Artiste de l'intemporel, passionné de guitares en tout genre.Majoritairement autodidacte, c'est après 4 ans dans un univers de chanson française traditionnelle (Brassens, Le Forestier, Lalanne, etc.) que je découvre la lumière à travers le rock avec des groupes comme Trust, AC-DC, Les Rolling Stones et surtout le groupe français Téléphone.C'est décidé, je passe à la guitare électrique avec une belle imitation de SG Standard Gibson (jolie mais qui ne sonne pas bienl en fait).Plusieurs essais de formation aboutissent à un premier concert public avec le groupe Pulsion Dégénérées : un rock vascillant entre un hard rock bien gras émergeant pour l'époque et du rock traditionnel à la Led Zep, le tout avec une énergie limite punk.Que des compositions, beaucoup de watt mais des gouts trop variés au sein du groupe. Repartit sur les routes à la recherche d'autres structures musicales, je prend des cours de batterie et intègre un groupe de persussion qui tourne dans les manifestations locales pendant 2 ans (latino jazz).Je fait un passage dans un orcheste variété de bal avec de bons musiciens. Je profite ainsi de l'opportunité pour diversifier ma technique de guitariste. Le bal est une excellente école. En tant que guitariste arrangeur, j'accompagne pendant un an un chanteur français, Jean-Bernard Allardi, dans un style jazz bossa. En parrallèle je prend des cours de jazz et intègre un orchestre (18 musiciens) qui accompagne une troupe de danseuses de danse jazz. J'en profite pour découvrir la basse et à la contre-basse. Je découvre surtout le jazz manouche. Forcemment, ces rencontres activent des chansons du moment : Fabienne, etc. (irrécupérable ce Thierry, comme dirait un de mes meilleurs amis et grand guitariste Gérald Masson). Une seule certitude, il n'y a que le rock qui me donne l'évasion et les vibrations auquels j'aspire.Un premier boulot dans un magasin à Pigale (Paris) dans la fabrication d'instruments de musique sur mesure me fait découvrir le côté sombre du milieu musical parisien (pas bô !).Il s'en suivra une grande période à l'acoustique, à la folk, avec un retour aux jolies mélodies, aux arpèges et à la recherche DU SON.1997, je quitte Paris pour Marseille.En 2002, un grave accident de moto me cloue sur un fauteuil roulant pendant plus de 6 mois et l'état de ma main gauche (je suis un gaucher) fait que la guitare me sera à présent impossible.Une rééducation "spéciale" (merci à mon ami kiné Van n'Gu, paix à son âme), à base de guitare me redonnera la force et l'énergie de rejouer de la guitare.Je monte mon école de guitare en 2004, à Marseille.Une composition cool, Caline, marque la fin de l'année 2005 et ouvre la porte à d'autres compositions lattente dans la même lignée...Une rencontre fortuite avec d'autres musiciens (autours de Marseille) amoureux de Téléphone, Louis Bertignac et de son univers rock me redonne l'envie bouillonnante de rejouer en groupe la musique qui m'a toujours suivi, depuis Hygiaphone : les Bertinaudibles.Des afters de concert et quelques boeufs avec Louis Bertignac à l'acoustique, un régal, puis 2 petits passages avec lui sur son DVD live power trio 2006Des concerts privés et publiques (Paris, Marseille, Mandelieu) et en plein air.En parrallèle, une rencontre avec des rescapés du groupe Pôle Sud, Eric et Fifi, et un nouveau groupe nait : 646.  L'objectif, remonter des compos rock bien pêchues avec quelques ballades rock, tout ça avec la guitare de ses rêves, enfin, une SG Gibson 61 Reissue au son parfait, avec un VOX à lampe. Bref un son très rock british Téléphone mais si bon.Mais la Folk Ovation continue de chauffer aussi hors scène et répêt : toutes les compositions se font dessus, en fait, à la base. Si ça sonne en acoustique sur l'ovation, ça sonnera sur la SG ;-)  (Boucles brunes, Aurélia, Depuis que je sais, On y va, etc.).Des concerts dans les pubs rock (Dan Racing) et tremplins mais déja trop exigeant au niveau sonorisation. Pour les tremplins, les balances et le son sur du matos imposé, c'est pas bon. Plus jamais sans son Vox sur scène, ce sera ainsi.D'autres compositions aussi mais bossa, jazz, ballade folk, pas pour un groupe de Rock.Depuis 2007, on fait les concerts tribute Téléphone autours de Marseille.Depuis 2013, les tribute Téléphone (et rock français) sont supportés par le groupe Marseille Rock Memory (Moi, Fifi, Jean-Michel et Fred)Ce qui nous caractérise : le son, la pêche et le plaisir partagé avec le public.Rien de commun dans son parcours, juste un passionné de guitare.En 2014, je monte plusieurs groupes de jazz manouche et bossa/samba.L'envie y est, les musiques et les mélodies émergent de plus en plus rapidement. Un question de temps ? Il est déja en route. Le temps ? Ce n'est pas une chanson de Téléphone ça ?