durée : 00:24:57 - Le Feuilleton - Mikael a échappé de justesse aux deux tueurs à gage recrutés par la Section pour l’éliminer. Il peut donc assister au procès de Lisbeth Salander qui s'est ouvert deux jours après la tentative d'assassinat contre lui. - réalisation : Sophie-Aude Picon, François Christophe

durée : 00:24:51 - Le Feuilleton - Les hommes de la Section secrète de la Säpo, sentant l'étau se resserrer autour d'eux, engagent des tueurs à gage pour éliminer Mikael. - réalisation : Sophie-Aude Picon, François Christophe

durée : 00:24:49 - Le Feuilleton - Lisbeth a commencé à préparer sa défense pour son procès depuis la prison où elle a été transférée après son séjour à l'hôpital. Ses révélations pourraient faire tomber plus d'une tête dans les hautes sphères du Renseignement et de la Justice. - réalisation : Sophie-Aude Picon, François Christophe

durée : 00:24:44 - Le Feuilleton - Les policiers, enfin convaincus de la véracité des affirmations de Mikael sur l'innocence de Lisbeth, ont alerté les autorités sur l’existence d’une Section dissidente et criminelle au sein de la Säpo. - réalisation : Sophie-Aude Picon, François Christophe

durée : 00:24:58 - Le Feuilleton - Manipulé par la Säpo, le procureur a déchargé les policiers en charge de l’enquête sur Lisbeth Salander pour la confier à un inspecteur sous contrôle. - réalisation : Sophie-Aude Picon, François Christophe

durée : 00:24:55 - Le Feuilleton - Mikael Blomkvist tente de protéger Lisbeth et de l'informer de sa stratégie de contre-attaque par l'intermédiaire de sa soeur, Annika Giannini, avocate, qui a accepté d'assurer la défense de Lisbeth. - réalisation : Sophie-Aude Picon, François Christophe

durée : 00:24:59 - Le Feuilleton - Fréderic Clinton, un ancien espion, a repris la direction de la Säpo pour trouver une solution à la menace que constitue Lisbeth. Il a préconisé de voler tous les anciens rapports d’expertise faits sur elle en 1991. - réalisation : Sophie-Aude Picon, François Christophe

durée : 00:24:51 - Le Feuilleton - A l’hôpital, Lisbeth s’inquiète car elle a appris que son père avait survécu à ses blessures et qu’il était dans la chambre voisine. Il est vrai que Zalachenko ne songe qu’à éliminer sa fille. - réalisation : Sophie-Aude Picon, François Christophe

durée : 00:24:41 - Le Feuilleton - Hospitalisée après que son père, Alexander Zalachenko, a essayé de la tuer, Lisbeth a subi une longue et délicate opération du cerveau dont les médecins ne savent pas encore quelles séquelles elle pourrait garder. - réalisation : Sophie-Aude Picon, François Christophe

durée : 00:24:53 - Le Feuilleton - Mikael Blomkvist a retrouvé Lisbeth Salander laissée pour morte par ceux qui ont tout intérêt à la faire disparaître. - réalisation : Sophie-Aude Picon, François Christophe

durée : 00:06:55 - L'Instant poésie - Denis Lavant nous présente deux poèmes qui font vibrer les sens : "Le répugnant aux mains sans paumes" de Frédérique Martin et "Musique" de Lucie Delarue-Mardrus. Deux poétesses, deux époques, et pourtant, deux langages magiques qui invoquent un autre monde palpable et audible. - invités : Denis Lavant Comédien

durée : 00:06:39 - L'Instant poésie - Denis Lavant a choisi de nous faire écouter "La danse de l’effacement" de Zéno Bianu, une initiation potentielle à franchir. - invités : Denis Lavant Comédien

durée : 00:06:58 - L'Instant poésie - Le comédien Denis Lavant nous présente "Un ours qui cherche" de Thomas Vinau, une quête de soi portée par la métaphore de l’animal. - invités : Denis Lavant Comédien

durée : 00:06:51 - L'Instant poésie - Le comédien Denis Lavant nous fait entendre "Trombone 1" de Roland Dubillard, une plongée dans l’absurde et le spirituel. - invités : Denis Lavant Comédien

durée : 00:06:48 - L'Instant poésie - Le comédien Denis Lavant nous fait découvrir "Petit air" de Stéphane Mallarmé, le poète de l'absence et du non-dit. - invités : Denis Lavant Comédien

durée : 00:20:01 - Le Feuilleton - "La fusion dans le réel, rêvée par Marina, ne fut pas au rendez-vous. Ce grand amour restera écrit dans leurs lettres, peut-être plus fort encore que s’il s’était heurté à la réalité"

durée : 00:19:53 - Le Feuilleton - "Boris, nous n’irons jamais voir Rilke. Ça ne s’est pas réalisé. Encore une chose qui ne s’est pas réalisée. Pourquoi, Boris, toi et moi nous voulons si peu et ne faisons pas d’efforts pour vouloir ? "

durée : 00:19:54 - Le Feuilleton - "Boris, où nous verrons-nous ? J’ai en ce moment l’impression de ne plus vivre nulle part. La Vendée – pour l’instant, mais après ? En fait, j’ai une atrophie du présent, non seulement je n’y vis pas mais jamais je n’y suis".

durée : 00:19:58 - Lectures du soir - "Boris, sur la photographie, tu es magnifique. Autant Maïakovski, c’est la volonté, autant toi – c’est l’âme. Le visage de l’âme".

durée : 00:20:02 - Le Feuilleton - "Enfin, je suis avec toi. Comme tout est clair pour moi et comme j’y crois… Je t’aime si fort, Marina, si complètement que je deviens une chose dans ce sentiment comme celui qui se baigne en pleine tempête"

durée : 00:20:01 - Le Feuilleton - "Boris, tu es mon frère des cimes, tout le reste dans une vie, est infime" - invités : Boris Pasternak; Marina Tsvétaïeva Poétesse

durée : 00:19:47 - Le Feuilleton - "Dès que je m’adresse à vous, Marina, je m’élève jusqu’au plus haut de mon dévouement et y demeure de façon égale, sans chutes, dans le vertige"

durée : 00:19:20 - Le Feuilleton - "Je garde cette lettre depuis un mois. Pourquoi ne l’ai-je pas terminée, pourquoi ne l’ai-je pas envoyée ? Je voulais sans doute, en guise de conclusion, retourner mon âme devant vous comme on dit, mais heureusement on n’y parvient jamais"

durée : 00:19:55 - Le Feuilleton - "Mon moyen de communication préféré tient de l’au-delà : le rêve, voir en rêve. En second vient la correspondance. La lettre, comme moyen de communication 'au-delà', est moins parfaite que le rêve, mais les lois sont les mêmes."

durée : 00:19:51 - Le Feuilleton - "Comme la vie est bizarrement et stupidement taillée. Bizarrement, stupidement et merveilleusement"

durée : 00:28:08 - Le Feuilleton - "En s’approchant de Boston, l’avion fut enseveli sous les nuages et j’eus peur. Alors, je fis appel à Betty. De là où elle était, je lui demandai d’arriver sain et sauf en échange de mon amour… "

durée : 00:27:40 - Le Feuilleton - "Betty le caméléon qui devenait n’importe quoi pour ramasser n’importe qui… La plus mystérieuse affaire criminelle de Los Angeles… "

durée : 00:27:53 - Le Feuilleton - "J’espère que tu vas nous quitter Bleichert, sinon ta femme sera vite une jeune veuve ! Personne ne t’aime parmi les flics en bleu, ni les gradés, ni les pieds-plats… "

durée : 00:28:17 - Le Feuilleton - "Ensenada au crépuscule… Une oasis de néon dans un océan de misère…Et l’Océan qui venait mourir aux pieds de cette ville pourrie… "

durée : 00:28:24 - Le Feuilleton - "Vous vous souvenez des quatre dingues qui ont avoué le meurtre dès le début ? Ils sont encore à la prison municipale. Des violents, des fous enragés. Et pas d’alibi. Je veux que vous les réinterrogiez."

durée : 00:27:43 - Le Feuilleton - "À la projection du film de Linda et Betty, tout le monde était présent. Lee Blanchard, Ellis Loew, et les huiles de la police. Ça nous a secoués. Même Milliard et moi qui venions de terminer l’interrogatoire de Linda à ce sujet… "

durée : 00:28:02 - Le Feuilleton - Robert Maney, dit Red, 25 ans, vendeur en quincaillerie. L’homme, qui a ramené de San Diego Betty Short, le Dahlia noir, six jours avant son assassinat, a été capturé par les services de police ce matin au domicile d’un ami.

durée : 00:27:14 - Le Feuilleton - "Une belle fille blanche découpée en morceaux, va falloir qu’on justifie tous notre augmentation de salaire !"

durée : 00:28:57 - Le Feuilleton - "Quand je suis venu prendre possession de mon fauteuil au bureau des mandats et recherches, au sixième étage de l’hôtel de ville, j’étais seul. Ni le sergent Lee Blanchard, ni Ellis Loew n’occupaient encore leur bureau."

durée : 00:27:51 - Le Feuilleton - "Qui n’avait jamais entendu parler, à la division de Central, de Lee Blanchard ? Le flic qui avait résolu le braquage de la banque de Citizens boulevard en 39. Et qui alignait 43 victoires, seulement 4 défaites et 2 nuls entre les cordes du ring."

durée : 00:27:51 - Le Feuilleton - "Qui n’avait jamais entendu parler, à la division de Central, de Lee Blanchard ? Le flic qui avait résolu le braquage de la banque de Citizens boulevard en 39. Et qui alignait 43 victoires, seulement 4 défaites et 2 nuls entre les cordes du ring."

durée : 00:28:57 - Le Feuilleton - "Quand je suis venu prendre possession de mon fauteuil au bureau des mandats et recherches, au sixième étage de l’hôtel de ville, j’étais seul. Ni le sergent Lee Blanchard, ni Ellis Loew n’occupaient encore leur bureau."

durée : 00:27:14 - Le Feuilleton - "Une belle fille blanche découpée en morceaux, va falloir qu’on justifie tous notre augmentation de salaire !"

durée : 00:28:02 - Le Feuilleton - Robert Maney, dit Red, 25 ans, vendeur en quincaillerie. L’homme, qui a ramené de San Diego Betty Short, le Dahlia noir, six jours avant son assassinat, a été capturé par les services de police ce matin au domicile d’un ami.

durée : 00:27:43 - Le Feuilleton - "À la projection du film de Linda et Betty, tout le monde était présent. Lee Blanchard, Ellis Loew, et les huiles de la police. Ça nous a secoués. Même Milliard et moi qui venions de terminer l’interrogatoire de Linda à ce sujet… "

durée : 00:28:24 - Le Feuilleton - "Vous vous souvenez des quatre dingues qui ont avoué le meurtre dès le début ? Ils sont encore à la prison municipale. Des violents, des fous enragés. Et pas d’alibi. Je veux que vous les réinterrogiez."

durée : 00:28:17 - Le Feuilleton - "Ensenada au crépuscule… Une oasis de néon dans un océan de misère…Et l’Océan qui venait mourir aux pieds de cette ville pourrie… "

durée : 00:27:53 - Le Feuilleton - "J’espère que tu vas nous quitter Bleichert, sinon ta femme sera vite une jeune veuve ! Personne ne t’aime parmi les flics en bleu, ni les gradés, ni les pieds-plats… "

durée : 00:27:40 - Le Feuilleton - "Betty le caméléon qui devenait n’importe quoi pour ramasser n’importe qui… La plus mystérieuse affaire criminelle de Los Angeles… "

durée : 00:28:08 - Le Feuilleton - "En s’approchant de Boston, l’avion fut enseveli sous les nuages et j’eus peur. Alors, je fis appel à Betty. De là où elle était, je lui demandai d’arriver sain et sauf en échange de mon amour… "

durée : 00:05:31 - Le Feuilleton - Récapitulatif de la saison 1

durée : 00:28:20 - Le Feuilleton - Alors qu’un traitement est enfin disponible, la mort de Yannick et le procès qui s’ensuit assombrissent l’horizon. Confronté aux drames causés par la téloïdite, Saul s’interroge : dévoiler la vérité suffira-t-il à fermer cette parenthèse tragique ?

durée : 00:28:32 - Le Feuilleton - L’équipe de Gabrielle pense avoir identifié un traitement contre la téloïdite. Les malades, impatients, voient leur vie bouleversée par l’horizon d’une libération. Saul poursuit ses investigations sur les disparitions, et commence à comprendre…

durée : 00:28:50 - Le Feuilleton - Saul retrouve Gabrielle mais n’a pas le temps de souffler : Chloé, l’assistante de Gabrielle, est kidnappée et torturée, tandis que les disparitions mystérieuses de malades se multiplient. Saul découvre des liens troublants entre les victimes.

durée : 00:28:32 - Le Feuilleton - Saul peine à se remettre de sa rupture avec Gabrielle. En découvrant un inavouable projet politique européen autour de la téloïdite, il suscite le scandale… mais rien n’endigue la violence désormais bien installée dans la société.

durée : 00:28:36 - Le Feuilleton - La situation des malades se détériore. Alors que Gabrielle Bollinger fait une découverte majeure sur la nature de la maladie, les expérimentations clandestines se multiplient. Yannick raconte son calvaire à Saul qui, déchiré, poursuit son enquête.

durée : 00:28:27 - Le Feuilleton - Saul découvre les agissements des entreprises qui rêvent d’exploiter la téloïdite à des fins lucratives. Les malades sont de plus en plus conscients du danger – à l’exception de Yannick, sorte de Peter Pan hédoniste, qui ne le voit pas venir.

durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - La téloïdite fait l’objet de luttes de plus en plus féroces entre acteurs politiques, religieux et scientifiques. Les malades, eux, aimeraient trouver un sens à la maladie. En vain. Saul, hanté par ses découvertes, se rapproche des familles affectées.

durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - La téloïdite aiguise chaque jour davantage les appétits des puissants. Pendant ce temps, des malades tentent désespérément de s'organiser. Saul tombe fou amoureux de Gabrielle Bollinger, qui conduit la recherche scientifique à l’Institut Pasteur.

durée : 00:28:31 - Le Feuilleton - La téloïdite a déjà commencé à diviser la société. Saul, lui-même atteint, rencontre d'autres malades à Saint-Malo, dont Simon, bloqué dans le corps d’un enfant de 9 ans ½. D’autres malades, inconscients, considèrent la téloïdite comme une chance.

durée : 00:28:23 - Le Feuilleton - En 2056, Saul Abitan, journaliste d’investigation, livre le récit de ses 30 ans d’enquête sur la téloïdite, cette anomalie qui arrête le vieillissement des personnes qui en sont atteintes. Il se souvient de 2024, lorsque les premiers cas sont apparus.

durée : 00:28:43 - Orloff Saison 2 8/8

durée : 00:28:27 - Orloff Saison 2 7/8

durée : 00:28:30 - Orloff Saison 2 6/8

durée : 00:25:59 - Orloff Saison 2 5/8

durée : 00:28:27 - Orloff Saison 2 4/8

durée : 00:28:41 - Orloff Saison 2 3/8

durée : 00:28:33 - Orloff Saison 2 2/8

durée : 00:28:42 - Orloff Saison 2 1/8

durée : 00:28:29 - Le Feuilleton - Sismo paraît condamné à errer dans les méandres du rêve. Après tout, les habitants des limbes ne semblent-ils pas heureux ici ? Pourquoi ne pas rester avec eux ? Il aurait bien une dernière chance de sortir, mais le prix à payer pourrait se révéler beaucoup trop élevé.

durée : 00:28:37 - Le Feuilleton - Sismo a réussi à mettre la main sur le Roi du Poulet. Il ne reste plus maintenant qu'à trouver la sortie du rêve. En chemin, Sismo s'interroge : le Roi du Poulet est-il vraiment celui qu'il paraît être ? Et pourquoi ces figures familières font-elles leur apparition ?

durée : 00:28:23 - Le Feuilleton - Le rêve du Roi du Poulet ne se déroule pas du tout comme prévu. Qui est ce géant au volant d'une voiture autonome qui lui parle comme à un enfant ? Et quelle est cette étrange congrégation de super-héros rassemblés autour d'un barbecue ?

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - Sismo a 24 heures pour décider s'il accepte l'emploi que lui propose DreamStation : ramener les rêveurs perdus dans la faille du dreamware. Il hésite, d'autant que la première personne qu'il doit sauver lui inspire un profond dégoût : un certain Roi du Poulet.

durée : 00:28:30 - Le Feuilleton - Une nuit, Sismo fait un rêve de super-héros très troublant. Le lendemain, une entreprise nommée DreamStation le contacte : elle prétend être à l'origine de son rêve et aimerait lui faire passer quelques tests. S'il les réussit, il pourrait bien devenir le premier explorateur d'un genre nouveau.

durée : 00:28:51 - Le Feuilleton - "J’ai ouvert le cercueil. J’ai été surpris, pourtant j’aurais pas dû. J’ai été surpris que papa soit pas là. Ou alors ce qui m’a surpris c’est que ce soit si incroyablement vide. Comme si j’avais regardé la définition du vide dans le dictionnaire."

durée : 00:28:53 - Le Feuilleton - "C’est encore moi. Vous êtes là ? Allô ? Pardon si. Il commence à y avoir un peu de. Fumée. J’espérais qu’il y aurait quelqu’un. A la maison. Je ne sais pas si vous avez appris ce qui s’est passé. Je. Voulais vous dire que moi, ça va."

durée : 00:28:57 - Le Feuilleton - "C’était mon grand projet. Je passerai mes samedis et mes dimanches à aller voir tous les Black de New York pour apprendre ce qu’ils savaient de la clé dans le vase du dressing de papa. "

durée : 00:29:01 - Le Feuilleton - "Alors que le cercueil de papa était vide, son dressing était plein. Et après plus d’un an, ça sentait encore comme quand il se rasait. Ça rendait mes semelles de plomb plus légères d’être près de ses affaires. "

durée : 00:28:53 - Le Feuilleton - "Alors que c’était un jour incroyablement triste, maman était tellement, tellement belle. Elle avait mis le bracelet que j’avais fait pour elle et ça, pour moi, c’était mille dollars ! "

durée : 00:24:47 - Le Feuilleton - Les carnets d’Albert Camus, exercice d’écriture tout à fait personnel, sont pour l’écrivain une tentative de fixer l’informe du vécu par la forme de l’écrit. Ici, lors d’un voyage en Italie et à Paris.

durée : 00:25:10 - Le Feuilleton - Les carnets d’Albert Camus, exercice d’écriture tout à fait personnel, sont pour l’écrivain une tentative de fixer l’informe du vécu par la forme de l’écrit. Ici, lors d’un voyage en Amérique du Sud en 1949.

durée : 00:24:58 - Le Feuilleton - Alger s’ouvre dans le ciel comme une bouche ou une blessure

durée : 00:25:01 - Le Feuilleton - Premier chapitre du roman à caractère autobiographique d’Albert Camus resté inachevé à la mort de l’écrivain en 1960.

durée : 00:24:13 - Le Feuilleton - Texte de l’allocution d’Albert Camus prononcée salle Pleyel à Paris le 13 décembre 1948

durée : 00:28:52 - Le Feuilleton - "Un seul cœur aura battu en nous qu’on entendra encore, nous disparus, dans le mystère du monde." A.C.

durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - "Dix ans de vie partagée nouent à jamais deux êtres aux entrailles du monde et ils ne peuvent plus s’arracher l’un de l’autre sans s’arracher au cœur du monde." M.C.

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - "Ne comprends-tu pas que je t'aime aussi, ainsi, enfermé, promettant des pages qui nous aideront à vivre ?" M.C.

durée : 00:28:41 - Le Feuilleton - "À bientôt, ma beauté, mon endormie, ma réveillée, ma douceur, ma fureur. J’embrasse longuement ta chère bouche, tes épaules noires, le creux de tes mains." A.C.

durée : 00:28:37 - Le Feuilleton - "Un amour, Maria, ça ne se conquiert pas sur le monde mais sur soi-même. Et tu sais bien, toi dont le cœur est si merveilleux, que nous sommes nos plus terribles ennemis." A.C.

durée : 00:20:38 - Le Feuilleton - " Aujourd’hui, 3 mai 1915, j’en ai fini avec la psychanalyse. Après six mois de séances assidues, je vais plus mal qu’avant. Je n’ai pas encore donné congé à mon médecin mais ma décision est irrévocable." - invités : Italo Svevo Écrivain; Arno Bertina Écrivain

durée : 00:19:06 - Le Feuilleton - " Sans deviner l’importance de ce qu’il me disait, le médecin m’avait confié qu’il avait retrouvé le flacon de Véronal. Du Véronal pur et non du Véronal au sodium. Mieux que quiconque je pouvais être certain que Guido n’avait pas voulu mourir."

durée : 00:19:59 - Le Feuilleton - " La vie n’est ni belle ni laide, elle est originale ! Qualifiée de la sorte, la vie me parut si étrange que je la regardai longtemps comme si je la voyais pour la première fois, avec ses corps gazeux, fluides, solides."

durée : 00:19:59 - Le Feuilleton - " Carla m’avait congédié un mois plus tôt, Carmen me repoussait maintenant, Ada la première… Toutes ces femmes qui me repoussaient résolument donnaient à ma vie une teinte littéralement tragique. Je n’avais jamais traversé de période aussi funeste."

durée : 00:18:59 - Le Feuilleton - "Je ne sais si vous vous êtes déjà retrouvé dans cette configuration docteur, mais quand deux hommes s’associent aucun des deux n’est en mesure, je crois, de choisir lequel des deux sera Sancho, et lequel Don Quichotte…"

durée : 00:17:52 - Le Feuilleton - " Pour ma santé, il aurait été pénible que ma liaison avec Carla se déroulât dans un climat d’agitation perpétuelle. A dater de ce jour, mes visites furent entrecoupées de pauses nécessaires à raviver mon amour pour Carla aussi bien que pour Augusta " - invités : Italo Svevo Écrivain; Arno Bertina Écrivain

durée : 00:19:38 - Le Feuilleton - " Le jour du premier baiser donné à Carla, quand je suis ensuite rentré chez moi, j’ai commencé à être vraiment malheureux. Entre Augusta et moi s’interposait mon aventure, une grande ombre noire. Je me sentais mesquin, coupable, et malade."

durée : 00:19:59 - Le Feuilleton - "Je n’arrêtais pas de tromper Augusta par la pensée. En fait le désir de l’aventure était toujours aussi vif en moi, cette aventure qui commence par l’admiration d’une bottine par exemple, ou d’un gant. D’une jupe aussi..."

durée : 00:19:37 - Le Feuilleton - " Augusta avait accepté de m’épouser. C’est à cette époque qu’apparut ma douleur lancinante à l’avant-bras et à la hanche, cette douleur qui ne devait plus me quitter. Maintenant que je suis vieux, lorsqu’elle me prend je la supporte avec indulgence. "

durée : 00:19:40 - Le Feuilleton - "J’aimais Ada, mais j’épouserais Augusta..."

durée : 00:18:16 - Le Feuilleton - "J’aimais Ada avec rage, et ressentais comme un camouflet supplémentaire que l’épouse de Giovanni m’eût invité à ne pas compromettre sa sœur Augusta, c’est-à-dire, en un mot, à l’épouser ; pour la guenon qui m’aimait je n’éprouvais que mépris."

durée : 00:19:59 - Le Feuilleton - "Je me suis alors revu, visite après visite, entièrement pris par Ada. J’avais certes fait de la musique avec Augusta, et j’avais en effet davantage parlé avec elle. Mais je n’aurais jamais pensé que l’on puisse se méprendre sur mes intentions."

durée : 00:19:39 - Le Feuilleton - " Mon existence, comprenez, ne réussissait qu’à émettre une seule note. Sans aucune modulation… Il est donc possible que l’envie de me marier soit née de l’ennui de n’émettre et de n’entendre que cette note-là."

durée : 00:19:58 - Le Feuilleton - " Ma mère continuait à vivre, mais loin de moi, et elle pouvait se réjouir des succès auxquels je me préparais. Quoi de plus réconfortant ? La mort de mon père, au contraire, fut une immense catastrophe."

durée : 00:19:58 - Le Feuilleton - "Il faudra que le docteur S. me dise si le fait de trouver répugnants mes larcins – qui sont liés au plaisir que j’ai pris à fumer – doit me permettre de guérir de la cigarette – ce qui est un peu l’affaire de toute ma vie"

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Après cinquante ans de procès, l’ensemble des manuscrits de Kafka est rassemblé dans la Bibliothèque de Jérusalem. J’entre dans la salle des documents précieux, je les touche enfin. Ils auraient bien pu ne jamais se trouver entre mes mains.

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - À la mort de Max Brod, en 1968, les manuscrits de Kafka sont la propriété d’Esther Hoffe. Elle commence à les revendre, avec l’aide de sa fille Eva, hôtesse de l’air. Mais en ont-elles le droit ? Je rencontre les avocats des deux parties qui me racontent la saga des "procès-Kafka".

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Après la guerre, Max a tenté de refaire sa vie à Tel Aviv. Il rencontre Esther Hoffe. Ils travaillent ensemble à l’édition des œuvres de Kafka, commencent une histoire d’amour et Brod lui lègue les manuscrits… Je suis à Tel Aviv.

durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Mars 1939 : Prague est envahie par les nazis. Max Brod prend le dernier train et s’enfuit vers Tel Aviv. Dans son unique valise : les manuscrits de Kafka. Je décide de suivre la trace de cette valise et de partir pour Tel Aviv.

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Juin 1924 : Franz Kafka s’éteint dans un sanatorium près de Vienne. Juste après les funérailles, son ami Max Brod trouve dans un tiroir chez ses parents deux billets à son nom : Kafka lui demande de détruire tous ses manuscrits. Il décide de faire l’inverse.

durée : 00:20:04 - Le Feuilleton - Avignon – scène de toutes les querelles, et dès l’origine, contrairement à ce que voudrait alléguer une légende restauratrice.

durée : 00:20:07 - Le Feuilleton - Une fois de plus, Avignon montre qu’il est un prisme dans lequel passe l’ensemble du théâtre public. Si celui-ci est atteint, Avignon le répercute au centuple. Jusqu’à s’empêcher d’exister.

durée : 00:19:59 - Le Feuilleton - "Avignon fait parler." "Tout le monde pense quelque chose d’Avignon." "Avignon donne à penser quelque chose du monde." Ces trois propositions font entrer le Festival d’Avignon dans le registre des grandes mythologies culturelles modernes.

durée : 00:19:55 - Le feuilleton d’Avignon de Bruno Tackels 17/20 - Voilà soixante ans que la cour d'honneur du palais des Papes sacrifie à cet étrange rite d'un théâtre populaire, qu'elle a élévé au rang d'une éthique que ni les vents, ni les époques n'ont pu faire fléchir. C'est qu'à travers les ans qui passent, derrière la diversité des esthétiques et des directions successives (Jean Vilar, puis Paul Puaux, Bernard Faivre d'Arcier, Alain Crombecque, Vincent Baudriller et Hortense Archambault, Olivier Py et maintenant Tiago Rodrigues), on peut faire ce constat assez magique : Avignon reste un mythe de théâtre absolument présent, actif et plein de ressources. Un mythe qui n'a jamais été calme, mais plutôt bien intranquille, plein de doutes et de crises, de querelles et de tensions. Un mythe que nous allons parcourir, à travers les voix de ceux qui l'ont nourri, à commencer par celle de Jean Vilar, pionnier d'une époque, inventeur d'une esthétique, et acteur flamboyant. À travers des lectures aux multiples voix, archives d'époque et commandes contemporaines, les soixante premières années du Festival d'Avignon vont se décliner, durant quatre semaines, en un feuilleton épique, porteur de l'essentiel du théâtre européen du dernier demi-siècle, l'amour du théâtre, et sa force de rayonnement. " Ce théâtre que je fais, il cherche à s'inscrire dans l'histoire sociale, tout simplement. Et si sur cet immense terrain où se déroulent les querelles du monde ma place est misérable, c'est à cette place et à cette place seule que je tiens. " C'est avec ces mots que Jean Vilar définissait sa " place " dans le théâtre contemporain. Une place que ne cesse d'interroger ses héritiers.

durée : 00:20:00 - Le Feuilleton - Avignon, c’est d’abord un espace. Un site qui regorge d’espaces. Des lieux chargés d’histoire, qui semblaient attendre le théâtre pour se réveiller.

durée : 00:19:58 - Le Feuilleton - Alain Crombecque a su faire confiance "aux intuitions atypiques qui viennent de la simple disponibilité. Elles ne ressemblent pas forcément à la tradition, mais elles sont de la nature de ces hasards objectifs qui sont les lois cachées de la cité".

durée : 00:19:56 - Le Feuilleton - L’hypothèse de cet épisode est que l’héritier qui hérite le plus fortement de Vilar est celui que le père avait le plus explicitement désavoué. Antoine Vitez est incontestablement celui-là.

durée : 00:19:54 - Le Feuilleton - On peut le dire d’une formule : "La cour d’honneur n’est pas faite pour accueillir le théâtre." En elle, il est toujours en sursis. Liberté provisoire que le public peut interrompre à tout moment. Quand il le veut. Et il l’a souvent voulu

durée : 00:19:50 - Le Feuilleton - Survivre avec la mythologie, et continuer d’écrire, édition après édition, pour que survive la mythologie. C’est ce paradoxe intenable que Bernard Faivre d’Arcier a su prolonger lors de ces deux mandats, de 1980 à 1984, puis de 1993 à 2003.

durée : 00:20:06 - Le Feuilleton - Quelques mois avant sa mort, Jean Vilar propose à Lucien et Micheline Attoun de bivouaquer dans le Festival, d’y installer une sorte de campement ouvert, susceptible d’accueillir les vents nouveaux de la littérature dramatique.

durée : 00:20:03 - Le Feuilleton - Quoiqu’on puisse penser des diverses séquences qui ont suivi la mort de Jean Vilar, on doit dire fermement cette chose : le rêve de Vilar, à défaut de prendre corps tout entier, n’a jamais été lâché.

durée : 00:19:58 - Le Feuilleton - Après la violence de l’été 68, plus rien ne sera jamais plus comme avant. Le Festival entre dans une nouvelle phase de son développement. Même s’il perd sa nature des origines, de nouvelles perspectives, de nouveaux rêvent s’ouvrent en lui.

durée : 00:19:59 - Le Feuilleton - Quand on évoque les événements de juillet 1968, les blessures sont rapidement ravivées, comme si le temps n’avait pas vraiment passé son baume.

durée : 00:19:26 - Le Feuilleton - Les heurts de 1968 condensent en fait toutes les crispations d’une société qui ne sait déjà plus comment faire face aux contradictions qu’elle génère. Et le festival de Vilar devient la cible de tous les procès rapidement, scandaleusement, expédiés.

durée : 00:19:42 - Le Feuilleton - Les artistes importants ont toujours été, jusqu’à ce jour, plébiscités par la scène avignonnaise. Même si elle attend toujours l’artiste héritier.

durée : 00:20:04 - Le Feuilleton - Avignon coïncide aujourd’hui avec théâtre populaire, rassembleur et fédérateur, alors que son histoire est jalonnée d’événements essentiels qui traduisent les divisions et les heurts d’un public à l’image du monde qu’il représente.

durée : 00:20:02 - Le Feuilleton - À Paris, comme à Avignon, le succès de Vilar irrite, tout comme cette austère radicalité qu’il ne modèrera jamais, comme l’eussent voulu les règles sociales de la comédie humaine.

durée : 00:20:05 - Le Feuilleton - Il est un fait biographique qui éclaire singulièrement la figure artistique de Jean Vilar, mais qui s’est toujours trouvé tenu dans l’ombre : Vilar a commencé son chemin d’artiste en écrivant du théâtre.

durée : 00:20:03 - Le Feuilleton - Quand on fait le récit d’Avignon, il est une question dont on ne peut faire l’économie. Comment se fait-il que ce festival, non content de durer, va peu à peu transformer, façonner et programmer l’ensemble du champ théâtral de service public ?

durée : 00:19:57 - Le Feuilleton - Le festival d’Avignon fonctionne comme une mythologie moderne, un récit qui parle toujours des origines, sans que jamais celles-ci soient véritablement nommées et exposées…

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durée : 00:18:49 - Le Feuilleton - Karl Rossmann est abandonné à son sort, sans soutien, sans espoir. Jusqu'au jour où il voit une affiche dans la rue: " Aujourd'hui, de six heures du matin à minuit, sur l'hippodrome de Clayton, on embauche du personnel pour le Théâtre d'Oklahoma ! "

durée : 00:19:45 - Le Feuilleton - Par pitié, Karl Rossmann reste avec Brunelda, qui de plus en plus grosse est incapable de prendre soin d’elle-même. Il est maintenant son seul domestique, mais il n'est pas rémunéré pour sa peine parce que Brunelda a dilapidé toute sa fortune.

durée : 00:18:04 - Le Feuilleton - Oui, trouver un emploi où il pourrait se faire un place, et pourquoi pas dans un bureau, assis à sa table à regarder par une fenêtre ouverte, sans le moindre souci, comme n'importe quel fonctionnaire ?

durée : 00:19:04 - Le Feuilleton - Karl Rossmann, 17 ans, arrivé de Prague, est contraint de faire face à la réalité américaine. Il a perdu sa place de liftier à l'Hôtel Occidental. Il n'aurait jamais imaginé être licencié comme ça, si vite, alors que son service a été irréprochable.

durée : 00:19:50 - Le Feuilleton - Karl contemple sa tenue, de minables "vêtements qu'on n'ose porter qu'en Europe", il en a honte, et il prend place à côté de Robinson pour éviter de croiser les regards de ses anciens collègues de travail.

durée : 00:19:28 - Le Feuilleton - Alors, journée assez chargée pour Karl Rossmann, étoile montante de l'Hôtel Occidental, dans la ville de Ramsès, dans l'Etat de New York, en Amérique, ville qu'on ne trouvera sur aucune carte.

durée : 00:18:28 - Le Feuilleton - Le pont qui relie New York à Boston est suspendu tendrement au-dessus du fleuve Hudson, et tremble quand Karl cligne des yeux. Curieusement, il apparaît dépourvu de toute circulation, avec en dessous de lui le long ruban lisse de l'eau.

durée : 00:20:33 - Le Feuilleton - Dans la limousine, Karl Rossmann s'appuie sur le bras que Pollunder passe autour de ses épaules. Le garçon ressent un bien-être extrême, en imaginant la sécurité de la maison de campagne qui l'attend, gardée par des chiens, entourée par des murs.

durée : 00:21:03 - Le Feuilleton - Karl Rossmann a vraiment de la chance d'avoir un véritable "oncle d'Amérique" pour l'accueillir. Sinon, s'il avait débarqué dans le port de New York en minable immigrant allemand solitaire, on ne l'aurait pas laissé entrer aux Etats-Unis

durée : 00:24:04 - Le Feuilleton - Karl Rossmann, garçon de dix-sept ans, Allemand de Prague en Bohème, entre dans le grand port de New York. Ses pauvres parents l'ont envoyé en Amérique parce que leur femme de chambre l'a séduit et a eu un enfant de lui.

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durée : 00:22:03 - Le Feuilleton - "C'est la veille du trente et unième anniversaire de Joseph K, neuf heures du soir, exactement un an, jour pour jour, après son arrestation… "

durée : 00:24:13 - Le Feuilleton - Le verdict ne tombe pas d'un seul coup, c'est le procès qui se transforme, avec le temps, en verdict. 

durée : 00:22:24 - Le Feuilleton - Joseph K pense maintenant que l'avocat, comme tous les autres, veut lui voler son propre procès pour l'empêcher d'intervenir et qu'ainsi, un beau jour en son absence, le jugement sera rendu.

durée : 00:22:49 - Le Feuilleton - Les étages sont vertigineusement hauts, et, le peintre habite une mansarde. En plus, l’air est vicié ici, l’escalier est très étroit et fermé des deux côtés par des murs.

durée : 00:21:53 - Le Feuilleton - Un hiver gris et froid paralyse Joseph K, dans son bureau à la banque. Plus le temps avance, plus son procès lui échappe. Cette pensée le hante. Des mois et des mois se sont écoulés depuis le printemps de son arrestation, jour de son trentième anniversaire…

durée : 00:24:36 - Le Feuilleton - « Jo-seph! Tu ne prends pas ce procès au sérieux. Veux-tu le perdre? Tu sais ce que ça veut dire, de perdre un procès? T'es rayé de la carte. Et ta famille sera humiliée. Ressaisis-toi, Joseph. Ton indolence m'effraye. »

durée : 00:22:26 - Le Feuilleton - « Ici, dans un couloir du grenier, partout des cloisons faites de planches qui montent jusqu’au plafond. La lumière du jour entre à peine. Partout des gens assis à intervalles réguliers sur des bancs en bois de chaque côté du couloir. Ce sont, comme moi, des accusés. »

durée : 00:23:27 - Le Feuilleton - La semaine suivante, K attend fébrilement une nouvelle convocation. Mais rien. Pourtant, le dimanche, il se rend de son plein gré au tribunal... pour la deuxième fois.

durée : 00:23:09 - Le Feuilleton - K ne connaît pas ce quartier, où le tribunal est censé se trouver. C'est la banlieue. Partout, des bâtisses pauvres, uniformes et grises, habitées par des pauvres gens, sans rien qui puisse ressembler à un tribunal.

durée : 00:22:51 - Le Feuilleton - "Nos services ne traquent pas la culpabilité dans le cœur de la population, par contre, c'est la culpabilité qui nous cherche."

durée : 00:29:17 - Le Feuilleton - "Réunies en avril 2022 pour discuter de l’avenir de leur livre sur la chute du Mur de Berlin, les Filles de l’Est ne purent parler que de la guerre en Ukraine. Il apparut alors évident qu’elles allaient écrire un post-scriptum à leur texte."

durée : 00:29:16 - Le Feuilleton - "La Yougoslavie s’est consumée tel un feu de paille dans une guerre fratricide. Comme si une sinistre prophétie voulait que ce soit le pays où l’utopie communiste avait été la plus aboutie qui disparaisse de la manière la plus violente."

durée : 00:29:17 - Le Feuilleton - "A posteriori seulement, je me demande ce que percevait de nous l’étranger venu de l’Ouest. Étions-nous, nous aussi, des pauvres qu’il s’agissait d’aider ? des habitants du mauvais côté de l’Histoire ? "

durée : 00:29:17 - Le Feuilleton - "Il est jouissif de dire à ses propres parents que leur vie était basée sur un immense mensonge, et il est terrible d’avoir raison."

durée : 00:29:16 - Le Feuilleton - "Cette notion de territoire, le mien en plus, le groupe nominal "mon territoire", m’embête terriblement. Mais puisqu’il faut choisir, voici donc ma réponse : l’Europe."

durée : 00:29:16 - Le Feuilleton - "Je suis la fille d’un propagandiste collectiviste et d’une pédagogue bourgeoise. Ma mère rêvait d’un compte en banque, mon père, lui, œuvrait pour un monde d’égalité."

durée : 00:29:15 - Le Feuilleton - "Immigrés russes à Paris, l’Hexagone que mes parents ne connaissaient que par les romans de Dumas ne tint pas ses promesses. Les Français étaient arrogants, leurs règles de politesse étaient tels des cerbères veillant sur des coquillages creux"

durée : 00:29:16 - Le Feuilleton - "Ce Rideau de fer invisible, matérialisé par le mur de Berlin, je pensais sincèrement, quand j’avais quinze ans, qu’il nous avait été donné pour nous protéger des méchants impérialistes."

durée : 00:29:19 - Le Feuilleton - "Polonaise ? Vous, les filles de l’Est, vous misez tout sur la sexualité. Ces jupes courtes, ce maquillage excessif ! "

durée : 00:29:19 - Le Feuilleton - Il ne viendrait à l’esprit de personne de présumer d’une grande parenté culturelle entre un romancier norvégien et un grec, par exemple. Pourquoi alors voulait-on à tout prix que des écrivaines estonienne et albanaise partagent les mêmes références ?

durée : 00:32:48 - Le Feuilleton - L’Académie est proche, les druides touchent au but. Mais ils tombent dans une embuscade. Les chasseurs de druides réussissent à isoler Ayden. Alors que le combat fait rage, Liv et Od’ sont en danger de mort et Cernunnos est sur le point de se libérer à nouveau.

durée : 00:30:42 - Le Feuilleton - Les druides passent par un village sinistre qu'une malédiction frappe depuis plusieurs années : un "fantôme" s’attaque à celles et ceux qui ont le malheur de s’aimer. Pour débusquer le monstre, il faut faire tomber les masques, et exprimer des sentiments encore inavoués…

durée : 00:25:51 - Le Feuilleton - Une tempête contraint les apprentis druides à accoster sur Eirìnor, une île de forgerons. Mais ils apprennent qu’une créature dangereuse s’apprête à attaquer les habitants et sont aussi suivis par des chasseurs de druides qui veulent s'emparer d'Ayden et du démon qu’il abrite.

durée : 00:27:13 - Le Feuilleton - Ayden, Liv et Od' font route vers l’Académie des druides. Lorsque leur maître, Tregòn, s’absente pour la nuit, ils décident de faire escale dans une étrange auberge perdue au milieu de la forêt. Mais ils ignorent encore que ce lieu cache un terrible secret…

durée : 00:28:02 - Le Feuilleton - Ayden, un orphelin de 14 ans, s’ennuie dans son village, quand deux jeunes druides viennent enquêter : un monstre sévit dans les parages. C’est le début d’un trio amical et de l’aventure pour Ayden qui ignore encore beaucoup de choses, surtout sur lui-même…

durée : 00:29:19 - Le Feuilleton - "Angelo écouta ces appels étranges auxquels tout le corps de Pauline répondait. Il était vide d'idées. Il eut seulement conscience que le soir tombait, qu'il était seul. Il venait brusquement de perdre espoir."

durée : 00:28:30 - Le Feuilleton - "Le chemin les entraîna le long d'une combe. Les ondées, les grains, les lourdes averses se succédaient maintenant sans arrêt. Le ciel tout entier se drapait de nuées noires. Enfin, la pluie drue et continue se mit à tomber."

durée : 00:28:52 - Le Feuilleton - "Cette énorme maison déserte et qui servait seulement de tambour à la pluie augmentait le sentiment de solitude. Angelo et Pauline entrèrent et choisirent deux chambres dont les portes se faisaient face."

durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - "Après avoir passé plus de vingt petites portes rondes qui trouaient l'épaisseur des murs, Angelo et la jeune femme furent conduits à une grille que la religieuse leur fit franchir et qu'elle ferma sur eux. Ils étaient pris."

durée : 00:28:37 - Le Feuilleton - "Angelo et Pauline aperçurent dans le lointain une large vallée sans fleuve mais verdoyante et avec une petite ville ronde au milieu de ses prés. « La terre promise », dit Angelo."

durée : 00:27:32 - Le Feuilleton - "Parmi ces femmes huppées qui n'étaient pas poudrées depuis la veille et commençaient à se regarder la pointe des souliers, Angelo remarqua une jupe verte, courte et ronde sur des bottes qu'une cravache battait.

durée : 00:26:13 - Le Feuilleton - "Mon bel enfant, as-tu trouvé des chimères ? Le marin que tu m'as envoyé m'a dit que tu étais imprudent. Cela m'a rassurée. Sois toujours très imprudent, mon petit, c'est la seule façon d'avoir un peu de plaisir à vivre."

durée : 00:26:44 - Le Feuilleton - "En regardant en l'air, on voyait le noir des feuillages sur les étoiles. Un sentier montait à travers les rochers. Giuseppe habitait une belle hutte de roseaux devant la porte de laquelle brûlait un feu."

durée : 00:28:30 - Le Feuilleton - " Pauline avait écouté Angelo sans bouger d'une ligne. Cette fois le silence fut un tout petit peu plus long. Puis elle dit : "Vous devez avoir faim alors ? "

durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - "Angelo enflamma sa mèche d'amadou. Une brusque raie d'or encadra une porte qui s'ouvrit. C'était une très jeune femme. Elle tenait un chandelier à trois branches à la hauteur d'un petit visage en fer de lance encadré de lourds cheveux bruns."

durée : 00:24:58 - Le Feuilleton - "La nuit était si chargée d'étoiles, elles étaient si ardemment embrasées qu'Angelo pouvait voir distinctement les toitures agencées les unes aux autres comme les plaques d'une armure. La lumière était d'acier noir."

durée : 00:28:07 - Le Feuilleton - "Il devait être près de midi. Angelo avait faim et surtout soif. Il était très dangereux de manger des fruits ou même n'importe quoi dans des maisons ou des auberges. D'ailleurs, il n'y avait ni maison ni auberge en vue."

durée : 00:26:31 - Le Feuilleton - "On conduisit Angelo dans une grange qui était pleine de gens de tout âge et de toute condition, assis tristement sur des malles ou à côté de paniers, de valises et de baluchons"

durée : 00:29:01 - Le Feuilleton - "Angelo resta droit en selle quand son cheval fit brusquement de côté un saut de carpe en même temps qu'une grosse flaque de corbeaux s'envolant découvrit un corps en travers du chemin."

durée : 00:28:42 - Le Feuilleton - "Le soleil était haut ; il faisait très chaud mais il n'y avait pas de lumière violente. Elle était très blanche et tellement écrasée qu'elle semblait beurrer la terre avec un air épais. Depuis longtemps déjà Angelo montait à travers la forêt de chênes."

durée : 00:28:42 - Le Feuilleton - Sakhaline est un lieu de souffrances intolérables. Seul l’être humain, qu’il soit libre ou asservi, est capable de souffrances pareilles.

durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - J’aurai passé deux mois à Sakhaline. J’ai pu voir tout. (...) je me suis démoli les nerfs et je me suis bien juré de ne (...) plus jamais aller à Sakhaline.

durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - Originale en diable. [La région] grouille d’une vie dont on n’a même pas une idée en Europe. Cela me fait penser aux récits sur la vie américaine

durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - Le "trakt" sibérien, c’est la route la plus longue du monde, ruban de civilisation que remettent en cause chaque printemps le dégel, les pluies et la boue.

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - Je passe mes journées à lire et à prendre des notes. Il y a dans ma tête, comme sur le papier, rien d’autre que Sakhaline. C’est une folie. Mania Sachalinosa

durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - Tandis que Horst Wächter et sa mère Charlotte ont toujours été convaincus de la mort par empoisonnement d’Otto, Philippe Sands va chercher à étayer cette thèse en interrogeant une anthropologue biologique spécialisée dans les empoisonnements

durée : 00:27:20 - Le Feuilleton - Un homme a recruté ces anciens nazis, il s’agit de Thomas Lucid, un Américain qui a participé à la création de la CIA. Or, au cours de son enquête, Philippe Sands va mettre au jour d’incroyables coïncidences concernant Karl Hass et Thomas Lucid…

durée : 00:27:46 - Le Feuilleton - Le "vieux camarade" d’Otto Wächter avec lequel il a déjeuné peu avant sa mort, Karl Hass, était-il un agent double à la solde des Soviétiques et des Américains ?

durée : 00:28:00 - Le Feuilleton - Philippe Sands parvient à établir que Monseigneur Hudal, qui a accueilli Otto Wächter à Rome, était le pivot d’une filière d’exfiltration de nazis vers l’Amérique du Sud, mais pas seulement.

durée : 00:27:20 - Le Feuilleton - Otto Wächter tombe malade début juillet, après un déjeuner chez un mystérieux ami près de Rome et meurt quelques jours plus tard, le corps entièrement noirci. Pour savoir s’il aurait pu être assassiné, Philippe Sands fait appel à John Le Carré, qui fut espion à cette époque.

durée : 00:27:34 - Le Feuilleton - En avril 1949, Otto Wächter arrive à la gare de Rome sous un faux nom et sans un sou. Grâce à l’appui de Monseigneur Hudal, il prépare son exfiltration en Amérique du Sud.

durée : 00:27:10 - Le Feuilleton - A la fin de la guerre, Otto Wächter se cache pendant trois ans dans les montagnes autrichiennes pour échapper à ceux qui sont alors à ses trousses. Sa femme vient régulièrement le ravitailler et ni l’un ni l’autre ne sont jamais inquiétés.

durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - Au fil de son enquête, Philippe Sands trouve les traces administratives des responsabilités d’Otto Wächter dans l’extermination de la famille de son grand-père Léon Buchholz en 1942.

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Grâce aux archives de la famille Wächter que lui a confiées Horst, Philippe Sands peut reconstituer pour partie la vie d’Otto Wächter et celle de sa femme, Charlotte, de leurs années de jeunesse jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.

durée : 00:27:14 - Le Feuilleton - Philippe Sands a rencontré Horst Wächter, le fils d’un officier nazi, Otto Wächter, alors qu’il écrivait un livre sur Nuremberg. Il se rend chez lui, à Hagenberg près de Vienne, parce que Horst a accepté de lui confier ses archives familiales…

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Après les avoir désunis, la mort rend enfin justice à l'amour de Cathy et Heathcliff.

durée : 00:28:10 - Le Feuilleton - Heathcliff séquestre Catherine et la force à épouser son fils mourant afin d'hériter du manoir de la Grive.

durée : 00:28:32 - Le Feuilleton - La jeune Catherine a été tenue éloignée de Heathciff et de son fils Linton jusqu'au jour fatal de ses seize ans.

durée : 00:28:00 - Le Feuilleton - A bout de force et de chagrin, Cathy meurt en donnant naissance à une petite fille à laquelle on donne le prénom de sa mère.

durée : 00:28:13 - Le Feuilleton - Heathcliff, défiant la surveillance du mari de Cathy, réussit à se faufiler jusqu'à la chambre de la malade.

durée : 00:28:33 - Le Feuilleton - Cathy, déchirée entre son mariage avec le fils Linton et son amour pour Heathcliff tombe gravement malade, terrassée par un mal inconnu.

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - Cathy s'est liée d'amitié avec le jeune fils des Linton. Heathcliff, fou de jalousie, devient de plus en plus sauvage.

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - La sauvage Cathy, blessée aux abords du Manoir de la Grive est recueillie par la riche famille des Linton.

durée : 00:27:45 - Le Feuilleton - Mr Earnshaw revient chez lui auprès de sa femme et de sa fille Cathy avec un orphelin qu'il a recueilli. Il le baptise du nom de Heathcliff

durée : 00:28:18 - Le Feuilleton - Wuthering Heights est le nom de la demeure de Mr. Heathcliff. "Wuthering " décrit le tumulte atmosphérique auquel le site est exposé quand souffle la tempête.

durée : 00:25:30 - Le Feuilleton - "Le vendredi 25 janvier 2008 ma mère m'a téléphoné, j'étais sur le point de sortir, je me suis assise sur le rebord de l'évier, nous avons parlé de choses et d'autres. Lucile m'a appelée ce vendredi matin, c'était la dernière fois et elle le savait."

durée : 00:23:51 - Le Feuilleton - "J’ai arrêté mes médicaments il n'y a pas de quoi s'affoler je n’en peux plus de vivre comme un légume je ne veux plus de cette vie-là je veux vivre les choses les ressentir être vivante."

durée : 00:24:16 - Le Feuilleton - "Pendant plusieurs années, ma mère a vécu sous camisole chimique. Son regard était fixe, embué, une pellicule fangeuse semblait s'y être collée. Derrière les yeux, on pouvait deviner les comprimés pris à heure fixe, le temps étale et sans relief."

durée : 00:24:09 - Le Feuilleton - "Lucile ouvre les yeux sur sa vie dévastée. Elle est en train de perdre la garde de ses enfants, elle a dépensé l'argent qu'elle n'a pas, elle a fait et dit n'importe quoi. Cela a eu lieu, cela est irrémédiable."

durée : 00:24:30 - Le Feuilleton - "Peut-être est-ce cela, le plus difficile, n'avoir jamais pu haïr Georges, mais n'avoir jamais pu l'absoudre non plus. Lucile nous a laissé ce doute en héritage, et le doute est un poison."

durée : 00:24:29 - Le Feuilleton - "Ces années ont été pour Lucile un temps de grande solitude (elle l'a souvent dit), et ont contribué à la destruction de sa personne (c'est moi qui l'écris). La rencontre de Lucile et Gabriel reste à mes yeux la rencontre de deux grandes souffrances."

durée : 00:24:48 - Le Feuilleton - "Liane découvre l'adolescent allongé sur son lit, un sac en plastique enfoncé sur la tête. Elle se jette sur lui, retire le sac d'un geste brusque et découvre son visage. Sa bouche est restée ouverte, à la recherche d'air."

durée : 00:24:03 - Le Feuilleton - Une larme coule sur la joue de Lucile. Elle ne veut plus faire de photos, voilà tout, elle le redira à sa mère. Elle n'est pas cette jeune fille en jupe plissée, elle n'a rien à voir avec ce simulacre de douceur qu'on veut lui faire jouer."

durée : 00:24:23 - Le Feuilleton - "Sans doute avais-je envie de rendre un hommage à Lucile, de lui offrir un cercueil de papier et un destin de personnage. Mais je sais aussi qu'à travers l'écriture je cherche l'origine de sa souffrance. Est-ce que la souffrance était déjà là ? "

durée : 00:24:41 - Le Feuilleton - "Mon fils me rappelait à l’ordre: un chat s’appelait un chat. Grand-mère s’était suicidée, oui, foutue en l’air, elle avait baissé rideau, lâché l’affaire, elle avait dit stop, basta, terminado, et elle avait de bonnes raisons d’en arriver là."

durée : 00:29:27 - Le Feuilleton - "Les irréversibles courants de libération de la femme qui fouettent le monde, ne me laissent pas indifférente. Cet ébranlement qui viole tous les domaines, révèle et illustre nos capacités."

durée : 00:28:26 - Le Feuilleton - "On dévisageait la femme mûre sans compagnon. Je feignais l’indifférence, alors que la colère martelait mes nerfs et que mes larmes retenues embuaient mes yeux. Je mesurais, aux regards étonnés, la minceur de la liberté ; accordée à la femme."

durée : 00:29:12 - Le Feuilleton - "L’amitié a des grandeurs inconnues de l’amour. Elle se fortifie dans les difficultés, alors que les contraintes massacrent l’amour. Elle résiste au temps qui lasse et désunit les couples. Elle a des élévations inconnues de l’amour."

durée : 00:29:09 - Le Feuilleton - "Premières pionnières de la promotion de la femme africaine, nous étions peu nombreuses. Des hommes nous taxaient d’écervelées. D’autres nous désignaient comme des diablesses. Mais beaucoup voulaient nous posséder."

durée : 00:29:27 - Le Feuilleton - "J’écoute des mots qui créent autour de moi une atmosphère nouvelle où j’évolue, étrangère et crucifiée. La mort, passage ténu entre deux mondes opposés, l’un tumultueux, l’autre immobile."

durée : 00:28:42 - Le Feuilleton - "Gloria s’enferme dans la salle de bains. Cris étouffés, pour ne pas qu’on l’entende. Elle se griffe, se frappe, au visage, à la poitrine, au ventre."

durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - "Gloria aimerait profiter du moment, mais l’allégresse qui l’emplissait depuis quelques jours s’est éteinte brutalement, remplacée par un vif début de panique"

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - "Gloria sentait que ça lui revenait, elle aussi, au galop, le goût d’être avec Eric. Et cette fois sans personne pour les surveiller. "

durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - "Gloria avait l’habitude des keufs, des éducs, des assistantes sociales et toute cette faune de pauvres débiles vivant sur le dos du désarroi adolescent."

durée : 00:28:30 - Le Feuilleton - "Gloria remonte la rue à grandes enjambées, sous une pluie qui se prend pour une douche. Trempée, elle se sent conne, cradingue et super à la rue… "

durée : 01:03:18 - Fictions / Théâtre et Cie - Quand il échoue sur l’île de Lilliput, Lemuel Gulliver ne se doute pas qu’il va découvrir le peuple le plus étonnant qui soit. Ou plutôt, ce sont les Lilliputiens, créatures minuscules, qui font la découverte de Gulliver...

durée : 00:27:35 - Fictions / Théâtre et Cie - Emportés par une avalanche, Tintin, Haddock et Tharkey se réveillent dans une lamasserie où ils ont été recueillis. Grâce à une vision du moine Foudre Bénie, Tintin et Haddock retrouvent enfin Tchang et parviennent à le délivrer du yéti.

durée : 00:26:45 - Fictions / Théâtre et Cie - Tintin, Haddock et Tharkey arrivent à l’épave désolée de l’avion. L'inscription du nom de Tchang dans une grotte proche ainsi qu’une écharpe jaune accrochée à la roche les décident à poursuivre leur marche pour retrouver Tchang.

durée : 00:20:34 - Fictions / Théâtre et Cie - Suite à un rêve dans lequel Tchang l’appelait au secours, Tintin entreprend de partir au Népal pour sauver son ami, victime d’un crash aérien. Malgré son scepticisme, le capitaine Haddock décide de l’accompagner dans son expédition.

durée : 00:26:37 - Le Feuilleton - Thomas s'enfonce dans la forêt à la recherche de Lucie. Il finit par la trouver. Quand il voit apparaître les feux dans la nuit, il décide d'aller voir ce qui se passe et découvre un trou énorme avec des routes qui s'y enfoncent et toutes les voitures qui plongent dedans. C'est un passage.

durée : 00:28:11 - Le Feuilleton - La Fête du Progrès se prépare. Jacques organise la traque d'Ahmed dans la forêt. Les chefs d'Etat du monde entier sont en train de rejoindre les Vosges. Thomas entend la fuite d'Ahmed et de Lucie, qui a déclenché son signal d'alarme.

durée : 00:28:28 - Le Feuilleton - Deux hommes traquent les créatures mystérieuses et dangereuses dans la forêt. Jacques vient pour veiller à ce que Lucie fasse bien son travail, elle doit ouvrir la barrière et ne pas regarder ce qui va emprunter la route de la forêt.

durée : 00:26:11 - Le Feuilleton - Au comptoir du café du village, on entend les nouvelles, flambée des prix des matières premières, disparition des nappes phréatiques, Jacques vient boire son café. Il y a aussi Marie, et Ahmed, que Jacques menace s'il tourne à nouveau autour de ses gardiens.

durée : 00:27:16 - Le Feuilleton - Dans un futur au goût de catastrophe annoncée, un jeune homme est conduit par Jacques dans un Poste de Surveillance Avancé, à la lisière de la forêt, dans les Vosges. Après lui avoir expliqué les règles de son nouveau job, Jacques le laisse seul.

durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - Ces deux nouvelles sont parues dans Contes d’une poche et d’une autre poche, dans la traduction de Barbora Faure et Maryse Poulette publiée aux éditions du Sonneur.

durée : 00:28:24 - Le Feuilleton - Quand le Maréchal, chef du pays, est atteint par la maladie blanche, tout bascule... Mais est-il encore temps?

durée : 00:28:20 - Le Feuilleton - Après l'annonce qu'il ne dévoilera la composition de son remède à la maladie blanche qu'à condition que toutes les nations signent un pacte de paix éternelle, le Dr Galen est immédiatement renvoyé de la clinique du Pr Sigelius.

durée : 00:28:14 - Le Feuilleton - Le Dr Galen a mis au point le seul traitement venant à bout de la maladie blanche. Sa seule condition pour dévoiler sa découverte et en faire profiter tout le monde : que toutes les nations s’engagent à ne plus faire la guerre.

durée : 00:28:23 - Le Feuilleton - "On va tous y passer tous ! Tout homme de plus de quarante ans est condamné. Vous vous en fichez, vous, avec vos trente ans ! Mais nous, nous les gens dans la force de l’âge…"

durée : 00:24:46 - Le Feuilleton - La faute et l’apparence de la faute.

durée : 00:24:44 - Le Feuilleton - Le téléphone portable de Damas, le suspect numéro un, a révélé l’existence de Clémentine Courbet, dite "Mané", sa grand-mère, vivant à Clichy, foyer de l’épidémie de peste en 1920.

durée : 00:24:38 - Le Feuilleton - Tandis que les services de police parisiens sont submergés par les appels téléphoniques et par la prolifération incontrôlable des 4 peints sur les portes d’immeuble, l’assassin a fait une victime de plus à Marseille.

durée : 00:24:39 - Le Feuilleton - Une quatrième victime a déjà été retrouvée – la première femme de la série. Dans son dernier message, le tueur a fait référence à la peste qui décima Marseille en 1720, invitant l’enquête à se déplacer…

durée : 00:24:24 - Le Feuilleton - Les analyses ont prouvé que les puces retrouvées dans l’appartement de la première victime n’étaient pas porteuses du bacille de la peste. Cela n’a pas empêché le tueur de faire deux autres victimes, et la panique de s’emparer de la population.

durée : 00:24:46 - Le Feuilleton - La police demande à tous les habitants d’immeubles ou de maisons dont les portes sont marquées d’un chiffre 4 de se faire connaître dans les meilleurs délais en appelant ou en se rendant au commissariat le plus proche.

durée : 00:24:23 - Le Feuilleton - Un cadavre a été retrouvé dans un immeuble du 1er arrondissement de Paris aux portes marquées de 4 inversés. L’homme aurait été étranglé ; son corps était noirci avec de la poussière de charbon.

durée : 00:24:38 - Le Feuilleton - Il semblerait que les mystérieux messages annoncent le retour de la peste. Et Adamsberg est entré en contact avec un médiéviste amateur qui lui a appris que le 4 inversé peint sur les portes d’immeuble était un signe de protection contre la terrible maladie…

durée : 00:24:44 - Le Feuilleton - Le commissaire Adamsberg prend de plus en plus au sérieux l’histoire des grands 4 noirs peints à l’envers sur les portes d’appartements parisiens, d’autant que plusieurs immeubles ont été touchés à travers la capitale.

durée : 00:24:16 - Le Feuilleton - Joss Le Guern, marin breton émigré à Paris, a repris la vocation familiale de son arrière-arrière-grand-père : il est devenu crieur public. Or depuis quelque temps, d’étranges annonces se succèdent, au contenu énigmatique et vaguement apocalyptique.

durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Saint Louis, Missouri 21 juin 1949. Mary Lee s’est cachée au creux d’un arbre pour assister à la première baignade des jeunes garçons noirs. Mais très vite, les choses tournent mal et les violences contre eux se déchaînent.

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Saint Louis, Missouri 21 juin 1949. Une phrase a circulé : "Légalement rien n’empêche un Noir qui veut nager d’entrer dans une piscine". Une phrase comme une trainée de poudre. La petite Mary Lee suit son grand frère pour assister à l’événement.

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - Louisiane, 2 août 2010. Il fait chaud, Mary Lee, sa fille et ses petits-enfants se sont entassés dans la voiture pour aller retrouver les King, leurs voisins, au bord de la rivière rouge et y passer l’après-midi.

durée : 00:28:52 - Le Feuilleton - Louisiane, 2 août 2010. C’est dimanche. Ce matin les flics ont retourné la maison. Ils en avaient après Marcus, l’ainé des enfants. Maintenant, lui, ses frères et sœurs, sa mère et sa grand-mère Mary Lee, s’apprêtent à partir en voiture pour la rivière.

durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - "Le gouvernement a fini par accepter de financer le rapatriement des corps de Luis et Angela."

durée : 00:28:42 - Le Feuilleton - "Eva s’approche de l’attroupement dont la masse sombre et affolée est lézardée par quelques flashes de photos, elle se fraie un chemin et – et elle voit Luis et Angela, à plat ventre, ondulant à la surface du fleuve, ligotés dans la mort."

durée : 00:28:53 - Le Feuilleton - "Il n’oubliera rien de son pays, il en portera au contraire la trace où qu’il s’établisse, dispersant dans le vent du Nouveau-Mexique, de la Californie ou de l’Arizona, quelques grains de sa terre natale."

durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - "Maintenant, Luis a peur. Ça lui est tombé dessus sitôt qu’Eva lui a annoncé qu’ils attendaient un enfant."

durée : 00:28:50 - Le Feuilleton - "Ça fait plus de vingt ans que j’habite ici et rien n’a changé, les pères ont transmis aux fils leurs armes, leurs maîtresses, leur mémoire."

durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - En Estonie, sous la lumière douce de l’automne boréal, Claire, Thérèse et tous les protagonistes de cette histoire s’approchent de la vérité.

durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - Claire renonce à ses recherches sur Bertrand Demongeot et la Division Charlemagne. Jusqu’à ce que...!

durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - Claire se dirige toujours plus à l’Est et se rapproche de la vérité sur Bertrand Demongeot. Mais un événement violent vient tout remettre en question.

durée : 00:27:55 - Le Feuilleton - Claire se lance sur les traces de Bertrand Demongeot, un survivant de la Division Charlemagne caché quelque part en Europe de l’Est.

durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - Cinquante ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, une jeune historienne écrit une thèse sur les survivants de la Division Charlemagne.

durée : 00:28:46 - Le Feuilleton - "Dans cette caserne secondaire, je n'étais plus le fils de Joseph, le petit garçon que tous les maîtres tutoyaient, et qui jouait le jeudi ou le dimanche dans la cour déserte de l'école. Maintenant, j'étais à l'étranger, chez les autres."

durée : 00:28:00 - Le Feuilleton - "Mon cartable giberne, en tirant mes épaules en arrière, me faisait une poitrine avantageuse, et mes talons neufs claquaient sur le trottoir, encore encombré par les poubelles matinales"

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - "Leur erreur à tous c'était de n'avoir pas compris la force d'un sentiment unique au monde, et qu'ils n'avaient certainement jamais éprouvé puisqu'il n'y avait qu'une seule Isabelle, et qu'ils ne la connaissaient pas !"

durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - "Sur de longues boucles d'un noir brillant, elle portait une couronne de coquelicots, et elle serrait sur son cœur une brassée de blanches clématites, mêlées d'iris des collines et de longues digitales roses."

durée : 00:28:49 - Le Feuilleton - "Après la terrible affaire du Château, si glorieusement terminée par la victoire de Bouzigue, la joie s'installa dans la petite Bastide-Neuve, et les grandes vacances commencèrent."

durée : 00:29:10 - Le Feuilleton - Etienne s'obstine à pousser les mineurs à poursuivre la grève alors que la Compagnie ne cède rien et a embauché des mineurs belges pour descendre dans la fosse.

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - Le cuvelage saboté d'un puits a cédé et l'eau s'est engouffrée dans toutes les galeries. Quinze mineurs sont pris au piège dont Catherine, Etienne et Chaval.

durée : 00:28:29 - Le Feuilleton - Après quelques promesses de la Compagnie, affamés et endeuillés, les mineurs redescendent dans la fosse. Mais le cuvelage d'un puits a été saboté dans la nuit.

durée : 00:28:22 - Le Feuilleton - Etienne s'obstine à pousser les mineurs à poursuivre la grève alors que la Compagnie ne cède rien et a embauché des mineurs belges pour descendre dans la fosse.

durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - Cela fait maintenant deux mois que dure la grève des mineurs de Montsou. La petite Alzire, chez les Maheu, vient de mourir de faim sous leurs yeux impuissants.

durée : 00:28:41 - Le Feuilleton - La mise à sac de la fosse de Jean-Bart n'a pas calmé les grévistes dont la rage est attisée par la faim. Ils déferlent dans la campagne, armés de fourches.

durée : 00:28:38 - Le Feuilleton - Les mineurs du Voreux sont en grève depuis un mois. Les caisses de prévoyance sont vides et le refus de crédit de l’épicier Maigrat a achevé les espoirs.

durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - La grève est entamée depuis 15 jours, Etienne a pris la tête du mouvement. Mais les familles souffrent de la faim et la Compagnie refuse toute négociation.

durée : 00:28:29 - Le Feuilleton - Etienne a pris pension chez les Maheu dans le coron. Pour l’heure, ils sont tous réunis pour tenter de sauver le fils Maheu coincé au fond d’un puits.

durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - Etienne a été embauché à la fosse du Voreux. Il s’intéresse à l’Association internationale des travailleurs qui vient d'être créée à Londres.

durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Ouvrier sans travail, le jeune Etienne Lantier est parti dans le nord, dans la région des mines de charbon où, paraît-il, on embauche.

durée : 00:24:41 - Le Feuilleton - "Pas de nouvelles du ministre de la santé…à part une phalange envoyée pour preuve de son kidnapping !!! "

durée : 00:24:23 - Le Feuilleton - "Les problèmes s’accumulent, disparition de son ministre de la santé…scandale du côté de son ministre de la justice….rien ne va plus !!!"

durée : 00:24:38 - Le Feuilleton - "Réunion de crise, à l’Elysée…visite en Bretagne….visite d’entreprise !!!!"

durée : 00:24:34 - Le Feuilleton - "Il y a quelques heures Pierre-Yves Gerland, Premier ministre a été réveillé pour apprendre la disparition de son ministre de la santé. Le ministre convoque une réunion de crise, mais avant cela, le ministre donne une interview à la radio… !!!! "

durée : 00:24:27 - Le Feuilleton - Pierre-Yves Gerland, Premier ministre exsangue après 18 mois de mandat, est réveillé en pleine nuit pour apprendre la disparition mystérieuse de son ministre de la Santé pendant un séjour en Afrique, tandis qu’éclate un scandale autour du logement de fonction du ministre des Finances…

durée : 00:00:36 - BA "Tintin au Tibet" d'Hergé

durée : 00:28:46 - Le Feuilleton - Nora révèle à Bartels le lien entre Hélène et le braquage de 86. Bartels fait assassiner Muller. Valentina écope de cinq ans de prison. En garde à vue, Rojas se suicide. Les industriels du tabac échappent au procès en échange d’une amende record.

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - Nora perquisitionne BRS Conseil puis retrouve la trace de Christelle. Muller tente de faire taire les journalistes croates. Valentina dit à Bartels qu’elle est prête à avouer et à mettre tout sur le dos de Rojas. Brun fait tout pour protéger Hélène.

durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - Nora peine à convaincre Scelci et Bruxelles de l’utilité de son enquête sur les industriels du tabac. Brun espionne le réseau de prostitution orchestré par Valentina et Hélène et remonte jusqu’au siège de BRS Conseil, la société de Bartels et Rojas.

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - Lutte de pouvoir avec Rojas pour Bartels, rapport de force avec la mafia italienne pour Muller. Nora rencontre deux journalistes croates qui enquêtent sur la contrebande de cigarettes en ex-Yougoslavie. Les routes de Brun et de Valentina se recroisent.

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Dix ans plus tard, Bartels et Rojas sont désormais associés, Muller supervise la contrebande de cigarettes dans les Balkans, Brun enquête sur les réseaux de prostitution et Nora est rattaché à la cellule européenne antitabac du procureur Scelci.

durée : 00:28:49 - Le Feuilleton - Muller prend la route pour assassiner Christelle, la maîtresse de Bartels. Mais il est victime d’un accident en tentant d’échapper à un contrôle de gendarmerie. Brun retrouve la trace d’Hélène. L’enquête de Nora, elle, est au point mort.

durée : 00:28:42 - Le Feuilleton - Valentina propose à Hélène de devenir son associée. Bartels est sous pression : sa femme Élise réclame le divorce et il apprend qu’il sera bientôt chaperonné par Rojas. Nora parvient à dresser le portrait-robot d’un homme qu’il appelle Monsieur X.

durée : 00:28:46 - Le Feuilleton - Pour stopper une grève des buralistes, Bartels négocie alors que Muller se lance dans plusieurs opérations punitives. Les enquêtes avancent doucement. Alors que Brun suit toujours la piste d’Hélène, Nora se rend à la casse automobile Vanier.

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - Muller confie Hélène, la petite amie d’un des chauffeurs braqués, à Valentina qui dirige une agence d’évènementiel sportif. Nora enquête sur le braquage, Brun, sur la disparition d’Hélène. Bartels, lui, s’assure que tout le monde puisse fumer en paix.

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Une nuit de juillet 1986, Muller, avec la complicité de cinq hommes armés, braque deux camions-citernes remplis d’ammoniac. David Bartels, lobbyiste pro-tabac est le commanditaire de ce vol. Pour l’inspecteur Nora, sept morts au total, ça fait tache.

durée : 00:28:58 - Le Feuilleton - Le lendemain, Stockmann et sa femme ramassent encore les pierres jetées contre leurs fenêtres. Licencié ainsi que sa fille, il comprend que personne n’osera les soutenir et projette de partir en Amérique avec sa famille lorsqu’arrive son beau-père.

durée : 00:29:01 - Le Feuilleton - Le docteur tient une conférence devant l’assemblée houleuse des citoyens. Ceux-ci refusent qu’il expose sa découverte, le bailli les ayant convaincus qu’il affabulait. Stockmann leur fait part alors d’une révélation d’une tout autre portée.

durée : 00:28:59 - Le Feuilleton - A l’imprimerie du Messager du peuple, on discute avec enthousiasme de la parution de l’article. L’un des journalistes y voit même une révolution en marche, jusqu’à ce que l’arrivée du bailli vienne rebattre les cartes.

durée : 00:28:51 - Le Feuilleton - La cause du docteur est soutenue par Hovstadt, rédacteur du journal et Aslaksen, imprimeur et représentant de l’association des petits propriétaires. Celui-ci propose d’user de son influence pour que Stockmann ait la majorité compacte derrière lui.

durée : 00:28:52 - Le Feuilleton - Le docteur Stockman doit livrer au journal local un article présentant les excellentes conditions sanitaires des Bains. Mais avant toute chose, il attend les résultats d’expertise de l’eau qu’il a lui-même pris soin de commander.

durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Les rumeurs de mariage entre Denise et Octave Mouret sont devenues le principal sujet de conversation du personnel. De rayon en rayon, les paris s’emballent. 

durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - Denise est revenue lavée de tous soupçons au Bonheur des Dames et a été promue deuxième vendeuse par Octave Mouret.

durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Après son renvoi du Bonheur des Dames, Denise est embauchée par Robineau, renvoyé lui aussi et qui a racheté une boutique du quartier.

durée : 00:29:07 - Le Feuilleton - Depuis son entrée au Bonheur des Dames, sans appointements fixes, l’argent est le souci constant de Denise.

durée : 00:29:04 - Le Feuilleton - Après la mort de ses parents, Denise, flanquée de ses frères Jean et Pépé, avait débarqué sans prévenir chez son oncle Baudu, à Paris.

durée : 00:58:15 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - "Lorsque par une journée morne et sombre d’automne, le narrateur arrive à la Maison Usher, il est alors aussitôt saisi par l’atmosphère étrange qui y règne, un air de mélancolie rude, profonde et irrémédiable qui envahit tout…"

durée : 00:25:08 - Le Feuilleton - Qui pourrait ne pas frémir en songeant aux malheurs que peut causer une seule liaison dangereuse !

durée : 00:24:58 - Le Feuilleton - Valmont, après avoir enfin séduit Madame de Tourvel, lui envoie une lettre de rupture cinglante que lui dicte la Marquise de Merteuil. Il peut de nouveau réclamer à cette dernière une nuit d’amour, comme prix de ses exploits et de son sacrifice.

durée : 00:25:01 - Le Feuilleton - Tandis que Madame de Merteuil s’amuse avec Danceny, Valmont, feignant un profond repentir, obtient un entretien avec Madame de Tourvel.

durée : 00:24:53 - Le Feuilleton - Madame de Tourvel, craignant de succomber à son amour coupable pour Valmont, se réfugie dans un couvent, cependant que Valmont initie Cécile aux plaisirs charnels.

durée : 00:24:39 - Le Feuilleton - Cécile, piégée, succombe aux assauts de Valmont et sombre dans la mélancolie. Quant à Madame de Tourvel, elle aussi semble sur le point de céder au libertin.

durée : 00:24:54 - Le Feuilleton - Valmont, en même temps qu’il s’emploie à conquérir Madame de Tourvel, veut séduire Cécile : il lui demande de lui remettre la clef de sa chambre, sous prétexte de l’aider à correspondre avec Danceny.

durée : 00:24:59 - Le Feuilleton - Valmont, tout en poursuivant ses assauts amoureux contre Madame de Tourvel, décide de séduire Cécile et de la perdre : pour cela, il commence par lui proposer de l’aider à correspondre avec Danceny dont elle est amoureuse.

durée : 00:24:34 - Le Feuilleton - Encouragée par la Marquise de Merteuil, Cécile se livre à son amour pour Danceny. Valmont, quant à lui, envoie à Madame de Tourvel une lettre passionnée… qu’il a écrite sur le dos d’une maîtresse.

durée : 00:24:52 - Le Feuilleton - Valmont profite d’une occasion favorable pour déclarer son amour à Madame de Tourvel : saisie d’effroi, elle lui impose le silence. Quant à l’ingénue Cécile, guidée par la Marquise de Merteuil, elle aussi avoue son amour à Danceny.

durée : 00:24:57 - Le Feuilleton - Quel plus grand défi pour un libertin comme le vicomte de Valmont que de vaincre la vertu et la piété d’une femme mariée, en l’occurrence, la très gracieuse Madame de Tourvel.

durée : 00:28:19 - Le Feuilleton - Un thriller qui déjoue la fascination du smartphone

durée : 00:28:46 - Le Feuilleton - Zadig, après avoir était trahi par la belle Sémire et décu par son épouse Zora, fut appelé auprès du roi Moabdar et de la reine Astarté pour être premier ministre.

durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Jeune, riche, beau et intelligent, savant, brave, Zadig était très courtisé à Babylone, il incarnait à lui seul la plénitude du bonheur humain.

durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - Du temps du roi Moabdar il y avait à Babylone un jeune homme nommé Zadig, né avec un beau naturel fortifié par l'éducation. Quoique riche et jeune, il savait modérer ses passions, il n'affectait rien, il ne voulait point toujours avoir raison, et savait respecter la faiblesse des hommes.

durée : 00:28:40 - Là d'où je viens a disparu de Guillaume Poix 5/5 - L'adaptation radiophonique de ce roman choral, paru en 2020 aux éditions Verticales, s'intéresse au parcours d'un jeune couple salvadorien, Luis et Eva, parents d'une petite fille de quelques mois, Angela. Désireux de gagner les États-Unis pour fuir la violence des gangs et de sombres perspectives sociétales, tous les trois quittent leur famille. Marta, mère de Luis, et Rafael, son meilleur ami, évoquent l'arrachement de ce départ et retracent, à distance, les étapes de leur voyage. À des milliers de kilomètres de là, Litzy, femme de ménage dans un club de golf du New Jersey, tente d'oublier le Salvador, son pays natal, et de construire une vie durable avec son fils, Zach. Angie, jeune adolescente somalienne, rêve, elle aussi, de rejoindre les Etats-Unis. Ces destins croisés tissent ensemble le roman poignant et haletant des migrations contemporaines.

durée : 00:28:42 - Là d'où je viens a disparu de Guillaume Poix 4/5 - L'adaptation radiophonique de ce roman choral, paru en 2020 aux éditions Verticales, s'intéresse au parcours d'un jeune couple salvadorien, Luis et Eva, parents d'une petite fille de quelques mois, Angela. Désireux de gagner les États-Unis pour fuir la violence des gangs et de sombres perspectives sociétales, tous les trois quittent leur famille. Marta, mère de Luis, et Rafael, son meilleur ami, évoquent l'arrachement de ce départ et retracent, à distance, les étapes de leur voyage. À des milliers de kilomètres de là, Litzy, femme de ménage dans un club de golf du New Jersey, tente d'oublier le Salvador, son pays natal, et de construire une vie durable avec son fils, Zach. Angie, jeune adolescente somalienne, rêve, elle aussi, de rejoindre les Etats-Unis. Ces destins croisés tissent ensemble le roman poignant et haletant des migrations contemporaines.

durée : 00:28:53 - Là d'où je viens a disparu de Guillaume Poix 3/5 - L'adaptation radiophonique de ce roman choral, paru en 2020 aux éditions Verticales, s'intéresse au parcours d'un jeune couple salvadorien, Luis et Eva, parents d'une petite fille de quelques mois, Angela. Désireux de gagner les États-Unis pour fuir la violence des gangs et de sombres perspectives sociétales, tous les trois quittent leur famille. Marta, mère de Luis, et Rafael, son meilleur ami, évoquent l'arrachement de ce départ et retracent, à distance, les étapes de leur voyage. À des milliers de kilomètres de là, Litzy, femme de ménage dans un club de golf du New Jersey, tente d'oublier le Salvador, son pays natal, et de construire une vie durable avec son fils, Zach. Angie, jeune adolescente somalienne, rêve, elle aussi, de rejoindre les Etats-Unis. Ces destins croisés tissent ensemble le roman poignant et haletant des migrations contemporaines.

durée : 00:28:43 - Là d'où je viens a disparu de Guillaume Poix 2/5 - L'adaptation radiophonique de ce roman choral, paru en 2020 aux éditions Verticales, s'intéresse au parcours d'un jeune couple salvadorien, Luis et Eva, parents d'une petite fille de quelques mois, Angela. Désireux de gagner les États-Unis pour fuir la violence des gangs et de sombres perspectives sociétales, tous les trois quittent leur famille. Marta, mère de Luis, et Rafael, son meilleur ami, évoquent l'arrachement de ce départ et retracent, à distance, les étapes de leur voyage. À des milliers de kilomètres de là, Litzy, femme de ménage dans un club de golf du New Jersey, tente d'oublier le Salvador, son pays natal, et de construire une vie durable avec son fils, Zach. Angie, jeune adolescente somalienne, rêve, elle aussi, de rejoindre les Etats-Unis. Ces destins croisés tissent ensemble le roman poignant et haletant des migrations contemporaines.

durée : 00:28:50 - Le Feuilleton - "Ça fait plus de vingt ans que j’habite ici et rien n’a changé, les pères ont transmis aux fils leurs armes, leurs maîtresses, leur mémoire."

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Où l'affaire Marcelle Pichon prend soudain tout son sens grâce à Margaret Thatcher, à une photo d'enfance et à un test ADN.

durée : 00:28:46 - Le Feuilleton - Où notre détective se rend sur la scène de crime et son étrange rencontre avec un couple de petits vieux et un oiseau bleu.

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Où l'on comprend qu'avoir été abandonné par sa mère, ce n'est pas rien - et cela vaut aussi pour les pères.

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - Où l'on se fait peut-être des idées fausses sur Marcelle Pichon, mais aussi sur le complexe d’œdipe et même sur Marcel Proust...

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - Où l'on découvre que Marcelle Pichon s'est laissé mourir de faim et comment la presse rendit étrangement compte de ce fait divers.

durée : 00:29:30 - Le Feuilleton - "Ida commença à balancer en silence sa petite tête blanchie ; et c’est alors que se produisit le miracle. Le sourire qu’elle avait un peu plus tôt attendu en vain sur le visage de son enfant étira ses propres lèvres."

durée : 00:29:30 - Le Feuilleton - "Ida commença à balancer en silence sa petite tête blanchie ; et c’est alors que se produisit le miracle. Le sourire qu’elle avait un peu plus tôt attendu en vain sur le visage de son enfant étira ses propres lèvres."

durée : 00:28:36 - Le Feuilleton - "Il reste donc à raconter, pour terminer, ce printemps-été de l’année 1947, marqués par les vagabondages d’Useppe et de sa compagne Bella, en permission dans le quartier Testaccio et dans les environs."

durée : 00:28:38 - Le Feuilleton - "Il reste donc à raconter, pour terminer, ce printemps-été de l’année 1947, marqués par les vagabondages d’Useppe et de sa compagne Bella, en permission dans le quartier Testaccio et dans les environs."

durée : 00:28:36 - Le Feuilleton - "Nino annonça qu'il avait trouvé un logement. Le jour du départ, Useppe se sentit défaillir et demanda à son frère pourquoi il s'en allait, les mains agrippées à la rampe et les muscles tremblants. Nino lui répondit qu'il reviendrait bientôt."

durée : 00:28:36 - Le Feuilleton - "Nino annonça qu'il avait trouvé un logement. Le jour du départ, Useppe se sentit défaillir et demanda à son frère pourquoi il s'en allait, les mains agrippées à la rampe et les muscles tremblants. Nino lui répondit qu'il reviendrait bientôt."

durée : 00:28:07 - Le Feuilleton - "Le soir du 4 juin 1944, tout le monde se coucha tôt, car il n’y avait pas de courant électrique. Le Testaccio reposait calmement sous la lumière de la lune. Et dans la nuit, les Alliés pénétrèrent dans Rome."

durée : 00:28:06 - Le Feuilleton - "Le soir du 4 juin 1944, tout le monde se coucha tôt, car il n’y avait pas de courant électrique. Le Testaccio reposait calmement sous la lumière de la lune. Et dans la nuit, les Alliés pénétrèrent dans Rome."

durée : 00:29:10 - Le Feuilleton - "Un matin où le soleil était si brillant et si chaud qu’on aurait cru au retour de l’été, Nino décida qu'il était temps de réaliser la promesse qu'il avait faite à Useppe de l'emmener auprès de ses camarades."

durée : 00:29:10 - Le Feuilleton - "Un matin où le soleil était si brillant et si chaud qu’on aurait cru au retour de l’été, Nino décida qu'il était temps de réaliser la promesse qu'il avait faite à Useppe de l'emmener auprès de ses camarades."

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - "Ida courait, ballottant Useppe, prise d’une sorte de panique, essoufflée. "Signora !", dit-elle soudain tout bas, se rapprochant le plus possible, comme à une confidente intime : "Signora Di Segni, moi aussi, je suis juive."

durée : 00:28:42 - Le Feuilleton - "Ida courait, ballottant Useppe, prise d’une sorte de panique, essoufflée. "Signora !", dit-elle soudain tout bas, se rapprochant le plus possible, comme à une confidente intime : "Signora Di Segni, moi aussi, je suis juive."

durée : 00:27:45 - Le Feuilleton - "Ida et Useppe vivaient dans un refuge qui avait accueilli bon nombre de romains sinistrés par les bombardements, à environ un kilomètre de la ville, par-delà un désert de prairies irrégulières, toutes en escarpements et en dépressions."

durée : 00:27:44 - Le Feuilleton - "Ida et Useppe vivaient dans un refuge qui avait accueilli bon nombre de romains sinistrés par les bombardements, à environ un kilomètre de la ville, par-delà un désert de prairies irrégulières, toutes en escarpements et en dépressions."

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - "On n’avait jamais vu de bébé aussi gai que Giuseppe. Tout ce qu’il voyait autour de lui le remplissait de joie. Il admirait, hilare, les stries de pluie de l’autre côté des vitres, comme s’il s’agissait d’étoiles filantes de toutes les couleurs."

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - "On n’avait jamais vu de bébé aussi gai que Giuseppe. Tout ce qu’il voyait autour de lui le remplissait de joie. Il admirait, hilare, les stries de pluie de l’autre côté des vitres, comme s’il s’agissait d’étoiles filantes de toutes les couleurs."

durée : 00:28:50 - Le Feuilleton - "Ida hésita entre doutes et malaises pendant plusieurs semaines, avant d’admettre l’inconcevable scandale suprême : sa relation indécente avec un Allemand anonyme se soldait par une grossesse."

durée : 00:28:50 - Le Feuilleton - "Ida hésita entre doutes et malaises pendant plusieurs semaines, avant d’admettre l’inconcevable scandale suprême : sa relation indécente avec un Allemand anonyme se soldait par une grossesse."

durée : 00:28:37 - Le Feuilleton - "Un jour de janvier 1941, un soldat allemand flânait dans le quartier de San Lorenzo, à Rome. Il connaissait en tout quatre mots d’italien et, du monde, il ne savait presque rien. Il se prénommait Gunther. Son nom de famille demeure inconnu."

durée : 00:28:37 - Le Feuilleton - "Un jour de janvier 1941, un soldat allemand flânait dans le quartier de San Lorenzo, à Rome. Il connaissait en tout quatre mots d’italien et, du monde, il ne savait presque rien. Il se prénommait Gunther. Son nom de famille demeure inconnu."

durée : 00:29:01 - Le Feuilleton - "Si on a tiré pas mal de leçons techniques sur la façon de traiter ce virus, a-t-on vraiment compris qu'il avait rapproché les gens ? Il faut attraper le virus de l’amour et ne jamais oublier en quoi cette nuit diffère des autres nuits."

durée : 00:28:49 - Le Feuilleton - "Ce n’est pas une guerre. On se gargarise d’un avant et d’un après, mais ce n’est pas une guerre, faut arrêter de délirer. C’est la vie et c’est un virus et c’est son taf, et il y en aura d’autres, la vie est ainsi faite et il faut s’adapter"

durée : 00:29:08 - Le Feuilleton - "Notre cadre s’est battue pour que nous soyons habillées décemment. 0n n'avait si peu. Les pantalons fabriqués en chine se déchiraient et laissaient entrevoir la raie des fesses, les tenues transparentes laissaient deviner nos sous-vêtements."

durée : 00:28:53 - Le Feuilleton - "La réa ne désemplit pas, on voit des personnes de trente ans en détresse respiratoire entre la vie et la mort, on entend au staff ce qui se dit sur les patients qu'on choisit de sauver et ceux qu'il n'est peut-être pas utile de réanimer."

durée : 00:29:03 - Le Feuilleton - Mon fils est resté deux mois enfermé dans sa chambre, rivé à son ordinateur. J'ai l’impression de l’avoir sacrifié. Je l’ai sacrifié, j’ai choisi l’hôpital plutôt que lui ; ou plutôt je n’ai pas choisi, j'ai été happée dans un tourbillon

durée : 00:30:09 - Le Feuilleton - "Des arbres centenaires enserraient ce repli où l’on pouvait deviner, à mi-hauteur, une maisonnette à l’italienne peinte de couleurs fruitées lavées par les pluies. La propriété portait un nom ridicule qui nous avait enchantés : La Béate"

durée : 00:30:16 - Le Feuilleton - "L’écriture me fut nécessaire comme est nécessaire le miroir, comme il est indispensable de savoir qui l’on est, pourquoi on existe et pour qui. En effet, la plupart de mes livres, en ce sens, furent ce miroir où je tentai de me rassembler."

durée : 00:29:23 - Le Feuilleton - "Ainsi en est-il de la lumière des êtres : elle vous éclaire avant que vous ne le sachiez. Ce magnétisme je n’en avais jamais ressenti l’émoi avant ce moment exact où je levai les yeux vers celle que je ne connaissais pas encore."

durée : 00:29:20 - Le Feuilleton - "J’aimais l’acte de peindre, j’aimais la vie qu’imposait l’acte de peindre, j’aimais l’extraordinaire tension qui me mettait en quelque sorte hors de moi lorsque debout devant la toile je n’étais plus moi mais ce qui se faisait sur la toile."

durée : 00:30:38 - Le Feuilleton - "Trop de fois j’ai été arraché aux êtres aux lieux aux choses – et je ne m’y suis jamais fait. J’ai mis une vie à me rétablir tant bien que mal d’une enfance de nulle part, traversée de présences fugitives."

durée : 00:26:11 - Le Feuilleton - Dans un futur au goût de catastrophe annoncée, un jeune homme est conduit par Jacques dans un Poste de Surveillance Avancé, à la lisière de la forêt, dans les Vosges. Après lui avoir expliqué les règles de son nouveau job, Jacques le laisse seul.

durée : 00:25:06 - Le Feuilleton - Au comptoir du café du village, on entend les nouvelles, flambée des prix des matières premières, disparition des nappes phréatiques, Jacques vient boire son café. Il y a aussi Marie, et Ahmed, que Jacques menace s'il tourne à nouveau autour de ses gardiens.

durée : 00:27:06 - Le Feuilleton - La Fête du Progrès se prépare. Jacques organise la traque d'Ahmed dans la forêt. Les chefs d'Etat du monde entier sont en train de rejoindre les Vosges. Thomas entend la fuite d'Ahmed et de Lucie, qui a déclenché son signal d'alarme.

durée : 00:26:37 - Le Feuilleton - Thomas s'enfonce dans la forêt à la recherche de Lucie. Il finit par la trouver. Quand il voit apparaître les feux dans la nuit, il décide d'aller voir ce qui se passe et découvre un trou énorme avec des routes qui s'y enfoncent et toutes les voitures qui plongent dedans. C'est un passage...

durée : 00:27:24 - Le Feuilleton - Deux hommes traquent les créatures mystérieuses et dangereuses dans la forêt. Jacques vient pour veiller à ce que Lucie fasse bien son travail, elle doit ouvrir la barrière et ne pas regarder ce qui va emprunter la route de la forêt.

durée : 00:00:33 - Le Feuilleton - Dans un futur proche, un jeune homme accepte un poste de gardien à la lisière de la forêt, pour 7 jours. Il remplace le précédent gardien qui serait devenu fou. Témoin d'événements étranges, il va désobéir aux ordres reçus. Une série de Medhi Bayad réalisée par Baptiste Guiton.

durée : 00:29:34 - Le Feuilleton - "Les soldats nous posent contre la façade du Jeu de Paume, en toute simplicité, et c’est là, au soleil des tout premiers jours du premier automne depuis la fin de la guerre, que nous attendons d’être ramenées à la maison par nos familles."

durée : 00:30:02 - Le Feuilleton - "Tout peut arriver. Je crains d’être échangée, et contre qui ? Je ne m’imagine pas finir mes jours du côté de Linz, ville si chère au cœur d’Hitler."

durée : 00:28:30 - Le Feuilleton - "Une question m’a hantée sous toutes ses formes : pourquoi le Jeu de Paume peuplé de tant de personnages illustres n’a-t-il pas été le théâtre d’une révolte spontanée ? Pourquoi ne sommes-nous pas tous sortis du cadre pour refuser cette déportation ?"

durée : 00:28:58 - Le Feuilleton - Ingres m’a peinte entre 1844 et 1848 mais j’habite vraiment le tableau depuis ce matin seulement, ce premier jour du mois de septembre 1886, qui est celui de ma mort.

durée : 00:29:24 - Le Feuilleton - À la Libération, James Rorimer, en charge de récupérer les œuvres d’art volées et stockées en Allemagne, demande l’aide de Jacques Jaujard et Rose Valland.

durée : 00:24:31 - Le Feuilleton - Rose Valland découvre qu’un train chargé d’oeuvres d'art va quitter Paris. Jaujard veut retarder ce convoi jusqu’à l’arrivée des troupes alliées.

durée : 00:27:25 - Le Feuilleton - Rose Valland doit choisir entre le secret de sa mission et sa vie amoureuse.

durée : 00:26:20 - Le Feuilleton - Des vols d'œuvres d'art ont eu lieu au Jeu de Paume. Le Dr Lohse, haut responsable nazi, suspecte l’équipe de Rose Valland et somme la jeune conservatrice de lui fournir un coupable.

durée : 00:25:10 - Le Feuilleton - Rose Valland apprend que la collection Schloss convoitée par Hitler va arriver à Paris. Jaujard veut sauver le plus d'œuvres possible de la cupidité du Führer.

durée : 00:27:12 - Le Feuilleton - Jacques Jaujard, directeur des Musées nationaux, missionne Rose Valland, pour recenser secrètement les spoliations d'œuvres d’art effectuées par les Allemands.

durée : 00:27:11 - Le Feuilleton - Après les Aventures de Tintin, un petit tour chez les Pieds Nickelés avec la comédienne Emmanuelle Riva

durée : 00:21:51 - Le Feuilleton - Avec l’aide du capitaine Haddock et des Dupondt, Tintin parvient à échapper à ses ravisseurs, les frères Loiseau, qui sont eux-mêmes à la recherche des parchemins cachés dans les trois modèles réduits de la Licorne.

durée : 00:22:40 - Le Feuilleton - Après avoir retrouvé le parchemin qui était dissimulé dans le mât central de sa Licorne, Tintin est victime d’un enlèvement : chloroformé, il se réveille dans la cave d’un château…

durée : 00:25:43 - Le Feuilleton - Ayant retrouvé les mémoires de son ancêtre le Chevalier de Hadoque, le capitaine Haddock raconte à Tintin comment celui-ci affronta le terrible pirate Rackham le Rouge lors d’un abordage sanglant.

durée : 00:22:47 - Le Feuilleton - Au marché aux puces, Tintin achète la maquette d’un bateau pour en faire cadeau au capitaine Haddock. Le capitaine reconnaît aussitôt dans ce modèle réduit le vaisseau de son ancêtre, le Chevalier de Hadoque…

durée : 00:21:14 - Le Feuilleton - Que sont devenus les héros de nos adolescences ? Et du plaisir qu’on a eu à raconter en vingt épisodes l’histoire des Rolling Stones, affaire éternelle du hasard et du destin mêlés à la vie d’une poignée d’individus ordinaires ou presque.

durée : 00:20:51 - Le Feuilleton - De l’idée que chez les Rolling Stones on se fait des femmes, et de comment le torchon brûle entre les Glimmer Twins, les jumeaux étincelants, les inséparables Mick Jagger et Keith Richards.

durée : 00:20:07 - Le Feuilleton - Comment les Rolling Stones, en 1975, sont à nouveau confrontés au choix d’un guitariste, présentation de Ron Wood, et l’affaire de Toronto qui s’ensuit.

durée : 00:21:22 - Le Feuilleton - De quelques excès soigneusement préparés, et de la renonciation de Mick Taylor aux Rolling Stones : ou comment un jeune guitariste doué s’estime heureux de quitter les Rolling Stones vivant.

durée : 00:21:06 - Le Feuilleton - Comment les Rolling Stones ont adopté la France, et comment ils s’en échappent en courant six mois plus tard, emmenant quand même avec eux le meilleur disque qu’ils aient jamais fait.

durée : 00:21:26 - Le Feuilleton - Comment un concert gratuit dans le meilleur des mondes peut tourner au cauchemar : du meurtre de Meredith Hunter par les Hells Angels à Altamont.

durée : 00:21:05 - Le Feuilleton - Où l’on entame la tournée américaine sous l’emblème de Gimme Shelter : "Donne-moi asile, donne-moi refuge"

durée : 00:21:14 - Le Feuilleton - Où l’on parle presque exclusivement de la guitare et de ses techniques.

durée : 00:21:09 - Le Feuilleton - De Jean-Luc Godard filmant en 1968 les Rolling Stones en studio, jusqu’au décès de Brian Jones par noyade, en passant par quelques mystères non éclaircis.

durée : 00:21:04 - Le Feuilleton - D’un voyage au Maroc et de ses conséquences, puis de l’invention de Jumpin’ Jack Flash.

durée : 00:20:58 - Le Feuilleton - De la drogue et de ses conséquences, d’une fille nue parmi huit hommes et du bref séjour en prison de Mick Jagger et Keith Richards.

durée : 00:21:07 - Le Feuilleton - De l’art de construire l’un après l’autre les succès du hit-parade et des paroles qu’on y met, et de la rencontre d’Anita Pallenberg.

durée : 00:20:56 - Le Feuilleton - De la découverte de l’Amérique, et de comment une chanson peut vous venir en pleine nuit et vous amener le succès, plus quelques questions économiques.

durée : 00:21:03 - Le Feuilleton - Les Stones jouent très bien les morceaux des autres. Il leur faut pourtant pour leurs disques des chansons qu’ils soient seuls à jouer. Et c’est ainsi qu’on va étudier aujourd’hui la fabrique de la signature Jagger-Richard.

durée : 00:21:06 - Le Feuilleton - Comment on décroche un producteur et comment on en trahit un autre, qu’on enregistre enfin son premier disque et qu’on vous envoie en tournée sur les routes de l’Angleterre.

durée : 00:21:00 - Le Feuilleton - Leçons pour vivre à pas cher dans la capitale de l’Angleterre : du 102 Edith Grove au Station Hotel Richmond.

durée : 00:21:17 - Le Feuilleton - Où l’on plonge brièvement dans la vie musicale de Londres au début des années 60, et comment s’inventent les Rollin’ Stones.

durée : 00:20:41 - Le Feuilleton - Comment l’un fait, le dimanche, des démonstrations de gymnastique à la télévision pendant que l’autre connaît le succès en tant qu’enfant de chœur, et comment tous les deux rencontrent Chuck Berry : l’enfance de Mick Jagger et de Keith Richards.

durée : 00:20:37 - Le Feuilleton - Comment la musique permet de traverser toutes les mauvaises passes : l’itinéraire de William Perks, futur Bill Wyman, dans l’Angleterre d’après-guerre.

durée : 00:21:02 - Le Feuilleton - Comment Elmo Lewis s’en vint un jour à Londres après une enfance qui aurait pu être tranquille dans une paisible province anglaise.

durée : 00:20:04 - Le Feuilleton - Il y aura cet épilogue, Plant et Page, rassemblés tous les deux, enregistrant à Bombay, se présentant en duo sur scène. Revisitant Led Zeppelin, à la lumière des musiques du monde, puis ils s’en lassent.

durée : 00:20:04 - Le Feuilleton - Après le concert à Nantes, on leur sert des plateaux-repas et du mauvais vin, pour Bonzo, c’est une insulte, il détruit les vestiaires et les voilà repartis. La gendarmerie utilise la totalité de son effectif nocturne pour les coincer.

durée : 00:20:04 - Le Feuilleton - Combien sommes-nous à porter Led Zeppelin dans la tête et à quoi est-ce lié ? À ce bonheur euphorisant des rythmes, aux trames sombres des chansons ou au fait que pour nous, c’était le symbole d’une musique contre l’ordre établi du monde ?

durée : 00:20:04 - Le Feuilleton - A l’argent, aux millions de disques vendus, aux concerts à des tarifs qu’aucuns groupes avant eux n’avaient pratiqués, il y a une rançon, c’est l’isolement.

durée : 00:20:03 - Le Feuilleton - Pour la première fois depuis quinze mois, ils vont pouvoir faire une vraie pause, le second album vient de passer le million d’exemplaires. Ils s’achètent des maisons, des voitures, une ferme, un troupeau de brebis...!

durée : 00:20:07 - Le Feuilleton - Si dans un hôtel Led Zepp a démoli les télévisions sous prétexte qu’on voyait Nixon, ou sans prétexte du tout, personne pour leur en vouloir, sachant que la facture sera honorée, c’est très rock and roll n’est-ce pas ?

durée : 00:20:05 - Le Feuilleton - Ce sera avec un étrange solo, la musique faite avec des gestes de sorcier, que Led Zeppelin va défier pendant dix ans les groupes concurrents. On est désormais tout en haut de l’échelle et c’est allé si vite, moins de cinq mois.

durée : 00:19:55 - Le Feuilleton - Quand deux soldats américains traitent Plant et Page de demoiselles, ils se voient soulevés par le col par le bon géant barbu. Avec Peter Grant, Led Zeppelin est armé pour l’Amérique, avec Led Zepp, Grant est armé pour se venger de ce qu’il a enduré.

durée : 00:19:26 - Le Feuilleton - Le mot Zeppelin évoque à Londres les bombardements de la guerre, parce que la musique dont ils rêvent est forte et violente. Elle serait capable de traverser les océans, ils joueraient du rock comme on lâche des bombes sur une ville.

durée : 00:20:02 - Le Feuilleton - Ce qu’ils disent tous les quatre en ordre séparé, c’est leur surprise, leur sourire et leur rire. C’est venu malgré eux, c’est tout de suite une évidence. A la fin, plus question de s’appeler les Yardbirds, ça avait pris un nouveau chemin.

durée : 00:20:06 - Le Feuilleton - Les Yardbirds sont usés, mais avec un nouveau son en germe auquel Page contribue presque en totalité. Le chanteur s’en va, le bassiste veut devenir photographe, c’est la débandade. Ils recrutent, mais qui tenterait l’aventure ?

durée : 00:20:05 - Le Feuilleton - Jones’y et Plant’y, l’un est d’une famille de musiciens, sera musicien dès l’enfance et pour toujours; l’autre, d'une famille qui ne pratique pas d’instruments, n’écoute pas de musique, laissera tout tomber pour chanter, chanter et encore chanter

durée : 00:19:47 - Le Feuilleton - Ce soir-là on lui demande: "C’est quoi votre technique ?" Il lève ses deux bras au ciel, montre ses paluches et complète en cognant des deux poings sur la table. John Bonham, batteur.

durée : 00:20:04 - Le Feuilleton - La singularité de Jimmy Page, qui fonde Led Zeppelin mais qui a l’âge des Rolling Stones, c’est d’avoir manqué la vague initiale et réussi à s’embarquer sur la suivante avec des types qui auront cinq ans de moins que lui, une éternité à cet âge.

durée : 00:20:25 - Le Feuilleton - Led Zeppelin une incarnation, mais de quoi ? De la fascination de chanter aux lumières, aux rugissements des amplis, aux idoles rebelles se promenant luxueusement dans l’admiration universelle, un besoin de héros à mauvaise réputation

durée : 00:20:01 - Le Feuilleton - "Tout ce qu’avant j’avais fait inconsciemment, j’avais à le réapprendre pour le faire consciemment."

durée : 00:20:01 - Le Feuilleton - Bob Dylan déménage, mais le vit durement, avec Sara, ils s’installent de l’autre côté de Woodstock, dans une maison encore plus grande, non plus chez les artistes mais chez les hommes d’affaires.

durée : 00:20:03 - Le Feuilleton - Tout ce qu’on a dit sur cet accident, en fait, c’est la presse qui l’invente et comme ça rend service, on laisse faire

durée : 00:19:54 - Le Feuilleton - 1966, c’est l’année de la cassure, la réception de Dylan au plus bas, et au bout, un homme brisé qui s’enferme. Parce que Dylan est en avance…trop compliqué, trop novateur !

durée : 00:20:04 - Le Feuilleton - Bob Dylan n’a pas encore 25 ans, autour de lui tout est excessif, le succès, l’argent… et pourtant, au centre, un homme seul.

durée : 00:19:55 - Le Feuilleton - "Like A Rolling Stone", une chanson qui lui fait franchir un nouveau cercle, une chanson que tout le monde chante. Quand il écrit le texte à sa machine à écrire, ce qu’il cherche, c’est le principe d’un texte qui ne finit jamais.

durée : 00:20:58 - Le Feuilleton - Un système au point désormais, la voix parlée qui s’affirme au-devant d’une structure rythmique répétitive. Pousser les images à leur incandescence, accepter l’impressionnisme, le discontinu, charger pourtant cela des signes concrets du monde.

durée : 00:19:33 - Le Feuilleton - Maintenant, ce n’est plus le rageur garçon du folk, mais le musicien mûr affrontant seul, sa propre légende.

durée : 00:20:08 - Le Feuilleton - Les entends-tu Bobby les voix de la nuit, les entends-tu ceux qui souffrent ?

durée : 00:19:58 - Le Feuilleton - Combien d’oreilles on doit avoir avant d’entendre comment un peuple pleure ?

durée : 00:20:04 - Le Feuilleton - "Pour me comprendre, il faut aimer les puzzles", dit Bob Dylan "et en mesurer les poids respectifs."

durée : 00:20:05 - Le Feuilleton - Est-ce que le monde se renverse lorsque l’on comprend que la chanson n’est rien sans le personnage qui la porte ?

durée : 00:19:59 - Le Feuilleton - On prend le jeune pianiste étudiant, qu’on refabrique en clochard à guitare parce que seuls les clochards sont célestes, la poésie vous l’a dit.

durée : 00:19:54 - Le Feuilleton - "C’est comme si je ne me souvenais pas avoir été un gosse. Je suis Bob Dylan quand j’ai besoin d’être Bob Dylan"

durée : 00:19:54 - Le Feuilleton - "C’est comme si je ne me souvenais pas avoir été un gosse. Je suis Bob Dylan quand j’ai besoin d’être Bob Dylan"

durée : 00:29:40 - Le Feuilleton - Un texte lu par Judith Magre "On observait chez cet homme le désir constant et irrésistible de se mettre à l'abri sous une enveloppe, de se créer, pour ainsi dire, un étui qui l'isolât, le protégeât des influences extérieures." Archive INA 1982

durée : 00:30:41 - Le Feuilleton - Texte lu par Jean-Pierre Cassel Marie Sanchez est une femme de ménage professionnelle qui travaille à l'heure, 5 dollars l'heure, 6 jours par semaine. Elle travaille approximativement 9 heures par jour et se rend en moyenne dans 24 domiciles différents entre le lundi et le samedi. Archive INA 1983

durée : 00:31:56 - Le Feuilleton - Texte lu par Laurent Terzieff "On devrait comprendre que les choses sont sans espoir et être cependant décidé à les changer." Archive INA 1972

durée : 00:33:26 - Le Feuilleton - Texte lu par Michael Lonsdale "Lorsqu'elle ouvrit la porte et le vit, debout sur le seuil, elle fut plus heureuse qu'elle ne l'avait jamais été auparavant et lui aussi, tandis qu'il la suivait dans le studio, semblait très très content" Archive INA, 1981

durée : 00:30:40 - Le Feuilleton - Deux textes lus par Emmanuelle Riva "La phalène ne négligeait rien de ce qui lui était permis. A l'observer, il semblait qu'une fibre ténue mais pure de l'énorme énergie terrestre avait été insérée dans ce corps frêle et minuscule." Archive INA de 1973

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durée : 00:22:47 - Le Feuilleton - Au marché aux puces, Tintin achète la maquette d’un bateau pour en faire cadeau au capitaine Haddock. Le capitaine reconnaît aussitôt dans ce modèle réduit le vaisseau de son ancêtre, le Chevalier de Hadoque…

durée : 00:25:43 - Le Feuilleton - Ayant retrouvé les mémoires de son ancêtre le Chevalier de Hadoque, le capitaine Haddock raconte à Tintin comment celui-ci affronta le terrible pirate Rackham le Rouge lors d’un abordage sanglant.

durée : 00:22:40 - Le Feuilleton - Après avoir retrouvé le parchemin qui était dissimulé dans le mât central de sa Licorne, Tintin est victime d’un enlèvement : chloroformé, il se réveille dans la cave d’un château…

durée : 00:21:51 - Le Feuilleton - Avec l’aide du capitaine Haddock et des Dupondt, Tintin parvient à échapper à ses ravisseurs, les frères Loiseau, qui sont eux-mêmes à la recherche des parchemins cachés dans les trois modèles réduits de la Licorne.

durée : 00:29:24 - Le Feuilleton - "Croyez-moi, croyez-moi, si vous en êtes capable, riez ! Riez beaucoup parce que vraiment, s'il y a un don qui soit plus précieux que tous les autres, c'est bien celui-là : un rire incassable..."

durée : 00:29:12 - Le Feuilleton - "Par un de ces phénomènes de boule de neige comme on n'en connaît qu'à Paris, j'étais devenue du jour au lendemain la femme la plus irrésistible et la plus diffamée de la ville."

durée : 00:29:41 - Le Feuilleton - "Le théâtre de l'Odéon est le théâtre que j'ai le plus aimé au monde. Là, dans la maigre lumière de la lampe pendante sur la scène, là, dans les décors, là, dans le noir, là, devant des visages à peine perceptibles, là, était la vraie vie."

durée : 00:29:24 - Le Feuilleton - "Le rire prit possession de mon corps toute ma vie, comme jamais ne le fit le plus habile des amants. Le rire est l'armure magique contre les boulets, les plaies, les armes du malheur et de votre caractère."

durée : 00:29:35 - Le Feuilleton - "Vous avez eu une existence aussi secrète que tapageuse, ce qui n’est pas peu et ce que j’admire, d’ailleurs. Pourtant, vous m'apparaissez comme l'une des plus humaines parmi les femmes célèbres. L'une des plus libres aussi..."

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durée : 00:20:01 - Le Feuilleton - "La fusion dans le réel, rêvée par Marina, ne fut pas au rendez-vous. Ce grand amour restera écrit dans leurs lettres, peut-être plus fort encore que s’il s’était heurté à la réalité"

durée : 00:19:53 - Le Feuilleton - "Boris, nous n’irons jamais voir Rilke. Ça ne s’est pas réalisé. Encore une chose qui ne s’est pas réalisée. Pourquoi, Boris, toi et moi nous voulons si peu et ne faisons pas d’efforts pour vouloir ? "

durée : 00:19:54 - Le Feuilleton - "Boris, où nous verrons-nous ? J’ai en ce moment l’impression de ne plus vivre nulle part. La Vendée – pour l’instant, mais après ? En fait, j’ai une atrophie du présent, non seulement je n’y vis pas mais jamais je n’y suis".

durée : 00:19:58 - Le Feuilleton - par : Denis Podalydès - "Boris, sur la photographie, tu es magnifique. Autant Maïakovski, c’est la volonté, autant toi – c’est l’âme. Le visage de l’âme".

durée : 00:20:02 - Le Feuilleton - "Enfin, je suis avec toi. Comme tout est clair pour moi et comme j’y crois… Je t’aime si fort, Marina, si complètement que je deviens une chose dans ce sentiment comme celui qui se baigne en pleine tempête"

durée : 00:20:01 - Le Feuilleton - "Boris, tu es mon frère des cimes, tout le reste dans une vie, est infime" - invités : Marina Tsvétaïeva Poétesse

durée : 00:19:47 - Le Feuilleton - "Dès que je m’adresse à vous, Marina, je m’élève jusqu’au plus haut de mon dévouement et y demeure de façon égale, sans chutes, dans le vertige"

durée : 00:19:20 - Le Feuilleton - "Je garde cette lettre depuis un mois. Pourquoi ne l’ai-je pas terminée, pourquoi ne l’ai-je pas envoyée ? Je voulais sans doute, en guise de conclusion, retourner mon âme devant vous comme on dit, mais heureusement on n’y parvient jamais"

durée : 00:19:55 - Le Feuilleton - "Mon moyen de communication préféré tient de l’au-delà : le rêve, voir en rêve. En second vient la correspondance. La lettre, comme moyen de communication « au-delà », est moins parfaite que le rêve, mais les lois sont les mêmes"

durée : 00:19:51 - Le Feuilleton - "Comme la vie est bizarrement et stupidement taillée.Bizarrement, stupidement et merveilleusement"

durée : 00:24:26 - Le Feuilleton - C’était une fin d’après-midi semblable à toutes celles qui l’avaient précédée et pourtant c’était la dernière. J’avais 18 ans, je croyais que cet été avait fait de moi une adulte mais je n’étais qu’une petite jeune fille dont les vacances se terminaient.

durée : 00:25:05 - Le Feuilleton - "Vous ne me filmerez jamais en soutien-gorge ou en combinaison, jamais ! Je tomberai malade ! Je quitterai le film !" Des larmes jaillissaient de mes yeux sans que je puisse les arrêter.

durée : 00:24:04 - Le Feuilleton - Mes journées passées sur le tournage de Au hasard Balthazar comptent, encore aujourd’hui, parmi les plus heureuses de ma vie. Tout de suite, je m’y suis sentie à ma place, chez moi, avec le sentiment exaltant d’avoir rencontré ma vraie famille.

durée : 00:24:14 - Le Feuilleton - Bresson employait des mots et des compliments comme je n’en avais jamais entendu. J’étais "émouvante, pure, rare". "Ne changez jamais", était la phrase qu’il répétait le plus. J’étais bercée par ses paroles.

durée : 00:24:55 - Le Feuilleton - C’était le printemps, je l’attendais avec impatience. Dans mon cahier de texte, j’avais recopié ces lignes extraites d’un roman de mon grand-père, François Mauriac : "Le bonheur, c’est d’être cerné de mille désirs, d’entendre autour de moi craquer les branches… "

durée : 00:25:00 - Le Feuilleton - "Je pars plein de bonne humeur et de force. Je n’ai jamais été si sûr de mon destin et de ma route. J’ai le cœur et la conscience tranquilles. Je n’ai aucune peur. J’attendrai comme je le dois, dans la paix de ma pensée, l’heure de vous retrouver tous."

durée : 00:25:02 - Le Feuilleton - "Le printemps s’inscrit dans mon rectangle de ciel. Dans ma courette, la nature a retrouvé sa souveraineté. Il a étrangement suffi de l’enfermer entre quatre murs pour lui restituer son immensité, pour la rendre indépendante et libre."

durée : 00:25:01 - Le Feuilleton - "La condamnation à l’impuissance, voilà le trait le plus cruel de la prison. Il faut un effort pour estimer encore en soi l’homme complet. Il faut à chaque instant faire jouer sa pensée, pour se sentir intact, riche de sève et de volonté."

durée : 00:25:00 - Le Feuilleton - "Ainsi l’existence continue sans moi, indifférente et machinale. On a pu me retirer de son circuit et rien ne s’est trouvé altéré. Cette sensation est une des plus cruelles pendant les premiers mois de prison. Elle est un avant-goût de la mort."

durée : 00:24:59 - Le Feuilleton - "Nous arrivons à Marseille dans l’après-midi. On me conduit directement au Haut Fort Saint-Nicolas. Là, on me dépouille de mes livres, de mon stylo, de mon tabac, de mon rasoir, de ma montre et on m’enlève jusqu’à mon alliance…"

durée : 00:04:51 - Le Feuilleton - Dit au soir, De l'obscur à dire, Sans un être humain, poèmes extraits du recueil Toute personne qui tombe a des ailes, traduction par Françoise Rétif aux éditions Gallimard, et du recueil Poèmes, traduction François-René Daillie aux éditions Actes Sud

durée : 00:04:31 - Le Feuilleton - Les poèmes d'Ingeborg Bachmann, dans la traduction de François-René Daillie et de Françoise Rétif, étaient lus par Dominique Reymond. Equipe de réalisation Pablo Valero, Pierre Henry.

durée : 00:04:51 - Le Feuilleton - Le poème au lecteur, Poème extrait du recueil Toute personne qui tombe a des ailes, traduction par Françoise Rétif aux éditions Gallimard

durée : 00:04:57 - Le Feuilleton - Extrait du discours prononcé en 1959 pour la remise du prix de la meilleure pièce radiophonique. suivi de Une sorte de perte, Derrière le mur, Poèmes extraits de Toute personne qui tombe a des ailes, trad par Françoise Rétif (Gallimard), et du recueil Poèmes, tradFrançois-René Daillie (Actes Sud)

durée : 00:04:38 - Le Feuilleton - Profession de foi, Au-dedans tes yeux sont des fenêtres, Notturno, Poèmes extraits du recueil Toute personne qui tombe a des ailes, traduction par Françoise Rétif aux éditions Gallimard

durée : 00:25:23 - Le Feuilleton - "C'est de nous qu'il faut que je parle. Il est inadmissible que toi et moi nous nous manquions encore une fois, cela m'anéantirait."

durée : 00:25:22 - Le Feuilleton - " La vie ne viendra pas à notre rencontre, Ingeborg, attendre, cela serait pour nous sans doute la façon la plus inadéquate d'être là..."

durée : 00:25:13 - Le Feuilleton - Difficile d'inventer une nouvelle forme de lien une fois la relation amoureuse rompue. Ingeborg Bachmann et Paul Celan expérimentent l'amitié.

durée : 00:25:24 - Le Feuilleton - Deux années se sont écoulées depuis la première rencontre, à Vienne, au printemps 1948, de Paul Celan et Ingeborg Bachmann.

durée : 00:25:24 - Le Feuilleton - "Le poète surréaliste Paul Celan, dont j'ai pu faire la connaissance avant-hier soir et qui est très fascinant, est merveilleusement tombé amoureux de moi." - invités : Paul Celan Ecrivain

durée : 00:25:39 - Le Feuilleton - Comment terminer ce feuilleton dédié à Goliarda Sapienza sans revenir sur l’œuvre : L’Art de la joie et en particulier au personnage de Carmine, véritable "amant de Lady Chatterley" sicilien. Plaisir de la chair et désir de liberté.

durée : 00:25:11 - Le Feuilleton - Ecrit en 1981, L’Université de Rebbibia est sûrement le texte le plus « fantastique » de Goliarda Sapienza. Il est tiré de sa propre expérience de l’enfermement.

durée : 00:25:24 - Le Feuilleton - L’Art de la joie, le grand roman de Goliarda Sapienza, a été écrit sur une dizaine d’année, entre 1967 et 1976 et refusé par tous les éditeurs italiens. Il ne sera publié qu’après sa mort et deviendra son œuvre majeure.

durée : 00:25:03 - Le Feuilleton - Moi, Jean Gabin est sans doute le texte le plus déroutant de Goliarda Sapienza, mais aussi le plus extraordinaire. Ecrit à la fin de sa vie, il est un véritable testament philosophique.

durée : 00:25:32 - Le Feuilleton - Née en 1924, en Sicile, dans une famille d’anarcho-socialistes, Goliarda Sapienza reçoit une éducation qui lui donne très tôt accès aux grands textes philosophiques, littéraires et révolutionnaires.

durée : 00:28:46 - Le Feuilleton - Isadora rêve toujours d’un orchestre de danseuses qu’elle aurait formées à la libre expression de l’âme dans la beauté des corps en mouvement

durée : 00:28:50 - Le Feuilleton - Après son séjour en Grèce, Isadora Duncan fonde sa première école à Berlin, dans le quartier de Grünewald, où elle s’occupe, avec sa sœur, d’enseigner son art.

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - En juillet 1903, Isadora part pour la Grèce, pays qui est pour elle le berceau de tous les arts, l’autel sacré de l’harmonie des mouvements de l’âme et du corps.

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - En 1899, lassée de l’incompréhension des Américains face à son art, Isadora Duncan décide de partir pour l’Europe et s’installe à Paris au printemps de 1900.

durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - De son enfance, Isadora Duncan gardera le souvenir d’une grande liberté qu’elle associe au mouvement des vagues du Pacifique.

durée : 00:27:12 - Le Feuilleton - Jacques Jaujard, directeur des Musées nationaux, missionne Rose Valland, pour recenser secrètement les spoliations d'œuvres d’art effectuées par les Allemands.

durée : 00:25:10 - Le Feuilleton - Rose Valland apprend que la collection Schloss convoitée par Hitler va arriver à Paris. Jaujard veut sauver le plus d'œuvres possible de la cupidité du Führer.

durée : 00:26:20 - Le Feuilleton - Des vols d'œuvres d'art ont eu lieu au Jeu de Paume. Le Dr Lohse, haut responsable nazi, suspecte l’équipe de Rose Valland et somme la jeune conservatrice de lui fournir un coupable.

durée : 00:27:25 - Le Feuilleton - Rose Valland doit choisir entre le secret de sa mission et sa vie amoureuse.

durée : 00:24:31 - Le Feuilleton - Rose Valland découvre qu’un train chargé d’oeuvres d'art va quitter Paris. Jaujard veut retarder ce convoi jusqu’à l’arrivée des troupes alliées.

durée : 00:29:24 - Le Feuilleton - À la Libération, James Rorimer, en charge de récupérer les œuvres d’art volées et stockées en Allemagne, demande l’aide de Jacques Jaujard et Rose Valland.

durée : 00:27:45 - Le Feuilleton - Jacques Jaujard, directeur des Musées nationaux, missionne Rose Valland, pour recenser secrètement les spoliations d'œuvres d’art effectuées par les Allemands.

durée : 00:25:42 - Le Feuilleton - Rose Valland apprend que la collection Schloss convoitée par Hitler va arriver à Paris. Jaujard veut sauver le plus d'œuvres possible de la cupidité du Führer.

durée : 00:26:53 - Le Feuilleton - Des vols ont eu lieu au Jeu de paume. Le Dr Lohse, haut responsable allemand, suspecte l’équipe de Rose Valland et la somme de lui fournir un coupable.

durée : 00:27:58 - Le Feuilleton - Rose Valland doit choisir entre le secret de sa mission et sa vie amoureuse.

durée : 00:25:03 - Le Feuilleton - Rose Valland découvre qu’un train chargé d’oeuvres d'art va quitter Paris. Jaujard veut retarder ce convoi jusqu’à l’arrivée des troupes alliées.

durée : 00:29:56 - Le Feuilleton - À la Libération, James Rorimer, en charge de récupérer les œuvres d’art volées et stockées en Allemagne, demande l’aide de Jacques Jaujard et Rose Valland.

durée : 00:25:52 - Le Feuilleton - L’adversaire de Tom King, plus jeune, plus souple, plus rapide, avance et recule, pour démolir le vieux. Entre jeunesse et sagesse qui remportera ce combat ?

durée : 00:25:55 - Le Feuilleton - Tom King devenait vieux. Pourtant il va monter sur le ring …dans l’espoir de remporter ce dernier combat.

durée : 00:26:39 - Le Feuilleton - Pendant 86 jours, Jack London déguisé…va vivre la vie des clochards….vivre la vie des gens dans la rue, pour se perdre dans la misère, et écrire, écrire.

durée : 00:25:38 - Le Feuilleton - 1899. Les années d’apprentissage ont assez duré. A la fin de l’année le vent tourne… !

durée : 00:27:45 - Le Feuilleton - Cette croisade vers l’or durera près de douze mois. Les hommes creusaient dans la terre obscure de l’Arctique et y découvraient le métal précieux.

durée : 00:27:45 - Le Feuilleton - Jack London rencontre Mabel Applegarth. Aussi sauvage et farouche soit-il, il développe à son contact une délicatesse insoupçonnée.

durée : 00:25:22 - Le Feuilleton - Jack London, révolté par la situation des ouvriers, rencontre le socialisme, "la plus belle chose au monde".

durée : 00:27:40 - Le Feuilleton - Typhon sur la côte du Japon…Première nouvelle de Jack London publiée, mais les quelques dollars qu’elle lui rapporte ne suffisent pas… il repart sur la route.

durée : 00:26:39 - Le Feuilleton - Un soir, ivre mort, Jack London tombe à l’eau en tentant de monter sur son bateau, il de se laisser mourir là mais un pêcheur vient à son secours.

durée : 00:25:43 - Le Feuilleton - Personne ne pourra dire ce qui s’est passé cette dernière nuit. Surdosage de morphine…ou pas ?!

durée : 00:25:00 - Le Feuilleton - "Je voudrais tellement pouvoir croire à la tendresse, au visage de cette effigie adouci par la lueur des cierges qui poserait sur moi son regard bienveillant"

durée : 00:24:59 - Le Feuilleton - "Un moment de stase dans l’obscurité. Puis l’irréel écoulement bleu des rochers, des horizons."

durée : 00:24:58 - Le Feuilleton - "Pas facile de formuler ce que tu as changé pour moi : si je suis en vie maintenant, j’étais morte alors…"

durée : 00:25:00 - Le Feuilleton - "Mourir est un art, comme tout le reste, je m’y révèle exceptionnellement douée."

durée : 00:24:34 - Le Feuilleton - Je ne peux me contenter du travail colossal que représente le fait simplement de vivre.

durée : 00:28:49 - Le Feuilleton - "Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d'inoubliables chagrins. Il n'est pas nécessaire de le dire aux enfants."

durée : 00:28:53 - Le Feuilleton - "À travers la haie, nous vîmes deux hautes tours qui flanquaient la façade d'un château d'au moins dix étages. Toutes les fenêtres en étaient fermées."

durée : 00:28:39 - Le Feuilleton - "Ce soir de Noël, je ressentis une émotion nouvelle : la flamme du feu tressaillit, et je vis s'envoler, dans la fumée légère, un oiseau bleu à tête d'or."

durée : 00:28:50 - Le Feuilleton - "Jusqu'à la triste puberté, le monde des enfants n'est pas le nôtre : ils possèdent le don merveilleux d'ubiquité."

durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - "Avec l'amitié de Lili, une nouvelle vie commença pour moi. Il savait tout ; le temps qu'il ferait, les sources cachées, les ravins où l'on trouve des prunelles."

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - "Et dans mes petits poings sanglants d'où pendaient quatre ailes dorées, je haussais vers le ciel la gloire de mon père en face du soleil couchant"

durée : 00:28:41 - Le Feuilleton - "Mon père, enfant des villes, et prisonnier des écoles, n'avait jamais tué ni poil ni plume. Mais l'oncle Jules avait chassé depuis son enfance"

durée : 00:28:18 - Le Feuilleton - "Un grand oiseau noir, immobile, marquait le milieu du ciel, et de toutes parts, comme d'une mer de musique, montait la rumeur cuivrée des cigales"

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - "J’avais six ans, et j'allais à l'école dans la classe que dirigeait Mlle Guimard. Mlle Guimard était très grande, avec une jolie petite moustache brune"

durée : 00:28:34 - Le Feuilleton - Je suis né dans la ville d'Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers

durée : 00:24:28 - Le Feuilleton - Où l'on assiste au destin compliqué d’une ancienne idole des groupes rock qui tente de recroiser une forme d’amitié sur les bords de la mer du Nord.

durée : 00:25:26 - Le Feuilleton - Saint-Denis, Nanterre, Ivry, Choisy-le-Roi, les villes phares de la banlieue rouge, gorgées d'histoire ouvrière, se teintent de sépia.

durée : 00:25:05 - Le Feuilleton - Par désir de paraître, par lâcheté, quelquefois par désespoir ou générosité, des gens ordinaires empruntent ces Passages d'enfer générés par l'ordre social.

durée : 00:24:49 - Le Feuilleton - L'auteur zappe de chaîne en chaîne avec férocité et humour pour décrire les usages et les abus d'une télévision qui n'est que le reflet de notre société.

durée : 00:24:51 - Le Feuilleton - 17 octobre 1961: la manifestation organisée par le FLN pour protester contre le couvre-feu imposé aux Français musulmans est réprimée sauvagement par la police.

durée : 00:28:57 - Le Feuilleton - "Les défunts sont des égoïstes, ils s’arrangent pour que les vivants peinent à leur place et qu’en outre, ils soient torturés par le remords de mal s’y prendre."

durée : 00:28:46 - Le Feuilleton - "Cette conjugaison de chaleur, de dureté et de douceur qu’on ne trouve nulle part ailleurs que dans le corps humain, la meilleure et la plus dangereuse chose qui soit en ce monde"

durée : 00:28:42 - Le Feuilleton - "Jens qui ne craint aucune tempête et a traversé des landes périlleuses par des temps déchaînés sans jamais plier est figé dans l’effroi. La mer le paralyse."

durée : 00:28:29 - Le Feuilleton - "Les mots écrits peuvent avoir plus de profondeur que ceux qui sont dits, comme si le papier libérait des mondes inconnus, prisonniers d’un enchantement."

durée : 00:29:00 - Le Feuilleton - "Quelque part dans l’aveuglante tempête de neige et le froid, la nuit d’avril s’immisce entre les flocons qui s’accumulent sur l’homme et sur les deux chevaux."

durée : 00:25:34 - Le Feuilleton - "M’interdisant les mers et l’élan et l’envol, et rivant ma semelle à ce socle de terre, qu’avez-vous obtenu ? Éblouissant calcul : vous n’avez pas mis fin au remuement des lèvres."

durée : 00:25:27 - Le Feuilleton - Non, de personne jamais je ne fus le contemporain

durée : 00:25:40 - Le Feuilleton - "Ma mémoire abhorre tout ce qui est personnel. S’il ne tenait qu’à moi, je répondrais à l’évocation du passé par une simple grimace."

durée : 00:25:34 - Le Feuilleton - Le premier recueil de textes en prose d’Ossip Mandelstam, Le bruit du temps, a été écrit pendant l'été 1923. C’est un livre consacré aux souvenirs d’enfance et à l’air du temps d’une époque, les dernières années du XIXe siècle en Russie.

durée : 00:25:38 - Le Feuilleton - "Je n’ai pas envie de parler de moi, mais d’épier les pas du siècle, le bruit et la germination du temps."

durée : 00:24:22 - Le Feuilleton - "Je sens que nous sommes tout près, séparés seulement par un peu de cette terre dans laquelle on l’a couchée sans cercueil. Maintenant Aziyadé est vivante."

durée : 00:24:34 - Le Feuilleton - "Le souvenir d’elle, le regret qui vient d’elle, et le remords lourd, sont sur moi comme un oppressant manteau de deuil."

durée : 00:24:22 - Le Feuilleton - "Mon Dieu, on a tout changé. Je ne parviens plus à m’orienter. C’était bien là pourtant. Ma maison et les deux ou trois qui l’entouraient n'existent plus"

durée : 00:24:17 - Le Feuilleton - "Tout à coup, comme nous approchons de la terre, il nous arrive une senteur pénétrante, spéciale, exquise à mes sens : la senteur de la terre turque."

durée : 00:24:05 - Le Feuilleton - "Non, je ne sais plus rien d’elle. Les rares petites lettres qui m’arrivaient encore, ont cessé, depuis sept ans bientôt, de m'apporter leur plainte étouffée"

durée : 00:24:38 - Le Feuilleton - "Je luttais ; je désirais sincèrement, profondément, faire ce qui était bien, et cela seulement. "Montre-moi la voie ! " criai-je au Ciel. "

durée : 00:24:50 - Le Feuilleton - "Avec le temps, j’étais devenue populaire dans le village. Vivre ainsi parmi la bienveillance générale, c’est comme de s’asseoir au soleil... "

durée : 00:24:18 - Le Feuilleton - "Au bout de deux jours de route, le cocher me déposa dans un endroit appelé Whitcross. Je ne possédais plus un shilling. Je n’avais plus rien."

durée : 00:24:50 - Le Feuilleton - "Les mois de fiançailles touchaient à leur fin : quelques heures seulement me séparaient du grand jour, du jour des noces. "

durée : 00:24:59 - Le Feuilleton - "J’étais donc enfermée dans une des cellules mystérieuses de ce sinistre troisième étage ; et un spectacle sanglant s’offrait à mes yeux."

durée : 00:24:35 - Le Feuilleton - " Cela faisait maintenant huit semaines que Mr. Rochester était là. Il me semblait parfois trouver en lui un parent plutôt qu’un maître. Mais une nuit. "

durée : 00:24:23 - Le Feuilleton - "L’air était tranquille et ma route solitaire ; j’allai vite jusqu’à ce que je me fusse réchauffée. Un bruit soudain effaça le doux bruissement des eaux."

durée : 00:24:40 - Le Feuilleton - "Je ne connaissais de l’existence que les règlements de l’école, ses obligations, ses habitudes, ses visages, son uniforme. Tout cela ne me satisfaisait plus ! "

durée : 00:24:30 - Le Feuilleton - "Je m’appuyai contre un pilier et, serrant mon manteau gris autour de moi, j’essayai d’oublier le froid qui me transperçait et la faim qui me tenaillait."

durée : 00:24:48 - Le Feuilleton - "Tout le monde répétait que j’étais méchante, et peut-être l’étais-je. Ne venais-je pas de penser à me laisser mourir de faim ?"

durée : 00:29:04 - Le Feuilleton - Attachés à un arbre, abandonnés sans armes ni vivres, le sort de Corentin, Camille et Christian est désormais aux mains de la forêt.

durée : 00:29:17 - Le Feuilleton - La caravane de Corentin sauvagement attaquée est sauvée par un groupe de soldats qui convoient des esclaves. Corentin tente de libérer les hommes enchaînés.

durée : 00:29:03 - Le Feuilleton - Après un naufrage qui provoque de lourdes pertes humaines, les Français font escale dans la cité de Lukoleta, un royaume opulent au cœur de l’Afrique.

durée : 00:29:06 - Le Feuilleton - Après une traversée pour le moins compliquée, Corentin Tréguier pose le pied sur le sol d’Afrique les yeux émerveillés.

durée : 00:29:03 - Le Feuilleton - 1872. L’Europe s’intéresse de près à l’Afrique. Le jeune capitaine Corentin Tréguier est envoyé sur les rives du Congo pour une mission très spéciale.

durée : 00:24:48 - Le Feuilleton - La plus grande partie du dénouement de cette histoire s'est perdue dans le brouillard...

durée : 00:24:37 - Le Feuilleton - Alors que Gemma tente de se consoler de sa rupture avec son amant et de remettre de l’ordre dans sa vie, Charlie décide de la quitter.

durée : 00:25:00 - Le Feuilleton - Le bonheur tient-il à une lettre ? Celui de Gemma était sans doute trop beau pour durer. Son amant a pris peur. Il est retourné à ses chères études.

durée : 00:24:48 - Le Feuilleton - Pour la première fois, Gemma a l’impression de vivre la vie qu’elle mérite. Avec son amant, Hervé de Bressigny, elle baigne dans la félicité et le champagne.

durée : 00:24:39 - Le Feuilleton - Gemma a un amant ! Sans l’avoir vraiment voulu, elle est tombée dans les bras d’Hervé de Bressigny, le jeune châtelain du village.

durée : 00:24:40 - Le Feuilleton - Charlie et Gemma ont quitté Londres pour la Normandie. Question retour à la terre, c’est raté ! La vie à la campagne ennuie Gemma.

durée : 00:24:47 - Le Feuilleton - It’s done ! Charlie et Gemma ont fait le grand saut au-dessus du Channel pour s’installer dans la maison qu’ils viennent d’acheter en Normandie.

durée : 00:24:36 - Le Feuilleton - En lisant le journal de Gemma, Joubert a découvert la lâcheté de Charlie devant les exigences de son ex-femme et l’exaspération croissante de Gemma.

durée : 00:24:38 - Le Feuilleton - Joubert a dérobé le journal de Gemma, afin, prétend-il, de faire toute la lumière sur sa mort. Mais le boulanger ne serait-il pas animé d’intentions moins nobles ?

durée : 00:24:24 - Le Feuilleton - Gemma Bovery est en terre depuis trois semaines. Les gens ont commencé à l’oublier… Sauf Joubert, le boulanger, qui ne cesse de penser à elle.

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