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La Nouveauté Rock Espagnole RSTLSS

French, Music, 32 seasons, 50 episodes, 11 hours, 46 minutes
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Independent Radio & Television.
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #27 - Robe

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner au podcast de la chronique sur Deezer et Spotify pour nous soutenir. Aujourd’hui on va parler d’un monument du rock espagnol avec bientôt 40 ans de carrière musicale, c’est Roberto Iniesta, alias Robe, surtout connu pour être le chanteur du célèbre groupe de rock espagnol des années 1980, Extremoduro. Alors évidemment la carrière musicale de Robe est indissociable de celle du groupe Extremoduro, mais il y a 5 ans, Robe a décidé de se lancer dans une carrière solo et c’est l’objet de la nouveauté de la semaine. Mais avant ça je pense qu’il est indispensable de faire un léger retour en arrière sur ses presque 40 ans de carrière pour mesurer l’ampleur du personnage dans le paysage musical rock espagnol. Roberto Iniesta nous vient de Plasencia dans la région d’Extremadura dans le nord espagnol, une région productive en terme de groupes de rock, Sinkope dont on a déjà parlé ici il y a quelques mois viennent aussi de ce coin. Sa carrière musicale commence réèlement en 1987 lorsqu’il décide de former le groupe Extremoduro sous influences de groupes qui cartonnent à l’époque comme AC/DC. Ils enregistrent leurs premiers albums sous divers labels à la fin des années 80 avant de vraiment cartonner au milieu des années 90 avec l’album “Agila” qui fut disque d’or à l’époque. L’influence AC/DC est présente mais ils ajoutent leur grande originalité, la voix si particulière de Robe qui ouvre le passage pour qu’Extremoduro devienne un groupe culte en Espagne. Suite à ça, le groupe observe une forte évolution musicale avec plusieurs changements de lineup et pas mal de petits side projects intéressant comme la création d’un label pour faire connaitre les petites formations qui en valent la peine. Entre tournées nationales et séances d’enregistrement, Robe et sa bande sortiront plusieurs albums dans les années 2000. On va s’intéresser à l’album “La ley innata” sorti en 2008 parce que Robe va introduire plusieurs changements notables comme l’utilisation de rythmes de flamenco qui apportera une plus grande diversité instrumentale. Extremoduro continueront de sortir pas mal d’albums dont certains entreront directement dans la liste des albums les plus vendus avec toujours autant de succès en Espagne ainsi qu’en Amerique latine ou le groupe se verra proposer pour la première fois plusieurs dates de concert. C’est en 2015 que débute la carrière solo de Robe en parallèle avec la suite de l’aventure de Extremoduro. Un premier album sortira cette même année avant l’été “Lo que aletea en nuestras cabezas” puis l’année suivante le second album “Destrozares, canciones para el final de los tiempos“. Alors malgré le fait que Robe avait dit continuer la composition pour Extremoduro en parallèle avec sa carrière solo, on sent bien que depuis quelques années l’harmonie est un peu en berne dans le groupe. C’est donc assez naturellement que Robe et ses potes annoncent l&
4/9/202115 minutes, 36 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #27 - Robe

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner au podcast de la chronique sur Deezer et Spotify pour nous soutenir. Aujourd’hui on va parler d’un monument du rock espagnol avec bientôt 40 ans de carrière musicale, c’est Roberto Iniesta, alias Robe, surtout connu pour être le chanteur du célèbre groupe de rock espagnol des années 1980, Extremoduro. Alors évidemment la carrière musicale de Robe est indissociable de celle du groupe Extremoduro, mais il y a 5 ans, Robe a décidé de se lancer dans une carrière solo et c’est l’objet de la nouveauté de la semaine. Mais avant ça je pense qu’il est indispensable de faire un léger retour en arrière sur ses presque 40 ans de carrière pour mesurer l’ampleur du personnage dans le paysage musical rock espagnol. Roberto Iniesta nous vient de Plasencia dans la région d’Extremadura dans le nord espagnol, une région productive en terme de groupes de rock, Sinkope dont on a déjà parlé ici il y a quelques mois viennent aussi de ce coin. Sa carrière musicale commence réèlement en 1987 lorsqu’il décide de former le groupe Extremoduro sous influences de groupes qui cartonnent à l’époque comme AC/DC. Ils enregistrent leurs premiers albums sous divers labels à la fin des années 80 avant de vraiment cartonner au milieu des années 90 avec l’album “Agila” qui fut disque d’or à l’époque. L’influence AC/DC est présente mais ils ajoutent leur grande originalité, la voix si particulière de Robe qui ouvre le passage pour qu’Extremoduro devienne un groupe culte en Espagne. Suite à ça, le groupe observe une forte évolution musicale avec plusieurs changements de lineup et pas mal de petits side projects intéressant comme la création d’un label pour faire connaitre les petites formations qui en valent la peine. Entre tournées nationales et séances d’enregistrement, Robe et sa bande sortiront plusieurs albums dans les années 2000. On va s’intéresser à l’album “La ley innata” sorti en 2008 parce que Robe va introduire plusieurs changements notables comme l’utilisation de rythmes de flamenco qui apportera une plus grande diversité instrumentale. Extremoduro continueront de sortir pas mal d’albums dont certains entreront directement dans la liste des albums les plus vendus avec toujours autant de succès en Espagne ainsi qu’en Amerique latine ou le groupe se verra proposer pour la première fois plusieurs dates de concert. C’est en 2015 que débute la carrière solo de Robe en parallèle avec la suite de l’aventure de Extremoduro. Un premier album sortira cette même année avant l’été “Lo que aletea en nuestras cabezas” puis l’année suivante le second album “Destrozares, canciones para el final de los tiempos“. Alors malgré le fait que Robe avait dit continuer la composition pour Extremoduro en parallèle avec sa carrière solo, on sent bien que depuis quelques années l’harmonie est un peu en berne dans le groupe. C’est donc assez naturellement que Robe et ses potes annoncent l’année dernière que le groupe va cesser d’être actif et ils en profiteront pour annoncer une tournée d’adieu qui reste encore à programmer du à la pandémie. Pour autant, Robe n’a pas chaumé dans son c...
4/9/202115 minutes, 36 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #26 - Kaotiko

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner au podcast de la chronique sur Deezer et Spotify. Ce soir on va mettre le pays basque à l’honneur puisque que j’aimerais vous faire découvrir Kaotiko. Kaotiko, c’est un groupe de punk rock espagnol originaire de Salvatierra dans le pays basque espagnol et né fin 2000. Pour poser un peu le contexte, Kaotiko c’est un groupe né de la mouvance contestataire des années 90 qui dénoncent les dérives totalitaires, l’oppression gouvernementale, la corruption, etc, les thèmes de prédilection des groupes du genre. C’est donc en 2000 que commence l’aventure de Kaotiko, formé en partie par d’anciens membres du groupe Kaos Etiliko, autre groupe punk rock des années 90. En septembre 2001, le groupe sort un premier album “Mundo Kaotiko“. Un premier essai qui cherche un peu ses repères tout en voulant envoyer du lourd au niveau du son et des paroles. la suite arrive rapidement car en 2003, ils publient leur second album “Raska y Pierde” un clin d’oeil aux jeux de grattage du genre. C’est sans contexte l’album de la consécration pour le groupe, celui qui les propulse sur le devant de la scène comme on dit. Bourré d’hymnes générationnels, l’album se trouve toujours en tête des titres les plus écoutés du groupe sur les plateformes digitales. Avec des titres comme “Juerga” ou encore “Rico Deprimido“, Kaotiko continue de dénoncer les dérives capitalistes du monde qui nous entoure. Comme tu vois, c’est punk, c’est rock, c’est rythmé, ça fleure bon les concerts bon esprit qui nous manquent tellement !! L’année suivante en 2004, Kaotiko gratifient leurs fans de l’incontournable CD\DVD live, enregistré à Vitoria dans leurs terres natales. Puis s’en suit le changement de maison de disque, arrivée de Kaotiko chez Universal, ce qui leur permet de booker une collaboration avec “El Drogas” un chanteur de rock espagnol des 80s ultra connu issu du groupe Barricada tout aussi célèbre et sortir leur quatrième album en 2006. Pendant les 4 années suivantes, le groupe tourne beaucoup en Espagne et sortent deux autres albums, “Adrenalina“, leur quatrième et “Reacciona!!!“, leur cinquième album studio sur un nouveau label “Baga-Biga“, un label purement basque. En 2013, ils enregistrent leur sixième album, “E.H. Calling” puis en 2016, entrent chez “Maldito Records“, un label dont on a déjà parlé ici notamment pour la chronique du groupe “De La Nada” et sortent leur septième album, “Sindicato del crimen” autoproduit par le groupe et que la mais
4/2/202112 minutes, 25 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #26 - Kaotiko

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner au podcast de la chronique sur Deezer et Spotify. Ce soir on va mettre le pays basque à l’honneur puisque que j’aimerais vous faire découvrir Kaotiko. Kaotiko, c’est un groupe de punk rock espagnol originaire de Salvatierra dans le pays basque espagnol et né fin 2000. Pour poser un peu le contexte, Kaotiko c’est un groupe né de la mouvance contestataire des années 90 qui dénoncent les dérives totalitaires, l’oppression gouvernementale, la corruption, etc, les thèmes de prédilection des groupes du genre. C’est donc en 2000 que commence l’aventure de Kaotiko, formé en partie par d’anciens membres du groupe Kaos Etiliko, autre groupe punk rock des années 90. En septembre 2001, le groupe sort un premier album “Mundo Kaotiko“. Un premier essai qui cherche un peu ses repères tout en voulant envoyer du lourd au niveau du son et des paroles. la suite arrive rapidement car en 2003, ils publient leur second album “Raska y Pierde” un clin d’oeil aux jeux de grattage du genre. C’est sans contexte l’album de la consécration pour le groupe, celui qui les propulse sur le devant de la scène comme on dit. Bourré d’hymnes générationnels, l’album se trouve toujours en tête des titres les plus écoutés du groupe sur les plateformes digitales. Avec des titres comme “Juerga” ou encore “Rico Deprimido“, Kaotiko continue de dénoncer les dérives capitalistes du monde qui nous entoure. Comme tu vois, c’est punk, c’est rock, c’est rythmé, ça fleure bon les concerts bon esprit qui nous manquent tellement !! L’année suivante en 2004, Kaotiko gratifient leurs fans de l’incontournable CD\DVD live, enregistré à Vitoria dans leurs terres natales. Puis s’en suit le changement de maison de disque, arrivée de Kaotiko chez Universal, ce qui leur permet de booker une collaboration avec “El Drogas” un chanteur de rock espagnol des 80s ultra connu issu du groupe Barricada tout aussi célèbre et sortir leur quatrième album en 2006. Pendant les 4 années suivantes, le groupe tourne beaucoup en Espagne et sortent deux autres albums, “Adrenalina“, leur quatrième et “Reacciona!!!“, leur cinquième album studio sur un nouveau label “Baga-Biga“, un label purement basque. En 2013, ils enregistrent leur sixième album, “E.H. Calling” puis en 2016, entrent chez “Maldito Records“, un label dont on a déjà parlé ici notamment pour la chronique du groupe “De La Nada” et sortent leur septième album, “Sindicato del crimen” autoproduit par le groupe et que la maison de disque éditera en digital. Un disque rapide et rythmé, une maitrise du style après 16 ans d’existence, ça se sent. On est un peu plus loin des contestations des débuts mais la maitrise sonore fait plaisir à écouter. En 2016, “Sindicato del crimen” signe le huitième album du groupe et trois ans plus tard “Aprendre violencia” sort leur nuevième album et leur près de 20 années de carrière sur la scène punk rock espagnole. Kaotiko ne s’arrêtera pas là car on sait déjà qu’e...
4/2/202112 minutes, 25 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #25 – Escuela de Odio

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner au podcast de la chronique sur Deezer et Spotify. Ce soir Pierre on va parler de Escuela de Odio, un groupe de punk hardcore qui chante en espagnol depuis bientôt 30 ans. Ils sont originaires de La Felguera dans la région des Asturies dans le nord de l&#8217;espagne. En 1993, c&#8217;est la rencontre de Pirri, Ruben et Ivan qui décident de monter un groupe basé sur leur goût commun pour le punk et le trash, en pleine effervescence à l&#8217;époque dans le milieu contestataire et revendicateur. Dans leurs premières années d&#8217;existence, Escuela de Odio sort un EP &#8220;La Escuela Del Odio&#8221; puis suivent beaucoup de dates partout dans le pays sortent leur second autoproduit, &#8220;La Razón Del Pensamiento&#8220;. Un petit changement de lineup plus tard et le groupe se fait remarquer par Fragment Records, un label de punk hardcore indépendant qui leur permet de sortir leur premier album &#8220;El Sueño De Los Que No Duermen&#8221; en 1998, un succès immédiat. Après pas mal de dates et quelques années de plus, on retrouve Escuela de Odio en 2000 avec un premier album studio, &#8220;Cuando los mudos griten, los sordos sentirán el miedo&#8221; littéralement &#8220;Quand les muets crieront, les sourds prendront peur&#8221;. Un album fougueux dans la trampe punk de l&#8217;époque, porté par un hymne à la crise du travail qui a touché les Asturies, la région d&#8217;où vient le groupe, &#8220;Asturies Arde!!!&#8221;. Le groupe connait une période un peu plus calme avec de nouveau de légers changements de lineup pour revenir en force en 2004 avec l&#8217;album &#8220;De la esclavitud a las cenizas&#8221; qui veut dire &#8220;De l&#8217;esclavage aux cendres&#8221;. On se trouve de nouveau en façe d&#8217;un album de revendications plutôt percutant qui fera parler de lui notamment grâce au clip qu&#8217;il contient pour le titre &#8220;Asturies Arde&#8221; sorti sur l&#8217;album précédent. Le clip en question mettant en scène les manifestations de l&#8217;époque et certaines violences policières captées par la caméra. Suite à la sortie de cet album, la renommée du groupe prend de l&#8217;ampleur et leur permet de booker une tournée européenne en 2006 et au Mexique en 2007. S&#8217;en suit la sortie d&#8217;un nouvel album &#8220;Quien siembra miseria, recoge la cólera&#8221; (Qui sème la misère récolte la colère) suivi d&#8217;un DVD Live &#8220;Que nada nos pare&#8220;. En 2013 suite à la sortie d&#8217;un EP avec un autre groupe de la scène punk hardcore espagnole, Habeas Corpus, Escuela de Odio sort un nouvel album, &#8220;Una Democracia manchada de sangre&#8220;, qui vient couronner leurs déjà 20 années de carrière et contient une collaboration avec le chanteur de Agnostic Front, Roger Miret. <iframe title="Escuela de Odio - Este es el Momento (Feat. Roger Miret - Agnostic Front)" width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/A5kST66xgfo?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; pic
3/26/202113 minutes, 46 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #25 – Escuela de Odio

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner au podcast de la chronique sur Deezer et Spotify. Ce soir Pierre on va parler de Escuela de Odio, un groupe de punk hardcore qui chante en espagnol depuis bientôt 30 ans. Ils sont originaires de La Felguera dans la région des Asturies dans le nord de l’espagne. En 1993, c’est la rencontre de Pirri, Ruben et Ivan qui décident de monter un groupe basé sur leur goût commun pour le punk et le trash, en pleine effervescence à l’époque dans le milieu contestataire et revendicateur. Dans leurs premières années d’existence, Escuela de Odio sort un EP “La Escuela Del Odio” puis suivent beaucoup de dates partout dans le pays sortent leur second autoproduit, “La Razón Del Pensamiento“. Un petit changement de lineup plus tard et le groupe se fait remarquer par Fragment Records, un label de punk hardcore indépendant qui leur permet de sortir leur premier album “El Sueño De Los Que No Duermen” en 1998, un succès immédiat. Après pas mal de dates et quelques années de plus, on retrouve Escuela de Odio en 2000 avec un premier album studio, “Cuando los mudos griten, los sordos sentirán el miedo” littéralement “Quand les muets crieront, les sourds prendront peur”. Un album fougueux dans la trampe punk de l’époque, porté par un hymne à la crise du travail qui a touché les Asturies, la région d’où vient le groupe, “Asturies Arde!!!”. Le groupe connait une période un peu plus calme avec de nouveau de légers changements de lineup pour revenir en force en 2004 avec l’album “De la esclavitud a las cenizas” qui veut dire “De l’esclavage aux cendres”. On se trouve de nouveau en façe d’un album de revendications plutôt percutant qui fera parler de lui notamment grâce au clip qu’il contient pour le titre “Asturies Arde” sorti sur l’album précédent. Le clip en question mettant en scène les manifestations de l’époque et certaines violences policières captées par la caméra. Suite à la sortie de cet album, la renommée du groupe prend de l’ampleur et leur permet de booker une tournée européenne en 2006 et au Mexique en 2007. S’en suit la sortie d’un nouvel album “Quien siembra miseria, recoge la cólera” (Qui sème la misère récolte la colère) suivi d’un DVD Live “Que nada nos pare“. En 2013 suite à la sortie d’un EP avec un autre groupe de la scène punk hardcore espagnole, Habeas Corpus, Escuela de Odio sort un nouvel album, “Una Democracia manchada de sangre“, qui vient couronner leurs déjà 20 années de carrière et contient une collaboration avec le chanteur de Agnostic Front, Roger Miret. 4 autres albums sortent ensuite entrecoupés de tournées européennes pour en arriver en 2021 avec un nouveau single pour prouver qu’il faut toujours compter sur Escuela de Odio sur la scène punk hardcore espagnole. Ce single c’est la nouveauté de ce soir et c’est “Emergencia“, en l’honneur de l’état d’urgence du même nom ici. Un titre en accord avec l’actualité et qui fera partie du prochain album du groupe qui sort ce vendredi sous le nom “Y Nada Más Que La Verdad” (Et rien d’autre que la vérité). Tout un programme ! “Emergencia” c’est la puissance et la haine mêlés pour sortir un des titres les plus décoiffants de cette année 2021 ! &lt;...
3/26/202113 minutes, 46 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #24 – Crim

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner au podcast de la chronique sur Deezer et Spotify. Alors ce soir, je vais vous présenter un groupe de punk, je n&#8217;ai pas pour habitude d&#8217;en écouter mais je pense que le genre est tellement présent en espagne qu&#8217;il serait dommage de pas aborder le sujet ici ! Ce groupe, c&#8217;est Crim. Ils nous viennent de Tarragona en catalogne et fêtent leurs 10 ans d&#8217;existence cette année. Influencés par des groupes comme Fugazi ou Leatherface, à leurs débuts en 2011, ils sortent un EP, &#8220;10 milles per veure una bona merda&#8220;, un titre décalé qui vient d&#8217;une parodie de titre d&#8217;un album &#8220;10 milles per veure una bona armadura&#8221; de Manel, un groupe avec qui ils font leurs début. Cet EP ce sont 7 titres bien puissants qui posent les bases du groupe et qui leur permettra surtout de commencer à se faire connaitre sur la scène punk rock catalane de l&#8217;époque. Pendant 3 ans le groupe va capitaliser sur ce premier autoproduit pour tourner en espagne puis sortira en 2014 un second EP eponyme avec 14 titres bien tassés. Mais c&#8217;est réèllement à partir de 2016 que tout commence à s&#8217;enchainer pour Crim avec la sortie de leur premier LP, &#8220;Blau sang, Vermell cel&#8221; sous le label BCore de Barcelone qui a aidé notamment à faire connaitre Green Day ou At The Drive In en Espagne. Avec &#8220;Blau sang, Vermell cel&#8220;, le groupe monte d&#8217;un cran et commence à proposer une vraie production travaillée. Pour illsutrer, un extrait de &#8220;Verí caducat&#8220;, une bombe de 3:28 qui montre le potentiel de Crim. Blau sang, Vermell cel by CRIM Juste après la sortie de cet album, Crim rentrent de nouveau en studio pour tester plusieurs compos qu&#8217;ils décideront d&#8217;autoproduire sous le titre &#8220;Sens excuses&#8220;. Cet EP leur permet en 2018 de présenter une avance de leur album de 12 titres prévu pour novembre de la même année &#8220;Pare nostre que esteu a l&#8217;infern&#8220;. Ce dernier sortira sous plusieurs labels pour une sortie européenne et américaine dont le célèbre &#8220;Pirates press records&#8220;, label californien qui édite entre autres Rancid et Cock Sparrer. La sortie de cet album propulse donc naturellement Crim sur la scène internationale et leur permet de monter une tournée européenne suivie d&#8217;un tour en californie d&#8217;une dizaine de dates qu&#8217;ils partageront avec &#8220;The Toy Dolls&#8221; notamment. Pour comprendre l&#8217;engouement autour de l&#8217;album, je vous propose d&#8217;écouter un extrait du titre éponyme &#8220;Pare Nostre Que Esteu a L&#8217;Infern&#8220;. <iframe title="CRIM - Pare Nostre Que Esteu A l&#039;Infern (Video Lyric)" width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/F4hNiDJXnp0?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer;
3/5/202113 minutes, 28 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #24 – Crim

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner au podcast de la chronique sur Deezer et Spotify. Alors ce soir, je vais vous présenter un groupe de punk, je n’ai pas pour habitude d’en écouter mais je pense que le genre est tellement présent en espagne qu’il serait dommage de pas aborder le sujet ici ! Ce groupe, c’est Crim. Ils nous viennent de Tarragona en catalogne et fêtent leurs 10 ans d’existence cette année. Influencés par des groupes comme Fugazi ou Leatherface, à leurs débuts en 2011, ils sortent un EP, “10 milles per veure una bona merda“, un titre décalé qui vient d’une parodie de titre d’un album “10 milles per veure una bona armadura” de Manel, un groupe avec qui ils font leurs début. Cet EP ce sont 7 titres bien puissants qui posent les bases du groupe et qui leur permettra surtout de commencer à se faire connaitre sur la scène punk rock catalane de l’époque. Pendant 3 ans le groupe va capitaliser sur ce premier autoproduit pour tourner en espagne puis sortira en 2014 un second EP eponyme avec 14 titres bien tassés. Mais c’est réèllement à partir de 2016 que tout commence à s’enchainer pour Crim avec la sortie de leur premier LP, “Blau sang, Vermell cel” sous le label BCore de Barcelone qui a aidé notamment à faire connaitre Green Day ou At The Drive In en Espagne. Avec “Blau sang, Vermell cel“, le groupe monte d’un cran et commence à proposer une vraie production travaillée. Pour illsutrer, un extrait de “Verí caducat“, une bombe de 3:28 qui montre le potentiel de Crim. Blau sang, Vermell cel by CRIM Juste après la sortie de cet album, Crim rentrent de nouveau en studio pour tester plusieurs compos qu’ils décideront d’autoproduire sous le titre “Sens excuses“. Cet EP leur permet en 2018 de présenter une avance de leur album de 12 titres prévu pour novembre de la même année “Pare nostre que esteu a l’infern“. Ce dernier sortira sous plusieurs labels pour une sortie européenne et américaine dont le célèbre “Pirates press records“, label californien qui édite entre autres Rancid et Cock Sparrer. La sortie de cet album propulse donc naturellement Crim sur la scène internationale et leur permet de monter une tournée européenne suivie d’un tour en californie d’une dizaine de dates qu’ils partageront avec “The Toy Dolls” notamment. Pour comprendre l’engouement autour de l’album, je vous propose d’écouter un extrait du titre éponyme “Pare Nostre Que Esteu a L’Infern“. En ce début 2021, pour fêter leurs 10 ans d’existence, Crim ont pris la décision de réenregistrer leur premier EP “10 anys per veure una bona merda” mais cette fois-ci chanté intégralement en anglais et en collaboration avec des groupes comme La Inquisición, Deadyard, Angelus Apatrida ou encore The Toy Dolls. L’album, que le groupe définit comme un rêve devenu réalité sortira courant avril mais le premier titre est déjà disponible “A Song And a Promise” avec Olga (Michael Algar), le leader guitariste chanteur des Toy Dolls
3/5/202113 minutes, 28 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #23 - The Dry Mouths

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner au podcast de la chronique sur Deezer et Spotify. Ce soir, on va donner dans l&#8217;expérimental, le mystique, l&#8217;intriguant ! C&#8217;est &#8220;The Dry Mouths&#8221; qui est à l&#8217;honneur ce soir. Un groupe de, parfois spychedelic rock, parfois alternative et de manière générale desert rock. La dernière appelation vient de leur provenance, Almeria dans le sud est espagnol, près du désert de Tabernas, un vrai desert qui a notamment servi de lieu de tournage pour le film &#8220;Le bon, la brute et le truand&#8221; pour la petite histoire. Les membres de &#8220;The Dry Mouths&#8221; viennent tous de formations antérieures et les deux créateurs du groupe sont amis d&#8217;enfance et c&#8217;est en 2005 qu&#8217;ils décident de monter la formation avec inspirations grunge au départ. Leurs inspirations à ce moment là, Nirvana, KISS, Iron Maiden&#8230; mais peut de temps après ils ouvrent leurs horizons et commencent à s&#8217;inspirer de tout, de la vie, la mort, le quotidien, l&#8217;expérimentation fait partie intégrante de leur ADN. Leur parcours est marqué par une productivité impressionnante. On parle de 9 albums depuis leur formation entrecoupé de sortie de singles et de sessions live. Les premières années, ça se passe surtout sur scène, beaucoup de concerts partout en espagne avant de produire un premier album de 6 titres sorti sur le label &#8220;Aneurisma Records&#8221; en 2010, &#8220;Lost Bow Case Eckard&#8221; avec un single &#8220;Pineapple Juice&#8220;. Vraiment une bonne première compo. S&#8217;en suit la sortie en 2012 de leur second album &#8220;Moon&#8217;s True Delay length Wah Foo&#8221; puis de leur troisième album studio, &#8220;2 months&#8221; en 2015. &#8220;2 Months&#8221; marque une étape pour le groupe qui donne dans le noise avec un son plus rock, plus alternatif. Sur le même album un titre a marqué aussi largement mon attention, c&#8217;est &#8220;Intromental I into Mental IV&#8220;, 100% instrumental, ultra noise à la limite du psychédélique, un très bon titre ambient que je vous conseille largement d&#8217;écouter sur le youtube du groupe. Leur quatrième album studio sort en 2018 sur un nouveau label, &#8220;Spinda Records&#8221; (le même que Acid Mess, ce qui n&#8217;étonnera pas ceux qui connaissent ce groupe). Il s&#8217;appelle &#8220;When the Water Smells of Sweat&#8220;. &#8220;The Dry Mouths&#8221; continue dans l&#8217;expérimentation avec des titres comme &#8220;This Could be t
2/26/202117 minutes, 6 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #23 - The Dry Mouths

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner au podcast de la chronique sur Deezer et Spotify. Ce soir, on va donner dans l’expérimental, le mystique, l’intriguant ! C’est “The Dry Mouths” qui est à l’honneur ce soir. Un groupe de, parfois spychedelic rock, parfois alternative et de manière générale desert rock. La dernière appelation vient de leur provenance, Almeria dans le sud est espagnol, près du désert de Tabernas, un vrai desert qui a notamment servi de lieu de tournage pour le film “Le bon, la brute et le truand” pour la petite histoire. Les membres de “The Dry Mouths” viennent tous de formations antérieures et les deux créateurs du groupe sont amis d’enfance et c’est en 2005 qu’ils décident de monter la formation avec inspirations grunge au départ. Leurs inspirations à ce moment là, Nirvana, KISS, Iron Maiden… mais peut de temps après ils ouvrent leurs horizons et commencent à s’inspirer de tout, de la vie, la mort, le quotidien, l’expérimentation fait partie intégrante de leur ADN. Leur parcours est marqué par une productivité impressionnante. On parle de 9 albums depuis leur formation entrecoupé de sortie de singles et de sessions live. Les premières années, ça se passe surtout sur scène, beaucoup de concerts partout en espagne avant de produire un premier album de 6 titres sorti sur le label “Aneurisma Records” en 2010, “Lost Bow Case Eckard” avec un single “Pineapple Juice“. Vraiment une bonne première compo. S’en suit la sortie en 2012 de leur second album “Moon’s True Delay length Wah Foo” puis de leur troisième album studio, “2 months” en 2015. “2 Months” marque une étape pour le groupe qui donne dans le noise avec un son plus rock, plus alternatif. Sur le même album un titre a marqué aussi largement mon attention, c’est “Intromental I into Mental IV“, 100% instrumental, ultra noise à la limite du psychédélique, un très bon titre ambient que je vous conseille largement d’écouter sur le youtube du groupe. Leur quatrième album studio sort en 2018 sur un nouveau label, “Spinda Records” (le même que Acid Mess, ce qui n’étonnera pas ceux qui connaissent ce groupe). Il s’appelle “When the Water Smells of Sweat“. “The Dry Mouths” continue dans l’expérimentation avec des titres comme “This Could be the Beginning of a Beautiful Friendship” qui fait réèllement voyager, et il font bien de suivre cette voie parce que le titre “Low Clouds“, single de l’album est vraiment bon, rien à envier à certaines grosses prod venant des US. L’année suivante sera une année très dure pour “The Dry Mouths” car peu de temps avant la sortie de “Memories for Spine Bridge” en avril, décède le bassiste du groupe, Andy Reyes à 33 ans. C’est un coup de massue évidemment pour la formation qui ne baissera pas les bras et décidera de rendre hommage à Andy à travers la sortie d’un titre enregistré à la base en 2015 pour un disque de sessions “Lo-fi Sounds for Hi-Fi people” mais pas convaincu à l’époque, le groupe l’avait lais...
2/26/202117 minutes, 6 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #22 – Bala

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner au podcast de la chronique sur Deezer et Spotify. Aujourd&#8217;hui, je voudrais te parler d&#8217;un groupe qui m&#8217;a particulièrement impressionné, c&#8217;est BALA. BALA, c&#8217;est Anxela Baltar et Violeta Mosquera, respectivement chant/guitare et chant/batterie, un duo 100% féminin de la Galice qui envoie du lourd depuis 2014. Elles donnent avant tout dans le style Stoner rock aux influences grunge avec quelques idées venant du neo métal cher à noter adolescence. Elles n&#8217;en sont pas à leur coup d&#8217;essai car elles ont traversé séparément plusieurs formations. Leur rencontre vient d&#8217;une idée de projet musical commun qui dure maintenant depuis 6 ans. Leur première composition date de septembre 2015 sous l&#8217;album &#8220;Human Flesh&#8221; édité par le label &#8220;Matapadre&#8221; qui vient lui aussi de Galice. Leur premier album contient 7 titres, masterisés par Maor Appelbaum connu pour avoir bossé avec Sepultura ou Faith No More (s&#8217;il vous plaît !), ça pose tout de suite le contexte. Le meilleur qualificatif pour décrire leur musique sur cet album c&#8217;est sauvage car tout s&#8217;y réfère, de la rythmique aux riffs de guitare en passant par la voix puissante de la chanteuse. Pour vous faire une idée de la puissance, un extrait du titre éponyme &#8220;Human Flesh&#8220;. Comme une claque. Leur second album, c&#8217;est 2 ans plus tard, en mars 2017, qu&#8217;elles le présentent et il s&#8217;appelle &#8220;Lume&#8221; qui veut dire feu en Gallego. Toujours sur le même label, les filles prennent du galon avec un son plus clair, plus travaillé qui va aux frontières de la saturation avec un rock rageux qui puise dans les origines Grunge Stoner du groupe avec des airs de punk sur certains titres. On se trouve en face de la confirmation de la qualité de BALA avec un travail globalement abouti qui les amènera à tourner sur des festivals étrangers en Allemagne, en France et jusqu&#8217;en Australie et au Japon. Tout de suite un extrait de &#8220;Colmillos&#8220;, tiré de l&#8217;album &#8220;Lume&#8220;, un titre phare du groupe. Après plusieurs dates et un changement de label pour aller vers Century Media Records, le label allemand de heavy hardcore de Sony par lequel sont passés In Flames, Lacuna Coil ou encore Angelus Apatrida, Bala entrent de nouveau en studio pour produire leur troisième album, &#8220;Maleza&#8221; prévu pour mai prochain. Pour le présenter, le label a mis en ligne le nouveau single accompagné du clip pour le titre &#8220;Agitar&#8220;. Ils comptent sur l&#8217;aide de Bonnie Buitrago de Nashville Pussy pour l&#8217;occasion. Le
2/19/202111 minutes, 50 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #22 – Bala

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner au podcast de la chronique sur Deezer et Spotify. Aujourd’hui, je voudrais te parler d’un groupe qui m’a particulièrement impressionné, c’est BALA. BALA, c’est Anxela Baltar et Violeta Mosquera, respectivement chant/guitare et chant/batterie, un duo 100% féminin de la Galice qui envoie du lourd depuis 2014. Elles donnent avant tout dans le style Stoner rock aux influences grunge avec quelques idées venant du neo métal cher à noter adolescence. Elles n’en sont pas à leur coup d’essai car elles ont traversé séparément plusieurs formations. Leur rencontre vient d’une idée de projet musical commun qui dure maintenant depuis 6 ans. Leur première composition date de septembre 2015 sous l’album “Human Flesh” édité par le label “Matapadre” qui vient lui aussi de Galice. Leur premier album contient 7 titres, masterisés par Maor Appelbaum connu pour avoir bossé avec Sepultura ou Faith No More (s’il vous plaît !), ça pose tout de suite le contexte. Le meilleur qualificatif pour décrire leur musique sur cet album c’est sauvage car tout s’y réfère, de la rythmique aux riffs de guitare en passant par la voix puissante de la chanteuse. Pour vous faire une idée de la puissance, un extrait du titre éponyme “Human Flesh“. Comme une claque. Leur second album, c’est 2 ans plus tard, en mars 2017, qu’elles le présentent et il s’appelle “Lume” qui veut dire feu en Gallego. Toujours sur le même label, les filles prennent du galon avec un son plus clair, plus travaillé qui va aux frontières de la saturation avec un rock rageux qui puise dans les origines Grunge Stoner du groupe avec des airs de punk sur certains titres. On se trouve en face de la confirmation de la qualité de BALA avec un travail globalement abouti qui les amènera à tourner sur des festivals étrangers en Allemagne, en France et jusqu’en Australie et au Japon. Tout de suite un extrait de “Colmillos“, tiré de l’album “Lume“, un titre phare du groupe. Après plusieurs dates et un changement de label pour aller vers Century Media Records, le label allemand de heavy hardcore de Sony par lequel sont passés In Flames, Lacuna Coil ou encore Angelus Apatrida, Bala entrent de nouveau en studio pour produire leur troisième album, “Maleza” prévu pour mai prochain. Pour le présenter, le label a mis en ligne le nouveau single accompagné du clip pour le titre “Agitar“. Ils comptent sur l’aide de Bonnie Buitrago de Nashville Pussy pour l’occasion. Le titre est totalement brutal avec des airs de Joan Jett &amp; the Blackhearts de la grande époque qui croise Helmet au détour d’un studio. Il n’annonce que du bon. On a vraiment hâte d’écouter les 8 titres restants, prévus pour le 14 mai ! Bandcamp Facebook Youtube
2/19/202111 minutes, 50 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #21 – Ankhara

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner à la chronique sur Deezer et Spotify. Ce soir, on parle d&#8217;un groupe culte du genre Heavy Metal espagnol, ANKHARA qui est donc à l&#8217;honneur, lui et ses presque 25 années d&#8217;existence. ANKHARA, c&#8217;est la rencontre de 5 aficionados de heavy qui décident de tenter l&#8217;aventure du groupe en 1995 ici même à Madrid. Au départ, Pacho (le chanteur) et sa bande font le tour des petites scènes de la région et enregistrent quelques maquettes pendant deux ans jusqu&#8217;à participer en 1998 à un festival espagnol itinérant qui permet de les faire connaitre en leur permettant de partager la scène d&#8217;autres groupes espagnols déjà cultes comme Saratoga, Obús ou Mago de Oz. C&#8217;est en 1999 que ANKHARA signent avec leur premier label, &#8220;Locomotive Music&#8221; et enregistrent leur premier album, &#8220;Dueño del tiempo&#8221; qui les conduit à tourner l&#8217;année suivante pour présenter leur travail. Pour illustrer leur début, je te propose Pierre d&#8217;écouter un extrait de &#8220;3:40&#8220;, un titre représentatif de la mouvance heavy de l&#8217;époque en espagne qui s&#8217;est retrouvé sur quelques compilations du genre à l&#8217;époque. C&#8217;est ensuite en 2003 qu&#8217;on retrouve ANKHARA avec quelques changements dans le lineup, la voix restant celle de Pacho, le chanteur fondateur du groupe. Cette année, le groupe rentre de nouveau en studio pour enregistrer Sombras del pasado qui contient notamment une reprise intéressante de &#8220;Hold the line&#8221; de TOTO sous le titre &#8220;Mantente Firme&#8220;. Ils enchaînent avec une tournée en 2004 qui sera malheureusement la dernière avant la dissolution d&#8217;ANKHARA pour des raisons artistiques principalement, chaque membre voulant continuer son chemin dans des directions différentes via d&#8217;autres projets. Pendant près de 10 longues années, les membres du groupe passent de formations à formations jusqu&#8217;au 16 février 2013 où d&#8217;un commun accord, le groupe décide de se reformer avec le lineup d&#8217;origine et surtout les idées qui ont vues naitre le groupe, c&#8217;est à dire en se centrant sur les premiers travaux qu&#8217;ils ont produit, leurs origine en somme. Cette même année 2013, ANKHARA partira en tournée pour jouer ses premiers titres devant leur public, heureux de les retrouver. Après cette reformation, le groupe rentre de nouveau en hiatus pour prendre une décision sur leur futur et surtout sur de possibles nouvelles productions. C&#8217;est fin 2017 que ANKHARA annonce l&#8217;enregistrement d&#8217;un nouvel album, &#8220;Sinergia&#8220;, qui sortira en mai 2018. On écoute le single &#8220;Sigo en Pie&#8220;, un retour très Heavy plein de puissance. <iframe title="Ankhara - Sigo en Pie (Lyric Video Oficial)" width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/PuW-zT7nOJI?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture
2/12/202117 minutes, 45 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #21 – Ankhara

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner à la chronique sur Deezer et Spotify. Ce soir, on parle d’un groupe culte du genre Heavy Metal espagnol, ANKHARA qui est donc à l’honneur, lui et ses presque 25 années d’existence. ANKHARA, c’est la rencontre de 5 aficionados de heavy qui décident de tenter l’aventure du groupe en 1995 ici même à Madrid. Au départ, Pacho (le chanteur) et sa bande font le tour des petites scènes de la région et enregistrent quelques maquettes pendant deux ans jusqu’à participer en 1998 à un festival espagnol itinérant qui permet de les faire connaitre en leur permettant de partager la scène d’autres groupes espagnols déjà cultes comme Saratoga, Obús ou Mago de Oz. C’est en 1999 que ANKHARA signent avec leur premier label, “Locomotive Music” et enregistrent leur premier album, “Dueño del tiempo” qui les conduit à tourner l’année suivante pour présenter leur travail. Pour illustrer leur début, je te propose Pierre d’écouter un extrait de “3:40“, un titre représentatif de la mouvance heavy de l’époque en espagne qui s’est retrouvé sur quelques compilations du genre à l’époque. C’est ensuite en 2003 qu’on retrouve ANKHARA avec quelques changements dans le lineup, la voix restant celle de Pacho, le chanteur fondateur du groupe. Cette année, le groupe rentre de nouveau en studio pour enregistrer Sombras del pasado qui contient notamment une reprise intéressante de “Hold the line” de TOTO sous le titre “Mantente Firme“. Ils enchaînent avec une tournée en 2004 qui sera malheureusement la dernière avant la dissolution d’ANKHARA pour des raisons artistiques principalement, chaque membre voulant continuer son chemin dans des directions différentes via d’autres projets. Pendant près de 10 longues années, les membres du groupe passent de formations à formations jusqu’au 16 février 2013 où d’un commun accord, le groupe décide de se reformer avec le lineup d’origine et surtout les idées qui ont vues naitre le groupe, c’est à dire en se centrant sur les premiers travaux qu’ils ont produit, leurs origine en somme. Cette même année 2013, ANKHARA partira en tournée pour jouer ses premiers titres devant leur public, heureux de les retrouver. Après cette reformation, le groupe rentre de nouveau en hiatus pour prendre une décision sur leur futur et surtout sur de possibles nouvelles productions. C’est fin 2017 que ANKHARA annonce l’enregistrement d’un nouvel album, “Sinergia“, qui sortira en mai 2018. On écoute le single “Sigo en Pie“, un retour très Heavy plein de puissance. En ce début 2021, ANKHARA sont plus décidés que jamais de continuer à nous gratifier de leur travail et, face à la crise qui touche durement beaucoup de formations qui ne peuvent plus tourner, ils ont décidé de lancer un crowdfunding pour financer leur nouvel album “Premonición“. On espère vraiment qu’ils atteindront leurs objectifs. Pour aider à financer “Premonición“, ils ont réédité 12 titres de leurs premières maquettes de 1995 à 1998 dans un CD appelé “El Origen“. Je te propose d’écouter un des titres les plus emblématiques du groupe, “Acordes mágicos” et on se retrouve la semaine prochaine. ...
2/12/202117 minutes, 45 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #20 - Eon

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner à la chronique sur Deezer et Spotify. Madrid est à l&#8217;honneur de nouveau ce soir avec EON qui est (ou plutôt était&#8230; on va y revenir) un groupe de métal à tendances rock alternatif qui nait en 2009 d&#8217;une collaboration entre musiciens venant de diverses formations. Le groupe nous a gratifié de deux albums jusqu&#8217;en ce début d&#8217;année. Le premier, &#8220;Invisible&#8220;, est sorti en 2012 après une campagne de crowdfunding sur internet qui leur a permis de produire et de distribuer ce premier EP et ainsi commencer à se faire un nom sur la scène métal espagnole. Grâce à ce premier travail, EON enchaine les concerts dans la région et le groupe commence à apparaitre dans des publications rock de l&#8217;époque. Je dois vous dire que l&#8217;écoute de ce premier album m&#8217;a vraiment surpris car on sent déjà une qualité et une envie qui dépasse le cadre d&#8217;un album début. C&#8217;est original, pensé, puissant, nuancé. Pour illustrer mon propos, je vous proposer d&#8217;écouter &#8220;Simetria&#8220;, premier single qui en est tiré, un titre justement tout en nuances qui représente bien l&#8217;idée originale du groupe, teinté par ses inspirations métal tout en apportant ce plus qui les fait ressortir du lot. In[visible] by eon Leur album suivant est très particulier car c&#8217;est le premier depuis leur signature sur le fameux label &#8220;Rock Estatal Records&#8221; et après un changement de chanteur qui marque totalement la différence. A la mélodie caractéristique qu&#8217;on apprécie dans le premier album, on ajoute la puissance, l&#8217;ampleur et la maitrise de la voix qui manquait à EON pour en faire un groupe de métal à part et les faire sortir de l&#8217;ombre. Cet album c&#8217;est &#8220;Medula&#8221; et c&#8217;est en 2016 que ces 10 titres viennent ravir les oreilles de leurs fans et leur permet d&#8217;entrer dans une autre dimension. Et c&#8217;est rien de le dire car les petits madrilènes arrivent quand même jusqu&#8217;aux oreilles de la légende de Metallica, Lars Ulrich lui-même qui les cite dans son podcast de l&#8217;époque &#8220;It&#8217;s Electric&#8221; comme un des groupes espagnols les plus intéressants du moment, rien que ça. De cet album on peut retenir les inspirations du chanteur, on reconnait des traits de Killswitch époque End of Heartache ou encore Corey Taylor dans toute sa gloire avec Slipknot et pourquoi pas un peu de Pantera quand on cherche bien, en même temps on a tous un peu de Pantera en nous finalement&#8230; . Le titre représentatif ça sera &#8220;Duramadre&#8221; pour moi. Il a tout d&#8217;un grand titre. En ce début 2021, EON</stro
2/5/202116 minutes, 7 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #20 - Eon

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner à la chronique sur Deezer et Spotify. Madrid est à l’honneur de nouveau ce soir avec EON qui est (ou plutôt était… on va y revenir) un groupe de métal à tendances rock alternatif qui nait en 2009 d’une collaboration entre musiciens venant de diverses formations. Le groupe nous a gratifié de deux albums jusqu’en ce début d’année. Le premier, “Invisible“, est sorti en 2012 après une campagne de crowdfunding sur internet qui leur a permis de produire et de distribuer ce premier EP et ainsi commencer à se faire un nom sur la scène métal espagnole. Grâce à ce premier travail, EON enchaine les concerts dans la région et le groupe commence à apparaitre dans des publications rock de l’époque. Je dois vous dire que l’écoute de ce premier album m’a vraiment surpris car on sent déjà une qualité et une envie qui dépasse le cadre d’un album début. C’est original, pensé, puissant, nuancé. Pour illustrer mon propos, je vous proposer d’écouter “Simetria“, premier single qui en est tiré, un titre justement tout en nuances qui représente bien l’idée originale du groupe, teinté par ses inspirations métal tout en apportant ce plus qui les fait ressortir du lot. In[visible] by eon Leur album suivant est très particulier car c’est le premier depuis leur signature sur le fameux label “Rock Estatal Records” et après un changement de chanteur qui marque totalement la différence. A la mélodie caractéristique qu’on apprécie dans le premier album, on ajoute la puissance, l’ampleur et la maitrise de la voix qui manquait à EON pour en faire un groupe de métal à part et les faire sortir de l’ombre. Cet album c’est “Medula” et c’est en 2016 que ces 10 titres viennent ravir les oreilles de leurs fans et leur permet d’entrer dans une autre dimension. Et c’est rien de le dire car les petits madrilènes arrivent quand même jusqu’aux oreilles de la légende de Metallica, Lars Ulrich lui-même qui les cite dans son podcast de l’époque “It’s Electric” comme un des groupes espagnols les plus intéressants du moment, rien que ça. De cet album on peut retenir les inspirations du chanteur, on reconnait des traits de Killswitch époque End of Heartache ou encore Corey Taylor dans toute sa gloire avec Slipknot et pourquoi pas un peu de Pantera quand on cherche bien, en même temps on a tous un peu de Pantera en nous finalement… . Le titre représentatif ça sera “Duramadre” pour moi. Il a tout d’un grand titre. En ce début 2021, EON revient avec son troisième album toujours sur Rock Estatal, j’ai nommé “RUBICÓN“. Sans contexte un grand album, très certainement le meilleur du groupe. Cet album annonce deux changements qui vont boulverser le futur d’EON. Le premier, c’est l’arrivée d’influences électroniques présentes sur certains titres qui viennent s’entremêler à la puissage de la voix de Diego comme sur le titre “Arde“, très bien réalisé. L’autre changement, c’est la douche froide, le départ du chanteur du groupe qui est annoncée en même temps que la sortie de leur nouvel album. Son dépar...
2/5/202116 minutes, 7 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #19 - Astrobahn

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner à la chronique sur Deezer et Spotify. Aujourd&#8217;hui, c&#8217;est des madrilènes qui sont à l&#8217;honneur avec Astrobahn. Malgré leur nom à consonnance allemande, il s&#8217;agit bien d&#8217;une formation espagnole de rock alternatif que je vous présente ce soir à l&#8217;occasion de la sortie de leur nouveau single &#8220;Que No Paren de Bailar&#8220;. Astrobahn, ce sont 4 amis, (Abel, Elena, Jorge et Miguel) avec un background musical plutôt ample et un goût prononcé pour l&#8217;alternative rock qui ont décidé en 2008 de joindre leurs connaissances pour fonder ce groupe aux influences diverses des 90&#8217;s comme &#8220;Foo Fighters&#8220;, &#8220;Radiohead&#8220;, &#8220;Jeff Buckley&#8221; ou encore &#8220;At The Drive In&#8220;. leur premier EP vient quelques années après leur formation, en 2011, sous le nom &#8220;Ausencias&#8221; incluant tous les premiers titres du groupe. La sortie de cet EP leur permet de continuer l&#8217;aventure avec beaucoup de concerts dans la région jusqu&#8217;en 2013 où &#8220;Astrobahn&#8221; décide de sortir son second EP, &#8220;El Mundo se Para&#8220;. Sur cet album de 10 titres composés comme un voyage musical à travers l&#8217;univers du groupe, on retrouve notamment &#8220;Indiferencia&#8220;, un titre puissant qui représente bien le processus créatif du groupe avec une vraie recherche musicale et la volonté de nous la faire partager. Astrobahn, c&#8217;est avant tout un groupe de scène et c&#8217;est pour cela que depuis la sortie de cet album jusqu&#8217;à l&#8217;année dernière, le groupe a tourné au maximum de ses possibilités et au grès des occasions qui leur étaient offertes pour pouvoir présenter, enregistrer, composer des titres en expérimentant parfois au delà de leur terrain de jeu habituel. Après quelques changements dans le lineup de départ, des nouvelles rencontres et de nouvelles sources d&#8217;inspiration, c&#8217;est donc tout naturellement qu&#8217;ils décident en 2020 de rentrer de nouveau en studio pour travailler sur un nouvel opus, cette fois-ci avec un son plus compact, avec une vraie énergie renouvellée forts de leurs expériences passées, toujours dans le plus pur style alternative rock. Ce nouvel album dénommé &#8220;Fuego&#8221; composé de 8 titres sortira le 05 février prochain sous le label &#8220;Nooirax Producciones&#8221; qui les soutient depuis leurs début. Astrobahn a déjà sorti un premier single tiré de ce nouvel opus, &#8220;Todo Por Hacer&#8220;, sorti en fin d&#8217;année dernière. On aime surtout les guitares, le travail sérieux sur la voix, la cohérence. On reste dans les influences du groupe et on retrouve leur énergie et leur créativité. C&#8217;est pour vous présenter leur dernier single issu de ce nouvel album que j&#8217;ai choisi de vous parler d&#8217;Astrobahn ce soir. Leur nouveau single, &#8220;Que No Paren de Bailar&#8220;,
1/29/202114 minutes, 2 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #19 - Astrobahn

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner à la chronique sur Deezer et Spotify. Aujourd’hui, c’est des madrilènes qui sont à l’honneur avec Astrobahn. Malgré leur nom à consonnance allemande, il s’agit bien d’une formation espagnole de rock alternatif que je vous présente ce soir à l’occasion de la sortie de leur nouveau single “Que No Paren de Bailar“. Astrobahn, ce sont 4 amis, (Abel, Elena, Jorge et Miguel) avec un background musical plutôt ample et un goût prononcé pour l’alternative rock qui ont décidé en 2008 de joindre leurs connaissances pour fonder ce groupe aux influences diverses des 90’s comme “Foo Fighters“, “Radiohead“, “Jeff Buckley” ou encore “At The Drive In“. leur premier EP vient quelques années après leur formation, en 2011, sous le nom “Ausencias” incluant tous les premiers titres du groupe. La sortie de cet EP leur permet de continuer l’aventure avec beaucoup de concerts dans la région jusqu’en 2013 où “Astrobahn” décide de sortir son second EP, “El Mundo se Para“. Sur cet album de 10 titres composés comme un voyage musical à travers l’univers du groupe, on retrouve notamment “Indiferencia“, un titre puissant qui représente bien le processus créatif du groupe avec une vraie recherche musicale et la volonté de nous la faire partager. Astrobahn, c’est avant tout un groupe de scène et c’est pour cela que depuis la sortie de cet album jusqu’à l’année dernière, le groupe a tourné au maximum de ses possibilités et au grès des occasions qui leur étaient offertes pour pouvoir présenter, enregistrer, composer des titres en expérimentant parfois au delà de leur terrain de jeu habituel. Après quelques changements dans le lineup de départ, des nouvelles rencontres et de nouvelles sources d’inspiration, c’est donc tout naturellement qu’ils décident en 2020 de rentrer de nouveau en studio pour travailler sur un nouvel opus, cette fois-ci avec un son plus compact, avec une vraie énergie renouvellée forts de leurs expériences passées, toujours dans le plus pur style alternative rock. Ce nouvel album dénommé “Fuego” composé de 8 titres sortira le 05 février prochain sous le label “Nooirax Producciones” qui les soutient depuis leurs début. Astrobahn a déjà sorti un premier single tiré de ce nouvel opus, “Todo Por Hacer“, sorti en fin d’année dernière. On aime surtout les guitares, le travail sérieux sur la voix, la cohérence. On reste dans les influences du groupe et on retrouve leur énergie et leur créativité. C’est pour vous présenter leur dernier single issu de ce nouvel album que j’ai choisi de vous parler d’Astrobahn ce soir. Leur nouveau single, “Que No Paren de Bailar“, est un titre de circonstances en ces temps obscurs qui nous invite à ne pas arrêter de danser. Un titre plein d’espoir, d’énergie et de positivité qui passe très bien ! On a déjà hâte d’entendre la suite ! Bandcamp Facebook Twitter Youtube
1/29/202114 minutes, 2 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #18 - Angelus Apatrida

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N&#8217;hésitez pas à vous abonner à la chronique sur Deezer et Spotify. Ce soir, c&#8217;est le métal à l&#8217;honneur dans la chronique rock espagnole sur RSTLSS. Le gros métal, celui qui arrache, j&#8217;ai nommé le fameux genre TRASH METAL. En Espagne aussi il a eu et il continue d&#8217;avoir, son heure de gloire grâce à quelques groupes super puissants ici comme c&#8217;est le cas de Angelus Apatrida. Angelus Apatrida c&#8217;est un groupe formé en 2000 dans la région d&#8217;Albacete sous l&#8217;influence de groupes comme Metallica, Sepultura, Pantera ou encore Anthrax, les têtes d&#8217;affiche du genre quoi. Leurs débuts se forment à partir de diverses maquettes qui trouvent leur chemin en Espagne et leur permet de former une solide base de fans et leur ouvrir les portes de plusieurs festivals de métal. En 2003 grâce à une série de dates de concerts à travers le pays, ils réeditent leur première maquette &#8220;Lost in the Realms of Orchinodaemon&#8221; ainsi qu&#8217;un disque promo enregistré pendant la tournée. Ces disques ne tardent pas à dépasser les frontières du pays et leur notoriété s&#8217;étend largement 3 ans après leur formation en Amérique du sud mais aussi en Europe et plus généralement en France et en Belgique. En 2004 ils enregistrent leur album debut &#8220;Evil Unleashed&#8221; qui ne sortira qu&#8217;en 2006 après une série de différents avec leur maison de disque qui les conduira à rompre leur contrat, signé récemment. Ils trouvent de l&#8217;appui auprès de plusieurs intervenants qui permettent finalement à Angelus Apatrida de sortir l&#8217;album qui rencontrera un gros succès. Il leur permettra de faire une série de festivals en 2005 et 2006 et partager la scène avec des groupes de la trampe de Sepultura. On leur attribuera aussi le renouveau du genre Trash metal en Espagne. Voilà un extrait, &#8220;Negotiating the Clowns&#8220;, le single pour lequel ils ont sorti un clip à l&#8217;époque, très Pantera dans le genre, ils n&#8217;inventent rien mais ils ne font bien ! S&#8217;en suit la sortie en 2007 de &#8220;Give &#8216;Em War&#8221; qui leur permettra entre autres de tourner au Portugal et en France et d&#8217;être considéré par le milieu métal espagnol comme le fer de lance du Trash du pays. En 2009, Angelus Apatrida entrent de nouveau en studio pour enregistrer &#8220;ClockWork&#8221; et signent avec Century Media Records, un label connu pour le fans de Metal. Grâce à &#8220;ClockWork&#8221; ils sont nommés meilleur groupe de 2010 par Kerrang et Rockzone. Au delà de la réponse médiatique, le groupe ravit ses fans avec 80 dates de concert suivant la sortie du CD. Le single &#8220;Blast Off&#8221; prouve encore une fois la valeur du groupe dans le paysage métal espagnol. <iframe title="ANGELUS APATRIDA - Blast Off (OFFICIAL VIDEO)" width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/fTpW2-_TQnQ?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipb
1/22/202117 minutes, 25 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #18 - Angelus Apatrida

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. N’hésitez pas à vous abonner à la chronique sur Deezer et Spotify. Ce soir, c’est le métal à l’honneur dans la chronique rock espagnole sur RSTLSS. Le gros métal, celui qui arrache, j’ai nommé le fameux genre TRASH METAL. En Espagne aussi il a eu et il continue d’avoir, son heure de gloire grâce à quelques groupes super puissants ici comme c’est le cas de Angelus Apatrida. Angelus Apatrida c’est un groupe formé en 2000 dans la région d’Albacete sous l’influence de groupes comme Metallica, Sepultura, Pantera ou encore Anthrax, les têtes d’affiche du genre quoi. Leurs débuts se forment à partir de diverses maquettes qui trouvent leur chemin en Espagne et leur permet de former une solide base de fans et leur ouvrir les portes de plusieurs festivals de métal. En 2003 grâce à une série de dates de concerts à travers le pays, ils réeditent leur première maquette “Lost in the Realms of Orchinodaemon” ainsi qu’un disque promo enregistré pendant la tournée. Ces disques ne tardent pas à dépasser les frontières du pays et leur notoriété s’étend largement 3 ans après leur formation en Amérique du sud mais aussi en Europe et plus généralement en France et en Belgique. En 2004 ils enregistrent leur album debut “Evil Unleashed” qui ne sortira qu’en 2006 après une série de différents avec leur maison de disque qui les conduira à rompre leur contrat, signé récemment. Ils trouvent de l’appui auprès de plusieurs intervenants qui permettent finalement à Angelus Apatrida de sortir l’album qui rencontrera un gros succès. Il leur permettra de faire une série de festivals en 2005 et 2006 et partager la scène avec des groupes de la trampe de Sepultura. On leur attribuera aussi le renouveau du genre Trash metal en Espagne. Voilà un extrait, “Negotiating the Clowns“, le single pour lequel ils ont sorti un clip à l’époque, très Pantera dans le genre, ils n’inventent rien mais ils ne font bien ! S’en suit la sortie en 2007 de “Give ‘Em War” qui leur permettra entre autres de tourner au Portugal et en France et d’être considéré par le milieu métal espagnol comme le fer de lance du Trash du pays. En 2009, Angelus Apatrida entrent de nouveau en studio pour enregistrer “ClockWork” et signent avec Century Media Records, un label connu pour le fans de Metal. Grâce à “ClockWork” ils sont nommés meilleur groupe de 2010 par Kerrang et Rockzone. Au delà de la réponse médiatique, le groupe ravit ses fans avec 80 dates de concert suivant la sortie du CD. Le single “Blast Off” prouve encore une fois la valeur du groupe dans le paysage métal espagnol. S’en suivent trois albums studios couronnés de succès leur permettant d’assoir définitivement leur status de groupe culte de la scène Trash metal espagnole. Pour ce qui est de l’actu, les vétérans du Trash Metal sont toujours là et nous gratifient d’un septième album de 10 titres qui sortira en février 2021, leur album éponyme, “Angelus Apatrida” qu’ils présentent maintenant avec deux titres, “Indoctrinate” et “Bleed The Crown“. C’est le second que je voulais vous présenter ce soir, un titre super puissant, plein de riffs classiques qui te feront headbanger comme à la belle époque, ce que tu pourras faire bientôt car ils prévoi...
1/22/202117 minutes, 25 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #17 - Los Planetas

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. Pour la première de l&#8217;année, on va réviser nos classiques&#8230; Enfin les faire découvrir parce que le groupe de ce soir est sûrement très célèbre ici mais pas autant en France, ce qui est bien dommage ! Il s&#8217;agit du groupe &#8220;Los Planetas&#8221; qui nous viennent tout droit de Grenade dans le sud-est espagnol. Ils donnent dans le Rock alternatif depuis les années 90, en 1993 pour être précis, l&#8217;année de leur formation sans qu&#8217;ils aient arrêté de produire jusqu&#8217;à maintenant. Si on compte bien, ça fera 28 ans de carrière cette année, pas mal ! Au départ, l&#8217;inspiration vient d&#8217;une rencontre et d&#8217;une idée commune, mixer tradition locale avec des sons de musique traditionnelle andalouse et le moderne de l&#8217;époque avec comme inspiration des groupes comme Joy Division ou encore Mercury Rev. C&#8217;est la rencontre des deux fondateurs du groupe au début des années 90 qui lancera cette aventure musicale sous le nom de Subterráneos, en hommage au groupe new yorkais Velvet Underground. Une basse et un batteur viennent s&#8217;ajouter à la voix/guitarre présente au départ. C&#8217;est avec cette envie que le groupe enregistre plusieurs maquettes avec laquelle ils vont se faire connaitre petit à petit dans le monde de la musique indé espagnole et leur permettre de participer à plusieurs concours organisés par des radios de l&#8217;époque. Ils enregistreront suite à cela un titre, Mi hermana pequeña, qui tournera en radio et sortira en vinyl en 1993 pour être édité en CD en 1996. Le milieu des années 90 en espagne, c&#8217;est l&#8217;âge d&#8217;or du rock indépendant et c&#8217;est très rapidement que le groupe se retrouvera signé chez RCA pour produire leur premier album &#8220;Super 8&#8221; qui contiendra quelques titres des premiers jours comme de nouvelles compos, comme c&#8217;est le cas du titre &#8220;De viaje&#8220;, dans le plus pur style 90. En 1996 le groupe sort un nouvel album intitulé simplement &#8220;Pop&#8221; qui confirme leur status de chouchou de l&#8217;indie national. Deux ans plus tard, c&#8217;est &#8220;Una semana en el motor de un autobús&#8221; qui voit le jour sur un concept original, suivre en chansons une semaine dans la vie du protagoniste du disque à base de joie, de peine, de débauche, etc, toujours sur RCA qui continuent de les appuyer. Comme chaque production du groupe contient beaucoup de faces B, en 1999, une compilation de singles sortira pour remettre tout ça en ordre. C&#8217;est en 2000 que le groupe sort un nouveau disque original, &#8220;Unidad de desplazamiento&#8221; sous le même format que &#8220;Una semana en el motor de un autobús&#8221; avec une histoire qui se raconte à travers les 13 titres de l&#8217;album. Deux ans plus tard sort le 5ème opus &#8220;Encuentros con entidades&#8221; qui sortira avec un DVD des clips du groupe. Comme à son habitude, passent deux ans et sort &#8220;Los Planetas contra la ley de la gravedad&#8221; en 2004. En 2007 le groupe rentre de nouveau en studio pour sortir l&#8217;album, &#8220;La leyenda del espacio&#8220;, qui sera reconnu par la critique espagnole comme meilleur disque national de rock alternatif de l&#8217;année. Le single &#8220;El Canto del Bute&#8221; ressort notamment par sa production et son originalité psychédélique. Toujours dans le même thème en 2009 sort &#8220;Principios básicos de astronomia&#8221; sous un nouveau label, &#8220
1/15/202123 minutes, 33 seconds
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LA NOUVEAUTÉ ROCK ESPAGNOLE #17 - Los Planetas

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. Pour la première de l’année, on va réviser nos classiques… Enfin les faire découvrir parce que le groupe de ce soir est sûrement très célèbre ici mais pas autant en France, ce qui est bien dommage ! Il s’agit du groupe “Los Planetas” qui nous viennent tout droit de Grenade dans le sud-est espagnol. Ils donnent dans le Rock alternatif depuis les années 90, en 1993 pour être précis, l’année de leur formation sans qu’ils aient arrêté de produire jusqu’à maintenant. Si on compte bien, ça fera 28 ans de carrière cette année, pas mal ! Au départ, l’inspiration vient d’une rencontre et d’une idée commune, mixer tradition locale avec des sons de musique traditionnelle andalouse et le moderne de l’époque avec comme inspiration des groupes comme Joy Division ou encore Mercury Rev. C’est la rencontre des deux fondateurs du groupe au début des années 90 qui lancera cette aventure musicale sous le nom de Subterráneos, en hommage au groupe new yorkais Velvet Underground. Une basse et un batteur viennent s’ajouter à la voix/guitarre présente au départ. C’est avec cette envie que le groupe enregistre plusieurs maquettes avec laquelle ils vont se faire connaitre petit à petit dans le monde de la musique indé espagnole et leur permettre de participer à plusieurs concours organisés par des radios de l’époque. Ils enregistreront suite à cela un titre, Mi hermana pequeña, qui tournera en radio et sortira en vinyl en 1993 pour être édité en CD en 1996. Le milieu des années 90 en espagne, c’est l’âge d’or du rock indépendant et c’est très rapidement que le groupe se retrouvera signé chez RCA pour produire leur premier album “Super 8” qui contiendra quelques titres des premiers jours comme de nouvelles compos, comme c’est le cas du titre “De viaje“, dans le plus pur style 90. En 1996 le groupe sort un nouvel album intitulé simplement “Pop” qui confirme leur status de chouchou de l’indie national. Deux ans plus tard, c’est “Una semana en el motor de un autobús” qui voit le jour sur un concept original, suivre en chansons une semaine dans la vie du protagoniste du disque à base de joie, de peine, de débauche, etc, toujours sur RCA qui continuent de les appuyer. Comme chaque production du groupe contient beaucoup de faces B, en 1999, une compilation de singles sortira pour remettre tout ça en ordre. C’est en 2000 que le groupe sort un nouveau disque original, “Unidad de desplazamiento” sous le même format que “Una semana en el motor de un autobús” avec une histoire qui se raconte à travers les 13 titres de l’album. Deux ans plus tard sort le 5ème opus “Encuentros con entidades” qui sortira avec un DVD des clips du groupe. Comme à son habitude, passent deux ans et sort “Los Planetas contra la ley de la gravedad” en 2004. En 2007 le groupe rentre de nouveau en studio pour sortir l’album, “La leyenda del espacio“, qui sera reconnu par la critique espagnole comme meilleur disque national de rock alternatif de l’année. Le single “El Canto del Bute” ressort notamment par sa production et son originalité psychédélique. Toujours dans le même thème en 2009 sort “Principios básicos de astronomia” sous un nouveau label, “Octubre” de Sony Music. 18 titres qui font voyager dans l’espace intersidéral, très trippant. L’année 2010 voit sortir “Una ópera egipcia“, dernier album du groupe chez Sony avant une pause de quelques années dans le processus créatif. Ils reviennent avec...
1/15/202123 minutes, 33 seconds
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LA NOUVEAUTE ROCK ESPAGNOLE #16 - Brutal Thin

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. Pour la dernière de l&#8217;année on va frapper un grand coup là où ça fait mal&#8230; je parle biensûr des tympans ! Et c&#8217;est Brutal Thin qui va s&#8217;en charger avec leur hard rock qui cogne brut depuis bientôt 30 ans. Originaire d&#8217;Algeciras dans la province de Cadix en Andalousie, c&#8217;est donc en 1991 que le groupe se forme, influencé par la scène hardcore, Punk et Metal des années 80/90. Cinq années après leur formation, ils enregistrent leur premier LP qu&#8217;ils appelleront &#8220;Matanza Nacional&#8221; avec lequel ils gagneront leurs galons dans le milieu comme auprès des médias de communication de l&#8217;époque. Leur album suivant, &#8220;La Cultura del Miedo&#8221; sortira en 1997 et fera l&#8217;objet d&#8217;une grosse tournée nationale qui assoiera encore un peu plus leur notoriété en Espagne. Ils auront également l&#8217;occasion de faire paraitre un de leurs titres, &#8220;Grita&#8221; sur la compilation &#8220;Metalo&#8221; produite par un label New Yorkais aux côtés d&#8217;autres groupes hispaniques connus comme A.N.I.M.A.L. ou Ill Niño. En 1999, ils retournent en studio pour enregistrer leur troisième album &#8220;Tercera Comunion&#8221;. L&#8217;album de la consécration comme on dit car c&#8217;est grâce à celui-ci qu&#8217;ils pourront réaliser un rêve, tourner en dehors du pays. Ils vont donc entamer une tournée de quelques dates en amérique du sud et placer l&#8217;album parmis les meilleures ventes en Espagne et dans plusieurs pays sud américains. Vous pouvez en écouter un extrait avec &#8220;Tamayonqui&#8221;, un mix bizarre entre tamagochi et Yonki (toxicomane en espagnol). Un titre puissant non sans rappeller des groupes comme Soulfly, Sepultura ou encore Snot dans la voix parfois&#8230; Tercera comunion by Brutal thin 5 ans plus tard en 2004 le groupe revient avec son quatrième opus, &#8220;Nuevo Catálogo sobre demonologia moderna&#8221;, un disque différent par rapport à ce qu&#8217;a l&#8217;habitude de produire le groupe. Plus rock, plus grunge, parfois on pense à Queens Of The Stone Age en écoutant certains titres. Avec cet album, Brutal Thin prennent des risques et ça paie pendant la tournée qui suit. Ils en profitent pour enregistrer un DVD sur une date qu&#8217;ils sortiront sous le doux nom &#8220;18 años en Bruto&#8221;. S&#8217;en suit une période de pause de 8 ans pendant lesquels les membres du groupes travaillent sur des formations parallèles et développent d&#8217;autres projets jusqu&#8217;en 2015 où le groupe revient avec un cinquième album autoproduit, &#8220;No mereces un castigo para aprender&#8221; avec un son brut, comme à leurs débuts qui ravira les fans de la première heure. En 2015 ils rentrent de nouveau en studio pour enregistrer &#8220;Perversiones&#8221;, un album transitoire composé exclusivement de covers de groupes des années 70/80 comme The Doors, Misfits, Twisted Sister entre autres&#8230; Ce sont treizes titres repris en espagnol en collaboration avec d&#8217;autres artistes de la scène metal espagnole. Pour vous faire une idée on écoute u
12/18/202018 minutes, 22 seconds
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LA NOUVEAUTE ROCK ESPAGNOLE #16 - Brutal Thin

La nouveauté rock espagnole, c’est tous les jeudis à 19h avec Christophe sur RSTLSS Radio. Pour la dernière de l’année on va frapper un grand coup là où ça fait mal… je parle biensûr des tympans ! Et c’est Brutal Thin qui va s’en charger avec leur hard rock qui cogne brut depuis bientôt 30 ans. Originaire d’Algeciras dans la province de Cadix en Andalousie, c’est donc en 1991 que le groupe se forme, influencé par la scène hardcore, Punk et Metal des années 80/90. Cinq années après leur formation, ils enregistrent leur premier LP qu’ils appelleront “Matanza Nacional” avec lequel ils gagneront leurs galons dans le milieu comme auprès des médias de communication de l’époque. Leur album suivant, “La Cultura del Miedo” sortira en 1997 et fera l’objet d’une grosse tournée nationale qui assoiera encore un peu plus leur notoriété en Espagne. Ils auront également l’occasion de faire paraitre un de leurs titres, “Grita” sur la compilation “Metalo” produite par un label New Yorkais aux côtés d’autres groupes hispaniques connus comme A.N.I.M.A.L. ou Ill Niño. En 1999, ils retournent en studio pour enregistrer leur troisième album “Tercera Comunion”. L’album de la consécration comme on dit car c’est grâce à celui-ci qu’ils pourront réaliser un rêve, tourner en dehors du pays. Ils vont donc entamer une tournée de quelques dates en amérique du sud et placer l’album parmis les meilleures ventes en Espagne et dans plusieurs pays sud américains. Vous pouvez en écouter un extrait avec “Tamayonqui”, un mix bizarre entre tamagochi et Yonki (toxicomane en espagnol). Un titre puissant non sans rappeller des groupes comme Soulfly, Sepultura ou encore Snot dans la voix parfois… Tercera comunion by Brutal thin 5 ans plus tard en 2004 le groupe revient avec son quatrième opus, “Nuevo Catálogo sobre demonologia moderna”, un disque différent par rapport à ce qu’a l’habitude de produire le groupe. Plus rock, plus grunge, parfois on pense à Queens Of The Stone Age en écoutant certains titres. Avec cet album, Brutal Thin prennent des risques et ça paie pendant la tournée qui suit. Ils en profitent pour enregistrer un DVD sur une date qu’ils sortiront sous le doux nom “18 años en Bruto”. S’en suit une période de pause de 8 ans pendant lesquels les membres du groupes travaillent sur des formations parallèles et développent d’autres projets jusqu’en 2015 où le groupe revient avec un cinquième album autoproduit, “No mereces un castigo para aprender” avec un son brut, comme à leurs débuts qui ravira les fans de la première heure. En 2015 ils rentrent de nouveau en studio pour enregistrer “Perversiones”, un album transitoire composé exclusivement de covers de groupes des années 70/80 comme The Doors, Misfits, Twisted Sister entre autres… Ce sont treizes titres repris en espagnol en collaboration avec d’autres artistes de la scène metal espagnole. Pour vous faire une idée on écoute un extrait du titre “Kokaina”, reprise de ultra hardcore et vraiment bien pensée de l’excellent titre “Cocaïne” de J.J. Cale. En 2019, ils reviennent avec leur huitième disque “A Muerte”. 10 titres comme des uppercut qui viennent te reveiller au cas où t’aurais pas compris ce qui se passait avec un son encore plus agressif qui pèse de leurs 30 ans de carrière. On sent l’inspiration rock alternati...
12/18/202018 minutes, 22 seconds