverine, dont c'est le métier. Bonne écoute.  Et n'oubliez pas de soutenir Thune via notre cagnotte Tipeee pour que le podcast continue, en toute indépendance ! 

"Je préfère faire ça que caissière à Carrefour"... Pour Séverine, cette phrase a forcément une résonance particulière puisque elle, c'est son quotidien. Mère célibataire de trois enfants, elle a construit une relation ambivalente au supermarché qui lui a "sauvé la vie" en lui donnant un CDI et un salaire correct et où, en même temps, elle s'est retrouvée "coincée". Depuis des années, elle nous scanne, nous et nos articles, et observe le petit théâtre de la consommation en grande surface. Pour une fois, une caissière sacrément lucide parle à cœur ouvert, et... spoiler, il y a une jolie surprise à la toute fin.  Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode qui sort ce jeudi, dans lequel Séverine, caissière en grande surface, s'insurge contre les jugements moraux sur son métier alors que la rémunération est meilleure que dans d'autres jobs. 

Voici le témoignage d'une prof qui est partie à la conquête de l'argent. Déçue par le niveau des salaires dans l'enseignement, elle a décidé de s'engager dans "le privé" - n'hésitant pas à rejoindre de grands groupes comme L'Oréal ou Amazon - le temps de transformer son capital culturel en capital pécuniaire sonnant et trébuchant. Pour ensuite mieux retourner à l'enseignement. Son témoignage nous pose cette question : un job qui donne du sens à la vie ne serait-il pas le luxe suprême ? Si oui, combien faut-il accumuler avant de pouvoir sauter le pas ?

Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi.

Cet épisode est la suite du témoignage d’Anne-Claire Genthialon, journaliste et autrice de l’essai Le piège du métier passion (Alisio). Dans cette seconde partie, elle analyse les effets de sa condition d’"intello précaire" sur des désirs assez légitimes : aménager confortablement, partir en vacances, avoir des enfants… Comment gérer ses frustrations quand tout le monde autour de soi prend son envol financier ? Comment tenir quand les efforts ne paient plus et que l’illusion méritocratique s’effondre ? En somme, comment se reconstruire quand le travail qu’on aime ne nous fait plus vivre ?

Pour plusieurs générations d'étudiants, le métier de journaliste a été abordé comme une passion, un emploi noble, avec du sens, un job d’intérêt public. Mais depuis plusieurs années, entre digitalisation, crise des médias et plans sociaux, la profession se précarise. Où est le point de bascule entre faire ce qu’on aime et pouvoir en vivre ? C’est le dilemme d'Anne-Claire Genthialon, pigiste dans un quotidien national. Cette "bonne élève", comme elle se décrit, a beau travailler en permanence, l’argent ne rentre pas, pas assez pour vivre décemment. Malgré tout elle, se convainc que ce n’est qu’une affaire de ténacité et de temps, avant de décrocher le CDI de ses rêves.  Car elle en est sûre, le travail finit toujours par payer. De cette attente et des nombreuses déceptions qui la traversent, elle a écrit un livre, Le piège du métier passion, paru l’an dernier aux éditions Alisio. Elle y raconte les tarifs très bas, la charge mentale des pigistes toujours sur la brèche, les doutes qui s’immiscent et les relations toxiques qui se nouent avec les métiers trop aimés. Quand les places sont chères, qui paie l’addition ? Ce témoignage étant dense, nous l’avons coupé en deux parties. Celle-ci est la première. Bonne écoute. —-------

  court extrait de l'épisode qui sort jeudi.

D'où vient la thune ? Et comment s'immisça-t-elle dans notre société ? Avec Sylvain Piron, on vous emmène à l'âge des premières pièces d'or, dans un monde où l'argent n'est pas roi et peut même conduire en enfer. Dans cette quête des origines, on découvre peu à peu l'origine des mots "valeur", "banque", "grève", "pactole" et même "business"... Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode qui sort demain, où l'on part explorer les premiers pas de l'argent en Occident, des trésors des rois aux grandes foires et marchés, avec Sylvain Piron, médiéviste.

Voici un court extrait de l'épisode qui sort ce jeudi, dans lequel le médiéviste Sylvain Piron nous fait visiter le monde d'avant l'argent-roi... entre trésors des templiers et échanges fraternels. 

 Cette semaine on vous rediffuse un de nos premiers épisodes. Voici le 2e volet consacré à Mélody, 33 ans, "dominatrice" BDSM, prostituée, qui conjugue une carrière forcément singulière et une façon de gérer sa vie et son argent dans laquelle on est, finalement, assez nombreux.ses à se retrouver. 

Cette semaine on vous rediffuse un de nos premiers épisodes. Au quotidien, - chacun, vous, moi - qu'est-on prêt à échanger contre l'argent nécessaire à payer le loyer, remplir le frigo et pourquoi pas, partir en vacances ? Mélodie explique qu'elle aurait pu faire autre chose, mais que finalement c'est "le plus vieux métier du monde" qu'elle a choisi. Elle est "travailleuse du sexe" comme on dit dans les médias, "pute" pour reprendre son vocabulaire, et s'est spécialisée dans le sado-masochisme. Pour Thune, elle fait le bilan entre avantages et inconvénients, et détaille l'équilibre financier et intime que lui confère sa situation. On a trouvé ça si intéressant qu'on en a fait deux épisodes. Voici le premier, bonne écoute !  

Ce qu'il y a de vraiment intéressant avec notre invité de la semaine, c'est qu'il relie vraiment son mode de vie très écolo et autosuffisant avec la thune. Et il nous pose question. Croyez-vous, comme lui, que l'argent est un frein à la décroissance et l'autonomie ? Bonne écoute ! 

On va parler autosuffisance et écologie avec Bjorn Duval, mais ce qui nous a vraiment intéressées chez lui, c'est son rapport à la thune. Car ce quadra qui bosse dans la comm' a beau faire son pain et décontaminer son eau, l'argent, il trouve ça super. Son but : dépenser moins pour le nécessaire et pouvoir se payer le superflu. Il y réfléchit à fond, il trouve des solutions, et il construit son mode de vie comme un barrage à l'inflation. Et on dirait bien qu'en plus il se sent carrément investi d'une mission : "sauver la classe moyenne" en ces temps difficiles...rien que ça ! Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode qui sort demain. Et si l'autosuffisance - alimentaire et en général -permettait de réduire ses dépenses ? Bonne écoute ! 

Au restaurant, combien est-ce-que le patron marge sur une assiette ? Et il faut combien de clients, de couverts pardon, pour gagner sa vie ? Quel est le coût de ce métier sur une vie de famille ?  Et sinon, c'est sympa ? Ça faisait un moment qu'on voulait s’entretenir avec un restaurateur. Comprendre ce métier,  généreux par nature et de ce qu'on en sait, pas vraiment facile. Simon, ancien patron de restaurant dans le 11ème arrondissement parisien, a accepté de témoigner. Et son parcours est pour le moins surprenant. Pour suivre Simon sur Instagram c'est ici

Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi.

La sociologue Alizée Delpierre s'est immergée dans les villas et les châteaux des plus grandes fortunes, mais pas côté piscine, plutôt côté cuisines. Elle a enquêté sur la domesticité contemporaine. Bonnes, majordomes, gouvernantes, chauffeurs... Elle s'est intéressée à ce peuple invisible sans qui les super riches ne pourraient pas vivre dans le luxe auquel ils aspirent. Elle-même d'ailleurs s'est prêtée au jeu en travaillant comme "nanny" pour des familles plus que nanties. Combien ça gagne, qu'est-ce que ça coûte, qu'est-ce qui se joue dans ce rapport au "service" le plus extrême ? Elle nous fait part de ses nombreuses découvertes et nous livre quelques clefs d'analyse qui nous renvoient, nous, les normaux, les cadres, les smicards, les chômeurs, à une réflexion profonde sur notre rapport à l'argent. 

Cette semaine on interviewe Alizée Delpierre, qui a réalisé une enquête passionnante sur la domesticité contemporaine intitulée "Servir les riches". En voici un premier extrait qui parle bien bien, mais alors bien de thune.

Aujourd’hui, je vous propose un épisode de thune un peu particulier. Audrey Chippaux, ne va pas nous parler de son rapport à l’argent, mais des arnaques d’influenceurs qu’elle traque sur les réseaux sociaux et compile sur son compte Instagram. Quand Audrey a découvert cette faune improbable sévissant en toute impunité sur les réseaux sociaux, elle est tombée des nues. Au point de décider de soulever ce qui se cache sous les posts Insta ou TikTok de ces vendeurs fraudeurs. Des contrefaçons aux comptes formation en passant par la chirurgie esthétique, bienvenue dans un monde à la fois bling et cheap.

Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi

 Voici le 2e entretien avec Jean-Laurent Cassely. Vous vous demandez si les diplômes, ça sert encore à quelques chose ? Si les riches vivent dans une bulle coupée du monde ? Si la "gentrification", c'est le mal du siècle ? Jean-Laurent Cassely décrypte, décortique, analyse... et apporte quelques éléments de réponse. Bonne écoute !   

C'est le printemps, c'est les vacances, on pense campagne, on rêve d'une vie bucolique... Vous pensez à déménager en province ou à la campagne ? Et vous vous fantasmez tenir une petite librairie indé ou un magasin d'antiquités ? Ou alors, parfois, vous vous dites que la France vit ses derniers feux, que la richesse et la grandeur de notre pays s'érodent et que "c'était mieux avant". Sur ces sujets d'apparence si divers, ces choix ou impressions si personnels, Jean-Laurent Cassely porte un regard... très Thune. Bonne écoute ! 

Depuis le Covid, le monde semble tourner autour d'un pays que nous connaissons mal... La Chine, avec ses 1,4 milliards d'habitants, fascine et fait un peu flipper. Mais à Thune podcast, une chose dont on est sûres, c'est qu'approcher une civilisation par l'argent, c'est un bon moyen de comprendre un peu mieux ses habitants. Et pour le coup, les Chinois ont un rapport passionnant à l'argent. Ils ont inventé le billet de banque, puis ils l'ont aboli sous le communisme avant de se lancer très récemment dans une surconsommation où semble s'exercer désormais leur liberté. Loin des clichés, avec Abel, on plonge au pays où la "prospérité" est érigée en divinité. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode qui sort ce jeudi où l'on explore le rapport des Chinois avec l'argent. Une histoire millénaire, un passage par l'abolition de l'argent avec le communisme, jusqu'à l'époque actuelle marquée par une consommation effrénée et exigeante. Au-delà des clichés, on apprend énormément dans cet entretien, bonne écoute ! 

Un peu de ra pour le plaisir.

Faire carrière dans la pub, ça fait encore rêver. Pourtant, nombreux sont les coming-out de pubeux lessivés par des horaires sans fin et un méchant sentiment d’inutilité. Voici le témoignage de Souen, propulsée très jeune au poste convoité de directrice de création, avec à la clef, un très bon salaire... mais à quel prix ? Après un, deux, trois burn-out, Souen décide de se réinventer loin de Paris et de son incitation frénétique à la consommation, loin des agences et de ce milieu qui la dévore. 

Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi.

Cécile s'est trouvée projetée dans la vie professionnelle avec le statut d'auto-entrepreneuse. Elle n'a pas vraiment eu le choix : dans le milieu des arts visuels, c'était ça ou ne pas se faire embaucher. Et pendant de nombreuses années, ça lui allait... Jusqu'au jour où elle a fait les comptes et a commencé à juger qu'elle se faisait avoir. Mais comment changer un système quand on est travailleuse indé ? Back to basics : avec quelques copines, elle a créé un syndicat. Est-ce qu'elle y gagne ? A voir... et à écouter ! 

Voici un court extrait de l'épisode à sortir ce jeudi, où Cécile, que son métier a poussé à être "auto-entrepreneuse" pendant des années, critique ce statut et ses "vices cachés". Avant de découvrir comment elle a réagi pour tenter de contrer un système, on vous souhaite évidemment...une bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode qui sort jeudi avec Cécile, qui considère que l'auto-entreprenariat en vogue dans son milieu professionnel est une "arnaque". Dans des métiers où tout le monde est appelé à travailler comme "indépendant", elle a décidé de créer son syndicat. Une bonne affaire ? La "lutte syndicale", ça rapporte ? A voir...et à écouter (bonne écoute !)

Aujourd’hui Sophia livre tout de ses questionnements sur l’argent dans ses relations amoureuses. Il faut dire qu’elle a une certaine poisse. Un premier mec qui lui vide son compte en banque, des aventures avec des hommes qui vivent mal qu’elle gagne bien sa vie, et un conjoint pris au portefeuille par une pension alimentaire très salée. Aujourd’hui qu’elle est à la tête d’une famille recomposée avec 4 enfants, la questions de la répartition des finances est toujours un sujet. L’argent est-il comme elle le dit “une énergie” ? En amour, où s’arrête le don et où commence la préservation de ses intérêts ? Bref, la thune est-elle soluble dans le couple ?

Un court extrait de l'épisode de Sophia.

Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi.

Voici un témoignage très particulier et très sincère : Sœur Jeanne-Marie  a accepté de nous parler, en toute confiance, de son rapport à l'argent. Il y a 25 ans, elle a fait "vœu de pauvreté" en prenant l'habit dans un ordre mendiant, la Congrégation des Sœurs apostoliques de Saint-Jean. Elle nous décrit sans faux-semblants le quotidien lorsque l'on s'en remet à Dieu et à l’Église pour assurer sa vie matérielle. Mais elle nous livre aussi ses doutes, ses questionnements, sur les écueils possibles de ce dénuement choisi. Et surprise, à la fin de l'épisode, elle nous fait une grosse révélation née de son désir récent d'autonomie financière...  PS : nous avons enregistré dans un bar parisien autour d'un chocolat chaud... navrée pour la qualité de son qui s'en ressent ;^)

Voici un court extrait de l'épisode très fort qui sort demain. Soeur Jeanne-Marie, religieuse dans un ordre mendiant, nous parle de la vie quotidienne quand on fait "voeu de pauvreté" et nous livre ses doutes sur le rapport à l'argent qu'elle a construit dans sa congrégation, en toute sincérité. Bonne écoute ! 

"Si tu bosses à l’école et que tu files bien droit, tu auras un bon travail et de l’argent". Vous avez intégré ça ? C'est normal,  ça s’appelle la méritocratie et c'est un rêve auquel on voudrait toutes et tous croire. Mais dans les faits, quand tu t’appelle Brahim, que ta mère est femme de ménage, et que tu viens d’une cité, tu n’as pas besoin des statistiques pour comprendre que l'ascenseur social est carrément grippé. Pour Brahim, il n' y a pas mille solutions : il faut se casser, loin, très  et construire sa vie ailleurs. Son ailleurs, ce sera Dubaï et les Émirats. Quand, fortune faite, il revient au pays avec femme et enfants, un autre type d’intégration l’attend : être légitime dans les sphères fermées de la bourgeoisie. Un épisode qui parle de fric, de super pauvres et de super riches, d’apparence et de mauvais goût, d’intégration ici et ailleurs, de bling, de famille… et du goût de la revanche quand on a manqué d'argent.

Voici un court extrait de l'épisode de Thune avec Brahim, qui a du quitter la France pour faire fortune.

Il n'était pas parti pour avoir une jolie retraite, Jean-Marc. Il avait pourtant travaillé toute sa vie, mais entre licenciement, prud'hommes et invalidité, après une carrière au Smic, c'était quand même très mal barré. Sauf que voilà, une fois de plus, il a tenté sa chance à la loterie, et cette fois...ça a marché. Le miracle est arrivé. Il raconte la sidération, l'immense émotion, que lui a procuré  ce petit ticket gagnant. Et puis l'envie immédiate de partage, le soulagement, l'impression de renaître et finalement, enfin, à 65 ans... l'amour. Cette semaine, on vous propose une belle histoire de thune. Bonne écoute. 

Voici un court extrait de l'épisode de Thune avec Jean-Marc, gagnant du loto à 60 ans, qui nous décrit "l'avant / après" de son quotidien depuis qu'il est devenu millionnaire. 

Voici un court extrait de l'épisode qui sort jeudi, où Jean-Marc décrit sa situation après une vie de travail et la perspective d'une retraite "vraiment pas terrible" s'il n'avait PAS gagné au loto à 60 ans. 

En quelques mois, Caroline Goldman est devenue la psy podcasteuse préférée des parents. Et la thune là-dedans ? Ce n'est pas son sujet mais si elle répond à nos questions, c'est qu'elle sait bien que l'argent est toujours là : dans nos failles, nos doutes, nos manques et notre volonté de "bien" éduquer nos enfants. L'argent fait-il leur bonheur ? Comment ? Et combien en faut-il ? J'ai lu cette stat récemment qui disait qu'un enfant "coûte en moyenne 180 000 euros" à ses parents. Bien mieux qu'un chiffre qui ne dit rien, les décryptages de la psy donnent à réfléchir. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode avec Caroline Goldman qui sort demain. Vous avez hâte d'entendre la suite ? Nous aussi, on a hâte d'avoir vos retours ! (Et si Thune vous plaît, n'hésitez pas à nous laisser un gentil comment sur apple podcast, ça nous aide beaucoup !)

Vivre du yoga, une bonne idée ? Comme d’autres, Élodie Garamond a décidé de vivre de sa passion... en grand. Elle a créé un premier centre de yoga dans le 17ème arrondissement, et ce studio a fait des petits et s’est développé à vitesse exponentielle pendant 7 ou 8 ans… sur des fondations pas toujours très solides. Jusqu’à ce que le Covid arrive, et que l’argent ne rentre plus… du tout. Merci à Élodie d’avoir accepté de nous raconter la face thune de son aventure, avec ses hauts, ses bas, son crash, sa renaissance.

Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi.

Ils sont 150 000 en  France, de gardien de la paix à commissaire, ils vont partout,  traversent les territoires, les classes sociales et les manifs. Qu'on les aime ou qu'on les déteste, ils structurent et scandent notre vivre-ensemble. Mais avez-vous déjà entendu un flic parler d'argent ? Eh non, les flics ne parlent pas : ils sont soumis au fameux "devoir de réserve" . Alors  quand une capitaine ose prendre la parole pour parler salaires, primes,  politique du chiffre et corruption, Thune fonce lui tendre son micro. Agnès Naudin  a coécrit avec Fabien Bilheran "Police, la loi de l'omerta" (Le  Cherche-Midi). Elle est claire, pédago, sensible et nous interroge sur  les limites d'un management vénère qui ne fait pas que du bien à nos  fonctionnaires. 

Voici un court extrait de l'épisode "Les flics et le fric, avec Agnès Naudin, capitaine de police" qui sort demain. 

Voici un court extrait du dernier épisode "Combien ça gagne un écrivain ? Les vrais chiffres des lettres - avec Hadrien Bels, romancier"

Vous avez déjà rêvé d'être écrivain ? Et pourquoi pas de "vivre votre plume" ? Mais au fait, ça gagne combien un auteur ? Meilleures ventes, prix littéraires, contrats d'édition, à-valoir et à-côtés... Hadrien Bels, qui a vendu 25 000 exemplaires de son premier roman "Cinq dans tes yeux" et vient de publier son deuxième livre, "Tibi la blanche", décrypte toute l'économie visible, et invisible, de ce "métier" si particulier. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 77 qui sort ce jeudi. 

Hadrien Bels a grandi au "Panier", un quartier mythique de Marseille qu'il décrit à l'époque comme un "bidonville".  Né dans une famille bourgeoise, il grandit avec des copains "mêmes pas prolos, carrément clandos", sans papiers, sans argent. Il se construit dans cet univers de flambe, d'arnaques et de menus larcins et il revient sur le rapport très particulier à la thune qu'il y a forgé. Bonne écoute ! (crédit photo : Anthony Micallef)

Voici un court extrait de l'épisode 75 avec Hadrien Bels qui sort ce jeudi. 

Dans la comédie Le diable s'habille en Prada, la terrible rédactrice en chef de Vogue assène à sa jeune assistante : "Tout le monde voudrait être à ta place". Car intégrer le cercle très fermé du cœur de la mode - on parle ici des grandes maisons de luxe qui font rêver le monde entier - nécessite des trésors de créativité, d'audace et surtout énormément de travail. Mais une fois qu'on y est, que le Graal est atteint, que se passe-t-il ? C'est ce qu'analyse la Docteure anthropologie sociale et ethnologie Giulia Mensitieri dans Le plus beau métier du monde (éditions La découverte) un essai sur les travailleurs de la mode. On y suit notamment le parcours de Mia, styliste en vue, vêtue de vêtements coûteux (et offerts), mais n'ayant pas assez d'argent pour payer son forfait de téléphone. Est-elle un cas isolé ? Selon Giulia Mensitieri, le cas de Mia serait au contraire systémique : que l'on soit styliste, mannequin, photographe ou tout autre métier qui vend du rêve, l'addition est, en quelque sorte, salée. Sans patrimoine ni conjoint.e riche, peut-on vivre et durer dans la mode ?

Un court extrait de l'épisode.

Un court extrait de l'épisode.

Vous vous souvenez de 2008 ? Mais siiii, l'année où la finance mondiale a vacillé : le scandale de Lehman Brothers, la crise des subprimes, l'affaire Kerviel... Boris Picano Nacci était trader à cette époque. Et à l'instar de Jérôme Kerviel, sa banque s'est retourné contre lui. Pour Thune, il a accepté de revenir sur son parcours, émaillé d'une sacrée descente financière.  Sa chute l'a-t-elle brisé ? Vous risquez d'être supris.e...

Voici un court extrait de l'épisode.

Depuis août dernier, la procréation médicalement assistée en France est ouverte aux couples de femmes et aux femmes seules. Super ! Sauf qu'en réalité, les choses ne sont pas toujours aussi simples (c'est souvent le problème avec la réalité) : des délais d'attente souvent très longs amènent les femmes à encore se pencher sur des parcours de  PMA à l'étranger... sans forcément savoir à quoi s'attendre au niveau tarif. Car malheureusement, le corps ne réagit pas toujours comme on le voudrait et chaque tentative est facturée. Le bébé serait-il un business comme les autres ? Pour rentrer dans les détails et comprendre ce que recouvre exactement une PMA, écoutez le témoignage sensible et pragmatique de Marie-Clémence Bordet-Nicaise et le récit de ses multiples parcours de PMA à Saint-Sébastien, en Espagne.

Un court extrait de l'épisode.

L'été dernier, Le Monde publiait quelques-unes des  enquêtes de Raphaëlle Bacqué et Vanessa Schneider sur les successions de quelques grandes familles industrielles françaises. On y découvrait l'intimité des Arnaud, des Bolloré, des Lagardère, des Bouygues, des Bettencourt... et l'épineuse passation du pouvoir. Leur livre Successions, l'argent, le sang, les larmes (Albin Michel) dévoile encore davantage les ressorts psychanalytiques qui animent ces ultra-riches quand il s'agit de lâcher les rênes. Comment désignent-t-ils l'élu.e ?  À qui faire confiance ? À qui ne surtout pas faire confiance ? Comment préparer sa sortie quand, au-delà de la fortune familiale, la passation met en jeu des milliers d'emplois ? Et pour les héritiers, comment se construire et voler de ses propres ailes quand le patron, c’est papa ? Entre fric, business et psychologie, un épisode qui éclaire aussi les enjeux d'héritage chez les gens dits... "normaux". Merci à Raphaëlle Bacqué et Vanessa Schneider, grands reporters au Monde. Photo : Samuel Kirszenbaum

Un court extrait de l'épisode.

On vous emmène au coeur de la fameuse start-up nation avec Jean-Baptiste Kempf, une star de la French tech. Il nous parle de son rapport à l'argent dans ce biotop qu'on nous vante comme le vivier de la win et des entrepreneurs à succès. Est-ce que "open source" veut dire gratuit ? Les geeks sont-ils désintéressés ? Qui fait fortune dans la tech, et comment ? Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode.

Vous  souvenez-vous de "L’ adversaire", ce roman d’Emmanuel Carrère qui retrace  le parcours de Jean-Claude Romand ? Ce prétendu médecin et chercheur a menti à sa famille sur sa vie et ses activités pendant 18 ans. Acculé et à court de  ressources financières, il avait assassiné femme et enfants. Dans cet épisode de Thune,  pas de meurtre mais un mystère épais. Au sein d'une  famille bourgeoise et heureuse du Sud-Ouest, un père accumule des montagnes de dettes sans que personne ne s'en aperçoive. Quand le couperet tombe, il est trop tard : les ravages sont faits...  mais les questions demeurent. Que s'est-il passé ? Pourquoi cette faillite alors que tout semblait aller si bien ? Où est passé l'argent ? Un épisode suffoquant qui retrace une descente aux enfers familial, dans un décor feutré.   Merci à Caroline pour ce témoignage hors du commun et pour sa confiance.

Un second extrait de l'épisode palpitant qui sort jeudi.

Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi.

Comment se fait-il que certains "pauvres", qui vivent avec l'aide des allocations, se payent le dernier Iphone ou des fringues de marque ? Au fond, quelqu'un de pauvre, est-ce que ne serait pas quelqu'un qui ne sait pas correctement gérer son budget ? Et pourquoi est-on si nombreux à avoir peur de devenir SDF ? Denis Colombi, sociologue et auteur de "Où va l'argent des pauvres" (Payot) fait le point. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 69

Le week-end dernier, l'univers du Bitcoin et de la crypto a pris une ultime rouste, avec la faillite de FTX, l'un des plus gros courtiers du secteur, sur fond de corruption et de hacking. Les monnaies virtuelles ont plongé... Mais déjà avant cet événement, leur valeur ne faisait que fondre depuis un an. Ca nous avait donné envie de revoir Laurent. Mais siiii, vous savez, Laurent : notre interviewé de l'épisode 17 de Thune podcast ! Scénariste, 53 ans, vivant en région parisienne. En janvier 2022, il se vantait avec passion de ses 250K en cryptos. On l'a revu il y a 15 jours pour prendre des nouvelles de ses Bitcoins... Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 68.

Il y a un sujet qu'on a forcément un peu abordé dans les deux épisodes précédents avec Leila, qui a vécu 20 ans aux Emirats arabes unis... Les fameux 10% de la population qui en sont les seuls vrais citoyens. Comment voit-elle ces "rois du pétrole", elle qui a approché leur intimité ? Quel est leur rapport à la vie à travers le prisme de l'argent ? Bonne écoute ! 

Est-ce qu'on devient forcément riche quand on bosse à Dubaï ? Pour de vrai, qu'est-ce qu'on y gagne... et à quel prix  ? Saviez-vous que le surendettement y était très courant ? Est-ce que ça vaut le coup d'émigrer là-bas ? Leila y a passé 20 ans, et en nous livrant sa vérité elle brise pas mal de clichés. Bonne écoute ! 

Exit les reportages sensationnalistes sur le "Paradis de la thune" : oubliez tout ce qu'on vous a dit sur Dubaï. Au pays du fric, l'envers du décor n'est pas si glam'. Oui, il y a des super riches, il y a des super pauvres... Mais il y a aussi tout un petit peuple de cadres et de free lances qui taffe sans relâche et dépense ce qu'il gagne, sans cotiser à rien. Vous ne verrez pas ça sur Insta : petit voyage dans le tragique ordinaire du capitalisme débridé.  

Voici un court extrait de l'épisode 66

On n’interviewe pas tous les jours un notaire sur la succession. Déjà, parce que c’est complexe et surtout parce que ce n’est pas forcément le sujet le plus amusant du monde. Oui, quand on est en deuil, parler d’argent est certainement l’une des dernières choses que l’on se souhaite. Pourtant, il est probable que chacun d’entre vous qui écoutez ce podcast, sera un jour confronté à ce délicieux moment. Ayant moi-même été dans cette situation, j’ai voulu poser au notaire François Ripart, toutes les questions auxquelles j’aurais aimé avoir des réponses… avant. 

Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi.

Jean-Philippe Decka, diplômé d'HEC, avait tout pour rejoindre le rang des élites françaises, pour grossir les rangs de ceux qui gagnent des salaires à 6 chiffres, vivent dans de beaux appartements haussmanniens et  accumulent les Miles Air France. Pourtant, mal à l’aise avec ce monde, il lâche la rampe petit à petit. Et puis, c’est la révélation écologique. Tout s’éclaire : les 10% les plus riches doivent montrer l’exemple. Il publie Le courage de renoncer (éditions Payot) et raconte dans cet épisode sa prise de distance radicale avec le mode de vie des privilégiés.

Un court extrait de l'épisode de jeudi.

Au fait, c'est une bonne situation ça, psy ? Mathilda Audasso, jeune analyste installée en Seine-Saint-Denis, nous dévoile sans tabous son économie personnelle. Bonne écoute ! 

Pourquoi les psy aiment-ils tant le cash ? Est-ce que l'analyse, c'est pas un peu un truc de riches ? Il gagnait combien, Jacques Lacan ? Et que veut dire Freud quand il dit que l'argent "c'est de la merde" ? Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la thune et la psy, et bien plus encore est dans ces deux épisodes. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 61 qui sort demain !

Il est sympathique, ce fils de la cité phocéenne ! Marseille lui a offert ce qu'elle avait à offrir, il s'en est emparé et... ça aurait pu mal tourner. Mais Mao est malin, exceptionnellement malin pour son âge. Et son témoignage interroge : est-ce que manier, gérer de l'argent, si jeune, fait grandir, mûrir ou vieillir ? La thune rend-elle plus "responsable", plus sage... ou plus inquiet ? A vous de me dire. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 60

Vous aimez les paradoxes ? Oui, on peut avoir eu une enfance pauvre dans une famille bourgeoise. Oui, on peut être surdiplômée et avoir des fins de mois difficiles.  Oui, on peut éduquer les femmes sur l'argent et avoir du mal à se faire payer. Voici quelques-unes des dissonances d’Ophélie Latil, féministe qui se bat au quotidien pour émanciper les femmes, dans les traces de George Sand, féministe de l'argent par excellence. Elle a tenu a témoigner du sentiment d’attirance / répulsion que l’argent lui provoque et de son désir d'apaisement. Un épisode dense et sincère, l'histoire d'un engagement marqué au fer rouge par le manque.

Un avant goût de l'épisode qui sortira demain.

Comment transforme-t-on une œuvre en une somme d'argent ? Et selon quels critères ? Il y a une poésie, une esthétique dans certains commerces : Marco cherche, déniche, et revend des tableaux en salle des vente.  Bien acheter, ne pas se faire avoir,  négocier - âprement mais pas trop - et au final comprendre le "juste prix" d'un objet d'art, c'est en soi...tout un art justement. Bonne écoute !

Voici un court extrait de l'épisode 59.

Et vous, que seriez-vous prêt à perdre au nom de vos "valeurs" ? Edouard Snowden, Erin Brokovitch, Antoine Deltour... Cécile s'inscrit, un peu malgré elle, dans leur lignée.  "Lanceur d'alerte" n’est pas un métier ou une vocation, c’est une situation : celle de quelqu’un qui se rend compte qu’il y a une malversation et que les voies classiques pour la dénoncer ne fonctionnent pas. Et qui se retrouve, dans l'anonymat et la solitude, à mettre en péril son statut, sa position sociale, familiale et surtout financière, au nom de la vérité. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 58

François est d'une sincérité absolue. Il nous parle précisément des coûts -psychologiques comme financiers - de la fin de vie de ses parents (un vrai gouffre). Avec émotion, humour même , humanité et... calculette. Une leçon de vie, dont on ressort plus conscient et moins naïf. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 55

Voici un court extrait de l'épisode 55

Reconversion, changement de vie... Chaque nouveau mois de septembre, les médias se gargarisent autour de se sujet, qui n'a jamais fait autant rêver les Français. Mais derrière l'idée enivrante de changer radicalement, il y a aussi des réalités financières. De quoi vit-on quand on décide de changer d'activité ? Quelles sont les aides ? Où trouver des ressources quand notre conjoint n’est pas riche ? Peut-on le faire à tout moment de sa vie ? C’est quoi les aides ? Bref, combien ça coûte de changer de vie ?

Un court extrait de l'épisode.

Est-ce qu'on sait ce qu'on est prêt à payer pour vivre sa passion ? Sabrina alias Olymperêve, nouvelle influenceuse féministe et politique forte d'une belle communauté Insta raconte comment elle limite sa notoriété et ses revenus en se refusant d'aller sur certains réseaux sociaux pour éviter d'avoir à subir harcèlement et raids vengeurs. Mais elle détaille aussi la construction patiente de son petit business pour atteindre l'autonomie financière. Bonne écoute ! 

Dans cet épisode on rentre dans le dur, dans les chiffres, au coeur de la thune de Sabrina, alias Olymperêve, influenceuse qui vit de sa "commu" sur les différents réseaux sociaux. Une exploration intime qui mêle spontanéité, analyse et...politique. Bonne écoute ! 

Il y a Kim Kardashian, la mythique Nabilla, il y a les stars de téléréalité, et puis il y a... tous les autres. Tout ce petit peuple de l'influence qui se montre, qui explique, qui disserte et anime les réseaux sociaux. Tous ne sont pas millionnaires, mais certains, comme Sabrina - alias Olymperêve - parviennent à en vivre. Si vous pensez "argent facile", vous risquez d'être bien surpris. Car les sacrifices sont nombreux, et parfois douloureux, sur l'autel de l'"Insta" avant de pouvoir se payer un salaire. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait des épisodes 51/52/53

On ne l’aime pas le radin. On est les premiers à se moquer de lui derrière son dos, à le regarder blêmir à l’heure cruciale de l’addition. On le qualifie de rat, de pince, on dit de lui qu’il a des oursins dans les poches. Et surtout, on en connaît tous ! Pourtant, ça fait plusieurs mois que j‘en cherche un à interviewer et impossible de trouver quelqu’un qui accepte d’ être le pingre de service. Alors, je suis allée à la source, discuter avec Marc Maziere, le créateur de "Radin malin", un site de bons plans et d’économies. Surprise : Marc est jeune, plutôt sympa, et lucide : la preuve : il se définit lui même comme étant 70% économe et 30% radin. L’écouter parler de son enfance, de son parcours, peut aider à comprendre comment on rentre dans la spirale de l’économie... à tout prix. Pour découvrir son site c'est ici : https://radinmalinblog.com/

Un court extrait de l'épisode qui sort jeudi matin.

 Dans le 2e épisode consacré au rapport intime des Russes à l'argent, on parle sanctions économiques, bakchichs, drague via les apps de paiement et fuite des cerveaux. Bonne écoute ! 

Parfois, un bon épisode de "Thune", c'est d'abord un coup de bol : tomber sur Delphine, qui vient de passer plusieurs années à Kazan, en Russie. Le rapport à l'argent, ça l'intéresse, et en tant qu'expat immergée dans la vie quotidienne d'une ville moyenne russe, elle a pu creuser le sujet à fond. Avec elle, les fameuses "sanctions économiques" s'incarnent très concrètement et le choc culturel se lit dans dans le porte-monnaie de chacun, bien loin des clichés sur les oligarques et leurs yachts. Bienvenue au pays du crédit à outrance, de la surconsommation et de la débrouille... sur fond d'inflation et de guerre.  On a trouvé ça si intéressant qu'on en a fait deux opus. Bons baisers de là-bas et bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 42

(ERRATUM : Brain a été lancé en 2007 et non en 2014 comme dit dans le générique) Tous ceux qui se sont intéressés à l'émergence de l’humour LOL, qui ont scrollé pour lire des articles sans fin, qui ont découvert avec gourmandise le terme "putaclic", bref, tous ceux qui ont aimé regarder naître la culture web, ont forcément connu le site Brain.  C’était quoi Brain ? Une sorte d’ovni médiatique lancé en 2014 au ton "intellol", laissant la part belle aux interviews-fleuves et aux reportages barrés et le réceptacle de l'irremplaçable "page pute". Alors quand j’apprends qu’en mai 2022, Brain expire, j’ai envie de comprendre pourquoi. C’est sa fondatrice, Anaïs Carayon, que je rencontre aujourd’hui, pour parler des média digitaux, de la circulation de l’argent quand on bosse avec des potes ou de la prise d’otage menée par les algorithmes des GAFFAS. Avec une question de fond  : la créativité sur internet est-elle encore compatible avec l’argent ? 

Un court extrait de l'épisode 41.

Combien ça coûte de mourir ? Est-ce que certains "en profitent" ? Qu'est-ce qui se joue dans cette dernière dépense ?  Ariane est conseillère funéraire, elle dit TOUT, absolument tout sur son commerce, et son amour d'un métier... pas comme les autres. Et répond enfin à cette question que tout le monde se pose : mais pourquoi les urnes sont-elles si chères - et si moches ? Bonne écoute !

Voici un court extrait de l'épisode 40 qui sort ce jeudi.

J’aime beaucoup le podcast Méta de Choc, crée par Élisabeth Feytit. Chacun de ses épisodes est une invitation à éduquer notre pensée critique, à travers des interviews d’experts ou de témoignages de personnes sorties de croyances modernes - comme le new age. Élisabeth Feytit, repentie de ce mouvement, lui porte un regard critique qu'elle alimente de références scientifiques. Dans une époque qui voue un culte au grand développement personnel, cette nouvelle façon de dépenser notre argent m’interroge. Est-il vraiment rentable d’investir sur soi-même ? Est-ce qu’il n’y pas derrière tout ça l’idée que nous sommes tous des produits à améliorer en permanence ?

Un court extrait de l'épisode

Il a connu l'extrême richesse, il l'a payé de 5 années de prison... Et aujourd'hui, que reste-t-il ? Des dettes, des souvenirs, très peu d'amis et plus d'ambition que de regrets semble-t-il.  Bonne écoute. 

L'auteur de la plus grande arnaque du siècle, dite de "la taxe carbone" revient sur ses années fric, ses centaines de millions, sa rencontre avec des stars et des voyous, et sa vie de rythmée par les voyages en Première et les réveils à l'aube marqués par l'angoisse... de son arrestation. De la lumière à l'ombre : la liberté a-t-elle un prix ? Bonne écoute !

Comment un gamin de Pantin devient-il multimillionnaire ? Et à quel prix ?  Vous avez peut-être vu le documentaire Netflix consacré aux "Rois de l'arnaque" qui revient sur l'affaire de la fraude à la taxe carbone, l'une des plus grandes escroqueries du siècle. On y découvre plusieurs personnages hauts en couleurs et un plus discret : Grégory Zaoui dit "le cerveau", l'inventeur de cet énorme détournement de TVA qui a coûté des milliards à l'Etat. Pour Thune, il revient sur sa vie, son amour des risques et son appétit pour ce qui brille. Bonne écoute

Voici un court extrait de l'épisode 36... à sortir demain ! Saurez-vous deviner de qui il s'agit ?

Sophie Cras est maîtresse de conférences en Histoire de l'art contemporain. Elle démontre dans son dernier livre, Écrits d'artistes sur l'économie, une anthologie (éditions B 42) que contrairement aux idées reçues, les artistes se sont bien souvent intéressés à l’argent.  Et nous explique pourquoi la question de la rémunération des artistes est toujours un sujet sensible.

Un court extrait de l'épisode

Voici le 2e entretien avec Jean-Laurent Cassély. Vous vous demandez si les diplômes, ça sert encore à quelques chose ? Si les riches vivent dans une bulle coupée du monde ? Si la "gentrification", c'est le mal du siècle ? Jean-Laurent Cassély décryte, décortique, analyse... et apporte quelques éléments de réponse. Bonne écoute !  

Vous avez soudain envie de vous reconvertir dans la pâtisserie, la cuisine ou le yoga ? Vous pensez à déménager en province ou à la campagne ? Ou alors, parfois, vous vous dites que la France vit ses derniers feux, que la richesse et la grandeur de notre pays s'érodent et que "c'était mieux avant". Sur ces sujets d'apparence si divers, ces choix ou impressions si personnels, Jean-Laurent Cassély porte un regard analytique... et très Thune. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 33 qui sort demain. Bonne écoute ! 

Salomé n’aime pas dépendre. Ni d’un homme, ni d’une banque. Alors, elle gère, compte, s'agace des injonctions à consommer, met à gauche. Et gère sa vie de façon à la fois singulière et ultra-maîtrisée. Et force est de constater que cette mère de trois enfants à Paris s'en sort plutôt pas mal...

Court extrait de l'épisode.

Ancien banquier suisse, Christian Junod vit sa meilleure vie depuis qu'il s'est reconverti en coach "expert de la relation à l'argent". Avec lui s'entrelacent thune et développement personnel. Dans ses livres ("Ce que l'argent dit de vous", éditions Eyrolle), ses ateliers, ses conférences, Christian déploie ses réflexions et accompagne ceux qui recherchent plus de sérénité dans leur rapport au fric. On ne prend pas tout ce qu'il dit pour argent comptant, mais force est de constater qu'il a bien bossé son sujet. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode. 

On parle d’eux comme des rocks stars du marché de l’emploi.  Les développeurs, ces bâtisseurs de la tech qui résolvent des problèmes en codant, sont aussi discrets que recherchés. Alors que le marché du numérique (5,5% du pib français actuellement) pourrait doubler dans quelques années selon une étude de BPI france, ils sont une denrée rare donc coûteuse. Ils ont même leur propre mème, Dave le dev, qui annonce d’entrée sur sa page Linkedin, “c’est pas moi qui postule à ton offre, c’est ton offre qui postule à moi. Alors je suis allée rencontrer Vincent, développeur dans une start-up, qui a accepté de nous parler de lui et de la réalité financière de son métier.

Extrait de l'épisode de Vincent.

Audrey avait une belle vie, bourgeoise, favorisée, entourée. Mais quand son mari est décédé brutalement à 45 ans, la laissant seule avec 4 enfants, elle a perdu pied. Au delà de la perte, terrible, elle nous raconte l’immersion brutale et pas vraiment souhaitée dans les comptes bancaires d’un être cher, les disputes autour de l’héritage, l’inquiétude souvent irrationnelle de ne pas s’en sortir. Quand les soucis d’argent se superposent à la peine, le deuil est-il encore plus dur à traverser ?

Un court extrait de l'épisode.

Voici une histoire très, très particulière. Petit, Sylvain a eu très fort le sentiment que son père utilisait la thune pour exercer un contrôle excessif. Il en a conçu un incroyable désir d'autonomie. Mais combien d'argent faut-il pour s'assurer de ne jamais devoir rien à personne ? Apparemment...énormément ! Bonne écoute. 

Voici un court extrait de l'épisode.

Marie  eu du fric, n'a plus eu de fric. A eu des enfants, a connu la rue. Aujourd'hui elle a la cinquantaine. On s'est posées à une terrasse de bistrot, elle a accepté de parler de thune, librement. Elle est "colportrice" de journaux, touche le RSA et vit dans un studio dans une cité de Marseille. Elle paye son loyer en retard. Elle s'est blessée à la cheville. Mais ça va. Bonne écoute. 

Voici un court extrait de l'épisode.

Parfois, on recueille une perle. Un parole rare de franchise, de sincérité. Morgane nous a donné ça. Peut-être parce qu'avec son rapport à la thune, elle porte aussi son rapport à l'enfance. La petite fille en elle, qui a tant travaillé pour devenir danseuse, s'est rendu compte, un peu tard, à 27 ans, qu'elle voulait finalement devenir adulte. Aujourd'hui, elle tente de réconcilier son rêve d'enfance - sa carrière dans laquelle elle a brillamment réussi jusqu'à danser à l' Opéra de Paris et à la Scala de Milan - mais elle ne parvient toujours pas à réconcilier passion et argent. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 27

Il y a 4 ans et demi, Jérémy est devenu livreur à vélo. Au début, le travail, même dur, lui plaisait bien. Mais peu à peu, il a vu sa rémunération baisser, baisser, baisser...à tel point qu'il en a conçu une immense colère contre ses employeurs. Avec lui, on comprend comment de la thune peut naître la révolte. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 25

Joël Catherin était un avocat d'affaires en pleine ascension, quand il a fait un burn-out qui l'a laissé sur le tapis. Plusieurs années après, sans avoir pu raccrocher au monde du travail, il raconte comment il a dû diviser son niveau de vie par dix. 

Un court extrait de l'épisode.

Prendre votre retraite à 40 ans, ça vous donne envie ? Victor Lora, lui, a tout fait pour y arriver. Chef de file du mouvement FIRE (en français le "frugalisme"), il a limité ses dépenses, investi et peut, à seulement 33 ans, vivre de ses rentes car il est... millionnaire. Mais à quel prix ? En est-on tous capables ? Peut-on, doit-on se serrer la ceinture pendant des années ? Est ce qu'il faut être déjà riche pour devenir encore plus riche ? Et finalement, c’est quoi, "profiter" ?

Court extrait de l'épisode.

Vous avez peut-être vu sur les réseaux sociaux cette dame d'un certain  âge, très chic et un peu snob, qui organise des  diners, chez elle, dans  sa chambre de bonne de 6 m2. Cette dame, c’est Nathalie George et son  histoire est celle d’une mondaine, qui aime recevoir, n’aime pas  compter, et qui a été heurtée par la vie suite à un banal contrôle  fiscal. C’est l'histoire d’une dette qui grossit, grossit, jusqu'à devenir  intenable et d'un déclassement subi - et de ce qu'on décide d'en faire.

Voici un court extrait de l'épisode.

Pourquoi a-t-on tant de mal à parler d'argent ? Est-ce spécifique à la France ? Comment s'est construit historiquement notre rapport à la thune et qu'est-ce qui a changé ces dernières années ? En quoi les ultra-riches sont-ils inquiétants ? L'argent fait-il le bonheur ? Jeanne Lazarus affute sans relâche ses armes de sociologue pour répondre à ces questions qui la passionnent. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode.

Bruno a été "chargé de clientèle" dans deux grandes banques pendant près de trente ans et continue à travailler dans ce secteur en intérim. Il dit tout de ce métier : ses secrets honteux, ses moments marrants et surtout son côté humain. A l'écouter, une agence bancaire finit par ressembler à un lieu hybride, entre le cabinet de psy, l'hôpital de jour et un décor de "Plus belle la vie". 

Voici un court extrait de l'épisode 20

Maroussia Dubreuil est journaliste. En 2020, elle s'est immergée dans le quotidien des super nantis, en allant passer plusieurs semaines à Monaco (Candide à Monaco, aux éditions JC Lattès). Bienvenue dans la vie des riches qui vivent entre riches. 

Un court extrait de l'épisode.

Voici le deuxième épisode consacré à Laurent, totalement fondu de cryptomonnaies. Il nous explique les ficelles de ce trading très particulier, sa sociabilité internationale et transclasse, et son horizon collapsiste. 

 Il y a 6 ans, un peu par hasard, Laurent est "tombé" dans les cryptomonnaies comme d'autres tombent amoureux ou tombent dans l'héroïne. Depuis, hypnotisé par leurs courbes, il passe sa vie à s'informer pour mieux analyser le marché et optimiser ses positions. Il nous raconte cette passion - très rémunératrice - et nous ouvre la porte d'un monde virtuel de thunes bien réelles où n'importe qui peut, en quelques secondes, devenir millionnaire... ou tout perdre. 

Voici un court extrait de l'épisode 17

Pendant 15 ans, en travaillant jour et nuit, Raphaël a réussi à mettre une petite fortune de côté en étant pigiste dans la presse. Suite au déclin annoncé de son métier, il a décidé de devenir prof. Pour Thune, il dévoile l’amertume qui le mine face à  l'ingratitude financière de son nouveau job… et plus généralement face à l'ultra consumérisme de notre époque.

Court extrait de l'épisode.

Les femmes seraient-elles les grandes perdantes du couple ?  C'est le constat que dresse la journaliste Lucile Quillet dans son essai “Le prix à payer ce que le couple hétéro coûte aux femmes”. Elle y passe en revue le déséquilibre qui touche le porte monnaie des femmes, avant, pendant et après le couple. Et oui, des solutions existent.

Court extrait de l'épisode.

On vous emmène à Beyrouth, au Liban, un pays de business et d'opulence jusqu'en 2019. Depuis, l'Etat s'est mis en faillite, les banques aussi, et les Libanais ne peuvent plus retirer leur argent. Les biens de consommation connaissent une inflation à trois chiffres. Marilyne, pharmacienne, gagnait très bien sa vie. Elle nous raconte ce qui se passe au quotidien quand une bulle financière éclate. Bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 14

Peut-on, et doit-on, tenter de se passer de thune ? Depuis plus de dix ans, Benjamin Lesage se méfie de l'argent et tente tout pour vivre sans. Après un voyage qui lui a pris trois ans pour rejoindre le Mexique en échangeant des services, en récupérant des invendus pour se nourrir, en dormant n'importe ou et en comptant sur la bienveillance de ses rencontres, il a fondé une communauté végan et autogérée où la place de l'argent est réduite à minima. Aujourd'hui, père d'une petite fille, il revient sur son parcours et s'interroge sur ses choix de vie, entre radicalité et utopie. 

Voici un court extrait de l'épisode 13

Je me rends compte de l’immense ignorance qui est la nôtre au moment d’un divorce. Quand on décide de se séparer, on se retrouve sur un territoire peu accueillant où s'entremêlent sentiments, griefs, enfants et argent et où “faire payer l'autre” prend tout son sens. Avec Gautier Gisserot, avocat spécialisé en droit de la famille, nous discutons de l’encadrement du divorce : que vaut vraiment un adultère? Est-ce qu'un divorce peut enrichir ou ruiner l'une des deux parties ? Vaut-il mieux couper net ou faire traîner ? Enfin, faut-il encore se marier ?

Un court extrait de l'épisode.

Sébastien descend d’une longue lignée aristocratique. Quand je l’ai rencontré il y a une vingtaine d’années, rien dans sa personnalité ou ses choix de vie ne le laissaient paraître : il était branché musique, il avait créé un label indé, il avait choisi une existence de passion plutôt que la sécurité financière. Mais son ascendance l’a rattrapé, notamment sous la forme du château dont il a hérité à la mort de ses parents. Un bijou, un véritable gouffre financier également, qui l’a conduit à changer radicalement de vie pour assurer la pérennité de ce que ses ancêtres lui ont légué. Et aujourd’hui, la question de la transmission à ses enfants l’obsède.  

Voici un court extrait de l'épisode 11

 Voici le 2e épisode consacré à Mélodie, 33 ans, "dominatrice" BDSM, prostituée, qui conjugue une carrière forcément singulière et en même temps une façon de gérer sa vie et son argent dans laquelle on est, je crois, assez nombreux à se retrouver.

 Quelle économie intérieure, personnelle, préside aux choix que l'ont fait dès lors qu'il s'agit de gagner... sa vie ? Au quotidien, - chacun, vous, moi - qu'est-on prêt à échanger contre l'argent nécessaire à payer le loyer, remplir le frigo et pourquoi pas, partir en vacances ? Mélodie explique qu'elle aurait pu faire autre chose, mais que finalement c'est "le plus vieux métier du monde" qu'elle a choisi. Elle est "travailleuse du sexe" comme on dit dans les médias, "pute" pour reprendre son vocabulaire, et s'est spécialisée dans le sado-masochisme. Pour Thune, elle fait le bilan entre avantages et inconvénients, et détaille l'équilibre financier et intime que lui confère sa situation. On a trouvé ça si intéressant qu'on en a fait deux épisodes. Voici le premier, bonne écoute ! 

Voici un court extrait de l'épisode 9

Certe mathurin joue son nouveau one man show, "Une histoire d'argent" en ce moment. Mais au-delà des blagues, c'est son propre rapport à l'argent qui m'a intéressée. Né dans une famille pauvre, comme il le dit lui-même, il a travaillé jeune, et a exercé plusieurs métiers avec la frénésie hyperactive des vrais entrepreneurs.  S'il gagne maintenant très bien sa vie - car oui, cet épisode nous éclaire aussi sur le business de l'humour- il n’est pas avare de digressions sur l’argent et le lien social.

Un court extrait de l'épisode.

Guillaume Sescousse, chercheur à l’Inserm en neuroscience, nous révèle quelques-unes des propriétés de l’argent sur notre comportement et notre cerveau. Il évoque aussi l’addiction aux jeux d’argent, une pathologie psychiatrique encore mal connue en France. Aux USA, où elle est mieux étudiée, on estime qu’elle affecte 3% de la population. Pour aller plus loin : https://guillaumesescousse.wordpress.com/ 

Voici un court extrait de l'épisode.

 Guillaume a été joueur de poker professionnel pendant une quinzaine d’années. Un métier dont l’outil principal, comme il le dit lui-même, est l’argent. L’argent qu’on prend aux adversaires, l’argent qu’ils vous prennent. Un job où tout peut se jouer sur une carte retournée, sur une émotion mal gérée... Une carrière qu’il a vécue un peu comme un ado jusqu’à ce que la réalité d’un bon gros redressement fiscal le rattrape.  

Voici in court extrait de l'épisode 7

Charlène s’est retrouvée plongée dans la vie des ultra-riches le jour où elle a accepté ce job d’hôtesse-matelot sur un yacht à 70 millions. Elle pensait “bon plan” et même pourquoi pas “argent facile”... mais elle a découvert qu’être au service de milliardaires en vacances était loin d’être si facile. Satisfaire leurs folles exigences, assister chaque caprice de leur vie à bord, lui a fait reconsidérer son rapport au travail...et à l’argent. 

Voici un court extrait de l'épisode 6

Christophe est né dans une cité pauvre de Marseille. Déscolarisé à 14 ans, il a réussi à s'en sortir en travaillant beaucoup et en montant sa chaîne de restaurants. Quand on est né pauvre, l'argent a-t-il toujours la même odeur ? Reste-t-on toujours un ancien pauvre ou est-on condamné à être un nouveau riche ?

Court extrait de l'épisode.

Diplômée et pourtant allergique à la vie de bureau, Kristel a choisi une vie au bord de l'Atlantique, quitte à sacrifier une carrière, qui de toute façon, ne l'avait jamais intéressée. Elle vit avec peu et pourtant affirme ne manquer de rien. Mieux, elle revendique une vie "de luxe", qui privilégie le temps pour soi au temps passé au travail. Son rapport à l'argent n'est pas pour autant détaché. Pour tenir son budget, Kristel a en permanence un œil sur ses comptes. Le lâcher-prise a un coût : une discipline quotidienne pour ne pas être dans le rouge.

Court extrait de l"épisode.

Emmanuel a 40 ans et est directeur de la communication de deux hôtels de luxe à Paris. Il est extrêmement ambitieux et ne le cache pas. Durant cette épisode nous l’écouterons nous parler de son appétit pour l’argent et le travail. Il nous ouvrira aussi une fenêtre sur une frange de la population qu’on connaît peu, celles des mondains privilégiés.

Court extrait de l'épisode.

 Rose, 35 ans, est féministe et vit à Paris avec son conjoint et ses deux enfants. Elle a décidé d’arrêter de travailler en entreprise, pour se consacrer à ses projets : écrire, monter sa boîte, s’occuper de ses enfants. Autant dire des activités pas vraiment lucratives. Du coup, c’est son mec qui ramène l’argent. Comme Rose est féministe, dépensière et de nature indépendante - voire un poil farouche - elle concède avoir quelquefois du mal avec ce nouveau statut. Mais heureusement, Rose ne déteste pas les paradoxes...  

Court extrait de l'épisode.

S’il n’a pas gagné au loto, Laurent a pourtant touché, à 35 ans passés, plusieurs millions d'euros : une avance sur héritage, qui a autant ébranlé sa trajectoire que ses questionnements. Pour ce premier épisode, il nous livre un témoignage fort sur ce qu’implique un don et  la quête de légitimité qu'il peut engendrer. Et si devenir riche n’était pas aussi facile qu’il y paraît ?

Court extrait de l'épisode.

Un medley de quelques-uns de nos épisodes, composé par RFI pour l'émission "7 milliards de voisins".