Je ne vais pas vous faire le coup d’une description fumée et écrite à la troisième personne pour vous dire que ce projet est issus d’une cave obscure, qu’il mélange subtilement poésie et franc parlé, profondeur et légèreté, un cœur grand mais blessé, le tout servi par une voix qui rappelle votre chanteur préféré sur une musique aux muses vintages et modernes. Je m’appelle Leo Walden, et j’ai la prétention de faire du rock. Évidemment, je ne suis pas seul. Walden, ça se chante entre potes. Sur scène, au coin d’un bistrot, autour du feu ou dans la rue, la formation varie et s’adapte au milieu qui l’accueille.